AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez
 

 Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2, 3, 4, 5, 6  Suivant
Elisa McLeodGrateful for the family we chose
Elisa McLeod
MY BOOK COVER▹ posts : 1837
▹ credits : google
▹ avatar : Lucy Hale
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Summer C. Dawson atteint d'une leucémie.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean le musicien, célibataire.
Layla M. Stone la psychologue, célibataire qui est bisexuelle.
▹ age : 25 (31.10.1993)
▹ activité rp : Mes RP's en cours

NoahElenaYohann

Mes RP's terminés

NoahLennonRiverAmalia



Carnet d'adresses
▹relations:

Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptySam 7 Juil - 23:41

Il y a des hasards qui durent toute une vie.

feat. Elisa & Noah

Depuis quelques temps, la brune se jetait carrément dans ses études, vu que les examens finals étaient en pleine route. Une chose qui n'est pas forcément la meilleure des choses à faire, en état de stress. Et si elle n'était pas en train d'étudier, la jeune femme était en train de faire du sport. Non, Elisa ne se trouve pas trop grosse, la brune veut seulement rester en forme. Hannibal risque de beaucoup l'aider. Ce petit chiot adore se promener dehors. Vu qu'il fait assez chaud, la brune prend la décision de s'enfiler sa jupe préférée, qui n'est pas trop courte, ni trop longue. Dans cette chaleur il ne faut pas s'habiller trop chaud. Comme t-shirt, elle porte un t-shirt moulant de couleur blanche. Comme souliers, la jeune femme porte comme souvent ses baskets préférés. Hannibal devient nerveux il n'aime pas être trop longtemps enfermé dans l'appartement. Souvent quand Elisa se perd de nouveau dans ses études, son chien aboie comme un fou, pour qu'elle se change des idées. Ce matin, la brune a déjà été courir au parc. C'est toujours calme là-bas et c'est aussi là, qu'elle a souvent rencontré ses amies. Il lui arrive aussi des fois de s'asseoir sur un banc, sortir sa guitare et chanter une chanson, accompagné de sa guitare. Souvent les gens restaient sur place pour l'écouter quelque chose qui plaît bien à la jeune femme. La belle brune n'est pas une personne très sociale, ainsi ses amis, elle peut les compter sur une main. Et si une fois elle réussit à s'ouvrir à quelqu'un, cette personne disparaît à nouveau de sa vie. Parfois la jeune femme pense être maudite. Peut-être dieu veut la punir pour quelque chose qu''elle a fait dans son passé. Un soupir l'échappe des lèvres, lorsqu'elle prend son petit manteau, qu'elle dépose sur ses épaules. Hannbial se trouve déjà près de la porte d'entrée et attend qu'Elisa arrive. En route direction parc, une personne vient pendant un instant, hanter ses pensées. Noah. Parfois, elle ne sait pas trop comment se comporter quand elle se trouve au même endroit que lui. Non, elle ne se sent pas mal à l'aise, mais il réveille des sentiments étrange en elle, que la jeune femme ne réussit pas à déchiffrer. Elle se dit, que cela n'a rien à dire, qu'elle a que ces sentiments étrange, parce qu'elle est seule. Un soupire lui échappe des lèvres, lorsqu'elle pénètre le parc, avec Hannibal. Le petit chien saute de joie, quelque chose dans ce parc l''attire. Doucement la jeune femme s'avance et remarque autour d'elle beaucoup, de personnes qui sont en train de lire des livres, écrire quelque chose, où bien ils sont en train de discuter avec des autres personnes. Après quelques minutes, la jeune femme voit une silhouette, qui lui est connu. C'est la silhouette de Noah et il est en train de dessiner. De là où la brune se trouve, elle ne peut pas voir ce qu'il est en train de dessiner, pourtant elle est curieuse. Mais Hannibal prend la décision pour la brune. Il se met en marche direction Noah. Doucement les deux s'approchent du jeune homme et Elisa jette tout de suite un coup d'oeil sur le dessin, que le jeune homme est en train de faire. « Wow. » Sort des lèvres de la brune. « Normal que tu sais utiliser tes mains, vu que tu es un artiste. » D'abord, elle ne réalise pas vraiment ce qu'elle vend de dire, sauf qu'elle trouve qu'il dessine très bien. Le moment où elle réalise le double sens de sa phrase, elle rougit légèrement. « Je ne veux pas te déranger en train de dessiner. » On peut très bien remarquer que la jeune femme est légèrement nerveuse, comme lors de leur première rencontre dans la bibliothèque.


made by guerlain for epicode


Dernière édition par Elisa McLeod le Lun 29 Juil - 21:05, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Noah H. DawsonFriendship is easier made than kept
Noah H. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 222
▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gif)
▹ avatar : Dylan O'Brien
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin)Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Twenty-eight y.o. ▹ 30.07.91
▹ activité rp : ElenaElisaSummer


Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyMar 10 Juil - 15:23


Elisa & Noah

Il y a des hasards qui durent toute une vie

Will you still be able to like me ?
C’était les vacances à l’université. Ça voulait dire que c’était maintenant les vacances pour moi, un temps de répit qui, physiquement, psychologiquement, faisait le plus grand bien. Pour le porte-feuille, ce n’était pas l’idéal, ça venait limiter mon choix d’activités, mais au moins, je pouvais prendre du temps, dessiner tranquille. Et compte tenu que c’était l’été, je pouvais élargir mes horizons, dessiner ailleurs que dans l’appartement que je squattais. Aujourd’hui, c’était au parc que j’allais m’y adonner. Non pas tant parce que le grand air était vraiment plus agréable, mais parce que les environs étaient une source incroyable d’inspiration. Cet homme qui faisait son jogging, pourquoi avait-il l’air fâché ? Cette femme qui se promenait seule, à quoi pense-t-elle ? De quoi discutent-ils, ces deux là ? Assis au pied d’un arbre auquel j’étais adossé, il n’en fallait pas plus pour que soudainement, dans ma tête, ils aient une histoire, une histoire que je couchais ensuite sur papier, à ma façon, comme je l’aimais, comme j’étais doué à le faire. Et quand je posais mon crayon sur la feuille, je ne démordais pas, pas tant que je n’avais pas terminé. Mais dans un lieu public, c’était plus difficile de faire une chose pareille, et la réalité me le prouva encore une fois, lorsque soudainement, un onomatopée vint m’interrompre. Je sursautai, mais j’étais tant habitué à me faire interrompre que maintenant, mon réflexe de lever mon crayon pour ne pas faire un trait et tout gâcher était bien développé. Levant la tête, c’est là que je vis Elisa, la regardant pile au moment où elle vint à faire un commentaire avec un sous-entendu qui m’arracha un sourire, qui faisait en sorte que je ne pouvais pas lui en vouloir de venir m’arrêter. En fait, ce serait bien difficile; ce n’était pas comme si je ne l’appréciais pas, ce n’était pas comme si nous n’avions pas passé du bon temps ensemble. Et ça, c’était sans parler que la timidité dont elle faisait preuve depuis cette fameuse fois, dans cette salle de classe déserte avait quelque chose de mignon. Et tout ça faisait en sorte que je fis quelque chose que je ne faisais pas souvent, voire presque jamais quand je dessinais, c’est-à-dire que lorsqu’elle sous-entendit qu’elle dérangeait, je lui répondis, d’un ton qui se voulait rassurant:  « Oh ce n’est pas grave, t’inquiète. » Et plus encore, sans m’en rendre compte, je ne fermai pas mon cahier de dessins, mais je le laissai ouvert, posé sur mes genoux. Habituellement, je n’aimais pas montrer mes dessins quand ils n’étaient pas terminés, bien souvent parce que je savais que ceux-ci ne plaisaient pas toujours. Moi, je faisais dans la caricature, les dessins animés et la bande dessinée. Les dessins délicats qui étaient plus susceptibles d’être appréciés, j’étais capable, mais ce n’était pas ce que j’aimais. Mais apparemment, la façon dont la jeune femme s’était exclamée m’avait mis suffisamment en confiance pour le laisser ainsi. Je ne poursuivis pas pour autant, portant mon attention sur la demoiselle, et sur le fait qu’elle n’était pas seule. Cherchant à entretenir la conversation, peut-être la rendre un peu plus à l’aise, puisqu’elle ne semblait pas tant l’être, je lui demandai:  « C’est ton chien ? Il s’appelle comment ? » Je ne m’osai pas pour autant à le caresser ou quelque chose du genre. Personnellement, je préférais plus les chats, puisqu’ils étaient plus mystérieux, et plus simples d’entretien. Je ne le dis pas non plus, attendant une réponse, attendant de voir comment la suite des choses pourrait se passer.
Revenir en haut Aller en bas
Elisa McLeodGrateful for the family we chose
Elisa McLeod
MY BOOK COVER▹ posts : 1837
▹ credits : google
▹ avatar : Lucy Hale
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Summer C. Dawson atteint d'une leucémie.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean le musicien, célibataire.
Layla M. Stone la psychologue, célibataire qui est bisexuelle.
▹ age : 25 (31.10.1993)
▹ activité rp : Mes RP's en cours

NoahElenaYohann

Mes RP's terminés

NoahLennonRiverAmalia



Carnet d'adresses
▹relations:

Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyDim 15 Juil - 0:47

Il y a des hasards qui durent toute une vie.

feat. Elisa & Noah

Elisa est du genre à trop se casser la tête pour tout et pour rien. Même maintenant, qu'elle est supposée être en vacances la jeune femme, révise de temps en temps ce qu'elle a appris jusqu'à présent. Un mécanisme qu'elle a pris, depuis son temps au Lycée. Non, on ne peut pas dire qu'elle est accro aux livres et à ses études, mais la jeune femme ne sait pas vraiment quoi faire de son temps libre. D'accord elle pratique de la musique et elle va se promener avec son chien, mais ce n'est pas la même chose. Au moment, ou le regard de Elisa se pose sur le jeune homme adossé contre un arbre, la brune réfléchit un instant avant de s'avancer et de lui adresser la parole, sans savoir laquelle sera sa réaction. La jeune femme est très douée à laisser entendre des sous-entendus, même si elle ne le veut pas. Son frère lui disait toujours de faire attention à ses paroles, car on pouvait parfois, ne pas réaliser ce qu'elle envisageait de dire. Ces pensées la font toujours soupir. Hannibal, son petit chien fait en sorte qu'elle s'approche encore plus, du jeune homme, qui n'est personne d'autre que Noah. Avant de prendre la parole elle observe pendant un instant ce qu'il est en train de dessiner et il faut avouer que ce qu'Elisa voit, lui plaît beaucoup. D'accord, elle est musicienne, mais la musique c'est aussi de l'art. La brune le voit sursauter, avant de lever la tête. Son regard se pose sur Elisa au moment, ou la chose qu'elle essaie toujours d'éviter arrive, elle sort des paroles, avec des sous-entendus. Heureusement, Noah ne le prend pas mal, comme sur son visage s'affiche un sourire. La seule chose que la brune espère est qu'il ne se fâche pas contre elle. La raison, même qu'ils ne se connaissent pas encore vraiment, la jeune femme a le sentiment, qu'il ne va pas la trahir. Et si Elisa a appris une chose au long de sa vie, c'est le fait que ses sentiments se trompent rarement. Elisa sait très bien, qu'elle tombe toujours dans sa timidité quand elle croit le jeune homme, la raison pourtant elle l'ignore. Mais la possibilité que cela vient de la fameuse soirée, qu'ils ont passé ensemble est fort possible. « Oh ce n’est pas grave, t’inquiète. » Heureusement, elle ne le dérange pas, car Hannibal lui aurait certainement pas aidé. Ce chien aime bien voir sa maîtresse, se ridiculiser en tout cas elle a souvent le sentiment. Mais elle adore son chien. La raison est bien simple, il est toujours la, pour elle. Elisa c'est acheté le chien pour ne pas être seule dans son appartement. La brune n'est pas une personne qui aime être seule. « J'adore tes dessins. » La brune dit avec un large sourire sur ses lèvres, lorsqu'elle regarde le cahier qui est posé ouvertement sur les genoux du jeune homme. « Est-ce que tu dessines souvent ici ? » La jeune femme demande, toujours son regard posé sur les dessins du jeune homme. À ses côtés Hannibal, se met à vouloir attraper un papillon, ce qui est assez marrant. Elisa adore son chien, il la fait sourire, quand personne d'autre est là pour elle. Tout à coup la brune, entend le jeune homme reprendre la parole. « C’est ton chien ? Il s’appelle comment ? » Sur le visage d'Elisa, on peut très bien remarquer, qu'elle est contente, que Noah essaie d'entretenir une conversation avec elle. « Oui c'est le mien, c'est Hannibal. Et oui, le nom vient du film, le silence des anneaux. Je suis une accro à ce film, comme je le suis aussi aux films d'horreur. Je crois que c'est la faute de mon frère. Il ne voulait pas que sa petite soeur devient une pleurnicheuse, alors il m'a fait depuis très jeune âge déjà des films d'horreurs. » Elisa ne se rend pas tout de suite compte, qu'elle est en train de parler sans points et sans virgules. Le moment où elle le réalise, elle se met tout de suite une main devant la bouche. « Je suis navrée, parfois je parle beaucoup trop, sans m'en rendre compte. » Elisa s'excuse aussitôt. « Est-ce que je peux te poser une question ? » Demande la jeune femme, mais elle ne laisse même pas le temps à Noah de répondre. « Je me pose depuis quelques temps la question, tu fais quoi à l'université. » La brune se pose réellement la question. À ce moment, Hannibal se couche non loin de deux et fait une sieste. Ce chien est parfois très étrange et il rassemble beaucoup à sa maîtresse. Elisa peut aussi parfois se coucher dans l'herbe et faire une sieste.


