i miss you |Azura

Ses pensées se dispersent. Pourtant, devant son dossier depuis des heures, il doit absolument le boucler avant de terminer. Rares sont les fois où Cyrius ne termine pas un dossier, quitte à faire des heures supplémentaires qui ne seront pas comptabilisées dans sa paye. Vu son salaire en même temps, il ne va pas non plus se plaindre. Ce n’est pas ses heures supplémentaires qui vont l’aider à mettre du beurre dans ses épinards, c’est son salaire de base en lui-même. Enfin, il n’arrive pas à se concentrer. Pourtant le cas sur lequel il bosse est autant intriguant que passionnant. Il aurait adoré travailler là-dessus, c’est comme un challenge qui sort de la norme mais au lieu de ça, sa tête et son cœur n’y sont pas. Ca fait des jours qu’il y pense. Il a beau avoir essayé de joindre Azura au téléphone ces derniers jours, il est toujours tombé sur sa boite vocale. Il sait qu’elle est occupée mais il pense véritablement qu’elle l’évite. En même temps, pourquoi rompre avec lui par sms et non pas en face à face ? Il veut comprendre et même s’il pense savoir une partie des raisons qui l’ont poussé à le quitter, il veut avoir des explications avec elle et si possible essayer de la récupérer. Elle lui manque. Cyrius ne peut en parler à personne puisqu’il est marié et qu’Azura est sa maitresse alors il se prend uniquement la tête avec lui-même, essayant de l’enlever de ses pensées. Il aimerait en parler à quelqu’un mais il ne sait pas avec qui. La seule personne avec qui il pourrait en parler l’ignore totalement donc ce n’est pas facile. Il n’est pas du genre à mettre son boulot de côté pour ce genre de chose, sans doute est-ce parce qu’il n’a jamais vraiment connu de réelle rupture ? C’est fort probable puisqu’il a rencontré sa femme au lycée, ils ne se sont jamais quittés à proprement parlé et il n’a pas connu d’autres femmes qu’Azura. Qui lui donnait un nouveau vent frais dans sa vie monotone, qui lui donnait un sourire dès le matin quand il se réveiller dans le même lit qu’elle. Un sourire qui a disparu de sa routine depuis des lustres maintenant. Depuis qu’Azura lui a dit que c’était fini par sms, ce sourire n’a plus montré un signe de vie. Alors il cogite, encore et encore et fini par abandonner son travail. Tant pis, il reviendra demain plus tôt pour le terminer avant que ses collègues ne viennent. Au lieu de rentrer chez lui, il sait très bien où il veut aller. L’idée de lui emmener des fleurs lui a traversé l’esprit, il ne va pas mentir mais il n’a pas envie de tomber dans le cliché du mec qui a des choses à se faire pardonner et qui veut reconquérir quelqu’un. La reconquérir il ne dit pas non mais avant cela il veut des explications et surtout qu’ils se parlent tous les deux. Tout allait tellement bien entre eux que la rupture a été comme un coup de poignard dans son cœur bien qu’il ne le montre pas. Sa fierté le lui en empeche. Arrivant devant chez Azura, il ne perdit pas une seconde avant de sonner, attendant qu’elle arrive et une fois la porte ouverte, il lui dit un simple « Hey » d’une voix mielleuse. Il veut que les choses se passent bien et non pas qu’il se comporte comme un vrai bourrin. « Je peux entrer ? » Demande-t-il simplement alors qu’il lui parlera qu’il soit à l’intérieur ou sur le pallier, ça ne change pas grand-chose bien qu’il se cache pour la voir.


