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MessageSujet: you look like him ☽ rhys   you look like him ☽ rhys EmptyLun 20 Aoû - 22:07


Rhys & Rosita

Picture perfect memories scattered all around the floor. Reaching for the phone 'cause, I can't fight it anymore. And I wonder if I ever cross your mind. For me it happens all the time. It's a quarter after one, I'm all alone and I need you now. Said I wouldn't call but I lost all control and I need you now and I don't know how I can do without, I just need you now.


Il y avait des jours, sincèrement, où elle détestait ce boulot. Comme aujourd’hui. Elle venait d’effectuer une garde de vingt-quatre heures d’affilées. Elle avait pensé s’en sortir indemne, mais non. C’était toujours dans les dernières heures, quand la vigilance commençait à baisser que les choses se compliquaient. Donc, avec son binôme, ils étaient intervenus dans un quartier peu recommandable, plutôt connu pour être une place tournante des trafics de drogues en tout genre dans cette ville. Pas besoin d’être médecins pour deviner que les symptômes décrits correspondaient à ceux d’une overdose. Une fois sur place, ils n’avaient pu que confirmer le diagnostic. La femme était dans un sale état, visiblement comateuse. Une injection de naloxone plus tard, elle semblait déjà plus consciente. Suffisamment en tout cas pour se redresser et lui vomir dans les cheveux, alors qu’elle essayait de lui poser une perfusion. Autant dire qu’elle avait été plus que ravie de la déposer à l’hôpital et de retourner à la caserne pour prendre une douche. Jamais une douche n’avait été aussi agréable et aussi appréciable. Se défaire de l’odeur de vomi dans ses cheveux n’était pas chose aisée. Même après deux shampoings elle avait encore l’impression de sentir l’odeur. C’était dans ces moments là qu’elle aimait moins son métier. En temps normal, elle l’adorait. Mais quand elle devait venir en aide à des ivrognes ou à des drogués, à des gens qui se mettaient volontairement dans de sales états, elle déchantait rapidement. Certains disaient qu’ils étaient malades, que les addictions en tout genre étaient des maladies. Elle rétorquait que personne ne les avait obligés à en arriver là. Elle aussi avait traversé des moments difficiles. Il y a tout juste quelques semaines, sa petite amie avait cambriolé son appartement et l’avait dépossédé de tous ses biens. Est-ce qu’elle était devenue une alcoolique ou une droguée pour autant ? Non. Et pourtant, ce n’était pas l’envie qui lui manquait de se jeter sur une bouteille entière de vodka et de se noyer dedans.

Lorsqu’enfin elle put rejoindre le loft de Lowen où elle habitait pour l’instant, elle avait l’impression qu’elle était passée sous un rouleau compresseur. Chaque muscle de son corps était douloureux. Depuis qu’elle travaillait comme ambulancière, elle avait découvert l’emplacement de muscles qu’elle ne connaissait que de nom, apprit sur des schémas pendant ses études. Sa douche n’avait pas eu l’effet salvateur désiré. Elle avait clairement besoin de sommeil. Mais avant ça, elle prit le temps de sortir avec son chien pendant une bonne demi-heure. Le jeune border collie avait besoin de se défouler, il était encore petit et aimait faire des bêtises. Elle s’en serait voulu qu’il abime l’appartement de Lowen parce qu’elle ne le sortait pas assez. Déjà qu’elle s’était incrustée chez lui sans lui demander son avis et qu’il était assez sympa pour ne pas la mettre dehors, en attendant qu’elle ne retombe sur ses pattes, elle allait éviter de laisser son chien détruire ses meubles. Elle n’avait pas ce genre de problème, dans son ancien appartement. Elle ne possédait rien, de toute façon, alors rien ne pouvait être abimé. Et le peu qu’elle avait, son ex le lui avait volé. Sur le chemin du retour, elle se rendit compte qu’elle mourrait de faim et composa le numéro de téléphone de la pizzeria qu’elle gardait précieusement dans son téléphone. Il était encore un peu tôt pour commander à manger, mais même à onze heures du matin, une pizza ne serait pas de trop. Et puis, elle savait que si elle téléphonait avant la forte affluence, elle aurait la chance d’avoir sa pizza juste après être rentré de la promenade avec Frimousse. D’ailleurs, lorsqu’elle regagna le loft, quelqu’un entra avant elle et elle fut surprise de le voir s’arrêter devant la porte de Lowen. « Vous avez fait vite », commenta-t-elle, plutôt surprise. Quoi que … à y regarder de plus près, ce mec n’avait pas la dégaine d’un livreur de pizza. Trop classe. Et puis, il n’avait pas la casquette traditionnelle. D’ailleurs, ça ne sentait pas bon la pizza dans tout le couloir non plus. « Et vous n’êtes pas le livreur de pizza, d’ailleurs. Désolée », ajouta-t-elle, gênée. C’était bien elle ça, de mettre les pieds dans le plat. N’empêche que voilà, il y avait un homme devant la porte de chez Lowen. Devant sa porte. Et elle voulait rentrer chez elle. Elle sortit donc les clés de sa poche et ouvrit la porte à Frimousse qui se précipita à l’intérieur. « Lowen n’est pas là », fit-elle remarquer. Parce qu’elle ne voyait pas pourquoi cet homme lui aurait rendu visite à elle, donc c’était forcément pour Lowen. Personne ne savait qu’elle habitait ici pour l’instant. Et de toute façon, cet homme était beaucoup trop classe pour lui rendre visite à elle, c’était une certitude.
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Rhys ZimmerFriendship is easier made than kept
Rhys Zimmer
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MessageSujet: Re: you look like him ☽ rhys   you look like him ☽ rhys EmptyDim 26 Aoû - 15:05

