allez debout ! w/maggie

Après avoir passé une journée à glander chez moi, je me décide à sortir de mon lit même Fergusson se met à ronchonner. Je crois que monsieur le chat serait bien resté au lit encore toute la soirée. J’enfile un jean avec un pull gris, passe rapidement mettre un coup de brosse dans les cheveux et hop ! L’affaire est réglée. Je ne sais pas vraiment où sont passé les filles ce soir. Enfin si, normalement Max est en train de bosser au bar à cette heure mais Kawai… Je n’en ai aucune idée. Je me fis un petit café pour regarder ce que je pourrais bien faire ce soir avec l’aide de mon ordinateur. Pourquoi pas un petit cinéma ? Mais, je n’ai pas spécialement envie de m’y rendre seul. Surtout que j’ai passé toute ma journée à regarder la télévision tout seul… Je réfléchis un moment, puis j’eus une petite idée. Ma nouvelle voisine est peut-être chez elle ? Je l’espère mais, je pense qu’il va falloir que j’essaie de m’arranger pour la faire sortir de son apparemment. J’enfile mes baskets puis, je finis par mettre ma veste, je vérifie si j’ai bien mon portefeuille puis, je viens à frapper à la porte de Margaret. Depuis son emménagement dans l’immeuble, je dois bien avouer que nous passons pas mal de temps ensemble. J’aime beaucoup sa compagnie. Le souci c’est qu’elle ne répond pas, je finis donc par clencher la poignée et je finis entré comme si c’était normal dans l’appartement de ma nouvelle amie. « Maggie ? » J’avance encore dans l’appartement guidé par le bruit de la télévision. J’arrive dans le salon lorsque je vois ma voisine assise dans son canapé en pyjama avec un gros bol de céréales entre les mains. Bon, elle est en mode : dépression ce soir. Je viens m’assoir à côté d’elle : « Tu plaisantes là ! Tu as vu l’heure qu’il est ? C’est encore trop tôt ou alors trop tard pour faire ce genre de chose. » Je lui pris son bol de céréales et je le pose sur la petite table : « et si tu enfiles une tenue pour sortir ? Je t’emmène au cinéma ce soir. Et interdit de négocié ! » Dis-je sur un ton faussement autoritaire. Puis je lui adresse un léger sourire en posant ma main sur son visage pour retirer une mèche rebelle : « Qui a-t-il ma jolie ? » Demandai-je tout de même.