Sujet: Re: -18/!\ Come and and take a walk on the wild side. Ft. Derrick Mer 6 Déc - 0:36
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Pas envie. Comment ça pas envie. Il n'avait pas le droit de se mettre à genoux entre mes cuisses, humer mon centre de sorte à ce que je sente son souffle sur mon intimité pour dire ensuite qu'il n'avait pas envie de me goûter. Je le regardais se redresser après avoir resserré mes cuisses l’une contre l’autre. Il s'était mis hors de ma portée et il me regardait en se caressant nonchalamment la barbe comme s'il ne venait pas de terriblement blesser mon ego. Il quitta ensuite simplement la salle d’eau avec un large sourire aux lèvres. « Non mais je rêve… », Mais il était déjà allé vaquer je ne sais où. Et moi j'étais sur le cul. Je n’étais pas susceptible mais c’était très impoli de refuser de déguster un mets qu’on offrait avec tant de générosité. Donc, j’étais vexée et je me sentais terriblement conne. A aucun moment je n’avais songé à la possibilité qu’un de nous deux abandonne la partie, à aucun putain de moment. Douchée, froidement. J’étais toujours sur le meuble quand le brun choisi de refaire apparition dans la pièce, il tenait dans une de ses mains, mon gode. Il me disait qu’on allait augmenter le niveau et moi j’arquais un sourcil, perplexe, curieuse mais aussi défiante. Qu’il daigne ne serait-ce qu’approcher et il allait voir de quel bois je me chauffais. Je réalisais qu’il ne m’avait laissé en plan que pour aller fouiller dans mes affaires. Parce qu’il était imaginatif et qu’il voulait encore gagner la partie. Mais le jeune homme m’avait refroidi et je n’étais plus très certaine de vouloir jouer à ce jeu encore longtemps. S’il me voulait, il n’avait qu’à me prendre, qu’on en finisse! Mais je n’étais pas le genre de femme qui déclarait forfait ou qui abandonnait une partie en cours et sur ça, je signais ma perte. Il m’avait fait descendre du meuble et je n’avais même pas eu le temps de le repousser qu’il m’avait retourné face au miroir et m’avait penché au-dessus du meuble. Ma poitrine, mon ventre, à plat contre le marbre et ma tête redressé pour suivre ses mouvements dans le miroir. J’avais serré les dents parce que ça m’excitait, parce que ça m’énervait que ça m’excite. Mon corps réagissait malgré moi par des frissons alors qu’il laissait courir sa main le long de mon dos et je me mordis la lèvre quand de son autre main il claqua mon cul. Ça m’avait fait mal, ça me brulait mais bordel, là, encore, ça m’excitait. J’agrippais fermement les coins du meuble-lavabo, serrant la mâchoire alors que je tentais de ravaler ma colère qui grimpait à mesure qu’il faisait naitre en moi désir et besoin. Il s’était penché sur moi, faufilant sa virilité entre mes cuisses, m’obligeant à me cambrer d’avantage instinctivement pour le sentir. Pour l’inciter à me pénétrer bien que je ne sache pertinemment qu’il n’en fera rien. Il me ridiculisais, il me narguais. Il avait fait de moi son jouet et il ne me délaissera sera quand il m’aura brisé. « Je ne suis pas à tes ordres… », je sifflais entre mes dents toujours entre l’agacement et le plaisir. Il s’attaquait de nouveau à mon oreille, tirant sur mon lobe m’obligeant à hurler malgré moi de plaisir quand il m’empala avec mon propre gode. « Je vais te tuer… », je soutenais son regard dans le miroir et son reflet était aux reflets des miens, sombre de passions. La sensation de plénitude ne pouvait être satisfaisante quand je savais que ce n’était pas lui qui était en moi. Que ce n’était pas son sexe qui cognait durement en moi. Quand je baisais une fille, oui mais là, clairement pas. Il avait d’un coup forcé les parois de mon antre à s’étirer et ça faisait mal bordel mais qu’est-ce que ça faisait du bien! Mon corps était couvert de sueur, de gouttes d'eau. Et j’avais tellement chaud. Le brun retirait le sextoy et me l’enfonçais de nouveau avec brutalité, à trois reprise, je n’avais pu m’empêcher de gémir, à chaque fois plus fort. « Tu vas me le payer… », je répétais alors qu’il délaissait mon oreille pour cracher au creux de mon reins et je pouvais deviner aisément quel serait sa prochaine étape. Je secouais presque l’arrière-train, comme une chienne heureuse qu’on lui accorde de l’attention. Je grognais de frustration quand il me priva du réconfort que m’offrait le gode. Je le sentais tracer la trajectoire de sa salive et ronronnais presque d’impatience.
