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| OLIVAEL — lentement, je t’immole. | |
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| Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Dim 10 Déc - 22:00 | |
| Voila que tu mets de l'eau dans ton vin, tu ne joue plus à celui qui fera le plus de mal à l'autre, non, tu n'en as plus envie. Tu as juste envie d'être bien, de ne plus ressentir cette stupide boule tapit au fond de ta gorge qui ne cesse de grossir quand tu te rends compte du mal que tu lui as fait. Quand tu te rends compte que tu aurais pu tout perdre, et que c'est peut-être ce que tu as fait. Ca se trouve, il ne voudra plus rien avoir à faire avec toi. Ca se trouve, vos relations ne seront vraiment plus que professionnelles, à cause de toi, de ta jalousie vraiment mal placée et de cette envie que tu avais de faire du mal sans vraiment le penser. Ca t'a effleuré l'esprit un instant et puis c'est devenu plus imposant, plus gros au fur et à mesure que les secondes passées et tu ne pouvais clairement plus faire marche arrière. Non, et maintenant, tu étais devant lui, à tenter de lui expliquer par a+b que tu ne voulais pas lui faire de mal, que ce n'était pas ton intention, tout en sachant qu'il t'a fait autant de mal que tu n'as certainement pu lui en faire. Tu l'entends encore qui hurle alors que tu as l'impression d'être en plaidoirie. Tu ne veux pas qu'il t'en veuille mais tu es usée, fatiguée de cette situation et pourtant, tu t'es assez reposée. Et puis tu lui dis que tu l'aimes, tu ne t'attendais pas à ce que ça sorte parce que tu n'es même pas sûre de tes sentiments, mais si c'est venu comme ça c'est qu'il y a sûrement une raison. Tu fronces un peu les sourcils quand il veut s'éloigner et tu as peur qu'il te mette à la porte. Mais non, il revient avec une cigarette. Tu pourrais oser lui en demander une mais tu sais qu'il n'aime pas qu'on fume dans son antre alors tu te retiens. Tu l'écoutes attentivement, ton coeur battant un peu trop vite, tambourinant un peu trop dans ta poitrine et tu as l'impression que le sol se dérobe sous tes pieds. Tu soupires un peu, et tu tentes de répondre « I didn't want to hurt you.. » C'est la seule chose que tu peux prononcer avant qu'il ne continue. Tu comprends son point de vue et tu voudrais lui dire que tu ne voulais pas dire ça, mais il aurait pu mal le prendre et tu ne voulais pas cela, vous étiez lentement sur la voie de réconciliation alors ce n'était pas le moment de tout briser. De tout casser. Ses mains sur tes hanches, tu te rapproches un peu de lui, passant doucement tes bras autour de son cou. « Well. I understand. And I'm sorry that I was so selfish to understand what you wanted. I mean... you're my boss. I get it. And I'll not do that anymore. And I trust you... Oh my god you don't have any ideas how much I trust you Oli... » Tu n'es pas sûr d'avoir déjà fait confiance en quelqu'un autant que tu ne peux lui faire confiance. Sur le point de vue personnel comme le point de vue professionnel. « And I need you to remind me all these words if someday I become perfidious again. Because of my stupid jealousy or whatever. » Puis tu te recules, te libérant de son emprise et tu te mets dos à lui, face à l'immensité des immeubles tous illuminés. Et tu prononces d'une voix mal assurée « I didn't want to say that to you... The I love you thing... Because I know that it's way too early to feel something that strong for someone I barely know. But.. I like you. I have strong feelings for you. It's al that you need to know. And I want you to be happy with or without me. » Tu hausses un peu les épaules avant de te retourner pour le fixer dans la pénombre et timidement, tu te rapproches de lui pour te blottir contre lui, retrouver cette sensation qui te fait du bien et tu te positionnes sur la pointe des pieds pour venir lui murmurer doucement « May I kiss you ? » |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Lun 11 Déc - 1:48 | |
