Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Dim 22 Avr - 20:11
Ariel R. Hart && Newton Williams
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"Ne t'en fais pas Newt. Je sais pertinemment que j'avais le droit mais c'est juste que.... aucun n'était le bon et encore une fois, je n'intéressais personne donc ce n'était pas vraiment dommage..."
Bon d'accord, ce n'était pas le bon mot mais elle s'en fichait un peu. Et puis pourquoi ne s'était-elle intéressée à personne ? Tout simplement parce que aucun n'était Newton. Ce dernier ne pouvait pas savoir à quel point il lui avait manqué et jamais aucun câlin qu'elle lui ferait ne pourrait jamais assez bien le démonstrer. Newton était sa moitié et jamais rien ni personne ne pourrait le remplacer. C'était encore fou ce sentiment qu'elle avait en elle mais en même temps, elle était amoureuse de lui alors pourquoi chercher à le nier ?
Chercher à le nier tout simplement parce que malgré tous les "Je t'aime trop" de Newton et autre, cela ne serait jamais plus qu'en amitié qu'il l'aimerait. La jeune fille avait été son amour de gosse mais c'était tout. Pourquoi l'aimerait-il encore quand il y avait des filles magnifiques juste à côté d'elle ? Tiens par exemple à la table à sa droite il y avait Mary-Kate, une jeune fille rousse aux yeux verts émeraude magnifique ! Comme quoi, pas besoin de chercher bien loin pour trouver plus belle qu'elle.
Oui, encore une fois, la jeune fille brune ne s'était jamais considérée comme étant belle alors qu'elle était magnifique et que Newt, lorsqu'il était là, ne faisait que lui répéter à quel point elle était jolie. Mais c'était comme cela, Ariel l'avait toujours écoutée que d'une oreille alors évidemment, les garçons n'allaient pas voir et draguer une jeune fille qui n'avait pas confiance en sa beauté. Ils n'avaient aucune envie de devoir tout le temps lui répéter à quel point elle était belle.... sauf Newt bien sûr.
"Non ça va. Je dirais même que je préfère le jeune homme que tu es devenu. Tu es plus mature, ça c'est sûr, mais tu restes quand même le même en un sens... voilà pourquoi le toi d'avant ne me manque plus vraiment."
La jeune fille lui serra les mains, toujours aussi heureuse de le retrouver. C'était réellement un rêve devenu réalité de le retrouver ici. Elle n'y croyait pas encore à ce rêve et elle était tout doucement en train de s'y habituer tellement c'était irréel. Mais elle était complètement heureuse à présent parce que Newton était sa moitié et elle venait de la retrouver. Elle allait tout faire pour profiter un maximum de lui.
"Ca me plairait de venir chez toi. C'est génial en tout cas ce que tu fais ! Tu seras un très bon médecin en tout cas. J'en suis sûre. Tu as toujours eu un certain talent pour cela. Même quand on était petit, tu voulais aider l'infirmière scolaire à soigner les autres."
Ariel sourit à ce souvenir.Il n'y avait jamais rien qui n'avait arrêter Newton à vouloir soigner les autres. Il était tellement mignon à cette époque et là... il était plus que beau. Il était même carrément sexy en plus... cette pensée fit complètement rougir la jeune fille alors que c'était le jeune homme qui rougissait parce qu'elle leur avait ressorti un souvenir de leur enfance où Newt avait dit qu'ils auraient des enfants à 22 ans. C'était tellement mignon de le voir rougir... mais ce n'était pas le moment pour rougir à son tour et pas pour les mêmes raisons !!
"Oui c'est vrai qu'il faut déjà qu'on sorte ensemble et ce n'est pas maintenant que cela va arriver."
Mais en vérité cela lui plairait bien de sortir avec lui. C'était bête à dire mais c'était vrai. De toute façon, une nouvelle fois, ils venaient de se retrouver donc ils n'allaient pas se mettre ensemble. Puis, elle termina son assiette et regarda Newt avec un sourire.
"On y va."
Puis, ils débarassèrent leurs deux plateaux et ils sortirent en dehors de l'université parce qu'ils avaient bien sûr le droit de sortir lorsqu'ils étaient en pause ou entre deux cours.
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Dim 22 Avr - 21:55
Dire qu’il n’avait jamais regardé d’autres filles lorsqu’il était à Chicago aurait été lui mentir. Il avait eu quelques histoires par ci par là, mais aucunes n’avaient jamais duré très longtemps. C’était souvent des coups d’un soir comme on dit ou bien des relations vouées à l’échec car Newt ne voulait pas s’attacher à quelqu’un d’autre qu’Ariel. C’était peut-être stupide, peut-être qu’il aurait dû refaire sa vie à Chicago et venir la voir comme promis, quitte à emmener sa petite amie avec lui… Mais non. Aucune n’avait semblée être assez bien pour lui, parce que constamment, ses pensées allaient vers Ariel. Pourtant, il avait rencontré quelques filles qui avaient voulus construire quelque chose avec lui. Mais Newt les avait toutes repoussées, les unes après les autres. Et il savait qu’il ferait pareil à Washington. C’est vrai, il y avait un tas de jolies filles ici. Mais il y avait un problème : elles n’étaient pas Ariel. Il l’aimait elle, tout simplement, que ce soit physiquement ou par son caractère. Même si parfois il lui ripostait qu’il n’en pouvait plus d’elle quand elle lui en faisait voir de toutes les couleurs, la pire des choses qui lui était arrivées avait été d’en être séparé. Il en avait voulu pendant un temps à ses parents pour cela. Il s’était même mis en tête de retourner à Washington par ses propres moyens et avait fugué de la maison quelques semaines après son arrivée à Washington, mais il s’était fait prendre par un adulte qui avait jugé bon d’appeler la police en voyant le petit garçon de neuf ans prendre le bus tout seul avec un sac à dos. Newt n’oubliera jamais la peur qu’il a eue en voyant les policiers monter dans le bus et lui demander de le suivre. Ni l’engueulade qu’il a eue de ses parents le soir même lorsque les agents l’ont ramené à la maison après lui avoir fait la morale. Il en avait pris pour son grade ce soir là. Et évidemment, jamais plus il n’a cherché à recommencer. Jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de prendre lui-même ses décisions et que plus personne ne décide pour lui. Il n’avait eu qu’un seul but, tenir sa promesse faite à Ariel, comme toutes celles qu’il lui avait fait jusqu’alors. Il avait seulement dû attendre que plus personne ne puisse lui mettre des bâtons dans les roues.