« Oh putain, oui !! », il venait de me foutre un doigt dans le cul et j’aurais pu jouir, juste comme ça. Mais non, Derrick était appliqué à me ramener à chaque fois aux frontières de mon ultime libération et m’en éloignait aussitôt. C’était sadique, c’était pervers et je m’en voulais qu’il y ait pensé avant moi. Il me baisait avec mon gode, avec ses doigts aussi. Et entre mes cuisses, il s’assurait que je sente ce que je désirais par-dessus tout, sa queue. J’étais bruyante à exclamer mon plaisir et ça me foutait toujours la haine de constater avec combien de faciliter il avait fait de moi sa petite chienne. J’avais envie de jouir, putain et à cet instant, j’aurais pu lui vendre mon âme s’il me le demandait. Mais je ne capitulerais pas, pas aussi facilement en tout cas. Je passais mes mains en arrière pour l’écarter de moi et comme il le fallait, je m’aidais aussi d’une de mes jambes. J’avais réussi à le faire reculer suffisamment pour me retourner. Si ses doigts n’étaient plus en moi, le gode, lui toujours.
J’avais le souffle court, les cheveux à moitié secs pointant dans tous les sens et j’avais ce regard déterminé. Les joues rouges et le souffle court. « Je ne suis pas ta chienne, Dede. », je le repoussais durement plusieurs fois jusque ce qu’il ne puisse reculer. J’étais excitée, frustrée, énervée et j’étais une putain de force de la nature. Je me mettais à genoux devant lui pour le prendre dans ma bouche, sans préambule, celle fois, aucune. Une main à la naissance de son sexe, je le suçais, je le branlais. Ma main libre, entre mes cuisses entrouverte me pénétrais du gode. Je le prenais dans ma bouche au même rythme que je me prenais le jouet sexuel et quand j’en eusse marre. Je me redressais pour le pousser à s’assoir sur la toilette, qui avait d’ores et déjà la lunette fermée. Dieu merci. Je crachais sur son membre si fier avant de me retourner. Je prendrais ce que je voudrais de lui. Une main entre mes cuisses tenant le gode, l’autre écartait une joue de mes fesses. Je m’asseyais sur ses jambes, le forçant à s’enfoncer dans mon cul. « Putain…. », je sifflais entre mes lèvres. Pleine, je l'étais tellement et j'aurais pu jouir, là comme ça. Lentement, roulant des hanches, laissant mon antre s’accommoder à cette nouvelle intrusion. Mon corps était couru de spasmes et je me forçais à me redresser pour mieux redescendre. Chantant mon plaisir. Je lâchais ma fesse pour attraper une de ses mains et la ramener au creux de mon intimité, l’enroulant autour du manche de mon gode. Cette fois, c’est moi qui guidais la cadence. « Demande gentiment et je serais tout ce que tu veux, même ta putain de chienne, Derrick.. », mes mouvements étaient plutôt lent bien que j’eusse envie d’aller plus vite mais dans la vie, si on avait tout, tout de suite. On n’apprenait pas jamais à apprécier.
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Sujet: Re: -18/!\ Come and and take a walk on the wild side. Ft. Derrick Mer 6 Déc - 23:18
Lisbeth & Derrick
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Come and take a walk on the wild side
Domination. Une chose fréquente quand on savait à quel point je pouvais être dépravé. Ce moment où toutes les pulsions étaient permises. Aucun mot doux, des caresses féroces, le pouvoir qu’on pouvait exercer sur une autre personne. À cet instant, alors que je tenais Lisbeth bloquée sur le comptoir de marbre, je sentais sa résistance, non pas physique, mais elle l’exprimait par des mots, des paroles qui glissaient sur mon dos comme la pluie sur le dos d’un canard. Et je lui montrais bien que ses petites menaces ne m’affectaient d’aucune façon, un sourire carnassier en guise d’unique réponse. Elle pouvait bien proférer celles-ci, je sentais son corps réagir favorablement à chacun de mes gestes. Ma main dans son dos continuait de faire pression, alors que la pulpe de mes doigts s’enfonçait dans sa chair. J’étais excité, bandant de plus en plus durement contre la peau de ses cuisses. Cette chaleur que je ressentais et sa cyprine venant lubrifier ma verge dans mes mouvements. Je m’amusais à la torturer, la poussant au bout du rouleau. Elle finissait par me repousser et c’est sans objection que je me laissais faire, reculant avec une certaine soumission. Rien qui me retirait le rôle de dominant. Un rictus sadique plaqué sur mes lèvres et haussant les épaules « Si c’était le cas, je t’aurai mis un joli collier. » disais-je en passant ma langue sur mes dents. Qui aurait pu croire que Derrick Holloran pouvait être aussi dépravé ? Bon acteur, j’avais appris à cacher ma véritable nature lorsqu’il s’agissait de sexe. C’était plus facile dans certaine circonstance. Mais avec Lisbeth, je me laissais aller à perdre le contrôle. Si je continuais ainsi, j’allais lui dire de choisir un mot d’alerte pour me prévenir si j’allais trop loin. Une judicieuse idée sachant que ce que je lui avais fait subir jusqu’à maintenant n’était rien comparé à ce que je pouvais faire si j’allais au maximum de ma limite. Une limite si peu franchi – voire jamais. Mon dos désormais appuyé contre une paroi