| Azraël & Oliver So tell me, what do we do now? Tu le sais qu'elle ne voulait pas te faire de mal et toi non plus. Rien de tout ce qu'il s'est passé dans le bureau était volontaire, enfin, pour certains de vos mots échangés. C'est souvent ce qui arrive dans des discussions passionnées, l'un dérape et l'autre suit. C'est ce qu'il s'est passé entre-vous deux, elle a mal commencé et toi, en bon impulsif, tu as réagis immédiatement. Tu n'as pas su te contenir comme il le faut et ça, même si au bout du compte tu as été atrocement gentil. Tu le lui fais comprendre, qu'elle a eu de la chance, que tu as été compréhensif et qu'elle a eu un traitement de faveur. Parce que tu en as eu des juniors qui voulaient te tenir tête dans le bureau et même des collègues et ça ne s'est jamais très bien terminé pour eux. Tu as toujours eu le dernier mot, qu'il soit bon ou mauvais, c'était toi qui gagnait de débat. Il faut bien le comprendre, ceux qui passent la porte de ton bureau avec en tête un conflit, ils vont repartir perdants. Tu es apprécié par les autres avocats parce que tu es quelqu'un de droit et de doué, mais d'un autre côté, ils te détestent parce que tu es une personne infect, nombreuses sont les insultes personnelles que tu as du encaisser vis à vis de ton comportement de merde. Heureusement pour toi, tu es patron d'un cabinet, enfin, à 50% avec Paul en qui tu as énormément confiance et puis, il y a Sophie, votre médiateur et même si elle n'a pas de part dans votre cabinet, son avis et toujours le bienvenue, elle est la sagesse entre vous deux, sans elle, vous ne seriez pas au top aujourd'hui et vous le lui rendez bien. Bref, tout ça pour dire que tu dérapes rapidement, surtout sur les sujets personnels qui te touchent. Azraël a touché là ou ça faisait mal en essayant de remettre en cause ta confiance en elle et en jouant sur les mots avec son fameux meilleur ami. Heureusement que tu as su rester calme une seconde et a comprendre le but de ses actions, mais ça n'empêche que tu as relevé certains mots et noté des détails dans son comportement. Surtout des mots et tu ne sais pas si c'était l'émotion ou si c'était normal pour elle de les prononcer, ceux liés à la confiance qu'elle a en lui. Elle a beau te rassurer là-dessus en parlant de ça, en te disant qu'elle a énormément confiance en toi, tu ne relèves rien, tu gardes ça pour toi. Tu analyses toujours les comportements, contrairement à Sophie, tu ne partages pas ce que tu décèles chez les gens. Tu gardes bien tout pour toi et tu ressors tout au dernier moment, comme un coup de poignard dans le dos. Le coup de grâce. Là, évidemment, ce n'est pas pour lui faire du mal, absolument pas, tu cherches simplement à comprendre ce qu'elle veut dire. Tu devrais cependant mettre ton cerveau en veilleuse pour une fois, mais malgré la fatigue aussi bien physique qu’émotionnelle, tu ne peux pas. « It's alright to be jealous, there's just a limit to not cross, it feels good sometimes to see someone jealous... » Tu souris avec un peu de tendresse et de la nostalgie, ton ex était atrocement jalouse au début de votre relation et puis, à la fin, ça disparaissait, enfin, ce n'était que des remarques sèches et violentes au sujet de tes collègues femmes au bureau. C'était de la colère, ou de la haine, au choix. « Sometimes I can't help it, I can be jealous but I do trust you, you don't have to worry about that, I won't do anything bad at all, it's just my way to be... » Tu hausses les épaules, tu supposes qu'elle n'en tiendra pas rigueur que tu viennes poser possessivement ta main dans le bas de son dos lors d'un soirée afin que tout le monde comprenne qu'elle y est avec toi et pas quelqu'un d'autre et puis sérieusement, avoir une femme comme elle à tes bras, c'est juste le rêve. « I'm happy with you Az and it's all good, we have all the time we need to know each other. We will do great, you'll see, if we can manage to put aside our personal life in the office. » Tu marques tes derniers mots par un clin d’œil et tu la laisses s'approcher de toi, venant timidement quémander un baiser. Tu le lui offres avec grand plaisir, posant avec tendresses tes lèvres sur les siennes tout en passant tes bras derrière son dos pour la maintenir contre toi. Vous vous embrassez pendant une longue minute et puis, tu mets fin au baiser, un sourcil haussé. « Do you have everything you need to sleep here or you didn't plan to stay at my place and want to go home? » Tu hausses un sourcil, interrogateur, tu as besoin de savoir si elle va dormir avec toi ou si tu dois la raccompagner chez elle, on sait jamais, elle a peut-être encore besoin d'un peu de temps pour elle, après tout, comme le dit si bien Sophie, tu ne comprends rien aux femmes alors, tu te prépares un peu à tout afin de ne pas être déçu. |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Mer 13 Déc - 1:34 | |