Et à présent qu’il était face à elle, il se disait que ça en avait valu le coup. Elle était pareille qu’il l’avait laissée. Certes, c’était une jeune femme à présent, mais lorsqu’il cherchait bien, il revoyait la petite fille qu’elle avait été autrefois. Celle qu’il avait envie de protéger coûte que coûte. Celle avec qui il se sentait plus fort, prêt à affronter le monde entier pour peu qu’elle soit avec lui. Ca avait toujours été eux contre le reste du monde. Jusqu’à ce que ses parents viennent tout gâcher. « J’espère vraiment que tu ne changeras pas d’avis… » Car c’est vrai que petit, Newt avait ses défauts, il n’était pas le petit garçon parfait, loin de là… Et à présent qu’il avait grandi, il en avait d’autres. Sans doute qu’Ariel avait changée un peu elle aussi dans sa façon d’être. Mais pour lors, ils s’occupaient surtout de se retrouver tout les deux. Ils verraient les défauts de l’autre apparaître bien assez tôt. Mais en tout cas, pour lors, leur complicité était intacte et ça, pour Newt, c’était l’essentiel. Il avait vraiment eu peur qu’elle lui demande de la laisser tranquille et de repartir à Chicago. Elle aurait pu le faire, mais heureusement, ça n’était pas arrivé. Ils allaient pouvoir rattraper le temps perdu tout les deux. Du moins, essayer. « Tu viens quand tu veux. Attends… » Il sorti un morceau de papier de sa poche ainsi qu’un stylo et ne manqua pas de lui écrire son adresse de même que son numéro de portable, au cas où elle voudrait le rajouter dans ses contacts ainsi que ses horaires de travail et l’endroit où il bossait. Comme cela, si un jour elle avait envie de venir manger au restaurant, il se ferait un plaisir d’être son serveur attitré. Lorsqu’il eut tout écris, il lui rendit son morceau de papier avec un sourire et rangea son stylo en reportant son attention vers elle. « J’espère que tu as raison. Merci en tout cas de m’encourager, tu es adorable. Et c’est vrai, j’aimais beaucoup la regarder faire. Je me souviens. Parfois je lui chipais des pansements sans qu’elle le voit et quand quelqu’un se faisait mal, j’accourais pour le soigner. Quand elle me voyait faire, elle me donnait toujours des bonbons pour me remercier d’aider les autres. Et moi je les partageais avec toi… » C’était tellement facile en ce temps là. Newt aurait bien aimé retourner en arrière juste pour revivre cette partie de vie semée d’insouciance. Mais il ne voulait plus revivre son départ pour Chicago. C’était un souvenir qui le touchait encore, même des années plus tard. Il voulait laisser cette partie là derrière lui, aller de l’avant. Ne plus penser au passé et se tourner vers l’avenir. Et s’il pouvait être avec elle, ça serait encore mieux. Et maintenant qu’il était de retour, il espérait pouvoir aller de l’avant avec elle. Mais ses paroles, il ne les avait pas vues venir. Elles lui avaient fait l’effet d’une gifle et il n’aurait pu décrire la douleur qu’il avait ressentie. Elle ne voulait pas sortir avec lui. Si ça se trouve, elle n’avait jamais voulu le faire. Au moins, il savait à présent. Il était sans doute destiné à rester son ami. Peut-être redevenir son meilleur ami. Dans un sens, c’était peut-être mieux comme cela. C’est du moins ce dont il essayait de se persuader. Il avait eu tort de penser qu’ils pourraient essayer de se mettre ensemble. Il lui en avait parlé, il savait maintenant ce qu’elle en pensait. C’était dur à encaisser, il avait d’ailleurs préféré garder le silence pour ne pas s’enfoncer davantage et lui avait néanmoins adressé un dernier sourire en hochant la tête, prêt à la suivre. « C’est parti… » Il fallait qu’il sorte, ça lui remettrait certainement de l’ordre dans les idées.
