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 {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]

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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptyJeu 12 Oct - 3:32

Tout était en train de se mélanger dans l'esprit de la jeune femme, tout tournait sans pour autant qu'elle arrive à faire le tri dans ce qui se passait dans sa tête. Joyce redoutait de voir partir Tommy, encore plus depuis qu'il l'avait vu avec cette femme. En réalité, c'est dans ce genre de moment qu'elle se rend compte d'à quel point elle l'aime, à quel point il est toute sa vie. Elle avait peur, peur que tout cela du jour au lendemain et qu'elle se retrouve seule avec un enfant sur les bras. Mais une fois de plus, elle taisait tout cela de peur de faire redondant.

Dans le passé, elle avait déjà fait part de ses doutes sur leur relation, sur les autres femmes, tout cela avait déjà été abordé, mais probablement que Joyce n'arrivera jamais à se voir comme Tommy peut la voir. Elle se voit comme une simple personne sans intérêt quelconque, alors forcément, face à une femme sexy et désirable elle savait pertinnement qu'elle ne faisait pas le poids, voilà pourquoi elle se sentait en danger face à toutes ces femmes avec qui le jeune homme travaillait.

Après avoir hésité quelques instants, Joyce accepta la proposition de Tommy, mais sa valise n'était pas prête et puis, il y avait tellement de choses dans son esprit que prendre l'air, dans une ville qu'elle ne connaît pas ne pourrai sans doute pas lui faire du mal. Reste encore un point à éclairer, celui de sa secrétaire. La question était simple, bien que s'il n'était pas attentif, il pouvait se demander de qui Joyce parlait. Heureusement pour elle, elle n'eut pas besoin de clarifier la question puisqu'il comprit le sens de cette dernière.

Dans un premier temps, Joyce fut heureuse en apprenant qu'elle serait seule avec son petit ami, elle ne viendrait pas, c'est tout ce qu'elle attendait, mais Tommy semblait désireux de lui confier autre chose. Il prit le temps de s'installer face à elle avant de poursuivre. À l'entente de sa phrase, la suédoise prit peur, c'était comme si le jeune homme cherchait à lui dire à quel point il l'appréciait, au lieu de ça, il la dénigra en pointant son travail du doigt.

" - Elle ne t'apportait même pas ton café ?"

Sur le coup, tellement soulagée, la blonde se permit même un petit trait d'humour qui disparut bien rapidement quand Tommy posa ses doigts sur son visage, la faisant frissonner. Ses yeux se perdirent dans ceux de son petit ami avant d'entendre ce qu'il avait à dire. Ses paroles eurent un écho dans l'esprit de la jeune femme. Elle ne comprit pas immédiatement de quoi il s'agissait, c'était comme si son cerveau triait automatiquement ce qui était positif de négatif, et qu'il ne retenait que le dernier. Toutes paroles positives avaient du mal à parvenir aux oreilles de la blonde, et quand c'était le cas, elle craignait de ne pas comprendre.

" - J'ai cru que.. Je suis désolée.. J'ai tellement peur que je perds totalement pieds.." avoua-t-elle confuse à son petit ami.

Si ce n'était pas une preuve d'amour, c'est vraiment que Joyce n'avait pas les yeux ouverts. Tommy venait de lui prouver qu'il l'aimait tellement qu'il désirait l'emmener avec lui en voyage d'affaires. Ça ne se refusait pas, même si elle redoutait un peu ce genre de moments, elle ignorait le déroulement des choses.

" - Je suis désolée d'avoir agit comme ça, c'est juste que.. Elle est mignonne et comme ces derniers temps je n'arrive pas à t'offrir ce dont tu as besoin, je me suis dis qu'elle saurait peut-être mieux te satisfaire que moi.."

Joyce avait peur que Tommy se lasse, qu'il finisse par ne plus supporter le fait qu'ils ne partagent quasiment plus de moments intimes et pour se consoler il se jeterai dans les bras de la première venue. Elle ne pourrait pas vraiment lui en vouloir, il a des besoins, comme tout homme, et elle est incapable de les combler.

" - Je t'aime aussi mon amour.." fot-elle en parcourant le peu de distance qui les séparait pour venir se blottir contre lui et laisser ses larmes rouler le long de ses joues.

