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 we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]

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MessageSujet: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyMar 14 Nov - 16:54


✻✻✻
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devon & roman

La liberté, ça avait ses avantages. Roman devait bien avouer qu'il se sentait bien mieux, maintenant que ses poignets n'étaient plus en permanence entourés de métal et que les barreaux de sa cage ne se fermaient plus sur lui tous les soirs. C'était un plaisir comme il y en avait peu dans une vie. Il fallait avoir été privé de sa liberté pour en savourer totalement tous les plaisirs. Et c'était ce qu'il faisait. Bien entendu, tout n'était pas parfait. Le jeune homme, par exemple, n'avait toujours pas retrouvé sa sœur. Il savait où elle était, là n'était pas le problème. Mais qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir lui dire, comment allait-elle pouvoir réagir ? Ça, le jeune homme ne le savait pas. Et c'était probablement pour cette raison qu'il repoussait le moment de lui dire qu'il était enfin sorti. Ça et le fait que le jeune homme était toujours en train de surveiller son « père biologique ». D'une, il détestait cette expression. De deux, il n'était toujours pas certain de faire confiance à ce type. Parce qu'il avait certes tenu sa parole, mais il avait débarqué dans sa vie un peu comme s'il était le père noël. Et vous savez quoi ? Roman ne croyait pas au père noël. Cependant il ne pouvait nier que cet homme l'avait aidé, qu'il l'avait sorti d'une impasse. Que sans lui, il serait toujours en train de croupir derrière les barreaux tout ça parce que son idiot d'avocat commis d'office était un véritable crétin. Et puis, il lui avait donné un emploi, un emploi grâce auquel il avait pu prendre un appartement, grâce auquel il pouvait se remplir l'estomac tous les jours. Mais Roman n'avait jamais prétendu être un homme bien et encore moins que parce qu'il avait fait un séjour par la case prison, il arrêterait tous ses travers. Bien au contraire. Il était qui il était et profiter de sa liberté, pour lui, cela passait aussi par le fait de profiter de cette débauche et de cette luxure dans lesquelles il s'était toujours perdu. L'alcool, le sexe, ça lui parlait. Ça avait toujours été ce qui le tenait éveillé, ce qui le faisait vibrer. Pas étonnant donc qu'il se soit, rapidement après sa sortie de prison, retrouvé à traîner dans un club de strip-tease, à tenter de profiter de ces créatures qui se déhanchaient pour ses beaux yeux. Enfin pour ses beaux yeux … Pour les beaux yeux de la clientèle, tout du moins. Mais le jeune homme avait un peu dans l'espoir que c'était pour ses beaux yeux quand même. Et il y avait dans le lot des danseuses une femme qui avait attiré son attention plus que les autres. Il ignorait son nom, il ne l'avait vu danser que de loin. Elle était grande, elle était fine, ses longs cheveux noirs ressortaient sur sa peau mate. Elle était belle. Et elle lui trottait un peu trop dans la tête. C'était comme s'il avait un besoin viscéral, presque animal, de se trouver à ses côtés. Il aurait aimé pouvoir toucher sa peau, faire courir ses doigts contre ses courbes. Un coup de foudre ? Certainement pas. C'était mal le connaître. Mais quand une femme lui plaisait, ça pouvait parfois tourner à l'obsession. Du moins, jusqu'à ce qu'il ait eu ce qu'il voulait et qu'il trouve sa prochaine obsession. Mais cette fille était son obsession du moment. Mains enfoncées dans les poches de sa veste en cuir, le jeune homme rejoignit le club. Ce soir, c'était son soir. Enfin, ce soir, il avait désiré d'approcher la créature qui hantait ses pensées, pour une raison qu'il ne comprenait pas. Encore que hanter ses pensées, c'était un grand mot. Disons que chaque fois qu'il mettait les pieds dans ce club, elle devenait une obsession. En temps normal, il le vivait bien. Bien décidé à l'approcher donc, le jeune homme demanda une soirée privée en sa compagnie. C'était bien au-dessus de ses moyens, il en avait conscience et pourtant il avait sorti les billets de sa poche. Il ferait des économies en arrêtant de prêter du sel à sa tête en l'air de voisine qui sonnait tous les trois jours chez lui pour autre chose. Roman se laissa guider vers une salle à l'écart. Le confort était minimaliste. Un fauteuil, plutôt confortable certes, était l'une des seules chose qu'il pouvait voir. En même temps, vu qu'il n'y avait pratiquement pas de lumière, le jeune homme ne risquait pas de voir grand-chose. Finalement, il s'installa et patienta. Lorsque la porte s'ouvrit, un sourire naquit sur ses lèvres. Elle était là. Son obsession du moment. Juste pour ses beaux yeux. « Comment tu t'appelles ? », demanda-t-il. C'était bien la seule question qu'il avait envie de poser. Juste pour pouvoir mettre un nom sur son si beau visage. Parce qu'à part ça, il n'avait pas envie de parler. Pas alors qu'il pouvait presque toucher sa nouvelle obsession du bout des doigts.
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Devon FloydTrust always hurts in the long run
Devon Floyd
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyMer 15 Nov - 7:02

Roman & Devon

you're my obsession

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Levant la main, je cherchais à tâtons mon portable sur la table de chevet. Tout du moins, je tentais de l’atteindre depuis le sol. Fichu bras trop court… Une main vint à mon aide, et il finit par me tendre mon portable. « Merci. » disais-je en posant mon regard dans les yeux saphir de Jared. Pour une fois, c’était moi qui avait gagné cette bataille en ayant pas le temps de se rendre jusqu’à son lit et même s’il m’avait toujours vanté le confort de son matelas, je devais bien avouer que le plancher avait aussi un certain confort. Je regardais l’heure, poussant un soupir alors que mon amant se levait déjà pour prendre sa douche. Certaine chose ne changeait pas. Repoussant mes nattes pour les envoyer dans mon dos, je fermais l’écran un peu trop découragé par l’heure tardive. Je n’avais pas envie d’aller travailler, d’être devant ces hommes qui avaient la bave aux lèvres et les mains baladeuses. Mais je devais bien gagner ma vie si je ne voulais pas reprendre mes bonnes vieilles habitudes. J’allais donc me glisser sous l’eau avec Jared – bin quoi autant faire de l’économie d’eau ! « Ne fait pas trop de bêtise avec la fille que tu ramèneras ce soir ! » plaisantais-je une fois ma douche prise et la main sur la poignée de sa porte prête à partir. Je ne pouvais pas dire que j’avais une relation « normale » avec lui, mais c’était sans doute la plus saine que je possédais – si on peut appeler ça sain. Après je n’avais pas vraiment de comparatif, il m’avait permis de sortir de la rue, il m’avait offert une nouvelle vie. C’était toujours mieux que bien d’autre qui m’avait roulé, usé de ma naïveté pour obtenir ce qu’ils désiraient. Je faisais un saut à mon appartement pour prendre mon sac contenant mes tenues pour le boulot, avant de me rendre à celui-ci. Une fois au club cette nouvelle vie que j’avais pu me créer prenait place. Jamais je n’aurais cru finir ainsi, danseuse dans un strip-club. Je pouvais tout de même me compter chanceuse d’avoir trouvé quelque chose qui voulait bien de moi malgré plusieurs petits détails. On me payait en argent et on ne posait pas de question, alors tant mieux. Ça aurait été plus compliqué si ça avait été autrement… C’était les biens fait d’avoir pu trouver un arrangement « respectable » avec le proprio. Il ne me fallait que quelques instants pour me changer, enfilant une jupe beaucoup trop courte pour être porté sur la rue, un chemisier que je nouais au niveau de ma poitrine et des bas à la mi-cuisse. En me regardant dans le miroir je ressemblais davantage à une écolière, à la différence c’était que mes vêtements étaient d’un blanc immaculé au lieu de la traditionnelle jupe à carreaux. Je ne comprenais pas se plaisir que pouvait éprouver certain homme à voir des femmes dans de tel tenue… Mais je n’étais pas là non plus pour m’opposer à leur désir. Si ça pouvait me ramener plus, pourquoi pas. Je chaussais finalement des talons d’une bonne dizaine de centimètre et plus, de véritable échasse. Je ne me sentais pas toujours à l’aise sur celles-ci, mais ça avait l’avantage de me faire paraître plus grande et de me donner des jambes interminables. J’allais sortir de la loge lorsqu’un des barmans m’accostait, m’expliquant qu’un client avait demandé à avoir une séance privée. Je le remerciais du renseignement, m’étonnant tout de même qu’on m’ait déjà réservé une salle alors que j’avais été qu’un instant dans la salle, le temps d’aller me chercher un verre. Personne ne m’avait vu encore… Un habitué ? Pourtant, on me l’aurait dit. Peut-être Jared ? Ou pire Nash… Jouant avec mes doigts, je me dirigeais vers la salle en question. En arrivant devant la porte, je prenais une profonde inspiration, me préparant à trouver n’importe qui derrière cette porte – et si c’était Jared, j’allais lui faire sa fête ! Ma main sur la poignée, j’ouvrais la porte, me faufilant à l’intérieur pour y découvrir un homme. Un homme totalement inconnu. Il ne me disait rien, enfin si peut-être un peu, un vague visage parmi tant d’autre. Je repoussais mes cheveux dans mon dos. « Coco. Et toi comment désires-tu que je t’appelle ? » Hors de question que j’utilise mon véritable prénom, c’est pourquoi j’avais repris mon nom de scène du cirque. Et je pouvais aussi comprendre qu’un client ne souhaitait pas divulguer le sien et je respectais cet anonymat. Je posais mon regard sur le brun, détaillant ses traits et je ne pouvais nier qu’il était sacrément mignon, voire sexy. Tout à fait mon genre d’homme et avant même que je ne réalise mon geste, j’étais en train de me mordre la lèvre. Je me devais de garder en tête qu’il était un client et non un simple mec que j’aurais pu rencontrer dans un bar et voir ce qu’aurait donner la fin de soirée… À cet instant, je savais comment celle-ci finirait et se serait bien dommage. Je m’approchais de lui, brisant la distance qui nous séparait, faisant le tour du fauteuil, je laissais mes doigts glisser sur le simili cuir. « C’est 20 dollars la chanson et on ne touche pas. » avais-je dis en me penchant pour que mes lèvres viennent susurrer ces mots tout près de son oreille. « Et si tu es sage, je retirai tout. »
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyDim 19 Nov - 10:50