made by guerlain for epicode
Revenir en haut Aller en bas
Noah H. DawsonFriendship is easier made than kept
Noah H. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 222
▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gif)
▹ avatar : Dylan O'Brien
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin)Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Twenty-eight y.o. ▹ 30.07.91
▹ activité rp : ElenaElisaSummer


Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyJeu 19 Juil - 17:47


Elisa & Noah

Il y a des hasards qui durent toute une vie

Will you still be able to like me ?
J’avais toujours voulu arriver dans un bureau, un grand bureau, d’une bande dessinée, d’une revue ou d’un journal populaire, montrer mes dessins, et regarder l’air approbateur des grands patrons, les entendre me dire qu’ils aimaient ce que je faisais, que mes talents artistiques dépassaient tout ce qu’ils avaient pu voir précédemment. Enfin, la dernière partie, c’était peut-être de trop, mais mon point était que je voulais qu’il se passe quelque chose, de sorte à ce que je puisse vivre de mes dessins, les dessins que, toutefois, j’aurais choisi de leur montrer. Là, je laissais à découvert un dessin que je n’avais pas terminé, et je n’avais pas le contrôle sur qui le voyait ou pas, un dessin qui exposait la façon que j’avais de penser parfois, ma vision du monde, qui ne plaisait pas à tout le monde. Et souvent pour ça, je n’aimais pas montrer des dessins pas terminés, non-sélectionnés par ma personne. Je disais souvent, parce que là, tout de suite, avec Elisa, même si ce ne fut qu’avec un petit sourire timide que je pus accueillir son commentaire comme quoi mon dessin lui plaisait, ça ne me gênait pas, pas au point de faire un drame, surtout qu’elle ne m’en demanda pas davantage sur ce que je voulais représenter et exprimer, se contentant de simplement me poser une question comme une autre, à laquelle je répondis, plus aisément:  « Parfois, quand le temps le permet. » En hiver, c’était donc loin d’être l’idéal. Évidemment, je pourrais le faire, vêtu correctement, mais l’expérience m’avait appris que dessiner avec des gants, c’était loin d’être l’idéal. Oui, je pourrais toujours recopier plus tard, mais je n’aimais pas ça. J’aimais faire un dessin en une fois, utiliser mes erreurs pour élaborer la suite, appréciant le fait qu’un coup de crayon mal placé pouvait changer bien des choses, ouvrir à une foule de possibilités. Ne me voyant pas tant élaborer sur ça, sur ces détails qui ne concernaient que moi, qui, habituellement, n’intéressaient pas grand-monde, je décidai de porter l’attention, l’intérêt de la discussion sur Elisa, lui parlant de son chien, disant que ce n’était pas tant hors-sujet, puisqu’un temps agréable comme celui que nous avions en ce moment, ce n’était pas juste idéal pour dessiner, mais pour marcher, aussi. La jeune femme se montra plus loquace que moi, m’expliquant l’origine du nom de son chien et tout ce qui venait avec. Je la laissai faire, trouvant cela mignon, trouvant que son air un peu plus détendu avait quelque chose d’adorable, plus que lorsqu’elle était nerveuse, même si sa nervosité, en certaines circonstances, lorsque pas trop pesante, était mignonne aussi. Du coup, je la laissai faire, souriant doucement, haussant les épaules quand elle s’excusa pour lui signifier qu’elle n’avait pas tant à le faire. Puis, je penchai la tête sur le côté quand elle me demanda ce que je faisais à l’université. Apparemment, elle avait compris que je n’étais pas qu’un étudiant retardataire qui n’avait jamais fini son diplôme. Rigolant doucement au fait qu’elle me posait la question pour la première fois alors que nous nous connaissions depuis un temps déjà, je ne lui en voulus pas pour autant, compte tenu du fait que je n’en parlais pas tout le temps non plus, et je n’attendis pas plus longtemps pour lui répondre:  « Je suis assistant. » Trouvant que ma réponse n’avait pas grand-chose d’élaboré et pouvait certainement susciter des questionnements, compte tenu que le travail se faisait surtout dans l’ombre, j’ajoutai:  « En gros, je corrige les examens des professeurs qui m’embauchent pour le faire. » Dans le département d’art, puisque c’était là que j’avais étudié. Je n’allais quand même pas commencer à corriger des examens de mathématiques ou de droit, clé de correction ou pas. Passant outre cette activité connexe à laquelle je m’adonnais parfois en lien avec ça, refusant de laisser paraître quoi que ce soit, j’y allai pour quelque chose de plus personnel, qui, en fait n’était pas tant un secret, terminant en disant:  « Mais je n’aspire pas à faire ça pour le reste de ma vie. » avec un rire nerveux, me désolant de l’ironie de la situation selon laquelle je n’aurais pas voulu faire ça point, mais que je n’avais pas tant le choix, à défaut de pouvoir gagner ma vie avec ce que je voulais vraiment faire pour le moment.
Revenir en haut Aller en bas
Elisa McLeodGrateful for the family we chose
Elisa McLeod
MY BOOK COVER▹ posts : 1837
▹ credits : google
▹ avatar : Lucy Hale
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Summer C. Dawson atteint d'une leucémie.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean le musicien, célibataire.
Layla M. Stone la psychologue, célibataire qui est bisexuelle.
▹ age : 25 (31.10.1993)
▹ activité rp : Mes RP's en cours