La tension entre eux était désormais désamorcée, le meilleur était devant eux.
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A. Daryl Reeves
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptyJeu 12 Oct - 13:20

Joyce & Tommy
La vérité est parfois dure à entendre


Lorsque je vins à dire à ma petite-amie que ma secrétaire n’allait pas nous accompagner dans ce voyage, j’assistai soudainement à quelque chose de rassurant et troublant à la fois. En effet, je vis soudainement son visage chasser toute peur, toute angoisse, laissant place à un air vraiment ravi à l’idée, je supposais, de venir à New York en ma compagnie. Plus encore, j’eus même droit à une petite remarque humoristique de la part de Joyce, alors qu’il y avait quelques secondes de ça, elle ne semblait guère en état de me faire un tel propos. C’était rassurant, parce que je la voyais soudainement se détendre, je sentais l’orage se dissiper, mais c’était aussi troublant, parce que j’avais cette impression affreuse que la présence de ma secrétaire l’avait vraiment déstabilisée, plus qu’une simple crise de jalousie envers sa remplaçante. Mais ça, je ne le lui fis pas remarquer, me contentant de simplement secouer la tête pour lui signifier que non, elle ne m’apportait même pas mon café. Elle ne savait même pas comment fonctionnait la machine à copier, rien du tout. Sauf que ça, je le gardai pour moi, me doutant bien que ce n’était pas le but de cette question. À la place, je m’assurai de terminer de la rassurer sur ce point, et je ne le regrettai pas, puisque peu de temps après, j’eus droit à ses excuses, à la raison pour laquelle elle avait eu cette réaction si déstabilisante. Déglutissant, je m’en voulus limite d’avoir cru qu’elle me voulait du mal ou qu’elle pouvait penser du mal de ma personne. Enfin, peut-être que j’étais naïf et que oui, elle pensait que je serais capable du pire avec elle un jour, mais j’avais envie de me dire que ce n’était là que des craintes qui étaient exagérées. J’en avais aussi parfois, alors je ne pouvais pas tant la blâmer pour ça. Plus encore, je sus que je ne pouvais pas lui en vouloir quand elle continua son discours, quand elle en vint à m’avouer qu’elle se sentait dégradée à côté d’elle, au point qu’elle craignait que je doive voir ailleurs pour combler mes besoins. Pinçant les lèvres, histoire de ne pas dire quelque chose de trop léger que je pourrais regretter, je réfléchis, tandis qu’elle était là, dans mes bras, et que tant bien que mal, je tentais de la réconforter en la serrant contre moi et en caressant son dos. Parce que mine de rien, Joyce tenait un point; depuis que le médecin avait recommandé du repos pour ma petite-amie afin que sa grossesse se passe bien, peu de fois, nous nous étions retrouvés à se rapprocher intimement comme nous avions l’habitude de le faire avant. Et pour ça, je devais admettre que j’étais le premier fautif, dans le sens où oui, j’avais des envies, mais chaque fois, je les réprimais, parce que je ne voulais pas la fatiguer, parce que je ne voulais pas lui faire de mal et affecter sa grossesse. Mais jamais elle ne semblait s’en être plaint, sauf que là, ça semblait sortir tout d’un coup, d’une façon triste, qui me fendit le coeur une nouvelle fois. Fermant les yeux un instant, je m’accordai un dernier temps de réflexion, et je finis par lui dire:  « Tout ce dont j’ai besoin, c’est que tu sois là… » J’avais failli dire que je voulais aussi qu’elle soit heureuse en tout temps, et je le pensais vraiment, mais conscient que c’était loin d’être facile ces derniers temps, je me ravisai. À la place, je lui dis:  « Tu sais ce que c’est, le meilleur moment de ma journée, quand je vais au bureau ? » Je marquai une pause naturelle suite à ma question, et j’ajoutai:  « C’est de rentrer à la maison, t’embrasser, te prendre dans mes bras, parler… » Puis, instinctivement, comme ce l’était devenu ces derniers temps, je glissai une main sur son ventre arrondi et visible désormais, et je dis:  « Passer ma main juste ici, comme ça, en espérant de le sentir bouger à un moment ou un autre… Ou juste pour sentir ton ventre sous ma main, parce que je le trouve terriblement mignon… » Jamais je ne lui avais fait une telle confession avant, puisque je me surprenais moi-même à penser ainsi. Non pas que je pensais que la grossesse ne lui irait pas bien ou que je trouverais ça moche, mais jamais je ne pensais tant m’extasier devant son corps changeant, et cela dépassait le simple fait que sa poitrine était encore et toujours en train de prendre du volume - je l’appréciais mais bon, il n’y avait pas que ça. Ça faisait un moment que je pensais ainsi, et je regrettais de ne pas lui avoir dit avant, de ne pas lui avoir dit tout ça avant. Le réalisant maintenant, je finis par ajouter:  « Et tout ça, je le pense à chaque jour… Et chaque fois que je ne suis pas là, tu me manques, chaque fois… Je suis désolé de ne pas te l’avoir dit avant… » Je terminai mon discours sur ces mots, histoire de ne plus sombrer dans le sérieux et la tristesse, espérant voir une éclaircie dans cette tempête suite à tout ça.
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptyVen 13 Oct - 14:21

L'annonce de Tommy ravie de la suédoise, savoir qu'ils seront seuls là-bas, sans concurrentes direct contre laquelle elle serai obligée de se battre. Immédiatement, le visage de la jeune femme se détendit et elle eut même un petit sourire au coin des lèvres. Joyce se permit même un petit trait d'humour, comme si la scène à laquelle elle avait assisté quelques temps plus tôt, était oubliée.