fraîche, je la regardais se mettre à genoux devant moi, passant mes doigts sur mes lèvres avant d’y enfoncer mes canines à nouveau. Y’avait pas à dire, elle savait sucer ! Glissant ma main dans ses cheveux, je poussais par moment sa tête pour qu’elle puisse m’engloutir entièrement. Je sentais ma verge se frayer un chemin jusque dans son pharynx humide et chaud. Sa langue caressant mon frein, me décrochant quelques gémissements de plaisir. Bien des mecs lui aurait balancé toute leur sauce sous le traitement de sa bouche, mais elle ne m’en laissait pas la chance ! Ma respiration saccadée par le plaisir et le désir, je prenais un instant pour calmer mes ardeurs, alors qu’elle me dirigeait vers ce que j’en déduisais être la cuvette de la toilette. Mes genoux flanchant au contact de la porcelaine, prenant place sur ce trône blanc. Le jeu tirait à sa fin. Non pas le jeu sexuel – ignorant que j’avais toujours faim – mais plutôt le jeu de qui flancherait le premier. Mais pour le reste, ça pouvait encore durer un bon moment, si certaine personne ne pouvait pas enchainer plusieurs parties de jambe en l’air, moi j’étais pratiquement inépuisable. Je sentais sa bave chaude enduire mon sexe, sans la quitter du regard, j’observais chacun de ses gestes, allant jusqu’à me délecter de la vision de fesses s’écartant pour me laisser entrer en elle. Fermant les yeux, je poussais grognement de plaisir, alors que je me forgeais un chemin en elle, ressentant la présence du gode toujours dans son intimité. Une friction délectable. Entrouvrant mes lèvres, je laissais un soupir m’échapper, venant glisser mes mains sur ses flans enfonçant mes ongles dans sa chair en ressentant chacun de ses mouvements. La laissant prendre ma main, je n’opposais aucune résistance, amenant ma seconde main sur cette bille de chair que je caressais doucement, tandis que sa jumelle guidait le gode. Restant en elle, je le tournais ou le poussait à droit ou à gauche, mais aussi contre la faible paroi qui entourait mon sexe, me procurant des frissons de plaisir. Mes dents venaient harder sa peau, s’enfonçant dans son épaule. Chaque mouvement semblait être décuplé dans un plaisir indescriptible. J’entendais sa voix, mais elle me semblait à cet instant tellement loin. Gentiment. Je n’avais pas envie d’être gentil. Pas cette fois. Pas à cet instant. Libérant son épaule, je laissais ma langue dessiner des lignes sinueuses sur sa peau de satin. Ma main sur son clitoris remontait sur son ventre, puis caressait sa poitrine. Son sein semblait être parfait pour ma main. Je commençais par des caresses – beaucoup trop douce en comparative avec tout ce que j’avais fait jusqu’ici. Un changement presque brutal. Mes lèvres vinrent se coller contre son oreille. « Pourquoi est-ce que je devrais être gentil ? » J’emprisonnais son téton entre mon index et mon pouce pinçant cette chair rosée, mais tirant aussi sur celui-ci. Le pressant comme un vulgaire citron. Puis je le relâchais avant de laisser ma main courir jusqu’à son cou, faisant à nouveau pression sur celui-ci, jusqu’à emprisonner cette fois son menton entre mes doigts. Je l’obligeais à tourner son visage vers moi. Elle désirait que je sois gentil… J’étirais mon cou, posant mes lèvres sur les siennes. Un baiser doux, mais à la fois dur et un brin sauvage. Ma langue s’était enroulée à la sienne. Un échange de salive aussi pervers que tout le reste. Je relâchais le gode. Occupant toute son attention sur le baiser, je laissais mes mains venir se poser sur ses hanches. « Là tout de suite, tu es à moi. » murmurais-je mes lèvres pressées contre les siennes. Je la soulevais et venait l’empaler sur mon sexe avec dureté. À peine arrivé au fond que je ressortais pour venir à nouveau me glisser en elle dans des mouvements secs, voire brutaux. À chaque pénétration, je sentais ses chairs s’écarter avalant mon sexe dans un bruit de succion. Indécent. Mélangeant nos fluides. Ma respiration s’harmonisait à la sienne. M’arrêtant, je la soulevais complètement de moi, laissant à nos corps le temps de faire une microscopique pause. J’enroulais un bras autour de sa taille, la tournant pour qu’elle soit face à moi, passant ses jambes autour de ma taille. Mon regard rivé dans ses iris céruléennes. J’allais lui retirer le gode, que je laissais tomber sur le sol. Sans prévenir, j’appuyais sur ses hanches venant une fois de plus l’empaler sur moi, mais cette fois c’est son utérus que je venais percuter avec force. Je passais une main dans ses cheveux presque entièrement secs, guidant une mèche derrière son oreille. Un geste presque trop doux. Pour la première fois, je me voyais projeter quinze ans en arrière. Le gamin amoureux de sa meilleure amie d’enfance avait depuis longtemps laisser place à l’homme pervertis dans cette société moderne. C’est ce que je croyais, que cette part de moi était mort depuis bon nombre d’année, mais là, à cet instant, alors que je la pénétrais les deux parts de moi s’unissaient pour partager un moment comme je n’en avais jamais vécu. Perversité et tout au fond, une forme naissante de tendresse.
