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 (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)

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MessageSujet: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptyMer 7 Nov - 22:39

JOAN
&
BENJAMIN

Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins.
Retour sous la pluie, retour à l’automne. Le soleil, la chaleur, la plage, tout ça, c’est fini. Mais ça ne te fait pas grand-chose d’avoir laissé tout ce petit paradis à l’autre bout de la terre, car tout simplement tu vas retrouver celle que tu pourrais appeler Mon soleil. Petit sms envoyé pour la prévenir de ton retour mais surtout pour l’inviter à manger. Tu veux la retrouver, l’aimer, la chérir et la combler. Tu veux lui prouver à quel point elle t’a manqué. Alors tu t’acharnes au travail, réalisant les meilleurs plats que tu sais faire. Petite musique en fond pour donner le ton à cette soirée qui risque d’être charnellement endiablée. Elle n’a plus qu’à arriver, te sauter dans les bras et se laisser embarquer dans tes draps.
Ayant encore un peu de temps devant toi, tu laisses mijoter ton plat pour aller prendre une douche mais surtout faire du rangement dans cet appartement que tu as laissé en bordel au moment de ton départ. Tu aurais du le faire avant de partir mais tu avais trop la tête ailleurs. Ce nouveau boulot te stressant énormément. Enfin te stressait. Maintenant, cela va beaucoup mieux, ta petite équipe de collègue t’adore et tu fais complètement partie du groupe, profitant à fond de ce voyage qui rime avec travail. Plein de petites choses que tu hâtes de raconter à la femme qui illumine ta vie. Tu veux lui montrer tous ces paysages, tous ces animaux rencontrés pendant cette trop courte semaine.
Habillé, propre et bien coiffé, tu attends ta dulcinée. Tu as éteins le feu de peur de tout faire cramer. Ne sachant pas trop vers quelle heure la demoiselle va arriver, tu ne veux rien risquer. Petit coup d’œil vers le tiroir où contient une petite surprise pour Joan, espérant qu’elle lui plaira. Puis l’interphone retentit. Sonnerie qui signale le début de ce diné entre amis ? En amoureux ? Tu sais pas trop encore mais ce soir sera surement le moment de tout dévoiler. Tu lui ouvres la porte d’en bas puis attends qu’elle rejoint le deuxieme étage, la porte de ton appartement ouverte. Et enfin elle apparait. Envie de lui caresser la joue, de lui tirer un peu et de lui ordonner de se déshabiller, mais tu te tiens tranquille. Tu l’accueilles avec un grand sourire. "Bonsoir toi !" lui lances-tu alors que tu t’écartes pour la laisser rentrer. Pour l’instant, tu te contrôles mais très vite l’envie de l’embrasser reprend le dessus, la collant contre le mur pour venir redécouvrir ses lèvres pulpeuses et délicieuses.
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MessageSujet: Re: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptyVen 9 Nov - 0:01