Ensembles, ils quittèrent le bâtiment universitaire, Newt marchant à ses cotés, les mains glissées dans les poches de sa veste depuis qu’ils avaient rangés leurs plateaux. Il ne connaissait pas encore vraiment ce coin de l’université, il n’y avait d’ailleurs jamais mis les pieds. Il se contenta dès lors de suivre Ariel dans les jardins universitaires et alors qu’il repérait un petit coin à l’ombre et un peu à l’écart, il reprit doucement la parole. « Ca te dis qu’on aille se poser là-bas ? On pourra continuer à discuter tranquillement. »
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Dim 22 Avr - 23:00
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Bizarrement, Ariel avait trouvé Newton assez froid dès qu'ils eurent quitté le bâtiment universitaire. Elle ne savait pas pourquoi mais cela la rendait triste, vraiment malheureuse. Elle voulait remettre sa main dans la sienne mais ils les avaient dans les poches de sa veste. Elle ne savait pas quoi faire. C'était sûr mais elle savait qu'elle serrait dans sa main gauche le papier que lui avait donné Newton avec toutes les informations sur lui. C'était la chose la plus précieuse qu'elle avait sur lui en ce moment et elle comptait bien garder ce morceau de papier aussi longtemps qu'elle vivrait, informations apprises par coeur ou pas. Newton était réellement tout pour elle et elle voulait en profiter un maximum.
"Oui, allons là-bas mais d'abord...
La jeune fille se blottit du plus fort qu'elle le pouvait dans les bras de Newton. C'était le seul endroit où elle voulait être en ce moment. Puis elle sentit ses larmes couler le long de ses joues mais cette fois-ci, c'était de la tristesse parce qu'elle ne savait pas pourquoi Newton était si froid envers elle. Elle ne pouvait pas le supporter qu'il soit si éloigné d'elle. Si proche physiquement mais pourtant si distant. La belle brune détestait ce sentiment et espérait qu'il allait vite disparaître.
"Pourquoi parais-tu si froid ? Tu me brises le coeur en agissant comme cela. S'il te plait Newt, quoi que j'ai dit, ne sois pas énervé. Je ne veux pas te faire du mal. Et pourtant j'ai l'impression que je t'en ai fait donc excuse-moi pour cela... si tu veux bien me pardonner bien sûr. Mais je t'aime trop pour te faire du mal intentionnellement."
La jeune fille se détacha doucement de son étreinte avant de laisser ses yeux vagabonder sur les lèvres de ce dernier, révélant sans faire attention la nature de ses vrais sentiments si Newt n'était pas trop bête. Mais de toute façon comment pourrait-il le deviner alors qu'il pensait sans qu'elle ne le sache, qu'elle ne l'aimait pas ? Mais de toute façon, ils allaient sûrement rester dans le cercle vicieux de la friendzone parce qu'ils ne savaient pas comment s'avouer qu'ils s'aimaient l'un et l'autre.
La friendzone était l'endroit exact où ils étaient en ce moment. Ils s'étaient friendzonés sans le savoir et c'était bien dommage pour eux. Ariel aimait plus que tout au monde Newton mais il lui avait dit qu'ils ne sortiraient pas encore ensemble, voulant donc dire qu'il n'était pas amoureux d'elle et c'était comme cela que la jeune fille avait eu son premier coeur brisé. C'était horrible à dire mais elle n'allait pas dire à Newton qu'elle était amoureuse de lui dans ces conditions-là. Elle refusait d'avoir son coeur brisé une troisième fois.
"Mais tu sais ce qui fait le plus mal ? C'est de te faire du mal encore une fois... je ne peux tout simplement pas le supporter."
La jeune fille soupira tandis qu'ils s'asseyaient à l'ombre. Ils faisaient bon et c'était bien plus agréable que d'être sous le soleil. Bon d'accord, ils n'allaient pas bronzer mais ce n'était pas très grave. La belle brune sourit un peu en sentant une légère brise lui parcourir la peau de ses bras. Malgré la froideur de Newton, elle se sentait bien comme cela et elle comptait bien en profiter. Elle aimait néanmoins le soleil mais aimait bien rester à l'ombre parfois, comme en ce moment où il faisait largement trop chaud au soleil.
"J'ai bien envie de sécher mes cours de l'après-midi simplement pour rester avec toi, tu en dis quoi ?"
Ariel sourit à Newton, ayant décidé qu'elle ferait avec sa froideur inhabituel. Elle ne pleurait plus, heureusement mais ses yeux étaient encore un peu rouges.