Au fond, elle ne l'était pas, mais elle se rendait compte qu'elle avait jugé trop rapidement, et que maintenant qu'elle avait toutes les cartes en main, la situation était tout autre. Elle faisait confiance à Tommy, elle savait qu'il ne pourrait pas la blesser en allant voir ailleurs, mais il n'était pas infaillible, et certaines femmes savent parfaitement comment exploiter les faiblesses masculines.

Durant un instant, Joyce se demandait tout de même comment les ressources humaines avaient fait leur travail. Embauchée une bonne à rien comme elle, puisque c'est ce qu'elle semblait être en écoutant les propos de son petit ami, n'avait aucun intérêt, autant pour l'entreprise que pour elle, puis soudain, elle s'en voulait presque d'avoir dû quitter son poste. Et si elle revenait ? Bien que cela soit contraire à l'avis que le medecin avait donné quand il était venu.

La peur que Tommy aille voir ailleurs n'était pas une lubie, elle savait que ça pouvait arriver, et en soit, elle ne lui voudrait pas. Il ne resre qu'un homme avait des besoins et des envies. Tout ce que Joyce est incapable de lui offrir depuis plusieurs semaines.. Alors oui, peut-être qu'il a opté pour l'option individuelle et qu'il se procure du bien seul, mais cela n'empêche que le contact humain reste la meilleure option. Voilà pourquoi elle avait jugé nécessaire de le dire à son compagnon, de lui faire part de ce qui la travaillait tant que ça, à point d'en tirer des conclusions hâtives. Elle s'en voulait d'avoir été aussi stupide, de ne pas chercher à comprendre avant de tout de même penser au pire, mais elle ne pouvait s'empêcher d'être pessimiste, et encore plus quand il était question d'elle.

Blottie dans les bras de son homme, elle secoua la tête quand il lui demanda ce qu'il préférait comme moment de la journée. Celui où il était seul au bureau ? Celui où il rentrait le soir et qu'il n'avait plus qu'à mettre les pieds sous la table puisque Joyce avait tout préparé ? Elle n'avait aucune idée du moment qu'il préférait dans sa journée de travail, alors elle l'écouta lui répondre et ce qu'il lui dit touchait réellement la blondinette.

La raison pour laquelle ce moment était différent et si touchant c'est parce que Tommy ne s'était jamais perdu dans des confessions telles que celles qu'il était en train de faire à Joyce, et bien que tout cela paraisse quelque peu naturel, l'entendre c'est de ça dont avait besoin la jeune femme. Se sentir rassurer c'est une chose, mais que son petit ami lui confie de telles choses en ai une autre, et inconsciemment, c'est de ça dont elle avait besoin. Le fait d'être rassurée en permanence était un des plus gros défauts de la blonde, mais son passé lui avait retiré toute sa confiance en elle, et elle devait la regagner petit à petit.

" - Je t'aime tellement si tu savais.. Je.. Je suis désolée pour tout ça.. Je suis désolée de te rendre la vie plus compliquée.. Mais avec toi, j'ai l'impression que je peux surmonter tous les obstacles, je me sens en sécurité et je n'ai jamais été aussi épanouie avec un homme comme je le suis avec toi."

Joyce non plus n'avait jamais fait part de tout cela à son petit ami, c'était l'occasion de tout mettre à plat et de faire part des non-dit. Et pour clôturer le tout, la jeune femme déposa ses lèvres sur celles de son amant avec passion et fougue, comme pour lui faire comprendre à quel point elle l'aimait et qu'elle le désirait.

Tout ses doutes concernant Eliott et le reste, elle ne voulait pas l'aborder maintenant, elle ne voulait pas gâcher ce moment entre eux. Chaque chose en son temps comme on dit, et ce n'est pas le moment.
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 2:25