NoahElenaYohann

Mes RP's terminés

NoahLennonRiverAmalia



Carnet d'adresses
▹relations:

Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyDim 22 Juil - 19:22

Il y a des hasards qui durent toute une vie.

feat. Elisa & Noah

Elisa est du genre à apprécier tout ce qui est artistique, cela vient peut-être du fait, qu'elle est musicienne. Pour la musique la brune risque de tout laisser tomber, même ses études, une chose qui arrive assez rarement. Parfois à ce niveau, elle est trop perfectionniste. Il lui arrive de rester collé sur ses livres durant toute une journée, parfois elle oublie même de manger. La peur de ne pas réussir ses études, la rend presque inhumaine. Heureusement, Hannibal fait en sorte, qu'elle doit se déplacer. Peut-être, elle est devenue comme elle est suite à quelque chose qui lui est arrivée dans son passé, mais quoi, elle l'ignore. Sa meilleure amie, Amaya est une des premières personnes, qui a réussi à la faire changer un peu les idées, même ce n'était pas de la même façon, que le jeune homme, qui se trouve non loin d'elle. Pour ne pas dire quelque chose de stupide, la brune prend la décision de poser une question banale, s'il dessine souvent à cet endroit. « Parfois, quand le temps le permet. » Un léger rire se fait entendre lorsque la brune s'imaginer Noah dans la pluie avec un parapluie en train de dessiner dehors. « Désolée, je viens de m’imaginer quelque chose d’intéressant. » La brune dit et essaie de se calmer. « Je viens de m’imaginer, que tu es assis ici dans la pluie, avec un grand parapluie, pour sauver tes dessins et des bottes. » Après quelques secondes, la brune se calme et elle espère qu'il ne le prend pas mal. En regardant un peu plus en détails les dessins qu'elle peut voir, il faut avouer qu'elle apprécie les dessins de plus en plus. Bien sûr, la jeune femme a des autres questions, mais elle ne les pose pas, il y en a des choses qu'un artiste aime bien garder pour lui-même. Quand les deux viennent au sujet de Hannibal, la brune se met à parler un peu trop des origines du nom de celui-ci. Peut-être, dire le nom aurait suffis. Un soupire l'échappe de ses lèvres. Elisa est du genre à souvent parler sans points et sans virgules. « Je dois t’ennuyer. » La jeune femme dit est baisse légèrement la tête, ce qui fait signe de son embarras. Heureusement, Elisa réussit à changer de sujet, mais elle s’en doute, que Noah doit être surpris du fait, qu’elle n’en est pas au courant, de ce qu’il fait à l’université. Il faut avouer, qu’Elisa n’a jamais osé poser la question. Qu’il rigole légèrement, soulage la brune, car il ne prend pas mal la question. Un soulagement, qui s’affiche aussitôt sur le visage de la jeune femme. « Je suis assistant. » Sur le visage de la brune, on peut très bien voir, qu’elle se pose la question, ce qu’il veut dire par assistant et on dirait que Noah a bien vu l’expression sur le visage de la jeune femme, car il ajoute l’explication peut après à sa phrase. « En gros, je corrige les examens des professeurs qui m’embauchent pour le faire. » Lui il fait au moins quelque chose. Elisa n'a que ses études et peut-être bientôt un mini job dans le restaurant du père de sa meilleure amie, Amaya. Peut-être, cela va changer la façon de vivre d'Elisa. Peut-être, ainsi, elle perd un peu plus sa timidité et non, elle n'est pas que timide lorsqu'elle est avec Noah, même si là, sa timidité est parfois vraiment grave. « Je trouve ça très intéressant. Même si personnellement je ne serais pas capable de le faire. Je pense que je suis trop tête en l’air pour pouvoir le faire. » La jeune femme dit en rigolant. « Tu corriges certainement, les devoirs qui sont dans le domaine de l’art, où est-ce que je me trompe ? » Elisa demande, en levant son regard vers les yeux du jeune homme. On lui a toujours dit, qu’il faut regarder les personnes avec qui on parle dans les yeux, ce qui n’est pas toujours une tâche facile pour la brune. « Mais je n’aspire pas à faire ça pour le reste de ma vie. » Elisa n'est pas vraiment surprise, elle s'en doutait déjà, qu'il ne veut pas le faire pour le reste de sa vie. « Qu’est-ce que tu envisages faire plus tard ? » La brune demande, lorsqu’elle s’assoit dans  l’herbe. La nature, quelque chose que la brune adore. C’est calme et l’odeur est différente que celle dans les rues. Hannibal vient se poser près de sa maîtresse et la brune se met à le caresser. « Tu sais, moi-même, je ne suis pas encore certaine de ce que je veux faire dans mon futur. Parfois, je me dis que je suis encore assez jeune et que j'ai encore le temps de me décider, mais autrement, je me dis que je suis en train de perdre mon temps avec des études, où je ne sais même pas si je vais les finir. » C’est la première fois, que la brune raconte ça à une autre personne qu’à sa meilleure amie et son meilleur ami. En gros, on peut dire que seul Yohann et Amaya sont au courant du fait qu’Elisa est un peu perdue. Un soupire s’échappe de ses lèvres et elle prend un air légèrement rêveuse. Parfois elle se demande, si au lieu de faire des études, elle aurait du se lancer dans la musique et prendre le risque, qui va avec. « Désolé encore une fois, parfois il m’arrive de parler, sans vraiment le vouloir. » Elisa ne veut pas, qu’il finit par se sentir mal alaise en présence de la brune.


