une nuit pour changé le monde {w/adriano}

Le début de la soirée avait plutôt bien commencé. Adriano m’as convaincu de l’accompagné sans trop de mal à venir avec lui pour danser. En même temps cela aurait été étonnant que je refuse une sortie, surtout que je crois que Noah est tellement occupé qu’il a sans doute zappé qu’on devait passer la soirée ensemble. Enfin bref, ce n’est pas bien grave car finalement, je me suis plutôt bien amusé avec Adriano. La preuve, nous n’avons même pas fait attention à l’heure. Nous avons passé la soirée à nous amusé et a danser. Je ne regrette pas d’avoir fait la rencontre d’Adriano, car lorsque je suis avec lui, j’en oublie Noah et les tracas qui vont avec… Nous avons prit notre temps pour revenir chez moi. Il était presque cinq heures du matin. Nous en avons profité pour nous arrêter dans une petite épicerie de nuit pour prendre quelques choses à manger. J’avais faim, très faim, en même temps nous avons bien dansé cette nuit et aussi pas mal bu. Enfin nous n’avons pas picolé au point de ne plus savoir marcher ou autre. J’ai encore mes idées bien en tête. Une fois arrivé en bas de mon immeuble, j’adresse un léger sourire à Adriano avant de lui dire : « Tu veux venir boire un verre ou même un café ? » Demandai-je doucement. Après tout, vu l’heure nous ne sommes pu vraiment à quelques minutes près avant de retrouver nos lits respectifs. Une fois que le charmant brun vient à me donner sa réponse, nous rentrons dans le hall d’entrée pour grimper les escaliers qui pour le coup me semble interminable. J’espère que ce fichue ascenseur va finir par un jour être vraiment réparer. Une fois devant mon appartement, je viens à ouvrir la porte puis, je rendre en laissant Adriano en faire de même. Je viens à retirer mes chaussures, soulagé je viens à partir dans le coin où ce trouve ma cuisine. Celle-ci donne directement sur le salon. J’ai toujours apprécié cette pièce, c’est pratique pour jouer à la console en préparent mon repas. Tout d’un coup, je sentis une petite boule de poil venir me faire la fête. Shiva, mon bébé bouldogue français. « Oh ma chérie ! » Je viens me mettre à croupie pour la prendre dans mes bras et lui faire un gros bisou sur la tête avant que celle-ci vienne me faire une léchouille pour me dire bonjour. « Allez vas dire bonjour à Adriano ! » Dis-je en regardant le jeune homme qui m’a rejoindre dans l’espace cuisine. Je viens lui tendre le chiot puis je lui dis « Fait attention elle adore faire des bisous. » Et ca n’as pas manque car, aussi qu’il l’as dans les bras, celle-ci vient lui faire des bisous. Je ris doucement puis, je lui demande avec un franc sourire : « Tu veux quoi ? Un truc frais ? Avec ou sans alcool ? Ou un café ? » Je viens me rapprocher un peu de lui en me mordant doucement la lèvre inférieur.

Ma soirée avait été plutôt belle, même très belle. Depuis quelques temps ça n’allait plus du tout avec Kalya, et je ne me retenais plus vraiment d’aller voir ailleurs. Beaucoup de personnes de mon entourage étaient au courant que plus rien n’allait entre nous, mais je n’arrivais jamais à prendre une décision concernant mon couple. Cela faisait maintenant plus d’un an que je sortais avec elle, et j’ai toujours été un peu lâche, j’ai toujours eu peur de lui faire du mal même si être avec elle n’avait plus rien d’agréable. Je souriais doucement en rentrant de ma soirée où j’avais fait danser Alba, une fille que j’avais rencontré un jour à son travail. Nous avions gardé contact pendant quelque temps et j’aimais bien lui donner rendez-vous. En ce moment je me surprenais moi-même, je voyais plusieurs personnes à la fois. Mais c’était avec elle que je faisais réellement ce qui s’apparentait à être un couple. Je l’avais raccompagné au bas de son immeuble après un rapide tour à l’épicerie. Nous habitions le même quartier et je dois dire que c’était vraiment très pratique d’ailleurs. Les mains dans les poches j’avais marché jusqu’en bas de son immeuble où j’avais cru que ça signifierait la fin de notre soirée. J’allais m’en aller et lui souhaiter une bonne nuit, quand elle me proposa finalement de rester avec elle encore un peu. Je ne pus m’empêcher de sourire largement. « Avec plaisir, puisque c’est si gentiment demandé. Je ne dis pas non à un dernier verre, surtout en si bonne compagnie. » J’avais souris, et j’étais monté avec elle, heureux de pouvoir rester un si bon moment avec une si jolie femme. Alors que nous étions montés tous les deux, j’avais pu découvrir son appartement et surtout son chien. En tant qu’adorateur des animaux, je n’avais pas pu me retenir de la prendre dans mes bras. « Elle est trop mignonne ! Salut toi, tu sais que t’es belle ? » Je riais doucement tandis qu’elle me gratifiait de petits bisous. Alba m’avait d’ailleurs prévenue qu’elle aimait en donner aux visiteurs. J’avais fait de douces caresses au chien avant de le reposer par terre et de lui gratouiller le sommet du crâne. Je me redressai à nouveau, allant vers Alba, que je ne pouvais pas m’empêcher de regarder du coin de l’œil. Décidément elle était vraiment séduisante. Quand je passais du temps avec elle j’oubliais totalement ma petite amie. Je lui souriais, tandis qu’elle était venue me mordre doucement la lèvre inférieure. Je ne pensais pas aller jusqu’à là, mais puisqu’elle semblait me chercher, je souriais en l’attrapant par les hanches et en la poussant doucement contre le mur. Le visage à quelques centimètres du sien, je passais ses cheveux derrière son oreille, en la regardant de façon intense. Je plongeais mon regard dans le sien sans aucune hésitation. Je sentais une ambiance assez électrique, je ne pouvais pas le nier. Doucement, je me glissais contre elle, mon souffle chaud se laissant glisser contre son visage. « En fait j’ai plus faim que soif je crois… » Je souriais doucement en coin tandis que je le glissais mes lèvres sur sa joue d’abord. Attendant une petite réaction, je laissais ma bouche se diriger vers son cou où je déposais un baiser tendre. Mes mains caressaient doucement ses hanches. Je me retenais depuis bien longtemps.

Cette soirée fut tellement génial et agréable que je n’avais pas vraiment envie qu’elle s’arrête pour le moment. Donc lorsqu’Adriano accepte mon invitation je ne peux qu’affiche un large sourire. De toute façon en ce moment, c’est qu’avec lui que j’arrive à faire abstraction de mes soucis. Puis Adriano a tout pour me faire craquer, puis je pense que je ne suis pas la seule qu’il peut faire craquer. Une fois dans mon appartement, la petite Shiva vient nous accueillir comme une petite folle. J’avais prévenue le jeune homme que celle-ci adore faire des petits bisous bien baveux aux invités. Je me mis à rire en le regardant avec la chienne dans ses bras et lui parler. Shiva sait très bien qu’elle est belle et elle n’arrête pas d’en jouer la petite peste. « Oh crois moi qu’elle est bien au courant qu’elle est belle ! Et elle s’est s’y prendre. » Dis je en rigolant. Je laisse Adriano mettre la chienne au sol, celle-ci repart directement sur le canapé pour finir la fin de sa nuit. J’observe le brun avec un léger sourire, je viens me mordre doucement la lèvre inférieure. J’essaie de me contrôler pour ne pas lui sauter dessus mais, ce n’est pas vraiment facile. Adriano vient me prendre les hanches pour venir doucement me plaquer contre le mur qui était derrière moi. Je crois que ce soir finalement nous allons enfin céder à cette tentation qui c’est installé entre nous deux. Après tout je me suis beaucoup rapprocher de lui en quelques temps. J’ai parfois limite l’impression que nous faisons pas mal de chose que ferait un couple. Puis comme je l’ai dis avec lui… Je me sens bien. J’eus des frissons lorsque je sentis sa main venir remettre une mèche rebelle derrière mon oreille. Instinctivement je viens nouer les bras autour de son cou en le rapprochent un peu plus contre moi. Je ne quitte pas son regard un seul instant. Lorsqu’il vient à reprendre la parole, je me mis à sourire… Je me demande bien de quoi il peut avoir faim tient ! Non mais, j’ai ma petite idée. Lorsque je sentis ses lèvres venir se posé sur ma joue puis dans mon cou, je fus aussitôt envahis d’un désire que je retiens depuis assez longtemps. « Je ne vois absolument pas de quoi tu parle ! » Dis-je sur un ton plaisantin. Et franchement, je n’ai aucune envie de me contrôler encore une fois ce soir. Je pense qu’il est temps que je laisse parler mes envies. Je viens poser ma main sur son visage pour le relever et je viens prendre possession de ses lèvres. Un baiser rempli de désire fut échangé à ce moment. Finalement mes viennent se pose sur son torse pour commencer à déboutonner les boutons de sa chemise, qui une fois ouverte finis par être rapidement enlevé pour venir tomber sur le sol de ma cuisine. Inutile de dire que j’avais envie de lui maintenant ! Je pense qu’il a bien comprit ce que j’ai en tête, comme j’avais aussi compris se qu’il désiré lui aussi. Je viens à caresser son torse avant d’échanger un nouveau baiser. Puis je pris par la main pour le faire venir avec dans ma chambre. Je le fis s’allongé sur le lit avant de retirer ma robe pour m’afficher dans des sous-vêtements d’une couleur rouge sombre. Je viens à me rapprocher doucement du lit.

J’ai toujours adoré les animaux, et sa petite chienne m’avait tout de suite fait craquée à réclamer ainsi des bisous doux. J’avais souris en la regardant me léchouiller partout, et en remarquant son air satisfait quand je gratouillais son dos. Elle était ensuite repartie vers le canapé comme si elle avait enfin obtenu ce qu’elle voulait de moi. Je n’avais pas pu m’empêcher de sourire. Même si j’adore les animaux et que je ne peux pas leur résister, il y avait en ce moment dans la pièce une toute autre personne face à laquelle je ne pouvais pas résister non plus, et pas une seconde plus. Alba, était plus que séduisante. Son caractère et la couleur de ses cheveux me faisaient penser à l’Italie et à ses filles que j’avaient quittées pour les Américaines. Son charme ne pouvait laisser personne indifférent, ce n’était pas possible, et moi je me laissais volontiers tomber dans ses filets. Elle savait que je suis en couple, elle connaissait un peu ma copine, puisqu’au début, je l’avais rencontré à son travail pour aller acheter un cadeau à Kalya, et pourtant, elle non plus, n’avait visiblement pas su bien résister longtemps à mon sourire. Ce qui m’arrangeait totalement, il faut être honnête. Quand j’étais contre Alba, qu’elle s’était laissée poussée doucement contre le mur, j’avais compris qu’elle ressentait exactement le même désir pour moi, que moi pour elle. Je pouvais le deviner dans son regard et dans la façon qu’elle avait de parcourir mes hanches de ses mains. A ce moment-là j’oubliais tellement de choses, toutes ces filles qui me tournaient autour, à ce moment-là, j’avais presque envie qu’elle m’appartienne entièrement, son corps mais aussi son cœur. Je soupirais doucement, tandis que je l’écoutais. Même sa voix semblait la plus sensuelle lorsqu’elle murmurait au creux de mes oreilles. « Ah bon, vraiment pas…Pourtant j’ai la plus belle des confiseries juste en face de moi. » Je souriais doucement tandis que je caressais sa joue tendrement. J’allais l’embrasser mais rapidement, elle avait pris le dessus en prenant mes lèvres des siennes, ce qui me plaisait bien aussi. Elle avait retiré ma chemise et j’avais souris doucement en riant un peu. Décidemment elle était bien pressée. Je la suivais dans la chambre sans demander mon reste, ravi de la voir ainsi, m’offrir un tel spectacle. J’ai toujours aimé les filles comme ça, et Alba était tellement magnifique, que je ne pouvais m’empêcher d’avoir envie d’elle tout de suite, surtout qu’elle semblait m’y inviter comme jamais. Alors qu’elle venait vers lui, je ne lui laissai pas le temps de venir vers moi, je me penchai un peu, la prenant par les hanches, embrassant passionnément son ventre d’abord, chaudement, soupirant sur sa peau de façon brûlante. Mes yeux se levaient vers elle pour voir sa réaction, mais je connaissais mes atouts et je savais que j’étais plutôt doué pour le sport de lit. Je léchais doucement son ventre jusqu’à arriver entre ses seins, où mes mains dégrafèrent doucement son soutien-gorge avant de la faire doucement tomber sur le lit, me mettant au-dessus d’elle dans un sourire amusé. Impossible de tenir plus longtemps de toute façon. « J’ai l’impression que je vais avoir ma gourmandise finalement… »

Certes j’ai bien compris ce que le brun avait sous entendue mais, j’avais envie de l’embêter un petit peu. Puis je ris doucement à ce qu’il vient me répondre. Je viens à froncé légèrement le nez « C’est bête, hein ! J’espère qu’elle sera vraiment à ton goût cette belle friandise alors.» Et finalement je viens embrasser Adriano. Ce désir que je retiens depuis un certain temps, a vraiment prit le dessus sur moi. En même temps, cela fait bien longtemps que je n’ai pas eus de petites aventures avec un homme, puis faut dire qu’avec le brun nous n’arrêtons pas de nous chercher sans avoir eut l’occasion d’aller plus loin que nos sortis et nos discussions. Sans même réfléchir, je viens à lui retirer sa chemise pour pouvoir caresser son torse. Puis je viens à le faire me suivre dans la chambre. Sans vraiment attendre, je viens à retirer ma robe que je laisse trainé sur le sol. Tandis qu’Adriano était assis sur mon lit, je viens à m’approcher de lui. Celui-ci vient déposer un baiser sur mon ventre qui me donne aussitôt des frissons. Je ferme les yeux pendant quelques instants, c’est vraiment agréable. Je viens poser mes mains sur ses épaules sans rien dire. Je le regarde avec un léger sourire, puis il finit par me chatouiller lorsqu’il vient lécher mon ventre. Je sentis même les frissons me parcourir. Je suis très sensible sur cette zone. Je le laisse me retiré mon soutien gorge puis, je le sentis me faire basculer pour me faire m’allongé sur le lit. Adriano vient se mettre au-dessus de moi avec un petit air amusé qui bien entendue me donne un grand sourire. « Il semble que tu plait beaucoup à ta friandise. » Dis je doucement avant de venir caresser doucement ses côtes pour venir les mettre devant son jean pour commencer à lui retirer les quelques boutons. Une fois fais, l’une de mes mains vient à nouveau se posé sur sa nuque et je viens l’embrasser à nouveau. Puis, je viens lui murmurer sensuellement dans son oreille : « J’ai envie de toi. » Mes lèvres viennent embrasser le haut de son torse tandis que mes mains continu à découvrir le corps de cet homme.

Je ne pouvais pas m’empêcher de détailler la moindre partie de son corps. Sa peau, on visage, son ventre, ses cuisses, ses jambes…Je la trouvais vraiment magnifique, et je crois qu’elle aurait été capable de plaire à n’importe quel autre homme. Pendant quelques semaines nous nous étions vus et revus, et j’avais tout de suite éprouvé envers elle une certaine attirance. Pas seulement physique bien entendu, car ce serait un peu réducteur, mais son charme et ses conversations m’avaient tout bêtement envoutées. Depuis quelques temps je pensais aussi à une autre jeune fille, mais elle était si jeune, sans doute que j’avais essayé de l’oublier, et que c’était en train d’arriver avec Alba. Vu dans la position dans laquelle nous nous tenions désormais, j’avais cru comprendre que le fait que je puisse avoir une petite amie ne la gêne sûrement pas. Je ne pouvais pas retenir mes yeux de se balader partout sur ses courbes et bientôt j’avais posé mes mains pour les remplacer. Elles étaient grandes et brûlantes, et je les laissais d’abord parcourir ses cuisses doucement, remontant à ses hanches jusqu’à enfin sa poitrine, que je caressais délicatement, alors que mes lèvres se glissèrent dans son cou, où je déposais non seulement de doux baisers mais surtout des petites morsures de plaisir. « Dans ce cas, je vais m’amuser avec elle… » Je souriais contre sa peau, je ne me lassais pas de couvrir son corps de baisers brûlants, alors que mes pouces malaxaient doucement ses bouts de chair roses. Mon corps était bouillant, et j’avais envie d’elle tout de suite. Lorsqu’elle prononça sa petite phrase, mes oreilles bourdonnaient de plaisir et j’allais mordre sa lèvre inférieure doucement, puis sensuellement alors que mon bassin jouait de mouvements contre le sien. Ma main se glissait alors sur sa cuisse, jusqu’à passer délicatement dans sa culotte au niveau de l’entrejambe. « On va vérifier ça… » Je souriais en coin, alors que mon index allait doucement la masser.

Je suis parfaitement au courant que le jeune homme à une petite amie mais, je sais aussi très bien qu’entre eux cela ne vas plus vraiment. Et s’il n’avait pas envie d’aller plus loin avec moi, je ne pense pas qu’il aurait tenté le moindre rapprochement. Pour être honnête Adriano me plait sur le plan physique mais, pour le coup sa personnalité me plait aussi. Je me sens bien en sa compagnie et qu’il arrive à me faire oublier les soucis que je peux rencontrer avec une certaine personne en ce moment. Enfin, pour le moment il est question que de lui et moi, dans ce lit. J’apprécie chaque geste du brun, ma peau réagi à chaque fois que je sens les lèvres venir se posé sur elle. La chaleur était entrain de monter dans mon corps et même dans la pièce d’ailleurs. J’eus un léger sourire lorsque je sentis Adriano venir me mordiller la peau du cou. Quant à moi, je continue à caresser son corps, je prends un petit plaisir à découvrir celui-ci petit à petit. J’avais envie de lui et je ne manque pas l’occasion de lui dire doucement dans le creux de l’oreille. Puis ce qu’il vient à me répondre me fis sourire. Adriano continuait à faire quelques mouvements de bassins alors que quelques petits bouts de tissus nous séparent encore l’un de l’autre. Puis, je finis par sentir l’une de ces mains venir se loger sous ma culotte pour caresser une partie très sensible de la femme. J’eus beau me mordiller la lèvre inférieur, un petit soupire de plaisir vient à se faire entendre. Je viens prendre ses lèvres contre les miennes pour lui donner un baiser enflammée puis, je finis par diriger doucement mes lèvres vers son oreille pour mordiller son lobe. Je finis par me redresser un peu afin de lui faire retirer son jean. J’avais envie de sentir ses cuisses contre les miennes, de pouvoir les caresser et d’avoir un meilleur champs pour le caresser.

Je n’avais pas eu besoin de me faire prier bien longtemps pour enlever le reste de mes vêtements, alors qu’elle m’avait elle-même prier de le faire en m’aidant quelques minutes plus tôt à peine. Entre nous, inutile de précise qu’un lien électrique et bouillant s’était rapidement mis en place. Alors que je tenais un sein dans ma main, je le malaxais doucement avec passion et douceur à la fois, profitant de tenir cette forme douce que j’appréciais plus que tout. Mes lèvres s’étaient glissées pour attraper doucement entre elles ses tétons et les mordiller doucement. Je voulais la rendre impatiente, la rendre folle d’envie la rendre folle de moi tout simplement. Mon doigt était toujours contre son entrejambe et je pouvais sentir son excitation déjà bien présente, j’allais chuchoter chaudement au creux de son oreille avec une voix un peu amusée. « T’es déjà si mouillée… » J’avais envie de la voir rougir, de lui dire des choses osées. Ma main libre caressait sa cuisse, relevant doucement sa jambe pour aller se glisser sur ses fesses et découvrir la douceur de sa peau. Je dévorais ses lèvres et son cou de baisers tandis que je me mis à masser son entrée avec envie, glissant alors un doigt en elle de façon rapide pour qu’elle soit surprise. Mes yeux restaient rivés sur elle et j’affichais un petit sourire en la regardant. Elle me faisait fondre. J’étais désormais en boxer contre elle, mais je sentais qu’il commençait à être de plus en plus serré. Je commençais alors à sucer la peau entre sa poitrine, avec sensualité, souhaitant entre ses soupirs et même ses gémissements.

Une fois qu’Adriano vient à retirer son jean, j’en profite pour balader mes mains sur une zone encore non exploré. J’avais bien compris qu’Adriano avait envie de jouer avec moi, de me faire devenir impatiente mais, s’il veut jouer à ce petit jeu avec moi je pense qu’il va être servit ! Tandis que celui-ci était entrain de malaxé l’un de mes siens, je viens poser mes lèvres dans le creux de son cou. Je me mis a sourire lorsqu’il vient me murmure un petit truc dans le creux de l’oreille. Sans prendre la peine de lui répondre, je viens prendre une nouvelle fois possession de ses lèvres qui commence à me rendre complètement accro. Lui j’eus un léger gémissement lorsque je sentis son doigt entrer en moi, puis je viens à me mordre la lèvre inférieur. Puis je sentis ses lèvres venir prendre mes seins, je sens la chaleur monté encore un peu plus en moi. J’en pouvais pu ! Je laisse quelques soupires de plaisir mais, je viens à gémir de temps en temps. Enfaite, c’est étrange car j’ai limite l’impression qu’il connait tout de mon corps. Surtout mes points faibles. Enfin certain son assez logique chez une femme mais, bon. Je ferme les yeux profitant de se monte, me courbant de plaisir. Puis, je finis par le faire remonté vers mon visage pour l’embrasser à nouveau et l’obligé à changer de position. Je le fis se mettre sur le dos, me glissant sur lui délicatement. Un peu à mon tour de m’amuser aussi ! Je viens l’embrasser avant de descendre sensuellement mes lèvres sur son torse. Pour descendre tranquillement vers l’entre-jambe du brun. Je viens à retirer son boxer, ma langue vient doucement caresser le bout de son sexe tout en lui lançant un regard assez provocateur. Adriano à voulu jouer avec moi tout à l’heure maintenant c’est à mon tour ! Je viens glisser ma langue le long se son sexe avant d’y déposé mes lèvres avant de le remonter un peu mon visage vers son bas ventre tandis que l’une de mes mains vient caresser doucement son sexe. Au bout d’un moment, je reviens vers son cou que je viens caresser avec ma langue puis, je viens déposer mes lèvres contre les siennes.

Son corps mais aussi son sourire me rendait fou. Je ne pouvais pas m’empêcher de glisser mes mains sur toute sa peau, de sentir son odeur et d’essayer de la faire gémir toujours plus fort. Je sentais son sein qui réchauffait l’intérieur de ma main, et je le massais doucement, tirant subitement un peu sur son téton que je sentais durcir sous mes doigts. Alors que je continuais à bouger mon doigt doucement j’en avais introduit un second, allant plus vite en elle et plus profondément aussi. J’adorais la regarder, écouter sa voix qui gémissait de plaisir, ce qui avait le don de m’exciter encore plus moi aussi. Je m’étais retrouvé rapidement en boxer et ce n’était pas pour me déplaire. Je faisais pression de mon entrejambe contre elle, contre sa cuisse. Mon membre était dur et pulsait doucement contre sa peau. Je dévorais son ventre de baisers brûlants et de soupirs chauds. Alors que j’allais laisser ma langue glisser plus bas elle avait retourné la situation en me mettant sur le dos, et je ne pouvais pas mentir, j’adorais ça, les filles qui prennent le devant. J’aimais bien les rapports un peu sauvages, à qui se disputait la place du dessus, même si je n’allais pas la laisser gagner aussi facilement, je m’étais cambré en la sentant aller vers mon entrejambe et j’avais passé une main dans ses cheveux en soupirant doucement. Je caressais ensuite sa nuque en la regardant faire, elle me donnait tellement envie d’elle. Et enfin quand elle était remontée m’embrasser j’en avais profité pour la saisir par les hanches et donner un coup de rein contre elle doucement, je m’étais redressé, et je l’avais placé sur moi pour qu’elle soit à califourchon sur moi, moi assis en tailleurs en la tenant par les hanches. Elle me dépassait d’une tête et je pouvais observer tout son corps, je pouvais embrasser le milieu de sa poitrine avec envie, caresser ses fesses du bout des doigts. « Alba… » Je murmurais son nom alors que je tirais doucement un de ses tétons du bout de mes lèvres ,tandis que je frottais mon membre contre son entrée.