| Jamais tu ne t’étais prit la tête de la sorte. Pas même avec tes parents, ni même avec tes sœurs. Tu n’avais jamais eu un mot plus haut que l’autre avec eux et surtout, tu ne t’étais jamais disputé avec ton ex de la sorte. C’était inédit. Tu avais déjà voulu lui tenir tête mais il avait toujours les mots qu’il fallait pour te faire taire et te faire sentir comme la pire des personnes sur cette terre. Alors que ça t’arrives avec Oliver, tu te sentais bien trop bizarre. Tu étais nauséeuse, stressée aussi. Tu avais mal au cœur de lui avoir fait du mal. Et tu sais que tu t’en voudras encore longtemps. Mais tu essayes de trouver les mots qui t’apaiserons et qu’ils l’apaiseront lui aussi. Tu sembles y parvenir et pour une fois, tu as l’impression que cette bataille incessante que vous vous êtes livrés entre les quatre murs de son bureau est terminé. Elle est derrière vous et maintenant, il y a les explications. C’est étrange d’être aussi posé après avoir été aussi en colère et à bout de nerfs. Mais il faut dire que tu as dormi et que ça joue certainement sur le fait que tu t’excuses et que tu ne veux plus de ça. La jalousie n’était pas l’un de tes principals défauts mais tu ne pouvais pas t’empêcher de t’avouer intérieurement que tu n’hésiterais pas à montrer les dents, ou du moins tu n’hésiteras pas à lui faire remarquer discrètement que cette fille le regardait un peu trop, ou même que le geste qu’elle a eu était des plus déplacés. Mais jamais rien en plus. Non, tu as retenu la leçon. Pas d’esclandres en public. « I understand. I’m gonna try to be as normal as possible... And I can’t wait to see more of your way to be... » Tu savais qu’il tenterait de te prouver des choses que tu savais déjà, puis tu le laisserais certainement faire. Parce que si c’est comme ça qu’il faut agir pour que vous soyez heureux, tu le feras avec plaisir. Parce que tu as envie d’être heureuse avec lui, qu’importe ce que les autres diront. Qu’importe ce qu’ils diront de vous, tu les laisseras dire parce que seul ton bonheur t’importe. « We’re gonna do that... It’s a promise. And I keep all my promises. And I want to be happy with you, no matter what. Even if some people are gonna try to bring us down. As long I’m by your side, I’ll be happy. » #sponsoriséparEdSheeran Puis quand vos lèvres se frôlent, se cherchent, tu es heureuse. Tu prolonges ce baiser et machinalement, ton corps vient se coller contre le sien. Tu avais bien failli tout foutre en l’air pour rien du tout. Pour une histoire de boulot, et tu t’en serais certainement voulu jusque la fin de ta vie. Sa question te fait rire et tu plonges ta tête dans son cou en riant un peu et tes bras se nouent autour de son cou. « Well... I don’t think that my Christmas Jumper is a proper jumper to go to work tomorrow but... I can ask Sophie for an extra rest day... » Oui tu voulais rester dormir ici et te réveiller avec lui. Pas fuir à cinq heures du matin parce que tu dois repasser chez toi. « And maybe... you can take one too. And stay all day long in bed with me. » Tu souris en coin et tes lèvres papillonnent contre la peau de son cou, avant de plonger ton regard dans le sien « I think that you need some rest Oli... Please take a day off tomorrow. I’m pretty sure that she will understand. And, I don’t want you to have a mental breakdown.. look at you you seem tired. Stay with me tomorrow.. and I’ll stay tonight. » Chantage ? Oui. Mais c’était pour la bonne cause. Tu ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose et il avait vraiment l’air épuisé. |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Mer 13 Déc - 19:11 | |
| Azraël & Oliver So tell me, what do we do now? Pour toi c'est dingue de voir à quel point ton comportement évolue en fonction des personnes qui sont en face de toi. Jusqu'à ce matin, tu te surprenais à croire que ton comportement était irréprochable avec Azraël, mais tu as bien vu le contraire. Car tu n'es pas aussi gentil que tu n'y parais, au contraire, tu es quelqu'un de très colérique et anxieux et les deux ensembles ne donnent jamais rien de bon. Tu prends sur toi, mais au bout d'un certain temps, tu exploses et ça, sans faire attention à ce qu'il y a autour de toi. Tu as énormément de tension en toi, liée au travail, mais aussi à cette vie familiale passée que tu caches aux yeux de tous. Tu ne veux pas en parler, s'ils veulent faire des recherches sur toi, qu'il s'amusent, mais toi, de ton côté, tu ne vas rien faire, tu ne diras rien, tu refuses. Ta vie passée, tu veux l'oublier. « Oh you will, don't worry. » Tu lui offres un clin d’œil, elle va en apprendre sur toi, mais juste pas tout de toute façon, elle n'a pas besoin de tout et toi, de ton côté, tu ne désires pas connaître tous ses secrets, tu prends ce qu'elle te donne et tu feras avec. De toute façon, comme tu le disais, vous avez besoin de temps et vous l'avez, donc pas question de précipiter les choses et tu dois encore l'inviter au restaurant, même si vous avez déjà sauté plusieurs