Joyce & Tommy
La vérité est parfois dure à entendre


Le fait que je n’aie jamais dit à Joyce ce que je ressentais quand je rentrais à la maison et que je la retrouvais ne voulait pas dire que je ne le pensais pas pour autant. Au contraire, je le pensais au plus profond de moi-même, à un tel point que j’avais toujours cru que c’était une évidence, une évidence pour moi, et aussi une évidence pour elle par la même occasion, parce que je ne pensais pas qu’à quelconque moment j’avais fait preuve d’un comportement contraire. Bien sûr, je n’avais pas cessé toute marque d’affection à son égard pour autant, et je pensais que ça viendrait compenser, mais je me rendais compte que non, ce n’était pas suffisant, pas pour Joyce, pas en ces circonstances en tout cas. Au fur et à mesure que la conversation avançait, que je voyais son regard s’adoucir, que je la sentais se calmer au fur et à mesure que je progressais dans mes propos, je me rendais compte qu’en fait, Joyce en avait besoin. Je savais depuis un moment qu’elle avait besoin d’être rassurée et qu’elle se devait de savoir qu’elle n’avait pas de raisons de se dégrader, mais je n’avais pas encore capté que ce besoin était encore plus réel, encore plus urgent dans le cas présent. Je n’allais pas le nier, je m’en voulais de ne pas l’avoir vu plus tôt, de ne pas avoir géré la situation pour faire en sorte que nous n’aurions pas eu cette dispute ici et maintenant, même si là, je ne pouvais rien y faire, sauf peut-être me conforter dans l’idée que j’y étais parvenu, et que la tempête était maintenant calmée. Calmée parce que maintenant, j’étais en train de retrouver la femme que j’aimais voir heureuse, que j’aimais voir se sentir bien quand j’étais là. Je n’exigeais pas qu’elle en vienne à me dire à quel point elle était épanouie en ma compagnie - même si je ne m’en plaignais pas - mais simplement être rassuré comme quoi je pouvais la rendre heureuse, malgré les difficultés, m’était bien suffisant. Ce fut tout juste ce qu’elle m’offrit avec ses mots, mots qui m’arrachèrent un petit sourire. Ce dernier ne resta pas bien longtemps sur mon visage en revanche, puisque bien rapidement, elle vint capter mon attention de nouveau, cette fois-ci avec un baiser. Et celui-ci ne fut pas complètement banal, dans le sens où ce n’était pas un baiser sans suite comme ceux que nous échangions ces derniers temps. Non pas par manque d’affection, mais parce que nous savions l’un comme l’autre que ce n’était pas le moment de chercher quoi que ce soit d’autre. Sauf que là, c’était différent, et c’était si réconfortant que je ne pus m’empêcher de le prolonger tout en la serrant un peu plus dans mes bras, comme j’aimais tant le faire. Cependant, je savais aussi que bien souvent, un simple baiser comme cela pouvait mener à autre chose, quelque chose de plus intime, quelque chose que nous ne pouvions probablement pas nous permettre en ce moment, même si ce n’était pas l’envie qui manquait. À ce moment, je dus donc me faire violence, même si je ne le fis bien sûr pas du tout brusquement, me contentant de simplement détacher mes lèvres de celles de ma petite-amie une fois que le baiser prit naturellement fin, puis une fois que je me fus décalé suffisamment pour pouvoir la regarder tendrement de nouveau, je ne cherchai pas autre chose, je n’attendis pas quoi que ce soit d’autre de sa part. Plus encore, je me dis que changer un peu le sujet ne serait pas de trop, d’où le fait que je lui proposai:  « Tu veux que je t’aide à préparer ta valise ? » Cela semblait un peu expéditif, mais si c’était chose faite, nous pourrions ensuite profiter de la soirée, d’une façon ou d’une autre. Tant que nous étions ensemble, cela me conviendrait parfaitement.
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 13:31

Joyce n'était pas un cadeau pour qui que ce soit, elle avait eu un passé assez difficile et son présent en était grandement affecté. Si souvent rabaissée, humiliée et dégradée, elle avait besoin de se sentir femme, de se sentir aimé et épaulé dans ce qu'elle faisait. Comme un enfant qu'on pourrait encourager parce qu'il a de bonnes notes à l'école. Le ressentir n'était pas suffisant pour elle, elle avait besoin de l'entendre, par des mots, ce que le jeune homme n'avait jamais fait mais elle ne pouvait le blâmer.

Tommy ne pouvait toujours agir avec Joyce comme avec une enfant, certes elle avait vécu certains traumatismes, mais c'était aussi à elle d'essayer d'avancer et de "grandir", même si ce n'était pas chose facile. Malgré cela, elle avait déjà passé pas mal d'étapes avec son compagnon, elle savait que ça allait continuer même s'il fallait du temps pour qu'elle se considère de manière positive. Peut-être que de l'aide au niveau psychologique pourrait lui être utile ? Il faudra qu'elle se renseigne, si ça peut permettre d'éviter des disputes puériles de avec son compagnon, elle était prête à essayer.

