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 playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]

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Lowen ZimmerTrust always hurts in the long run
Lowen Zimmer
MY BOOK COVER▹ posts : 939
▹ credits : #avatar : Valtersen #gif : tumblr #sign : monocle. #lyricsign : believer ; imagine dragons
▹ avatar : Dan Stevens
▹ pseudo : monocle. #alice
▹ multinicks : DerrickRhettChipCarterSoloraDevonJesabelLinus
▹ age : Trente-cinq ans ✧ 24 juin 1983
▹ activité rp : open (2/5) rhys ; avri ; rhys & malachai
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MessageSujet: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyDim 3 Déc - 0:49

Lisbeth & Lowen

the game start

playing a game of cat and mouse
Lissant les plis de mon veston et remontant le nœud de ma cravate, je poussais la porte du restaurant du Hilton. Comme bien des clients, je passais inaperçu dans cette mare de gens en costard. Je passais ma main sur mon poitrail côté gauche où je ressentais le relief de l’enveloppe contenant plusieurs liasses de billet. C’était plus fort que moi. J’avais beau travailler sur la construction du nouveau restaurant, j’avais toujours cette envie de jouer. Ce plaisir coupable de voir les cartes devant mes yeux, cet argent qui glissait entre mes doigts, mais bien souvent je perdais plus que je gagnais. Bon joueur, j’avais le don de tomber toujours dans des magouilles merdeuses. Me mettre dans le pétrin, voilà en quoi j’étais doué. J’avais reçu quelques jours plus tôt une lettre m’invitant à une partie clandestine. Comment refuser ? Sans porter mon regard sur les gens qui se trouvait dans la salle, ni même les murmures à mon égard. Je me dirigeais vers la cuisine, en général personne n’avait accès aux cuisines, mais ma notoriété m’ouvrait aisément chaque porte qu’importe le restaurant – modestie bonjour ! J’avais peut-être l’air un peu étrange. Pas assuré, aucun regard aux alentours. Quelques Je savais que je ne devais pas être là. Si Avri l’apprenait, elle allait me passer un savon, déjà que j’avais perdu une grosse somme il y a quelques mois, m’obligeant à faire hypothéquer une maison, mais aussi le restaurant à Los Angeles pour rembourser ma dette. Cette fois, j’avais eu chaud. J’ignorais que cette fois encore, j’allais le regretter d’une certaine manière. Quelques clients tentèrent de s’imposer dans mon chemin. Je saluais donc certaine personne, posant pour une fois mon regard sur la salle. Du coin de l’œil, je distinguais une silhouette, des courbes délicieuses. Une silhouette qui aurait pu attirer toute mon attention, malheureusement, bien que je préférasse le sexe et la nourriture, le jeu était un vice que je n’arrivais pas à combler par autre chose et ce soir j’étais bien décidé à jouer. Poussant la porte, je me dirigeais vers l’arrière, glissant mes mains dans mes poches jusqu’à tomber sur deux gorilles. « Eh bien, vous voilà. Je commençais à me demander si c’était pas un canular. » Comme toujours, j’avais parlé trop vite, fichue grande gueule. Avant même de pouvoir passer près d’eux pour entrer dans la pièce se trouvant derrière eux, je recevais une droite en plein estomac. Mon souffle coupé court, je poussais un souffle sans son. « Tu dois un bon paquet à notre boss et il veut être payé. » Je me relevais péniblement, passant ma langue sur ma lèvre supérieure. « Et j’en déduis qu’il le veut immédiatement ? » Fallait être idiot pour poser ce genre de question, mais c’était surtout de l’arrogance. Attendre que j’allasse obéir sans rien répliquer c’était mal me connaître. TRÈS mal me connaître. Je prenais un coup sur la mâchoire, comment arriver à me faire taire ? Prenant ma mâchoire entre mes doigts, je la massais, laissant un filet de sang couler de la commissure de mes lèvres. Il avait une bonne réplique, ferme et direct. « Ton copain il sait pas parler où quoi ? » Cette fois j’esquivais, pas besoin de me prendre un troisième coup. L’un d’eux sortait une arme. « Sérieux, avec votre taille contre la mienne… Un gun… Je suis déçu. » Ta gueule Lowen ! Tu ferais mieux de la fermer, me disait ma conscience. J’allais me retrouver encore avec une salle gueule, pourtant j’aurais pu leur balancer mon argent, mais étrangement j’en avais tout simplement pas envie. Et pourtant, si ça continuait dans cette voie, j’allais me retrouver six pieds sous terre…


Dernière édition par Lowen Zimmer le Jeu 31 Mai - 0:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyDim 3 Déc - 21:53


   
   
Playing a game of cat and mouse.
You’re more burning than the sun. Your perfume’s like poison.
I’m addicted I need a love gun. Your eyes, your best weapon
I die looking at them. I’m condemned I need a love gun.
Il n'avait même pas prit le temps de lui accorder un seul regard. Il l'avait presque regardé, presque. Trop courtes avaient été les secondes où il avait laissé courir son regard sur son corps. C'était bien la première fois qu'il lui accordait aussi peu d'attention et ça, ça avait le don de l'agacer au plus haut point. D'accord, après toutes les fois où elle l'avait sciemment conduit au bord du précipice et l'avait laissé y redescendre seul, peut-être qu'elle avait mérité qu'il lui accorde ce soir aussi peu de considération. Mais là n'étaient pas les règles de leur petit jeu. Ça faisait des années que ça durait et il ne pouvait changer les règles sans l'en informer. Il ne pouvait pas tout simplement refuser de jouer, oh ça non, elle ne le lui permettrait pas. Il pourra arrêter de jouer le jour où il l'aurait enfin fait passer par toute les couleurs de l'arc-en-ciel, le jour où il l'avait ferait jouir si fort qu'elle verrait des éclairs, qu'elle friserait l'apoplexie. Pas avant, jamais avant. Elle le regardait entrer dans la cuisine et ça aurait pu être banale puisqu'il était toute de même chef cuisinier mais là, ça ne collait juste pas au scénario. S'il venait bosser, il ne porterait pas cette tenue et il n'afficherait pas cet air déterminé, ce regard hagard. Il était sur un coup, il avait quelque chose en tête et si ce n'était pas Lisbeth, c'était le poker. Au fil des années, à force de le croiser, elle avait fini par apprendre à le connaître. Quand il était question de victoire, il était toujours important de connaître son adversaire. « Oh, mais de gré ou de force, t'inquiète pas que le boss va récupérer son fric. », elle n'avait pas particulièrement tendue l'oreille pour entendre la conversation que deux hommes plutôt imposants, vêtu de costume noirs entretenaient. Ils étaient assis à côté d'elle au comptoir et l'un des deux lui avait même offert le whisky qu'elle était en train de déguster. Elle avait été appelée par le directeur de l'hôtel pour lui proposer d'animer une soirée qu'il comptait organiser ici-même pour le nouvel an et elle s'était ensuite laissée séduire par le bar de l'hôtel. Elle en était à son deuxième ou son troisième verre, elle ne savait plus trop et elle n'avait pas particulièrement envie de se mêler de choses qui ne la regardait aucunement. Mais si Lowen venait à crever ce soir ou pire encore, de faire se couper le pénis, elle n'aurait pas ce qu'elle voulait et ça, c'était un problème. Faisant des problèmes de Lowen, ses problèmes. « Putain, fait chier. », elle murmura dans sa barbe avant de se tourner vers les deux gorilles. Ils étaient peut-être bien foutus mais ils n'en avaient pas un de pois chiche dans le ciboulot. Elles jouaient de ses charmes qu'en dernier recours puisqu'elle préférait d'ordinaire jouer les bourrins. Elle leur disait qu'en autre elle avait envie d'eux, de tous les deux en même temps et qu'ils pouvaient aller l'attendre dans la salle de conférence juste à côté, qui était inoccupée. Qu'elle avait juste besoin de passer au toilette mais qu'elle s'attendait à les retrouver quand elle reviendrait. Nus. Et ils avaient marchés. Elle avait presque envie de lever les yeux au ciel tellement c’était facile. « Ne me décevez pas jeunes hommes. » Et ils avaient hoché la tête avant de s'éclipser presque au pas de courses. Putain, Les hommes, parfois...