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J’avance. J’essaye vraiment de résister à l’envie folle de prendre mon téléphone et de lui envoyer un message. Les ruptures ça craint, surtout quand de mon côté il y a encore des sentiments. Je ne sais pas si lui, il en a et surtout s’il en a eu. Je ne pouvais pas continuer comme ça. Après tout, il est marié, il a une famille et je n’étais que le passe-temps. Pourquoi je n’ai pas rompu avant ? Sans doute que je n’avais pas vu assez de film avec des maitresses à qui les hommes sortaient le même baratin. Je vais divorcer, je t’aime et compagnie. Après tout. Il faut que j’avance que je cesse de penser à lui. Alors je suis blottie dans mes dossiers. Mais faire que ça, quand je suis au lycée pour aider les jeunes, je veux bien, c’est simple, mais chez moi c’est impossible. Alors, je tourne en rond. Je crois que l’intérieur de ma petite maison n’a jamais été aussi propre. Les placards, même celui des dessous doit l’être. Mais une fois tout ranger, je ne peux pas fuir le problème. Alors, j’y pense, je regarde nos photos qui sont bien caché à l’œil d’un simple humain incapable de percé à jour mon mot de passe confidentiel du coffre-fort que j’ai sur mon téléphone. « Pauvre fille ! » Je prends mon verre de soda et le glisse à mes lèvres. À défaut de boire du vin par peur de retomber dans des vices que j’ai connu avec les médicaments et tout, je bois plus d’alcool ou autre. Mon corps n’est pas un temple, mais presque. Allez. Je me motive, je prépare des lasagnes végétariennes et je tente de ne pas penser à lui. Heureusement le chien, le chat sont là pour m’aider. Pour m’empêcher de m’extirper vers des souvenirs, des envies maladroites qui sont de le retrouver. De lui demande de passer. C’est une torture d’avoir son numéro, mais incapable de le supprimer, je devrais demander à Baby de le supprimer et tout. Mais elle a bien d’autre chat à fouetter avec sa petite famille qui vient tout juste de s’agrandir que ce soit avec Andy ou même la petite puce. Je mets les lasagnes à cuir, mais malgré toute cette activité, rien à faire. J’y pense, son nom est comme gravé dans mon esprit, s’enfonçant un peu plus dans ce dernier à chaque fois que je le repousse. Une série, de la bouffe. Ça devrait aider. Je ne m’apitoie pas sur mon sort, je ne veux pas pleurer. C’est mon choix après tout. Lancer dans la série. L’oubliant. J’entends frapper à la porte. « Ce n’est pas vrai… » Je rumine et j’hésite à rester sur le canapé, confortablement installé. Mais faut dire que le chien jappant à tout va c’est un peu compliqué de pas annoncer ma présence en lui disant de se taire. Je me lève, secouant la tête avec l’envie de ne pas répondre. J’aurais dû suivre mon instinct et laisser la porte fermer, car me retrouver nez à nez face à lui : Cyrius n’était pas la chose que je voulais. « Hey ! » Ma voix et tout le contraire de la sienne : sèche. Je le regarde. « Non. Pourquoi tu es là ? » Soit forte. Soit forte. Je me répète ça en boucle, mais je le sais je vais devenir faible, je le suis toujours face à ses fossettes.


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Il acquiesce. Elle ne veut pas le faire entrer, très bien. Ce n’est pas pour autant qu’il va partir. Il a toujours fait attention de ne pas se faire voir par les voisins, surtout pour le genre de conversation qu’ils vont avoir. Après tout, les rumeurs sont très souvent de sorties et cette fois cela pourrait se révéler vrai. Pas comme quand il entend que Tomas n’est pas son fils par exemple. Avec son travail il fait souvent parler de lui dans les affaires alors forcément, ceux qui le connaissent savent qu’il est marié. Du moins, il est censé l’être mais il semble l’oublier bien souvent. Il ne va pas pour autant bouger, partir. Il n’est pas venu pour sauver son image, il est venu là pour arranger les choses, la récupérer alors il ne risque pas de le faire en se comportant comme le mari infidèle qu’il est. A dire vrai, tout cela n’a que très peu d’importance pour Cyrius à cet instant précis. Tout ce qu’il veut c’est elle, Azura qui est toujours aussi belle, même quand elle semble lui faire la tête. Quand il l’a voit comme ça il pense juste à la réconciliation sur l’oreiller mais pas que, il veut retrouver cette complicité d’antan. Il a beau être marié, il ne supporte pas d’être séparé d’elle alors qu’en théorie, elle n’est qu’une maîtresse. S’est-il beaucoup plus attaché qu’il ne l’avait prévu au départ ? C’est sans doute ça oui enfin il en est même sûr. Il ne quitte pas son regard même s’il reste silencieux à sa demande pendant un moment. Il ne la quitte pas des yeux quand il finit par répondre « Je voulais te voir ! Il a une voix posé, après tout il n’a pas à avoir honte de ses paroles. Il ressentait ce besoin de la voir, comme s’il avait besoin de son petit rayon de soleil comme il l’appelait des fois. C’est exactement ce qu’elle représentait, ce petit rayon de soleil dans son quotidien morose. « Faut qu’on parle, de ce message, de nous ! D’après ce message en question il n’y a plus de ‘nous’ mais ça ne change en rien ce qu’il pense d’elle et surtout ce qu’il ressent. S’il peut faire quoi que ce soit pour que les choses s’arrangent alors il le fera. Du moins serait-il apte à quitter sa femme après tout ça ? S’il y a pensé à mainte reprise, il fait passer sa famille et son fils avant le reste, avant même son bonheur personnel. A en croire le ton utilisé, elle ne veut pas le voir mais il se risque à faire un pas vers elle, venant même poser une main sur sa joue délicatement pour le lui caresser alors qu’il n’a pas quitter son regard d’une seule mini seconde. « Tu me manque ! Il n’est peut-être pas le meilleur petit-ami, ni même le meilleur ami mais il dit vrai. « Tu sais que j’aime pas rester dans le couloir mais je suis prêt à prendre ce risque ! est-une manière pour lui faire comprendre qu’il est prêt à se faire choper en sa compagnie alors qu’ils sont tout le temps que tous les deux quand ils se voient ? Du moins, ils se voyaient…