De son côté, Joyce avait du mal à parler de ses sentiments, elle est généralement plus démonstrative quand elle apprécie quelqu'un, et jusqu'ici, elle juge qu'elle a montré à Tommy ce qu'il représente à ses yeux, et pourtant, elle a cette impression que parfois les gestes ne suffisent pas, que parfois des mots ont besoin d'être prononcé pour que les choses soient totalement claires et sans ambiguïté. Alors elle décide de se lancer même si ce n'est pas simple, elle lui livre tout ce qu'elle a sur le coeur, tout ce qu'elle pense de leur couple malgré le fait qu'elle le lui ai déjà tenu ce genre de discours lors de la soirée de charité à laquelle elle avait assisté à ses côtés.

Toutes ces personnes semblaient faire plaisir à son homme au vu du sourire qui se dessina sur ses lèvres, il n'en fallu pas plus à la jeune femme pour plaquer ses lèvres sur les siennes. Un baiser bien différent de ceux précédemment échangés, un baiser qui en disait long sur les attentes de Joyce, et pourtant, Tommy mit fin au baiser comme s'il refusait ce que Joyce était en train de lui proposer, à savoir un moment intime comme ils avaient tous les deux besoin, ce genre de moment qu'ils n'avaient plus partagés depuis plusieurs semaines comme un vieux couple, eux qui étaient si complices avant la grossesse de Joyce.

Déçue mais sans le faire savoir, elle adressa un léger sourire à son petit ami avant de hocher la tête à sa proposition. Après tout, elle ignorait ce dont elle avait besoin hormis ses affaires de toilettes et surtout ses médicaments. Elle n'était jamais partie en voyage d'affaires, elle ignorait ce que ça impliquait réellement, est-ce que Tommy serait constamment avec des clients ? Est-ce qu'elle allait devoir l'attendre des heures et des heures avant de pouvoir se blottir contre lui pour s'endormir ? Elle n'en avait aucune idée, mais elle allait rapidement savoir dans quoi elle venait de s'engager en acceptant de l'accompagner.
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 14:07

Joyce & Tommy
La vérité est parfois dure à entendre


Au moment de se lever pour commencer à aller faire la valise de ma petite-amie, j’eus l’impression que cette dernière ne semblait pas trop encline à cette idée, qu’elle acceptait que par principe, et pas parce que ça lui faisait plaisir. Je dus admettre que cela m’étonna quelque peu, compte tenu du fait que quelques instants auparavant, elle semblait plutôt enjouée de m’accompagner dans ce voyage d’affaires, même si les circonstances pour le lui demander avaient été loin d’être idéales. Était-ce parce que je m’y étais pris trop rapidement ? Je ne pensais pas, puisque je ne me voyais pas tant lui proposer autre chose… Ou bien était-ce parce qu’elle aussi, elle avait des envies qu’elle réprimait et dont elle voulait me faire part au travers de ce baiser ? Aurais-je dû ce que je m’étais refuser de faire, soit tenter d’aller un peu plus loin, voir ce dont elle avait envie, et espérer pouvoir la combler ? Craignant que ce soit ça la réponse à mon interrogation silencieuse, je me retrouvai à m’en vouloir aussitôt, compte tenu du fait que bon, je n’allais pas le nier, même si je n’en parlais pas, parce que je ne voulais pas forcer ma jolie blonde à faire quoi que ce soit, sentir sa peau contre la mienne, échanger un moment intime avec elle, ça me manquait. Je faisais avec, et j’allais continuer de faire avec, parce que je la respectais, parce que je ne me voyais pas faire autrement et encore moins aller voir ailleurs. Ça, ça ne m’avait jamais traversé l’esprit. Peut-être que l’ancien Tommy l’aurait fait, peut-être il n’aurait pas tenu à sa relation tant que ça, mais maintenant, et grâce à elle, j’avais changé, et j’estimais désormais que c’était pour le mieux. Maintenant, c’était tout le contraire, je ferais tout pour préserver cette relation, même si cela signifiait me faire violence parfois, comme en ce moment. Ou peut-être que non, pas ici et maintenant ? Peut-être n’aurais-je pas dû ? Quelque peu frustré, je ne fus pas certain que je pouvais revenir sur le sujet, lui poser la question ou un truc du genre. Obligé d’assumer les conséquences de mon manque de perspicacité, je choisi de me diriger vers le placard, histoire de sortir une valise pour ma petite-amie, afin qu’elle ne soit pas obligée de se pencher ou fouiller parmi un paquet de sacs divers. Lorsque je me penchai pour le faire toutefois, je me rendis compte que quelque chose ne tournait pas tout à fait rond. Rien de grave, simplement une bosse qui s’était formée au niveau de mon entrejambe… Certainement lorsque nous étions au sol, et que je l’avais là, dans mes bras, avec la promesse de plus. Et décidément, cette envie n’était pas disparue malgré les circonstances, me faisant quelque peu grimacer. Parce que je ne pouvais le nier, le désavantage d’être un homme, c’était que l’envie, c’était visible… Bon, ça n’explosait pas non plus en ce moment, mais si Joyce était le moindrement perspicace, elle allait probablement s’en rendre compte. Et refusant qu’elle se fasse de fausses idées, je décidai de faire comme si de rien n’était, même si je fus obligé de me tourner vers elle pour lui dire:  « Je me rends surtout là-bas pour l’inauguration d’un nouveau bâtiment, et peut-être une réunion ou deux. Si ça se trouve, nous aurons le temps de faire autre chose pendant que nous serons là… » Autre chose ? Remarquant que mon propos était susceptible d’être rempli de sous-entendus, je fronçai les sourcils, et je tentai de me rattraper en ajoutant:  « Enfin… Je pourrai te faire visiter un peu… Si tu veux… » mais encore une fois je ne fus pas certain d’être des plus convaincants dans le cas présent.
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptySam 14 Oct - 23:57