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Mar 24 Avr - 21:15
Les pensées de Newt se bousculaient alors qu’il marchait silencieusement aux cotés d’Ariel. Est-ce qu’il avait eu tort de penser que quelque chose de différent était possible entre eux ? Sans doute. Ils avaient tellement été habitués à n’être que des meilleurs amis fusionnels qu’ils étaient sans doute destinés à le rester. Vouloir plus, c’était peut-être risquer de perdre leur lien qu’ils avaient… Qu’est ce qui était mieux ? Risquer de tout gâcher ? Ou se contenter de ce qu’Ariel voulait bien lui donner. Honnêtement, il penchait plus vers la deuxième solution. Même si là, il ne se montrait plus vraiment fusionnel, c’était vrai. En temps normal, il lui aurait pris la main dans la sienne sans problème. Mais là, il ne savait plus trop où il en était. Pour la première fois, il ne savait plus trop comment il devait se comporter avec Ariel. Pour la première fois, il n’arrivait plus à agir sans se poser de questions. Ariel était venue cependant interrompre le cours de ses pensées en venant se blottir tout contre lui. Machinalement, il s’était arrêté et après quelques secondes, en la sentant pleurer tout contre lui, il avait fini par l’enlacer doucement, en se maudissant intérieurement de l’avoir fait pleurer. Il était à peine de retour dans sa vie qu’elle était déjà en larmes. Evidemment, il ne se le pardonnait pas, et il ne manqua pas de resserrer son étreinte en murmurant doucement. « Je suis désolé. Je ne t’en veux pas, ne crois pas ça. Tu n’as rien fais de mal, vraiment. C’est plutôt moi qui fais tout de travers. Regarde, je te fais pleurer alors que je viens à peine de revenir… Ne t’inquiète pas pour moi, je vais bien, en dehors du fait que je m’en veux en ce moment pour pas mal de choses. Mais ce n’est en rien de ta faute, d’accord ? Ca ne concerne que moi. » Il plongea son regard un instant dans le sien et pris son visage dans ses mains pour essuyer à l’aide de ses pouces les larmes qui lui roulaient sur les joues. Elle devait vouloir retrouver son meilleur ami qu’elle avait dû laisser à l’époque. Hors, d’aussi loin qu’il se souvienne, il ne l’avait jamais faite pleurer auparavant. Il avait bien vu son regard se baisser vers ses lèvres et autant dire que cela l’avait pas mal troublé. Ce geste ne concordait pas avec ce qu’elle lui avait dit juste avant, qu’ils ne sortiraient pas ensemble maintenant. Aussi, Newt pris sur lui de résister à l’envie qu’il avait de l’embrasser à son tour. Il ne le pouvait pas pour la simple et bonne raison qu’Ariel voulait surtout en ce moment retrouver son meilleur ami. Elle était sans doute loin d’imaginer les tourments qu’elle était en train de lui donner en ce moment. Mais qu’est ce qu’il en avait eu envie. Et s’il avait évité de se montrer tactile avec elle alors qu’ils se rendaient à l’extérieur, c’était une façon pour lui de se protéger un peu. Enfant, il pouvait lui prendre la main, la blottir tout contre lui sans ressentir ce sentiment si intense. Avant, c’était fort, mais pas aussi fort que maintenant. Parce qu’avant, il n’était qu’un petit garçon. Avant, il ne pensait pas à l’embrasser toutes les trente secondes. Avant, il ne voulait pas l’avoir contre lui, tout le temps. Mais là, alors qu’il n’avait pas pu faire autrement que de l’enlacer, il ne voulait plus la lâcher. Ce fut d’ailleurs elle qui se libéra de son étreinte, le ramenant à la dure réalité. Mais il ne voulait pas qu’elle s’inquiète pour lui. Il n’avait jamais aimé qu’elle s’inquiète pour lui. Dès lors, pour tenter de la rassurer, il lui adressa un sourire. « Je te l’ai dit, ça va, ne t’inquiète pas. Ne te torture pas l’esprit avec ça. On devrait profiter d’être à nouveau tout les deux, comme avant. Oublions ce qui vient de se passer, ça nous fait du mal à tout les deux. Et j’ai pas envie de ça. » Non, il n’avait pas envie de la voir malheureuse. C’était trop difficile à supporter. Doucement, il s’installa dans l’herbe à ses cotés, bien décidé à profiter du temps libre qui s’offrait à eux. Et de ce soleil. Certes, il s’était mis à l’ombre, mais il avait toujours préféré se protéger des rayons du soleil. Et puis, il faisait plus respirable ici. La proposition d’Ariel l’avait fait sourire. Elle qui avait toujours été très studieuse en classe, jamais il n’aurait cru l’entendre lui proposer une telle chose. Mais cela avait suffi rapidement à le faire rire alors qu’il reportait son attention sur elle avec un petit air amusé. « Tu es sérieuse ? Et tu voudrais aller où ? Je te laisse choisir, je te dois bien ça pour me faire pardonner. » Et puis, à dire vrai, entre les cours ou bien rester avec elle, le choix était vite fait. Il lui devait bien ça.
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Mar 24 Avr - 22:44
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"Non, non, tu ne m'as pas fait pleurer. Enfin si un peu.... enfin bref oublie ! Mais j'espère vraiment que tu vas bien...."
La jeune fille lui adressa un léger sourire, heureuse qu'il aille apparemment bien malgré tout qu'elle ne le croit qu'à moitié. Ca se voyait trop qu'il lui disait cela juste pour qu'elle ne s'inquiète pas et elle détestait lorsqu'il lui mentait. Mais bon, elle n'allait pas lui qu'elle savait pertinemment bien qu'il mentait sinon ça ne serait pas du jeu. En quoi cela ne serait pas du jeu ? Elle ne le savait pas du tout mais bon, avec elle, mieux valait ne pas chercher midi à quatorze heures sinon ça n'allait pas vraiment le faire. La jeune fille était plus que tout compliquée et Newton était le premier à le savoir.
Pendant un instant, elle crut qu'il allait l'embrasser et qu'elle ne fut pas sa déception lorsque cela n'arriva pas. Elle s'en fichait qu'ils commencent à sortir maintenant et pas plus tard, elle ne voulait que cela en réalité. Elle avait fait l'erreur de regarder ses lèvres et quand cela allait devenir plutôt une bonne chose lorsqu'il l'aurait embrassé, il s'en était empêché. Pour le coup, Ariel aurait bien voulu donner une grosse fessée à Newton pour ne pas l'avoir fait. Mais cela n'aurait eu aucun sens. Comment lui expliquer qu'elle lui avait donné une grosse tape sur les fesses parce qu'il ne l'avait pas embrassé ? Oui, c'était bel et bien ce que j'avais dit: Cela n'aurait eu aucun fichu sens. Merci Ariel pour nous le rappeler.
