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 Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay)

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MessageSujet: Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay)   Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay) EmptyJeu 8 Juin - 15:07


Il était une fois une bavarde et un mur...




jay & ellie


Depuis une heure maintenant, les visiteurs affluaient dans le musée. Exceptionnellement, celui-ci avait ouvert ses portes uniquement à dix-neuf heures, pour les visites nocturnes. J'aimais particulièrement ces moments. Des gens de tout horizon venaient, la nuit tombée, parcourir les couloirs mettant à l'honneur le septième art. Et puis, l'ambiance dans le musée n'était pas la même. Elle était plus cool, moins... réglementée. En somme, j'adorais lorsque ces visites arrivaient et les organiser était toujours un réel plaisir.

Ce mois-ci, les blockbusters étaient à l'honneur. Une exposition leur était réservée à l'entrée du musée et à l'occasion des visites nocturnes, j'avais décidé d'exploiter à nouveau ce thème dans la grande salle qui accueillait les visiteurs, à la fin du musée, entre les dernières galeries et la boutique de souvenirs. Des cupcakes à l'effigie de grands personnages du cinéma américain et de multiples gobelets contenant du jus de fruits ou de l'alcool étaient posés un peu partout, à disposition. Dans la salle, des mannequins en plastique portaient des costumes en tout genre, de Batman à Jack Sparrow, en passant par Wonder Woman. Entre la sortie du film de la superhéroïne et le nouvel opus de Pirates des Caraïbes, il m'avait semblé impossible de passer à côté. Et visiblement, être entourés de ces figures mythiques le temps de se désaltérer et d'avaler quelque chose une fois le musée visité plaisait beaucoup aux plus jeunes, comme aux adultes. Toutes les personnes avec qui j'avais pu discuter semblaient satisfaites. Elles m'avaient, pour le moment, toutes affirmé avoir passé un bon moment, tout en apprenant beaucoup de choses sur l'industrie du cinéma et sur les films cultes. Pour les enfants qui accompagnaient leurs parents, c'était surtout les petits gâteaux qui leur plaisaient. Mais le principal était que chacun ait passé un bon moment.

Pour ma part, je ne m'ennuyais pas. Entre les visiteurs, curieux, qui venaient à ma rencontre pour me poser des questions et les habitués avec qui j'entamai des conversations comme je l'aurais fait avec des amis, j'avais de quoi m'occuper. Lorsqu'un moment de calme désertique s'installait dans ma soirée, je me contentais d'avaler un verre de jus d'orange et quelques gâteaux en attendant que le temps passe. De temps à autre, j'en profitais également pour jeter un coup d'oeil à mon téléphone, répondant aux mails et aux messages. Ce fut ainsi que mon regard se posa sur les derniers messages que Jude et moi avions échangé. Ils remontaient à plusieurs semaines mais les voir eut le don de me faire penser, une nouvelle fois, au fait que je ne lui avais encore rien dit au sujet de sa future paternité. Un soupir s'échappa d'entre mes lèvres. Je repoussais sans cesse l'échéance, mais je n'allais pas pouvoir garder ma grossesse sous silence éternellement... Verrouillant l'écran de mon téléphone, je le glissai dans ma poche de veste, bien décidée à penser à autre chose. Et justement, mon œil fut attiré par un homme, non loin de là. Ce n'était pas à cause de son charisme, bien qu'il en possédait beaucoup, mais bel et bien par son air sérieux. Contrairement aux visiteurs que j'avais pu voir jusque là, il n'avait pas l'air très enjoué. C'était son droit, mais cela m'intrigua particulièrement. Ce fut sans doute pour cette raison que je traversais la pièce, jusqu'à la table à côté de laquelle se trouvait le trentenaire.

« Bonsoir ! », lançai-je, enjouée, tandis que je jetais mon dévolu sur un énième petit cupcake. Lui n'avait pas l'air d'y avoir touché. Il ne savait pas ce qu'il ratait. Le pâtissier que j'avais embauché pour la soirée avait fait du bon travail et comblait parfaitement mon appétit de femme enceinte. Sur ce coup-là, j'étais plutôt contente d'avoir fait affaire avec lui. « Vous passez une bonne soirée ? », demandai-je après une bouchée de gâteau, au jeune homme vers qui je m'étais tournée. Je supposais que s'il était ici, c'était parce qu'il avait eu envie de profiter de la soirée, comme tout le monde. Mais son visage ne trahissait aucune joie. A moins qu'il ne soit du genre à adopter une expression impassible à chaque instant, je me doutais que ma question allait recevoir une réponse négative. « Le musée vous a plu ? Je ne sais pas si vous êtes passé par l'expo sur les blockbusters mais si vous êtes un amateur du genre, elle devrait vous plaire ! »


par humdrum sur ninetofive
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MessageSujet: Re: Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay)   Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay) EmptyJeu 8 Juin - 16:27

Ellie & Jay
Il était une fois une bavarde et un mur...

