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 the one with the blackout ~ BABY

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MessageSujet: the one with the blackout ~ BABY   the one with the blackout ~ BABY EmptyMar 30 Jan - 17:17

the one with the blackout
Winnie & Trystan


Enfin une journée sans avoir à me rendre à l’Université. J’adore ce que j’étudie et il est rare que je proteste pour aller en cours, mais avec tout ce qui se passe en ce moment dans ma vie, j’avais vraiment besoin d’une journée tranquille. Deux jours même puisque l’unique cours que je suis censé avoir demain a été annuler ce matin même. Quelle bonne nouvelle, pour bien commencer la journée. Il faudra bien sûr rattraper cet horaire manqué, mais je n’ai pas envie d’y penser pour le moment. Je vais profiter de mes deux journées de repos pour ne rien faire. Enfin au moins ce matin. Je ne suis pas vraiment du genre à aimer passer des journées entières enfermer chez moi. Je pense que j’irais faire un peu les magasins en début d’après-midi, j’ai grandement besoin de me racheter un jean et peut-être une ou deux chemises. En attendant, je décide de traîner un peu au lit. J’attrape mon téléphone pour consulter mes messages, je n’en ai aucun. Pas étonnant sachant que la plupart du temps, c’est Olivia qui inonde ma messagerie, mais comme on se parle à peine dernièrement. Je passe quelques minutes à penser à ma jolie rousse. Elle commence à me manquer sérieusement. Pourtant, je n’arrive pas à trouver le courage pour revenir vers elle. Notre dernière conversation a été plus dure que jamais, et même si elle me manque, je n’ai pas spécialement envie de reprendre là ou nous nous étions arrêtés. Alors je reste dans mon silence et visiblement elle aussi…

Je ne sais pas combien de temps, je reste allonger dans mon lit à penser à tout cela, mais lorsque je finis par réagir, il est près de midi déjà. Je me lève pour aller manger un morceau avant d’aller me préparer pour sortir. Je décide de partir assez tôt pour éviter la foule. Je sais où je veux aller et cela ne va pas me prendre des heures. Je ne suis pas un passionné de shopping même si j’apprécie bien m’habiller. Cependant, je ne peux plus vraiment remettre ça étant donné qu’il me reste un seul jean en bon état. Après être passé dans la salle de bain, je m’habille rapidement et attrape mes affaires pour sortir. Au dernier moment, je décide de prendre ma guitare avec moi. Peut-être que je passerai quand même à l’Université pour aller répéter ma dernière chanson que je souhaite présenter à mon examen de mi-semestre. Pour une fois, il ne fait pas trop moche à Washington et c’est avec plaisir que je me dirige vers le centre de Georgetown. J’aime tellement ce quartier, je ne regrette vraiment pas d’être venu m’installer ici. New-York ne me manque pas véritablement. C’était une ville bien trop grande pour moi et puis ce n’es pas comme si ma famille pouvait me manquer. Washington m’a offert un nouveau départ et je sais que je vais pouvoir me reconstruire ici. C’est donc le sourire aux lèvres que je descends Wisconsin Avenue pour me diriger vers les magasins.

Cependant, avant de démarrer mon shopping, je décide de m’arrêter à ma banque pour déposer le chèque que ma mère m’as envoyer la semaine dernière. Cela fait une semaine que je me balade avec dans mon portefeuille et il serait temps que j’aille le poser. Je prends sur ma droite et marche quelques mètres avant d’entrer dans le sas de ma banque. Je n’ai pas besoin d’aller plus loin puisqu'il possible de poser un chèque en remplissant un petit bordereau avant de tout déposer dans une enveloppe et dans la boîte prévue a cet effet. Une femme entre derrière moi et se dirige vers le distributeur tandis que je remplis mon papier. Un drôle de bruit se fait alors entendre et la lumière du sas s’éteint d’un seul coup. Ce n’est pas vraiment dérangeant puisqu'il fait jour dehors, mais tout de suite la jeune femme qui se trouvait devant le distributeur se met à râler. Je remarque alors que l’écran de la machine est devenu complètement noir. Je ne relève pas plus et récupère ma sacoche de guitare que j’avais laissée au sol pour partir. Sauf que les portes automatiques refusent de s’ouvrir lorsque je me plante devant. « C’est pas vrai. » Je recule une fois et avance de nouveau, mais rien. Je recule encore une fois avant d’avancer, mais toujours rien. Je me tourne vers la jeune blonde qui me regarde l’air perdu. Mon regard se pose une nouvelle fois sur l’écran du distributeur qui ne fonctionne plus. « Je crois qu’il y a une coupure de courant. » lui dis-je. En me tournant, je remarque que les bureaux de la banque sont également plongés dans le noir. J’ai l’impression d’être dans l’épisode de Friends ou Chandler se retrouver coincé avec un mannequin dans le vestibule de sa banque. J’ai presque envie d’en rire nerveusement. « Bon… Bah reste plus qu’à attendre hein… »


