Tracer un chemin, forcer le destin. ♠ Lily-Rose

Ce soir, je suis de nuit dans un autre service que les urgences. Pour le moment, je ne sais pas exactement lequel car j’ai été prévenue à la dernière minute par un appel de ma cadre de santé. Après avoir dîné rapidement devant ma télévision, un épisode des sons – pour ne pas changer en ce moment – je file prendre une douche et je me prépare pour rejoindre le centre hospitalier. Une fois arrivé, je pars directement dans le vestimentaire pour enfiler ma tenue d’infirmière, prendre mes affaires puis je m’attacher les cheveux d’un chignon rapide. Je n’ai pas vraiment de temps à perdre ce soir, surtout que je dois encore aller voir j’ai été affecté pour la nuit. En général, j’ai une préférence pour les urgences car avec le monde qui vient et qui part, nous n’avons pas spécialement le temps de je n’ai pas le temps de voir l’heure passer. Mais, je dois bien avouer qu’être dans un service peut-être reposant aussi. Lorsque j’arrive au bureau des urgences pour regarder où je serais ce soir, j’eus un léger sourire. Le service où cet homme qui me plaît. Finalement, peut-être que la vie fait bien les choses après tout. Je vais peut-être avoir l’occasion de le voir ou même de lui parler cette nuit, s’il ne dort au cas où je dois changer une perfusion ou autres. Enfin bref, je verrais bien après tout. Je rejoins alors le service, je me dirige vers le bureau des infirmières pour voir le programme de cette nuit. Une collègue arrive pour me prévenir qu’elle doit s’absenter pour récupérer des médicaments à la pharmacie de l’hôpital. Je commence donc à préparer les chambres dont je dois m’occuper. Et je ne sais pas si c’est le destin ou le hasard qui fait bien les choses mais, l’un de mes patients de cette nuit se nomme : « Ezra Lloyd » J’eus un sourire malgré moi puis, je finis par commencer ma première ronde à vingt-trois heures. Rien de bien particulier à faire de toute manière. Et lorsque j’arrive devant la porte de cet homme, je prépare la nouvelle perfusion puis, je pousse la porte afin de rentré dans la chambre. Je referme la porte puis, j’adresse un sourire à ce patient : « Bonsoir. Je ne vos dérangerai pas longtemps, je dois juste changer votre perfusion. » Dis-je en m’approche du lit de celui-ci. Sans même le vouloir mon regard vient se poser sur son torse parfaitement dessiné. En même temps, je ne peux vraiment pas me retenir, c’est provoquer le regard d’une femme de rester ainsi sur un lit d’hôpital. Sans compter que personnellement, je l’avais déjà remarqué le patient avant ce soir. Puis, je finis par poser mon regard sur le livre qu’il a en main. Bah oui, il faut bien que je trouve quelques choses pour ne pas rester bloqué sur son torse. « Un livre à l’eau de rose ? Je ne sais pas pourquoi, je n’aurais pas pensé vous voir avec ce genre de livre en main. Surtout que celui-là est vraiment trop à l’eau de rose. » Je ris doucement puis, je détache le sachet de perfusion vide pour mettre en place l’autre.