"Si tu le dis Newt. Je ne te poserai plus jamais de questions par rapport à cela. Je te le promets."
Ils allèrent ensuite s'installer sur l'herbe et Ariel s'allongea dessus, se sentant plus que bien comme cela. Elle mit sa main dans celle de Newton en souriant. La petite fille en elle n'avait pas changé du tout. Elle voulait toujours être au plus près de Newton, quoi qu'il arrive. Elle n'avait jamais compris ce sentiment mais elle supposait que c'était parce qu'elle était folle amoureuse de lui. C'était bizarre ces sentiments lorsqu'on était amoureux de quelqu'un, vouloir toujours être au plus près de la personne. Mais Ariel aimait cela parce que grâce à cela, elle pouvait toujours être proche de Newton. Et comme ils étaient meilleurs amis, il n'y avait pas du tout d'ambiguïté dans tout cela.
"Aller où ? C'est une bonne question. Je n'y ai pas du tout pensé. On pourrait tout simplement aller se promener ou bien aller au cinéma.... ou bien encore aller à la piscine. Je propose, tu décides."
La jeune fille se remit en position assise comme l'était son meilleur ami et lui adressa un grand sourire. Elle voulait passer sa vie à lui sourire tout simplement et être le plus près de lui qu'elle le pouvait. Elle n'y avait pas pensé sur le moment mais la piscine serait une bonne occasion pour se montrer en bikini à Newton. Peut-être que si un garçon venait la draguer avec un peu de chance, il prendrait son courage à deux mains et dirait qu'elle était sa petite amie tout en l'embrassant au passage. Cela serait réellement bien et ça serait parfait pour quand ils raconteraient comment ils en étaient venus à sortir ensemble à leurs futurs enfants, Ariel serait réellement aux anges.
"On va à la piscine, j'ai bien envie de me baigner et ça nous fera du bien en cette période de grosse chaleur."
Son plan était parfait.
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Mer 25 Avr - 14:49
Qu’elle soit heureuse, c’était le plus important pour Newt. Il voulait avant toute chose lui faire plaisir pour ne pas qu’elle se rappelle de leurs retrouvailles à tout les deux de façon négative. Elle n’avait pas à payer parce qu’il avait appris une vérité difficile à encaisser. Il devait se reprendre, pour elle, et pour leur amitié. Rien ne devait changer entre eux. Il allait apprendre à se faire une raison, ça prendrait du temps, mais il arriverait sans doute à passer à autre chose au bout d’un moment. Il rencontrerait peut-être une autre fille dans les jours, semaines, mois à venir… L’université était grande… Il aurait sans doute plus facile de retomber amoureux d’une autre lorsqu’il aura digéré l’idée qu’entre Ariel et lui, c’était impossible. Tout ce qu’il espérait, c’est que si ce jour venait à arriver, Ariel et elle s’entendent bien. Qu’il ne doive pas choisir entre l’une ou l’autre… Car aussi amoureux qu’il pourrait être, il savait que ce serait toujours Ariel qui passerait en premier. Ca avait toujours été comme ça, et personne n’allait jamais rien y changer. Il était perdu dans ses pensées à ce sujet et revint doucement sur Terre en sentant la main d’Ariel se glisser dans la sienne. Doucement, il reporta son attention sur elle et chassa ses pensées de son esprit en resserrant sa main autour de la sienne en lui rendant un sourire. Il valait mieux qu’il se concentre sur l’instant présent, qu’il profite juste du bonheur qu’il avait d’être avec elle en ce moment. Se morfondre ne rimerait à rien. Et puis, ce n’était pas le genre de Newt d’agir de la sorte.
Ariel avait décidé d’aller à la piscine. Un choix qui convenait parfaitement à Newt. Vu cette chaleur, c’était l’endroit rêvé. Et puis, il se rappelait immanquablement de sacrés souvenirs qu’il avait eu avec elle à la piscine de par le passé. Ils adoraient y aller tout les deux et savoir que ça n’avait pas changé de son coté le comblait. Enthousiaste, il avait eu vite fait de se lever et à peine debout, il lui avait tendu la main pour l’aider à se relever. « J’espère qu’ils continuent à vendre leurs glaces italiennes juste à coté. Je me souviens que c’était une tuerie. » Ariel et lui avaient d’ailleurs pour habitude de s’offrir une glace juste après s’être baigné. C’était leur petit réconfort à tout les deux. Et un excellent moyen de prolonger l’après-midi ensemble.
Avant de quitter le bâtiment universitaire, Newt accompagné d’Ariel s’étaient dirigés vers l’accueil où le jeune homme avait réclamé son casque de moto qu’il laissait toujours ici : impossible en effet de le glisser dans son casier et impensable de le laisser dehors. Et alors que des personnes allaient le lui chercher, il se retourna vers sa meilleure amie. « J’espère que tu aimes les ballades en moto… Bon, ici, ça n’en sera pas vraiment une, mais un jour je t’emmènerais. » Newt avait eu la possibilité d’avoir une voiture, mais il n’avait pas saisi l’occasion, préférant de loin la moto qu’il possédait depuis deux ans déjà. Il ne se déplaçait qu’avec elle, et cela lui convenait parfaitement. Souvent, il adorait prendre des routes désertes, et alors c’était seulement lui, sa moto, et la vitesse. Et la sensation qu’il éprouvait à ce moment là, il ne l’échangerait contre rien u monde. Il se sentait libre. Et c’était tellement agréable. « On va passer chez moi, je vais aller te chercher un deuxième casque, j’en avais prévu un pour toi pour quand je te reverrais, mais je pensais pas que ça serait aujourd’hui… » Et puis il fallait qu’il prenne des serviettes de plage aussi pour la piscine et de quoi y aller. Ils allaient certainement devoir passer par chez Ariel aussi pour qu’elle aussi puisse se changer.