Une fois qu'ils disparurent derrière la grande porte au bout de la salle qui faisait restaurant et bar pour la salle de conférence, Lisbeth termina son whisky cul sec et se leva de son tabouret. De la chance et du courage liquide, elle allait en avoir besoin si les choses étaient aussi problématiques qu'elle le pensait. Mais au moins, elle s'était assuré que les gorilles ne lui sauteraient pas dessus si elle parvient par miracle à le sortir de ce mauvais pas. Elle mit son sac en travers de ses épaules et se dirigea vers la cuisine. La dernière chose qu'elle souhaitait, c'était de laisser un sac avec ses papiers sur un lieu de crime. Les cuisiniers n'attardaient pas leur attention sur elle et elle était bien contente d'avoir enfilé ce soir cette robe moulante noire qui lui arrivait juste en haut du genou. Ils devaient croire, qu'elle aussi allait jouer. La belle n'eut pas de mal à trouver la porte qui donnerait selon ses suppositions sur le lieu où l'action se passait. Elle inspira puis expira longuement et décrocha d'un mur une poêle, dans Raiponce, ça lui avait été efficace. Alors qu'elle poussait très doucement  la porte, elle essayait de ne pas se rappeler que Raiponce était un putain de film d'animation pour enfant. Et était bien contente que la porte n'ait pas grincé. Sous ses yeux, deux hommes similaires à ceux qu'elle avait envoyé dans la salle de conférence se tenaient dos à elle, un des deux brandissait une arme sur le visage de Lowen. Sur sa putain de belle gueule. Son rythme cardiaque s'emballait et elle prenait conscience qu'elle devait agir et vite. Donc, elle referma la porte, elle retira doucement ses escarpins qu'elle foutu dans son sac puis rouvrit la porte avec les mêmes discrétions pour se rapprocher, à pas de loup de l'homme qui tenait l'arme. Et bam, de toutes ses forces, le manche de la poêle dans les deux mains, elle le lui envoya dans la tête. Le bruit que ça fit était assourdissant, il avait laissé tomber son arme et était tombé à genou puis au sol. Inconscient ou mort. Elle espérait qu'il n'était pas mort quand même. Et comme ça, l'autre homme s'était retourné et avait entouré de sa grosse paluche son cou si fin. Il la soulevait aisément du sol et de sa main la poêle s'en échappait. De surprise, de douleur, aussi. Et du manque d'air. « Espèce de petite pute! », sa petite main griffait la sienne afin qu'il lâche prise. Tout s’était enchaîné trop vite.

   
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Dernière édition par Lisbeth K. Mikkelsen le Sam 3 Fév - 18:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyLun 4 Déc - 22:01

