Comme des Parisiennes feat Maëlys Walker

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Comme des Parisiennes

feat Maëlys & Serena

On était en pleine saison des soldes et quoi de mieux que d'aller faire du shooping pour l'occasion ? Bien que j'avais promis à Maëlys qu'on irait directement à New-York les faire, j'avais opter pour une autre destination en dernière minute et comme j'avais l'habitude de voyager à bord d'avion priver, il était facile pour moi de partir aux quatre coins du monde. J'avais mon amie de prendre une valise qu'on resterait 4 jours complets la-bas.

Maëlys était tout à fait différente de moi, elle était d'une simplicité à en être jalouse, elle était plutôt belle et loin du stéréotype de la pimbêche. Il est vrai qu'habituellement je fréquente des femmes de mon monde, que je fréquentes les gens de la jet sette ou les célébrité, mais il était bon par moment de se retrouver dans la simplicité et j'aimais ça en compagnie de miss Walker. Alors que je quittais l’hôtel merveilleux dans lequel j'avais élue domicile, une magnifique voiture priver m'attendait à l'entrer.

- Mademoiselle Thurman
- Merci Harold, faite attention à ma valise cette fois-ci, j'aimerais ne plus avoir la blague de la dernière fois.

Harold ferma la portière derrière moi et installa ma valise dans le coffre, une fois au volant je lui indiquais l'adresse ou vivait Maë'. Une fois proche de chez elle, je lui laissais un texto pour lui annoncer que j'arrivais, ce ne fut pas très long avant qu'elle ne me rejoigne dans la voiture. Un rapide baiser sur la joue pour ce saluer et je la laissais croire tout le long de la route qu'on allait toujours à New-York. Arriver à l’aéroport Harold sortait le premier, une main pour aider Maelys à sortir et une seconde fois pour m'aider. Je remettais correctement le bas de ma robe qui m'était légèrement remonter sur les cuisses avant de dire au chauffeur de prendre nos valises. Oui dans mon monde il était hors de question que je traîne derrière moi un bagage. Et ce fut une fois installer dans l'avion que mon sourire amuser apparut sur mon visage... Alors que le vol semblait interminable pour New-York il était temps que j'annonce la couleur à ma jeune amie.

- Je dois t'avouer que tu peux oublier New-York, comme tu peux le voir... Le vol semble plus long. Je te réserve une petite surprise, mais je t'assure que d'ici là, tu as le temps de dormir.

Une hôtesse de l'air venait nous servir une coupe de champagne, pendant qu'un homme apporter des toast de fois gras, d'autres de caviars. Dégustant mon verre délicatement et un de ses délices tout en discutant de choses et d'autres avec mon amie et finissant par sombrer dans un sommeil.

Ce fut seulement à l'atterrissage en Europe que j'ouvris les yeux, réveillant délicatement Maëlys lui annonçant qu'on était enfin arriver à destination. Une petite retouche beauté et on pouvait enfin descendre de l'avion, un chauffeur était déjà occuper à nous attendre pour nous conduire jusqu'à notre hôtel. Tout en roulant on pouvait commencer à découvrir la magnifique ville de Paris et en passant devant la tour Eiffel.

- Bienvenue à Paris la vierge.

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Comme des parisiennes

Serleena

Besoin de se changer les idées, de penser à autre chose et Serleena a surement eu la meilleure idée pour ça. Elle t’a promis un weekend shopping sur New-York et tu as tout de suite été conquise par l’idée. Partir quelques jours et se tenir loin des tensions familiales, de quoi en faire rêver plus d’une. C’est donc fièrement que tu avais annoncé la nouvelle à tes colocataires – ton frère et sa femme – et peut-être que tu en avais rajouté un peu juste pour voir le visage de ta belle sœur se fermer. Ca t’a fait bien rire de la rendre un peu jalouse. Pour une fois que tu es le centre d’attention et que tu peux te pavaner devant elle.
Après un réveil un petit peu difficile, tu t’es rapidement ressaisis pour pouvoir te préparer mais surtout à guetter le sms de ton amie. Cette grande brune qui ne te ressemble aucunement dans la vie. Jet-setteuse, grande gueule, bien connue dans le grand monde, toi à côté, t’es la demoiselle qui cherche à passer inaperçue, à être timide. Et pourtant, à chaque fois que tu retrouves ton amie, elle te dévergonde un peu plus, te faisant découvrir des endroits huppés de la ville. Après avoir finalisé ta valise, tu entends ton téléphone vibrer et tu comprends qu’elle est arrivée. Tu salues rapidement ta famille, déposant tout de même un baiser sur la joue de ton frère et tu prends tes affaires pour aller retrouver la brune.
La limousine de Serleena t’a toujours fait un drôle d’effet. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut monter dans ce genre de voiture. Tu grimpes dans le véhicule et salues ta copine. Quelques papotages plus tard, tu te retrouves à l’aéroport et tu laisses l’employé de Serleena se charger de tes affaires. Quand tu étais gamine, tu rêvais d’être une princesse et d’avoir des gens à ton service. Mais ce n’était qu’un rêve de petite fille et ta vie d’aujourd’hui te suffit amplement.
Une fois dans l’avion, tu regardes étrangement Serleena quand elle te fait part d’une surprise. Vous n’allez plus à New-York et votre nouvelle destination t’intrigue vraiment. "Me laisse pas dans le suspense comme ça, Serlee !" Envie d’en savoir plus d’un coup. Tu fais les yeux doux pour essayer d’avoir un indice en plus mais tu sens bien que Serleena ne dévoilera rien. Tu grignotes un peu les petits toasts apportés par le personnel puis tu te laisses alors bercer par les mouvements de l’avion et tu t’endors.
C’est Serleena qui te réveille bien longtemps après et tu te doutes que votre voyage aura duré bien plus que si vous étiez allées à New-York. Tu regardes par le hublot et n’arrives pas vraiment à savoir où vous êtes arrivées. C’est quand tu découvres les panneaux de l’aéroport que tu comprends que vous êtes en France. Ton amie a vraiment fait fort et tu commences à être excitée à l’idée de faire les boutiques dans les grands magasins de la capitale française. "Serlee tu viens de réaliser un de mes rêves !" t’exclames-tu alors que tu regardes à travers la fenêtre de la voiture.
Vous arrivez à votre hôtel et tu es éblouie devant la décoration intérieure. On vous guide jusqu’à votre chambre… Ah non, votre suite… Et tu deviens une gamine devant un tas de jouets. Les yeux remplis d’étoiles, tu fais la visite de la chambre. "C’est quoi le programme ?"

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