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 Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd]

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MessageSujet: Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd]   Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd] EmptyDim 5 Nov - 13:01

Les cours venaient de se terminer pour le jeune garçon, il avait donc quitté l'enceinte du lycée pour partir à la recherche de son logis pour la nuit. Depuis son arrivée à Washington, il n'avait pas trouvé d'endroits fixes pour dormir, alors il arpentait les rues chaque soir afin de savoir où il pourrait fermer l'oeil ne serait-ce que quelques minutes.

Il avait toujours avec lui son sac de voyage comme il aimait l'appeler, tandis que tous les autres lycéens avaient un sac de cours, lui c'est là-dedans qu'il mettait le peu d'affaires qu'il avait pris de chez lui avant d'aller en foyer. Et c'est ces mêmes affaires qui l'avaient suivi jusqu'à temps qu'il ne fugue pour venir ici retrouver cet homme qui lui avait donné la vie sans même le savoir. Est-ce qu'il allait le rejeter ? Est-ce qu'il allait prendre le temps de l'écouter ? Autant de questions qu'il se posait mais auxquelles il n'avait jamais trouvé de réponses.

Plusieurs heures se sont écoulées et Johan n'a toujours pas trouvé d'endroit où dormir. Prenant soin de ne pas dormir juste à côté de lycée de peur de se faire repérer. Il avait fait le tour du quartier où il avait trouvé plusieurs hommes comme lui, sans travail, sans domicile, à la rue. Il avait trouvé une technique pour pouvoir se laver, il utilisait les douches dans les vestiaires afin d'être un minimum propre.

Traînant son sac sur son épaule, la nuit était désormais tombée, Johan arpentait les rues sombres et parfois mal fréquentées. Ce ne serait pas la première fois qu'il tombe sur des dealers ou même des policiers. Pour ne pas avoir de problèmes, il avait simplement mis la capuche de son sweat sur sa tête. Une épicerie faisait le coin d'une rue, après avoir observé quelques instants les mouvements des personnes présentes, il s'approcha et prit quelques fruits présents sur les étalages à l'extérieur avant de s'enfuir le pas pressé mais sans courrir. Cela faisait plusieurs heures qu'il n'avait pas mangé, il était affamé.

Un peu plus loin, il repéra station de métro. Quoi de mieux pour se protéger de la pluie et du vent ? Johan pénètre dans le tunnel où quelques courants d'air viennent chatouiller son visage sous sa capuche. S'assurant qu'il n'y ai pas de policiers, il s'installe à sur une des places, son sac contre lui et se met à manger les fruits qu'il a volé plus tôt, avant que de pouvoir s'installer réellement quand la station se sera vidée un peu plus.
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Devon Floyd
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MessageSujet: Re: Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd]   Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd] EmptyLun 11 Déc - 5:31