Lisbeth & Lowen

the game start

playing a game of cat and mouse
Une scène digne d’un film. Debout dans la cuisine cinq étoiles du Hilton, je me tenais devant ces deux gorilles. Tout dans les muscles et rien entre les deux oreilles. Ils étaient là sous l’ordre d’un homme dont j’ignorais l’existence. Je devais tellement d’argent à tellement de personne que j’en perdais le compte. Et en toute franchise, je m’en foutais royalement. Ce n’était peut-être pas la meilleure des attitudes à avoir, mais l’instant, je m’en étais toujours très bien sortie. Quelques côtes brisées, plusieurs ecchymoses, une lèvre fendue plus d’une fois, une arcade sourcilière coupée, un œil au beurre noir... mais rien qui m’empêchais de fermer ma grande gueule. Rien qui m’empêchais de travailler. Surtout rien qui m’empêchais de jouer ! Le canon pointé sur mon visage me fit davantage froncer les sourcils, bien loin d’être le genre de mec à faire dans son froc devant une arme sans doute chargée et dirigée sur ma personne. La question était surtout : Est-ce que je parviendrais à fermer ma gueule assez longtemps pour que le sbire n’appuie pas sur la gâchette ? J’avais un gros doute. Mais en regardant bien, la situation était peu équitable ! Je glissais ma main dans la poche intérieure droite de mon veston, sortant mon paquet de clope, le tapant dans le creux de ma paume pour laisser un bâtonnet blanc en sortir. La cigarette du condamné. Venant coincer le filtre entre les lèvres, je les regardaient tour à tour. « L’un de vous à du feu ? Non ? » Haussant mes épaules, je cherchais dans mes poches un briquet que je trouvais finalement. « Voilà! » J’embrasais l’extrémité, aspirant une longue taff — oubliant complètement que je me trouvais dans la cuisine d’un restaurant — avant de la laisser quitter mes narines dans une volute de fumée. J’ouvrais la bouche, laissant l’excédent quitter ma bouche dans un nuage d’un blanc épais. « Vous savez à une époque, c’était beaucoup plus loyal. Je regrette presque la conquête de l’Ouest, vous savez avec les cowboys et les indiens ! Au moins dans un duel, j’aurais eu aussi droit à une... » Je n’avais pas le temps de finir ma phrase que le gorille armé recevait un coup de poêle en pleine gueule. Grimaçant en imaginant la douleur qu’il venait de ressentir. Lui, il allait sans doute se faire faire une rhinoplastie, s’il ne désirait pas ressembler à un boxeur après un combat sur le ring. Je posais mon regard sur la personne qui venait de manière assez imaginative de désarmer l’armoire à glace. « Lisbeth ! » m’étonnais-je. Un temps trop lent. Elle se retrouvait maintenant dans l’impasse. Une scène que je ne pouvais pas laisser se dérouler sous mes yeux ! Me penchant, je ramassais l’arme qui avait glissée jusqu’à mes pieds. Quand je disais que c’était digne d’un film ! Prenant le mégot que j’avais coincé entre mes lèvres, je lui donnais une pichenette l’envoyant en plein visage du gorille. Un grognement de sa part. J’avais froissé la bête ? « Hey mon gros ! Comment ça ce fait pas ce que tu fais là. On reporte pas son attention sur quelqu’un d’autre comme ça. Je sais qu’elle est bandante, mais tu vas me l’abîmer en agissant ainsi. C’est moi qui devrait passer ma main autour de son cou ! Et puis là, je me sens délaissé de ta part. » Quel baratin ! L’homme tournait sa grosse tête vers moi, alors que je lui collais le flingue contre sa joue. « Game over. Tu la lâches immédiatement, sinon j’appuie sur la gâchette et ta gueule tu risques de pas l’aimer. Quoi que c’est peut-être déjà le cas ! J’en sais rien, mais moi j’te trouve assez moche. » J’appuyais un peu plus fort le canon contre sa peau, levant le cran de sûreté. Si le coup partait désormais par mégarde, je ne pouvais plus rien pour lui... Oups ! Il relâchait sa poigne, laissant Lisbeth retomber sur ses pied. « Pourquoi t’es nue pied ? » demandais-je avec un sérieux inébranlable. Comme si j’avais oublié le gorille qui fulminait sous mon arme. « Qu’importe, donne-moi la poêle ! » J’attendais qu’elle me la passe pour la prendre d’une main ferme. Malléable. Assez légère. Plutôt pas mal. D’un coup, je l’abattais dans ses parties intimes — c’était un coup bas, mais il s’en était pris à une femme... le karma — lui coupant le souffle et un second coup en plein dans la gueule. J’aurais dû faire carrière dans le tennis avec un revers comme celui-ci. Il chancelait tenant son paquet d’une main, son nez de l’autre. Avec nonchalance, je lui balançais la poêle sur le pied, lui décrochant un grognement. Glissant le flingue à la taille de mon pantalon, j’empoignais la main de Lis’. « Vaut mieux ne pas rester ici ! » disais-je en me dirigeant vers la sortie. Marchant d’un pas pressé devant les employés de la cuisine, je ralentissais la cadence en poussant la porte battante du restaurant. Si on se poussait en courant ça semblerait un tantinet suspect. En franchissant la porte, je voyais celle de la salle de conférence s’ouvrir sur deux hommes qui semblaient furax. Je posais mon regard sur la jeune femme près de moi, préférant ne pas savoir de quoi il en retournait. J’aurais pu faire comme dans les films en tirant un coup de feu pour créer la panique et ainsi créer une diversion, mais on était loin — pas tant que ça — d’une vie hollywoodienne ! Resserrant mon emprise sur la main de la brune, je pressais le pas dans la foule, remarquant quelques flashs blancs, jusqu’à la sortie du restaurant. On aurait pu passer inaperçu, mais non ! J’étais certain qu’on ferait là une de la presse à scandale « Le grand chef Zimmer fuyant le restaurant du Hilton avec une jolie brune »... Percevant la voix des deux autres sbires, je m’élançais vers l’ascenseur. Pourquoi ne pas aller dehors ? Certaine chose reste inexplicable ! Et il y avait assez de chambre pour nous cacher dans cet hôtel. Dans la cage de métal, je regardais les boutons. Plusieurs avaient été sélectionnés par les occupants, pouvant ainsi brouiller les pistes. Je me retrouvais à faire face à Lisbeth et pour la première fois ce soir, je la regardais vraiment. J’avais eu raison de dire qu’elle était bandante, car dans cette robe noire c’est davantage ce qu’elle était. « Nos chemins se croisent une fois de plus. » Un chemin que je n’aurais pas cru possible étant venu à Washington pour Trent. Quoi qu’à aucun moment nous nous étions croisés sans le hasard. Toujours des pays différents, des endroits différents... Bien que loin d’être seuls dans l’ascenseur, je me collais à elle, glissant ma main sur sa nuque. Je venais capturer ses lèvres, introduisant ma langue pour valser avec la sienne, mes doigts pressant sa nuque pour la ramener davantage à moi. Un baiser loin d’être chaste, loin d’être silencieux. Un baiser qui devait en gêner plus d’un dans cet espace restreint. Mais un baiser qui dans mon langage se voulait de dire merci !


Dernière édition par Lowen Zimmer le Jeu 31 Mai - 0:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyMar 5 Déc - 5:33


   
   