J’étais assis en train de fixer les dernières informations que l’homme venait de me donner, je les regardais en secouant la tête avant de serrer la main de mon client. Je lui fixais un rendez-vous d’ici une semaine et que j’allais aussi faire mon possible pour en apprendre plus durant la soirée. Maintenant, je devais me coltiner une soirée au musée, rien de plus ennuyant. Je n’étais pas amateur d’art ni même d’objets anciens mais je me devais d’y aller pour faire à bien mon travail. J’avais une réputation à tenir. Je rentrais à la maison, envoyant un message à Juliet pour reporter notre dîner à un autre soir lui expliquant que c’était pour le boulot. Je savais que c’était aussi l’excuse où parfois je n’avais tout simplement pas envie de sortir à cause de mes soucis mais cette fois c’était bien vrai. Un jour, mes mensonges allaient me rattraper et j’étais à coup sûr de les payer. Je soupire et caresse la tête de mon chien avant d’attraper la laisse pour aller le promener, ça allait me permettre de mettre en place mon plan. Je devais à tout prix savoir ce que l’associé voulait manigancer avec le patron du musée. Sous ordre du sous-directeur du musée. Tout ça est une grande affaire mais ça ne me regarde pas, j’obtiens seulement les informations nécessaires pour qu’ensuite, mon client puisse faire des démarches ou pas envers la justice. Rien de bien compliqué n’en soit. Je finis de faire mon tour avec le chien de ma sœur puis rentre chez moi avant de le laisser faire sa vie puis moi, d’aller me préparer. Une fois prêt, je me regardais dans le miroir et arrangeais les mèches de devant avant d’attraper ma veste en cuir, puis mes clés de voiture. J’observais une dernière fois l’appartement avant de sortir et de me diriger devant le musée le plus célèbre de Washington. J’avais le luxe d’assister à une soirée en plus, les avantages du métier. Cependant, si le lieu avait pu être un autre, ça ne m’aurait pas dérangé. Sortant de ma voiture, je donnais les clés aux voituriers avant d’entrer dans le grand hall et de regarder autour de moi, souriant à peine à ceux qui me disaient bonjour. Je ne devais pas m’éloigner de ma mission et en aucun faire en sorte d’être distrait. Une fois la cible repérée, j’attrapais une coupe de champagne, pour faire genre, puis suivis discrètement les deux personnes qui m’intéressaient pour ce soir. Il fallait à tout prix que je m’approche assez pour enregistrer leur conversation et pouvoir prendre une ou deux photos, pour après monter un petit dossier solide. Je m’arrêtais à quelques mètres d’eux, attrapant mon téléphone pour répondre à Juliet alors qu’en fait j’étais en train de prendre un cliché d’eux pour le conserver. Cette poignée de main pouvait signifier bien des choses maintenant il me manquait plus que le contexte. Je rangeais mon téléphone avant de plonger mon regard sur la salle, ne souriant pas tellement et ne profitant pas des joies et des remarques que pouvaient faire les gens sur la soirée. Je devais bien avouer une chose, c’était agréablement bien décoré et j’étais presque certain que ça relevait d’un doigtée féminin pour faire ce genre de chose. Je portais mon verre à mes lèvres, goutant aux bulles de ce champagne avant d’entendre une voix féminine. Je posais mes yeux sur elle et attendis la suite. Car au fond, elle pouvait très bien s’adresser à quelqu’un d’autre mais après un regard par-dessus mon épaule, c’était bien à moi qu’elle parlait. « Bonsoir. » cependant, je ne devais pas oublier ma cible de la soirée et je laissais mon regard retraverser la pièce pour voir que les hommes étaient toujours au même endroit. C’était au moins ça ! Je soupirais en l’entendant encore parler, apparemment, elle n’avait pas compris que je n’étais pas d’humeur à taper la discussion et que j’avais d’autres chats à fouetter. La regardant s’engloutir d’un cupcake, je haussais les sourcils, amusé par sa façon de manger avant de lui répondre le plus poliment possible. « Excellente, merci. » Je savais que ce n’était pas poli de ne pas retourner la question, mais je bossais et je n’étais as là pour le plaisir, sinon je serais en train de faire des grimaces à la plus belle de toute, Molly et je serais en compagnie de Juliet. Je fourrais les mains dans mes poches et serrais la mâchoire en l’entendant encore me poser des questions. Bon sang mais parfois que les gens sont bavards ! « A vrai dire, je ne suis pas là pour le musée. Mais je suis sûr que la personne qui a organisé ça est fière. » Je souriais, posant mon regard sur elle avant de pencher le regard vers l’associé du patron. « Vous connaissez cet homme ? » Je pointais mon index vers la direction du patron et de l’homme grisonnant à ses côtés avant de balayer ma question du revers de la main. « Enfin, vous n’êtes sûrement pas de la maison, oubliez cette question. » Je haussais les épaules avant de la regarder et de sourire sincèrement cette fois-ci. J’aurais pu passer un moment avec elle cependant, j’avais un travail à accomplir et je ne pouvais pas m’offrir les joies de cette beauté féminine pour la soirée. Même si ce n’était que pour parler.
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MessageSujet: Re: Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay)   Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay) EmptyMar 13 Juin - 15:06


