[Jacaya#2] Tiens donc ...

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Tiens donc...

Je l'admets je suis un dragueur et je ne pense qu'avec mon engin, je n'y suis pour rien, j'ai toujours fonctionné comme ça. Cent fois je préfère m'amuser jusqu'à pas d'âge avec des nanas toutes plus intéressantes et coquines les unes des autres, et des hommes tentants, plutôt de me caser avec quelqu'un qui me fera chier à longueur de temps et me demandera des comptes. Moi je vois les choses comme ça en tout cas, je me dis que me mettre en couple ne m'apportera que des problèmes dans ma petite et ça ne me plaît pas nécessairement. Évidemment un jour il faudra bien que je songe à me poser en couple avec quelqu'un, faire des gosses peut-être, mais pour l'instant ça ne m'intéresse pas du tout. Je préfère ma vie de célibataire volage, cette vie où je peux m'amuser avec qui je le souhaite quand je le souhaite sans jamais me prendre la tête d'une quelconque façon. Moi je suis comme ça, je suis du genre sans prise de tête dans mon quotidien donc oui je reluquais avec désir les nichons, petits mais qui ont l'air tellement agréables au toucher, de la brune en face de moi. Je suis un pervers, j'aime les seins des femmes, qu'ils soient gros, petits ou dans la norme franchement aucune importance, j'aime les seins tout simplement, c'est une partie du corps des femmes que j'apprécie tout particulièrement. Et elle justement je la désire et au fond d'elle je ne serais pas étonné qu'elle me désire également. Cette fille a chaque fois qu'elle me voit elle m'en met plein la gueule mais au fond elle doit bien m'aimer, ça me paraît évident, tout le monde m'aime c'est une évidence. Alors, tandis que je souris à cette pensée je fixe la brune qui me hurle dessus me disant qu'elle ne me permet pas ce qui me surprend, je ne sais pas de quoi elle parle, je lui demande donc des précisions jusqu'à ce qu'elle me dise qu'elle m'a vu regarder Lily et Candice. Putain, mais c'est qui ces filles ? Elles sont bonnes ? « Euh.... Ouais ? » Lançais-je un peu surpris par ses mots tandis que je dévisage l'asiatique mal à l'aise, pour le moment j'y comprends pas grand chose. « Et c'est qui cette Lily et cette Candice au juste ? » Demandais-je toujours aussi surpris tandis que j'arque un sourcil le tout en croisant les bras contre mon torse en attendant que la brune me réponde..

Amaya & Jacob

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J

e ne comprends plus rien du tout au comportement de cet homme. Dans l’avion, il me draguait comme pas permis, en sachant parfaitement qui j’étais, ce qui ne l’avait pas arrêté, jusqu’à ce qu’il comprenne enfin que je n’étais pas une Marie couche-toi là. Et puis, les mois passent, il me fait venir dans son bureau et me propose de devenir son assistante personnelle, ce que je n’avais pas vu arriver, même de loin. En revanche, à sa façon de regarder ma minuscule poitrine qui me file des complexes depuis l’adolescence, je comprends bien vite ce que sa proposition implique. Je lui hurle presque dessus pour lui dire que je ne lui permets pas. Il semble ne pas comprendre, ou alors, il fait semblant. C’est possible après tout. Je lui rétorque alors que je ne suis pas aveugle, que je l’ai bien vu regarder Candice et Lily, surnoms que je donne à mes nichons. Ouais, vous pouvez rigoler, moi-même, je trouve ça ridicule, mais que voulez-vous, c’est comme ça. Quand je me rends compte de ce que j’ai dit, c’est trop tard et je n’ai plus qu’à espérer qu’il ne relèvera pas l’anecdote. Puisque, après tout, je parle beaucoup. Mais encore une fois, il semble ne pas comprendre ou alors il fait semblant de ne pas comprendre. Avec lui, je ne sais pas à quoi m’en tenir. Mais au lieu de me calmer, son ‘euh …ouais ?’ m’énerve encore plus. Pourquoi est-ce que je suis toujours énervée quand je le vois ? Je suis stupide. Il ne m’a rien fait. Son seul tort à mes yeux c’est d’être un gros dragueur. Mais au fond c’est ça le problème, il est dragueur. Et mignon. Voilà pourquoi je m’énerve après lui, parce qu’il ne me laisse pas indifférente et que je ne dois pas craquer. Alors je lui gueule dessus, espérant qu’il passera son chemin. Je soupire, l’air de lui dire, ne me prends pas pour une débile. Puis, il me demande qui sont ses filles. « Personne que vous connaissez ! » lui dis-je. Ce qui est vrai, dans le fond. Puis, je tourne les talons. « Il faut que je retourne travailler ! » lui dis-je, finalement. Bon sang, je me fais l’effet d’être une tigresse ou un dragon. Pour un peut, je mordrais, mais avec lui, il vaut mieux que j’évite d’en arriver là, il serait du genre à apprécier, à tous les coups. Je le regarde quelques secondes, il ne serait pas comme il, sa proposition, je l’accepterais sans réfléchir, mais voilà, je suis méfiante, à cause de tout ce qu’il m’a dit ; et ne m’a pas dit ; quand nous étions dans l’avion.