étapes, tu comptes bien la gâter, tel un vrai gentleman et cette fois, prendre soin d'elle, de A à Z. « No one will be able to bring us down, don't worry, we just have to be careful and everything will be alright. » Les seules personnes qui vont réussir à vous abîmer tous les deux, tu es persuadé que ça va être vous deux, c'est aussi simple que ça. Tu es loin d'être parfait, tu as un sale caractère et elle va s'en rendre compte au fur et à mesure et même si elle a des sentiments pour toi, comme elle a si bien sur le dire, tu ne sais pas si tu vas lui convenir, réellement. Tu te retiens bien de le partager tout ça, parce que pour une fois, tu as un peu de bonheur, tu y as droit, alors tu ne vas pas le refuser, tu vas l'embrasser et en profiter jusqu'à ce que ça te file entre les doigts, mais que ça arrive toujours. Rien n'est éternel. « I think you have some clothes here, but yeah, christmas jumper won't do great at work, even if Sophie is a big christmas fan, I'm not sure about the rest of the people. » Tu l'aimes bien son pull toi, mais effectivement ce n'est pas quelque chose à porter pour aller au travail, si ce n'est le dernier jour avant les vacances, parce que vous mettez vos juniors en vacances pour noël afin de discuter entre vous et de faire la première purge. Heureusement, cette année, vous n'allez pas avoir besoin de virer grand monde, beaucoup d'entre eux sont déjà partis d'eux-mêmes se rendant compte que la charge de travail était trop lourde ou que simplement ce n'était pas ce qu'ils voulaient. Azraël va pouvoir avoir une longue semaine de vacances recouvrant noël et nouvel an. Le bureau ne sera fermé que le premier janvier tout le reste du temps, vous y serez, enfin, il semble que Sophie soit en congés pour Noël, mais c'est bien, elle va pouvoir profiter de sa famille et tu sais à quel point c'est important pour elle. « I'm not sure about that. » Dis-tu soudainement, la coupant dans ses propos, toi, prendre un jour de congés, impossible. Tu pinces nerveusement les lèvres lorsqu'elle en rajoute une couche, te proposant de rester elle ici, avec toi, mais seulement si tu prends une journée de congés. Tu roules des yeux passant tes bras dans le bas de son dos que tu caresses doucement. « It's not that easy for me, if I want a day, unless I'm really sick which never happen, I can't just say it the day before they need me and we're late on a lot of cases, I even have a meeting at five the afternoon... I'm sorry, I can stay a bit more in the morning if you want, but that's all I can do... » Tu es sincèrement désolé, mais tu ne peux malheureusement pas faire mieux et puis, elle apprendra certainement plus tard que tu n'as jamais pris tes jours de congés et que tu travailles, même lorsque tu es malade parce que d'une manière ou d'une autre, tu mets la main sur tes dossiers et tu t'en charges, au bureau ou à la maison. Tu ne sais pas comment t'arrêter, ton travail, c'est ta vie. « But you'll stay tonight, right ? Just the two of us, we can watch one of your movies you wanted me to see and we can get some food, chill on the couch and fall asleep together. » Tu la prends pas les sentiments, mais maintenant qu'elle est là, avec toi, tu n'as pas envie qu'elle te file entre les doigts, tu as besoin d'un peu de repos et bizarrement, tu sais que sans elle, ça ne sera pas possible. |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Ven 15 Déc - 18:03 | |
| Tu aimerais qu’il se pose cinq minutes. Qu’il arrête de travailler le temps d’une journée. Parce que tu vois son visage fatigué, les poches sous ses yeux ne trompent personne. Tu sais qu’il est épuisé. Et tu sais aussi, malheureusement, qu’il ne dort pas aussi bien qu’il ne prétend la nuit et ça te fait mal au coeur. Parce que tu n’as pas envie de le sentir défaillir, tu ne veux pas qu’ils finissent dans un lit d’hôpital. C’est bien simple, tu ne le supporterais pas. T’as le cœur un peu trop fragile pour le savoir dans un lit, perfusé de partout. Et c’est pour ça que u as accepté à demi-mot de dormir avec lui, cependant tu n’as pas envie de te lever a pas d’heures parce que tu dois retourner chercher une robe et tes talons. Parce que clairement dans cette tenue, tu risquerais d’avoir un reproche pour ton manque de tenue. Bien que tu ne comprennes pas pourquoi les gens refusent de dire que les pulls de noël sont une institution et que la grosse tête de cerf à nez rouge est très sympa comme une tenue de travail. Mais bon, s’il le faut tu retourneras chez toi. Même si tu sembles avoir trouvé une toute autre solution. « Yeah, I think there is a lost dress and some lost