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Savait-il qu’avant qu’il arrive je pensais à lui ? Savait-il à quel point c’était compliqué pour moi de l’oublier, de lui dire adieu ? Le sait-il à présent qu’il m’est difficile de le voir devant moi. Je m’écouterais, j’écouterais ce petit côté bestiale et naïve de ma personne, je l’aurais déjà fait rentré chez moi pour finir par ne faire plus qu’un avec lui. M’amuser, sentir ses baisers, ses caresses contre ma peau … j’en peux déjà plus d’y penser. Je le regarde, j’ai envie de le supplier de partir ou de rester ? Mon cœur balance, mais mon esprit reste fort, combien de temps ? Aucune idée. Je m’en serais doutée, qu’il était venu, car il voulait me voir, j’aurais trouvé étrange qu’il me dise venir chercher des œufs … quoi que ça aurait pu être une bonne excuse quand on était ensemble, enfin quand j’étais un jouet ! Merde, je deviens aigri et je parle peut être avec mon esprit et mon cœur ? Je ne sais pas trop c’est qui la troisième voix là de suite dans mon esprit, mais je ne veux même pas chercher à savoir. Parler ? J’aimerais, mais à quoi bon encore le faire ? Il n’y a rien à sauver. Mon âme est en pièce et ne parlons même pas de mon cœur. Je vais faire une erreur, mais je n’ai pas envie de subir les regards des voisins, je veux pouvoir reprendre ma vie par la suite, après son départ sans entendre plus de murmure que prévu sur mon passage. Je porte déjà assez de casserole comme ça. « Rentre ! » Je ferme la porte derrière lui. « N’avance pas plus dans la maison … car tu vas vite repartir ! » Je m’impressionne, je viens de prendre une dose de courage sans même m’en rendre compte, mais ça fait du bien de ne pas avoir l’impression d’être une petite chose face à monsieur. Je le sais que ce n’est pas lui qui voulait me rendre petite ou autre connerie du style. « Le nous en question … il n’y en a plus Cyrius … j’aurais peut-être dû le faire en face, mais je n’avais pas le courage ! » Là non plus, car je me perds dans ses yeux, mes yeux courts sur ses lèvres et les miennes se torture mutuellement pour ne pas espérer avoir les siennes contre elles. C’est une torture tout ça, une torture d’être forte, je devrais lâcher prise, ça serait tellement plus doux. « Je suis désolée de l’apprendre … » Toi aussi tu me manques, mes lèvres se font violence pour ne pas lâcher ces trois petits mots. C’est horrible, je pourrais sentir ma propre souffrance sur ces mots, mais je me retiens, je mords l’intérieur de mes joues et ça me torture un peu plus, mais la souffrance physique fait se dissiper un instant celle mentale, tant mieux. « On est à l’abris … mais je ne vois pas ce qu’on pourrait dire de plus … car cette histoire est fini !! » Que j’annonce. « Tu es marié et je ne veux plus être cette femme … l’amusement … je me dois de me tenir convenablement ! » Merde, l’amour me fait chier. Pourquoi je l’aime, pourquoi je veux grandir maintenant, pourquoi je veux devenir convenable maintenant
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Cyrius fait beaucoup attention de ce qu’on penser de lui. Ce n’est pas une surprise, avec son travail il ne peut pas vraiment montrer une mauvaise image de lui. Comme tout le monde il a le droit de ne pas toujours être droit, être bien mais bon, il ne veut pas que ça se retourne contre lui. Il est procureur et rien que pour ça il ne faut pas qu’on se serve d’une image négative qu’il aurait pu renvoyer. Alors, se montrer en publique avec sa maitresse alors que sa femme est à la maison n’était même pas envisageable. Si sa femme l’apprend elle va mal le vivre, son fils aussi risque de le détestait et sa fonction professionnelle est bien trop haute pour que les gens ne jasent pas. Si une personne le connaissant un minimum viendrait à apprendre ce qu’il se passe quand il n’est ni au bureau ni chez lui alors l’information remonterait vite vers sa famille. Pourtant il a pris des risques en venant, comme chaque risque qu’il prend en passant du temps avec Azura. Est-ce pour autant que ça montre quoi que ce soit ? Après tout, ça n’empêche pas le fait que son mariage soit toujours d’actualité et qu’il ne veut pas qu’on apprenne son histoire avec la jeune femme. Il tient à la brune mais il ne veut pas qu’on se mêle de sa vie. Il partait du principe que s’il doit parler de sa relation alors ça gâcherait tout entre tous les deux. Il n’empêche que leur relation a volé aux éclats, qu’ils ne sont plus ensembles sans ça. Comme quoi ça ne gâche pas forcément tout. Mais cette rupture entre eux, ça ne lui plait pas, pas du tout. « Mais pourquoi ? Pourquoi il n’y aurait plus de nous ? » Il lui fait son regard dont lui seul a le secret et qui, en règle général a de grands pouvoirs. Il veut essayer le tout pour le tout, lui dire qu’elle lui manque. C’est tellement vrai et ce n’est pas dans ses habitudes de l’admettre à qui que ce soit. S’il le dit alors c’est qu’il y a des raisons. « Tu ne vas pas me dire que moi je ne te manque pas ! » Il ne veut pas le croire, il ne veut pas et espère bien que ce n’est pas que son égo qui parle mais que c’est bien parce qu’il lui manque bel et bien. « Le fait que je suis marié ne change rien et tu le sais, ça ne change rien à ce que je ressens pour toi, pour notre histoire. Ne laisse pas mon mariage changé ça, tu sais que ce n’est qu’administratif ! » C’est plus compliqué que ça. Il ne veut pas la faire souffrir en la quittant, encore moins pour une autre alors il préfère jouer sur les deux tableaux. Il n’est pas très net dans cette histoire mais le plus important a gardé en tête c’est qu’il tient à son histoire avec Azura. « Ce n’est pas que de l’amusement et tu sais ! » Lui-même ne sait pas ce qu’il y a exactement entre eux deux, il ne veut pas se prendre la tête avec ça, il veut juste revenir en arrière quand tout allait bien entre eux. « Que puis-je faire pour te le prouver ? » Il croit en une nouvelle chance entre eux même s’il doit faire quelque chose bien que certaines choses risquent d’être compliquées à réaliser.