Joyce n'était pas autrement que les autres, elle ne restait qu'un être humain, et un être humain a des besoins et des envies. Bien sûr qu'avec sa grossesse tout devient compliqué beaucoup trop rapidement mais ça ne l'empêche pas de désirer son petit ami de temps en temps. Jusqu'ici, elle n'a jamais vraiment eu envie parce qu'elle se sentait mal et que, elle savait qu'elle ne prendrait aucun plaisir à faire ce genre de choses, mais aujourd'hui c'était différent. Cela faisait longtemps qu'elle se retenait parce qu'elle avait cette sensation que Tommy ne la désirait plus depuis le début de sa grossesse. Était-ce seulement une impression ou bien c'était la vérité ? Elle n'en avait aucune idée, mais le tout était que son hypothèse semblait se confirmer.

Comme pour changer de sujet, il lui proposa de l'aider à préparer sa valise. Un peu d'aide ne lui ferait pas de mal, d'autant plus que le moindre geste qu'elle faisait la fatiguait, alors il se plia pour aller chercher la valise avant de lui donner. Joyce ne pouvait s'empêcher de se poser cette question fatidique, est-ce qu'elle était toujours désirable aux yeux de son petit ami ? Est-ce qu'elle serait capable de le faire succomber si elle mettait toutes les chances de son côté ? Elle eut sa réponse sans même la poser, puisque lorsque Tommy lui tendit la valise afin qu'elle commence à préparer ses affaires, elle remarqua immédiatement qu'il n'était pas insensible à son charme. Devait-elle en profiter ou au contraire laisser retomber les choses plutôt que de l'interpréter trop rapidement ? Par peur, elle préférait faire mine de ne rien avoir remarqué, peut-être que cela allait se faire naturellement, un peu plus tard. Et si elle passait à côté de sa chance ? Elle aura toujours d'autres occasions de combler son homme. Ne serait-ce qu'au réveil le matin.

En écoutant les propos de son petit ami, elle ne releva pas spécialement les sous-entendus qui s'étaient glissé parmi ses mots. Y'avait-il réellement des sous-entendus ou bien était-ce elle, qui par envie, interprétait ses propos comme une sorte d'invitation ? Par prudence, elle ne dit rien, elle se contenta simplement de sourire. Encore plus lorsqu'il lui proposa de visiter.

" - Ce sera acec plaisir, je ne connais pas du tout New-York.."

Les États-Unis lui étaient encore inconnu il y a quelque temps, tandis que son compagnon y avait grandi. C'était le moment pour elle d'apprendre à le connaître un peu plus, de savoir où il y a vécu, mais c'était aussi prendre le risque de raviver des souvenirs douloureux. Devait-elle prendre le risque ?

" - Tu as vécu longtemps à New-York ?" demanda-t-elle tout en mettant les affaires pliées dans sa valise.
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptyDim 15 Oct - 0:29