Après avoir mis occupé de mes premiers patients me voilà devant la porte de celui qui m’a retenue l’attention plus d’une fois lorsque je suis venue dans ce service. Certes, je ne me suis jamais occupé de lui, il ne doit même pas m’avoir aperçu mais, ce n’est pas mon cas. Je rentre alors dans la chambre sans même frapper, les habitudes. Puis je m’excuse de venir l’embêter après je ne serais pas longue, je lui adresse un large sourire lorsqu’il vient m’annoncer qu’il n’y a pas de problème. Après avoir eu un léger moment d’égarement en voyant son torse dénudé de la sorte, les yeux rivés sur son torse bien dessiné. Mon regard se pose alors sur le livre qu’il a entre les mains. *Anna Karénine* Je ne sais pas pourquoi mais, cela me fait bizarre de le voir avec un livre comme celui-là entre les mains. Pour moi, cet homme devait plus apprécier les livres, du genre suspense ou même les anciennes œuvres de littérature. Mais, je ne sais pas… Cela me fait bizarre mais, après tout le choix de livres est différent selon les personnes. J’aime beaucoup les livres romantiques pour ma part mais, je dois bien avouer que le livre là m’a légèrement soulé à la fin. Et je crois que le film fut encore pire ! Bon après j’avoue que lorsque je n’aime pas un truc, je ne l’aime vraiment pas. Lorsqu’il me demande quel serait le genre de livre qui serait plus son genre, j’eus un léger rire puis je viens poser mon regard sur lui avec un sourire. Je hausse les épaules : « J’ai envie de dire des œuvres plus tiré sur le suspense ou alors les anciennes œuvres de grands auteurs comme Shakespeare ou même Austen. » Puis je reviens à ma perfusion que je venais d’accrocher en hauteur tandis que l’autre je la pose sur la petite table de chevet. Je l’écoute sans rien dire me dire que ce livre était certes trop à l’eau de rose pour lui mais, que cela lui permet d’oublier la réalité pendant un petit moment. Comme son séjour à l’hôpital. Je suis d’accord sur le fait que la lecture à du bon pour oublier un peu ses soucis mais, enfin je ne suis pas vraiment d’accord avec lui sur le point que la vie est morose. Ce n’est pas le cas pour moi. En même temps, j’ai toujours vu la beauté des choses qui nous entourent. Peut-être que certaines choses ou même personne peuvent nous faire voir les choses autrement par moments mais, il ne faut pas oublier que la vie est cadeau et que ce que nous offre la nature l’est aussi. Je finis par le regard en me pinçant la lèvre inférieure avant de lui répondre : « Pourtant la vie nous offre beaucoup de belles choses. Il suffit de prendre le temps pour observer les choses qui sont autres de nous. Quoi de beau que la nature, voir les animaux vivre leur vie et tout le reste ? Certes j’adore la lecture, je suis comme vous, j’aime me changer les idées avec les livres mais, pourtant je n’ai jamais trouvé rien de mieux que la vie réelle. » Dis-je doucement. Puis je me mis à rire doucement : « après, certes ce n’est pas terrible d’être à l’hôpital mais, ce n’est pas une excellente idée de vouloir faire des câlins à d’autres véhicules que le sien. Et encore ! » Je ris à nouveau, il doit se douter que j’aie pris connaissance de son dossier avant de rentrée dans cette chambre. « Après pour en revenir à ce livre, je n’ai pas vraiment apprécié car il est un peu long et je ne sais pas… Malgré que j’aime les livres de ce genre, ce n’est pas un livre que j’irais relire une nouvelle fois. Et je ne parle même pas de la version cinéma. J’ai détesté. » Dis je avec un doux sourire. Je viens à m’approcher de lui pour retire la perfusion : « Attention, sa risque de faire un peu mal. » Je viens à la retiré d’un trait puis je viens prendre un désinfectant coton pour stopper le saignement même s’il ne sera pas bien important.