Johan & Devon

we've got to help each other

Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse
Perché sur mes échasses, je quittais le club, il était rare que je travaille de fin de journée, travaillant davantage de nuit, mais puisque j’avais dû remplacer une des filles, je n’avais pas rechigné à l’idée de me faire un peu plus d’argent. Devant le club, je regardais mon portable pour voir quelques sms, certain m’invitant à venir faire la fête, d’autre plus explicite, le genre de chose qui aurait fait rougir bien des gens. Je laissais mes doigts pianoter pour répondre à la plupart, qui furent aussitôt répondu de nouveau. Plusieurs échanges plus tard, je me mettais à marcher pour retourner vers mon appartement. Le soleil a son zénith baignait la ville dans une peinture crépusculaire. Je n’avais jamais vraiment pris le temps de regarder les couleurs de Washington, c’était pourtant un moment unique à chaque jour. Les gens – moi comprise – oubliaient de prendre le temps de regarder ce qui les entourent. Je restais donc un peu plus longtemps sans bouger devant un carrefour, le regard rivé sur le ciel qui s’assombrissait de plus en plus. Je ne pouvais pas rester des heures ainsi, je me décidais donc à poursuivre ma route. Une route qui me menait près d’une petite épicerie. Avant que je n’y entre, je remarquais un gamin subtiliser quelques fruits avant de s’enfuir. Une attitude que j’avais vu de nombreuse fois dans ma vie, autant avec les jeunes qu’on entraînait pour voler, autant par ceux que j’avais fait de nombreuse fois dans ma vie. Ce besoin de se nourrir, de simplement survivre. Devais-je me mêler de cela ? J’avais bien envie de dire que non et pourtant, je m’en sentais incapable. J’ignorais l’histoire de cet enfant, mais il y avait peu de temps j’étais moi aussi dans cette situation et cela pendant seize années de ma vie. Poussant un soupir, je me dirigeais vers l’épicerie, laissant tinter la clochette pour prévenir que quelqu’un entrait ou bien sortait. Sans dire un mot, je me dirigeais vers les réfrigérateurs et je prenais deux sandwichs, j’achetais quelques petits trucs de plus avant de payer mes achats pour finalement sortir de l’endroit mon fourre-tout rempli de toute sorte d’aliment. N’ayant pas suivi le garçon, j’ignorais où il pouvait se trouver bien que j’avais remarqué la direction qu’il avait choisi d’emprunter. Je prenais donc celle-ci, me disant que je n’avais pas une seule chance de le retrouver. Au bout de quelques minutes sans croiser la moindre personne, j’abandonnais ma recherche, prenant la direction du métro. J’avais hâte de trouver le confort de chez moi, la chaleur de mon pyjama. Arrivant sur le quai, mon regard se posait sur une silhouette assise sur un banc. Je venais de passer une dizaine de minute à le chercher et je le trouvais aussi facilement. Un train arrivait, des gens montaient tandis que d’autre en sortaient. Des gens qui ne posaient aucun regard sur ce qui les entouraient. Aucun se demandant ce qu’un enfant pouvait bien faire seul dans cet endroit à une heure aussi tardive. Il aurait dû être chez lui. Ses parents auraient dû s’inquiéter pour lui. Sauf que je pouvais reconnaître un orphelin entre mille. M’approchant, je m’arrêtant devant lui, sortant de mon sac un sandwich emballé. « Tiens, ce sera plus consistant que les quelques fruits que tu as volés. » disais-je en lui adressant un sourire franc.
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MessageSujet: Re: Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd]   Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd] EmptyLun 18 Déc - 5:53

Au fur et à mesure que Johan découvrait cette ville dans laquelle il s'était exilé et plus sa terre natale lui manquait. Malgré le temps qui le séparait depuis qu'il avait quitté l'Allemagne, son accent le trahissait toujours autant, du moins pour les personnes qui avaient la chance d'entendre le son de sa voix, car ce n'est pas un privilège qu'il offrait à tout le monde. Non pas qu'il soit de nature sauvage, mais il était bien souvent dans sa bulle et se mêler aux autres n'étaient pas dans ses habitudes, bien qu'il y était parfois obligé. Johan c'est le genre de gamin qu'il se rend facilement invisible, même s'il est présent physiquement, on oublie presque qu'il est dans la pièce puisqu'il ne s'installe dans un coin et se contente de suivre la scène qui se joue sous ses yeux. Comme s'il était spectateur de sa propre vie. Et ce depuis bien trop d'années.


Encore une fois, l'allemand ne s'était pas rendu au lycée, il avait erré dans la rue toute la journée tout en poursuivant ses recherches concernant son père biologique, mais toujours le néant. Il faudrait qu'il arrive à se résoudre que finalement, il ne le retrouvera jamais. Était-il possible qu'il puisse le retrouver dans cette ville bondée, avec des personnes qui courent dans tous les sens et qui ne prennent pas le temps de vivre. Pour lui, il avait du temps à tuer, beaucoup trop d'ailleurs, et c'est pour cette raison qu'il essayait de l'occuper au maximum en se refusant dans un café non loin de son établissement scolaire, jusqu'à temps qu'on le vire ou bien jusqu'à ce qu'il soit forcé de partir afin de trouver sa chambre au confort exceptionnel pour la nuit.


Une fois de plus, Johan n'avait quasiment rien mangé depuis la veille. Il avait donc fait un petit détour par le centre ville où il savait que certains commerces étaient ouverts et donc qu'il pourrait se servir, même s'il n'aimait pas agir de la sorte. Malgré ses principes, il était obligé d'en enfreindre certains s'il voulait pouvoir voir le jour se lever tous les matins, et ce n'était pas forcément les meilleurs choix qu'il est fait. Tout comme celui de se réfugier dans la drogue, pensant que ça le tiendrait en rythme, si seulement il avait su.