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Il est là devant moi et ce n’est pas une bonne chose, je le sais. Ce n’est pas une chose qui devrait se passer pour le coup. Mais c’est ainsi, je ne peux pas l’empêcher de venir chez moi, de cogner à ma porte. Et le laisser à la porte comme un con est une chose pas trop possible si je veux éviter qu’on parle et tout. Alors, je l’ai laissé entrer, mais je n’ai qu’une envie le laisser repartir, pas vrai que c’est ce que je veux ? Oui, oui ou pas. Merde. Je commence déjà à flancher. Autant dire que ce n’est pas trop la joie, et que je n’ai pas envie de perdre mon temps, autant dire que je suis mal barrée. Pourquoi ? Il est sérieux en train de me demander pourquoi ? « Tu le sais pourquoi ! » Je ne veux plus être la maitresse, me sentir coupable de gâcher un mariage et compagnie. Pourtant j’ai le cœur lourd avec tout cela, je suis mal avec cette histoire. Mais je sais que je prends une très bonne décision, pas vrai ? Alors pourquoi je continue de me poser des questions ainsi de suite et tout ? J’en ai marre. Enfin, je le regarde essayant de rester plutôt éloigner de tout cela. Ça me torture le fait qu’il soit là, je tente vraiment de ne pas dépérir et tout, mais ce n’est pas gagné. Non, ses lèvres, son regard me laisse pas de marbre et c’est enrageant d’être faible, mais je continue de m’accrocher. « Ce n’est pas un concours pour savoir si tu me manques ou non, putain ! » Il ne le comprend pas ? Il serait pourtant tant qu’il le comprenne. « Alors, oui tu me manques, mais ça veut pas dire que tu es bon pour moi … après tout à un drogué on ne lui donne pas sa dose ! » S’il ne comprend pas, je ne peux plus rien pour lui pour le moment. « Si ça change tout … car nous, ce nous que tu veux seras toujours caché et je ne peux pas faire ça, je ne veux pas continuer ainsi ! Si tu tiens à moi tu devrais me laisser tranquille alors ! » Que je lâche vainement en soufflant. Que peut-il faire pour me le prouver ? Je retiens mes larmes et ces envies qui noient mon être, je me fais violence et je pince mes lèvres. « Pars ! » Que je lâche. « Tu me le prouveras ainsi ! » Oui, il me le prouvera, mais ça mettre aussi fin à tout cela, mais c’est bel et bien ce dont j’ai envie. Je dépose mes mains sur son col et le regarde dans les yeux. « Le dernier … » Comme une promesse. Je viens l’embrasser avec fougue, je n’en veux pas trop, ne pas reparti accroc à cet homme qui n’est pas pour moi. « Pars maintenant ! » Je finis par ouvrir la porte en grand pour qu’il prenne la porte et qu’il s’en aille, c’est le mieux à faire, franchement. Je le laisse partir et je refermer la porte … il est temps d’arrêter tout cela.

Fin ?

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