made by guerlain for epicode
Revenir en haut Aller en bas
Noah H. DawsonFriendship is easier made than kept
Noah H. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 222
▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gif)
▹ avatar : Dylan O'Brien
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin)Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Twenty-eight y.o. ▹ 30.07.91
▹ activité rp : ElenaElisaSummer


Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyVen 27 Juil - 17:39


Elisa & Noah

Il y a des hasards qui durent toute une vie

Will you still be able to like me ?
J’aimais les gens qui avaient de l’imagination. Pas de l’imagination juste pour se débrouiller afin de réparer un tuyau qui coulait, comme bien des adultes savaient le faire, mais une imagination débordante. Peut-être pas similaire à la mienne, sachant que la mienne était plutôt riche, peut-être même un peu trop, mais qui sortait un minimum des balises imposées par la société. Un peu comme celle d’Elisa, pourrais-je dire. Enfin, pourrais-je dire avec le petit aperçu que j’avais de sa part en ce moment, qui, sommes toutes, fut suffisant pour que je ne sois pas ennuyé par ses dires, bien au contraire. Je me trouvais même à sourire, et pas seulement pour la rassurer, même si peut-être il ne serait pas mal qu’elle le prenne ainsi, au vu de comment elle semblait avoir peu de confiance en elle. Avoir confiance en soi, ce n’était pas toujours facile, encore moins en position de vulnérabilité comme je l’étais, en quelques sortes, en ce moment, mais je ne pensais pas avoir trahi mes insécurités à ce point à un moment dans ma vie d’adolescent et d’adulte. Enfin, pas au point de venir me cacher, de ne pas parler de cet avenir que je n’imaginais pas comme il était en train de se tracer en ce moment, triste assistant qui n’arrive pas à vivre de ce qu’il voulait, qui se trouvait à mollement parler de son métier actuel, avec des réponses banales, comme:  « Tu ne te trompes pas. » Ces mots, ils étaient destinés à faire comprendre à Elisa que oui, je corrigeais des devoirs en arts, même si c’était surtout ce qui était sujet à évaluation. En fait, je n’avais même pas le courage de le préciser, trouvant le sujet impertinent. Pas la conversation quand même, il était important de faire une distinction entre les deux, et comme pour le montrer, je ne cherchai pas à mettre fin à la discussion, venant faire ce que je considérais être une confession, même si c’était surtout une évidence, en fait, une évidence pour ceux qui me connaissaient mieux, qui le deviendrait certainement pour ceux qui apprenaient à me connaître, éventuellement. Et voulais-je qu’Elisa apprenne à me connaître un peu mieux ? Au vu de comment elle avait réagi en voyant mes dessins, en ne rigolant pas, en ne remettant pas mon style en question par un simple regard, une simple grimace, peut-être que oui. Enfin, suffisamment pour qu’après un petit rire nerveux, je vienne à répondre à sa question:  « J’aimerais vivre de mes dessins. » C’était si simple à dire, mais apparemment, c’était trop demandé. Je n’exigeais pas nécessairement de travailler à plein temps dans une maison d’édition ou pour un magasine quelconque. Mais un dessin, de temps à autre, était-ce trop ? Enfin, un peu plus qu’en ce moment, peut-être que oui, en fait, et parfois, ç’avait un caractère déprimant. Mais j’avais remarqué que tristement, c’était bien difficile de s’en plaindre. On me disait souvent que c’était ma faute, que j’avais pris un métier, un domaine trop instable pour vraiment espérer en faire quoi que ce soit de bien. Mais je ne me serais pas vu faire autre chose. Moi, dans un bureau, alors que je parvenais à me concentrer plus de dix minutes que lorsque je dessinais et quand je couchais avec une fille - et encore là, quand ça se faisait vite, dix minutes, c’est encore trop - c’était tout simplement impossible, inimaginable. Mais au moins, je pouvais me conforter en me disant que je n’étais pas le seul dans ce genre de situation. Maintes fois, j’avais vu des gens incertains, et j’en eus encore une preuve, là, devant moi, en la personne d’Elisa, qui m’expliquait qu’elle ne savait pas tant que faire de ses études, ni même si elle allait les terminer. Passant outre le fait qu’elle s’excusait encore une fois de ses paroles, puisque j’estimais que commencer à la rassurer à tout coup ne servait à rien, je décidai plutôt de lui demander:  « Pourquoi tu continues alors… ? » Mon but ? Certainement pas de la convaincre de tout lâcher ici et maintenant, bien que là, tout de suite, je ne pensais pas être un exemple de réussite scolaire vraiment. Je lui demandais parce que j’étais curieux, parce que je voulais voir si, d’une certaine façon, je ne pourrais pas me retrouver dans son histoire, ou juste l’écouter, si elle en avait besoin. J’avais beau ne pas avoir une tonne d’attention, j’étais quand même capable de faire ça, parfois.
Revenir en haut Aller en bas
Elisa McLeodGrateful for the family we chose
Elisa McLeod
MY BOOK COVER▹ posts : 1837
▹ credits : google
▹ avatar : Lucy Hale
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Summer C. Dawson atteint d'une leucémie.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean le musicien, célibataire.
Layla M. Stone la psychologue, célibataire qui est bisexuelle.
▹ age : 25 (31.10.1993)
▹ activité rp : Mes RP's en cours

NoahElenaYohann

Mes RP's terminés

NoahLennonRiverAmalia



Carnet d'adresses
▹relations:

Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyDim 12 Aoû - 15:07

Il y a des hasards qui durent toute une vie.