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Ce n’était pas la première fois qu’elle se retrouvait suspendue dans les airs, une main autour de sa gorge bloquant toute arrivée d’air. Quand on aimait se battre comme Lisbeth, on passait par des situations plutôt périlleuses. Nombreuses avaient été les fois où si elle s’en était sortie indemne, relevaient du miracle. Indemne, peut-être pas mais en vie, très certainement. Mais la dernière fois qu’elle s’était retrouvée dans une position comme celle-ci, le type avait été assez stupide pour la maintenir proche de lui et elle n’avait pas porté une robe qui l’empêchait de mouvoir ses jambes. Sinon, ses couilles l’auraient bien sentie passé. Alors qu’elle suffoquait presque, elle s’était mis à fusillé le blondinet du regard alors qu’il s’élançait dans un baratin sans nom. Sérieusement ? La belle brune s’était mise en ligne de mire pour lui venir en aide. Elle était presque à l’article de la mort et il n’était toujours pas foutue de fermer sa grande gueule ! Mais au moins, si elle mourrait ce soir, elle l’aurait entendue admettre qu’elle était bandante, qu’il n’avait pas tellement envie qu’on l’abîme et qu’il pensait qu’il avait le monopole de son corps. Autrement dit, des futilités, des conneries plus grosses que les autres qui ne méritait pas qu’elle meurt. Sous ses ongles, elle sentait une matière chaude et visqueuse et elle n’avait pas besoin de voir pour savoir qu’elle avait griffé son agresseur jusqu’au sang. Au moins, si elle mourrait ce soir, sous ses ongles, la police scientifique retrouverait l’ADN de son agresseur. Maigre réconfort. Son cœur ralentissait et sa vision se brouillait petit à petit mais elle pouvait encore entendre Lowen exiger du gorille qu’il la relâche. Et c’est très certainement pour cette raison qu’elle ne s’écroula pas au sol quand enfin les mains de son assaillant s’étaient desserrées pour la libérer. Ses mains autour de sa propre gorge alors qu’elle luttait entre quinte de toux pour reprendre une respiration régulière. La belle releva le regard vers l’homme qu’elle était venue sauver ce soir quand il lui demanda pourquoi est-ce qu’elle était nue pied et encore une fois, elle préféra lui lancer un regard noir. Elle n’était pas certaine de pouvoir parler tout de suite tant sa gorge lui était douloureuse. Mais elle se pencha quand même pour lui filer la poêle qu’elle avait laissé tomber. Bien qu’elle n’ait pas besoin que quelqu’un vienne défendre son honneur, elle lui fila la poêle. S’il n’y avait que ça pour qu’il la ferme et qu’ils puissent se casser d’ici, elle n’allait pas chipoter. Surtout que l’heure tournait et les deux hommes qu’elle avait envoyé se dévêtir dans la salle de conférence n’allaient pas l’y attendre éternellement. Et même si à présent ils avaient un flingue et une poêle, elle ne misait quand même pas sur eux. Et elle voulait vivre. Il n’y avait rien de plus excitant que d’observer Lowen agresser les bijoux de famille de son agresseur avec le récipient de cuisine puis dans la gueule. Ce moment où elle comprenait pourquoi est-ce que James Bond parvenait toujours à se taper les filles les plus bonnes. Lisbeth, pendant ce temps, elle avait remis ses chaussures. Elle comptait sortir d’ici sans être aperçut et non en courant. Et les pieds nus ça n’aidait que si elle devait courir. Le blond planqua le flingue à la ceinture de son pantalon et lui prit la main, il lui disait qu’ils ne devaient pas rester ici. Elle était bien d’accord. Il avait commencé à la tirer par la main mais elle avait résisté, obligeant le jeune homme à s’arrêter. Elle s’approcha de lui, passant les mains sous sa veste pour atteindre le pistolet et à l’aveugle, elle avait remis le cran de sureté. Elle n’avait pas envie qu’il se trou cul, vraiment pas. Et les années où son père avait insisté qu’elle apprenne à tirer lui permettait de remettre le cran plutôt aisément. L’heure n’était pas à s’attarder sur la chaleur qui émanait de son corps, cette chaleur qui hérissait ses poils de doux frissons. Après ce petit arrêt, elle se laissa tira hors de la cuisine. Quand ils croisèrent les deux hommes qu’elle avait laissés un plan, elle avait souris et leur avait envoyé un baiser volant. Bien entendu, c’est le moment qu’on choisit pour les prendre en photo. Et alors qu’elle se laissait entrainer par Lowen, elle espérait que son père ne vienne pas à voir une photo dans la presse où elle s’enfuyait avec un beau blond. Elle allait encore devoir filtrer ses appels et c’était vraiment chiant.

Lisbeth s’était laissée emportée par le blond et s’était retrouvée dans une cage métallique, l’ascenseur. C’était plutôt ingénieux ou pas, elle ne saurait dire encore. Mais il était vrai qu’il n’y avait aucun mal à attendre que les choses se calment un peu en bas avant de tirer d’ici. Face à Lowen, elle détaillait enfin son regard. Il n’était pas joli à voir et elle n’osait imaginer ce qui aurait pu arriver si elle n’était pas venue distraire ses agresseurs. Mais elle le trouvait toujours à son goût, même avec cette lèvre déchiré et ce sang qui avait perlé jusqu’à son menton. En réalité, elle le trouvait d’autant plus sexy comme ça. Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’elle remarquait que lui aussi la détaillait du regard. Il avait l’air d’aimer ce qu’il voyait. « Tu sais ce qu’on dit, pas de chance aux jeux, chance en amour. », et si entre eux, il n’était pas question d’amour, elle se comprenait. Il se rapprochait d’elle, la collant même, l’obligeant à reculer contre la paroi métallique. Mais elle aimait ça qu’il la prenne au piège parce qu’elle savait que le jeu consisterait à lui échapper, encore une fois. Et comme ça, sa main sur sa nuque achevait de briser la distance qui séparait leurs lèvres et comme à chaque fois, c’était une explosion de saveur. Elle agrippait sa chemise d’une main pour le presser un peu plus à elle alors qu’elle répondait savamment à son baiser. Elle mordillait, sa lèvre blessé, sa langue qu’elle pensait ensuite de caresse de sa propre langue. C’était un baiser gourmand, elle baiser qui mettait en appétit. Son corps s’enflammait comme à chaque fois à son contact et son sous-vêtement en subissait les conséquences. Juste pour la forme, elle pressa son bassin au sien pour qu’il la sente, pour qu’elle le sente et elle le repoussa ensuite. L’ascenseur s’était vidé et ils étaient au dernier étage. « Je sais que je suis bandante mais essaie toujours si tu veux avoir la chance de passer ta main autour de mon cou. », c’était une invitation, le jeu pouvait commencer. Bien qu’elle ait toujours mal à la gorge et qu’un hématome commençait à apparaitre sur sa peau, elle se disait que la souffrance pouvait se transformer en plaisir. Que ce n’était qu’une question d’équilibre.  