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Roman Hollister n'avait jamais vraiment appartenu à la catégorie des gens biens. Et le jeune homme en avait toujours eu parfaitement conscience. Ce n'était pas faute d'avoir essayé de changer, mais c'était comme ça, c'était comme si le karma, le destin ou un truc comme ça s'acharnait sur lui. Bien entendu, le jeune homme n'avait jamais cru au destin. Bien au contraire. Mais il était forcé de constater que quoi qu'il puisse faire, il ne parvenait jamais à totalement se sortir des situations merdiques dans lesquelles il s'enfonçait. C'était comme ça, c'était la fatalité. Et en éternel pessimiste, le jeune homme avait décidé qu'il allait s'y faire. Qu'est-ce qu'il aurait bien pu faire d'autre de toute façon ? Pas grand-chose. Encore moins maintenant que c'était un ex-taulard. Il était obligé de vivre avec ce qu'il avait fait sur la conscience. Et le pire ? Il ne regrettait absolument pas. Des fois, il repensait à ce moment où il avait craqué, à ce moment qui l'avait mené derrière les barreaux. En rêve, il se revoyait, comme si ce n'était pas lui qui avait appuyé sur la gâchette mais quelqu'un d'autre. Et pourtant, c'était bel et bien lui le coupable de cet acte. Et dans ses rêves les plus sombres, le jeune homme retournait son arme contre son ex-compagne, après avoir tiré sur cet homme aussi détestable qu'insolent. Mais ce n'était qu'un rêve et la seule chose qu'il regrettait, c'était de ne pas être allé au bout de son acte, quitte à devoir aller en prison. Mais il ne pouvait pas réécrire le passé. En revanche, le jeune homme pouvait profiter comme il se devait de sa liberté retrouvée. Et il avait commencé dès qu'il était sorti, avant même de mettre les pieds à Washington. Les femmes, l'alcool. L'alcool, les femmes. Le jeune homme avait parfaitement conscience qu'un jour, son addiction pour les courbes féminines conduirait à sa perte. Mais il s'en fichait. Ce n'était pas comme s'il avait pour ambition de vivre vieux, avec une femme, des enfants et un boulot bien ranger. Parce que oui, Roman ne faisait pas parti des gens bien. Il avait toujours aimé jouer avec le feu et si un jour il finissait par se brûler les doigts, eh bien, c'était qu'il avait vraiment profité de la vie, selon lui. Rien de surprenant donc de voir cet homme, qui ne faisait pas parti des gens bien et qui avait développé une véritable addiction pour les courbes féminines, dans un club de striptease. Alcool, femmes. Femmes, alcool. C'était encore mieux quand il pouvait mélanger les deux. Et parce que Roman était Roman et que les refus, ce n'était pas pour lui il avait décidé que ce soir, c'était le bon soir pour tenter de rentrer chez lui avec sa nouvelle addiction. C'était risqué, il le savait. Il connaissait les stipteaseuses avaient tendance à mettre des barrières entre elles et leurs clients. Mais Roman n'était pas n'importe qui. Roman était audacieux. Et Roman savait ce qu'il voulait. Installé dans son fauteuil, il patientait. Et lorsque la créature de ses pensées fit son entrée, son visage se fendit d'un sourire, tandis qu'il ne se privait pas de parcourir son corps de son regard de braise. Il n'était pas là pour être gentil. Elle devait bien s'en douter, non ? « Coco ? », demanda-t-il en haussant un sourcil. Il n'avait jamais rien entendu d'aussi ridicule. « Je sais que ce n'est pas une habitude de donner vos vrais prénoms, mais tu aurais pu trouver mieux que Coco », fit-il remarquer. Mais bon, qui était-il pour en juger ? Personne. Ils ne se connaissaient pas. Peut-être qu'elle avait un lien particulier avec le surnom coco, qu'est-ce qu'il en savait. « Roman », finit-il par ajouter, pour répondre à sa question. Roman la dévisageait, un sourire moqueur dessiné sur son visage. Ce n'était pas tant qu'il se moquait d'elle. Mais la situation lui paraissait drôle. Maintenant qu'elle était face à lui, il n'était pas si certain que ça, qu'elle soit pleine d'assurance. Il avait surtout l'impression qu'elle s'en donnait l'air. Et il trouvait ça totalement adorable. Roman l'observait. Ça aurait pu paraître flippant mais il avait toujours été observateur. Sans cet aspect de sa personnalité, il n'aurait pas remarqué qu'elle le dévisageait et qu'elle se mordillait la lèvre. Le jeune homme ne put s'empêcher de sourire d'avantage. Se pouvait-il que le banal client ne la laisse pas indifférente ? Le jeune homme la regarda s'approcher et faire le tour de son fauteuil, pour lui susurrer ses conditions à l'oreille. Définitivement, elle avait tout pour plaire. Aussi belle que sexy, elle avait de l'audace, malgré son air ingénu. Dommage qu'il ne l'ait pas rencontré dans d'autres conditions, il aurait déjà été en train de la séduire pour tenter de la ramener chez lui. « Je promet d'être sage », murmura-t-il en tournant son visage vers le sien. Dans ces conditions, ses lèvres n'étaient pas bien loin des siennes. Dans une situation différente, Roman n'aurait pas hésité à en jouer. Mais il avait promit d'être sage. Et pour l'illustrer, le jeune homme frôla son bras de ses doigts, sans jamais toucher sa peau. Pas toucher, qu'elle avait dit. C'était dommage, il aurait bien laissé courir ses doigts sur sa peau. Mais s'il n'avait pas le droit pour l'instant, il était certain que tôt ou tard, ce serait elle qui lui réclamerait d'être touchée.