Smartphone qui sonne. Message reçu. Tu attrapes ton téléphone timidement. Durant trente secondes, tu restes bouche bée. Il est de retour. Benjamin est de retour à Washington et il veut que tu passes chez lui. Ni une, ni deux, tu lâches ton smartphone sur ton canaé et files te préparer. Douche rapide. Euphorique, tu sautes partout. Tu danses, tu chantes. Tu commences par te maquiller. Depuis quelques jours, tu as ressortie ton maquillage. Après t'être perdue, tu as retrouvée ta voie. Tu as repris ton travail en tant que makeup artiste. C'est vraiment ton truc. T'adores ça. Tu fais un maquillage légèrement chargée. Pas trop non plus. Tu ne voudrais pas ressembler à un camion volé. Tu bouches quelques mèches de cheveux. Tu n'arrives pas à croire qu'il est de retour. Ça fait déjà une semaine. En réalité, t'as l'impression que cela fait bien plus de temps que tu ne l'a pas vu. Tu as envie de te blottir contre lui. De te retrouver dans ses bras. De le sentir près de toi. De sentir ses lèvres contre les tiennes. Et, aussi, de le sentir en toi. D'ailleurs, tu vas devoir lui dire ce qu'il s'est passé avec Jason. Comment va-t-il le prendre ? T'espères qu'il ne t'en voudras pas. Après tout, vous n'étiez pas un couple. Debout devant ta penderie, tu attrapes une robe noire. Nouvel achat dans ta garde robe. D'ailleurs, tu as tout jeté tes anciennes affaires. Ou presque. Terminée les fringues moulantes. Tu continueras à t'habiller sexy mais uniquement pour Drill. C'est lui que tu veux. C'est lui que ton coeur a choisi et t'es bien décidé à lui dire ce soir. T'enfiles donc ta robe après avoir choisis des sous-vêtements noirs, en dentelle. Il te semble bien que ce sont les préférés du jeune homme. T'enfiles une jolie paire d'escarpins. Long manteau, écharpe et sac à la main. Tu appelles un taxi pour te rendre chez l'homme de ta vie. Tu stresses. T'as peur de le revoir. Tu te demandes comment cela va se passer. Néanmoins, t'es heureuse de le revoir. Il t'as tellement manqué qu'il est exclu que tu ne dormes pas chez lui. Même sur le canapé, ça ira.
Arrivé en bas de l'immeuble. Benjamin t'ouvre la porte. Tu grimpes les marches. Tu as enlevé ton manteau et le tiens au bras. Sur le pallier, il est là. Tu souris en le voyant et te mords la lèvre inférieur. "Bonsoir ! T'es très beau !" Lui dis-tu. Tu es tout à fait sincère. Tu rentres chez lui. Ça fait des lustres que tu n'as pas passé la porte de cet appartement. Et ça te manque tellement. Manteau sur le haut du canapé. Sac dans l'entrée. Tu n'as même pas le temps de dire quoi que ce soit que Benjamin vient t'embrasser. Plaquer contre le mur, tu es pris au piège contre lui. Impossible de bouger, de se débattre. T'as pas envie de te débattre. Tu le laisses t'embrasser. Tu prolonges même le baiser et laisses tes mains parcourir les cheveux du jeune homme. Tes mains viennent glisser sur les fesses musclées du jeune homme. Tu n'as pas envie que ce moment s'arrête. Pourtant, il le faudra bien. Tu prolonges au maximum ce baiser. C'est au bout de deux minutes que le baiser s'arrête. Tu restes tout de même dans ses bras. "Waouh ! Tu sais bien accueillir les femmes. Mais j'ose espérer qu'il n'y a que moi que t'accueilles que comme ça !" Tu le taquines mais, au fond, t'es très sérieuse. Tu es assez jalouse comme femme. Tu ne supporteras pas qu'une autre femme vienne s'approcher de ton homme. Parce que oui, Benjamin est à toi. Ça fait déjà un an que vous vous tournez autour. Il serait temps de briser la glace, non ?! "C'était comment Bali ? Jveux tout savoir, je te préviens. Jt'ai manqué." Tu viens t'assoir sur le canapé en attendant qu'il te rejoigne.
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MessageSujet: Re: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptyJeu 22 Nov - 1:09