En dehors de l’ascenseur, elle regardait des deux côtés du couloir vide. Il n’y avait qu’un chariot qu’avait surement été laissé là par un agent d’entretien et elle s’y précipita en quelques enjambées. Le bruit de ses talons étouffé par l’épaisse moquette. Elle fouilla un peu le chariot et fini par trouver ce qu’elle cherchait, une clé magnétique. Souriante, elle l’avait coincé entre son index et son majeure pour le présenter au regard de Lowen. « Si c’est pas notre veine. », elle ouvrit une porte au hasard. « Une suite présidentielle, c’est trop, il ne fallait pas ! Avant qu’on aille plus loin, je préfère te dire que tu ne m’attireras pas dans ton lit avec ton argent. », Vraiment pas, il n’avait pas besoin de ça pour l’y attirer et d’argent, elle en avait déjà trop. Elle entendait au bout du couloir la porte de l’ascenseur se rouvrir et elle prit la main du blond afin de l’attirer à l’intérieur de la chambre et de refermer la porte derrière eux. C’était à son tour d’avoir le blond entre ses griffes. Il avait le dos à la porte et elle était pressée tout contre lui. « J’ai bien cru que t’allais le laisser m’étrangler indéfiniment, en bas. », mais il l’avait sorti de ce mauvais pas et c’était sa manière à elle de l’en remercier. « La prochaine fois, offre moi au moins un verre avant. D’habitude, tu m’offres toujours un verre avant. C’est plus ce que c’était, ton charme se perd, Lowen. », Pendant tout son baratin, elle s’était collé, frotté à lui et d’un coup, elle le laissa là et tournait les talons. La chambre était grande, le lit aussi. Elle marchait jusqu’au baies vitrées, sa main sur sa gorge alors qu’elle admirait la vue. Ne «Putain la vue est plus belle ici que dans mon appart’ », mine de rien, ça l’agaçait quand même. « Tu leur doit beaucoup de fric ? », elle demandait curieuse. Elle n’avait pas envie de pensé au fait qu’elle se trouvait seule dans une chambre avec Lowen. Non, vraiment pas. Ou au souvenir de ses lèvres sur les sienne. Parce que ce serait le début de la fin.


   
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Dernière édition par Lisbeth K. Mikkelsen le Mar 6 Fév - 17:22, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyVen 19 Jan - 4:32

Lisbeth & Lowen

the game start

playing a game of cat and mouse
Du courage. Voilà comment certaine personne pourrait qualifier ce que je venais de faire. Moi j’aurais surtout dit que c’était la folie qui m’avait mené à agir ainsi. Ce petit grain de grande gueule qui m’amenait toujours à faire face à ce genre d’histoire. Autant je pouvais être doué pour commencer la merde, autant je savais lorsqu’il était tant que je tire ma révérence. Le fait que le gorille se trouve au sol, était le signe de départ. Prenant la main de Lisbeth, je la tirais avec moi en direction de la sortie. Seulement, elle ne semblait pas prête à me suivre et je n’avais qu’une envie lui dire que ce n’était aucun cas le moment pour… Elle se collait à moi. C’était encore moins le moment pour ce genre de chose ! Posant mon regard sur elle, je sentais ses mains passer le long de mon corps avant qu’elle ne touche à l’arme coincé dans la ceinture de mon pantalon, retirant le cran de sureté. Je n’avais pas pris le temps pour réfléchir à ça, mais il allait sans dire que je n’avais aucune envie qu’un coup parte et handicap mon cul ! On reprenait aussitôt notre fuite, laissant l’homme se tordre de douleur, passant près des employés qui nous portaient que de bref regard se demandant sans doute ce qu’on faisait là. Ils pouvaient bien s’imaginer tout un scénario, ils n’avaient pas la moindre idée de ce que pouvait être la réalité. Fuyant, je prenais la direction des ascenseurs plutôt que celle de l’extérieure. Dehors, ils auraient tout le temps de nous rattraper. Loin d’être un grand coureur, je savais qu’ils n’auraient eu que quelque foulée pour nous rattraper – et je ne parlais même pas de Lisbeth avec ses talons. Le temps qu’ils cherchent sur les divers étages de l’hôtel Hilton, on aurait le temps de fuir plus tranquillement. Dans l’ascenseur qui faisait son ascension vers les étages au-dessus, je me collais à elle, brisant les limites des convenances. Un rire s’échappait de mes lèvres. De la chance en amour. En avais-je réellement ? J’en doutais, bien que je ne cherchasse pas cela. Ma vie me convenait parfaitement sans mièvrerie. Les choses romantiques c’était très peu pour moi et si je venais à jouer le romantique c’était parce que j’avais une idée derrière la tête soit : mettre une fille dans mon lit. Il m’arrivait de jouer de romantisme envers Ofelia, mais ce n’était encore là qu’une chose banale à mes yeux. Elle avait simplement droit à ce privilège parce qu’elle avait été la première femme dans ma vie. Maintenant, j’arrivais à peine à dire un chiffre sur le nombre de conquête que j’avais eu dans ma vie. Lisbeth n’en faisant pas vraiment partie. Un baiser comme nous étions en train de le faire, on l’avait fait moult fois sans jamais aller plus loin. Elle avait le don de me glisser entre les doigts et je savais qu’aujourd’hui ne serait pas différent des autres fois. Collant nos corps l’un à l’autre, je sentais son bassin faire pression contre le mien. Ça n’avait rien de délicat, certes loin d’être comparable à la brutalité du gorille. C’était plus sauvage, bouillant, désirable. On devait en faire des envieux ! Rompant notre baiser, je laissais un sourire carnassier prendre place sur mes lèvres, posant mon regard sur la brune alors qu’elle mettait la première carte du jeu sur la table. Dans ce moment qu’avait été ce cafouillis entre le gorille et nous, elle avait su retenir certain de mes mots. Mots qu’elle retournait aisément contre moi, mais qui ne m’empêchais pas trouver cela alléchant. Si elle me lançait ce défi, elle pouvait être certaine que j’allais répliquer. Elle quittait l’ascenseur désormais vide, moi sur ses talons. Je la voyais prendre une direction, se précipitant vers un chariot d’entretien. D’un pas plus calme, je la suivais, glissant mes mains dans mes poches, lui adressant un sourire lorsqu’elle brandit un passe-partout. En effet se serait plutôt utile au vu des circonstances. La suivant, je me tenais devant la chambre qu’elle avait déverrouillé. « Quel argent ? » demandais-je un sourire accroché à mes lèvres. Poursuivant ainsi : « Et puis, je n’ai pas besoin d’argent pour te mettre dans un lit. » Malheureusement pour moi, je n’avais jamais eu la chance de la mettre dans un lit, mais l’espoir fait vivre non ? Tôt ou tard, je parviendrais à mes fins et mes coups de reins, elle les sentirait passer. Toute cette attente ne faisait qu’accroître cette envie de la prendre, de lui faire sentir tout mon corps en elle. Un bruit métallique se fit entendre, la porte de l’ascenseur s’ouvrait à nouveau et je la laissais me tirer à l’intérieur de la chambre, fermant la porte derrière nous. Dos contre la cloison, je posais mon regard sur elle. Elle me renvoyait la pareille. Je sentais son corps se coller contre moi. « Comme si j’aurais pu laisser faire ça. » disais-je. Mon but n’était pas qu’elle finisse six pieds sous terre, j’avais un coup à tirer avec elle et il était hors de question qu’elle claque avant que j’aie pu me la farcir. Mon regard bleuté posé sur elle, je laissais mes mains glisser sur ses hanches. Croire que c’était ma chance serait un peu trop présomptueux. Je laissais plutôt un rire s’échapper de ma gorge. « Si tu veux un verre, donne-moi un instant. » répliquais-je en passant une main sur mon menton, léchant ma lèvre en la regardant s’éloigner. Elle continuait ce petit jeu, ne pouvant décemment pas s’arrêter. Elle pouvait se compter chanceuse que je n’abandonne pas la partie. On avait beau a un moment donné dire que ce qu’on ne pouvait avoir était d’autant plus alléchant, mais tôt ou tard, me attention se porterait sur autre chose. Est-ce que je serais satisfait de ce choix ? Peut-être pas, mais comme tout le monde, je possédais mes limites et toujours se faire dire non brise aussi le moment. Mais pour l’heure j’étais encore joueur. Après tout, elle venait de m’allumer là ! Je quittais la porte, me dirigeant vers le mini bar, y trouvant une bouteille de whisky, je nous servais deux verres de whisky sec. Il avait un doux parfum boucanier, me faisant sourire. Relevant mon regard, je la voyais contempler le panorama. Les deux verres dans une main, je défaisais le nœud de ma cravate, ainsi que le premier bouton. « Qu’est-ce que ça peut faire combien d’argent je leur dois ? » Parler de mes problèmes financiers était bien la dernière chose dont j’avais envie. Me plaçant dans son dos, je lui tendais un verre. « Le verre que je te dois. » disais-je en prenant une gorgée tout en regardant son reflet dans le verre. J’avalais ma gorgée, glissant ma main dans son dos, ne laissant que le dos de la phalange de mon index caresser sa peau avant que mes lèvres ne viennent embrasser la peau de son cou.