Cette nuit est finalement très particulière et m’as rencontre avec cet homme, enfin rencontre d'une manière un peu plus officielle pour la peine. Et plutôt très agréable et j’avoue que j’aime bien entendre le son de sa voix. Certes en général les patients ne font que passer dans un hôpital mais, j’en ai déjà revu en dehors qui pour certain sont devenue des bons amis. Je ris doucement en entendant ce qu’il vient à me répondre au sujet de son style de lecture. Visiblement, j’avais vu juste. J’aurais très bien pu me tromper mais, je ne sais pas, Ezra m’a donné cette sensation qu’il aime ce style de livre. Conan Doyle, l’écrivain du célèbre Sherlock, j’aime beaucoup les livres de cet homme. « Dirons-nous que c’est juste une chance ou peut-être que j’ai tout simplement réussi à lire dans vos pensées » Dis-je avec un léger sourire. Mes genres de livres préfèrent ? J’eus un léger sourire en repensant à l’un de mes livres préférés que je relis même en ce moment lorsque je peux car, je suis plutôt épuisé en ce moment. « J’aime bien les livres historiques, les histoires d’amour. Et si un livre peut combiner les deux, c’est encore mieux. En ce moment je lis Outlander par Diana Gabaldon. Sinon j’aime aussi les livres de grand auteur et en particulier ceux de Conan Doyle aussi. J’adore Sherlock ! » Dis-je tout simplement. Mon regard était posé sur son visage si parfait enfin mise à par les quelques égratignures qui le rend plutôt très craquant. Enfin, bref… J’ai limité cette sensation de le connaitre depuis toujours alors qu’au final nous ne commençons seulement pas à discuter ensemble. Je ne connais pas grand-chose de lui mise à part son prénom, nom, adresse, numéro de sécurité sociale et ce que nous sommes en train d’échanger en ce moment même dans cette petite chambre d’hôpital. Mais, bordel le sourire qu’il m’adresse me fait totalement fondre. Et lorsqu’il vient à me faire un petit compliment sur ma beauté, je sentis mes joues rougir. Puis j’eus un petit sourire lorsque j’entendis la suite de ses paroles. « Vous savez, je suis sûre que si vous laisserez votre côté pessimiste de côté une fraction de seconde. Vous pourriez voir les belles choses que nous offre la vie. Où peut-être qu’il faudrait arrêter de penser à vos malheurs un peu pour voir le bon côté de la vie. Tout le monde rencontre tôt ou tard des échecs ou même des choses difficiles à surmonter mais, rien n’est insurmontable dans la vie. C’est juste d’être humain qui se met des barrières inutile. Et si je vous redonne l’espoir pour la suite, j’en suis plus qu’heureuse mais, il ne faudrait pas que ce soit seulement pour quelques jours. » Dis-je avec un nouveau sourire. Certes je n’ai aucune idée de ce qu’il a pu rencontrer comme difficulté dans la vie mais, après tout… Tout le monde au droit de toucher le bonheur dans sa vie. Après je sais qu’il y a des personnes qui ne vois que tout en noir mais, ce n’est pas une vie. Enfin moi, je vois les choses de cette manière. Puis je me mis à rire de bon cœur à ce qu’il vient de me dire : « Il devait vraiment vous plaire alors ce camion. J’espère que vous avez au moins profité de ce petit câlin pour lui demander son numéro de portable ! » Puis lorsqu’on revient au sujet de son livre, je hausse un peu les épaules avant de lui dire : « Donc arrêter donc de vous torturer avec ce livre. Lisez autre chose ! Si vous voulez, je peux vous ramener le premier tome d'Outlander demain. Il est vraiment mieux que ce livre. » Puis je finis par retirer l’aiguille de la perfusion et je viens poser un bout de coton là-dessus pour éviter que le sang coule sur les draps ou même sur un vêtement. Puis je viens à le regarder avec un léger sourire : « Vous dites cela pour éviter que je vous égratigne encore plus que vous ne l’êtes en ce moment. » Dis-je en posant mon regard dans le sien. Je retire le coton de son bras, puis venir poser ma main en dessous de son bras. Puis finalement je viens me mettre assise sur le rebord du lit pour être un peu plus à l’aise pour pouvoir le piquer. Je viens à posé la nouvelle aiguille de la nouvelle perfusion sur son bras. « Et voilà ! Maintenant c’est tout bon. Et je vais pouvoir vous laissez tranquille. » Dis je avec un léger sourire.