JOAN
&
BENJAMIN

Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins.
La femme aimée est devant toi, habillée dans sa robe noire moulante, sublimée avec des escarpins noirs. Tu ne rêves pas, c’est bel et bien ta femme qui se trouve devant toi. Rayon de soleil même dans la nuit noire. Sourire qui s’étire sur tes lèvres alors qu’elle arrive vers toi. Tu profites du bruit de ses talons sur le sol du couloir, image digne d’une pub de parfum. Silhouette envoutante qui pourrait damner un saint. Et enfin quand tu peux sentir son parfum, découvrir les paillettes qui colorient ses paupières et sa bouche rouge tel des fleurs printanières, tu l’embrasses passionnément. Tu ne réponds même pas à son compliment, tu as besoin de la toucher, de la retrouver physiquement. Les mots seront soufflés, plus tard, dans le creux de son oreille quand vous serez tous les deux essoufflés par un corps à corps endiablé. Cependant la jeune femme en décide autrement, rompant le baiser pour récupérer, il faut dire que tu n’y as pas été de main morte, tu l’as complètement plaquée contre le mur, surement pas peur qu’elle s’évapore sous tes yeux. "Tu es magnifique…" murmures-tu à ce moment là avant de rajouter. "Tu es la seule…" Bien sûr qu’elle est la seule, et ce depuis un an, depuis votre rencontre. Il n’y a plus qu’elle dans ton cœur mais aussi dans ta vie. Tu lui caresses doucement la joue avant de te décider à te décoller pour qu’elle puisse respirer mais surtout rentrer complètement chez toi. Après tout, vous n’allez pas passer la soirée dans le couloir.  
Celle qui a volé ton cœur veut connaitre les aventures que tu as vécues loin d’elle. Elle souhaite parler de Bali et cette semaine de travail complètement folle. Il y a tant de choses à raconter, tu ne sais pas trop par où commencer. Tu passes ta main dans tes cheveux avant d’aller dans la cuisine pour récupérer les cocktails que tu as préparés. "C’était ouf ! Magnifique mais il manquait un petit détail dans le décor ou sur les photos… Il manquait toi…" Il est clair que Joan aurait été sublime au milieu de tous ces décors paradisiaques. Sirène parfaite. "La prochaine fois, on ira tous les deux !" Comme tous les prochains voyages que tu feras, elle sera avec toi. Tu veux pouvoir lui tenir la main dans les rues de Venise ou encore sur la plus belle avenue de Paris. Tu veux la faire rêver en la faisant voyager. Tu t’assois sur le canapé après avoir tout mis sur la petite table basse et soupires légèrement avant de continuer de raconter tes aventures. " J’étais accompagné du journaliste qui écrivait l’article et je peux te dire qu’on s’est bien marré ! On a failli se perdre ou encore se prendre un orage sur la tête alors qu’on était en randonnée ! Ca fait de bons souvenirs, moi je te dis !" Tu la regardes avec des étoiles dans les yeux, encore émerveillé par sa beauté et celle de Bali.
Tu lui tends un verre "Petit cocktail fait maison ! T’en fais pas, j’ai bien dosé niveau alcool, c’est pas trop fort !" Petit clin d’œil, tu la connais là-dessus : comparé à toi, elle est moins fan des boissons alcoolisées. Tu lèves ton verre "A nos retrouvailles ?" Puis vous trinquez avant de boire une gorgée et sentir l’alcool te chauffer la gorge. Tu la dévores du regard et murmures "Tu m’as tant manqué… Tous les jours, j’ai pensé à toi…" Tu poses ton verre pour venir l’embrasser encore une fois et dans un léger murmure, tu lui dis "Et toi ? Tu as pensé à moi..?"
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MessageSujet: Re: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptyDim 25 Nov - 15:03