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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyMar 6 Fév - 18:55


   
   
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You’re more burning than the sun. Your perfume’s like poison.
I’m addicted I need a love gun. Your eyes, your best weapon
I die looking at them. I’m condemned I need a love gun.
Pas faux. Il était vrai que le blondinet n’avait pas besoin d’argent pour parvenir à mettre la jolie brune dans son lit. Lisbeth n’avait jamais  porté d’intérêt à l’argent, ça n’avait juste pas de grande valeur à ses yeux. Puisqu’elle n’en avait jamais manqué, elle n’avait jamais ressenti le besoin de courir derrière. Et même si ça avait été le cas, elle n’était pas le genre de fille qui coucherait avec une personne dans l’idée d’obtenir des faveurs en retour. Lisbeth avait le goût des choses simples et si elle attendait une chose en étant intime avec une personne, c’était son plaisir personnel. Un bel orgasme, par exemple. Et elle était persuadée que le jour où elle permettrait à Lowen de lui en donner un, ce sera probablement l’orgasme le plus extraordinaire du monde. Celui qui vous emportait au septième ciel pour vous faire voir des éclairs. Ou alors, à l’inverse, il ne serait pas à la hauteur de ses attentes et elle serait extrêmement déçue. C’est dire que plus elle attendait et plus ses attentes étaient exigeantes. Le prix de l’attente et la frustration que ça engendrait était insoutenable. La curiosité de savoir dans quelle catégorie Lowen se situait, la faisait mijoter à petit feu. Un jour, elle ne sera plus capable de se défiler, ça, elle l’avait toujours su.“Je suppose qu’on saura ce dont tu as besoin, le jour où tu parviendras enfin à me mettre dans ton lit.”, elle ne doutait pas qu’il y arriverait et par la même, elle l’encourageait à continuer d’essayer. Lisbeth était toujours étonnée de constater que même après toute ces années, il n’avait toujours pas renoncé à être le vainqueur de leur petit jeu. Ce type avait une volonté qui la dépassait. Elle n’aurait pu rêver meilleur adversaire.

Face à la grande baie vitrée, elle se massait distraitement la gorge. Ce genre de douleur ne lui était que trop familière. Et les ecchymoses qu'elle risquait d'arborer n'étonnerait personne. Elle était une femme qui vivait périlleusement et ça, peut de personne de son entourage l'ignorait. Lisbeth avait le goût du risque, l'amour du danger. Mais les blessures qu'elle arborait aujourd'hui aurait pu lui être éviter si elle n'avait pas eu la stupide idée de voler au secourt du beau blond. Toutefois, elle ne regrettait pas de l'avoir fait. La vie humaine était une entité qu'elle avait appris à chérir et de toute façon, elle ne pouvait pas laisser partir Lower puisqu'elle était encore loin d'en avoir fini avec lui. Il lui disait en autre qu'il n'aurait pu la laisser se faire tuer non plus. "T'as quand même pris le temps de faire ton petit numéro avant de me sortir de là.", Elle souriait, toujours regardant au dehors, à présent amusée. "Mais j'avoue que c'était plutôt spectaculaire.", et incroyablement sexy. Elle l'entendait s'activer derrière elle. Il lui avait demandé un instant et elle était assez généreuse pour le lui accorder. "Pas grand chose, en fait.", C'est vrai qu'elle s'en fichait un peu du nombre d'argent qu'il pouvait bien devoir à ces brutes. Mais ça devait être un sacré paquet si ces hommes étaient prêt à planter une balle entre les deux yeux. "La curiosité est un vilain défaut, de toute façon.", et elle parlait sans nul doute en connaissance de cause. Elle ferma brièvement les yeux en sentant la chaleur corporel du jeune homme irradier contre la chaire exposée de son dos. Sa courte robe noir moulait son corps à la perfection et si elle était à peine décolleté, son dos, lui était pratiquement à découvert. La belle brune soutenant son regard dans le reflet de la vitre. Bleu contre chocolat. Elle prenait le verre qu'il lui tendait. Elle en huma religieusement la fragrance. Elle ne réprimait pas les frissons qui parcouraient son corps, dans son intégralité, quand il laissa courir le dos de son doigt sur sa peau. Doucement, si ce n'est fébrilement, elle porta son verre à ses lèvres. La chaleur dans sa gorge rejoint par les lèvres de Lowen sur la peau satinée de son cou. Elle laissait échapper un petit son de contentement. La belle imaginant difficilement une manière plus délicieuse de déguster une aussi bonne cuvée. Comme à chaque fois qu'il la touchait, elle pouvait se sentir se liquéfier contre la dentelle de son fin sous-vêtement. Naturellement, elle leva une main contre la vitre pour prendre support à mesure qu'elle se cambrait pour frictionner, avec lenteur, son postérieure contre l'entrecuisse du bel homme. A cet homme, elle n'avait jamais su y résister et pourtant, ça faisait des années qu'elle se refusait à lui. "On dit toutefois...", sa voix était fébrile et elle ne prenait pas la peine de masquer l'effet qu'il pouvait bien avoir sur elle. A quoi bon? Elle s'arracha à ses baisers quand elle se retourna pour lui faire face. La soutenait toujours son regard, sirotant aveuglement sa liqueur ambrée. "Qu'il n'est pas bon de boire...", elle termina son doigt de whisky en une troisième gorgée et déposa le verre vide sur le meuble le plus proche. A taton vraiment, elle n'était pas encore décidée à le lâcher du regard. "Quand on n'a pas manger.", au coin de ses lèvres naissant un petit rictus carnassier. Cette fois, elle laissa courir ses yeux chocolat sur son corps. Elle remarquait sa cravate défaite, ainsi que les premiers boutons de sa chemise. Laissant à la belle brune un aperçut de la musculature qu'il pouvait bien cacher sous cette jolie chemise. Lisbeth ne serait pas étonnée s'il s'agissait de haute couture, vraiment pas. Mais ça ne l'arrêta pas quand elle saisit les pans de sa chemise pour faire sauter avec la force de ses bras, une à une chaque boutons qu'il n'avait pas encore défait. Lisbeth était gourmande et il l'avait mis en appétit. Elle passa sa langue sur sa lèvre inférieur, la mordillant légèrement. "Et j'ai vraiment faim, Lowen.", elle saisit les deux extrémité de sa cravate, les croisa pour faire naître une légère pression sur sa gorge avant de l'attirer à ses lèvres. Cette fois, elle n'était pas prit au dépourvus par le baiser. Ils n'avaient pas de spectateurs, ils ne fuyaient personne. Elle prenait simplement ce qu'elle avait envie qu'il lui donne. Mordillant ses lèvres, les pansant de sa langue. Elle l'attirait à elle et se coinçait volontairement entre la baie vitrée et son torse puissant. Une de ses longue jambes tentait de remonter entourer la taille du jeune homme mais sa robe était bien trop étroite pour lui laisser la liberté de ce mouvement. "Déchires-la.", elle grognait contre ses lèvres. Elle avait besoin de le sentir, besoin de retrouver ce à quoi elle allait encore une fois se refuser. Et elle se demandait sérieusement si elle n'était pas finalement masochiste?