Joyce & Tommy
La vérité est parfois dure à entendre


Un petit sourire innocent se dessina sur mes lèvres au moment où Joyce accepta que je lui fasse visiter un peu la Grosse Pomme, même si au fond, je me posais quand même un paquet de questions. Est-ce que sa frustration n’avait pas lieu d’être finalement ? Ou bien était-elle déjà passée outre ? Avait-elle remarqué ce qui se passait de mon côté, ou elle faisait exprès de ne rien en faire ? Je devais avouer que rester dans l’abstrait ne me rendait pas des plus à l’aise, mais refusant de faire tout un cas pour ça, refusant de faire une dispute ou quelque chose du genre, je me dis que continuer la discussion serait susceptible de me changer les idées et, qui sait, peut-être finalement faire descendre la pression qui s’était formée dans mon pantalon, même si cela signifiait que ce serait, tristement, pour une prochaine fois, je ne savais pas quand. Gardant le silence par la suite donc, je me tournai une nouvelle fois pour prendre mon propre sac que j’avais à peu près préparé pour le voyage, sans toutefois qu’il ne soit totalement prêt. Me disant que c’était peut-être le moment pour m’y affairer également, je le déposai sur le lit, puis je commençai à chercher ce qui me manquait dans la commode. Et tandis que je faisais cela, j’écoutai la question de ma petite-amie, à laquelle je répondis, d’une façon plutôt neutre:  « Pas mal toute ma vie, je te dirais. » Sachant que ma réponse était loin d’être précise, et sachant aussi que je n’avais rien à cacher à la personne qui partageait ma vie, j’ajoutai:  « C’est là que je suis né et où j’ai grandi, parce que c’était là que se trouvait le siège social de l’entreprise, auparavant. Mais je passais tous mes étés en Californie. » Dans une maison qui ressemblait quelque peu à celle-ci, j’aurais pu préciser, mais je ne le fis pas, parce que je ne voulais pas complètement m’éloigner de la question non plus, puis, je conclus en disant:  « Mais on dirait que j’ai tellement vu la ville que changer d’air ne pas m’a tant gêné. Et puis, il n’en demeure pas moins que je la connais encore par coeur. » Et que jamais je ne pourrais la voir comme un touriste pouvait la voir, même si je ne niais pas que c’était une superbe ville avec ses atouts. D’ailleurs, j’avais mes endroits préférés, parfois même un peu clichés, mais ça, je le gardai encore pour moi, sachant que je pourrais lui montrer tout cela une fois que nous serions sur place. Pour le moment, tandis que j’attendais de voir si elle voulait en savoir plus, je continuai de ranger certaines choses dans ma valise, y compris certaines paires de chaussettes, sans me rendre compte que j’avais, au passage, attrapé celle où je cachais une petite boîte bien précise, qui se trouvait là depuis un bon moment maintenant. Tout naturellement, je terminai donc de tout fourrer dans mon sac, et une fois que j’eus terminé, je le bouclai, puis je le déposai non loin de la porte, prêt à partir. Ensuite, je revins vers Joyce, et je lui demandai, tout simplement, sans toutefois oser trop m’approcher, au risque que mon envie revienne de plus belle:  « Tu veux que je t’aide à faire quelque chose ? »
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MessageSujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson]   {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] - Page 2 EmptyDim 15 Oct - 13:20

Joyce n'avait pas beaucoup voyagé, elle avait quitté sa terre natale pour finalement venir avec son père en Angleterre, et puis quelques années plus tard, elle avait quitté l'Angleterre pour venir s'installer à Washington en espérant que ce serait suffisant pour tourner la page sur son passé. Il faut croire que ça ne l'a pas été vu comment les choses s'étaient déroulées notamment avec Eliott qui s'en était carrément pris à Tommy, malgré le fait que Joyce n'en parle jamais, il ne demeurait pas moins qu'elle se sentait coupable et surtout, qu'elle vivait dans la peur constante qu'il recommence ou bien qu'il ai envoyé une autre personne pour lui pourrir l'existence. Il n'avait jamais accepté que Joyce le quitte sans lui donner de nouvelles, et maintenant qu'elle se reconstruisait peu à peu, elle avait l'impression de retomber dans cette spirale infernale.

Finalement, la jolie blonde se posait pleins de questions sur la vie qu'avait mené Tommy à New-York, mais elle avait peur de le saouler avec toutes ces interrogations, alors elle préférait y aller petit à petit. Et d'ailleurs, c'est de cette manière qu'elle appris que le siège social n'avait pas toujours été ici. Ça faisait un peu négligé puisque quand elle avait été embauché, elle n'avait pas vraiment pris le temps de de renseigner sur l'enseigne où elle avait son poste, mais jusqu'alors, ça n'avait jamais posé de soucis quelconques.

" - C'est toi qui a décidé de déplacer le siège social ?"

Elle craignait que la réponse ne soit celle de son frère, et elle ne voulait pas raviver ses souvenirs, pas maintenant en tout cas.

Une fois la valise terminée, Tommy s'occupa de son sac, mettant quelques affaires dedans avant de le fermer à son tour et de le déposer à côté de la valise prête de Joyce. Elle n'avait pas perdu de vue l'envie de son compagnon, devait-elle en faire la remarque quitte à faire naître un malaise entre eux ou plutôt de lui faire comprendre qu'elle avait tout aussi envie que lui ? Tout se bousculait dans sa tête, jusqu'au moment où il lui posa cette question.