Toi qui avait peur que cette semaine ne passe vraiment pas vite, finalement, tu t'es bien trompé. La semaine est passée relativement vite. Néanmoins, Benjamin t'as terriblement manqué. Tu t'es tout de même bien occupée durant toute la semaine. Il va d'ailleurs être content des choix que t'as fait pour ton avenir professionnelle. T'as hâte de tout lui révéler. Mais bon, à peine le seuil de son appartement franchis, Benjamin vient t'embrasser tendrement. Tu ne te fais pas prier et tu fais même durer le plaisir plus longtemps qu'il ne faudrait. Tes mains se perdent dans les cheveux de ton homme. Ta langue s'amuse avec la sienne. Le baiser se termine. T'es un peu triste certes mais tu sais qu'il y en aura d'autres. Cette fin d'année se terminera en beauté pour Ben et toi. Comment tu le sais ? Tu le sens, c'est tout. Benjamin vient te complimenter en disant que t'es magnifique. Depuis l'avortement, t'as du mal à t'accepter. Même si, ces derniers temps, ça va de mieux en mieux. Le temps est le seul remède pour accepter les choses. Enfin le temps et Benjamin. Tu sais qu'il va t'aider à surmonter cela. "toi aussi t'es beau." Tu souris au jeune homme. Tu viens finalement prendre place sur le canapé du jeune homme. Tu te sens tellement bien chez lui. Tu n'as même plus envie de partir d'ici. Quand Benjamin te dit que t'es la seule qu'il embrasse, ça te fait plaisir. Mais tu culpabilises aussi. Il a fallu que tu couches avec un type deux jours après le départ de Ben. Tu te mords doucement la lèvre inférieure.
Il vient s'assoir près de toi. T'en profites pour te rapprocher de lui, jusqu'à le coller. Il commence à te parler de son voyage. Tu rougis quand il te raconte que tu manquais. Tu viens déposer tes lèvres sur sa joue et lui lances un grand sourire. De toute façon, depuis que tu es chez lui, t'as un sourire complètement niais sur le visage. "Je serais ravie de t'accompagner Ben .. A Bali ou n'importe où ailleurs d'ailleurs !" Ta main se perd une nouvelle dans ses cheveux. Puis, elle caresse lentement sa joue. Tes doigts finissent par s'entrelacer à ceux du jeune homme qui fait battre ton coeur. Il continue de te raconter son visage. Toi, tu le dévores du regard. Tu bois chacune de ses paroles. "J'ai hâte de voir les photos que t'as faites !" tu ne veux plus le lâcher. Tu ne veux plus passer une nouvelle semaine sans lui. Et puis, le savoir à des milliers de kilomètres de toi ne te plait vraiment pas.
Ben revient avec deux cocktails. Il est toujours remplis de petites attentions à ton égard. Tu ne t'en lasseras jamais, c'est certain. Tu lui donnes un rapide baiser sur ses lèvres. "C'est parfait ! J'adore !" Tu prends le verre et trinques avec lui. Tu sens le regard de Ben sur toi. Il te dévores du regard. Il est clair que vous ne finirez pas la soirée habillés. Et honnêtement, t'attends que ça. Sentir son corps contre le tien. Le sentir en toi. Ça te manque tellement. Ta main se pose sur son torse musclé. "je te préviens, la prochaine fois je pars avec toi ! Je ne veux plus jamais te lâcher !" Néanmoins, il faut que tu lui avoues ce que t'as fait. Il va être en colère certainement. Mais c'est un mal pour un bien puisque grâce à ça, tu t'es rendu compte que tu étais amoureuse de Benjamin. Tu poses le verre sur la table basse. Jambes en tailleur. Tête posée sur son épaule. Tu prends une bonne respiration. "Tous les jours .. Mais j'ai un truc à t'avouer Ben .." Tu as envie de pleurer. Mais tu te retiens. Tu viens plonger tes yeux dans les siens et ne le lâchent pas du regard. "Deux jours après ton départ, jsuis sortie en boite. J'avais un peu trop bu. Jme sentais tellement seule .. J'ai rencontrée un mec. On a commencé à se draguer et .. Enfin, tu connais la suite je pense .." Il doit sûrement te détester. Tu ne veux pas le perdre. Tes mains prennent doucement son visage. Tes lèvres ne sont qu'à quelques centimètres des siennes. "Grâce à .. ça .. Jme suis rendue compte que je suis amoureuse de toi, Ben. Y'a aucun autre homme dans ce monde qui me fait autant vibrer que toi. "Je t'aime mon amour !" Tu crèves d'envie de l'embrasser. T'attends juste son feu vert.
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MessageSujet: Re: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptyVen 21 Déc - 1:38