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Mes amis les plus proches ont tendance à dire que je suis un chasseur, une bête sauvage assoiffé de sexe et de plaisir en tout temps, ils n'ont pas tout à fait tord, on peut même dire qu'ils ont tout simplement raison. C'est vrai, je suis toujours en quête d'une proie, d'une petite personne nouvelle avec qui je pourrais avoir une histoire d'un soir. Que ce soit un homme ou une femme ça n'a aucune importance, du moment que la personne est belle autant physiquement que mentalement pour moi c'est tout ce qui compte. Hors de question de coucher avec une imperfection, je besoin de coucher avec des personnes parfaites autant à l'intérieur qu'à l'extérieur et pour moi c'est véritablement important d'avoir une histoire d'un soir, ou de plusieurs on sait jamais, avec des personnes de qualité. Je suis comme ça, j'ai constamment besoin d'être en action avec de nouvelles personnes. Et justement en cet instant précis ma proie du moment c'est Amaya, elle me plaît, c'est une vraie tigresse par son comportement alors qu'au fond je suis sûr qu'elle est aussi douce qu'un agneau. Autant dire simplement que l'entendre rugir en tout temps, ronchonner pour un oui et pour un non et tenter à sa façon de me résister ça m'excite encore plus. Pas que ça me plaise qu'elle m'envoie chier en me faisant comprendre à sa façon que je n'ai aucune chance mais disons que ça me met au défi de lui prouver que j'ai effectivement toutes mes chances. Cette brunette ne sait pas ce qu'elle rate, il est bien possible qu'elle passe à côté du coup de sa vie, c'est même une certitude, jusqu'à présent j'ai toujours parfaitement contenté mes partenaires et Amaya ne fera pas exception à la règle, je compte y aller doucement avec elle mais d'abord je la désire absolument en tant que secrétaire personnelle et je l'aurais c'est une valeur sûre, j'utiliserais tous les arguments impossibles et inimaginables pour l'avoir comme secrétaire et ensuite je la prendrais brutalement contre le bureau, le tout en lui faisant bien comprendre qu'on ne me résiste pas. Oh elle se prendra sûrement des fessées pour m'avoir défié de la sorte mais c'est sûr elle adorera ça. Alors, tandis que je me mordille la lèvre à cette pensée je soupire en remarquant que je suis à l'étroit dans mon boxer, encore, à chaque fois que je pense à elle je suis à l'étroit dans mon boxer, presque tout le temps en fait. Soudainement ma future victime m'annonce qu'elle va retourner bosser, je le fixe longuement. « Mademoiselle. Je ferais tout pour que vous bossiez pour moi, je souhaite la meilleure personne pour être ma secrétaire personnelle et pour l'heure je considère que c'est vous et uniquement vous la meilleure. » Dis-je simplement à la brune que je dévisage longuement de mes yeux sombres. « S'il vous plaît, réfléchissez sérieusement à ma proposition. Je serais enchanté de vous avoir comme secrétaire personnelle. » Ajoutais-je tout en affichant un grand sourire sur mes lèvres en prononçant ces quelques mots, après quoi je la laisse décider de si elle veut rester ou plutôt partir..