Quelques instants plus tard, après avoir été chez lui puis chez elle, ils étaient enfin arrivés tout deux à la piscine et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’endroit était bondé. Ils avaient cependant eu de la chance, au moment où ils arrivaient, deux chaises longues s’étaient libérées et Newt et Ariel avaient aussitôt mis la main dessus. L’instant d’après, les deux jeunes gens avaient laissés tomber les vêtements pour se retrouver en tenue de plage. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le regard de Newt avait eu bien du mal à se détacher d’Ariel lorsqu’il l’avait vue en bikini. « Tu es parfaite… » Digne des couvertures de magasines. Faudrait d’ailleurs qu’elle bosse là dedans, elle aurait certainement beaucoup de succès.
Ils étaient à peine dans l’eau depuis quelques minutes qu’un jeune homme que Newt ne connaissait pas s’était rapproché d’Ariel en faisant comme si Newt n’était pas là. Il avait une façon de regarder Ariel qui ne lui plaisait évidemment pas et si Newt avait tenu bon pour ne pas s’énerver tout de suite histoire de ne pas se faire remarquer, l’autre garçon lui, était bien décidé à se faire voir par la jeune femme et il n’avait pas perdu de temps pour l’accoster avec un sourire qui se voulait ravageur. « Salut toi… On t’a déjà dit que tu étais jolie ? Je t’observe depuis tout à l’heure et je me disais, ça te dit que je t’offre un verre ? » Immanquablement, la main de Newt se glissa dans celle d’Ariel mais pour la première fois, il avait mêllé ses doigts aux siens en adressant un regard noir au jeune homme. « Elle n’ira nulle part, je serais toi j’irais voir ailleurs… » L’attitude de Newt avait déplu au jeune homme qui, loin de se laisser démonter, l’avait regardé des pieds à la tête avec un sourire arrogant. « T’as un problème le cure-dents ? A ton avis entre toi et un gars comme moi, ta copine, elle préfère quoi ? » Newt vient blottir doucement Ariel contre lui, sa présence avait don de le calmer. Il savait bien que l’autre garçon cherchait à le faire sortir de ses gonds et bien que l’envie le démangeait, lui coller un poing en pleine figure n’était pas ce qu’il y avait de mieux à faire. Soudain, le ballon avec lequel jouait un groupe d’enfants pas loin de là vint frapper l’autre garçon en pleine tête, si rapidement qu’il ne l’avait pas vu venir… Le pauvre il avait dû le sentir passer, mais Newt n’avait pas la moindre considération pour lui et il eu bien du mal à se retenir de rire. « Redescends sur Terre mon gars, elle est trop bien pour toi. Tu la mérite pas… » Apparemment vexé, le jeune garçon avait décidé qu’il valait mieux qu’il les laisse tranquille tout les deux et qu’il renonce à Ariel… Et puis, avec l’humiliation qu’il venait d’avoir avec le ballon, c’était sans doute mieux pour lui qu’il abandonne. Newt le regarda partir un court instant avant de se détendre un peu et reporta son attention sur Ariel face à lui, toujours blottie dans ses bras. Doucement, il revint glisser ses mains dans les siennes et lui adressa un regard amusé, ayant du mal à se remettre de la tête du gars de tout à l’heure quand il s’était pris la balle. Certes, c’était pas bien de se moquer, mais il ne pouvait pas faire autrement. Il lui libéra une main pour venir la passer dans une des mèches de cheveux de la jeune fille face à lui avant de s’attarder sur son visage. « Désolé, mais il fallait qu’il sache la vérité, tu es trop belle pour lui… » Et puis, elle le faisait complètement craquer. Immanquablement, ses vieux démons de tout à l’heure étaient ressurgis et alors qu’il la gardait blottie tout contre lui, il ne pu s’empêcher de baisser son regard vers ses lèvres. Il en avait envie. Vraiment envie. Était ce bien, était ce mal ? Zut pour être polie, il n’avait plus envie de se poser des questions. Et doucement, il avait cédé à la tentation en venant doucement capturer ses lèvres des siennes un court instant, avant de s’en détacher. Il releva alors un peu son regard vers elle, sans éloigner trop ses lèvres des siennes, l’invitant ainsi à les reprendre si elle en avait envie. Ou à s’éloigner si elle le désirait. « Je veux que tu sois à moi… » Il n’avait pas pu s’empêcher de lui murmurer cela, c’était peut-être trop tôt certes, mais si elle voulait qu’il soit lui-même, il n’allait plus s’en priver. Il était incapable de lui mentir de toutes façons et ça, elle le savait bien.
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Mer 25 Avr - 15:43
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Honnêtement, Ariel ne pensait pas qu'elle se ferait draguer à la piscine. Pour elle, c'était tout simplement impossible parce qu'elle ne s'était jamais faite draguer de toute sa vie. Elle avait juste eu des tonnes de compliments venant de la part de Newton lorsqu'ils étaient petits et c'était largement suffisant pour elle. Newton était son prince charmant depuis toujours alors pourquoi vouloir en changer quand tout était si parfait avec lui ? Il n'y avait strictement aucune raison et tout était bien qui finissait bien puisqu'elle se faisait draguer selon son plan.