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Sujet: Re: -18/!\ Come and and take a walk on the wild side. Ft. Derrick Jeu 7 Déc - 2:08
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Dans ses orbites, ses yeux roulaient. Transie de plaisir. Elle était une junkie qu’on avait essayé de sevrer. Une camée qui recevait une dose qu’elle avait tant et tellement convoité. A l’aide de ses jambes, elle s’empalait sur toute la longueur du sexe de son ami et elle recommençait inlassablement. Chaque pénétration, plus profonde que la précédente. C’était bestial, sévère. Son cul claquait contre les cuisses de son ami et il n’y avait de son plus extasiant que celui-ci. Sa respiration était saccadée, irrégulière et les bruits qui s’échappaient de ses lèvres n’étaient qu’à l’apologie de son ravissement. Les doigts de Derrick se joignaient à la danse, pianotant sur son bouton de chair tout en continuant à laisser sous sa directive, sa seconde main la baiser avec le gode. Elle se baisait sur sa queue, elle dictait la cadence, la profondeur de chaque pénétration. L’acte rendait leurs corps moites, une fine pellicule de sueur perlait entre les seins de la belle brune. Sa voluptueuse poitrine rebondissait à chaque fois qu’elle montait et descendait. Plus bas ou plus haut à chaque fois. C’était bestiale, sauvage et elle aurait aimé dire qu’il n’y avait que comme ça qu’elle aimait se faire prendre. Mais là, c’est elle qui prenait. Les râles et grognements de satisfaction la berçait, l’obligeant à arpenter les frontières de son apothéose. Un petit bruit ridicule qui ressemblait presque à un couinement lui échappa quand Derrick choisit ce moment précis pour délaisser son clitoris. Elle avait envie de jouir, elle avait tellement besoin d’atteindre l’ultime satisfaction qu’à chaque fois qu’elle ressentait du plaisir, c’était presque souffrance. La douceur avec laquelle il empoignait le sein de Lisbeth était étrange. Une goutte d’huile sur un océan enragé. Il lui demandait pourquoi est-ce qu’il devrait être gentil. « Je ne veux pas que tu sois… », Mais déjà, il mordait son épaule, il pinçait son téton et s’il était loin d’être délicat à présent, elle aimait tellement ça, elle préférait nettement ça.
Lis avait laissé son ami tourné son visage de sorte à ce qu’ils se fassent face et elle ne pouvait s’empêcher de constater que lui aussi semblait être dans le même état qu’elle, défait et c’était un euphémisme. Il brisait la distance qui séparait leurs lèvres et il l’embrassa. C’était doux et brutal à la fois. C’était presque trop intime en comparaison à la sévère animosité avec laquelle ils s’étaient touché jusqu’ici. Elle fondait sous les caresses de sa langue, qu’elle n’avait de cesse de mordre et de panser. Et elle avait l’impression d’avoir de nouveau quinze ans. D’être cette fille qui voulait promettre monts et merveilles et admettre des sentiments forts qu’elle s’était surprise à ressentir. Tout ça, à travers un seul baiser, un baiser d’adieu. Elle sentait ses mains si fermes sur ses hanches et elle savait que son corps serait marqué de leur ébat. Son cœur battait à tout rompre et qu’elle rouvrait ses yeux qu’elle avait fermé quand il l’avait surpris avec son baiser. Il lui disait que là, tout de suite, elle était à lui et elle ne put s’empêcher de sourire en songeant qu’il prononçait ces mots un peu trop tard. « Juste pour cette fois, mais pour l’amour de dieu, ne sois pas gentil ! », parce qu’elle avait bien plus de plaisir quand il lui faisait mal. Elle prenait bien plus son pied quand il la forçait à le faire. C’était malsain mais s’ils en étaient là, ce n’était pas parce qu’ils étaient très équilibrés.
