Promis, ça va aller avec Damdam auprès de toi. + Lysandre.

« Oh ça je sais que ça t’excite…Tu résistes jamais bien longtemps à certains cons. »  Je souriais alors en coin à ses mots. J’adore les cons, c’est quelques choses qui rend du peps dans la vie. Si j’aurais en face de moi toujours des personnes qui n’osent pas faire quelque chose, qui garde tout pour eux, je crois que je serais déjà mort et enterré. C’est vrai quoi, je m’ennuierais à mort ! Faut pas exagéré non plus. Bon après, je le conçois que certains peuvent être timides, cela ne me dérange pas mais bon, un jour ou l’autre, faut savoir se sortir les doigts du c… . Vous m’avez compris. Puis, bien évidemment, je savais qu’il parlait de lui. Je suis peut-être con aussi, mais pas débile. J’ai de la matière grise. J’ai quand même était à la fac et réussi mes années. J’ai juste tout stoppé car ça me saouler plus qu’autre chose. Résultat… Mes parents m’ont mit à la porte pour découvrir ce que c’est la vie.  Ils ont réussi après tout. J’ai tout appris par moi-même et à leur grande surprise, j’ai réussi à m’en sortir. « Avec toi,  à ma grande surprise, j’arrive à résister. Bon, c’est assez compliqué car dieu sait que j’aimerais bien t’arracher les vêtements là tout de suite et repasser une bonne soirée en ta compagnie. Elles sont toujours exquises. » Disais-je en faisant un jeu de sourcils. Je ne savais pas vraiment si s’était une bonne idée de parler de ça, mais tant pis, je me suis lancé après tout.

« Hmmm…Je savais que t’étais possessif, mais à ce point. Ça me flatte. »   Et je ne doutais pas de ses paroles. Je savais qu’il adorait qu’on s’intéresse à lui. A force de le côtoyer, je commencer à bien le contraire. Fin, autant dire, que je le connaissais par cœur, que ça soit sa façon d’être ou son physique. J’ai parcouru chaque parcelle de son corps à plusieurs reprise et on a souvent discuter aussi, ce qui fait qu’on a pas de secret l’un comme l’autre. C’est sûrement pour ça qu’on a commencé une belle amitié. Une amitié qui me tient à cœur malgré cette tension sexuel qui nous envahissait souvent. «   J’aime te flatter mon beau. Il y a rien de mieux que de voir ton petit sourire malicieux comme ça. » Puis, je saisi son verre et le nettoie avant de le ranger, ainsi que la bouteille. « Oh, mais tu sais que moi aussi j’ai toujours été libre. Même avec toi. » Je souris en coin à ses mots. Je le savais bien et autant dire que je m’en moquer un peu puisque dans le fond, je savais qu’il ne revoyait pas vraiment ses autres amants. C’est simplement une coucherie et hop, on n’en parle plus. Du moins, assez souvent. Hors, pour nous, ça n’a pas été le cas. On en redemandait toujours jusqu’à maintenant, ou on s’est calmé. «  Néanmoins, il n’y a pas meilleur que nous. »

Je le suivais jusqu’au bar, contemplant ses jolies petites fesses dans ce jeans qui lui va parfaitement. Cette Roxane l’habillait bien visiblement. Les vêtements le mettait bien en valeur, j’adorais ça. « Je sais que t’arrives à bien les placer. Tu me l’a prouvé plus d’une fois. » Je ricane alors à  ses mots, prenant une grande respiration pour calmer mes ampleurs. Il y avait cette tension électrique entre nous qui devenait un peu dangereuse. « Je sais pas trop quelle queue prendre. » Lorsqu’il s’approche de la sorte contre moi, et qu’il me regarde avec ses yeux envieux, c’était quelque chose que j’adorais. Je viens le faire reculer jusqu’au billard, pour le bloquer contre ce dernier alors que je laissais mon regard plongé dans le sien. «  Je reprendrais bien la tienne moi, mais je risque d’y reprendre goût et de ne plus m’en passer. » Je souriais en coin en me reculant. Dans le fond, j’aimais bien le rendre dingue et m’extirper ensuite rien que pour le faire grogner un peu. « Bon, on joue ? » disais-je avec un large sourire sur les lèvres.

« Evidemment que t’en as envie. T’en as toujours envie quand tu me vois. Et tu peux pas me faire croire le contraire, j’te connais tellement bien, surtout quand t’es excité. » Je pinçais mes lèvres lorsqu’il s’est approché de ma personne, et murmurer ces mots dans mon oreilles. Il me chauffait à me dire des choses pareils et de cette façon en plus. Il prenait des grands risques car je pourrais, sans gêne, le déshabiller et le prendre là maintenant. Qu’importe qu’il y a des fillettes encore ici, au moins, elles auront un film porno en live. Bon, si elle reste, ce qui pourrait me faire croire qu’elles sont coquines, car bon, faut avoir du cran à leur âge pour regarder deux personnes couchés ensemble sans participé. Mais en effet, il me connaissait bien ce petit Lysandre. J’aurais toujours envie de lui, et là, en ce moment, j’avais envie de lui, je ne pouvais pas le cacher. Mas c’est de sa faute après tout, il n’a pas qu’à être aussi sexy et envieux comme ça… Quoi que, je le cherche aussi. Donc, c’est de la faute à tous les deux. « En effet, en effet… Je ne le cache pas ! Mais, mon cher ami, tu es tout aussi excité, je pourrais en mettre ma main à couper ! Ce corps de rêve te fait toujours envie. » Disais-je en désignant mon corps de mes mains. « Ah ouais ? Tu parles de…ce sourire-là ? » Je posais mes mains sur sa taille lorsqu’il enroule ses bras autour de mon cou, puis je souris en coin à la vue de ce sourire. Puis, je le serre doucement contre mon corps. « Ouais.. Tu m’cherche ? Parce que je ne vais pas contrôler bien longtemps paupaul tu sais. » Disais-je en riant doucement. Puis, je dépose un baisé sur le bout de son nez en le regardant dans les yeux à mon tour.