underwear here in your closet. But an extra rest day is a good idea. » Avec lui surtout. Tu espérais qu’il dise oui. Mais non, sa réponse est tout sauf ce que tu désirais. Tu sens ton cœur qui se compresse un peu, tu es triste. Et un peu déçue mais tu essayes de ne rien montrer. Il est vrai que tu devrais le comprendre mais tu pars toujours du principe que si jamais il attrape une grippe fulgurante en pleine nuit, il peut toujours demander un jour de congés. Alors pourquoi ne le fait-il pas maintenant ? « But... And if you’re sick during the night ? It’s not your fault, is it ? You need some rest Oli... Look at your face... Your exhausted face if you permit. » Tu le regardes et tu fronces un peu les sourcils, pour lui montrer ton inquiétude. Tu as peur pour lui maintenant. [b] « Sophie Can go to your appointment.. But, yeah.. Ok.. Stay with me a bit more in the morning, but don’t leave me before half past nine. » Si tu veux toujours avoir le dernier mot ? Oui. Et tu espères bien qu’il acceptera. Tu lui fais une petite tête en te blottissant contre lui, fermant les yeux tout en humant son odeur. Tu te sens bien maintenant, apaisée au possible. « Yeah I will stay. I want to stay under a blanket with you, your arms around me with a stupid movie in background. And I want you to rest. And I mean it.. don’t leave me during the night. If you don’t feel well, just wake me up and talk to me. » Oui parce que tu sais qu’il ne dort pas des masses la nuit alors tu veux l’apaiser. Tu te mets alors sur la pointe des pieds et tes lèvres se déposent sur les siennes avec une tendresse infinie pendant que tu déposes une de tes mains sur sa joue que tu caresses « Don’t let your demons take you down. You deserve the best » Et tu lui souris avant de l’attirer dans le canapé et doucement passer tes jambes de chaque côté de sa taille. « I need you... » Tu as besoin de lui, qu’il te dise qu’il ne partira pas, qu’il sera tout le temps quand tu douteras, quand ça ira pas, si jamais tu rechutes un jour parce que t’es foutus cachets ne font pas effet. Tu veux croire en lui, croire en toi, croire en vous, tout simplement. |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Ven 15 Déc - 18:59 | |
| Azraël & Oliver So tell me, what do we do now? Tu te doutais bien qu'elle avait des affaires qui traînaient dans les coins, après tout, vous ne vous voyez que chez toi tous les deux, parce que tu sais que chez elle, il y a ses sœurs et ce n'est pas que tu te sentirais mal, mais certainement que oui. Vous êtes bien ici après tout, toi tu es chez toi et elle, bah elle aussi du coup, il n'y a qu'elle comme femme qui est entrée dans ton appartement, même Sophie ne l'a pas encore visité. Faut que tu n'invitais jamais personne chez toi avant non plus, Joan par contre, elle adorait faire des soirées et toi, tu t'amusais aussi, même si ce n'était pas ton domaine, au moins, ses mis avaient des questions très pertinentes sur ton travail et c'était particulièrement plaisant d'y répondre. Enfin, tu n'es pas là pour ressasser le passé, mais pour te rappeler où sont ses affaires que tu as soigneusement rangées et lavées la dernière fois. Tu es bordélique certes, mais pour tes affaires, pas celles des autres, tu en prends soin, du coup, tu ne sais pas si tu as déjà tout rangé ou laissé dans la salle de bain. « I remember you, leaving stuff here, I think I cleaned everything so, we will have to find your clothes after. » Tu passes ta main gauche derrière ta tête que tu grattes, un peu nerveusement, tu ne sais pas si tu devais ou pas. Enfin, maintenant, le mal est fait. Tout comme ta réponse précédente sur la non-possibilité pour toi de prendre un jour de congé et ça, même si tu es malade. Car même avec de la fièvre, tu es du genre à te rendre au boulot sans broncher, certes loin de tout le monde pour éviter de partager les microbes, mais tu ne sais pas t'arrêter. C'est justement si tu ne travaille pas que tu risques de tomber malade. « I know you're worried, but you'll get it, it's my everyday face, sleep is not my friend at all, but I can managed, it's been years since I'm like that and I've never been sick and in the hospital. I'm good, trust me, I can work like this for years and years, but yeah, I can imagine you, being worried, I understand, but you have to trust me on that. I know how far I can go, I know my limits. I'm devoted to my job since a long time. » Tu as une relation privilégiée avec ton travail que tu mets en avant de tout et si elle veut apprendre à t'aimer, elle va devoir passer par-là et tu sais que ça ne va pas être facile, mais tu ne peux pas mentir, pas