« Oui, comme ça », il l’avait fait s’assoir durement son membre et elle s’était arqué, presque pliée en deux. Sa tête reposant sur l’épaule du brun alors qu’il lui prenait les directives des mains et elle était plus qu’heureuse de lui laisser les reines. Ses seins pointaient vers le ciel, ses tétons étaient tellement dur que àa lui faisait mal. Elle avait enroulé sa main autour de ses avant bras pour se maintenir en place bien qu’il s’en charge déjà avec ses mains sur ses hanches. Quand il se retira entièrement d’elle, elle grogna à cause du manque. Elle le laissait la retourner, la placer de nouveau au-dessus de son sexe, cette fois, ils se faisaient face. Leurs regards se croisaient de nouveau et elle savait que cette fois, il ne jouait pas avec elle. Il la désirait et il était fin prêt à la prendre. Elle se mordit la lèvre quand il retira le gode de son antre pour le jeter ailleurs, elle ne regarda même pas où. C’est lui qu’elle regardait alors qu’il la forçait à s’empaler sur sa protubérance, cette fois, au plus profond de son vagin. Il n’avait pas prévenu et le cri qui lui échappa alors qu’il la pénétrait durement n’était qu’écho de sa félicité. Il était tellement mieux là, tellement à sa place. Les mains du jeune homme allaient se perdre dans les courts cheveux de la brune, les siennes passaient autour de sa nuque, de son dos, ses ongles rencontrant sa chair dans ménagement. Il était doux, elle, au contraire. Elle n’attendit pas son feu vert pour commencer à se mouvoir. Elle montait et descendait, glissant le long de sa verge sans mal. Le passage de son vagin s’était fait mais il obligeait tout même les parois de son antre à s’étendre un peu plus. Sa verge en elle, tellement serrée. Une gourmandise addictive, une sensation dont elle n’avait plus envie de se passer. Ses hanches ondulaient quand elles montaient et ne descendaient pas. Chaque pénétration plus dure et profonde, plus intense que l’autre. Sa queue cognait au fond de son antre sans ménagement, aucune. Et putain, qu’est-ce qu’elle voulait jouir. Son sexe palpitait autour du sien, les parois se contractaient encore et encore, cherchant ce moment propice où elle pourra enfin basculer du précipice de son désir. « Fais-moi jouir, laisses moi jouir, s’il te plait… », Haletante, elle en avait tellement besoin. Mais déjà, elle jouissait, elle fondait autour de lui. Elle l’avait tellement attendu, tellement désiré qu’elle s’effondrait entièrement maintenant qu’elle l’avait. Ses lèvres trouvèrent les siennes, l’embrassant et gémissant contre ses lèvres. Son corps entier était secoué de spasmes et elle fut contrainte de rompre le baiser pour chercher de l’air, n’importe où. Elle renversait sa tête en arrière, l’enfonçant encore plus en elle pour prolonger cette sensation merveilleuse qui l’abrutissait. Et le plaisir en fut au prolongation quand elle sentit un premier jet s'écraser contre les parois si serrés de son vagin... Si chaud, si fort. Lisbeth implosait ou alors est-ce qu'elle explosait? Aucun moyen de savoir vraiment. Sa vision se troublait et elle n'entendait plus que son coeur cogner contre ses tympans. Des éclaires dansaient derrières ses paupières closes et c'était son prénom qu'elle avait au lèvre alors qu'elle jouissait de nouveau, en même temps que lui. « Oh putain, Dede, putain, putain, oh mon dieu, putain...! », des grossièretés lui échappait et elle n'avait ni le contrôle de sa bouche et encore moins celui de son corps.
Son corps était luisant de transpiration et elle pouvait voir que le sien aussi l’était maintenant qu’elle avait rouvert les yeux et ralentit son rythme. Elle reprenait doucement, difficilement son souffle et un sourire étirait ses lèvres. Un sourire satisfait mais gourmand, avide. Son esprit semblait très légèrement moins embrumé et elle pouvait de nouveau y voir à peu près clair. A moins que ce ne fussent le contraire? Elle planait sur son orgasmes et à la fois, elle ne connaissait de satiété. Lisbeth n’aurait jamais pensé que son ami puisse se montrer aussi dépraver sexuellement. Elle savait qu’il n’était pas un saint et qu’elle était curieuse de voir jusqu’au est-ce qu’il pouvait aller. « J'aimerais que tu me montres comment tu es quand tu n’es vraiment pas gentil, Derrick. », sa main avait quitté son dos pour lui caresser les cheveux, les ôtant de sa vision. C’était tellement doux comme geste, rien à voir dans le contexte de cette situation. Comme un cheveu sur la soupe. Elle entoura ses jambes autour de sa taille, ses bras autour de sa nuque, sans pour autant le retirer d’elle. Bien qu'ils aient tous deux jouit et qu'elle pouvait le sentir se détendre au creux de son centre encore palpitant. « Montres-moi ce que ça fait d’être à toi. », elle avait presque murmuré ces mots. Sans jamais le quitter du regard. Ca faisait longtemps et ça n'avait plus d'importance aujourd'hui mais elle n'avait plus envie de se demander ce ça aurait pu être d'être sien. D'avoir eu le courage d'être sienne à son tour. Elle n'était pas prête à le laisser partir tout de suite. Prendra le temps que ça prendra mais il quittera son appartement seulement quand ils seront épuisés jusqu'à l'os. Elle avait l'impression d'être dans un lieu intemporel et sans conséquence et elle voulait en profiter tant qu'elle le pouvait. Tant qu'ils le pouvaient avant que la réalité ne les rattrape.