Rosita & Rhys
 
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Ca n’était pas trop le genre de la famille; les visites de courtoisie. Dieu seul sait que ses parents ne s’étaient jamais attardé sur le perron d’un domicile qui était le sien. Des résidences temporaires et ouvertement luxueuses qui n’avait jamais été cohérente avec l’idée d’un repas de famille où se retrouver et prendre des nouvelles les uns des autres. Rhys lui-même rendait rarement visite au domicile familial, là où il avait brièvement vécu avant de tout envoyer valser et partir tenter sa chance à Los Angeles. Encore maintenant, alors qu’il vivait dans la même ville, peinait-il à se présenter devant cette foutue porte. Il y avait trop d’histoire derrière eux. Trop de souvenirs pour cimenter l’illusion qu’ils étaient doués pour se comporter comme une vraie famille. Et c’est un schéma qui se répétait à tous les niveaux. Rhys ne rendait pas plus visite à son frère ou à sa sœur; eux qui avaient pourtant, jadis, partagé une toute autre forme de solidarité. Qu’ils se retrouvent tous dans la capitale à cet instant précis de leur vie paraissait tout aussi absurde que terrifiant.  Rhys s’était toujours plus à les aimer à distance. Car il les aimait malgré tout, avec pudeur et maîtrise, rien de viscéral qui le laissait ému ou nostalgique. Ça n’était juste pas leur genre. Ils avaient tous finis par se retrouver il y a peu. Un coup du sort. L’accident d’un père qui les avait tous rassemblé dans une même chambre d’hôpital. Peut-être que Rhys se faisait plus sentimental en vieillissant, mais entre le discours grognon de son paternel et le visage amoché de son frère, il s’était résolu à faire plus d’efforts. Ce n’est pas comme si la vie qu’il avait vécu jusque-là lui avait fait beaucoup de faveurs. Peut-être était-il temps d’essayer une autre méthode, d’arrêter de fuir sa famille et de prendre quelques foutus secondes pour en profiter maintenant qu’ils étaient tous là. C’est pourquoi Rhys était là, à profiter d’un jour sans répétitions ou représentations pour voir si son petit frère ne se sentait pas de lui offrir un verre. Lowen avait toujours été son allié privilégié. Les deux garçons de la fratrie, pas si éloignés en âge l’un de l’autre; un front solidaire face à la douce négligence de leurs parents. Rhys se souvenait de sa vingtaine, de la fougue et de l’espoir qu’il avait lorsqu’il croquait la vie à pleine dent et s’imaginait la Californie comme le paradis sur Terre. Entre deux auditions ou tournages, lorsqu’il venait se ressourcer au vignoble de son frère, à lézarder entre les vignes sous le soleil, il en était convaincu. Il n’était même pas sûr que Lowen soit chez lui. Il n’avait pas prévenu de son arrivée, là où son frère aurait pu trouver milles excuses pour l’en dissuader. En s’approchant de la porte, Rhys était même certains qu’il n’était pas là, trop occupé avec son nouveau restaurant ou à flâner ailleurs, mais ça n’était pas bien grave. Il s’agissait d’un simple détour, rien qui allait gâcher sa journée s’il s’apprêtait à faire demi-tour. Il toquait à la porte lorsqu’une voix féminine l’interpella. Il se retourna. Brune, les traits creusés par la fatigue et un chien excité à ses pieds, la jeune femme s’exprimait sans qu’il la comprenne. Fait vite? Il ne l’a connaissait ni d’Eve ni d’Adam. Puis elle s’expliqua et Rhys haussa les sourcils. « Clairement pas, non » railla-t-il, un tantinet offusqué. Sa vanité n’avait d’égal que sa grande capacité à se vexer pour tout un panel de chose, si bien qu’il prit sur lui pour ne pas pointer tout ce qu’il le différenciait d’un livreur de pizza. A commencer par: ne savait-elle pas qui il était?! Mais Rhys avait depuis longtemps appris à savourer ces moments où son anonymat était garantie. Le revers de la médaille de la célébrité. Le quiproquo lui fit un instant oublier où il se trouvait, jusqu’à ce que la jeune femme sorte ses clés, ouvre la porte devant laquelle il se trouvait, et lui annonce que Lowen n’était pasl là. Rhys resta un instant muet, le temps d’ingérer toutes ces informations avant de perdre toute patience.  « Ok. Vous êtes qui? » demanda-t-il, confus et agacé par l’imprévu de la chose. Il détestait ne pas avoir toutes les cartes en mains et passer pour un idiot. Il connaissait son frère un minimum, et il n’arrivait décemment pas à partager son espace avec quelqu’un, que ce soir une amie, un coup d’un soir ou même une copine! Pas au point où elle se verrait confier un double des clés et la liberté d’y traîner son chien. Mais une nouvelle fois, il n’avait jamais pu prédire les comportements de son Lowen Zimmer.
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MessageSujet: Re: you look like him ☽ rhys   you look like him ☽ rhys EmptyMar 9 Oct - 10:23