Il était une fois une bavarde et un mur...




jay & ellie


J'étais si enthousiasmée par cette soirée, que je n'avais même pas remarqué que j'agaçais mon interlocuteur plus qu'autre chose. Entre son soupir et ses mâchoires serrées, il ne faisait aucun doute que je l'ennuyais. M'en préoccupais-je ? Absolument pas. Ce n'était pas une marque d'impolitesse. D'une nature si sociable, j'avais l'habitude d'aller à la rencontre des autres et de discuter. Le pire dans tout ça, c'était sans doute le fait qu'une fois lancée, on m'arrêtait difficilement. La preuve : je continuais de parler, même si le jeune homme était peu enclin à converser avec moi. Je m'arrêtais simplement à sa réponse, considérant qu'il passait bel et bien une bonne soirée, ce qui eut le don de me faire sourire. En règle générale, j'acceptais toutes les critiques, tant que celles-ci étaient construites. C'était important, dans une carrière car tous les avis étaient à prendre pour s'améliorer. Apprendre qu'il n'était pas en train de se faire torturer intérieurement était donc une bonne chose. Jusqu'à ce qu'il signale qu'il n'était en réalité pas là pour le musée. Ah ? Ah. Mon regard se fit interrogateur, tandis qu'une question s'imprimait dans mon esprit : que faisait-il ici ? Je n'eus toutefois pas l'occasion de répondre puisqu'il enchaîna aussitôt sur un semblant de compliment, puis sur une question sur un homme qu'il désigna. Mon regard suivit son doigt, découvrant ainsi monsieur Griffith, mon supérieur. A quelques pas de là, il discutait avec une personne que je ne connaissais pas.

« Monsieur Griffi... ? » « Enfin, vous n’êtes sûrement pas de la maison, oubliez cette question. ». Je levai les yeux au ciel en l'entendant revenir sur sa question. S'il m'avait laissé parler, je lui aurais épargné ces quelques mots. Je ne m'en offusquai pas, toutefois, préférant lui adresser un sourire. « Cet homme, c'est monsieur Griffith. Mon supérieur. », révélai-je avant de reprendre. « Et je suis effectivement plutôt fière de mon travail. »

Sous-entendu : je suis celle qui a organisé tout cela. En temps normal, j'aimais assez bien parler de mon boulot. Il était intéressant de connaître le point de vue de chacun, les impressions et même les suggestions. Il y avait d'ailleurs, parfois, une boite en bois dans le hall, dans laquelle les visiteurs pouvaient glisser leurs idées et leurs envies au sujet des expositions et des événements qui se déroulaient au musée. Mais cette fois-ci, mon attention était attirée par autre chose. C'était bel et bien la raison qui avait amené mon interlocuteur ici, qui m'intriguait. Il s'intéressait à Griffith. Mais pour quelles raisons ? « Qu'est-ce que vous lui voulez ? », demandai-je finalement, plutôt curieuse. Je n'avais pas souvent de conversations avec lui. Je passais plus souvent par le sous-directeur, que je trouvais bien plus agréable. Toutefois, on ne choisissait pas son patron et je ne pouvais pas non plus dire que monsieur Griffith était un con. Ce n'était pas le cas. Il était aimable et avait toujours un mot gentil, mais il avait une attitude plus distante. C'était toutefois compréhensible : c'était un homme de pouvoir. Je ne voyais donc pas vraiment ce qu'on pouvait lui vouloir et ce fut ainsi que je débutai un jeu. Deviner ce qui amenait le brun allait m'occuper quelques minutes et me changerait des conversations que j'avais pu avoir jusque là. « Mh, laissez-moi deviner... Vous êtes journaliste et vous voulez une interview mais le service presse vous a refoulé ? », tentai-je avant de me saisir d'un verre de jus de fruits. « Ou alors, j'ai mieux : vous êtes son fils caché et vous voulez que votre paternel vous reconnaisse enfin. A moins que... Vous êtes son amant, vous avez rompu et vous voulez le reconquérir ? ». Je ris légèrement en imaginant à quel point la situation allait devenir gênante si tel était le cas. Il fallait vraiment que j'arrête de lire des comédies.