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Sujet: Re: -18/!\ Come and and take a walk on the wild side. Ft. Derrick Sam 9 Déc - 2:18
Lisbeth & Derrick
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Une symphonie de gémissement, de grognement ainsi que le bruit de deux corps se frottant l’un à l’autre résonnait à mes oreilles. Je la baisais sans grand ménagement, laissant toutefois une pointe de douceur m’échapper, la caresser, ne se limitant pas au simple plaisir de la chair. Maintenant face à face, je la regardais. Si j’avais voulu être délicat j’aurais laissé ma main caresser les courbes de son corps, mais je n’en faisais rien. Guidant d’avantage nos gestes pour m’enfoncer en elle le plus loin que je pouvais. Elle était douce, chaude et humide, mais surtout serrée. Je ressentais chaque contactions, emprisonnant mon sexe en elle, le compressant délicatement pour décupler mon plaisir. Elle désirait jouir et elle n’était pas la seule. Je savais que je n’allais pas tarder. L’embrassant, je la laissais quitter mes lèvres, fermant les yeux pour la pousser encore plus, lui donnant un coup de rein qui s’insinuait au plus profond d’elle. J’explosais en elle, vidant ma sève. Mes mains continuaient d’appuyer sur ses hanches pour la garder coller à moi. Haletant, j’ouvrais à nouveau les yeux la regardant. Je sentais ma semence couler sur mon corps. Je l’avais bien rempli – aussi gross soit cette façon de voir les choses. Je relâchais mon emprise, laissant mes mains glisser jusqu’à ses fesses. À la requête de Lisbeth, je détournais le regard pinçant mes lèvres. Désirait-elle vraiment voir cette partie de moi ? Personne ne m’avait jamais demandé de ne pas être gentil… « C’est vraiment ce que tu veux ? » demandais-je en ramenant mon regard vers elle, croisant ses prunelles claires. Je sentais ses mains dans mes cheveux, me faisant fermer les yeux le temps de cette caresse délicate, laissant mes mains glisser sur ses cuisses. Un rire m’échappait. Être à moi. « Tu n’aimeras peut-être pas… » Mon regard se posait sur sa poitrine, elle se soulevait rapidement, fronçant les sourcils je remontais mon regard jusque dans le sien. « Si je fais ça, promet moi que si je vais trop loin tu me diras d’arrêter. » J’étais sérieux, je ne voulais pas lui faire mal, je ne voulais pas non plus qu’il arrive quelque chose alors que je perdais le contrôle. Soupirant, je passais une main sur son clitoris, le caressant. Une caresse bien loin d’être douce, j’emprisonnais son clitoris entre mon index et mon pouce, le pinçant, le tirant. Je la sentais frissonner, ce qui me fit sourire, alors que je la relâchais pour la soulever. Je n’avais pas complètement débandé, comme si le sang continuait d’affluer sans fin gonflant mon sexe à nouveau alors que pour beaucoup ça aurait été le calme plat après une baise comme celle-ci. Je l’obligeais à se mettre debout, gardant une prise sur elle pour ne pas qu’elle flanche. Je me levais à mon tour, la regardant laissant ma verge caresser ses cuisses. « Mais avant, tu as besoin d’une pause… » Je ne lui avais donné qu’un infime avant-goût de ce que serait la prochaine étape lorsque j’avais caressé son clitoris. Sadique. Mais ça je l’avais toujours été. Je me penchais pour prendre le gode sur le sol. « Si tu as d’autres jouets, tu peux toujours les sortir, ça peut toujours être utile. » disais-je en posant le gode sur le comptoir de marbre, avant de sortir de la salle de bain la laissant en plan. Je me dirigeais vers la cuisine récupérant mon paquet de clope que j’avais laissé sur le comptoir de la cuisine. Je m’en prenais une, comme après chaque baise. Grillant une clope, j’ouvrais le frigo pour prendre une canette de bière, la dernière et j’en profitais pour prendre la boîte de pizza que j’avais préalablement remarqué. « Hey, y’a vraiment rien dans ton frigo. » disais-je en refermant la porte. « Je vais commander. » Si elle désirait supporter le second round, fallait bien avoir des vivres. Prenant mon portable, je composais le numéro de la centrale de taxi. Une chose merveilleuse que pouvait faire les taxis, aller chercher une commande à notre place. Parlant à la standardiste, je faisais mention d’un pack de bière, de croustille et autre cochonnerie qu’on pouvait trouver dans un dépanneur. J’aurais pu faire venir de la pizza, ou tout autre chose un peu plus consistent à se mettre sous la dent, seulement, je savais que la bouffe aurait le temps de refroidir avant qu’on ne la mange. Je raccrochais le téléphone, tirant sur la tirette de la canette de bière pour m’en prendre une longue gorgée. Je ne