Rhys & Rosita

Picture perfect memories scattered all around the floor. Reaching for the phone 'cause, I can't fight it anymore. And I wonder if I ever cross your mind. For me it happens all the time. It's a quarter after one, I'm all alone and I need you now. Said I wouldn't call but I lost all control and I need you now and I don't know how I can do without, I just need you now.


Depuis toute petite, Rosita avait la fâcheuse tendance de mettre les pieds dans le plat. C’était plus fort qu’elle, le tact ce n’était pas son truc. Cela lui avait souvent causé bien des problèmes d’ailleurs et bien qu’elle se soit souvent donné pour bonne résolution de cesser de faire des gaffes à longueur de journée, chassez le naturel, il revenait au galop. Alors oui, la jeune femme s’était bien rapidement rendu compte qu’elle avait mit les pieds dans le plat avec cet homme. Ça paraissait assez logique qu’il n’était pas livreur de pizzas. Il était bien trop chic, bien trop classe pour être un livreur de pizzas. Mais en même temps, Rosie n’attendait personne, hormis son précieux plat qu’elle allait dévorer avec gourmandise avant de se laisser mourir dans son lit. Elle dévisageait donc cet inconnu sans le moindre scrupule, se demandant pourquoi est-ce qu’il venait chez elle. Enfin chez eux. Enfin surtout chez Lowen en fait, si elle prenait le temps d’y réfléchir, parce qu’elle ne voyait pas bien comment elle pouvait avoir un rapport avec cet homme super chic, de prêt ou de loin. Pourtant, Rosita demeurait persuadée que son visage lui était familier, sans arriver à situer son minois où que ce soit. Elle fronça les sourcils et haussa finalement les épaules, décidant qu’elle s’en fichait. « Désolée, j’attendais ma pizza », se contenta-t-elle de répondre, en guise d’explications. Ça va, ce n’était peut-être pas la peine de s’offenser pour si peu. Il n’y avait rien de mal à livrer des pizzas qu’elle sache, c’était même un métier très respectable, puisqu’il procurait beaucoup de plaisir aux gens. En tout cas, à elle, la simple vue d’un livreur de pizzas lui procurait déjà du plaisir, rien qu’à s’imaginer croquer dans la pâte croustillante pour savourer le goût exquis de la sauce tomate et des autres ingrédients. Rien qu’à y penser, son ventre se mit à gargouiller. Mais visiblement, elle n’allait pas étancher sa faim tout de suite. En revanche, la brune, après vingt-quatre heures de garde, n’aspirait qu’à la tranquillité. Aussi, après avoir laissé rentrer le chien, qui était immédiatement allé se vautrer sur le canapé, elle prit soin d’indiquer à son interlocuteur que Lowen n’était pas là. L’homme sembla d’ailleurs perdre patience et Rosita fronça les sourcils. En général, avec les patients qu’elle était amenée à fréquenter tous les jours, la jeune femme était capable d’encaisser. Mais pas aujourd’hui, alors que la fatigue se faisait ressentir et que son interlocuteur se montrait aussi grossier. « Pardon, mais vous êtes ici chez moi, c’est plutôt à moi de vous demander qui vous êtes », siffla-t-elle entre ses dents, passablement irritée par le comportement de l’inconnu. Comment était-ce possible d’être aussi grossier ? La jeune femme se redressa et croisa les bras sous sa poitrine. Elle était énervée. Mais elle savait aussi que cet homme n’était pas là pour elle et elle s’en serait voulu de se brouiller avec un homme qui comptait peut-être pour Lowen. Vu tout ce qu’il faisait pour elle, la jeune femme ne pouvait décemment pas le laisser tomber. « Enfin, je ne suis pas chez moi chez moi. Mais quand même », corrigea-t-elle. Ce qu’elle était en train de dire n’avait ni queue ni tête. Elle sentait ses joues s’empourprer, consciente de sa bêtise. Après un soupire, elle se redressa d’avantage, faisant face à cet homme et à toute l’arrogance qui semblait se dégageait de lui. A moins qu’elle l’avait déjà mal jugé, en quelques secondes à peine. « Je m’appelle Rosie. Je suis la femme de Lowen. Et vous, vous êtes ? », demanda-t-elle, avec un sourire passablement ironique. Elle était certaine que cette information, il ne l’avait pas vue venir. Et techniquement parlant, même si c’était vrai, c’était totalement petit et puéril de se présenter de la sorte. Elle ne l’avait jamais fait par le passé. Pourquoi l’aurait-elle fait d’ailleurs ? Elle aimait les femmes, griller ses chances en annonçant clairement qu’elle était mariée aurait été stupide. Sans se défaire de sa mauvaise attitude, Rosie continua à l’observer des pieds à la tête. Une nouvelle fois, cette impression de familiarité la saisie. Est-ce que c’était l’un de ces riches entrepreneurs ayant fait une overdose à Downtown, lieu où elle était souvent obligée d’intervenir ? Quelque chose lui disait que non, mais on ne savait jamais. « Votre visage m’est familier. Vous êtes sûr qu’on ne se connaît pas ? », demanda-t-elle. Bon en tout cas c’était sûr que ce n’était pas le livreur de pizzas
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MessageSujet: Re: you look like him ☽ rhys   you look like him ☽ rhys EmptyMer 14 Nov - 21:28