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J

e ne sais pas à quoi je m’attendais en venant voir le grand directeur de la boîte pour laquelle je travaillais, dans son bureau, mais certainement à ce que j’avais trouvé. Déjà, je pensais que mon patron était un vieux ; enfin façon de parler disons que je pensais à quelqu’un de plus âgé quelqu’un ayant dépassé la cinquantaine depuis plusieurs années ; de moche, avec des lunettes immenses et une bedaine due à son âge, mais certainement pas à un jeune homme, beau mec de surcroît et complètement obsédé par le cul. Bref, un mec à des années lumières de moi. S’il n’était pas aussi beau mec, nul doute que j’aurais claqué la porte depuis longtemps, mais voilà, ce type ne me laisse pas totalement indifférente et ça m’énerve. Je suis certaine qu’il le sait en plus ! Il n’y a donc pas trente-six solutions qui s’offrent à moi, je dois le fuir. Avec ce genre de mec, je ne peux que souffrir, alors autant éviter les larmes dès maintenant. Son offre d’emploi est tentante, mais je ne peux pas me le permettre, c’est pourquoi, après avoir frôler la catastrophe en lui avouant comment je surnommais mes nichons, je préfère me sauver de son bureau en vitesse en appuyant sur le fait que je dois retourner travailler. En même temps, c’est la vérité, je dois bosser. Je ne suis pas payer pour me faire draguer ouvertement par mon boss. La promotion canapé, ce n’est pas pour moi. Je ne suis pas stupide, je sais très bien qu’il attend la première occasion pour me prendre par derrière. La seule chose qu’il en récoltera, c’est ma main dans sa figure, si jamais il tente quelque chose. Toutefois, j’ai à peine atteint la porte du bureau, que déjà il reprend la parole. Comme je ne veux pas perdre mon travail, j’écoute ce qu’il a dire et je soupire. Visiblement, il tient à ce que je bosse pour lui alors qu’il ne me connait même pas ! « Comment pouvez-vous savoir que je suis la meilleure ? Vous ne me connaissez pas ! » S’il tient absolument à ce que je travaille par lui, moi, ce n’est pas mon cas. Même pour un autre patron, j’aurais refusée, parce que je ne veux pas être secrétaire, je veux être chef de projet. « Arrêtez de me regarder comme ça ! » fis-je soudain, déstabilisée. Il me plait, c’est un fait, mais je ne dois pas me laisser avoir, il en va de ma santé mentale, déjà bien diminuée. Quand je suis devant lui, c’est simple, je raconte n’importe quoi. Je dois le faire hurler de rire. Il reprend la parole, sans se défaire de son sourire charmeur. « Je … euh … je vais réfléchir ! » dis-je, la main sur la poignée de la porte. Merde, mais pourquoi est-ce que j’hésite ? Je ne dois pas travailler pour lui, il y a des milliers de bonnes raisons à cela.