Dernière édition par Roman Hollister le Jeu 30 Nov - 16:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyMer 22 Nov - 2:47

Roman & Devon

you're my obsession

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Seule dans cette pièce avec ce client, je posais mon regard sur celui-ci. Il était jeune, sans doute dans la trentaine, le sourire qu’il affichait devait briser bien des cœurs. Célibataire ? En couple ? Il y avait tant de chose qu’un simple visage ne pouvait pas dire et inutile que je commence à me poser mille et une question sur le sujet. Il suffisait d’une danse ou quelques-unes pour que nos chemins se séparent et que nos vies reprennent leur cours chacun de notre côté. Seulement, une chose persistait dans mon esprit. Pourquoi moi ? Pourquoi pas une autre fille ? Ce n’était pas des danseuses qui manquaient ici. Je pouvais me sentir flatter de cela, mais quelque chose me disait qu’il y avait plus qu’un simple désir de voir une fille danser pour lui. Qu’espérait-il ? Je n’en avais pas la moindre idée, mais je pouvais me réconforter en me disant qu’il était à mon goût. Je préférais de loin un mec jeune et sexy comme client que ces hommes d’un âge très avancé qui venaient reluquer les filles en déployant que des petites coupures. Leur seul plaisir se retrouvant à faire glisser quelques billets sous la ficelle des sous-vêtements, laissant leur doigt râpeux toucher notre peau. « Si tu n’aimes pas, tu peux m’appeler comme tu le souhaites. Je peux être qui tu veux. » disais-je en haussant les épaules. J’espérais seulement qu’il ne serait pas de ces hommes macho qui pouvaient nous trouver des petits surnoms dégradant croyant dure comme fer qu’on aimait ça. Je ne comptais pas le nombre de mec qui m’avait surnommée « pétasse », « putain », « chienne » et ils avaient tous connus la sortie illico presto. J’avais ma dignité et ce n’était pas parce que j’étais strip-teaseuse que j’allais m’abaisser à ce niveau à leurs yeux. « Je trouvais ça plus original que Crystal, Natasha ou tout ce qu’on peut entendre. Au moins tu risques de t’en souvenir. Y’a qu’une seule Coco. » disais-je en lui adressant un petit clin d’œil qui n’avait rien de sensuelle, simplement ce petit côté gamine qui venait de prendre le dessus, trahi par mon sourire amusé. Mais je devais reprendre mon sérieux. Garder loin la gamine de la femme fatale – ce qui n’était pas toujours gagné d’avance ! Reposant ainsi mon regard sur lui, je le détaillais un peu plus cette fois. Un visage angélique, mais j’étais persuadée que ce mec n’avait rien d’un ange. Une façade. Quelque chose qui devait en duper plus d’un. Et je me surprenais à penser que j’étais une fois de plus attirer physiquement par un bad boy. Pourtant, mes exs n’avaient strictement rien de cette catégorie d’homme, mais tous les hommes où je tentais de me montrer réticente, trop fière, et qui parvenait à me mettre dans leur lit en moins de temps qu’il n’en faut pour dire sexe, avait toujours ce petit quelque chose que dégageait Roman. Tous sauf Nash, mais lui je n’arrivais toujours pas à mettre le doigt dessus. Il était certain que si j’avais fait la connaissance de Roman en d’autre circonstance, c’est dans son lit que j’aurais fini la soirée, mais ce soir il partait avec un gros désavantage : être client. Je m’approchais de lui, passant dans son dos. « Ça, c’est à moi d’en décider. » lui susurrais-je en approchant mes lèvres des siennes, laisser son souffle caresser la peau de mon visage. Il ne fallait qu’un mouvement pour que nos lèvres se touchent. Une infime mouvement. Je sentais un frisson m’envahir alors qu’il effleurait ma peau de sa main, rien de physique, simplement la sensation de sa peau près de la mienne, frôlant les poils de mes bras. De quoi donner envie d’en avoir plus, mais il ne se payait pas une baise, simplement une danse. Je gardais mon regard rivé dans le sien, ne faisant aucun battement de cil. Des yeux noisette. Je baissais mon regard sur ses lèvres toujours aussi proche des siennes, laissant un sourire fendre les miennes avant de me reculer. « Et si on commençait. » On allait très certainement pas rester toute la soirée à se regarder le blanc des yeux ! Je passais une main dans mes cheveux, avant de me diriger vers un système de son qui se trouvait au mur. Je regardais ce qui se trouvait dans celui-ci en me agitant le postérieur. C’était plus fort que moi, je n’aimais pas rien faire et j’avais déjà hâte de danser. Je ne savais pas trop pourquoi, mais il s’annonçait un public intéressant à divertir. Je m’arrêtais sur une chanson, la laissant commencer tout doucement, j’allais me mettre devant lui. Je commençais par quelques roulements de hanches, rien de bien aguichant. Un avant-goût. Une sorte de préliminaire avant d’entamer la dance. J’allais même jusqu’à caresser mes lèvres entrouvrant celles-ci. Ce mec allait en avoir pour son argent ! La musique prenait un rythme plus vite et je calais mes mouvements avec lui. Laissant mon corps onduler au gré de la musique, utilisant mes cheveux pour donner une touche plus sensuelle à tout ceci. Je ne restais pas longtemps debout me laissant descendre langoureusement jusqu’à m’accroupir, écartant mes jambes ce qui retroussait aussitôt ma jupe, lui laissant voir un panorama sur ma culotte – ou plutôt mon string – qui avait tout juste assez de tissus pour couvrir ce qu’il y avait à cacher. Il avait là une vue intime – et s’il était sage il aurait droit à encore plus intime ! Je fermais et ouvrais les jambes caressant mes cuisses, avant de poser une main sur le sol avançant vers lui à quatre pattes. Pendant tout ce temps, mes yeux ne l’avaient pas quitté du regard. À cet instant, dans cette pièce, il était la chose la plus importante. Je repliais mes jambes, me redressant, caressant mon corps de mon ventre à ma nuque avec lenteur, découpant les lignes de mon corps. Chaque courbes, chaque parcelle qui pourrait lui donner envie de caresser. J’étirais ensuite une jambe, laissant ma main la parcourir, avant de pivoter pour lui faire dos. Le rythme s’accélérait et j’en profitais pour twerker. Un mouvement tout ce qu’il y a de plus suggestif. Je remontais le bord de ma jupe pour lui offrir une vue agréable de mes fesses. Je me reculais un peu plus vers lui, brisant une nouvelle fois la distance qui nous séparait. Les préliminaires devaient connaître une fin, laisser le plaisir prendre place. Et c’était là bien mon intention. J’ignorais combien de danse il était prêt à payer, mais s’il désirait se limiter à une, les minutes comptaient. Toujours dos à lui, je me glissais entre ses jambes, effleurant celles-ci de mon corps. Basculant ma tête vers l’arrière, je posais mon regard sur Roman, alors que mes doigts dénouaient le nœud de ma chemise, laissant le tissu pendre dans le vide, lui offrant une vue plongeante sur ma poitrine légèrement couverte de deux triangles de tissus. Dans cette position serait-il tenté de toucher ? Serait-il toujours sage alors que je me trouvais entre ses jambes me dévêtissent !
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyJeu 30 Nov - 17:18


