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 Liz + just free us from all that

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Liz + just free us from all that Empty
MessageSujet: Liz + just free us from all that   Liz + just free us from all that EmptySam 10 Fév - 3:51

Jsuis tellement crevé que je finis assez vite sur le carreau enfin plus précisément sur le canapé endormi. Mon téléphone sonne et je le réveille en sursaut manquant de m’etaler. Je récupère celui ci, liz. Je souris. Quand elle appelle c’est rarement ennuyant. Je décroche aussi sec. Elle veut passer. Mais sa voix ne me fait pas penser à juste ça. Elle est bizarre. - Ya un problème ? T’as pas l’air.. enfin vive quoi. - Jvais m'en prendre une si jme gourre. Je finis par lui dire de passer. - Jte préviens va falloir y aller molo, la dernière mission m’a rétame. Tu verras en venant. - Je me lève aussi sec et prend un cachet puis me change. Autant pour rester seul ça va, mais le genre débrayé moins quand quelqu'un passe. Même si c’est liz. Elle tarde pas à arriver je vais à la porte avec ma béquille et ouvre. Je m’adosse au mur. Je vais pour mimer un tombeur quand je vois la tête qu'elle fait. Je la chope par la taille sourcils froncés lâchant la béquille. - Qu'est ce qui se passe ? On peut en parler si tu veux. Ou après. Comme tu le sens. - Ma main tient son dos, passant sous le t-shirt. Jdois dire qu'il y a des moyens sympas de libérer de la tension, bien plus efficace que parler. Mais ça reste une amie alors j’envisage de parler avant. Même si la tenue qu'elle porte me donne envie de tout sauf ça. Surtout depuis que ma main tombe sur l’absence de soutien gorge dans son dos. Liz a toujours su me dérider sans parler. On le fait certes mais elle est plus efficace ailleurs et moi aussi. Et elle se fout royalement que je puisse ne pas avoir envie de parler émotions. Emmerdes etc. Mais si elle va pas, c'est différent. On est amis et parfois le sexe doit passer après. J'aime moins. Est ce que j'ai déjà envisagé d’aller plus loin ? Non. Je sais qu'elle ne cherche pas ça pas plus que je cherche. La complication je l'ai déjà. Si je m'engage, je finirai par avoir une personne de plus sur le dos et j’en ai assez. Avec liz je respire. Je joue pas. Jsuis juste un ami qui aime l’envoyer chopper les rideaux. Je finis par la lâcher et aller m’assoir sur le canapé. L’avantage c'est que si elle veut parler. Ou pas. On est au bon endroit. J’enlève mon atelle qui me compresse la jambe et me gonfle. - J’aime la tenue. - Que je sors en jouant avec le tissu de son top. J'aime ce qu'il n’y a pas surtout. Mais j’attend de savoir la suite des événements avant d’aller y foutre la main.
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Liz + just free us from all that Empty
MessageSujet: Re: Liz + just free us from all that   Liz + just free us from all that EmptyVen 23 Fév - 20:09

just free us from all that
Josh & Lis
••••

   
Je n’avais pas eu besoin d’attendre bien longtemps avant que Josh ne réponde à son téléphone. La première sonnerie, vraiment ! Je m’étais empressée de lui demander si je pouvais faire un saut par chez lui. Ca faisait un moment que je n’avais pas pris le temps de lui rendre visite et avec la disparition de Scott, je ressentais ce besoin de faire la tournée des maisons de mes plus proches amis afin de m’assurer qu’ils se portaient bien. Qu’ils n’avaient pas eux aussi disparu, qu’ils étaient bel et bien en vie. Je n’étais pas une amie idéale, j’en avais conscience et je pense qu’en fait, mes amis aussi en ont aussi conscience. Je ne suis pratiquement jamais en ville, toujours en train de déconner et surement pas la personne à qui l’ont ne pouvait aisément se confier. Ce n’est pas que je me fiche de leurs états d’âmes, loin de là ! Je n’ai juste jamais été fichue de savoir quoi leur dire, quoi leur conseiller face à tel ou tel problèmes ou encore être cette épaule sur laquelle venir pleurer. Vraiment pas l’amie idéale mais quand l’un d’eux appelait, je répondais toujours présente. Tout comme Josh, ce soir, répondait présent. Il remarquait que quelque chose n’allait pas et j’avais presque envie de lui dire d’oublier cette idée. Que l’envie de passer le voir m’étais soudainement passé ou que je venais de me rappeler que j’avais un truc au four. Entre autre choses puisque tout le monde savait que je ne cuisinais jamais et qu’en plus de ça, j’étais une vraie calamité quand j’osais me risquer à essayer. Mais le brun m’avait coupé dans mon élan en me disant qu’en autre qu’il s’était blessé lors de sa dernière mission. « Putain, qui t’as dit de faire un métier dangereux ? J’arrive ! », Qu’on soit d’accord, j’étais seulement énervée parce que j’étais inquiète.

