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| Pas besoin d'être du même sang pour l'aimer comme un fils. ♦ Phoenix | |
| | Sujet: Pas besoin d'être du même sang pour l'aimer comme un fils. ♦ Phoenix Mar 21 Fév - 20:46 | |
| Phoenix & Sylvia Pas besoin d'être du même sang pour l'aimer comme un fils. J’avais reçu un message de Phoenix me disant qu’il avait besoin de me voir. Mon mari n’était pas à la maison, il était encore à la maison blanche, comme une grande majeur partie de son temps mais je comprenais que son travail était important donc je ne pouvais pas lui en vouloir puis pour le moment, j’avoue que le fait qu’il ne soit pas là m’arrangeais un peu. J’avais la confirmation que Maël, mon fils de deux ans n’était pas le sien mais celui de Clay. J’allais lui annoncé ce soir, mais avant je devais en parler à Clay. Pour moi, c’était une évidence de leur en parler surtout dans l’état où est Maël. Je savais que ça allait mal se passer, qu’il allait m’en vouloir et peut-être même me quitter j’en sais trop rien mais je devais être discrète et cette information ne devrait pas fuité, d’une pour lui mais aussi pour moi. On ne sait jamais après tout, il y a ces genres de gossip dans la ville et ils s’amusent à dire soit des bêtises soit la vérité ce qui n’est pas arrangeant. De plus, je n’ai pas envie que Maël soit une source d’actualité. Quoi qu’il en soit, c’était avec plaisir d’accueillir Phoenix à la maison, je le considéré un peu comme mon fils aussi, beaucoup plus vieux mais ça ne me dérangeait pas. Je dirais même que ça m’habitue pour plus tard quand le mien sera plus grand. Il grandit déjà tellement vite, je n’ai pas vu ces deux premières années passés alors que tout le monde me dit d’en profiter. Pour moi, le temps passe normalement, mais quand il aura 15 ans, j’aimerais qu’il n’en aurait que 3, c’est ridicule mais quand on est parent, on aimerait que nos enfants restent innoncent. D’ailleurs, Maël était là, avec moi. A quoi bon appeler la nounou ou le mettre en crèche alors que je suis là ? Il venait juste de terminé sa sieste alors j’étais entrain de le changer tranquillement en lui faisant des papouilles sur le ventre ce qui avait le don de le faire rire. J’aimais l’entendre rire plutôt que pleurer, surtout depuis qu’il était malade. Une fois propre, je le met dans le salon avec moi, lui donnant quelques jouets mais il avait ses propres caisses de jeu et il s’amusait à tout sortir et en mettre partout. Sauf qu’il ne rangeait pas, c’était toujours maman ou papa qui le faisait. Quoi qu’il en soit, j’essayais de tout mettre en ordre pour la venue de Phoenix, jusqu’à ce que j’entende la sonnerie. De là, je regarde Maël. Je viens le prendre dans mes bras, ayant toujours peur qu’il lui arrive quoi que ce soit, on ne sait jamais, il pourrait tomber ou prendre un objet inapproprié. En soit, en quelques secondes, il peut se passer un truc de dangereux. J’ouvrais la porte tout sourire. « Coucouu ! » Je souriais en venant déposer un baisé contre sa joue, contente de le voir. Puis, Maël, l’ayant déjà un peu vu, le regarde avec de gros yeux avant de faire un coucou de la main, timide. « Tu vas bien ? Viens, entre dont ! » Je me décalais alors, le laissant entrer puis je refermais la porte derrière lui. Je repose Maël par terre, celui-ci venant se tenir à la jambe de mon ami. |
| | | | Sujet: Re: Pas besoin d'être du même sang pour l'aimer comme un fils. ♦ Phoenix Mer 22 Fév - 12:34 | |
| Sylvia & Phoenix Pas besoin d'être du même sang pour l'aimer comme un fils Perturbé, confus, c’était les sentiments qui m’animaient lorsque j’avais quitté l’appartement que je partage depuis quelques temps avec mon meilleur ami. Depuis que je le connais, c’est presque un frère, et nous nous sommes toujours entendus, complices, aimants, toujours là pour l’autre, toujours là pour s’aider, je n’ai jamais été malheureux lorsque je me tenais à ses côtés, et j’ai toujours cru que rien ne changerait jamais. Ce soir-là pourtant, quelque chose était arrivé, et ça m’avait choqué. J’aime les garçons et les filles, j’aime les âmes, pas les corps, et Sylvia connaît mon orientation plus qu’étrange, cette façon de s’attacher à un esprit uniquement, pansexuel, c’est comme ça que je me suis toujours défini, et elle ne m’a jamais jugé, ne s’est jamais moqué de moi. Ma soirée aurait pu ressembler à toutes les autres, où j’avais décidé de regarder un film avec mon meilleur ami, mais cette fois, tout avait été différent. Alec et moi, depuis un petit moment, c’était plus particulier qu’avant, ça avait commencé à changer, sans même que je ne m’en aperçoive, c’était plus chaleureux, plus tendu. Pour la première fois depuis notre amitié, j’avais, hier soir, eu envie de lui, physiquement, de me glisser contre sa peau, de passer mes mains sur son corps, et de l’embrasser doucement. Est-ce que c’était étrange ? Puisque je peux aimer les hommes, ça ne m’avait pas alerté tout de suite, je pensais que ça pouvait être une simple attirance, mais je ne savais plus trop où j’en étais avec moi-même. J’ai toujours été naif en matière d’amour, mais dans ma tête, Alec était un simple ami, et je refusais de le voir autrement. Je devais arrêter de trop penser à tout ça, c’est mon meilleur ami, et rien d’autre. J’avais pris le métro jusqu’à chez Sylvia, impatient de voir ma presque maman, et son petit bout, que je considérais comme mon petit frère, et que je gardais avec plaisir de temps en temps pour la dépanner le soir. Maël est un petit adorable, et j’avais toujours aimé le porter, jouer avec lui. Il m’avait complètement rendu gaga. Quand la porte s’était ouverte, j’avais souris, d’abord, j’avais embrassé Sylvia sur la joue, et ensuite, j’avais caressé la joue du petit bout, lui papouillant les joues en faisait du bruit dessus pour jouer, j’étais déjà devenu fou de lui à peine je l’avais vu, je voulais le papouiller et jouer. « Coucou maman ! » Je souriais, je l’appelais toujours comme ça, puisque ma mère et moi, c’était compliqué depuis la mort de mon jumeau, j’avais bien eu besoin de quelqu’un pour la remplacer à Washington, la mienne étant en Australie, là où j’avais grandi. Je ronronnais presque, me blottissant contre elle, laissant de la place pour Mael, les prenant contre moi tous les deux pour faire un câlin à trois, comme une vraie famille. J’ai toujours fait un peu plus jeune que mon âge, j’avais des réactions enfantines. J’ai toujours été un naif. « Coucou Maelounet ! » Je frottais mon nez à celui du petit garçon, lui souriant. « Merci de me laisser venir maman, j’avais besoin de parler. » Je lui souriais, entrant dans l’appartement, refermant la porte derrière moi. J’avais encore mon sac de cours sur le dos, j’étais revenu de la faculté en vitesse. Heureusement, je n’avais pas de travail à rendre, donc je pouvais profiter de ma soirée avec elle tranquillement. J’étais content de la voir, ça faisait au moins deux semaines que je n’avais pas pu venir, et pour moi c’était largement de trop comme ça. J’avais vraiment besoin d’elle au quotidien moi, tout le temps. En fait, vraiment comme une maman finalement. Je l’aimais aussi fort que ça |
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