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Ce n'est pas difficile pour moi d'obtenir tout ce que je souhaite, les femmes, les hommes, les biens matériels ou toute autre chose encore. J'ai une certaine influence et un physique plus que concret qui me permet d'avoir tout ce dont j'ai besoin. Et pour l'heure ce que je souhaite absolument de prendre cette nana sur mon bureau. Oh, je ne me fais pas de soucis, si je n'y arrive pas aujourd'hui j'y arriverais fort probablement plus tard ce ne sera pas difficile, elle n'en montre rien mais je sais à sa façon d'éviter mon regard que je la tente. Peut-être même que je l'excite rien qu'à cette simple pensée je me sens à nouveau inconfortable dans mon boxer et ça m'emmerde pourquoi je bande constamment et surtout à chaque fois que je la vois ? Suffit que je l'imagine la tête sur mon bureau le cul à l'air pour que je sois bien dur, je n'ose imaginer l'état dans lequel je serais une fois qu'on sera réellement dans cette position. Elle va me rendre fou tout simplement... Lorsque la brunette me dit que je ne la connais pas je ne peux m'empêcher de rire puis de la fixer. « C'est vrai, c'est vrai. Officiellement on ne se connait pas si on oublie la petite rencontre charmante dans l'avion. Néanmoins je connais mes employés en général et mes employés qui bossent donc pour moi ont tous des qualités importantes. Et vous, vous avez réussi à élargir mon entreprise sur Tokyo ce qui n'est pas rien. Même moi en général lorsque je me déplace dans diverses villes du monde je galère pour étendre mon entreprise avec les hommes de main des divers pays ou villes du monde. Vous en l'espace de dix minutes environ l'affaire était déjà signée et vous aviez réussi votre coup. Donc on peut rapidement en conclure que vous êtes bonne... Négociatrice. » Répondis-je simplement à la brunette que je scrute longuement de mes yeux sombres tandis que je lui souris tendrement. Après quoi elle me demande d'arrêter de la regarder comme ça, je grimace et baisse les yeux tout en me jurant de lui claquer le cul quand l'occasion se présentera. Puis lorsque je lui redemande de réfléchir sérieusement à ma proposition elle me confirme qu'elle va réfléchir j'acquiesce alors et lui souris. « Tant mieux ! Je serais très heureux de vous avoir comme secrétaire personnelle ! » Dis-je sourire aux lèvres, et puis autant être franc l'avoir comme secrétaire personnelle ce serait pratique pour la simple et bonne raison qu'en fin de compte je pourrais me rapprocher d'elle comme je le souhaite, l'avoir avec moi lors de mes voyages ici et là dans le monde et c'est bien connu les femmes ça aime voyager et elle justement elle aime voyager elle me l'a dit dans l'avion donc ce sera pas bien difficile. Elle s'est déjà livrée à moi sur des sujets putain de sensible qu'on aborde pas comme ça en général. Pourtant elle, elle l'a fait, elle me plaît vraiment beaucoup...

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B

onne …Négociatrice. Pourquoi ai-je encore l’impression qu’il parle de toute autre chose ? Bordel de merde, ce type me tape sur les nerfs ! Oui, d’accord, je me suis bien débrouillée à Tokyo, mais en même temps, je n’avais pas le choix, je devais réussir sinon je perdais ma place. C’est comme ça que je voyais les choses. Pourtant, je n’ai pas l’impression d’avoir été aussi bonne que ça, j’ai été maladroite, je me mélangée dans mes notes, mais quand j’ai parlé de mon père ; que l’investisseur connaissait depuis longtemps ; il a complètement changé d’attitude et au final, il m’a écouté et a accepté le projet. Je n’ai pas été bonne, j’ai juste eut de la chance. Mais, à l’évidence, il veut absolument m’avoir comme secrétaire personnelle et ça ne me plait pas. Je le laisse dire cependant, je ne dis rien, je le laisse croire que je vais accepter sa proposition alors que je sais très bien que je n’en ferais rien, parce que je sais parfaitement qu’il y a anguille sous roche. Je ne suis pas stupide, j’ai vu clair dans son jeu pendant le trajet de retour de Tokyo l’hiver dernier et c’est hors de questions que je cède. J’ai été clair, pour moi, mon prochain mec, ça sera celui de ma vie, et ce n’est certainement pas lui. Il perd son temps avec moi. « J’ai simplement eut la chance que l’investisseur connaissance mon père. Sans ça, ça n’aurait pas fonctionner ! » Répondis-je. Je préfère me montrer honnête, je ne suis pas ce qu’il prétend. Mais, encore une fois, je reste persuadée qu’il parle d’autre chose. Je lui demande ensuite de cesser de me regarder comme il le fait, parce que j’ai l’impression d’être passé sous rayons X, ce qui est vraiment déstabilisant, puis, lassée par ses sous-entendus qu’il fait mine de ne pas comprendre, je lui indique que je dois retourner bossé. Il me suit jusqu’à la porte. Je finis par lui dire que je vais quand même réfléchir à son offre, il a des pus, évidement, mais il y a beaucoup de moins et pour le moment, le moins l’emporte. Il me répète qu’il serait heureux de m’avoir dans son équipe et je ne sais pas pourquoi, je baisse les yeux … et mon regard s’arrête sur la bosse sur son pantalon. Horrifiée, je lui jette un regard dégouté. Putain, c’est donc à ça qu’il pense depuis toute à l’heure. Ce mec est un vrai pervers. « Je dois vraiment m’en allée maintenant ! » dis-je, puis j’ouvre la porte, espérant qu’il ne me suive pas.