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MessageSujet: Re: Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay)   Il était une fois une bavarde et un mur... (ft. Jay) EmptyDim 25 Juin - 16:06

Ellie & Jay
Il était une fois une bavarde et un mur...

Je ne pensais pas que j’allais rencontrer quelqu’un de bavard ce soir-là. Je tournais la tête vers la brunette et soupirais. Apparemment, elle n’était pas prête de lâcher la grappe et je la sentais bien pot de colle. Or, elle parlait beaucoup et moi je n’avais aucunement envie de déblatérer avec elle. Non seulement parce que je travaillais mais également parce que je n’étais pas du genre à discuter comme ça, comme bon me semble. J’essayais de faire des progrès mais bon… je ne pouvais pas toujours accepter de sourire, de parler contre mon gré. Ce soir je n’en avais pas envie et j’allais bien lui faire comprendre. Enfin j’essayais car apparemment ça ne la touchait en aucun cas. Je ne lui laissais pas le temps de répondre mais cette jeune femme le connaissait. Je penchais la tête sur le côté, essayant de ne pas paraître trop intéressé par ce qu’elle me disait. Je venais d’obtenir son nom. Griffith. Je pris note en tête et me focalisais sur eux tout en répondant à la jeune femme. « Bien, merci. » Je feignais un sourire avant de me tourner vers la brune et de taper dans mes mains de façon gentil pour lui montrer que je trouvais son travail remarquable. « Vous avez un talent, ma chère. » Je me penchais un peu, faisant une révérence avec un sourire puis me redressais pour regarder de nouveau les deux hommes. Je devais être sous couverture en quelque sorte et au fond, cette jeune femme allait peut être me servir à me rendre plus discret que je ne l’étais déjà. J’allais donc devoir prendre sur moi pour pouvoir discuter avec cette jeune femme et peut être obtenir des informations concernant cet homme par le biais de la brune. J’étais gagnant au final mais autant fallait-il que je satisfasse cette demoiselle à répondre à ses questions. Buvant une gorgée de ma coupe de champagne, j’observais son jus de fruit et arquais un sourcil. « Vous ne buvez pas ? Pourtant, vous le méritez avec cette magnifique réception que vous avez organisée. » J’étais sincère puis pourquoi ne pas en profiter comme les autres. Un verre ne tue personne enfin pas à ma connaissance. Le deuxième oui. Cependant, sur le temps de travail, je pouvais comprendre qu’on refuse. Moi, c’était simplement pour ne pas attirer les regards et me fondre dans la masse de personnes riant aux éclats et discutant de choses et d’autres concernant le musée. « Mmh, rien en particulier. C’est plutôt l’homme qui se tient à ses côtés qui m’intéressent. » Je souriais en coin avant de mordre dans un petit canapé au saumon. Délicieux, au moins, je pouvais me nourrir gratuitement et j’allais rentrer repus. Cependant, je ne devais pas oublier ma mission. Me décalant un peu, je voyais bien que la brune me suivait et ça m’arrangeait. Je portais mon l’attention. Quand elle reprit la parole, je me retins de soupirer car vraiment cette femme ne cessait donc jamais de parler ? Juliet aussi parlait énormément mais elle savait s’arrêter, là, c’était un moulin à paroles ! Mais je ne pouvais m’empêche de sourire face aux suppositions qu’elle venait de faire et la dernière me fit avaler de travers. Si bien que je toussais avant de boire une gorgée du champagne et de poser la coupe sur un plateau que je voyais passer. « Vous m’avez démasqué ! Je ferais tout et n’importe quoi en ce moment-même pour pouvoir de nouveau l’avoir dans mes filets. » Je rigole avant de secouer la tête et de hausser les épaules, reprenant un peu mon sérieux. « Je ne sais pas d’où vous sortez cette idée, mais ça me plaît assez. » Alors que je vis les deux hommes se déplacer et sortir de mon champ de vision, j’attrapais le bras de la brunette et approchais ma bouche de son oreille. « Je vous en prie, indiquez moi la direction qu’il prenne. » Je me redresse et souris avant d’avancer et de les suivre puis de poursuivre dans mes paroles. « Je suis là pour travailler et comme vous m’avez l’air charmante, je ne veux pas vous délaisser pour la soirée. » Dis-je en étant quelque peu sincère, après tout elle avait fait un effort pour me parler et si jamais elle ne voulait pas m’aider tant pis, j’allais m’en sortir seul. Mais si elle pouvait me donner un coup de main de n’importe quelles façons, alors j’étais partant.
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