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Roman avait toujours été un personnage plutôt téméraire. Il ne réfléchissait que très rarement aux conséquences de ses actes. Tout comme il n'avait jamais eu peur de se brûler les doigts. Le danger, l'aventure, ça l'excitait. Il aimait le frisson que pouvait provoquer l'interdit. Seul dans cette pièce avec cette jolie danseuse, Roman se sentait plus excité par l'interdit qu'il ne l'avait jamais été. Il n'était pas complètement idiot. Il connaissait les règles. Ne pas s'approcher trop près des danseuses. Ne pas les toucher. Mais Roman n'avait pas très envie de suivre les règles. Il avait envie de les briser, une après l'autre. Ne disait-on pas justement que les règles étaient justement faîtes pour être contournées. Le jeune homme souriait. Il n'y avait rien d'amusant dans cette situation, il n'y avait que lui pour trouver cela drôle. Peut-être parce qu'il avait du mal à prendre cette situation au sérieux avec le nom que la belle venait de lui annoncer. Coco. Ça lui faisait penser à plein de choses, mais à tout sauf à quelque chose d'érotique. Cette femme était là pour vendre du rêve. Elle était là pour faire fantasmer de vieux pervers et des moins vieux. Encore que Roman ne se considérait pas comme un pervers. Dans tous les cas, Coco, ça ne le faisait pas rêver. Mais il pourrait passer outre. « Ça va, je devrais pouvoir m'y faire », souffla-t-il. Qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire dans le fond, le nom qu'elle portait. Lui, ce qui l'intéressait, c'était la forme de son visage. Les courbes de son corps. Ce n'était pas comme s'il risquait de prononcer son nom de scène des dizaines de fois dans la soirée. Roman n'était pas bien bavard. Il n'aimait pas parler. Il préférait agir. Certes, en théorie, ce soir il n'était pas supposé agir. Mais Roman était bien décidé à tenter sa chance. Même s'il était obligé de quitter le club et de ne jamais y revenir par la suite. Il y avait d'autres clubs en ville. Alors ce soir, c'était sa chance avec la belle. « Je reconnais que ça marque l'esprit. Je n'ai pas connu beaucoup de Coco », répondit-il. Aucune, pour être honnête. Et selon lui, la personne qui portait vraiment un nom pareil devrait faire un procès à ses parents. Roman ne put s'empêcher de sourire. De son sourire que sa sœur avait toujours qualifié de sourire de voyou. C'était tout son être qui souriait. Ses yeux qui brillaient de malice. Roman l'observait, son visage si proche du sien. Ses lèvres si proches qu'il lui aurait fallut avancer uniquement de quelques millimètres pour qu'il puisse l'embrasser. Mais Roman n'était pas décidé à perdre son temps. Il n'aurait pas voulu être chassé d'ici pour un misérable baiser. Il voulait s'immiscer dans son esprit. Avant la fin de cette soirée, ce serait elle qui le supplierait de la ramener chez lui pour lui faire perdre la tête. Du moins Roman ferait tout pour que ça arrive. Sans respecter les règles, bien entendu. « Je ne suis pas vraiment le genre d'homme à sagement obéir aux ordres d'une femme », susurra-t-il à son oreille. Il voulait bien se montrer sage, au moins un moment. Mais il ne pouvait pas lui promettre d'obéir sagement Et d'ailleurs, le jeune homme ne s'empêcha pas de frôler sa peau, de l'effleurer sensuellement. Il avait obéi. Il n'avait pas brisé les règles, pas encore, puisqu'il ne l'avait pas touché. Était-ce le fruit de son imagination, ou avait-elle frissonné face à ce contact ? Le jeune homme afficha un sourire presque carnassier. Oui, il était temps qu'elle commence. Le jeune homme ne payait pas pour quelques échanges de regard. Il hocha la tête, suivant du regard chacun de ses faits et gestes. La jeune femme le quitta, pour se diriger vers le système sonore accroché au mur. Le jeune homme ne se priva pas d'admirer son postérieur. Il fallait dire qu'il était plutôt mis en valeur, dans cette tenue moulante. Elle ne mit pas bien longtemps à le rejoindre. Ses hanches ondulaient et le jeune homme ne put s'empêcher de penser qu'il aurait aimé les sentir onduler dans un autre contexte. Ses pensées étaient hors de cette pièce. Par chance, bien qu'ailleurs, il était quand même avec elle. Il n'imaginait pas dans son esprit une quelconque femme qu'il ne pouvait pas avoir. Il n'y avait qu'elle. La musique accélérait, ses mouvements avec eux. Son attitude était aguicheuse. S'ils n'avaient pas été dans un club de strip-tease, il aurait pu penser qu'elle essayait plus de l'allumer que de le divertir. Les mains du jeune homme se crispèrent contre les accoudoirs du fauteuil. Regarder avec les yeux, ne pas toucher. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Ne pas toucher ? Vraiment ? Tout le corps de la jeune femme lui donnait envie de poser ses mains dessus. De redessiner ses courbes de ses doigts. Pour l'instant, le jeune homme se contentait de profiter du spectacle. Mais il savait que tôt ou tard, il allait fauter. Roman ne pouvait décemment pas rester là à l'observer s'accroupir langoureusement sans se laisser aller. Comment faisaient les hommes qui s'asseyaient ici sans bouger ? C'était de la torture. Les grands défenseurs des femmes pensaient que ces lieux rabaissaient la gente féminine, Roman était d'avis que c'était plutôt de la soumission de la gente masculine. Tout son corps s'embrasait. Le désir s'emparait de ses veines. Rester sage, se répétait-il sans cesse. Et s'il ne restait pas sage, qu'est-ce qu'elle allait lui faire ? Quelque chose lui disait qu'elle ne s'occupait pas de tous ses clients de la sorte. Ou alors, peut-être que c'était son désir un peu narcissique. La jeune femme lui offrait une jolie vue sur son sous-vêtement. Roman, malgré lui, se trahit en se mordillant la lèvre. Il avait plus ou moins pas mal d'idées sur ce qu'il aurait aimé lui faire, là tout de suite. Et cela n'incluait pas une quelconque utilité de ce bout de tissu. La jeune femme caressait ses cuisses et le jeune homme se disait qu'il aurait aimé le faire à sa place. Un sourire salace illumina son visage, tandis qu'elle s'avançait vers lui à quatre pattes. Le jeune homme passa sa langue sur ses lèvres, soutenant son regard. Devant ses yeux, elle se levait, passant ses mains de son ventre à sa nuque. Il aurait pu la caresser et lui faire tourner la tête, si elle le lui avait permis. Mais la demoiselle avait dit non. Désormais, elle lui montrait son dos, remuant ses fesses au rythme de la musique. Le jeune homme aurait aisément pu poser les mains sur ses hanches et l'attirer contre lui s'il le voulait. Comme si la jeune femme pouvait lire dans ses pensées, elle recula vers lui. Un sourire grandit sur ses lèvres. Il avait une idée derrière la tête. Tandis que la jeune femme se glissait entre ses jambes, ses mains se crispèrent une nouvelle fois contre les accoudoirs. Le jeune homme soutint son regard, se noyant dans ses prunelles marrons. Mais bien vite, ses yeux glissèrent vers ses mains qui défaisaient son chemisier. C'était trop pour son pauvre cœur d'homme faible. Roman n'était pas décidé à rester un simple spectateur plus longtemps. Et tant pis s'il s'attirait les foudres de la jeune femme. Sans crier gare, le jeune homme posa ses mains sur ses épaules et l'attira contre lui, plaquant son dos contre son torse. L'une de ses mains se posa sur sa cuisse, presque entièrement nue et il détesta cette maudite jupe d'exister. Qu'à cela ne tienne, il dirigea sa main vers l'intérieur de ses cuisses, tandis qu'il perdait son visage dans sa nuque. Le jeune homme huma l'odeur de sa peau. L'instant lui semblait si torride qu'il avait la sensation de se perdre dans un océan de désir. Son autre main glissa de son épaule à sa poitrine, se posant sur le tissu qui la recouvrait pour jouer avec. Si le jeune homme n'avait pas craint sa réaction, il ne se serait pas privé de glisser ses doigts en dessous. Mais il voulait donner à la jeune femme la possibilité de le repousser et de lui dire non, avant d'aller trop loin. Mais peut-être avait-il dépassé les limites depuis longtemps déjà. Après tout, il ne se privait ni de caresser sa poitrine, ni la peau nue de sa cuisse. « Je suis un garçon désobéissant », susurra-t-il à son oreille, dont il finit par délicatement mordiller le lobe. Il ne savait pas comment elle allait réagir. Alors le jeune homme avait décidé de jouer la carte de la provocation à fond. Au moins, la jeune femme ne pouvait avoir aucun doute quant à ses intentions réelles, qui n'étaient nullement de profiter de la danse. Toujours plus provocateur, le jeune homme embrassa son cou, caressant sa peau du bout de sa langue. « Il faut me punir », ajouta-t-il en plongeant son regard dans le sien. La balle était dans son camp maintenant. Et si elle avait tous les droits de le repousser, il ne lui restait plus qu'à espérer qu'elle ne le fasse pas.
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyJeu 30 Nov - 20:47