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De base, les gens qui me connaissent savent que je suis un pervers qui obtient toujours tout ce qu'il veut. Et ces personnes ont parfaitement raison. C'est clair que j'obtiens toujours tout ce que je veux, absolument tout. Que ce soit des biens matériels comme des personnes je réussi toujours a les obtenir d'une façon ou d'une autre. Là c'est cette fille que je veux, non seulement en tant que secrétaire personnelle mais également voir même surtout comme amante que je prendrais quand et où bon me semblera. Au fond je suis sûr qu'elle me désire un minimum, il n'y a qu'à voir sa façon de détourner les yeux, elle ose pas me regarder dans les yeux sans nul doute parce que je lui plais, rien d'étonnant je suis parfait, ou alors elle est excitée en imaginant tout ce que je pourrais lui faire et du coup elle ose pas me regarder en face parce qu'elle imagine des choses coquines. D'une manière ou d'une autre je suis conquis. Cette fille, plus le temps passe et plus elle me plaît, je la désire, elle me tente, elle me conquit complètement et c'est assez étrange. Jamais aucune femme ne m'a fait un tel effet, elle, elle est particulière, spéciale, déroutante. Au fond je ne sais pas si je dois adorer ça ou alors si je dois détester ça mais en tout cas c'est étrange et je ne sais pas comment me comporter. Alors, lorsque la brune vint à me faire un commentaire sur son paternel qui connait le type qui lui a signé les papiers pour mon entreprise je souris. « Vous ne savez pas accepter les compliments au fond hein ? » Lançais-je à la brune d'une voix douce tandis que je la scrute longuement de mes yeux sombres. « Pourquoi ne pas accepter simplement que vous avez très bien géré votre coup sans chercher plus loin ? » Demandais-je étonné qu'elle ne reconnaisse pas qu'elle a été très bonne négociatrice sur ce coup ci et donc me remercier pour mes compliments... Sans nul doute qu'elle n'a aucune confiance en elle et donc qu'elle doute de ses capacités personnelles, c'est bien possible. Après quoi elle tente de se barrer mais je me lève pour la retenir prêt à tout pour qu'elle accepte mon offre d'emploi, elle baisse la tête puis la relève avec une gueule horrifiée, je la fixe perplexe me demandant ce qu'il se passe tandis qu'elle m'annonce qu'elle va s'en aller, je hausse des épaules me demandant ce qu'il lui prend. « Je suis vraiment prêt à tout pour que vous acceptiez mon offre Mademoiselle. Vous êtes parfaite pour ce poste, je ne vois pas où est le problème! » Dis-je à la brune toujours en la scrutant longuement cherchant à comprendre d'où vient réellement le problème. Quoi ? C'est par rapport au coup dans l'avion ? Voyons elle est pas aussi immature pour accorder de l'importance à tout ceci quand même ? Je l'espère pour elle parce que je fais ça régulièrement a des hommes comme à des femmes, je suis sexuellement très agité, j'aime ça le sexe et draguer...