savais pas trop ce que faisait Lisbeth, mais qu’importe. Me penchant sur le comptoir, cigarette aux lèvres, je regardais mon portable. Quelques sms resté non lu. Mon regard se posant sur le nom de ma copine, Isobel m’avait écrit en début de soirée et je n’avais pas prit le temps de lire son message. Je n’étais pas certain si j’en avais réellement envie. En tout cas, à ce moment où le goût amer de la tromperie s’immisçait dans ma gorge, je n’en avais encore moins envie. Je me sentais con, mais je ne pouvais pas faire plus que me dire que je le faisais pour nous. Une chose que personne ne comprenait, peut-être que c’était normal de ne pas comprendre, mais pour moi c’était mon seul moyen de ne pas déraper avec elle. Je préférais de loin qu’elle ne me voit pas ainsi et offrir cette vision plus dark a de parfaite étrangère – en l’occurrence pour cette fois Lisbeth. Laissant une volute de fumée quitter mes narines, je déposais mon portable sur le comptoir. Inutile que je me torture l’esprit en me disant qu’Isobel était sans doute chez elle a attendre que je lui réponde. De toute manière, elle devait déjà imaginer le pire des scénarios avec Jessie à mes côtés, sauf qu’elle faisait fausse route. « Tu fou quoi ? » demandais-je en mordant dans la pointe de pizza que j’avais volé dans son frigo. Ignorant ce que mon amie était en train de faire et trouvant étrange que je ne l'aie pas revue depuis que je l'avais laissé en plan dans sa salle de bain.
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Sujet: Re: -18/!\ Come and and take a walk on the wild side. Ft. Derrick Mar 30 Jan - 2:15
Can't keep my hands to myself
La curiosité était un vilain défaut. Mais je n'avais jamais dit que je n'étais pas vilaine. J'aimais me perdre dans la dépravation, me noyer dans la débauche et la perversion. Je n'étais pas une fille bien. Je n'étais pas la fille que tu présentais à tes parents, ni celle avec qui tu voudras un jour te marier. J'étais plutôt celle avec qui tu voudras tromper ta femme, celle qui te fera vivre l'expérience la plus palpitante de ta vie. J'étais cette fille qui se servirait de toi et qui t'entraineras dans les abysse du vice. Je n'avais jamais été adepte de douceur. J'aimais quand ça faisait mal, j'aimais entendre le son d'une paire de couilles percutant contre une paire de fesses. J'aimais cette odeur acre et suave du sexe. Je ne faisais jamais dans la dentelle. Je n'étais pas douce ou aimante. J'étais la maitresse, l'objet du désir et le fruit défendu. Je suis la fille qu'on pouvait prendre mais qu'on ne pouvait jamais avoir. Mais il était une fois, dans un pays lointain dans un temps encore plus lointain, j'ai voulu être autre chose. J'ai voulu ouvrir mon coeur et j'ai voulu aimer. C'était l'histoire d'une seule et unique fois. Le genre d'évènement marquant qui n'était pas arrivé avant et très certainement pas après. Ca avait été ce moment dans une vie où votre choix comptait réellement. Où votre choix pouvait changer une vie, voir plusieurs. Et j'étais incapable de savoir si j'avais fait ou non le bon choix ce jour-là mais je ne m'imaginais pas en faire une autre. J'étais tombée amoureuse et j'avais choisi d'ignorer ce sentiment. Les gens mentent quand ils disent qu'on en s'en remet jamais de laisser partir son premier amour. Ou quand ils disent que le premier, on le chéri toute sa vie. Aujourd'hui, je ne suis plus amoureuse de Derrick. Il ne faut pas se méprendre, je l'aime énormément et je pourrais soulever des montagnes pour cet homme mais je n'en étais plus amoureuse. Mais j'étais curieuse. Curieuse de savoir ce que j'aurais pu ressentir au creux de ses bras. Curieuse de savoir ce que j'aurais pu ressentir si j'avais été à lui et à lui seul. C'était difficile à imaginé dans la mesure où je n'avais jamais été en couple et de ce fait jamais été fidèle à qui que ce soit si ce n'est en amitié. J'étais curieuse de savoir ce que ma vie aurait pu être si j'avais appartenue à mon meilleur ami d'enfance. Ce que ça aurait pu me faire de me sentir aimer. Mais ce n'était pas ce que je lui avais demandé. Ce que je voulais moi c'est qu'il me baise comme si j'étais à lui. Parce que le sexe, c'était le seul langage que je comprenais. J'aimais la texture de ses cheveux sous mes doigts, aussi loin que je me souvienne, j'avais toujours adoré ça. Parce qu'au delà de l'apaiser lui, ça m'avait toujours apaisé,moi. J'étais égoïste, comme ça, à ce point. Je laissais mes émeraudes se perdre dans les yeux océan de mon ami et je hochais simplement la tête quand il me demanda si c'était réellement ce que je voulais. J'avais