Rosita & Rhys
 
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Une nouvelle fois, Rhys n’était clairement pas en train de se faire une amie s’il en jugeait par l’expression pincée que lui renvoyait la jeune femme, mais c’était loin d’être son objectif premier. Il se moquait pas mal de sa pizza et de la mauvaise journée qu’elle venait sans doute de passer; tout ce qu’il voulait savoir c’est qui elle était et ce qu’elle faisait là. Pour une fois qu’il faisait l’effort de venir voir son frangin, Rhys se trouvait grandement décontenancé par la manière dont les choses se déroulaient. Il était à peu près sûr qu’il se trouvait dans le bon immeuble et devant la bonne porte, mais encore une fois, pouvait-il être certains que Lowen se serait pris la peine de le prévenir s’il avait déménagé? Sans doute pas. La communication n’était pas une force chez les Zimmer. Trop fier pour confirmer l’adresse face à cette jeune femme qui lui tenait tête, il préféra rester dans son ignorance partielle et insister. Son interlocutrice ne se laissait cependant pas démonter, les bras croisés sur la poitrine et la voix ferme. Il resta con un instant lorsqu’elle déclara qu’il s’agissait de son domicile. « Chez vous? » répéta-t-il, à la fois confus et prudent. Et merde, il s’était trompé. Rhys jugea préférable de foutre le camp sans répondre à sa requête, histoire de préserver son honneur et éviter qu’un magazine à scandale ne relate plus tard l’aventure d’un acteur venu harceler une citoyenne exemplaire au pas de sa porte. Puis elle continua de parler; un petit détail qui remettait de nouveau tout en question. Rhys ne suivait plus rien. « C’est chez vous ou non, bordel? » s’emporta-t-il, exaspéré face à ce manque de réponse claire, jusqu’à ce que enfin – enfin – elle fit l’effort de donner des détails qui achevèrent de le rendre muet. La bonne nouvelle? Il se trouvait bien devant chez son frère. La mauvaise? Cet enfoiré s’était apparemment marié sans prévenir personne. Rhys resta pantois un instant, balayant du regard cette inconnue qui – si elle disait la vérité - était mariée avec Lowen et vivait avec lui. C’était assez inconcevable malgré les preuves qui s’accumulaient sous ses yeux. « Sa femme » répéta-t-il d’une voix blanche, puisque faire le perroquet était apparemment la seule chose dont il était capable à présent. « Et bien, Rosie, je suis votre beau-frère apparemment » répondit-il une fois qu’il eut repris contenance.  Quel concept. Rhys se demandait si Lowen avait été assez stupide pour épouser la première belle paire de jambes qu’il avait croisé, ou si la jeune femme était assez exceptionnelle pour faire du Chef un homme capable de la moindre vie domestique. « Rhys Zimmer » se présenta-t-il officiellement en lui tendant une main. « Vous avez dû me voir dans un film » ajouta-t-il pour répondre à sa question, avec la fausse nonchalance caractéristique des personnes bien trop fières de leur parcours. Il se demandait si Lowen avait mentionné son existence à sa dulcinée ou pas du tout.
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MessageSujet: Re: you look like him ☽ rhys   you look like him ☽ rhys Empty

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