Puis, il vient saisir ma main pour la posé sur son bassin. J’avais bien envie de la descendre un peu plus bas pour la sentir de nouveau, pour la caresser et faire plein de chose avec. Le jeu devenait assez dangereux, il fallait que je reprenne mes esprits. « Elle te manque hein. » Je hoche la tête. De toute façon, si je disais non, ça serait mentir et il le serait. Il savait très bien que ça me manquer nos moments ensemble et je sais que ça lui manque aussi. On ne ferait pas ça sinon. Je viens murmurer auprès de son oreille comme il aime bien le faire avec moi. « Ouais, elle me manque.. Rappelle moi pourquoi on a cessé de nous faire plaisir tous les deux ? Parce que sérieusement, on a vraiment été con. » Disais-je en venant mordiller le lobe de son oreille avant de me détacher. « Si t’es prêt à te prendre une branlée, ok" Je souris en coin en secouant la tête. « C’est toi qui va te prendre une branlée ! Aller, commence, montre moi tes talents, vu que tu en as, à ce que tu dis. » Disais-je d’un air taquin.

« Ce corps de rêve ? Tu t'avances pas un peu trop vite là ? Si ça se trouve tu me faisais tellement peine que j'ai couché avec toi. » Je riais alors à ses paroles. Il pouvait donner toutes les excuses du monde, je savais qu’il n’en pensait pas un seul mot. Je lui plaisais, je le savais. Tout comme lui, me plaisait. On a été fait pour se rencontré, on ne pouvait pas se le cacher alors autant être honnête l’un envers l’autre. Néanmoins, le fait qu’on est tout arrêté, ça ne nous a pas aidé. Loin de là… bien sûr, si j’avais accepté, c’était parce que je savais que si nous continuions notre relation, on finirait par être dépendant l’un de l’autre. Lui comme moi, nous ne voulions pas ça. Puis, je ne voulais pas faire du mal à mon ami, je voulais garder notre complicité intacte. Pourtant, nous voilà à nous chercher, à nous titiller, à nous draguer carrément. C’est comme si, on revenait à la case départ sans qu’on termine l’un contre l’autre à faire l’amour. Mais bon sang.. Qu’est-ce qui me manquer. J’avais envie de le toucher, de l’embrasser. « Chut chut, je sais que mon corps te plait. Tu n’as pas couché par dépit avec moi, tu as couché avec moi, à nombreuuuuses reprises car on se plait mutellement. Et je te plais toujours. » Je pose mon regard sur ces jeunes qui partent, puis je vais demander à l’autre barman si elles avaient payés. Quand la réponse fut positive, je vais fermer la porte du bar à clé. « comme ça, on sera tranquille ! » Disais-je en ricanant.

Lorsqu’il se moque de moi, je lui donne une petite tape à l’épaule en lui tirant la langue d’une façon enfantine. « Eh, tu moques pas de moi ou j’te boude ! » Disais-je d’un air grognons, tout en croisant les bras pour faire semblant de bouder. « Alors laisse le se montrer, que je vois si il est aussi vigoureux qu'avant, c'est que tu vieillis mine de rien » Je gardais alors ma moue boudeuse à ses mots. Il savait que je n’aimais pas qu’on me traite de vieux. Je n’avais pas encore de cheveux blancs et j’en été fier. Certes, je prenais de l’âge, mais je gardais toujours ma beauté. Je ne voulais pas vieillir, j’avais peur de vieillir. Peur que tout d’un coup, on me voit comme un vieux papy. Je ne voulais pas ça… Pas maintenant. Je frémissais néanmoins à ses gestes, venant cambrer mon bassin contre le sien lorsqu’il s’éloigne de moi. S’il jouait avec le feu, je pouvais en faire de même. « J’t’emmerde, il est toujours aussi actif et vigoureux ! » Je lui donne un petit coup de reins, tout en restant grognon.

« J'en sais rien, j'crois que je voulais pas m'attacher à quelqu'un à ce moment là, tu me connais, j'ai besoin d'être libre. Et toi...Tu me changeais trop, j'aimais pas ça. » Je souris à ses mots, venant caresser le long de son dos du bout des doigts. Je comprenais ce qu’il voulait dire et dans le fond, je ne voulais pas non plus être dépendant de quelqu’un à l’époque. « Ouais.. On a sûrement fait le bon choix, on se changeait trop mutuellement. » Je viens déposer un doux baisé sur son front en souriant. Puis, je le laisse aller jouer en souriant avec amusement. « Avec plaisir, tu verras que je manie bien ma queue. » Je ris en roulant des yeux amusée. J’en profitais alors pour admirer son joli postérieur. « J’ai pas besoin de voir, je le sais déjà mon beau. Tu l’as manie parfaitement même. » Je souriais en coin en regardant ton coup. « Ouais… Pas mal.. Pas mal.. »