J’avais enfilé un jeans noir dont les nombreux trous ne témoignaient pas de l’usure mais de ma dernière virée shopping avec Solora. Un top et une veste en cuir de la même couleur. Mon écharpe rouge s’accordait à ma Susie, ma fidèle Mustang d’époque. J’arrivais à destination assez rapidement. J’avais peut-être grillé au passage deux feux ou trois et insulter quelques automobilistes. Peut-être. Quatre à quatre, je grimpais les étages vers l’appartement de mon ami. Je n’avais jamais aimé prendre l’ascenseur quand j’étais préoccupée. Je suppose que j’ai toujours besoin de m’occuper pour ne pas penser. Ne pas penser à la gravité des blessures de Josh. Ne pas penser à Derrick dont le comportement lui faisait très peur, ne pas penser à Jared qui s’était fait déserté par son frère ou à Scott. Au fait qu’il est probablement mort et qu’en plus qu’il est fallu qu’il meurt seul. Non, il ne valait mieux pas penser. Ce n’était jamais bon de trop penser. Elle cognait à la porte de son ami et après un temps d’attente bien trop long à son goût, la porte s’ouvrait enfin mais j’étais déjà allé me perdre dans toutes ces choses auquel je m’interdisais de penser. Je ressassais encore et encore la même chose dans ma tête et j’avais plus que tout besoin que cela cesse. Là, devant moi se tenait le beau brun. Adossé au mur tel un adonis avec son putain de bras plâtré et sa jambe en attelle. Je croisais les bras sur ma poitrine en secouant la tête. « Au moins, t’as pas abimé le visage.Même si t'as quand même une sale gueule», j’étais toujours agacée mais j’avais décidé qu’il y avait eu plus de peur que de mal et qu’il valait mieux rire de cette situation. Je n’étais pas la nana qu’on appelait pour faire dans le lyrisme ou la profondeur. Vraiment pas.

Soudain, il m’avait attiré par la taille à lui. J’avais levé la tête pour planter mon regardant dans le sien et je ne me retenais pas de lever les yeux au ciel à sa question. A croire que j’étais un putain de livre ouvert. « Ca va ! J’étais juste devant un porno et j’avais besoin qu’on me fasse jouir puisque je n’étais pas fichu d’y arriver toute seule. », ma langue passait sur mes lèvres, les humecter. La main du brun avait trouvé son chemin sous mon top, parcourant doucement mon dos, à même la peau. J’avais besoin de ça. J’avais besoin de ressentir chaleur et désir. J’avais besoin de me sentir vivre. Ne plus penser à rien qu’un un instant, un seul. Je savais que je pouvais lui parler à Josh, lui dire ce que j’avais sur le cœur mais je ne faisais pas parti de ces gens qui se sentaient mieux après une bonne discussion. Je ne l’avais jamais été ou ne le suis plus depuis trop longtemps pour me rappeler de comment on fait. « Et t’es l’heureux élu. », j’avais souris et l’avait suivis jusqu’au canapé, fermant la porte d’entrée derrière moi au passage. Sur le mobilier ou à même le sol. Pour baiser, ça ne m’a jamais importé. Je déroulais mon écharpe pour le jeter sur la table basse. Josh savait à quoi s’attendre en m’invitant chez lui. Je n’étais pas que bordélique chez moi. Le brun jouait avec le tissus de mon t-shirt et moi pendant qu’il me complimentait sur ma tenue, je me débarrassais de ma veste pour l’envoyer rejoindre mon écharpe. J’avais un petit sourire au coin de mes lèvres. Amusé, provocateur. « Alors déshabilles-moi et raconte-moi en même temps pourquoi est-ce que tu dois à présent le faire que d’une main. », je savais m’organisé qu’en cas d’extrême urgence. Et là, entre mes cuisses, ça urgeait. J’étais une amie pourrie, on l’avait déjà établi, ça.