   
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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyVen 25 Mai - 18:07

Lisbeth & Lowen

the game start

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Seuls dans cette chambre qui n’était pas la leur, il emprisonnait la brune contre la baie vitrée. Offrant un léger spectacle à tous ceux qui oserait lever poser un regard curieux sur les chambres de l’hôtel. Son verre dans sa main, il l’avait délaissé pour offrir toute son attention à ce cou blafard de Lisbeth. Ses lèvres goûtant cette peau qu’il avait tant de fois imaginer dévorer de ses lèvres cendrés. Ce corps qu’il s’acharnait à vouloir posséder entièrement depuis qu’il la connaissait, mais dont il n’avait droit qu’à un baiser, qu’il soit faible ou complètement passionné, illustrant l’envie qu’ils éprouvaient l’un et l’autre de se dévorer. Indécent, il en avait que faire de choquer la galerie qui pouvait les regarder. Ils étaient désormais seuls et il déposait son verre entamé, mais non fini près de celui de la femme. Il n’avait pas parlé, laissant ses lèvres s’occuper de sa peau satinée, alors qu’elle parlait, des mots qui ne l’intéressait d’aucune façon puisqu’il n’y portait jamais d’attention. Pour lui, il n’était pas lieu de parler, leur corps le faisait déjà bien pour eux. Elle avait du le sentir alors qu’elle avait frôlé son postérieur contre son entrecuisse. Il éprouvait un désir certain pour cette femme, rien de romantique, rien qui parlait de sentiment, non, entre eux c’était simplement une question d’alchimie. Des aimants qui s’attiraient et se repoussaient sans cesse. Elle ne le laissait pas finir ce qu’il commençait, mais pour une fois, elle ne le repoussait pas. Au contraire, elle l’affrontait. Il voyait les boutons de sa chemise voler, s’étalant sur la moquette, sa cravate autour de son cou le faisait sourire. Si ses vêtements avaient une certaine valeur, il ne s’en préoccupait d’aucune façon. Il soutenait surtout son regard perçant. « Alors sers-toi » dit-il faisant un pas vers l’avant, la faisant prisonnière de lui et de la baie. Ils partageaient un baiser comme ils en avaient tant eux avant celui-ci. Ses mains se posaient dans son dos, agrippant la robe et sortant sa puissance, il déchirait la robe dans un bruit strident. Laissant les lambeaux de tissus retomber sur le sol. Malgré la pression sur son cou, il approchait son visage de la brune, posant ses lèvres sur cette chair clair, harpant sa peau de ses lèvres et de ses dents. Il laissait ses mains glisser dans son dos, puis sur ses fesses. La tenant, il la soulevait sans mal, plaquant son corps à moitié nu contre la vitre. Il la laissait passer ses jambes autour de sa taille, laissant son bassin s’appuyer sur son pubis, lui faisant sentir son excitation qu’il éprouvait à se tenir devant elle.


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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptyVen 25 Mai - 19:08