Dernière édition par Trystan Fitzgerald le Lun 26 Fév - 18:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: the one with the blackout ~ BABY   the one with the blackout ~ BABY EmptyMer 21 Fév - 16:09


Trystan & Baby

The one with the blackout

Will you find me in the dark ?
Le temps commençait à se réchauffer sur Washington, faisant en sorte qu’il était moins embêtant de sortir de temps à autre, surtout pour des obligations, comme des courses, ce qui n’était jamais bien motivant à faire. Je n’étais pas du genre casanière, mais depuis que je pouvais passer du temps avec mon fiancé et nos deux enfants à la maison, je devais avouer que j’appréciais de plus en plus le confort du domicile familial, d’où le fait que sortir quand la motivation n’était pas n’était pas ce que je préférais le plus désormais. Par contre, pour les courses, aujourd’hui, je n’avais pas tant le choix. La liste commençait à s’allonger, les achats devenaient nécessaires. Puisque le temps était relativement propice, je choisis alors de prendre mon courage à deux mains, profiter que c’était tranquille dans la demeure - Hedwige dormant, Wesley étant à l’école, Andy étant en train de rédiger son roman - pour me préparer et quitter la demeure, venant à préciser à mon homme que je ne devrais pas en avoir pour longtemps. J’avais fort à faire, mais je ne comptais pas traîner pour autant. En voiture, je fis un premier arrêt à la banque non loin de la maison, histoire de faire un retrait, n’ayant pas suffisamment d’argent liquide sur moi à mon avis. Garée devant l’institution bancaire, je ne me rendis même pas compte que je n’avais pas pris mon téléphone portable qui gisait toujours dans le porte gobelet du véhicule. J’attrapai mon sac, me rendit à l’intérieur, attendant mon tour pour me rendre au guichet automatique le plus près possible. Le moment arrivé, je m’approchai, insérai ma carte, choisis le montant que je souhaitais retirer. Et au moment de valider la transaction, juste avant que la machine opère sa magie, tout s’éteignit. Surprise, je sursautai, écarquillai les yeux, pensant que j’avais fait quelque chose de mal, que j’avais enclenché l’alarme anti-vol ou quelque chose du genre, mais un coup d’oeil au portrait plus panoramique me permit de constater qu’il n’y avait pas que la machine que j’occupais qui se retrouva avec un souci, mais bien celle à droite, puis à gauche, si bien que mon voisin du moment avait décidé de prendre ses affaires et quitter. Ne souhaitant pas perdre l’argent que j’avais demandé, et encore moins ma carte bancaire, je ne me voyais pas tant quitter, mais je pensai un instant à me rendre au comptoir pour avoir de l’aide. Avant que je puisse faire un pas quelconque en direction de celui-ci, tout s’éteignit, plongeant la banque dans le noir, provoquant chez moi un nouveau sursaut. Abandonnant cette idée, me disant que je pourrais appeler plus tard, je voulus aller vers la sortie, mais au vu des gens qui s’y massaient, je compris bien rapidement que celle-ci était bloquée aussi. Et comme si je ne l’avais pas déduit de moi-même, ou plutôt, que je ne voulais pas le déduire, l’individu, qui était auparavant mon voisin de guichet automatique, maintenant mon voisin dans cette situation plutôt dérangeante, vint me le confirmer par ses propos. Fermant les yeux, je les rouvris lorsque le même individu vint à dire qu’il suffisait d’attendre. Était-ce vraiment nécessaire ? Nous étions dans une banque, pas dans des catacombes au troisième sous-sol d’un immeuble en acier. Légèrement énervée de ce fait, de me sentir aussi impuissante, je finis par prendre la parole pour dire:  « Il y a certainement moyen d’appeler quelque part, non ? » Et même si j’osais espérer que les employés de la banque faisaient quelque chose, plutôt que de rester stoïques, ne sachant que faire, je vins à me dire que peut-être nous, on pouvait contacter les urgences, leur faire savoir ce qui se passait. Sachant très bien que nous ne pouvions être mieux servis que par soi-même, je cherchai dans mon sac pour trouver mon portable, sans succès. Me rappelant au bout d’un moment de recherche, un peu en panique, qu’il était toujours dans ma voiture, et que celui-ci ne saurait marcher seul jusqu’à la porte, toujours verrouillée, je compris que mon plan était en train de s’écrouler, tout doucement, avant même que j’aie pu faire quoi que ce soit. Soupirant fortement, je choisis de me taire, me disant que peut-être, au final, c’était mieux que je ne dise ou fasse rien, même si attendre, ce n’était certainement pas ce qui me faisait le plus envie.
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MessageSujet: Re: the one with the blackout ~ BABY   the one with the blackout ~ BABY EmptyLun 26 Fév - 18:13