Ariel aurait voulu répondre au jeune homme mais tout ne se passa pas comme prévu étant donné que ce fut Newton qui prit les rennes de la conversation et heureusement parce que le coeur de Ariel battait la chamade et ce n'était pas bon du tout lorsqu'elle jouait la comédie. C'était agréable de voir Newton prendre sa défense si on pouvait le dire comme cela. Il tenait à elle, ça se voyait mais jusqu'à quel point ? L'aimait-il comme elle l'aimait ? La belle brune n'en était pas si sûre malheureusement.
Sentir leurs doigts entrelacés était l'une des meilleures sensations au monde. Elle avait l'impression que tout allait bien dans le meilleur des mondes et en plus si elle était tout contre lui comme à ce moment précis, alors là c'était le Nirvana. C'était la plus belle des sensations sur la terre et en plus, s'il l'embrassait, là elle serait comblée. Mais malheureusement, il n'allait pas l'embrasser. Ariel connaissait trop bien Newt pour savoir que même si il le voulait, il ne le ferait jamais. C'était malheureusement la vie et la jeune fille allait devoir apprendre à l'accepter qu'elle le veuille ou non.
Ariel dut se retenir d'éclater de rire quand le jeune homme qui était venu la draguer se mangea un ballon d'un groupe de jeunes enfants qui jouaient un peu plus loin d'eux. Ce n'était pas franchement sympa mais c'était réellement drôle. Ce qui fait que au final, Ariel éclata de rire, manquant de se prendre un regard noir de la part du jeune homme, comme il en avait adressé un à Newton avant de partir, ridiculisé à vie sûrement. Cela avait été une bonne partie de rire et Ariel dut se tenir le ventre pour ne pas trop rigoler parce que les deux combinés faisaient une bonne partie de rigolade.
"Il devrait peut-être vérifier qu'il ne se fasse pas trop ridiculiser avant d'aller draguer une fille parce que là, son numéro de charme a totalement raté."
La jeune fille regarda avec un grand sourire son prince charmant, heureuse de l'avoir retrouvé en aussi bonne forme. Elle serra sa main dans la sienne, toujours aussi heureuse, surtout avec tous les compliments que Newt lui faisait. Elle ne pensait pas qu'il tenait autant à elle, de là à jouer presque le rôle de son petit ami. Oui, son petit ami, elle aurait tant aimé qu'il le soit.... mais bon, il fallait qu'elle profite du mieux qu'elle le pouvait de ces instants précieux.
"Vraiment ? Trop belle pour lui ? Et tu penses que je suis assez belle pour toi ?"
Elle se mordilla légèrement la lèvre inférieure avant de se faire voler un baiser par son amour de toujours. Pour le coup, elle ne le reconnaissait pas du tout et c'était tant mieux pour elle. Là, elle était à son summum de bonheur. Elle n'aurait pas pu rêvé meilleur scénario pour raconter peut-être à leurs futurs enfants comment eux, leurs parents, s'étaient mis ensemble.
"Et je ne te veux que pour moi.... je t'aime Newt et ça depuis des années déjà."
La belle brune en profita pour embrasser son nouveau petit ami.
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Sam 12 Mai - 14:03
Newt ne comptait pas se montrer oppressant et jaloux envers quiconque s’approcherait d’Ariel. Mais le garçon qui l’avait abordée, il ne le sentait pas. Déjà rien qu’à sa façon de lui parler… Il savait bien ce que le garçon avait en tête, et dès lors, ça ne lui inspirait pas confiance. Hors de question de laisser Ariel dans les griffes d’un gars pareil. Il était son ami, son meilleur ami, c’était son devoir de la protéger. Et il le ferait coûte que coûte, même si cela impliquait de s’opposer à un gars deux fois plus costaud que lui. D’ailleurs, c’est ce qu’il avait fait. Et si c’était à refaire, il recommencerait. Et puis, ils étaient venus là pour se retrouver tout les deux, et Newt ne laisserait personne gâcher cela. Sauf si c’était Ariel qui le lui demanderait personnellement.
La scène du ballon avait été épique. C’était comme si le destin avait décidé de lui venir en aide. Et il n’aurait pas pu mieux s’y prendre. L’espace d’un instant, Newt avait l’impression d’être revenu des années en arrière, comme quand tout était facile entre eux. Et qu’est ce que ça avait été agréable. En tout cas, si jamais le jeune homme de tout à l’heure déciderait de draguer une autre fille à nouveau, Newt donnerait tout ce qu’il avait au monde pour être celui qui lui enverra lui-même le ballon en pleine tête. Rien que pour compromettre ses plans et lui faire se taper la honte une seconde fois. Il fallait bien qu’il comprenne d’une façon ou d’une autre qu’il n’arriverait jamais à rien en s’adressant à la gente féminine comme il le faisait. Comment pouvait-il même en être convaincu ? Du coté de Newt, ça le dépassait complètement. Mais pour lors, il ne voulait se concentrer que sur Ariel qui semblait être à nouveau très rayonnante et c’était tellement beau à voir. Il avait presque l’impression qu’ils étaient dans une bulle à eux deux et qu’est ce que c’était agréable. Autour d’eux, rien d’autre ne comptait. Il n’y avait qu’elle. Et c’était parfait comme ça. Doucement, avec un sourire, il avait hoché la tête à chacune de ses questions avant de lui répondre à sa façon en lui volant un baiser. Certes, il risquait peut-être de tout gâcher. Mais il tournait autour du pot depuis trop longtemps déjà. S’il ne tentait rien, il risquait sans doute de ne rien voir. Et ils avaient perdus assez de temps comme ça.