JOAN
&
BENJAMIN

Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins.
Retrouvailles avec la brune, avec TA brune. Parce que tu es bien décidé à lui dévoiler tes sentiments, à lui déclarer ta flamme. Une chose que tu n’as pas fait depuis bien longtemps mais tu sens que c’est le moment, que tu dois mettre tes peurs de côté. Vous avez trop attendu, tu le sais et ce soir, c’est le moment. Toutefois, tu lui parles de ton voyage, de tes photos et découvertes, tu lui parles de ce que tu as vécu surement pour rallonger le temps avant de lui murmurer tes sentiments mais c’est la jeune femme qui lance le sujet : la question du manque est mise sur le tapis. Et tu ne peux pas nier le fait que la jeune femme t’a terriblement manqué. Tu aurais aimé partir avec elle, tu aurais découvrir ces paysages exotiques, ces plats typiques et tu te fais la promesse que le prochain voyage vous le ferez main dans la main. Et sans même vous en rendre compte vous avez déjà des réactions de couple, des petites phrases qui veulent tout dire et qui signifie un amour bien vivant entre vous. "J’ai pas envie que tu me lâches de toute façon… Je vis mal sans voir mon rayon de soleil…" Surnom qui ressortira surement dans le futur. Toutefois ce moment d’égarement, d’invitation au voyage est coupé net quand la mine de la demoiselle se décompose un peu. Tu t’imagines d’un coup le pire et tu pries au fond de toi pour que cela ne soit pas si grave.
Grognement dans le fond de la gorge, le regard qui s’assombrit quand elle te parle de ce type qu’elle n’a vu qu’une fois et qu’elle ne verra plus. A l’époque, vous n’étiez pas en couple, vous ne l’êtes toujours pas d’ailleurs et pourtant une pointe de jalousie se fait ressentir. Imaginer un autre gars toucher ta brune, ça te fait clairement chier, ça t’emmerde et tu hais ce mec juste pour ça. Juste parce qu’il a touché ta nana qui ne l’est pas. Cependant tu ne dis rien, tu n’engueules pas la jeune femme alors qu’elle se pense fautive de tout cela. Sans doute même qu’elle doit penser que tu la déteste. En plus, tu ne dis rien, ce qui doit la faire flipper encore plus. Sauf que la jeune femme continue dans sa lancée, elle souhaite surement calmer les choses entre vous, tenter de t’apaiser après la petite bombe qu’elle a lancée. Et c’est l’électrochoc. Ses sentiments dévoilés au grand jour, ces yeux qui pétillent quand elle t’appelle mon amour, quand elle te dit Je t’aime. Et toi, Ben, il te faut quelques secondes avant de réagir, avant de réellement capter que la jolie brune t’aimait. Bordel, qu’est ce que tu attends pour l’embrasser ? Arrêtes de la bouffer du regard, réagit bon sang. Enfin tu arrives à sortir quelques mots. Dans un premier temps, tu jures comme si tu ne savais que répondre par des gros mots. Surement à cause de la première nouvelle qu’elle t’a dite avant d’avouer ses sentiments. Et puis tu t’en veux aussi. Cela ne serait jamais arrivé si tu lui avais dit je t’aime bien avant. Pauvre abrutit qui avait peur de ses propres sentiments. "Joan, je m’en fous des mecs que t’as pu connaitre avant moi, je m’en fous de ce gars que t’as rencontré en boite ! Putain ! Je suis dingue de toi !" Et tu l’embrasses avec autant de passion que celui que tu lui as donné quand elle est arrivée.
Tes lèvres goutent les siennes avant de savourer la peau de son cou. Tes mains sur ses hanches l’incitent à rejoindre tes genoux. "Désolé d’avoir tardé… Désolé de ne pas avoir assumé mes sentiments plutôt, Joan… J’avais peur de ne pas être à la hauteur, d’être encore trop perdu à cause de mon traumatisme et au final, j’étais aveugle parce que c’est toi qui me guéris… C’est toi qui me change… Je t’aime Jo…" souffles-tu alors que tu enfouis ton visage dans ses cheveux. Elle sent bon, parfum enivrant et apaisant. Une odeur que maintenant tu connaitras par cœur.
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MessageSujet: Re: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptySam 29 Déc - 20:54