the one with the blackout
Winnie & Trystan


Je me retrouve subitement coincer dans le vestibule de la banque. Comme si j’avais besoin de cela aujourd’hui. Je n’aime pas voir mes plans chamboulés. Cela peut paraître idiot parce qu’au fond, il n’y a rien de grave, je n’ai aucun rendez-vous important aujourd’hui, j’avais juste prévu de faire un peu de shopping. Je pourrais toujours faire cela plus tard. De toute manière, pour le moment, je ne peux pas aller très loin. Nous sommes littéralement coincé. De plus, il nous est impossible de rejoindre l’intérieur de la banque ou se trouve le reste des guichets et les employés. Tout l’intérieur du bâtiment est plongé dans le noir. Heureusement, le soleil brille haut dans le ciel aujourd’hui ce qui nous permets d’y voir clairement dans la pièce. Je n’ai pas beaucoup de phobies ou de peur, mais je n’aime vraiment pas me retrouver dans le noir. Pour le moment, j’essaye de ne pas trop penser au reste. Je ne voudrais pas me mettre à paniquer alors que je suis en compagnie d’une totale étrangère. La femme à mes côtés s’énerve sur la machine qui vient d’avaler sa carte bleue. Je m’estime heureux d’avoir terminé ma transaction avant que tout ne se coupe. Elle semble quelque peu tendue et voyant que nous sommes coincé pour le moment, j’essaye de faire un peu d’humour. Je ne suis pas l’homme le plus sociable qui soit, mais je tente toujours d’être poli ne serait-ce qu’un minimum. Je n’aime pas vraiment engager la conversation, mais cette fois-ci détendre l’atmosphère me semblait quelque chose d’important. Vraisemblablement, je n’ai pas eu un éclair de génie sur ce coup-là. J’ai le sentiment d’avoir encore plus énervé la jeune femme présente dans cette petite pièce avec moi. Un soupire s’échappe d’entre mes lèvres alors que je commence déjà à baisser la tête. J’aurais mieux fait de me taire une fois de plus. « Il y a certainement moyen d’appeler quelque part, non ? » dit-elle tout en commençant a fouiller frénétiquement dans son sac à main. Elle a sans doute raison, mais j’ai eu la très bonne idée de laisser mon téléphone portable chez moi. Depuis quelques jours, j’essaye de me couper totalement des réseaux sociaux et pour être honnête, j’évite également les appels d’Olivia et les textos de mon grand frère. Je sors donc de moins en moins avec mon mobile et ce n’était peut-être pas la meilleure des idées aujourd’hui. « Désolé, j’ai oublié mon portable chez moi. » dis-je tout doucement afin de ne pas énerver un peu plus la blondinette. Il semblerait qu’elle n’ait pas son portable sur elle non plus, vu la tête qu’elle est en train de tirer. Je la laisse fouiller dans son sac et fait le tour de la pièce essayant de trouver un moyen de nous faire sortir de là. Je n’ai pas spécialement l’intention de rester coincé ici plus longtemps. Les employés de la banque semblent nous ignorer totalement et je ne trouve aucun bouton ou système permettant d’ouvrir les portes automatiques malgré le manque d’électricité. Je tente de le faire à main nue, mais elles sont beaucoup trop rapprocher pour que je n’arrive à les séparer. Je soupire à nouveau et me tourne vers ma compagne de galère. « Je sais pas trop comment faire pour les ouvrir et ils ont l’air d’avoir autre chose à faire que de venir nous aider. » dis-je tout en désignant les employés de l’autre côté des portes donnant vers l’intérieur. Je pose ma guitare dans un coin et regarde à nouveau la femme qui semble réellement s’impatienter. « Vous êtes claustrophobe ? » J’espère que non, car si elle se met à paniquer, je ne vais pas mettre longtemps avant de la rejoindre. J’essaye de lui sourire quelque peu voulant réellement détendre l’atmosphère entre nous puisqu’il va sans doute falloir que l’on fasse avec la présence de l’autre durant quelque temps.
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MessageSujet: Re: the one with the blackout ~ BABY   the one with the blackout ~ BABY EmptyMer 28 Fév - 2:23