feat. Elisa & Noah

Elisa est une personne, qui a souvent du mal à bien s'exprimer. Il lui arrive même de parler beaucoup trop et cela, souvent sans points et sans virgules. Une chose qui fait souvent fuir les personnes, qui ne la connaissent pas encore. Son incertitude, elle essaie peut-être de le cacher de cette façon. La brune est une personne, qui a besoin d'être rassuré, une chose que son frère sait très bien faire, mais il ne se trouve pas dans la ville. Son meilleur ami ? À vraie dire, avec lui elle arrive à parler sans problème, peut-être la raison est parce qu'il est un peu comme un frère pour elle. Le sourire, qui s'affiche sur le visage du jeune homme, la brune espère que c'est dans un sens pour la rassurer et pour lui donner confiance en elle. Parler du métier de Noah avec lui n'est apparemment pas quelque chose qui lui plaît, où un sujet duquel il a envie de parler, vu sa réponse. « Tu ne te trompes pas. » Elisa est une personne très curieuse, qui aime bien apprendre plus sur les gens, qui l'entourent. Qu'elle ne se trompe pas, la fait sourire et non, elle n'est pas en train de se moquer du jeune homme, même loin de là. Même si elle ne va pas le prononcer à voix haut, elle l'apprécie vraiment. Elisa espère qu'elle ne va rien dire de faux. « Pour une fois que je ne me trompe pas. » Réplique la jeune femme avec un léger sourire sur ses lèvres. Lorsque les deux sont en train de parler, la brune continue à regarder le dessin que Noah a en cours. La jeune femme aime son style de dessin. Pendant un instant la brune, entend un rire nerveux de la part du jeune homme. « J’aimerais vivre de mes dessins. » Sur le visage de la jeune femme on peut très bien voir, qu'elle est légèrement surprise, mais à vraie dire Elisa trouve cela intéressant. Un artiste, même si c'est dans le domaine du dessin, les deux ont une chose en commun. Même si pour Elisa c'est plutôt la musique et l'écriture. « Tu vas certainement le réussir. En tout cas, je trouve tes dessins, très intéressant et beau. » La jeune femme dit avec sincérité. Le problème est que ne pas tout le monde apprécie l'artistique. Ce qui est bien triste. Comme, sans dessins, sans musique et sans danse, le monde sera bien triste. « J’ai une idée un peu stupide, en tout cas je dois avouer que je pense qu’elle est stupide. » La jeune femme dit avant de prendre tout son courage et de demander une faveur au jeune homme. « En gros, je veux rédiger une petite histoire avec des illustrations et je suis vraiment nulle en ce qui concerne le dessin, donc...ehm... » Elle ne sait vraiment pas trop comment s'exprimer, pour ne pas qu'il pense qu'elle veut seulement l'utiliser. « Enfaîtes, vu que je viens de voir tes dessins, tu peux y jeter un coup d'oeil et me dire ce que t'en pense ? » La brune demande est lui tend un petit bloc avec ses brouillons, qui ne sont pas vraiment top. « Je suis plus douée pour l'écrit que le dessin. » La brune avoue. Encore quelque chose d'autre, qu'elle vient de lui avouer, tout comme elle lui a confié, qu'elle ne sait pas encore si elle veut et va finir ses études. « Pourquoi tu continues alors… ? » C'est la première fois que quelqu'un lui pose la question. Elle-même se l'a déjà posé, mais la réponse change à chaque fois. Au début, elle voulait continuer ses études, pour ne pas décevoir sa famille. Puis, elle ne voulait pas les abandonner parce qu'elle a déjà gaspillé trop d'argent pour ses études. Maintenant, elle se dit, que de tout effet elle aura bientôt fini ses études. « La vérité est qu'au début, je ne voulais pas décevoir ma famille, mais là, je pense que c''est plutôt parce que je me dis, que de tout effet je les ai bientôt fini et puis j'ai fait d'intéressantes rencontre grâce à mon temps à la fac. » Oui, la plupart des gens que la brune connaît, elle a fait leur rencontre à la fac. Notamment sa meilleure amie. Sauf Yohann, lui elle le connaît depuis bien longtemps.


made by guerlain for epicode
Revenir en haut Aller en bas
Noah H. DawsonFriendship is easier made than kept
Noah H. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 222
▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gif)
▹ avatar : Dylan O'Brien
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin)Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Twenty-eight y.o. ▹ 30.07.91
▹ activité rp : ElenaElisaSummer


Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyMer 15 Aoû - 15:34


Elisa & Noah

Il y a des hasards qui durent toute une vie

Will you still be able to like me ?
Même si je savais qu’Elisa n’était pas ma famille, qu’elle n’était pas comme les autres, j’accueillis quand même son propos avec un enthousiasme qui n’était pas très contagieux, soit avec un simple sourire timide, refusant de me laisser bercer par des illusions, alors que je savais désormais que trop bien que ce n’était pas celles-ci qui me permettraient de décrocher un boulot. Ce n’était pas contre la jeune femme, j’agissais ainsi avec tout le monde, et pour ne pas provoquer de malaise, je préférais ne pas dire quoi que ce soit de ce côté. Ce fut donc limite une bénédiction qu’Elisa vienne à changer de sujet, me parlant de ce petit projet qu’elle avait, me demandant si je pourrais y jeter un oeil. J’étais un peu perplexe, je devais l’avouer, mais ne voyant pas pourquoi je lui refuserais une telle chose, j’haussai les épaules, refermai mon carnet de dessins que je mis soigneusement de côté, puis je dis:  « Si tu veux. » J’attrapai ensuite le bloc notes qu’elle me tendit, considérant ce qu’elle avait mis, des mots, des dessins, dessins qui me firent un peu froncer les sourcils. Non pas que c’était mauvais, mais quelque chose me chicotait dans ceux-ci. Peu habitué à faire des critiques aux autres, directement en tout cas, sans termes techniques, je cherchai mes mots, ne trouvant rien d’autre à dire que:  « C’est… C’est pas mal… » sans être convaincu de ce que je pourrais dire par la suite. Cherchant, j’ajoutai:  « Mais tes dessins semblent… Incertains… Comme si tu n’étais pas convaincue de ce que tu fais quand tu apposes ton crayon sur la feuille… » Un reflet de sa personnalité ? C’était possible aussi. Je ne pouvais pas prétendre la connaître beaucoup, même si physiquement, je l’avais découverte certainement plus que la normale des gens, mais elle me paraissait incertaine dans certaines situations. Et bien souvent, quand on dessinait, on se laissait aller à l’expression artistique, c’était révélateur de ses traits de personnalité. Enfin, c’était mon avis, mon avis basé sur le fait que je me sentais moi-même surtout lorsque je dessinais pour mon propre plaisir, et encore une fois, je ne prétendais en rien être un expert pour déterminer tout ça. Mais plus la conversation progressait, plus j’avais le sentiment de ne pas être tant à côté de la plaque. Un autre exemple, preuve que j’eus, ce fut quand elle parut peu décidée sur ce qu’elle voulait faire, comment elle se sentait par rapport à ses études actuelles. Mais encore une fois, bien mal placé pour le lui dire, surtout que j’étais loin d’être un exemple de la personne ambitieuse qui était parvenue à poursuivre et atteindre ses rêves, je ne commentai pas. Même que je cherchai bien malgré moi à détendre l’atmosphère, en répondant tout simplement:  « C’est vrai, tu m’as rencontré moi. » Sourire à la fois espiègle et narquois aux lèvres, j'attendis de voir sa réaction, ne pensant pas me mettre les pieds dans les plats quand je supposais qu’elle avait passé une bonne soirée en ma compagnie. En tout cas, moi, je ne pouvais pas dire que je ne m’étais pas amusé.
Revenir en haut Aller en bas
Elisa McLeodGrateful for the family we chose
Elisa McLeod
MY BOOK COVER▹ posts : 1837
▹ credits : google
▹ avatar : Lucy Hale
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Summer C. Dawson atteint d'une leucémie.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean le musicien, célibataire.
Layla M. Stone la psychologue, célibataire qui est bisexuelle.
▹ age : 25 (31.10.1993)
▹ activité rp : Mes RP's en cours