Après avoir pris de quoi manger, il partit s'installer dans une station de métro. Restant immobile quelques minutes avant de s'assurer qu'il n'avait pas été repéré, qu'aucun policier ne lui courait après. Quand il en fut assuré, il alla s'installer en attendant que le temps passe pour qu'il puisse espérer commencer sa nuit, ou du moins les quelques heures qui le séparaient de son réveil. Dans sa situation, il lui était impossible de dormir paisiblement sur ses deux oreilles, sinon c'était sa perte assurée. 


Soudain, une jeune femme se planta devant lui, pensant qu'elle allait prendre la rame, il ne releva pas la tête, jusqu'au moment où elle s'adressa à lui en lui tendant un paquet de sandwichs. Son instinct de survie aurait voulu qu'il s'en empare et les dévore, mais sa personnalité faisait qu'il était plutôt réservé et restait constamment sur ses gardes. Jaugeant du regard la jeune femme, il ne savait pas vraiment comment réagir, partagé entre l'envie de se remplir l'estomac et la peur qu'elle ne soit là que pour lui attirer des ennuis. Ses yeux bleus se firent insistant, comme s'il cherchait à obtenir une réponse muette. Un coup d'oeil de chaque côté afin de s'assurer qu'elle était bien seule, malgré cela, il ne pouvait affirmer qu'elle l'était réellement.
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MessageSujet: Re: Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd]   Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd] EmptyJeu 4 Jan - 3:39

Johan & Devon

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Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse
La survie. Un sentiment que j’avais longtemps mis en avant dans ma vie. Pourchasser par quelque chose dont j’ignorais l’existence concrète. Un sentiment régit par la peur, créé par un homme qui avait une main mise sur moi.  J’avais passé ma vie fuir à l’autorité. Croyant que ces gens ne me voudraient que du mal. Je volais autant pour le plaisir d’un homme qui n’avait aucun respect pour moi que pour le simple fait de vivre. La nourriture, je la trouvais comme je pouvais. Parfois c’était peu, beaucoup trop peu. D’autrefois, je pouvais me nourrir un peu plus adéquatement. Mais je n’avais jamais eu la chance de manger à ma faim, jusqu’à rencontrer Jared. J’étais passé d’un extrême à l’autre avec lui. Vivant dans la rue, j’avais trouvé le confort d’un foyer, la chaleur d’une personne qui ne vous utilisait pas simplement à des fins personnelles. Ma nouvelle vie avait commencé à la rencontre du trentenaire et depuis, elle semblait s’améliorer de jour en jour. Elle n’était certes pas parfaite, mais je ne cherchais pas à ce qu’elle le soit. Pour moi, elle avait atteint quelque chose de plaisant, j’avais des amis, un travail, un logis. Je ne volais plus. Il m’avait fallu deux ans environ pour me construire cette vie et même si la peur de voir Gaspard revenir dans le décor se faisait sentir, ça ne m’empêchait pas d’avancer. Et en voyant ce gamin voler m’avait tout simplement ramené quelques années en arrière. J’en oubliais presque qu’il n’y avait pas que nous, les enfants du cirque, qui étions dans le besoin. Je ne pouvais pas rester là sans rien faire. Bien que je n’eusse pas beaucoup de pouvoir face à ce genre de chose. Je n’allais certes pas crier sur tous les toits qu’il avait volé, ça ne lui attirait que des ennuis et rien de plus. Toutefois, j’étais persuadé que ce qu’il avait dérobé n’était pas suffisant. Faisant ce que je croyais juste, je réalisais bien que trop tard qu’il m’avait glissé entre les mains. Je ne pouvais pas faire grand-chose de plus qu’espérer qu’il avait un toit sur sa tête à cet instant ou la lune montrait son visage. Un hasard ? Je ne pouvais pas dire, mais je recroisais son chemin une fois arrivé au métro. Lui tendant le paquet de sandwich que je lui avais acheté, j’attendais qu’il me dise merci ou tout simplement le prenne. Il ne fit ni l’un ni l’autre. Pinçant mes lèvres, je pouvais comprendre, sans doute que j’aurais agi de la même façon si on m’avait offert de la nourriture ainsi. Sans suivre son regard, je comprenais ses pensées, du moins je déduisais qu’elle devait être comme celles que j’aurais autre fois tenue dans ce genre de situation. « Si tu te poses la question, je suis seule. » Je n’avais pas non plus l’apparence de quelqu’un qui se tenait avec les flics ou autre. « Tu peux donc les prendre si tu as faim. » l’encourageais-je en lui tendant de nouveau les sandwichs.
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MessageSujet: Re: Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd]   Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd] EmptySam 6 Jan - 12:44