Roman & Devon

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« Dis plutôt que tu n’en as connu aucune. » disais-je en soutenant son regard. Ça semblait tellement lui déplaire qu’il fût évident qu’il n’avait jamais entendu ce sobriquet. Mais ça ne restait qu’un pseudonyme, il n’allait pas le crier ou autre, il était simplement là pour cacher ma véritable identité. Bien que pour moi, il faisait partie de moi bien plus que Devon. C’était ainsi qu’on m’appelait dans le cirque et c’est durant dix-huit ans de ma vie que j’avais porté celui-ci, oubliant pratiquement mon vrai prénom. Prénom que j’avais fini par reprendre en arrivant à la capitale. J’avais besoin de quelque chose pour commencer cette nouvelle vie. Une nouvelle vie remplie de vice. Et sans doute que j’allais m’en mordre les doigts de tous les vivres en si peu de temps, mais qu’importe. On a qu’une vie après tout. Mon regard posé sur son sourire, je lui trouvais un air délinquant qui clashait sérieusement avec son visage et à vrai dire ça me plaisait. Je me demandais de plus en plus qui pouvait être cet homme. Des questions qui resteraient sans réponses. Un petit rire m’échappait, rien de bien méchant, mais je l’aimais bien ce mec. Il n’avait rien des autres clients et son attitude comme ses paroles trouvaient le moyen de me faire sourire. « Dommage, car c’est moi qui ait le contrôle. » Mais il y avait des moments où laisser la femme choisir pouvait mener à bien des surprises – hein Jared ! Bien qu’il semblât un spectateur intéressant à divertir, au fond de moi je savais qu’il aurait du mal – et peut-être moi aussi. Mais je ne pouvais pas me permettre de tout laisser partir en vrille. J’avais des règles à suivre autant pour ma protection que simplement parce que c’était les règles du club. Je pouvais venir à perdre mon emploi. Bien que je susse que des filles beaucoup plus ouvertes avait des relations dans les cabines privées. Est-ce que j’étais prête à aller jusque là ? Je ne savais pas trop. Je me devais d’être professionnelle. C’est ce que je me répétais en posant mon regard sur le brun. Et dire qu’ailleurs, il aurait déjà tenté quelque chose, je le savais simplement à son regard, tout comme j’aurais sans doute répondu à ses gestes et allusions. Si j’écoutais mon for intérieur, je voulais bien de lui entre mes cuisses. MAIS VOYONS DEVON SOIT PROFESIONNELLE, s’écriait ma conscience. Préférant commencer plutôt que de livrer un duel à ma conscience qui commençait à me faire la liste des contres et moi qui désirait voir la liste des pour. Je laissais la musique commencer. Quelque chose de léger, qui laissait le rythme s’endiabler au fil des secondes. Je gardais mon regard posé sur lui, analysant chacune de ses réactions, sachant que je pouvais lui offrir plus si ce que je faisais était suffisant ou non. Ces jointures blanches et cette lèvre mordillée étaient des signes qu’il aimait ce qu’il était en train de voir. Je désirais qu’il pense qu’il était le seul et unique à vivre ce moment, alors qu’en réalité, il était un parmi tant d’autre. Ce n’était pas parce qu’il me faisait de l’effet que j’en faisais plus. Je me laissais simplement répondre à la musique, laissant mon corps être possédé par les notes. Brisant finalement la limite qui nous séparait, lui offrant un peu plus de proximité en me trouvant entre ses jambes. Ma respiration avait ralenti, mon regard se posant dans le sien. Je retirais mon chemisier, le laissant glisser jusqu’au sol. Surprise. Je retenais un cri d’étonnement en le sentant m’agripper. Si ma respiration s’était adoucit, voilà qu’elle prenait un rythme plus rapide. Je sentais la chaleur de son torse contre mon dos pratiquement nu. La faible couche de vêtement qui nous séparait semblait avoir disparue, me faisant fermer les yeux. Cette main qui glissait sur ma cuisse, me fit mordre ma lèvre. Cette chaleur qui irradiait de sa paume et c’était sans parler de ce souffle que je ressentais contre ma nuque. Gardant les yeux fermés, je savourais ses mouvements contre ma peau. Ses doigts contre ma poitrine. J’avais tellement envie de guider sa main entre mes cuisses, lui donner le feu vert pour qu’il y glisse quelques doigts. Sa main sur ma poitrine qu’elle me pousse à une sensation encore plus palpable qu’elle ne l’était déjà lorsque je sentais ma poitrine se durcir. Ce mec avait un pouvoir sur moi que je n’arrivais pas à décrire, je lui aurais laisser faire tout ce qu’il désirait de moi. « Très désobéissant. » murmurais-je d’une voix faible, trop craintive qu’il remarque qu’à cet instant je le désirais plus que tout. Je le voulais vraiment, je voulais m’abandonner à lui, sans que je sache pourquoi. Au contact de ses lèvres contre mon cou, je poussais un soupir trahissant mon envie à son égard. Je tournais la tête vers lui. Le punir… « Je ne peux pas. » soufflais-je entre mes lèvres, glissant ma main sur la sienne qui se trouvait sur ma cuisse avant de la retirer. Doucement, je me relevais pour me mettre debout face à lui. « Si je devais te punir, je devrais faire venir les videurs et je n’en ai pas envie. » disais-je en le regardant, glissant mes doigts entre ma peau et le tissu de la jupe. Délicatement, je la laissais glisser sur mes hanches, puis sur mes cuisses jusqu’au sol. « Je ne peux pas te donner ce que tu désires, pas dans cet endroit… » Je ne le refusais pas, pas complètement. Mes doigts tirèrent sur les ficelles de mon haut ainsi que de mon string. Posant mon regard sur lui, je laissais ma poitrine se soulever au gré de ma respiration que je désirais la plus lente possible. Levant le pied, j’allais poser mon talon sur son épaule. Je savais qu’il avait une vue sur mon intimité, mais ça ne me dérangeait pas. Je le poussais légèrement contre le dossier du fauteuil, le gardant loin de moi pour lui dire : « …mais je peux te laisser toucher. » Oh j’allais m’en mordre les doigts, je désirais plus qu’un simple toucher, mais je ne pouvais pas plus. Pas ici. Pas maintenant. Mais j’en mouillais déjà à savoir ce qu’il pouvait s’imaginer vouloir me faire. Glissant ma main sur mon corps, je retirais mon pied pour venir me mettre à califourchon sur l’une de ses jambes, passant mes bras autour de son cou, je glissais mes doigts sur sa nuque, plongeant mon regard dans le sien. Cette danse prenait une tournure bien différente et doucement, je me mettais à onduler mon bassin, me frottant à lui. Lentement, puis plus vite, serrant la poigne de mes doigts autour de ses boucles brunes. Mon regard ne le quittait pas. Je voulais voir ce regard de désir qu’il avait pour moi. Je voulais le voir perdre pied comme j’allais le faire si ça continuait. Je me sentais excitée et dieu seul sait que j’avais envie de lui. Le laissant me toucher comme bon lui semblait, je désirais sentir le contact de ses doigts sur ma peau. Sentir sa chaleur. Sentir ce courant électrique qui passait bien entre nous, malgré qu’il ne pût pas tout faire, que je ne pouvais pas poser mes lèvres sur les siennes ou encore lui retirer ses vêtements pour qu’on soit à égalité. On devrait se contenter de l’imagination, mais j’avais le pressentiment qu’il pourrait m’envoyer au septième ciel qu’avec un simple toucher.
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyDim 17 Déc - 20:00