   

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by Wiise
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Liz + just free us from all that Empty
MessageSujet: Re: Liz + just free us from all that   Liz + just free us from all that EmptySam 24 Fév - 16:32

Un métier dangereux ? C’est marrant comment les gens passaient de “ ton job est admirable, noble” et tout le reste à “ mais t’es suicidaire” selon la situation. Toute carrière a ses avantages et ses inconvénient et on choisissait bien conscient des deux. On était censé embrasser le tout, mais ça restait humain. Fallait bien blâmer quelqu’un. Tu fronçais un sourcil avant de dire ok et de raccrocher. Tu savais que ce job serait surement ta perte un jour mais on doit bien mourir de quelque chose non ? Et que vaut la vie si on la vit pas aussi fort qu’on peut sans se retourner, sans regretter. C’était plus ou moins ta philo. Elle remarque que ton visage a pas pris de débris. Tu souris, certes, ça t’aurait emmerdé de plus ressembler à rien. on ajoute que pour sauver des gens le mieux est de ne pas les faire fuir dans l’autre sens. On aime se dire qu’on serait ouvert si c’était le cas, qu’on ferait abstraction. La vérité ? On était tous un jour celui qu’on reproche aux autres d’être. - Mon visage hein ? - Que tu dis avec un sourire fin, un ptit clin d’oeil mutin. Les longs discours, pas besoin. perte de temps. Son regard se plante dans les tiens et on s’attend à y voir un truc profond, qui transporte, et au lieu de cela, tu ris, tu éclates de rire. Tu te doutais bien sur qu’elle sortirait un truc dans le genre. On a tant de carcans différents, ici, on s’en libère. les bonnes manières, le bon sens, oublié, jeté au loin. On oublie, on nie, on fait fi de ce qui entoure nos vis. - T’aurais perdu la main ? je n’ose le croire. - Que tu dis toujours mutin. Elle commençait déjà à changer ton appart rangé en foutoir sans nom, juste une écharpe, avec elle, ce n’était que le début de la fin, et le début des festivités. Peu importait les raisons. Personne ne demanderais pourquoi. Personne n’avait envie de savoir. La veste suivit le chemin et tes yeux suivent du regard celle ci. ses lèvres s’étirent en un fin sourire qui remue des choses, qui te donne envie de changer les positions actuelles, de poser chaque doigts sur sa peau, et d’en faire ton terrain de jeu de l’instant. Le plus étonnant et entraînant, envoûtant, une explosion , une tempête, une catastrophe naturelle pouvait bien arriver, vous êtes aveugle au reste du monde. L’oubli. Sans perdre de temps elle t’intimait de te décider, de ne pas la faire attendre. Tu la pousses du doigt, n’attends plus de feu vert et retires d’une main son top qui rejoint ses amis sur le sol - ou ailleurs - puis joue de tes doigts sur son ventre. Tu n’as pas dit que tu serait aussi empressé, un peu de torture ne fait pas de mal, si ? - Une poutre. - Que tu dis en rejoignant finalement son ventre avec ta langue. - Qui est tombée. -  Que tu ajoutes en embrassant sa peau et en remontant vers sa poitrine. - Et voilà. - C’était pas détaillé mais tu avais l’esprit occupé, là de suite. Tu te relevais, jurais dans ta barbe trop fin pour le faire. - Tu m’aides ? - Que tu demandes, un sourire, faux, sur sur le visage. Tu détestes devoir le demander, mais tu ne l’avoueras pas, tu feras passer ça comme une règle du jeu. Une règle que tu ne viens pas d’inventer. Être faible, t’es allergique, alors tu prétends que tout ira bien. Tu t’étonnais d’en avoir tant dit à Megara d’ailleurs. Tu es au dessus d’elle, mais pas allongé, tu peux pas, ton genou ne te le permets pas. Mais tu comptes bien insuffler ce que ça te fait ressentir sur son corps. Tes frustrations. Ta colère. Tu sais que si vous voulez vraiment vous amuser, tu vas devoir remettre l'attelle. Et te faire mal. Mais tu n’as pas envie de reculer. Le repos est le pire des traitements pour toi, l‘oisiveté, pareil. Elle fait partie des remèdes. Son corps. Reste à savoir comment s’y prendre.[/i][/i]
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MessageSujet: Re: Liz + just free us from all that   Liz + just free us from all that Empty

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