NoahElenaYohann

Mes RP's terminés

NoahLennonRiverAmalia



Carnet d'adresses
▹relations:

Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptyDim 19 Aoû - 15:25

Il y a des hasards qui durent toute une vie.

feat. Elisa & Noah

Elisa est une personne qui voit souvent la vie en noir, mais en même temps, il lui arrive de la voir aussi en rose. Un contraste bien extrême parfois. Son propre futur, la belle brune le voit plutôt en noir, par contre celui des autres, elle aime bien le voir en rose. Genre comme un futur de Noah dans le monde artistique, à vrai dire, la jeune femme le voit bien réussir dedans. Elle aime bien ses dessins, ce qui ne veut peut-être pas dire grande chose, vu qu'elle n'est pas vraiment une artiste, sauf si on compte la musique dans le même domaine. Ce qui n'est pas le cas pour tout le monde. Vite, la jeune femme se rend compte, que leur discussion risque d'être à un point mort, ainsi elle prend la décision de parler de son projet. Peut-être, une mauvaise idée d'en parler une personne, qu'elle ne connaît pas encore vraiment. Mais, elle préfère l'avis d'une personne, qui ne la connaît pas encore, que celui de quelqu'un, qui la connaît depuis longtemps. Les personnes qui la connaissent risquent de lui mentir, pour ne pas la blesser, apparemment ils ont tous peur, qu'elle se met à pleurer, mais Elisa n'est plus la petite pleurnicheuse qu'elle était une fois. Durant son adolescence, elle était battue très proche de l'eau, en tout cas ses proches le disaient toujours. Le moment où Noah hausse des épaules, la brune pense, qu'il ne va pas le faire, mais elle s'était trompée, heureusement. « Si tu veux. » Pendant un instant, la brune n‘est plus certaine. Peut-être, la jeune femme aurait dû se taire. Le moment où Noah attrape le bloc-notes, on peut lire sur le visage d‘Elisa, l‘inquiétude d‘avoir une plume trop moche. « Oui, je le veux. » La jeune femme dit avec certitude et attend avec impatience, ce que le jeune homme pense de tout ce qu’elle a jusqu’à présent. « C’est… C’est pas mal… » On ne réussit pas vraiment à déchiffrer la réaction d'Elisa, son visage reste calme, mais au fond d'elle, la brune se dit, que cela doit être moche. Vu la réaction de Noah. Elle réussit malgré le fait qu'elle en a envie, de soupirer. « Mais ce n'est pas bien non plus. » La brune finit à dire, peu avant que le jeune homme reprend la parole. « Mais tes dessins semblent… Incertains… Comme si tu n’étais pas convaincue de ce que tu fais quand tu apposes ton crayon sur la feuille… » Incertains, on dirait qu'il est en train de parler de la vie de la brune. Elisa est une personne, en tout cas pour l'instant, incertains de ce qu'elle veut faire. Incertains d'où le chemin sur lequel elle se trouve, va la mener. Est-il possible, que tout cela se reflète, dans ses dessins ? La brune l'ignore, elle est plutôt écrivaine, ainsi elle ne sait pas vraiment juger. « On peut donc dire, que mes dessins sont un reflète de ma vie. » La brune dit à voix haute. « Vu que je ne suis pas certaine d'où le futur va m'amener. » C'est déjà un bon signe, que la jeune femme s'en rend compte. De plus, il n'est pas encore trop tard de changer la voix de ses études. En tout cas la jeune femme l'espère. Parfois, la brune se demande, si aller à l'université était le meilleur des choix à faire, mais après elle se rappelle, de quelques moments intéressants, qu'elle a vécu là-bas. Notamment la rencontre avec Noah. Avant cette soirée, elle n'aurait jamais couché avec quelqu'un, qu'elle ne connaît pas. Mais, la brune ne le regrette pas. Grâce à ce moment, pendant un instant, elle avait oublié ses soucis. De plus, elle avait vraiment passé un bon moment, qui lui a apporté du plaisir immense. Mais, elle y a aussi fait la rencontre d'Amaya, une personne de laquelle, elle devient de plus en plus proche et qui est une des uniques personnes avec qui elle a osé parler de la fameuse soirée. « C’est vrai, tu m’as rencontré moi. » Ces paroles sorties des lèvres du jeune homme, la brune se met à sourire de son côté. Il a raison, elle a fait sa rencontre et elle ne le regrette pas. « Là tu as raison et c'était une rencontre plutôt intéressante. » La brune réplique avec un sourire charmant sur ses lèvres. « Sinon, tu passes beaucoup de temps ici ? Où tu restes que le temps d'avoir dessiné un peu ? Où jusqu'au moment, où quelqu'un vient te déranger ? Comme je viens de le faire. » La jeune femme demande. Elle sait très bien que les artistes n'aiment pas être dérangé. Une raison, pour laquelle elle est en train de se demander, pourquoi elle l'a alors dérangé. Peut-être, pour le simple fait, qu'elle avait envie de discuter, même avec une personne qui ne la connaît pas vraiment. « Si tu veux retrouver ton calme pour dessiner, Hannibal et moi on peut bien sûr continuer notre chemin. » Elisa n'aime pas le sentiment qu'elle a dans ce moment. Elle n'aime pas avoir le sentiment d'avoir dérangé quelqu'un, lorsqu'il était en train de travailler. Un soupire s'échappe des lèvres de la brune.