Lisbeth & Lowen

the game start

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Mais se servir, elle y comptait bien. Lisbeth n'était pas le genre de femme qui attendait patiemment qu'on daigne vouloir lui offrir quoique ce soit. Elle avait bien compris qu'il fallait savoir se servir, savoir se démener pour acquérir ce qu'on désire. Parce que dans la vie, il n'y avait jamais rien qui nous tombait simplement dans les bras. C'était peut-être parce que Lowen semblait être le genre d'homme  à qui le monde souriait constamment qu'elle s'était amusée à se pavaner devant lui, sans jamais lui offrir ce qu'il voulait. Elle ne saurait dire réellement mais au final, son petit jeu n'avait été qu'à double tranchant. A chaque fois qu'elle l'avait privé d'elle, c'est le feu de leur désir qu'elle avait alimenter. Si bien, qu'il avait bien fini par devenir irrésistible. La tentation était forte, trop forte même pour une joueuse comme Lisbeth. Si bien qu'elle ne cherchait plus à gagner mais bel et bien à perdre en beauté. « J'y compte bien. », elle tire la lèvre inférieur du blond, coincé entre ses seins quand il déchire sous ses directive, sa robe noir. Celle-ci termine entièrement délaissée, oubliée à leur pieds. Elle resserre sa prise sur sa gorge quand il cherche à rapprocher son visage du sien mais elle lui laisse volontairement assez de leste pour venir cueillir ses lèvres charnues des siennes. Son corps entier vibre de sentir ses mains sur son corps, sa peau nue. Son dos, ses fesses rebondi. Elle n'a pas le souvenir qu'ils aient été aussi loin par le passé mais elle sait bien qu'il y avait bien un raison à ça. Quand il la soulève, automatiquement, ses longues jambes s'enroulent autour de la taille  et déjà, elle peut le sentir si dur contre sa chatte. Elle soupire longuement contre ses lèvres, relâche sa prise sur la cravate qui retombe mollement sur les larges épaules halés du trentenaire. Elle aventure ses mains entre leur deux corps pour détacher, son pantalon. Celui-ci glisse suffisamment pour lui permettre de dégager ses mains du passage pour plaquer son intimité contre sa virilité. Elle mouille abondamment, assez pour humidifier la dentelle de son string ainsi que le boxer du jeune homme. Elle se frotte à lui, créer cette friction que leurs deux corps leurs quémande désespérément. Ses mains vont empoigner ses cheveux pour tirer la tête de Lowen en arrière, dégageant son cou pour laisser à ses lèvres, sa langue et ses dents un festin. Elle crève la dalle pour cet homme et elle le dévore comme une vorace. 
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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptySam 26 Mai - 0:12

Lisbeth & Lowen

the game start

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Emprisonné entre les jambes de la brune, le chef se laissait aller à quelque chose qu’il avait fait longtemps mijoter. Trop longtemps à son goût. Au moins, contrairement à la nourriture, il y avait peu de chance pour que ça brûle, quoique… Lisbeth semblait s’embraser tout contre lui. Comme lui-même, alors qu’il sentait son excitation guider son corps. Il se pressait contre elle, lui faisant sentir cette prédominance dans son pantalon à pince. Vêtement qu’il ne tarderait pas à laisser glisser sur ses hanches, puis ses cuisses, alors qu’elle s’attaquait à le dévêtir un tant soit peu. Sexe couvert, il se frottait à elle, enflammant leur pulsion au lieu de les attisés. Lowen a toujours été plutôt doué pour allumer les feux et non les éteindre. Il faisait pression contre son pubis, s’assurant qu’elle le sente bien, qu’elle sache ce qu’elle avait rejeté depuis leur rencontre. Elle empoignait ses cheveux et n’opposant aucune résistance, il se laissait tirer vers l’arrière, la sentant dévorer sa chair. Ses mains descendaient sous les cuisses de la brune, il la hissait encore plus haute que lui. Le son de sa peau laiteuse glissant sur la vitre derrière résonnait, alors qu’il se penchait pour lui faire passer les jambes par-dessus ses épaules. Il se mordait la lèvre avant de retirer ses mains de son corps chaud pour empoigner le tissu de son string en dentelle. Une pièce qui aurait pu être difficile à déchirer si ça n’avait pas été un string, comme la robe le vêtement tombait au sol une fois que Lowen l’eut retiré de force. Il lui jetait un coup d’œil, posant ses lèvres sur son ventre, commençant une descente vers ce pêché originel. Ses lèvres n’attendaient aucune invitation, il avait de toute manière trop attendu, il préférait se servir lui-même. Sa langue harpait sa chair, caressant ce bouton, avant de l’emprisonner entre ses lèvres pour le sucer avec appétit. Dent, langue, une succion faite avec ses lèvres, il ne lui laissait aucun répit, dévorant sa chair comme elle avait dévoré son cou.


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MessageSujet: Re: playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT]   playing a game of cat and mouse ✧ liswen [HOT] EmptySam 26 Mai - 11:37

Lisbeth & Lowen

the game start

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«Qu’est-ce que...», elle a beau s’agripper à sa tignasse, ça ne le retient aucunement de la hisser comme un vulgaire drapeau jusqu’à ses épaules. Comme si elle n’avait été qu’une poupée de chiffon, légère comme une plume. La friction de sa chaire crissant la vitre, lui échauffe d’autant plus sa peau fumante. Mais au sommet, ses jambes prennent naturellement place sur ses épaules. Là-haut, il n’y a pas d’autres support de toute manière. Mais elle grogne de ne plus sentir cette large queue dans ce boxer. Contre sa chatte qui palpite désespérément de s’y mouler. Un sourire étiré ses lèvres gourmandes quand il envoie son fin sous-vêtements rejoindre la flaque noire qu’a laisse sa robe au sol. Plus de doute sur ce qu’il compte lui faire. Ses lèvres sur la peau porcelaine de son ventre plat la met on ne peut plus en appétit. Elle perd patience de les sentir sur son intimité. «Aller, bouffes-moi la chatte!», elle siffle entre ses dents, dirigeant son visage par sa chevelure vers son intimité mais il n’a clairement pas besoin de ses directives pour le faire. Il a visiblement tout autant envie de la dévorer qu’elle désire l’être. Elle soupire longuement en sentant ses lèvres emprisonner son clitoris, ses yeux roulent dans leur orbites mais elle les redirige bien vite sur cette délicieuse vue plongeante qu’il lui offre. Lisbeth a l’impression d’avoir attendue l’éternité avant ce premier coup de langue, cette première succion et elle gémit d’aise, de soulagement, de plaisir. Il la dévore avec voracité, gourmandise et bordel, il sait y faire. Elle pousse son bassin contre son visage, lui colle son sexe juteux à sa bouche assoiffé. Le plaisir est certain, faisant vibrer son corps impatient. Ses hanches ondulent pour baiser sa bouche, ses doigts dans sa chevelure force le rythme. «Je me demande si tu peux me faire jouir comme ça.», elle se demande, lance un défi. Un acte désespéré pour ressentir un semblant de contrôle alors qu’il lui fait perdre pied. Elle retire une main de ses cheveux, la glissant dans son dos pour défaire l’attache restrictive de son soutien-gorge. Son dernier vêtement rejoint le reste au sol, dévoilant sa voluptueuse et majestueuse poitrine. Elle glisse deux doigts entre ses lèvres, les humidifiant avant d’aller pincer son dure téton rose pâle. Au point où elle en est, elle ne craint très certainement pas de tomber de son perchoir. La belle brune baise sa baise sans retenue, aucune. Laissant le plaisir immoler son corps. «Je veux tes doigts. Baises moi avec tes doigts.», elle le lui demande, lâchant à aucun moment ce spectacle imprenable du regard. Laissant à cette vue le soin de l’exciter plus que de raison.
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