" - Oui.. Je voudrais que tu m'aides à comprendre.. Ça fait des semaines voire des mois qu'on n'a plus l'occasion de partager un moment intime ensemble, est-ce que c'est parce que je ne te fais plus envie ou parce que tu te retiens en pensant que c'est mal ?"

La question était délicate, mais au vu de l'envie qui était née dans son pantalon, elle doutait que ce soit la première option. Ils pouvaient longtemps se tourner autour, Tommy qui refusait de laisser libre court à son envie de peur que Joyce ne soit pas en forme et de son côté, la jeune femme refoulait parfois ses désirs pensant que Tommy ne désirait pas avoir ce genre de moment avec elle, ou bien il était tout simplement repoussé par son corps qui changeait dû à la grossesse.

Elle était restée planté là avec cette distance que Tommy avait instaurée entre eux, bien qu'elle puisse le comprendre, ce ne devait pas être très confortable l'état dans lequel il était, et c'est notamment l'origine de sa question. Joyce attendait impatiemment sa réponse en espérant que ce soit ce qu'elle pense.
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Joyce & Tommy
La vérité est parfois dure à entendre


 « Oui, c’est moi. » fut tout ce que je répondis à Joyce au moment où elle me demanda ce qui était advenu du siège social, sans donner de détails supplémentaires. Non pas parce que je ne voulais pas les lui donner, mais je jugeais que ce n’était pas le moment pour le faire. Ce n’était pas le moment pour me lancer dans cette crise de complexion qui ne me ressemblait pas et qui pourtant, m’avait assaillie quand j’avais pris les rênes de l’entreprise. Je ne me voyais pas lui expliquer mes six mois de retrait, lui expliquer pourquoi j’avais fait ça précisément et tout ce qui s’ensuivait. Je savais que je pourrais le faire, à un autre moment, lorsque nous serions bien posés. Et encore là, c’était si elle voulait en savoir plus, parce que je ne me voyais pas lui imposer non plus tout ce discours si elle ne s’y intéressait pas tant. De plus, je ne tardai pas à terminer ma valise, ce qui me valut de passer à autre chose, soit le fait d’aider ma petite-amie. Enfin, c’est ce que je crus, jusqu’au moment où elle en vint à s’arrêter, afin de me poser une question aux allures délicates, mais qui ne me surprit pas tant. Elle ne me surprit pas parce que j’avais constaté qu’il y avait en quelques sortes un malaise entre nous suite au baiser que nous avions échangé, ou plutôt au fait qu’il n’y avait pas eu de suite à proprement parler. Par contre, je dus admettre que je ne m’attendais pas tant à ce qu’elle me la pose de façon aussi directe et par conséquent, je ne savais pas tant comment lui répondre pour le coup. Me pinçant les lèvres, je baissai le regard un instant, le temps de m’approcher d’elle un peu plus, et aussi réfléchir à mes propos par la même occasion. Quand je me sentis prêt, je pris la parole, commençant par le plus simple, soit:  « Ne crois pas que c’est parce que tu ne me fais plus envie… » Un simple regard en direction de mon pantalon était là pour le prouver, mais comme si ce n’était pas suffisant, j’ajoutai un:  « Bien au contraire… » Par contre, je savais que je ne pouvais pas m’en tenir qu’à cela, ce n’était pas suffisant pour lui faire comprendre mon point de vue. Plus encore, j’avais le sentiment que j’avais également besoin de me l’expliquer. Elle avait raison; ce n’était pas récent, et ça commençait à devenir de plus en plus pesant. Malheureusement, les mots me manquaient quelque peu, donc je dus obligé de m’accorder un autre moment de réflexion, pour finalement y aller avec des mots bruts, et lui dire:  « Et en fait, je ne pense pas que c’est mal… C’est surtout que je ne veux pas te faire de mal… »  Je marquai une nouvelle pause, pour finalement poursuivre en ajoutant:  « Je ne veux pas que tu te sentes forcée à quoi que ce soit, et je ne veux pas affecter ton état actuel… » Par « état actuel », je voulais bien sûr parler de la fatigue, du stress qu’elle pouvait ressentir. Dans ma tête, si je lui ajoutais cette idée de devoir me satisfaire, j’avais l’impression de la forcer, de la stresser avec ça. Après, je ne pouvais pas nier que peut-être j’avais faux, peut-être que je n’interprétais pas le tout de la meilleure façon qui soit, et comme pour me montrer ouvert à cette idée, je conclus:  « Mais je n’ai jamais cessé de te désirer, crois-moi… » À cet instant, l’idéal aurait peut-être été que je m’approche encore plus, que je la prenne dans mes bras, mais allait-elle accepter mon discours ? C’était ce que j’attendais de voir avant de faire quoi que ce soit d’autre.
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