made by guerlain for epicode
Revenir en haut Aller en bas
Noah H. DawsonFriendship is easier made than kept
Noah H. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 222
▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gif)
▹ avatar : Dylan O'Brien
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin)Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Twenty-eight y.o. ▹ 30.07.91
▹ activité rp : ElenaElisaSummer


Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} EmptySam 25 Aoû - 14:56


Elisa & Noah

Il y a des hasards qui durent toute une vie

Will you still be able to like me ?
Je ne me considérais pas comme une personne qui n’était pas capable d’agir en société, mais parfois, j’avais des manquements concernant le niveau de tact à adopter dans des situations plus délicates. Et alors que là, jamais je ne m’étais senti inconfortable auprès de la jeune femme, là, je devais avouer que j’étais trop peu certain de l’attitude à adopter par rapport à ses propos. Parce que c’était triste qu’elle vienne à tirer une telle conclusion mais en même temps, je ne pouvais pas dire qu’elle avait tort de penser une telle chose de sa personne. Parce que dans ma tête, dessiner, c’était exposer sa vulnérabilité, ses points faibles. Et si c’était ça, ceux d’Elisa, d’être peu certaine d’elle-même, comme j’avais déjà pu l’observer un peu, alors ma conclusion, encore et toujours pour moi, faisait du sens. Mais pouvais-je vraiment le dire ? Non, quelque chose me disait que ça ne se faisait pas. Mais ne pouvant rester dans un total mutisme, je choisis de faire un entre-deux, et de dire:  « Peut-être… » Je ne disais pas oui, je ne disais pas non, je ne pouvais pas vexer qui que ce soit. Je pourrais me sentir victorieux après ça, mais en fait… Je trouvais que c’était tout simplement nul. Après une petite pause, je choisis donc de me ressaisir, pour ajouter:  « Ce que je vois surtout, c’est que tu crains de faire une erreur, donc tu n’appuies pas trop ton crayon, les contours sont un peu incertains… » Et oui, je faisais exprès de parler seulement du dessin et de ne pas m’étaler autrement. Et comme si je voulais me convaincre que mes propos étaient valides, je repris mon calepin après lui avoir redonné le sien, cherchant un dessin en particulier. Quand je le trouvai, je l’ouvris, de sorte à le lui montrer, et j’ajoutai:  « Pendant que je dessinais, quelqu’un m’a bousculé et j’ai fait un gros trait en plein milieu de celui-ci. » Le rapport ? C’était que je n’avais pas cherché à le recommencer, mais faire autrement, ne pas perdre confiance que j’allais arriver au bout de ce dessin. Bon, il n’était pas comme je le voulais dans un premier temps, mais l’idée était là quand même. Ça, je ne lui dis pas, ne voulant pas en dire trop non plus, estimant que peut-être, le mieux serait de détendre l’atmosphère. Une petite blague ne fut donc pas de trop, et ce fut rassurant de voir qu’elle en rigola un peu, même si bien rapidement, elle passa à autre chose. Avant ça, elle me donna raison, mais ce ne fut pas tant ce que je cherchais. Ce que je retins plutôt, c’était que limite, elle semblait stressée. Par ma présence ? Par ce que j’avais dit ? Je ne saurais le dire. Mais ce qui était encore plus étrange, c’était qu’à la place de m’enorgueillir de ce fait, je me sentais inconfortable, parce que… Je ne voulais pas qu’elle soit mal à l’aise. Depuis quand je faisais attention à comment les autres se sentaient, quand ça ne me servait pas nécessairement ? Je ne saurais le dire. Et le pire, c’était que je ne savais pas tant comment gérer la situation, me rendant encore plus mal à l’aise, faisant en sorte que je savais pas trop quoi faire. Je m’en tins d’abord au plus simple, haussant les épaules pour répondre à sa question:  « Ça dépend. », sachant très bien que j’aurais pu en dire plus, mais en fait, je n’en avais pas envie. Pas envie de m’étaler sur quelque chose qui, soudainement, avait peu d’importance à mes yeux. Me ressaisissant, je pris un peu sur moi, finissant par lâcher:  « Mais… Ta compagnie ne me dérange pas… » Loin d’être d’un naturel timide, je me surpris à avoir tout de même une certaine retenue dans le sourire que j’esquissai par la suite et plus encore, je n’en dis pas davantage, espérant que ce serait suffisant, sans en être totalement persuadé, même si je ne savais pas vraiment ce que je pourrais ajouter, comptant sur ma sincérité pour montrer que je ne disais pas ça pour bien paraître, mais parce qu’au fond, je le pensais vraiment.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MY BOOK COVER

Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty
MessageSujet: Re: Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}   Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18} Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Il y a des hasards qui durent toute une vie. {ft. Noah} {-18}
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 6Aller à la page : 1, 2, 3, 4, 5, 6  Suivant
 Sujets similaires
-
» [& Noah] Something in the way you look
» NOAH + 1 202 873 5927
» what the hell is going on ? + Noah
» you don't need to worry. (noah)
» Selina&Noah + I want you to want me

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
READ MY MIND :: Washington, District of Columbia :: Cathedral Heights-
Sauter vers: