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 You have my whole heart. You always did. + Hazel

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MessageSujet: You have my whole heart. You always did. + Hazel   You have my whole heart. You always did. + Hazel EmptyDim 2 Avr - 22:42

You have my whole heart. You always did.
Hazel & Nikita
He was so easy to love. He made you feel safe. When he held your hand it was like you were flying. When he kissed your face you felt like you could fly. He made crossing the road feel like an adventure; with his hand on the small of your back. He laughed at things easily, he was soft, gentle, kind. He understood when you were quiet, when you were loud. He listened. He listened to your words, and he listened to your silence. “Come here,” he would say, with his arms open wide, and you would go. “Stay,” he would beg, and you would stay and you would stay and you would stay.

Comme une poupée, pantin fait de cire, comme une porcelaine un peu trop fragile, comme un os qui se brise, la violence d’une brise. Comme une corde de guitare qui lâche, ne fait plus son travail, comme un instrument qui se fracasse au sol dans un mouvement incertain mais uniforme. Les assiettes en morceaux qui s’éparpillent autour d’un corps au sol. Comme un domino seul qui tombe d’un mouvement, comme la fatigue qui prend un corps et qui le fait sien. Comme une chanson sans fin, mélodie ratée qui ne mérite pas d’être jouée. Gosse qui tombe, comme une feuille tombe d’un arbre, l’inconscience qui prend ses droits, fatigue qui bouffe le corps depuis trop longtemps, les réflexes d’un client qui attrape la tête pour qu'elle ne s'écrase pas avec violence sur le sol. Ils te le disent, tous, souvent, que tu travailles trop, que tu finiras par en mourir, que la fatigue ronge tes yeux et les rougies souvent de larmes acides. Mais tu ne peux pas arrêter, parce que c’est ce que tu t’es fixé, parce que tu ne peux pas faire autrement, parce que tu veux arrêter de bosser ensuite et vivre une vie sans vraiment de contrats, sans être obligé de rien, juste faire ce que t’as envie de faire ce que tu veux, parce que tu veux regarder la mer et finir d’écrire ton livre, parce que t’as envie de te faire plaisir et que t’as envie de te regarder en étant fier de toi, même si tu ne regardes pas réellement ton visage.
Et ça fait un mois, un mois entier qu’il vit chez toi, un mois entier parce que tu ne veux pas le laisser partir et tu ne veux pas qu’il parte, tu ne veux plus être seul, ça fait un mois que tu connais son prénom, un mois où tu t’endors comme une masse à chaque fois que vous êtes devant la télévision, presque un mois que tu dors sur lui, littéralement, comme s’il était la seule source de chaleur de ton appartement, comme s’il était ton souffle de vie, comme si tu avais besoin de lui, juste besoin de lui. Un mois où tu le voyais revenir avec des blessures, gueule d’ange abîmé, gueule qui se teinte d’un rouge que tu détestes voir, sourire qui orne ton visage quand tu vois ses traits se durcirent quand l’alcool passe pour nettoyer les plaies, mouvement de tête quand tu vois que ça ne va pas, ton corps contre le sien dans une étreinte douce que tu veux rassurante. Gosse qui ne demande rien, tu essayes de tout faire au mieux pour qu’il se sente bien, qu’il se sente chez lui, parce que tu veux que cet appartement soi comme un chez lui. Mais tu n’avais pas évolué, la fatigue, la douleur dans les muscles comme un poison venimeux, tu n’avais pas imaginé que ça pourrait être à ce point. Parfois tu te perdais, dans ses yeux comme une réponse à une histoire, comme un écho de milliers d’étoiles, comme une galaxie qui t’emportait loin, bouffée d’air, tu échappais à l’histoire de ta vie, tu échappais à la fatigue et aux obligations, tu échappais à la solitude et au froid intérieur qui te bouffait, tu t’échappais.
Parce qu’il était tout, le matin, le soir, une étoile en plein jour, une galaxie qui n’était pas couverte de pollution, galaxie sombre pourtant teintée par endroits des couleurs de la colère et de l’amertume, mais, tu t’en rendais compte, tu l’aimais, parce que tu n'avais jamais aimé personne avant, parce que tu voulais être tout ce qu’il voyait, c’est pour ça que tu avais ranger toutes les bougies dans un carton, jalousie mal placée envers des objets, parce que ça t’angoissait, te stressait, parce que tu voulais et tu veux toujours être le seul. Possessif gamin qui s’écroule sur le sol et dans les bras d’un inconnu, encore et encore, comme une cassette qui se fait rembobinée sans arrêt. Et tu ne sais pas, ne sentent pas, on t’allonge sur un matelas, tu sais que t’es en premier, tu sais que t’ouvres les yeux, la fatigue encore en eux, tu sais que tu vois le visage, d’Hazel, tu sais mais tu es trop fatigué pour comprendre, pour retenir un seul mot.