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devon & roman

Était-elle la seule Coco qu'il avait connu ? C'était une certitude. Mais le jeune homme ne pouvait s'empêcher d'aborder ce sourire insolent. Parce qu'elle l'amusait. Roman prenait plaisir à voir quelle semblait vouloir être exceptionnelle, unique. « C'est habituel, ce désir de paraître unique ? », questionna-t-il, carrément insolent. Il était curieux de savoir si elle cherchait simplement à se rendre exceptionnelle à ses yeux. Se pouvait-il que son look de mauvais garçon fasse son petit effet sur la jeune femme ? Roman avait l'habitude de séduire les femmes. Il l'avait toujours assumé. Mais jamais il n'avait tenté de séduire une femme payée pour vendre du rêve aux hommes. Mais elle représentait un défi pour lui. Malgré ce que son visage laissait présager, Roman n'était pas un ange. C'était plutôt un ange déchu. Il aimait le défi, il aimait jouer avec le feu et il n'avait pas peur de se brûler les doigts. Au contraire, plus ça brûlait, plus ça lui plaisait ? Le jeune homme n'était pas du genre à se laisser démonter, pas plus qu'il n'était du genre à obéir sagement aux ordres. La jeune femme avait le pouvoir, elle était celle qui dictait les règles. Et le jeune homme n'était pas certain que ça puisse lui plaire. « Pour l'instant », précisa-t-il toujours sans se défaire de son sourire insolent. C'était elle qui dictait les règles pour le moment, mais ce n'était pas certain qu'il allait se laisser dicter sa conduite très longtemps. Roman était un enfant aussi têtu que désobéissant et la jeune femme ne tarderait sans doute pas à s'en apercevoir. Le jeune homme n'était pas le genre d'homme à apprécier de se laisser divertir. Il n'aimait pas recevoir sans donner en retour. Mais pour l'heure, il voulait bien se montrer sage. Il voulait bien être obéissant. Roman posait son regard sur ses courbes féminines, qui donnaient envie de poser les mains dessus. Est-ce que la jeune femme se serait plus facilement laissée séduire s'il l'avait rencontré dans d'autres circonstances ? Son regard ne trompait pas. Le jeune homme se disait qu'il y avait peut-être une ouverture. Une ouverture qu'il ne se priverait pas d'exploiter et il ne parlait pas seulement de l'ouverture de ses cuisses là. Roman était attentif. La musique se faisait entendre et la jeune femme remuait en rythme avec celle-ci. Roman se fit la remarque qu'il aurait bien aimé se lever et danser avec elle. Se coller dans son dos et onduler des hanches au même rythme. Ah, qu'il aurait aimé la rencontrer dans un bar quelconque et avoir ainsi le droit de danser avec elle. Même si Roman n'était pas un grand amateur de danse, il aurait prit plaisir à la rejoindre. A la place, il se contentait d'admirer ses courbes qui ondulaient avec une sensualité qui ne le laissait pas insensible. Il se contentait d'admirer ? Pour un temps seulement. Parce que le jeune homme n'avait pu s'empêcher de poser ses mains sur elle, de les laisser courir contre sa peau dénudée. Comment aurait-il pu rester sage ? C'était trop pour lui. C'était plus fort que lui. Si elle décidait de le foutre dehors, au moins il aurait essayé. Il n'allait pas quitter cette pièce sans tenter le tout pour le tout. Et cela semblait fonctionner. Il la semblait réceptive à ses doigts sur sa peau. Il la sentait frissonner contre son torse. Il avait l'impression qu'elle s'échauffait sous ses doigts, il semblait sa respiration s'accélérer au rythme où se soulevait sa cage thoracique. Le jeune homme esquissa un sourire provocateur. Oui il était désobéissant. Mais elle ne pouvait pas dire qu'il ne l'avait pas prévenu. Le jeune homme n'était pas un enfant obéissant. C'était un enfant capricieux, qui voulait faire tout ce qu'il avait dans la tête, sans que personne ne s'oppose à lui. La jeune femme pouvait vraiment s'opposer à lui ? Leurs regards se croisèrent et le sourire de Roman disparu. Son regard était brûlant de désir. Et soudain, ses lèvres s'entrouvrirent et des mots s'en échappèrent. Elle ne pouvait pas. Sa main se posa sur la sienne, pour la retirer. Ainsi donc, c'était non ? Elle avait pourtant envoyé des signes contradictoires. Roman ne comprenait plus rien. Et il était terriblement frustré. Pourtant, la jeune femme continua à parler, le perturbant encore un peu plus. Elle ne voulait pas prévenir les videurs. Elle retirait sa jupe. Roman ne comprenait plus grand-chose à ce qui lui arrivait. Tout ce qu'il voyait, c'était ses courbes mises à nu. Ses sous-vêtements qui ne laissaient plus beaucoup de place à l'imagination. Le jeune homme avait du mal à suivre la conversation. « Ce que je veux », répéta-t-il. A ce mots, le jeune homme réussit enfin à cesser de contempler ses cuisses pour poser son regard sur son visage. « Je suis le seul à le vouloir ? », demanda-t-il en haussant un sourcil. Il avait un petit doute à ce sujet. Le regard que la jeune femme lui accordait laissait penser le contraire. Un nouveau sourire en coin apparu sur son visage. Lui se foutait pas mal du lieu où ils se trouvaient. Si elle y tenait, ils pouvaient même sortir dans une ruelle sombre, un mur ferait tout aussi bien l'affaire. Mais il trouvait ça bien moins excitant que l'interdit de leur situation. La jeune femme se défit des derniers morceaux de tissu qui restaient sur sa peau. Le jeune homme détailla sa silhouette de son regard. Elle était fine. Un peu trop peut-être. Il n'empêchait qu'il désirait poser ses lèvres sur sa poitrine qui se soulevait à chaque inspiration, qu'il souhaitait poser ses mains sur ses hanches et l'attirer contre lui. La jeune femme le devança. Son talon se posa sur son épaule, le poussant d'avantage dans son siège tandis qu'elle lui offrait une vue merveilleuse sur la partie la plus intime de son être. Le jeune homme se mordilla la lèvre. Oh, qu'il avait envie de goûter au fruit interdit. Malgré lui, il remonta son regard sur son visage, supportant son regard comme s'il la mettait au défi. Roman était bien décidé à la provoquer d'avantage, jusqu'à ce qu'elle finisse par envoyer ses règles au diable. Son sourire s'élargit soudain. Elle pouvait le laisser toucher. C'était un début. Ce n'était pas tout à fait ce qu'il avait en tête. Cela signifiait offrir, sans recevoir en retour. Or, Roman était plutôt un adepte du plaisir partager. Mais c'était une barrière qui venait de tomber, plutôt facilement. Et il avait sa petite idée de comment faire tomber les suivantes. La jeune femme s'installa à califourchon sur l'une de ses jambes et le jeune homme en profita pour entourer sa taille de son bras. Elle ondulait du bassin contre lui, allumant un incendie dans son être. La jeune femme ne pouvait plus rien manquer de son excitation, tout son être se tendait, à mesure qu'elle accentuait le désir qui l'embrasait. Le simple fait de sentir ses doigts sur sa nuque le faisait frissonner. D'un geste rapide, le jeune homme passa ses doigts dans ses cheveux. Il les laissait glisser entre ses doigts, avant de les empoigner pour forcer la jeune femme à basculer la tête en arrière. Sa gorge à nue s'offrait à lui et le jeune homme ne tarda pas à y poser ses lèvres pour mordiller sa peau au goût fruité. Ses mains se posèrent sur ses fesses, et il l'attira d'avantage contre lui. Maintenant que les jambes de la jeune femme enserraient ses hanches, il laissa courir ses doigts sur chacune de ses courbes. Le jeune homme la fixait du regard, bien décidé à savourer chacune de ses expressions. Ses mains parcoururent ses épaules, caressèrent ses seins fermes, chevauchèrent ses hanches, s'aventurèrent sur ses cuisses. Et finalement, son regard plongé dans le sien, ses doigts se glissèrent sur l'entre de son plaisir, chaud et humide, qu'il caressait avec délicatesse et langueur. Quelques secondes s'écoulèrent, avant que le jeune homme ne glisse ses doigts en elle. Doucement d'abord, avec plus d'insistance ensuite. Et puis, plus rien. Le jeune homme la libéra de son étreinte, un sourire sadique sur ses lèvres. Il avait fait naître le plaisir, il avait fait monté le désir, pour l'en priver maintenant. « Tu es vraiment certaine que tu n'en veux pas plus ? », demanda-t-il, plutôt fier de lui, sans se défaire de son sourire provocateur.
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyLun 18 Déc - 5:58