jouer un jeu et l'écouter, tu as des ordres et des devoirs et tu sais que Paul n'est pas comme toi et vous avez besoin de toi pour ça. « Oh but Sophie is already coming but she has her part of the job and I've got mine. » Tu hausses les épaules, tu ne veux pas que ça devienne trop important cette discussion, tu ne désires pas t'étaler sur ton travail encore et encore, surtout que tu as une vague impression qu'elle ne comprendra pas tout et tu caches bien trop de choses pour te lancer là-dedans. « I'll leave at 10am, sounds good? » Tu lui fais une fleur et puis, après tout, ça ne te fera pas de mal de rester un peu dans le lit, surtout si c'est avec elle, si tu ne dors pas, au moins, tu seras ne bonne compagnie et tu pourras te reposer, te calmer et récupérer des forces qui cruellement commencent à te manquer. Tu n'es pas au bout de tes limites cependant, tu as encore des forces à revendre. « We can even put the movie in the bedroom, we don't have to stay on the couch, let's go right into the bed to be confortable. » Tu as hâte de te poser dans le llit avec elle, se la garder contre toi et de regarder un film tout en mangeant un morceau, même dans le lit, tu t'en fous, tu changeras les draps plus tard, vous nettoierez, c'est pas grave. Tu veux juste te poser avec elle, un instant et oublier ce matin. « I promess I'll do my best. » Tu dis ça, les lèvres pincées, mais tu n'as pas réellement envie de le faire, de la réveiller en même temps que toi, elle ne tiendra pas, tu le sais, tu ne connais personne qui puisse tenir ton rythme infernal et tu ne veux pas la pousser à bout, tu refuses de le faire, mais soit, si tu te sens de la réveiller la nuit, tu le feras, comme elle te le demande. Tu réponds à son baiser doucement avant de te tendre complètement, elle te parle de démons. Si elle savait... Tu souris malgré tout et tu l'embrasses à nouveau, silencieusement, ne sachant pas quoi lui dire si ce n'est changer de sujet. « So what do you wish to see and eat? » Tu prends sa main et tu éteins la lumière du salon direction la chambre à coucher. Tu allumes l'écran plat en face du lit après être entré et tu commences à défaire les boutons de ta chemise pour te mettre à l'aise. |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Mer 20 Déc - 15:50 | |
| Tout ton être est apaisé désormais. Même s’il y a toujours les démons qui dansent sous ta peau, qui dansent dans ta tête, ils sont endormis maintenant parce que vous vous êtes réconciliés. Enfin... tu penses du moins, tu n’en es pas certaine mais au moins, vous ne vous hurler pas dessus pour vous comprendre l’un et l’autre. Non, vous êtes bien, posés. Et puis tu vas dormir ici, alors que tu n’avais pas prévu cela du tout. Avec ton pull de noël, ton jean et tes bottes, tu ne pensais pas une minutes dormir avec lui ce soir. Tu n’as même pas d’argent tu as juste le nécessaire, à savoir ta carte de metro. Mais tu sais qu’il y a des affaires chez lui. Tu en es persuadée, tu as bien du laisser un chemisier, une jupe et des sous-vêtements -ce que tu trouves gênant quand tu y penses- Mais tu ne sais même pas si tu seras d’attaque à aller travailler demain. Tout dépendra de la nuit que tu auras passer et puis Sophia comprendra si tu lui dis que tu as mal dormi, que tu as trop peu dormi et que tu préfères te reposer. Tu n’as pas envie de supporter le regard des juniors qui te regarderont, ceux qui parleront dans ton dos parce que tu auras eu la plus grande soufflante de l’histoire de la soufflante de la part d’Oliver, mais il ne connaîtront même pas la moitié de l’histoire. Ils ne sauront pas que c’était de la jalousie mélangée à une histoire de boulot. « Thank you. I appreciate it even if I think it’s a bit weird and embarrassing to know that you’ve cleaned my underwear » Et tu ris en posant une main sur son épaule pour qu’il ne se sente pas gêné, il n’y a rien aucune gêne à avoir, surtout pas avec toi. Mais ça devient vite tendu ou tout du moins de ton côté parce que tu as peur pour lui. Tu as toujours plus peur pour les autres que pour toi. Alors savoir qu’il et fatigué, qu’il pousse sûrement trop le bouchon, te compresse le coeur. « Promise me, promise me that when you see that you’re overwhelmed or you don’t feel well... promise me that you’re gonna stop and take a day off. » Ca n’est sûrement pas le meilleur moyen pour te rassurer mais tu veux croire en ses mots. La carte Sophie ne marche pas mais tu le regarde en souriant un peu, il faut dire que Sophie est vraiment impliquée dans tout ce qu’elle fait et que ça ne t’étonne qu’à moitié qu’elle soit déjà sur l’affaire. Elle mérite