Dans un haussement d’épaules, je viens à lui répondre : « peut-être mais, le mieux serait tout de même de me dire vos pensés par vous-mêmes. » Cette rencontre avec cet homme me laisse penser que peut-être, nous étions très différents sur certaines choses mais, que dans le fond c’était peut-être le destin qui me la mit sur mon chemin. Peut-être que je ne le reverrai pas par la suite donc autant profiter de ce moment avec cet homme qui ne me laisse pas indifférente. J’aime le son de sa voix, la façon dont il s’exprime, qu’il m’adresse quelques sourires. Mon regard perdu dans le sien, j’eus un nouveau sourire lorsque je l’entendis me parler de ses héroïnes de livres auxquels visiblement je n’aurais rien à envier sur le plan de la beauté. Mais, ce n’est pas pour autant que j’ai encore trouvé l’homme qui me rendra heureuse au point d’avoir l'happy end des nombreux livres que j’ai pu lire jusqu’à maintenant. Je viens me pincer la lèvre avant de lui adresse un doux sourire : « en effet, je suis une grande rêveuse. Mais, la réalité est toujours là pour nous rappeler à l’ordre. Je n’ai toujours pas trouvé l’homme qui m’offrira ce fameux Happy End dont la plupart des livres peuvent nous vendre à la fin des livres. » Je viens à hausser les épaules avec un léger rire avant de lui dire : « un jour mon tour viendra, je suis juste très patiente. Les bonnes choses arrivent toujours à ceux qui savent attendre. » Jamais, je n’aurais pensé parler aussi naturellement avec cet homme. Et finalement, je me laisse bercer par ses belles paroles. Une fois nouvelle fois, les propos de cet homme viennent me faire rougir, je le regard encore. Il est clair que les paroles qu’il a envers moi me font vraiment chaud au cœur, cela me plaît énormément. En même temps entendre ce genre de compliment ne peut que faire plaisir à la personne à qui il est destiné mais, si je peux lui donner une autre vision des choses, j’en suis plutôt heureuse. « Tant mieux dans ce cas. » Pour être honnête, je n’ai pas vraiment trouvé autre chose à lui répondre. Ce n’est pas rare que j’entende dans compliment à mon égard. Lorsqu’on vient à reparler de ce fameux camion, je me mis à rire encore une fois à sa réponse. « C’est vraiment dommage. Vous passez peut-être à côté une belle histoire d’amour ! » Je viens avoir m’installé sur le rebord du lit pour terminer mon soin lorsque je le vis jeter la table de chevet. Je le regard avec un léger sourire : « Je pense que le mieux c’est de lire le livre pour vous en donnez une bonne idée. Enfin, ce livre est tellement… Je crois que je ne trouverai jamais de mot pour le décrit. Mais à part pour moi le meilleur que je n’ai jamais lu. J’avais facilement réussi à me mettre dans la peau de Claire, l’héroïne d livre. De ses moments d’ivresse avec son bel Écossais, de son bonheur, de ses tristesses ou même colère. » Dis-je avec un léger sourire. Une fois que la perfusion est posée, je commence à me lever lorsque je sens sa main venir prendre la mienne. Je fus aussitôt parcouru d’un étrange frisson très agréable. Mon regard sur nos mains enlacées car instinctivement j’avais refermé mes doigts sur la sienne. Puis je viens à poser mon regard sur lui. Le souci c’est que je ne sais pas si j’aurais vraiment le courage de repartir si je reste encore avec lui dans cette chambre d’hôpital. Et finalement, je viens lui adresser un nouveau sourire avant de lui répondre doucement : « Je reste alors mais, vous savez que je vais devoir m’en aller tôt ou tard ? » Questionnai-je avec le sourire. Je n’avais toujours pas lâché sa main pour autant, le contact de celle-ci me fait beaucoup de bien. « Vous ne pouvez déjà put vous passer de votre belle infirmière de nuit ? » Dis-je sur un ton taquin.