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J

e commençais à perdre patience. Moi qui suit d’ordinaire très calme ; sauf en cas de stress intense on est bien d’accord mais ça n’était pas le cas actuellement ; j’étais une véritable boule de nerfs. Ce mec, Jacob, de son prénom, me faisait passer par toutes les couleurs de l’arc en ciel, là, c’était le rouge de la colère, en l’occurrence, et le vert du dégout aussi. Ma meilleure amie adore les types comme lui, sans doute, parce qu’elle, elle adore la drague et changé d’homme comme de pair de chaussettes. Moi, c’est loin d’être mon cas. Je ne suis pas une bonne sœur, je n’envisage pas de passer ma vie en étant célibataire, mais je ne veux pas d’une aventure sans lendemain, je cherche quelque chose de sérieux. Enfin, là n’est pas la question, mais je sais très bien ce que ce mec à derrière la tête.je le sais parce qu’il a le même regard salace et pervers que pendant le voyage en avion. J’ai sans doute du dire des choses que j’aurais mieux fait de taire, je le sais. Le problème c’est que dans ces cas-là, je ne sais pas ce que je fais. La peur me domine, elle me contrôle et je ne réponds plus de ce qui peut sortir de ma bouche. Oui, j’ai sûrement du dire des choses qui ne plaident pas en ma faveur, mais j’estime avoir été suffisamment claire lorsque je l’ai remis à sa place. S’il faut que j’emploie la manière forte, alors j’emploierais la manière forte. « Ça dépends de la personne qui m’en fait ! » je réponds, quand il constate que je n’accepte pas ses compliments. C’est simple, je n’accepterais rien de lui, il m’énerve autant qu’il m’attire. Grrr. Je ne réponds pas à la suite de ses paroles. Je n’ai fait que mon travail, je l’ai fait dans le but de devenir chef de projet, mais au fond, j’aurais mieux fait de ne rien faire, puisque la promotion dont il me parle, ce n’est pas celle que je souhaite. Je préfère rester à ma place, même si je m’y ennuie, parce que je ne me sens pas de taille à l’affronté au quotidien. Quand j’essaye de sortir, il me retient en me barrant le passage. Merde alors, je n’ai pas de chance. Je croise les bras, histoire de lui faire comprendre que je n’ai pas envie de rigoler. Puis, je baisse la tête et je la redresse aussitôt, horrifier. Il est encore plus atteint que je le croyais, Monsieur je connais d’autre façon de me détendre. Sérieusement, les hommes de nos jours, ils ont vraiment que ça derrière la tête ? Finalement, les bruits de couloirs que j’ai entendu, comme quoi le boss de la boîte ne réfléchirait qu’avec ce qu’il a entre les jambes, n’est pas faut. « Merci, mais non merci ! Je préfère garder ma place ! » lui dis-je froidement. Il ne voit pas où est le problème ? Moi, je le vois très bien, il grossit et c’est franchement répugnant. Sa secrétaire, tu parles ! C’est évident qu’il cherche autre chose en me demandant d’être sa secrétaire.

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Rarement j'en ai autant chié pour réussir à mettre une personne dans mon lit et là ce n'est même pas encore fait et je le sens cette fille va me rendre fou. Oui fou d'excitation pour elle qui semble aussi coincée qu'une religieuse. Elle est ennuyante à me refuser comme ça. Surtout qu'autant sa bouche me fait comprendre qu'elle n'est pas intéressée mais ses yeux ils disent tout autre chose. C'est évident l'asiatique me désire mais elle ne veut pas se l'avouer sans doute par peur que ça s'ébruite et qu'elle passe pour la salope qui se fait baiser par le grand patron comme c'était le cas avec Claire. D'ailleurs elle va me manquer elle, elle pour réussir à la sauter je n'ai pas eu à faire beaucoup d'efforts, un simple effleurement de sa cuisse et ce fût suffisant pour qu'elle se mette à genoux devant moi et me pompe avec joie. Oh pour sûr j'ai toujours beaucoup apprécié les petits moments sensuels avec Claire et si ça ne tenait qu'à moi je refuserais catégoriquement qu'elle se barre vu comment je risque d'en chier pour que la brune asiatique accepte de devenir ma secrétaire je préfèrerais en attendant que Claire mais je suis réaliste et je sais très bien que c'est impossible. D'ailleurs ladite brune ne semble pas beaucoup m'apprécier je le comprends lorsqu'elle me fait clairement comprendre qu'elle n'accepte pas mes compliments. « Et quel est le problème avec mes compliments ainsi que moi-même ? » Demandais-je un peu déçu qu'elle m'envoie chier comme ça, ceci dit la brune a des couilles plus grosses que je ne le pensais. Envoyer chier comme ça son boss elle ne sait donc pas ce qu'elle risque ? Soit de se faire virer, bon elle pourrait très bien porter plainte contre moi pour proposition indécente et harcèlement sexuel comme c'est ce que je fais depuis que je l'ai croisée dans l'avion mais bon quand je veux une personne je m'en fou de passer pour un psychopathe pervers, c'est ce que je suis après tout. J'aime la baise, j'aime défoncer des personnes brutalement et cette fille je la défoncerais volontiers tout en lui claquant le cul brutalement juste pour qu'elle comprenne a qui elle à affaire et qu'elle doit me respecter moi le grand patron. Néanmoins ça ne semble pas se passer comme je l'entends et je grimace lorsqu'elle refuse ma proposition professionnelle, et personnelle dans le fond, une nouvelle fois. « Je ne vois vraiment pas où est le problème mais... Très bien. » Répondis-je blessé qu'elle me refuse comme ça mais je ne perds pas pour autant espoir, je réussirais à l'avoir d'une manière ou d'une autre à un moment donné, c'est loin d'être perdu, rien qu'à voir ses yeux je sais qu'elle a envie de moi et de ma queue, c'est juste une question de temps...