tout le travail du monde mais pas trop, tellement c’est une perle. Jus sa proposition réanime les étoiles dans tes yeux, tu tapes même un peu dans tes mains « Per-fect ! Can’t wait to act like a couch potato in your arms. » Tu ris, dédramatisant la situation et tu lui souris tendrement avant de tenter de lui faire prendre conscience de tout ce que tu ressens pour lui, du fait que tu seras pour lui même si ce sera difficile et tu as conscience de cette difficulté. Tu doutes un peu quand au fait qui te réveillera mais tu ne dis rien et tu te contentes de rester tout contre lui. Ses mots te font du bien et un sourire se fend sur tes lèvres avant que tu ne te laisses attirer dans sa chambre, tu as les souvenirs brûlants qui te reviennent en mémoire et tu ne peux t’empêcher de virer tes chaussures avant de te jeter sur le lit « Don’t know... surprise me. » Tu ris avant de te caler contre un oreiller et tu dis d’une voix un peu mutine « Don’t have anything to sleep... can I borrow one of your shirt ? » a ce tarif la, il va finir sans chemises même si tu t’appliques toujours à lui rendre. Ou du moins a les laisser chez lui. Quand il te rejoint sur le lit, tu souris et tu te cales contre lui, tes lèvres papillonnant sur son cou. « I don’t want to loose you Oliver..» Et tu prends timidement ses lèvres en otage avant de murmurer « I honestly don’t know what you did to me but I can’t... I can’t imagine what my world will be if I loose you. You’re... special. Don’t know how or even why... And I become so chatty. Sorry. Let’s put that dumb movie on the tv before that I will say something dumb again.” |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Ven 22 Déc - 13:43 | |
| Azraël & Oliver So tell me, what do we do now? À nouveau, la situation joue les montagnes russes, entre le sujet amusant et léger de ses sous-vêtements que tu as lavé et son inquiétude à ton égard en lien à ton mode de vie. Elle va devoir apprendre à te connaître et surtout te faire confiance. Ce rythme de vie que tu t'imposes, il n'est pas nouveau cela fait des années que tu fonctionnes comme ça et jusqu'à présent tu n'as pas eu de problèmes, certes, tu es souvent à deux doigts de tomber dans le rouge, mais tu arrives toujours à contourner tout ça. Tu joues avec le feu et tu es plutôt doué pour ça et tu ne désires pas qu'elle se fasse un sang d'encre pour toi parce que tu maîtrises, mais tu te doutes bien que même si tu arrives à la rassurer avec les bons mots elle ne va pas abandonner comme ça et tu ne pourras pas contrôler non plus ses émotions qui vont souvent dans tous les sens, tu en as eu un excellent exemple ce matin dans ton bureau. « I always do my best, you know me. » Tu lui offres un clin d’œil, tu contournes un peu sa question au final, mais si tu devais prendre un jour de congés dès que tu te sens mal, tu ne seras pas souvent au boulot. Tu travailles et tu travailleras dans toutes les conditions possibles, tu t'en fous de te sentir mal, d'être fiévreux, tu préfères forcer les choses que tu restes chez toi à ne rien faire et à laisser ton esprit te perdre en chemin. Tu sais pertinemment ce qu'il se passe lorsque tu es tout seul chez toi et qu tu ne bosses pas, tu reviens en arrière et tu remets en cause toutes tes décisions passées. Combien de fois, tu as vécu ton passé et des moments avec ton frère parce que tu n'avais pas de dossier à ton bureau. Tu ne veux pas que ça se reproduise. Ton sourire s'agrandit un peu plus, tu quittes tes pensées qui commençaient à devenir néfastes et à la place, tu penses à elle, couchée, lovée dans tes bras dans le lit, devant un bon vieux film mielleux. « Surprise you? Well I don't know what do you want to watch and I'm not use to watch movies... » Et surtout de les choisir, tu n'y connais pas grand chose en cinéma, c'était ton ex qui s’occupait de tout avant, toi, tu ne faisais que regarder et tu appréciais plus ou moins ses choix, parce que tu avais décelé à un moment qu'elle avait tenté de trouver tes goûts cinématographiques, mais même si toi, tu ne les connais pas, elle était mal barrée et franchement, tu préfères regarder ce que les autres veulent. C'est plus simple pour tout le monde et tu te souviens qu'Azraël t'avait fait une liste de films la dernière fois. « I've got Netflix, you chose and we watch. » Tu hausses les épaules simplement ne voulant pas te prendre la tête sur le choix d'un film, pas question. « Of course you can. » Dis-tu avant d'ouvrir un placard et de sortir la première chemise qui passe sous tes yeux, tu la lui lances dessus avant que toi, tu te retires la tienne et que tu te glisses sous