« Si tu l’aides pas un peu plus ton petit copain va finir par te clamser entre les doigts. »

Les bras croisés de ta patronne et le regard de la caissière, une amie, même si tu ne sais pas ce que ça veut dire, tu sais juste qu’il est là et que tu tends les bras dans sa direction.

« Je vais bien. »

T’articule, faiblement, un lent mensonge quand tout devient ombre.
Made by Neon Demon


Dernière édition par Nikita Zakharov le Mar 18 Avr - 1:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: You have my whole heart. You always did. + Hazel   You have my whole heart. You always did. + Hazel EmptyMer 5 Avr - 19:36

You have my whole heart. You always did.
Hazel & Nikita
He was so easy to love. He made you feel safe. When he held your hand it was like you were flying. When he kissed your face you felt like you could fly. He made crossing the road feel like an adventure; with his hand on the small of your back. He laughed at things easily, he was soft, gentle, kind. He understood when you were quiet, when you were loud. He listened. He listened to your words, and he listened to your silence. “Come here,” he would say, with his arms open wide, and you would go. “Stay,” he would beg, and you would stay and you would stay and you would stay.

Et d'un coup ça faisait un mois, un mois depuis cette soirée où un peu trop défoncé tu avais terminé chez lui,Niki.
Tu avais appris son prénom un peu plus tard, quand le lendemain tu avais ouvert les yeux dans des draps que tu ne connaissais pas, que les souvenirs de toi en train de le draguer t'étaient revenu sans que tu puisses le contrôler, tu mentirais si tu disais que tu n'avais pas eu honte, que tu n'avais pas eu envie de t'enfuir en voyant qu'il n'était pas là, ça n'aurait pas été la première fois, mais en voyant qu'il t'avait laissé des médicaments, de quoi manger, qu'il avait même pris le temps de te laisser un mot, tu t'étais convaincu de rester, pour le remercier, seulement pour le remercier initialement et un mois plus tard, tu étais toujours là pourtant.
Tu aurais aimé dire, que vivre avec lui, ne plus être seul, t'avais radicalement changé, que tu allais mieux depuis, que tu t'en étais sorti mais pour ça aussi, tu mentirais si tu le disais. La vérité était là, pas des plus glorieuses, pas de celles dont tu pouvais te vanter, mais tu n'avais pas changé, un mois après même si tu n'étais pas à la rue, tu étais exactement le même qu'avant, toujours sans emploi, toujours passionné par les vies de personnages qui n'existaient même pas, toujours en train d'écumer les bars chaque soir, toujours en train de te perdre entre l'alcool et la violence, tu étais le même qu'avant, la seule différence était que quand tu rentrais, tu n'étais pas seul, quand tu rentrais il y avait toujours quelqu'un pour t'attendre, et pas pour te juger, pas pour te faire des discours moralisateurs, des reproches comme l'auraient fait tes frères et sœurs, quelqu'un qui ne te demandait pas de t'expliquer, qui te prenait juste dans ses bras, qui te soignait, qui te donnait la douceur dont tu avais besoin, tu t'étais habitué à t'endormir avec lui contre toi, habitué à vivre avec lui, habitué à lui, tu ne savais pas ce que vous étiez exactement, des amis, des amants, tu n'arrivais pas à le déterminer et ne le voulait pas vraiment, en réalité.

Cette nuit là n'avait pas été différente des autres, le même bar, le même alcool dans tes veines, une dispute qui avait éclatée, encore, un mot en trop, une phrase trop maladroite, et comme d'habitude tu avais éclaté, tornade, ouragan qui se déchaînait, tu frappais, il frappait, on vous séparait, et comme d'habitude tu rentrais ensuite, du sang sur les mains, le sien, le tien, des traces de coups sur le visage, le même désespoir, la même lassitude, la même douleur aussi quand Niki t'avait soigné, la même douceur, les mêmes étreintes dans lesquelles tu te perdais et qui finissaient toujours par réussir à te calmer jusqu'à ce que le sommeil vienne enfin te chercher.
Ce jour là n'aurait pas dû être différent non plus, commençant comme tous les autres avec la lumière du jour qui agressait tes yeux trop sensibles, avec le même mal de tête qui te vrillait les tempes, alors que tu cherchais un médicament près de toi, ouvrant péniblement les yeux pour regarder l'heure sur ton téléphone portable, fronçant les sourcils en voyant un certain nombre d'appels manqués et un message non lu, toi que d'habitude personne n'essayait jamais de contacter.
Lentement, vaguement inquiet comme un mauvais pressentiment qui naissait, tu t'étais redressé dans le lit, passant une main dans tes cheveux, essayant d'habituer tes yeux à la luminosité, de déchiffrer les lettres, les mots, de comprendre le sens de ce que tu lisais, mais il aura seulement fallu que tu en déchiffres deux, «Niki », « Malaise », pour qu'une décharge d'adrénaline traverse tes veines, que tu oublies tout, la gueule de bois, la douleur et que tu te lèves brutalement, ignorant les vertiges pour attraper des vêtements, tes clefs de voiture et sortir en courant.