En effet, je connais déjà son nom. J’ai un petit train d’avance sur lui pour le coup mais, je pense qu’il est peut-être temps dont je lui donne le mien aussi. « Je m’appelle Lily-Rose Turner, monsieur Ezra Lloyd. » Dis-je avec un léger sourire. Certains patients m’appellent par mon prénom tout simplement, cela ne me dérange absolument et je préfère les laisser faire. Lorsqu’il vient à resserrer sa main contre la mienne, son doigt caressant le dos de ma main… Les frissons qui parcourent mon corps se firent bien plus intenses. Je ne pouvais pas retirer ma main de la sienne, enfin je n’en avais aucune envie. J’avais comme la sensation qu’elle était là à sa place, comme si c’était une chose normale alors que nous venons tout simplement de nous rencontrer. Du moins pour moi, c’est tout simplement la première fois que je lui parle et que je m’occupe de lui. « Seul le temps me le dira. Après, je ne suis pas comme toutes ses jolies et douces jeunes femmes. Je sais ce que je veux et je n’ai pas envie de m’engager dans une relation qui ne sera pas réciproque ou même éphémère. J’observais à nouveau ce patient, cet homme qui m’intrigue au plus au point. Cet homme avec qui je suis tellement bien pour le moment et dont je n’ai aucune envie de quitter la chambre, bien que j’aie encore beaucoup de travail. Les nouvelles paroles qui vient de me dire attire mon attention, je le regard à nouveau, sans rien dire pour le moment. Je réfléchis un peu ce qu’il vient de me dire en posant mon regard sur nos mains encore entrelaçai. Puis je finis par lui dire : « Je pense que personne n’est fait pour vivre seul ou même sans une personne pour l’aimer. » Après certes c’est mon avis, je suis un peu à fleur de peau sur certain point donc voilà. Mais, après je ne vois pas pourquoi le pire des assassins pourrait être aimé par une femme et qu’un homme comme celui que j’ai en face de moi, n’y aurait pas le droit. Je souris doucement en l’écoutant et je le regarde passer sa main dans ses cheveux. « Peut-être que ce n’était tout simplement la bonne personne pour vous. » Dis-je avec un léger sourire. Serait-il le genre de personne qui ne croit put à l’amour après une perte ou un échec ? Je ne peux pas vraiment le savoir mais, pourtant c’est l’impression qu’il est en train de me donner en ce moment même. Mais, je suis sûre que s’il retrouve une personne qui peut lui montrer que la vie n’était pas aussi triste ou même dépourvu d’amour, il pourrait changer d’avis. Je lui adresse un sourire lorsqu’il vient à me souhaiter de trouver mon bel Écossais comme dans ce roman que j’adore lire et relire. Puis mon regard dévie un moment sur son torse qui est parfaitement dessiné, lequel que j’ai envie de caresser du bout de mes doigts. « Sherlock ? Vous devez être un sacré personnage alors. Mais, il a tout de même ce petit côté attendrissant dans le livre. Puis bon après… » J’hausse un peu les épaules : « Robert Downey Junior est très sexy dans le rôle de Sherlock même si les films n’ont pas grand-chose à voir avec les livres. » Dis-je avec un léger rire. Lorsque je lui dis tout de même que je vais tout de même devoir partir tôt ou tard, sa réponse ne peut que me faire sourire. Ezra vient à se rapprocher un peu de mois, je sentis sa main venir se déposer sur une mèche de cheveux rebelle mais, qui par la même occasion vient à effleurer ma peau. Je sentis mon cœur s’emballer, il me fait un tel effet… Je viens à fermer les yeux pendant quelques secondes avant de les ouvrir à nouveau, le regarder et lui dire tout simplement : « Et je crois que j’aurais du mal à me passer de votre compagnie aussi. » Dis-je sur un ton parfaitement sincère. Je ne sais pas ce qui est en train de passer entre nous. À la base je suis venue lui faire un soin, en profiter pour discuter un peu avec lui et je me retrouve avec un désir presque incontrôlable de l’embrasser. Je viens m’humidifier les lèvres en le regardant droit dans les yeux. Il faut que je sorte de cette chambre avant qu’entre nous cela dérape. Je ne peux pas rester plus longtemps. Puis je finis par prendre un petit stylo et je viens à relever son bras qui tenait encore ma main pour noter quelques numéros dessus. « Si jamais… Vous serez où me contactez. Peut-être que nous pourrons nous revoir lorsque vous ne serez pu à l’hôpital. » Dis-je avec un léger sourire. J’avais vraiment hâte de voir s’il gardera contact ou alors si c’est juste un rapprochement d’une nuit. « Mais, je dois vraiment m’en allais cette fois. Sinon m’a collègue va se poser des questions.