Depuis le décès de sa mère, Johan avait été livré à vivre sa vie comme bon lui semblait. Si certaines personnes se seraient sans doute réjouit d'être libre et de pouvoir agir comme elles en avaient envie, ce n'était pas ce qu'avait désiré le garçon. Pas à cinq ans en tout cas. Depuis toutes ces années, il avait été baladé au gré du vent entre les foyers, ne se sentant jamais chez lui peu importe dans quelle famille il était placé. Il ne tenait jamais plus d'une semaine, alors il avait passé les trois quarts de son enfance dans un foyer pour jeunes, où la  seule manière de survivre c'est de respecter la loi du plus fort. Il s'était toujours fait écrasé par les autres, il s'était alors créé une bulle dans laquelle il vivait encore aujourd'hui.


Au vu de sa situation, le jeune garçon avait fait des choux qu'il regrettait, mais s'il voulait continuer à voir le jour se lever tous les matins, alors les décisions qu'il avait prise étaient les bonnes. Ce n'était clairement pas une vie pour un gosse de son âge, tous les matins une seule question lui brûlait l'esprit, où allait-il dormir le soir même. Voilà sa plus grande préoccupation pendant que d'autres enfants s'inquiétaient de savoir si le père noël allait leur apporter tout ce qu'ils avaient commandés. Tout cela était à des lieux des pensées de Johan.


C'est donc comme tous les soirs qu'il était parti à la recherche d'un endroit où dormir, jusqu'au moment où son ventre lui rappela qu'il n'avait rien ingurgité depuis quelques temps, alors, il avait prit l'habitude de se faire discret et de prendre quelques fruits sur les étalages des commerçants. Ce n'était pas ce qui le calait le plus, mais ça avait au moins l'intérêt de boucher une case dans son estomac. Avec le temps, Johan avait appris à se contenter de rien ou très peu. Le confort d'un mit, d'une cheminée qui crépite, tout ça il ne connaît pas, et pourtant au fond de lui, il aimerait tellement avoir cette vie que d'autres enfants ont, mais qui donneraient tout pour s'en debarasser. Parfois il suffit de pas grand chose pour se rendre compte de la chance que certaines personnes ont, mais elles-mêmes n'en sont pas conscientes.


C'est au moment de s'installer dans la station de métro qui ne jeune femme débarque en lui adressant un paquet de sandwichs. Bien trop méfiant pour accepter sans s'assurer que cela n'est pas un piège. En vivant dans la rue, l'allemand a développé cette genre de paranoïa quotidienne. Pourquoi une femme voudrait lui venir en aide sans rien attendre en retour ? C'était ça sa plus grande interrogation. Il avait l impression qu'il ne méritait tout simplement pas qu'on s'intéresse à lui, jusqu'alors il s'était toujours fondu dans le paysage sans que personne ne soit choquée de voir un gosse d'une dizaine d'années traîner dans la rue en pleine nuit. 


Malgré la réponse de l'inconnue, Johan ne put s'empêcher d'examiner les lieux à la recherche de quelque chose de louche, après s'en être plus ou moins assuré, il planta ses yeux bleu dans les siens comme s'il cherchait à communiquer sans savoir comment faire. Il finit par accepter le paquet, prit un sandwich et le termina en quelques secondes seulement. Avait-il vraiment le droit de faire une telle chose ? Il en doutait mais son estomac lui, était plus que ravi que la jeune femme soit venue à sa rencontre.


" - Qu'est-ce que vous voulez en échange.. ?" murmura-t-il alors qu'il avait encore la bouche à moitié pleine.


Johan savait que rien n'était gratuit dans la vie, elle ne pouvait pas simplement lui être venu en aide sans avoir une idée derrière la tête, c'était certain. Enfin, c'était la vision des choses qu'il avait au vu de sa situation actuelle.
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MessageSujet: Re: Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd]   Demander de l'aide n'est pas signe de faiblesse [Feat. Devon Floyd] Empty

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