Trystan & Baby

The one with the blackout

Will you find me in the dark ?
Je ne pensais pas faire dans les préjugés quand je disais que bien souvent, les plus jeunes avaient constamment leur téléphone portable sur soi, limite greffé à leur corps. Je le voyais auprès des adolescents à qui j’enseignais en temps normal, ce portable auquel ils avaient du mal de se détourner ne serait-ce que pour une heure, comme si on leur demandait de décrocher la lune et de la ramener en moins de quarante-cinq minutes. Personnellement, je n’avais pas tant accroché à cette tendance. Enfin, pas dans un premier temps. J’avais un portable depuis mon adolescence, mais je l’utilisais à peine plus jeune, sauf pour communiquer avec Andy. J’avais commencé à le trouver vraiment utile lorsque Wesley était entré à l’école, et que je voulais rester joignable en tout temps. Après, je n’en voyais pas l’utilité, encore moins pour aller à la banque l’espace de quelques minutes. J’avais espéré que malgré ça, je serais entourée d’au moins une personne qui l’aurait et qui m’adresserait la parole, et pourtant, j’étais tombée sur la seule personne qui l’avait oublié, tout comme moi. Découragée, je fus pincer les lèvres pour m’abstenir de tout commentaire. Non pas à l’adresse du jeune homme, mais plutôt envers moi-même, parce que je ne l’avais pas oublié chez moi, mais bien dans ma voiture. Pire encore, j’aurais pu l’avoir sur moi, si seulement j’avais pris une seconde pour le glisser dans mon sac… Pourquoi n’avais-je pas pris la peine de le faire ? Parce que je ne jugeais pas nécessaire de le faire, et pourtant, c’était là que j’en aurais peut-être le plus besoin, mais je devais faire sans. Que pouvais-je faire pour le coup ? Je n’avais pas la force physique de forcer la porte. Peut-être que le jeune homme, oui ? Enfin, il tenta le coup, mais ça resta sans succès, à croire que la sécurité des fonds que contenait l’endroit était plus important que la sécurité des gens. Et s’il y avait eu un incendie dans l’endroit, est-ce que les portes seraient restées fermées aussi ? Heureusement que ce n’était pas le cas, même si rien ne nous disait ce qui se passait réellement. Appréciant l’effort de l’individu, je ne pus que partager sa frustration concernant les employés de la banque, qui semblaient encore se demander ce qui se passait, sans tenter de faire quelque chose. Enfin, il y en avait un qui avait tenté de prendre le téléphone fixe, mais comment voulait-il le faire fonctionner ? Tentant de ne pas m’exaspérer, mais de ne pas stresser non plus, cette seconde partie fut un peu plus complexe, si bien que peut-être je le semblais un peu trop, d’où la question de mon potentiel interlocuteur. Ayant la réponse à la question, je dis:  « Non, non… » Croisant les bras, réalisant après-coup que j’étais encore en train de me trahir de la mauvaise façon, j’ajoutai:  « C’est juste que… » Ayant pris la parole trop rapidement, je fus obligée de marquer une pause, pour finalement ajouter, capitulant à l’idée de trouver des mots plus appropriés, mieux tournés:  « Pourquoi il faut que tout se complique quand on veut faire simple ? » Un rire nerveux s’échappa de ma bouche, suivi d’un soupir, ne trouvant pas mieux à dire concernant cette situation dont nous n’avions clairement pas besoin, à mon avis, à moins que le jeune homme soit venu pour subir une panne électrique nous enfermant ici.
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MessageSujet: Re: the one with the blackout ~ BABY   the one with the blackout ~ BABY Empty

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