Sujet: Re: (kawaii) voleuse de chemise ! Ven 24 Fév - 17:42
« C’est sure que je ne suis pas commun. Mais en même temps, je suis bien content car on ne peut pas me comparait à n’importe qui. Et tu es aussi l’une des meilleures colocataires qu’on peut avoir. Et pour ton père c’est normal, il fait attention à sa petite fille. » Tandis que Kawaii commence à me limer le pouce, j’hausse les épaules en réfléchissons un peu. « Honnêtement, je ne sais pas trop. Je sis plus à voir ce qui se cache derrière ce que l’on voit. » Répondis-je doucement. J’aime bien passé un peu de temps avec Kawaii, je sais qu’il n’y a pas de soucis avec elle et aucune ambigüité contrairement qu’avec Max. Il y a un truc qui me déstabilise chez elle, de plus en plus. Nous sommes d’accord que les animaux ont tous leurs petits caractères comme les êtres humains. Chose qui est plutôt normale après tout, ce sont des êtres douté d’émotions aux mêmes titres que les hommes. Lorsque Kawaii termine ma main, elle me demande que je donne ma deuxième main. Je fus pris d’un fou rire lorsque j’entendis les propos de mon amie, ce n’est pas faux ce qu’elle est entrain de me dire. Il est bien vrai que dans cette position, un homme ne pourrait pas ce sentir en danger. « Jamais ce méfié des apparences ! Jamais ! » Kawaii continua à me montré des vernies puis je finis par l’arrêter en disant : « Celui-là, en général le vert émeraude va très bien avec très bien avec mes yeux ! » Dis je avec un petit sourire. Je me mis a rire puis je finis par lui répondre d’un air sérieux : « Faut pas croire les enfants peuvent être très dure si on leur laisse le pouvoir ! Puis je suis sure que cela ferais plaisir à Fergusson. » Dis je avec un large sourire pour finir ma phrase. Puis lorsque je reviens à pensé à mes petites crises d’enfant, je me mis à rire. Heureusement qu’à présent je ne me mets pas à poil à la moindre contrariété sinon, je ne serais pas dans la merde. « Oui c’était marrant ! Surtout lorsque tu avais ma grand-mère qi me courrait après ! Les gens ont vraiment dû me prendre pour un taré. Oui, il vaut mieux. » Lorsque Kawaii vient à finir de posé le vernie, je regarde mes mains et les mets à côtés de mes yeux : « Alors comment ca me vas ? » Demandai-je avec un large sourire.
Je rigole en écoutant Clay prendre la défense de mon père. Bon, je suis un peu d'accord avec lui, mon père ne me voulait aucun mal à se croyant dans le disney de Raiponce, à vouloir me faire croire qu'ailleurs, les gens sont des ogres au dents pointues ou des brigands et autres. Je veux bien croire qu'il me protège plus qu'il ne le devrait avec ce qu'à vécut ma famille, mais il devait savoir qu'un jour ou l'autre, j'allais quitter la maison pour faire ma vie. C'est ce qu'on appelle grandir. Et puis pour vivre haut dans une tour, j'aurais quelques soucis avec mes cheveux bien trop court ! Mais pour me prendre à son jeu, je l'observe attentivement. « Tu sais qu'on pourrait te trouver des airs ressemblant au voisin du dessous, avec les joues un peu tombante, et les cheveux grisonnant ! » J'éclate de rire et lui ébouriffant les cheveux. Je plaisante bien sûr. Une petite blague taquine, avec le voisin de dessous qui n'est pas loin des 80 ans. J'oublie volontairement la seconde partie, ne voulant pas m'étaler sur le sujet de mon père trop protecteur. Je n'aime pas raconter l'histoire de ma famille, même si j'ai entièrement confiance en Clay et Max, je ne veux aucunement leur inspirer de la pitié avec la perte de ma mère et mon frère alors que j'étais bien trop jeune.
On parle de son genre de fille. Il n'en a pas vraiment. Je lui souris. Je comprends parfaitement son point de vue. « Ouais, tu ne t'arrêtes pas à un beau décolleté ou un joli popotin. De toute façon, elles sont nombreuses celles chez qui tout cela est complètement faux ! » Je dois avouer que pour moi, il y a d'abord cette attirance physique qui me pousse vers ce bonhomme. Puis après, il y a tout le reste. Car tout comme Clay, je ne m'arrête pas qu'à cela. Ce n'est qu'un premier pas le physique, c'est le mental qui fait tout le reste. Tout en continuant la manucure de mon colocataire très docile, j'écoute nos bêtises et même, je participe. « Jamais ? Tu veux pas plutôt dire toujours ? Il faut toujours se méfier des apparences ? » Il me donne la couleur, attrapant la petite bouteille de vernis en question pour me la donner. Il faut dire qu'avec tous les vernis que j'ai, il a le choix mon ami. J'attrape la bouteille puis je regarde ses yeux. « Ce sera donc vert pour monsieur ! C'est vrai que cette couleur va parfaitement avec tes yeux ! » Puis je fais la moue en déposant la couleur sur ses ongles. « Nooooon, il n'oserait pas me punir le petit monstre ? Je suis trop mignonne pour aller au coin avec la poussière ! N'est-ce pas Fergusson, je sais que je ne suis pas encore ta préférée, mais tu m'aimes bien quand même ? Hein ? » J'observe le chat qui se tourne vers moi, pour m'ignorer royalement et commencer à se lécher les fesses. J'éclate de rire. « Je crois que c'est pas encore gagné ! »
L'histoire que Clay me raconte sur le père noël, est à mourir de rire. Surtout qu'il en rajoute en racontant que sa grand-mère devait lui courir après. Je m'imagine la scène. « Tu ne devais pas être le seul je pense ! Ta grand-mère devait être rouge de honte de te courir après alors que tu étais tout nu. Pauvre femme, tu as du lui en faire voir de toutes les couleurs ! » Je finis enfin de lui faire ses ongles. Je le lui annonce joyeusement et avec un magnifique sourire, je range le matériel, gardant la lime et juste ce qu'il me faut pour faire les miens. Je regarde Clay approcher sa main de son regard. « Je dois bien avouer que tu as fait un très bon choix. Cette couleur te va à merveille très cher ami ! Maintenant, je dois me décider pour ma couleur à moi ! » Je suis tellement difficile que je sens que je vais y passer le reste de la soirée. Tester une première couleur, puis une autre et encore une autre, pour revenir sur la première. Enfin, je peux toujours essayer plusieurs couleur en même temps, une sur chaque ongle, puis finir par me décider.
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