Si tu n'avais jamais été un excellent conducteur, si tu étais plutôt le genre qui collectionnait les pv et dont on s'interrogeait souvent sur la manière dont il avait pu obtenir son permis de conduire, cette fois était pire que toutes les autres, d'aussi loin que remontait ta mémoire, tu n'avais jamais roulé aussi vite, jamais grillé autant de feux rouges, jamais accordé aussi peu d'importance aux limitations de vitesse, aux priorités, te garant même à un endroit tout sauf adapté, c'était un miracle que tu n'aies pas eu d'accident en route, un miracle que tu ne te sois pas fait arrêter, tu le réaliserais seulement plus tard, sur le moment c'était comme si ton corps s'était mis en pilote automatique, seulement guidé par une pensée, une seule obsession, aller chercher Niki.

Même ton entrée dans le restaurant s'était faite en fracas, la porte claquée derrière toi, alors que tu demandais où était Niki, te demandant l'image de toi que tu devais donner ainsi, les cheveux en bataille, les vêtements encore froissés d'avoir été enfilés dans l'urgence.
Et en le voyant, allongé sur ce matelas, les yeux à peine ouverts, l'air épuisé, en plus des décharges d'adrénaline, c'est ton cœur que tu as senti te serrer, tes lèvres articulant malgré toi quelques mots alors que tu te rapprochais de lui

« Mon amour... »

Tu ne savais pas d'où ça te venait , tu ne l'avais jamais surnommé, à peine appelé par son prénom, et pourtant sous le flot d'émotions, c'était les mots qui s'étaient échappés alors que la femme, sa patronne, tu supposais, commençait à t'engueuler, à te dire que si tu n'aidais pas plus ton petit copain, il allait finir par te clamser entre les doigts.
Immédiatement tu t'étais tendu, ton visage se fermant totalement, tu avais toujours mal réagis aux critiques, mal réagis aux reproches, te mettant immédiatement sur la défensive, devenant même agressif à l'occasion lorsque les gens ne comprenaient pas qu'ils ne devaient surtout pas insister, surtout pas en rajouter.

« C'est pas mon petit copain... »

Et pourtant en posant les yeux sur lui, qui te tendait les bras, qui essayait de te convaincre que tout allait bien, qui devait te rassurer, en écho à l'air paniqué de tes yeux, tu n'as pas pu te retenir de te corriger

« Pas encore... »

Après tout, tous ces gens tu ne les reverrais pas non ? Et s'ils avaient présumé que tu étais son petit ami c'est qu'ils n'avaient rien contre les gay ? Pas vrai ? Tu essayais comme tu pouvais de te rassurer alors que tu t'approchais encore de lui, le serrant dans tes bras après lui avoir embrassé le front, glissant une main dans ses cheveux que tu caressais doucement, rassurant

« Non ça va pas, on va rentrer et tu vas te reposer d'accord ? Tu me laisses te porter ? »

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MessageSujet: Re: You have my whole heart. You always did. + Hazel   You have my whole heart. You always did. + Hazel EmptyDim 23 Avr - 22:09

You have my whole heart. You always did.
Hazel & Nikita
He was so easy to love. He made you feel safe. When he held your hand it was like you were flying. When he kissed your face you felt like you could fly. He made crossing the road feel like an adventure; with his hand on the small of your back. He laughed at things easily, he was soft, gentle, kind. He understood when you were quiet, when you were loud. He listened. He listened to your words, and he listened to your silence. “Come here,” he would say, with his arms open wide, and you would go. “Stay,” he would beg, and you would stay and you would stay and you would stay.