les draps à ses côtés, n'oubliant pas de prendre la télécommande de la télévision. Tu passes tes mains dans le creux de ses reins et tu la colles contre toi, fermant les yeux lorsqu'elle te parle, enfin, plus des confessions qu'autre chose. Tu te pinces les lèvres avant de lui répondre, maladroitement certainement. « You never say anything dumb come on Az, it's all fine, I don't want to lose you either, we're good together. » Tu la serres un peu plus contre toi, calant tes lèvres dans ses cheveux avant de lui laisses la télécommande qu'elle fasse ce qu'elle désire, toi, tu vas regarder le film et éventuellement elle et peut-être, un peu de chance, dormir. |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. Dim 7 Jan - 21:49 | |
| Tu ne sais pas pourquoi tu t'affole de la sorte quand ça le concerne, tu as peur pour lui et tu ne peux t'empêcher de lui dire, t'empêcher de lui avouer, parce que tu as l'impression que c'est ce que tu dois faire. Lui avouer, ne rien lui cacher, ne pas mentir. Mais est-ce qu'il faut toujours dire la vérité dans des cas comme ça ? Sûrement pas, mais tu ne peux pas t'en empêcher Azraël, le coeur trop guimauve parce que c'est comme ça que tu agis et personne ne pourra malheureusement te changer. Tu tenteras juste de te canaliser au bureau si jamais tu vois qu'il ne va pas bien, tu n'as pas envie de créer une nouvelle esclandre et tu as encore moins envie de le perdre. Ce n'est pas ton but, ni même ton souhait. Tu n'as jamais cru à l'avenir, mais tu as envie de te dire que ton futur sera beau parce qu'il sera à tes côtés. Pour toujours peut-être, ou du moins, pour un temps que tu ne connais malheureusement pas.Ce sera bien de savoir la date exacte à laquelle on pourrait se faire briser le cœur, parce qu'au moins, on peut se préparer à l'éventualité d'un cœur morcelé de toutes parts. Lentement, mais sûrement. Mais tu lui fais confiance, tu sais qu'il ne va pas te briser le coeur, mais toi, tu risques de lui faire, sans vraiment le faire exprès. Mais tu feras attention, tu ne sais pas si tu es prête pour tout ce que cela implique, mais tu es prête. Enfin tu te persuades surtout que tu l'es. « Yes I know you that's why I'm afraid. But I trust you. » Et tu ne manqueras pas de lui rappeler ses mots quand il finira sur un lit d'hôpital, ce que tu ne veux pas, bien évidemment. Mais tout s'efface subitement quand le programme de ta soirée devient clair devant tes yeux, tu aimes être ici, ça change de chez toi, de tes soeurs qui sont tout le temps là; à savoir si ça va. De tes parents qui t'envoient trop souvent des messages. Tu aimes bien être ici parce que tu es apaisée tu te sens toujours soulagée. Et pourtant ce soir c'était bien mal parti. « I'm pretty sure that you have good taste with movies. » Tu lui fais confiance, mais tu te demandes bien s'il a gardé la fameuse liste que tu lui avais faites, pour qu'il découvre tes films préférés mais peut-être qu'il ne l'a pas gardé. Tu ne sais même pas par quoi commencer. Quand il te balance une chemise tu l'attrapes avant de l'enfiler et tu te jettes dans ce lit que tu commences à trop connaître. Tu n'avais pas prévu de dire tout ça mais visiblement, c'est sorti tout seul, comme ça, sans crier gare, sa réponse te tire un large sourire et tu rétorques « Yeah... we're good together. » Tu te cales bien contre lui et tu fermes un peu les yeux un instant, avant d'attraper la télécommande et de choisir un film sur Netflix. « It's when harry met sally one of my favourite. » Tu lançais alors le film avant de rajouter « In that movie someone says : I love that you get cold when it's 71 degrees out. I love that it takes you an hour and a half to order a sandwich. I love that you get a little crinkle above your nose when you're looking at me like I'm nuts. I love that after I spend the day with you, I can still smell your perfume on my clothes. And I love that you are the last person I want to talk to before I go to sleep at night. And it's not because I'm lonely, and it's not because it's New Year's Eve. I came here tonight because when you realize you want to spend the rest of your life with somebody, you want the rest of your life to start as soon as possible. » Et doucement, tu plonges ton regard dans le sien « And I think that I can say that to you. Or maybe. Or not. I don't want to have an argument with you. Never again. » Tu hausses les épaules avant de te recaler contre lui, ne manquant pas de t'endormir dix minutes après le début du film.
fin du rp |
| | | | Sujet: Re: OLIVAEL — lentement, je t’immole. | |
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