Roman & Devon

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Posant mon regard sur Roman, je me mordais la lèvre, non pas en guise de réponse à sa question, mais simplement que ça m’amenait à une certaine réflexion. Unique visuelle, je ne l’avais pas toujours été, j’en étais persuadée même si je n’avais plus de souvenir. Ce flash que j’avais parfois me montrait toujours un reflet de moi-même. Et je ne pouvais pas effacer les paroles des médecins discutant entre eux profitant du fait qu’ils croyaient que je dormais pour dire que j’avais reçu le cœur de ma jumelle. Est-ce qu’on était pleinement identique, je ne pouvais pas dire. Est-ce que ça faisait de moi quelqu’un d’unique pour autant ? Pas totalement. Est-ce que je cherchais à l’être ? Non. Je savais que des clients passaient de fille en fille et me voir comme l’exclusive n’était pas un sentiment qui m’intéressait. Ça causait souvent plus de problème qu’autre chose. De l’attachement qui n’avait pas lieu d’être. De la jalousie. De la possessivité. « Peut-être. Peut-être que non. » répondais-je finalement. Je préférais de loin garder mes distances, car bien vite certain venait à la conclusion qu’on leur appartenait, qu’on était à eux et seulement à eux. J’en avais vu des cas comme ça et je préférais me tenir loin de tous ces problèmes. Je pouvais bien trouver quelqu’un à l’extérieur d’ici si je cherchais réellement à me mettre en couple, si je désirais simplement assouvir un plaisir. Je n’avais pas besoin des clients du club pour cela. Et pourtant, face au brun, j’aurais été prête à franchir la différence entre strip-teaseuse et prostituée, lui ouvrant mes cuisses. Lui offrir un privilège que je n’avais jamais fait à un inconnu. J’avais envie pendant un instant de sentir son pouvoir sur moi, me posséder, de le laisser faire tout ce qu’il voulait de moi et la danse que je lui offrais ne faisait qu’augmenter ce désir. Ma garde baissée, je me sentais prisonnière de ses bras et pourtant, je n’avais pas envie de m’enfuir. Je me perdais dans ses caresses, harpé par l’envie d’en avoir plus. Il était désobéissant et j’en étais heureuse. Il pouvait transgresser chacune d’elle, je ne voulais qu’une chose que ses caresses n’arrêtent jamais. Et je finissais tout de même par me faire violence, sachant que je n’avais pas le choix. « C’est toi qui me paye après tout. » Des mots dures. Je n’avais pas bronché alors que mon corps tout entier vibrait, réclamant encore ses contacts sur ma peau. Le laissant me caresser ainsi, je lui avais fait voir que je le désirais et je ne pouvais. C’est ce que je tentais de me convaincre, mais plus je regardais son visage, son sourire et bien vite je brisais les limites à ne pas franchir. Laissant tomber le peu de vêtement qui me restait, je me dévoilais à lui bien plus tôt que je ne l’aurais pensé. Je récompensais un vilain garçon ! Mais quelle idée ! Dictant encore quelques règles, je me laissais aller. À cheval sur sa cuisse, j’ondulais mon bassin, frottant mon intimité contre sa cuisse. Mon regard ne le quittait et je basculais la tête en arrière dans un soupir alors qu’il tirait sur mes cheveux. Mes ongles s’agrippaient dans la chair de sa nuque. Ses mains revenues sur ma peau, je tentais de garder les yeux ouverts, même si j’aurais aimé les fermer pour ressentir encore plus intensément ses caresses. Il n’y avait pas d’autre issu que de plonger mon regard dans le sien, gardant ma concentration sur lui. Épaule. Seins. Hanches. Tout allait trop vite. Sa main se glissant entre mes cuisses, je laissais un soupir m’échapper. Mon regard toujours visé dans le sien, je faisais tout pour ne pas le poster sur ses lèvres. Dès lors que je les regarderais j’aurais encore plus envie d’elles. C’était une torture. Me retenir commençait à me déplaire. J’aurais aimé lui en donner tout autant, mais je ne pouvais pas. Poussant une plainte rapidement étouffé en fermant mes lèvres, je fermais les yeux en le sentant en moi. Pourquoi ce mec était venu chambouler ma soirée ? Alors qu’il me donnait du plaisir, ma raison me disait que je ne pouvais pas aller plus loin et de l’autre côté, je me disais que je pourrais pas avoir plus si ce n’était pas ici et maintenant. Doux, puis… Il n’y avait pas de mot pour décrire ce qu’il me faisait vivre. Je le sentais se dégager et je n’avais qu’une envie agripper son poignet pour retenir sa main et la garder en moi. J’entendais sa voix et j’ouvrais les yeux. « Oui. » me forçais-je à dire. Je savais bien qu’il devait avoir compris que tout mon corps le désirait et il n’avait pas idée à quel point je le voulais maintenant en moi. Je détournais le regard, me relevant, le laissant sur sa faim autant que la mienne. Je me penchais pour prendre mes vêtements qui traînaient à ses pieds. « Je n’aurais même pas dû aller jusque-là. » Non en effet ! J’allais devoir appeler Jared pour lui dire que j’allais passer chez lui après mon service. Hors de question que je reste ainsi sur ma faim. J’enfilais la jupe ainsi que mon chemiser. Je n’osais plus le regarder. Me rendant à la radio, j’arrêtais la musique. « Puisque ce n’était pas vraiment une danse. Pour cette fois, ce sera gratuit. » Et avant de le laisser dire quoi que ce soit, je sortais de la pièce. C’était tout ce que j’avais trouvé à faire pour ne pas tomber dans ses bras, pour ne pas plonger dans ce plaisir charnel que je découvrais sous ses mains. Je me dirigeais vers le bar commandant un shot, que j’avalais cul sec. Je sentais encore ses doigts en moi, la chaleur de son corps. Déposant le verre sur le comptoir, je ne regardais d’aucune façon les clients et prenais la direction des toilettes pour femme du club. Poussant la porte, je posais mon regard sur un groupe de fille sans doute venue pour profiter des danseurs. Les sortirent et je m’assurais que la pièce soit vide avant de poser mon regard sur mon reflet. On ne le remarquait pas vraiment, mais mes pommettes étaient couvertes d’un léger rose. J’avais chaud et mon entrejambe dégoulinait sur mes cuisses. Déposant mon soutif ainsi que mon string près du lavabo, je continuais de me regarder, glissant ma main entre mes cuisses. Mes doigts se mirent à caresser ma petite boule de chair entre mes jambes, mordant ma lèvre j’empoignais de ma main libre le robinet. Je fermais les yeux m’imaginant son visage ainsi que ses mains sur mon corps. J’enfonçais mes doigts en moi et mes dents dans ma lèvre inférieure. Mon autre main se serrait autour du chrome. Ce n’était pas assez et je le savais, mais je ne pouvais tout simplement pas attendre la fin de mon service. J’avais encore en mémoire son visage, mon corps ressentait encore sa chaleur. Pourquoi je n’avais pas rencontré ce mec en dehors de mon taff !  
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyMer 27 Déc - 17:03


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Roman devait bien avouer que cette demoiselle l'amusait. Cette volonté de se montrer mystérieuse, cette volonté de paraître unique … C'était à se demander s'ils n'étaient pas déjà dans un jeu de séduction. Roman l'était, c'était une certitude. Et il était persuadé qu'avant la fin de la soirée, la jeune femme serait sous son charme. Le jeune homme ne pouvait se défaire de son sourire provocateur. Elle réveillait en lui un animal qu'il avait tenté d'éteindre et d'enfouir au fond de lui. Une bête féroce qu'il avait tenté de laisser sommeiller. « Mystérieuse ... », constata-t-il. Comme à son habitude, le jeune homme n'utilisait que très peu de mots pour s'exprimer. « J'aime ça », ajouta-t-il en guise de conclusion. Est-ce qu'il aimait vraiment cela ? En effet. La jeune femme aurait eu beaucoup moins d'intérêt à ses yeux si elle n'avait pas eu une part de mystère. Si elle n'était qu'un physique, elle aurait été vite effacée de son esprit. Des jolies filles, il y en avait partout. Elle avait quelque chose de différent. Un petit côté exotique. Un côté indomptable. La jeune femme avait ce quelque chose qui pouvait faire chavirer l'esprit de Roman. Et quand il parlait de se laisser séduire, il parlait bien entendu d'un point de vue uniquement physique. Roman avait depuis longtemps renoncé à l'idée d'aimer une femme à nouveau. Mais il aimait leurs courbes, leurs peaux. Et la jeune femme avait des courbes qui savaient retenir son attention. Le jeune homme la regardait se déhancher et son désir d'elle ne cessait d'augmenter. Ce qu'il pouvait dire, c'est que sa danse et ses courbes étaient plaisante à observer. Mais le jeune homme n'était pas le genre d'homme à observer sans agir. Il avait sans cesse besoin d'action. Ce n'était pas surprenant donc que le jeune homme ait perdu le contrôle. C'était un dérapage voulu. Poser ses mains sur son corps, c'était céder à ses caprices. La jeune femme pouvait bien lui en vouloir, le mettre dehors peut-être, ce n'était pas bien grave. Au moins il avait essayé. Mais la jeune femme ne le repoussa pas. Pas vraiment. Pourtant sa réplique acerbe le fit grimacer. « Vraiment ? », demanda-t-il en haussant un sourcil. Ce n'était pas ainsi qu'il voyait les choses. Certes il était venu ici pour s'offrir une danse et plus si affinité. Mais j'avais il n'avait payé une femme pour du sexe. Cela dit, si elle le voyait comme ça, ça ne lui posait pas plus de problème que ça. Il y avait une première fois à tout, il pouvait bien payer si elle le désirait. Jamais il n'aurait envisagé de faire appel aux services d'une prostituée, mais pourquoi pas. Qu'importe ce que la jeune femme était prête à lui offrir, il était prêt à le prendre. Maintenant que sa peau était totalement nue, maintenant qu'elle se frottait à lui de manière suggestive, le jeune homme n'avait plus aucune retenue. Il prenait plus à caresser sa peau, à franchir toutes les limites, à repousser les barrières et à contourner les règles. Il se fichait de ces règles idiotes selon lesquelles il ne pouvait pas toucher. Elle lui avait donné l'autorisation et il se prenait le droit de dépasser les limites. Au point même de parcourir de ses doigts les parties les plus intimes de son être. Le jeune homme éprouvait un certain plaisir sadique à la voir parcourue de plaisir de la sorte. Mais il aurait voulu plonger en elle tout entier, pas se contenter de la parcourir de ses doigts. Il savait que certaines filles de ce club dépassaient les limites. Les clients parlaient. Elle en revanche semblait obéir aux règles. A son grand désespoir. Mais s'il devait rester frustré, il ne serait pas seul. Ainsi peut-être que la jeune femme finirait par lui céder. Après tout, tout son corps lui indiquait qu'elle le désirait. Alors le jeune homme tenta un coup de poker. Un coup de poker qui ne s'avéra pas payant. Le jeune homme fronça les sourcils, passablement agacé. « T'es sérieuse ? Tu t'en vas ? », demanda-t-il bêtement. Elle était déjà allé trop loin ? C'était le cas de le dire. Roman se sentait quelque peu prit pour un con et cela ne lui plaisait pas. Pourtant la jeune femme était bel et bien en train de se rhabiller pour le laisser planté ici, avec sa frustration. Roman fronça les sourcils. Une ombre semblait passer sur son visage, chassant rapidement l'image angélique qu'il avait d'habitude. « Attend », siffla-t-il entre ses dents. C'était trop tard, la jeune femme lui avait déjà échappé. Elle avait disparu, par la même porte par laquelle elle était entrée. Le jeune homme passa ses mains sur son visage. Il n'en revenait pas, elle avait vraiment osé le planter là comme un coup. Il était frustré, c'était le cas de le dire. Pourtant, l'idée de se tripoter ne l'enchantait pas. Trop vulgaire. Si le jeune homme voulait une femme, il avait une femme. Il ne s'était jamais laissé dire non. Et il était certain que la jeune femme lui aurait dit oui, s'ils n'avaient pas été sur son lieu de travail. Bon, lui n'aurait eu aucun mal à sauter une de ses collègues dans un placard à balais, ni une des nombreuses clientes que son père défendait dans une affaire de divorce. Mais ça c'était lui. Il pouvait respecter le fait qu'elle ne veuille pas être payée pour se taper ses clients. Le jeune homme soupira. Il tenta de reprendre ses esprits avant de sortir et se dirigea immédiatement vers les toilettes pour se passer de l'eau sur le visage. L'eau froide ne le calmait pas vraiment, mais au moins, il faisait descendre un peu la colère qui était montée en lui avec le départ de la belle. Puis le jeune homme se dirigea vers le bar et commanda une bière. Il la descendit en regardant les femmes qui se déhanchaient sur la scène. Elles étaient fades, banales, vulgaires. Lorsque le jeune homme eut finit sa deuxième bière, il apprit que le club allait fermer. Il paya donc ses consommations et se dirigea vers la sortie. Adossé contre le mur de l'entrée, il alluma sa cigarette et patienta. S'il recroisait la jeune femme, cette fois, il ne la laisserait pas filer entre ses doigts. Cette fois, ce serait lui qui aurait les commandes.
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Devon FloydTrust always hurts in the long run
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MessageSujet: Re: we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT]   we are all searching for someone whose demons play well with ours ✻ devon [HOT] EmptyDim 31 Déc - 3:34