souri en le voyant rire, je savais que c'était parce que je lui avais demandé de faire comme si j'étais à lui. Moi aussi, j'aurais ris à sa place mais j'étais plus que sérieuse. Je ne savais pas si c'était l'alcool, les speed, la beuh ou juste l'orgasme mais j'étais atrocement sérieuse dans ma requête. J'étais une aventurière, je n'avais pas peur. "T'en sais rien. Je pense que je pourrais te surprendre.", je ne pensais pas, je le savais. Il y avait très peu de chose que je n'aimais pas quand il était question de cul. Je suivais son regard vers ma poitrine moite et j'imitais son froncement de sourcils. J'avais une respiration saccadée, voire bruyante mais étonnement rapide. Je n'avais pas besoin qu'il me fasse un dessin pour comprendre pourquoi est-ce qu'il s’inquiétait. Ma main quittait ses cheveux pour caresser sa barbe humide de sa sueur et je me rappelais que ça aurait dû être de ma cyprine. Derrick était un sacré joueur, ça, je devais le reconnaître. Rare étaient ceux qui parvenait à me faire céder. "Tu n'iras pas trop loin parce que tu ne veux pas me faire du mal, Dede. Tu n'as jamais voulue m'en faire et ce n'est pas maintenant que tu vas commencer mais oui, si tu vas trop loin. Je te le dirais.", je m'étais penchée pour déposer un baiser sur ses lèvres mais prise au dépourvue, quand il pinça mon bouton de chaire, je l'avais mordue à la place pour étouffer un cri de douleur mais de plaisir aussi. Non, définitivement de plaisir. "Hmmm... J'en ai déjà l'eau à la bouche.", je lui avais dis alors qu'il m'écartait de lui pour me remettre sur pied. Je titubais légèrement mais il ne maintenait bien en place. Je ne risquais rien, je le savais. J'avais confiance en Derrick, entièrement et totalement confiance. Docilement, je hochais la tête quand il m'intima qu'avant ça, j'allais avoir besoin d'une pause. Je m'en fichais un peu qu'il croit ça même si ça m'énervait quand même un peu. Je n'aimais pas qu'on me prenne avec des pincettes à cause de mes petits soucis cardiaque. C'était bien la raison pour laquelle, je ne le disais généralement à personne. Mais quand on grandissait avec une personne, c'était très difficile de cacher ce genre de chose. De toute manière, je ne disais rien parce que ma concentration était ailleurs. Sur son large membre titillant le haut de ma cuisse, par exemple. Mais il s'écartait pour ramasser le gode sur le sol pour le poser sur le comptoir de marbre. D'autres jouets. Il allait être surpris de voir mon entière collections de jouets. Parfois, j'avais l'impression d'avais un sexshop dans ma commode. "Je vais avoir besoin d'un bavoir si tu continues.", je le regardais quitter la pièce après qu'il m'ait bien allumé et je levais les yeux au ciel en quittant la salle d'eau pour ma chambre en rasant les murs. Mon équilibre n'était toujours pas au rendez-vous et mes jambes frétillaient comme de la gelée qu'on aurait secoué.
Je ne pensais pas avoir besoin de repos. Je ne pensais jamais avoir besoin de repos, de toute manière. Même si j'étais à l'article de la mort, j'avais pour habitude de dire que j'allais bien. J'allais toujours bien. J'ouvrais ma commode pour en sortir mon martinet, mes boules de Geisha, mon vibromasseur, mon autre gode qui était bien plus large que celui que Dede avait trouvé et un plug anal. J'avais encore pas mal de jouets dans les tiroirs mais je trouvais ça bien plus excitant de laisser à mon ami le soin de les choisir. Je disais les quelques accessoires que j'avais sélectionné au bord du lit. J'allais quérir des bracelets de cuirs et des chaines. Si l'envie lui prenait de m'attacher au lit ou ailleurs, pour ce que ça vaut. Je déposais aussi au bord du lit un bâillon boule. J'entendais mon ami me dire qu'il n'y avait rien à manger chez moi et qu'il allait de ce fait commander. C'était inutile de lui rappeler qu'il n'y avait jamais rien à manger ici. "Génial! Parce que je meurs de faim!", je lui avais crié à mon tour. Et j'avais pas seulement faim de nourriture. Je m'installais sur le lit et me bandais moi-même les yeux. J'aimais qu'on me surprenne et aujourd'hui, j'avais envie que Derrick me surprenne. De ma position assise, je ne savais à quel moment je m'étais allongée. Je n'avais pas envie d'admettre qu'en effet, le repos semblait calmer mon rythme cardiaque ainsi que ma respiration. Je me laissais bercer par la douceur de mes draps et puis je ne sais trop à quel moment, je m'étais assoupie. Trouvant réconfort dans les bras de Morphée.
AVENGEDINCHAINS
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-18/!\ Come and and take a walk on the wild side. Ft. Derrick