La réponse qu’elle lui avait donnée, il ne s’y était pas attendu. Il aurait plutôt songé à ce qu’elle le repousse, qu’elle lui explique qu’ils ne pourraient pas être ensemble pour telle ou telle raison. Au lieu de cela, c’était tout le contraire qui s’était produit. Elle lui avait avoué ses sentiments, elle l’avait même embrassé à nouveau, ce qui avait provoqué en Newt un énorme soulagement. C’était mieux que tout ce qu’il aurait pu espérer. « Je t’aime aussi, même si ça tu le savais déjà. Mais je croyais que toi et moi, c’était impossible. Tu disais ne pas vouloir qu’on sorte ensemble… Enfin, c’est ce que j’avais cru comprendre tout à l’heure. Je croyais qu’entre toi et moi, ca serait que de l’amitié. Je croyais que c’était que ça que tu voulais avec moi. En même temps, je me disais que c’était normal, qu’est ce qu’une fille comme toi pourrait bien avoir à faire avec quelqu’un comme moi. C’était à ça que je pensais quand on est sorti de l’université tout les deux. Je suis désolé de m’être montré si distant avec toi, mais quand je te prenais la main, ça voulait dire quelque chose… Et croire que toi et moi on serait qu’amis, je me suis dit qu’il faudrait que j’arrête d’être si proche de toi. C’était idiot, je m’en rends compte maintenant, mais je savais pas encore ce que tu pensais réellement sur nous deux. Je voulais par contre que tu comprennes que pour moi rien n’avait changé. Et à présent, je suis soulagé de l’avoir fait. J’avais envie de t’entendre dire ça depuis longtemps, mais je pensais que ça n’arriverait jamais. Maintenant, je veux plus de secret entre nous, d’accord ? » S’il ne s’était pas lancé, est ce qu’elle aurait fini par lui avouer elle-même ses sentiments un jour ? Il n’en savait rien, mais pour lui, ça n’avait plus trop d’importance. Ils avaient perdus du temps tout les deux, à présent, il savait. Elle savait. Ils pouvaient prendre un nouveau départ tout les deux.
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Sujet: Re: Quand on parle du loup || PV Newton Sam 12 Mai - 16:31
Ariel R. Hart && Newton Williams
❝ I found love where it wasn't supposed to be ❞
Ariel était tellement heureuse avec Newton. La jeune fille avait attendu ce moment-là depuis des années. Elle savait depuis qu'elle était petite que c'était avec Newt qu'elle voulait passer le restant de ses jours et ses parents le savaient d'ailleurs. De plus, ils adoraient Newton alors que demander de plus ? Rien du tout effectivement. La belle brune était à son summum de bonheur et rien ni personne ne pourrait le changer, c'était ça qui était sûr.
L'épisode du ballon avait été pas mal, bien que le garçon qui l'avait dragué était pas mal non plus. Mais elle s'était souvenue de Newton dans son coeur et surtout quand ce dernier l'avait mise contre son torse. Là elle avait senti son coeur battre tellement la chamade qu'elle se disait que c'était impossible que le jeune homme ne l'entende pas. Mais apparemment il ne l'avait pas entendu parce qu'il n'avait pas fait une petite blague dessus. En même temps, elle ne l'imaginait pas du tout faire une blague dessus. Ca n'aurait pas été... Newton. Voilà, cela n'aurait pas été lui.
Elle avait été tellement bien dans ses bras qu'elle n'avait pas voulu que ce moment s'arrête. Les bras de ce dernier étaient tellement agréables qu'elle se voyait tellement bien y rester toute sa vie entière. Mais malheureusement c'était impossible donc tant pis pour elle mais il fallait qu'elle apprenne à accepter la vie. Le beau blond était magnifique à voir, tout rayonnant de bonheur tout comme elle parce qu'ils étaient enfin ensemble et rien de plus ne comptait parce qu'elle était dans son petit cocon, avec l'homme de sa vie. Cela ne pouvait pas être plus parfait.
"Oui je savais déjà que tu m'aimais.... enfin non. Je savais que quand on était petit tu m'aimais. Mais quand tu m'as dit que on n'allait pas se mettre en couple maintenant, j'ai cru que tu n'étais plus amoureux de moi et que tu préférais, ce qui était normal, que tes sentiments pour moi reviennent. Enfin, tout cela est dans le passé, non ? Profitons du présent où tu es à présent rien qu'à moi et pas à une autre fille."
La jeune fille passa ses bras autour du cou du jeune homme avant de lui voler un autre baiser. Oui, d'accord, la belle brune était complètement accro aux lèvres du jeune homme et alors ? Qui pouvait lui dire que ce n'était pas bien ? Personne à ce qu'elle sache. Elle était bien avec son homme et personne ne pouvait le lui enlever. Et puis, Ariel avait aussi vu des jeunes demoiselles regarder son petit ami donc autant marquer son territoire, n'est-ce pas ?
"On devrait aller se baigner, non ? Sinon il n'y a aucun intérêt d'être à la piscine... à part de te voir torse nu. C'est plutôt agréable comme vue."
La belle rigola et lâcha son petit ami pour aller dans la piscine.