Roman & Devon

you're my obsession

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Tels les douze coups de minuit, je prenais la fuite comme Cendrillon face au prince. Une situation loin d’être comme le conte de fée, mais tout en donnait l’illusion. L’idée de dépasser la limite autorisée m’avait mené à reprendre sur moi. J’aurais pu être comme beaucoup d’autre qui n’avait que faire des règles, qui répondait à la pure des pulsions, mais j’en avais été incapable. Et pourtant, je le regrettais déjà alors que je me trouvais dans les toilettes. Les regrets me tombaient dessus avec un goût amer. Je l’avais voulu en moi, je le désirais même encore là alors que je tentais de chasser cette frustration qui grandissait en moi, mais rien à faire. Elle ne me quittait pas et encore moins lorsque des filles firent irruption dans la pièce. Je devais prendre mon mal en patience et simplement me dire qu’après je n’aurais qu’à aller chez Jared pour assouvir la frustration. J’ignorais si le brun avait décidé de rester, de se prendre une autre fille ou au contraire était parti. Mais par ma faute, on devait être deux frustrés. Quelle idiote ! Pourquoi je n’avais pas fait comme les autres ? Les filles me le disaient, il y avait un certain plaisir à baiser les clients. Sauf que je ne me voyais pas faire cela et sans doute que contrairement à elles, je n’avais aucune envie de me retrouver sans emploi. Chassant mes pensées, chassant surtout cet homme de mon esprit, je reprenais le travail, acceptant de retourner dans une salle privée. Cette fois, ça n’avait rien de semblable. Je ne ressentais pas cette pulsion qui m’avait parcouru alors que je me tenais devant le précédent client, Roman. Tout mon être vibrait, le désirant. Une alchimie que je n’avais jusqu’alors jamais ressentis. Cet envie de tout donner à une personne. De savoir que cette sensation n’est que purement physique, mais pour laquelle il n’existe aucune logique. Face à Roman, je n’avais ressenti aucune logique, ma raison avait simplement décidée de se mettre à off pour laisser mon corps parler. Comment aurait pu être ce moment ? Je savais que jamais je n’aurais la réponse à cette question. Devant ce second client, je dansais, me déhanchais sans pour autant lui accorder toute mon attention. Après sa danse, je le regardais partir, glissant les quelques billets dans ma jupe avant de me diriger vers les loges pour récupérer mes choses. Le club allait fermer et il était hors de question que je m’éternise plus longtemps dans ce lieu. Prenant tout de même le temps de me changer, j’enfilais mes vêtements avec lesquels j’étais arrivée. Malgré la fraîcheur de la saison, c’est en short de denim, bas-collant et débardeur que je sortais du club, le blouson de Jared sur mes épaules. Celui-ci beaucoup trop grand pour moi, je semblais disparaître dans le cuir. Un dernier au revoir à l’équipe du bar et je passais la porte, laissant une silhouette se dessiner au coin de mon regard. « Le club est fermé, vous feriez mieux de revenir plus tard. » disais-je en tournant la tête pour voir le brun. Je me figeais un instant. Que faisait-il là ? Quelle question ! « Si tu attends une des filles, elles sont toutes déjà parties. La majeure partie parte par derrière, je crois que tu t’es fait poser un lapin. » Voilà mon explication à sa présence là. Il avait sans doute été retrouver une autre des filles, ils s’étaient donnés du plaisir et en désirait sans doute plus. Ça ne pouvait être que ça. Je le détaillais une nouvelle fois, surprise de toujours ressentir cette envie envers lui. Ses mains se posant sur mon corps. La peau satinée de ses lèvres contre la mienne. Je secouais la tête doucement, chassant ces idées lubriques. Il n’existait à mes yeux aucune autre chose possible. J’avais fui devant lui, il était certain qu’il avait passé à autre chose. Pourquoi s’attarder à une fille comme les autres qui ne lui avait même pas donner ce qu’il désirait ? Je lui adressais un sourire, glissant mes mains dans les poches du blouson. « Bonne soirée. » disais-je finalement sans trop lui avoir laissé le temps de parler. Je n’allais pas m’attarder devant le club, surtout que le froid commençait à caresser mes jambes et j’avais un moment à marcher avant d’atteindre la station de bus. Entrouvrant mes lèvres, je regardais la légère volute de fumée quitter mes lèvres, me faisant comprendre qu’il faisait froid. J’avais hâte de trouver le confort d’un lit, la chaleur des draps tout comme la chaleur du corps de Jared… ou. Je tournais la tête pour regarder un instant Roman. Mes yeux se posèrent sur le bâtonnet suspendu à ses lèvres. Je rebroussais chemin, revenant vers lui, m’approchant cette fois, retrouvant pratiquement cette proximité qu’on avait partagé dans la salle privée du club. Vissant mes prunelles dans les siennes, je laissais ma main glisser jusqu’à la sienne et délicatement, mes doigts vinrent prendre sa cigarette que je lui volais pour la porter à mes lèvres. Ce n’était qu’une illusion, mais j’avais l’impression de me réchauffer, mais était-ce grâce à la cigarette ? Ou plutôt à nos corps de nouveau à quelque pas l’un de l’autre ? Je l’observais. « Tu sais, ce n’est pas parce que tu es canon que rester ainsi ne te rend pas chelou. Tu ferais mieux de venir revoir la fille plutôt que de l’attendre ainsi. Ça fait vieux pervers. Ce n’est pas ce que tu es, dis-moi ? » Je prenais une longue taff avant de la laisser s’échapper de mes lèvres. Incroyable, mais vrai, je lui parlais comme si tout ce qui s’était passé quelques heures plus tôt n’avait jamais eu lieu. Et pourtant, si je fermais les yeux, je pouvais toujours sentir ses doigts en moi. Mon corps près du sien me donnait envie de ressentir une fois de plus cette sensation. Si je n’écoutais que mon moi lubrique, je prendrais sa main pour la glisser dans mon short. Mais étais-je prête à lui faire comprendre que je n’avais pas remis de culotte ? Je n’étais même pas certaine s’il désirait encore de mon corps après mon départ précipité. « Je devrais peut-être y aller avant de devenir désobéissante. » Une perche ? Sans doute.  
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