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C

Ce type est désespérant. Je ne sais pas quoi faire pour m’en débarrasser. J’ai beau lui dire que j’ai du travail, il s’accroche, comme une moule sur son rocher. Je ne suis pas une fille coincée qui crit au loup chaque fois qu’un homme l’approche. Mais je ne supporte pas de me faire draguer de façon appuyée et certainement pas par un type dans son genre. Il me donne clairement l’impression d’être un vulgaire morceau de viande crue et j’ai horreur de ça. Il n’y aurait pas eu l’épisode de l‘avion, sans doute le verrais-je d’un œil totalement différent. Mais ce n’est pas le cas et quelque part, tant mieux. Je n’ai pas envie de passer pour ce que je ne suis pas. Malheureusement pour moi, il n’a pas l’air de le comprendre, ou alors, il ne le veut pas. Je commence à comprendre à qui j’ai affaire, un type qui croit qu’il lui suffit d’un mot gentil ou d’un regard salace pour avoir tout ce qu’il veut. Et ça, clairement, avec moi, ça ne fonctionne pas. Je ne suis pas ce genre de fille, vraiment pas.je sais très bien qu’en m’opposant à lui, je risque gros, comme perdre ma place, mais je préfère me retrouver au chômage en conservant mon intégrité, que rester, avoir un poste bien placé, et qu’on dise de moi, que si j’ai eu ce job, c’est parce que je me suis tapé le grand patron. Et puis, de toute manière, ce qu’il fait, c’est du harcèlement, nu plus, ni moins et ça peut aller très loin. Je refuse donc tout net ses compliments, ce qu’il ne comprend pas, et il me demande même pourquoi. « Pff ! Comme si vous ne le saviez pas ! » lui dis-je, furieuse. Pour un peu, je taperais du pied ! Et quand il me parle à nouveau de la place, je refuse tout net. J’étais sur le point d’accepté, mais quelque chose qu’il a fait m’en à empêcher. Je savais que c’était un bel obsédé, mais à ce point ! J’en suis choquée, sauf qu’il n’a pas l’air de comprendre ou je veux en venir. Peut-être que ça lui arrive sans qu’il s’en rendre compte… Me voilà bien arrangée ! Donc, plutôt que de prendre le moindre risque, je préfère dire non et tant pis s’il se vexe. De toute manière, ce n’est pas le travail que je veux.je suis déjà assistante et ça ne me plait pas, alors, faire la même chose avec un salaire plus élevé, ça ne m’intéresse pas non plus. Tout simplement. Encore que si le patron n’était pas un gros pervers, j’aurais pu dire oui, mais bref, c’est pas le cas, donc tant pis. Il finir bien par s’en remettre ! D’ailleurs, je vois à son regard, qu’il est vexé, mais je n’ai pas l’intention de céder. « Merci ! Je vous souhaite une bonne journée ! » je réponds, plus gentiment, puis, je quitte le bureau, en espérant ne plus avoir une conversation aussi pénible, à l’avenir.

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Spoiler:

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