Faiblesse. Putain de faiblesse du corps qui te dirige vers le sol, putain de griffure que tu t’es fait parce que tu supportais plus de voir ton visage dans la glace, trait droit, morceau de verre, tu t’en foutais, tant qu’à avoir l’air d’un mort autant avoir l’air d’un mort qui a vécu. Les jointures qui brûlent, la fatigue qui fait trembler les jambes, les cernes comme des coups de poing, pire que le soir d’avant, pire que tout. Gosse qui se retrouve fragile, gosse qui se perd et se reperd dans ses songes, qui ont peur de mourir, de finir, mais qui en même temps n’attend que ça. Parce que malgré ce que tu fais paraître, t’es seul, terriblement. Parce qu’Hazel vit sa vie comme si tu n’existais pas, tu ne sais même pas ce que tu es, est censé être, peut-être un simple amusement, un jeu dont on se laisse après quelques utilisations. Pourtant tu crèverais pour encore un sourire, encore un mot, encore une étreinte. Pourtant tu crèverais pour entendre encore son rire, pour t’endormir encore contre lui et te réveiller encore plus proche que tu ne l’aurais cru. T’aimerais, mais plus le temps passe plus tu te rends compte que tu es dans une bulle qui n’éclateras pas, bulle trop sombre qui te bouffe, te mord, te hurle dessus comme si tu n’étais rien, comme si tu n’étais déjà plus qu’un souvenir qu’on a plus tout à fait en mémoire.
Le froid sur ta peau découverte à cause de ton uniforme, comme si ton cœur se ralentissait, froid cadavérique d’un corps habituellement chaud. Le regard des clients sur la cicatrice encore sanguinolente que tu t’es infligé. Le visage figé devant le morceau de verre et le miroir, comme cherchant à savoir si tu peux passer dans l’autre monde en passant à travers ce miroir, comme échappé à une réalité que tu ne peux plus voir, celle où tu souffres, celle où ton corps s’écrase contre un sol dur qui brise tes os, celle où tu t’endors contre une personne qui ne t’aimes pas, ne t’aimera jamais, tu le sais, le sens. La vérité qui paraît comme un mensonge, comme une vie fabriquée de toutes pièces comme un puzzle incohérent. Comme une lumière qui ne se reflète nulle part. Comme une flamme qui ne deviendra jamais un feu. L’espoir de pouvoir encore faire semblant, l’espoir d’encore mettre un voile blanc sur ton visage et de paraître encore un peu vivant. T’as cru avoir rêvé, en entendant le surnom. Il ne t’appelle pas souvent pas ton prénom, ne t’appelle pas tout court, comme si tu étais une statue de cire sans émotion dans un musée comme si rien ne battait sous ta peau. Prénom que tu penses oublier dans un trou de sa mémoire, prénom peut-être inintéressant, trop commun.
T’as les dents qui claquent, tu mords à sans ta lèvre, parce que tu sais que tu ne mérites pas, qu’il ne devrait pas s’intéresser à toi, surtout pas maintenant, surtout dans l’état dans lequel tu es. Son corps, trop proche du tien, lèvres sur ton front, bras autour de toi, main dans tes cheveux, et tu souffres, parce que tu ne mérites pas ça, parce que ton inconscient te le dit, te le hurle, te le marque au fer rouge sur la peau.

« Je vais bien. »

Trop froid, trop dur. Pourtant tu hoches la tête, parce qu’il a le droit de te porter, parce que tu sais pas si tu serais capable de marcher de toute façon. Le sang qui coule encore de la plaie que tu t’es infligé, nouveau genre de douleur que tu découvres, parce que tu te trouves pathétique à en pleurer.

« Je veux pas me reposer. J’ai plus envie de rien sauf de… »

Tes bras qui s’accrochent à son cou et ta tête contre son épaule, tu verses tes larmes cristallines.

« J’ai envie de mourir Haz'. »

Tu te sers un peu plus, parce que tu te sens coupable, tu te sens mal, parce que t’as peur qu’il te lâche. Parce qu’il aurait raison de le faire, de partir tant qu’il en est encore temps, parce qu’il aurait raison, parce que tu ne le mérites pas.

« J'suis désolé de pas être parfait, de pas réussir à t’aider, de pas réussir à faire des plats corrects et de pas souvent être là. »

Les larmes qui ne se tarissent pas comme une source qui coulerait à l’infini.

« J'suis désolé, je voudrais juste te donner tout ce que j’ai, la tune, l’appart, et juste partir, parce que je sais que j'suis juste un poids de plus. »

T’aimerais lâcher prise, te laisser tomber.

« J'en peux plus. »

Le sang qui se mélange aux larmes, Cristal rouge.

« Je m’excuse pour tout. »

Les ongles qui grifferaient bien ta peau s’ils n’étaient pas occupés à te tenir à cet homme.

« En plus je nourris un amour qui ne sera jamais réciproque, parce que jamais quelqu’un comme toi tomberait amoureux de quelqu’un comme moi, j'suis pathétique, j'suis désolé, tu devrais partir, m’abandonner, ça serait mieux pour toi. »

Tu lui avoues, encore dans le flou, ne réalise pas, ne comprend même pas ce que tu viens de dire.

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