Rayon de soleil. Lorsque tu entends ce surnom, tu ne peux t'empêcher de sourire. Ça fait bien longtemps qu'un homme ne t'as pas appelé de la sorte. Ça fait également des années que tu ne t'es pas autant attaché à un homme. Pourtant, c'est bien vrai. Tu es attaché à Benjamin. Depuis le premier regard échangé, tu es amoureuse de lui. Malgré tout, tu as eu bien du mal à te l'avouer. Lui aussi d'ailleurs. Mais, aujourd'hui, tu es bien décidé à lui avouer tes sentiments. C'est lui que tu veux. Lui et lui seul. Benjamin c'est ton âme soeur. Ton destin est lié au sien. Déjà une année de perdue. Interdiction d'en perdre une autre. De plus, c'est bientôt noel. Ça serait tellement bien de passer noel avec lui. Tes mains se posent sur le visage du jeune homme et tu lui caresses son visage. "Je ne te laisserais pas Benjamin. Jme sens pas bien quand t'es loin de moi .." Tête baissée. Regard triste. Tu ne veux plus jamais être loin de lui. Même si cette semaine est passée relativement vite, elle a aussi été horrible. Mais il est là. Il est revenu et tu ne comptes plus jamais le laisser partir sans toi. "Tu peux prévenir la personne qui t'emploie qu'il me réserve une place dans tes futurs déplacements." Tu souris mais tu ne plaisantes absolument pas. Tu veux le suivre dans toutes ces aventures. Tu veux tout partager avec lui. Il n'est pas uniquement le mec que t'aimes. Il est aussi ton meilleur ami, ton confident.
Avant de lui avouer tes sentiments à son égard, tu viens lui dire ce qu'il s'est passé avec Jason. Pas d’évocation de qui est cet homme. Ben n'a pas besoin de le savoir. Tu t'attends à ce qu'il te déteste et qu'il te dise de dégager. Mais non. Il s'énerve et c'est bien normal. Petit sourire en coin quand le jeune garçon avoue qu'il est dingue de toi. Tu sens tes joues rosirent légèrement. Ses lèvres se collent aux tiennes. Tu prolonges son baiser en laissant tes mains se perdre dans la chevelure du beau brun qui fait battre ton coeur. Tu viens te glisser sur ses genoux. Bras autour de son cou. Ton regard se perd dans celui du jeune homme. Tu bois chacune de ces paroles. "ne t'excuses pas ! C'est parce que c'était écrit comme ça .. Et puis, c'est peut-être un mal pour un bien." Tu as à peine le temps de finir ta phrase que le jeune homme t'embrasse avec passion. Tu prolonges son baiser le plus longuement possible. Ta langue s'amuse avec la sienne. Benjamin t'as dit qu'il t'aimais. Tu es vraiment la femme la plus heureuse de la planète actuellement. "tu fais de moi la femme la plus heureuse, Ben .." Souffles-tu en rompant le baiser. Tu commences à le déshabiller lentement. Tes mains parcourent son torse. Puis, ce sont tes lèvres qui prennent le relais. Elles parcourent le torse du jeune homme de baisers. "je suis à toi .." Murmures-tu aux creux de son oreille, lui faisant ainsi comprendre que tu veux qu'il soit en toi.
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MessageSujet: Re: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptyLun 14 Jan - 19:27

JOAN
&
BENJAMIN

Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins.
Le manque que tu as pu ressentir tout au long de cette semaine disparait, s’envole quand la jeune femme rentre dans ton appartement, quand elle t’embrasse puis te colles sur le canapé. Il n’y a plus de manque, seulement l’envie de rattraper cette semaine compliquée. Combien de fois, tu t’es imaginé l’avoir à tes côtés lors de ta semaine de boulot, combien de fois, tu t’es demandé ce qu’elle fait quand tu n’es pas là. Des questions qui restaient en suspens, car malgré quelques sms échangés, tu tentais de rester concentrer sur ta mission première pour ne pas laisser ton esprit dévier sur tes envies de la caresser. Et enfin ce soir, tu vas pouvoir te rattraper, la toucher, l’embrasser mais surtout te dévoiler. D’ailleurs, tu lui fais part de cette envie de la garder près de toi, ne plus la savoir loin de toi, parce que ça te fait bien trop mal au cœur. Mec trop amoureux, certains auraient presque envie de vomir mais tu t’en fous royalement de ce que pourront penser les autres, tu sais ce que tu veux, toi et tu la veux elle. Tu veux Joan comme compagne, comme amante, comme meilleure amie. Tu la veux surement pour la vie. Main qui glisse sur sa joue quand tu comprends qu’elle ressent le même mal être quand tu es absent. Tu sais très bien que cela arrivera encore mais tu donneras tout ce que tu peux pour qu’elle t’accompagne de temps en temps. Léger rire qui sonne au fond de ta gorge quand la jeune femme s’exclame qu’elle t’accompagnera lors de tous prochains voyages. Tu aimerais tant alors tu lui murmures "J’essaierai de faire en sorte que ce soit possible ma belle…"
Vient le temps des confidences, des dérapages et d’une légère engueulade. Tu t’énerves contre elle juste parce que t’es jaloux qu’un autre ait pu la toucher. Toutefois les mots qui suivent te calment, t’apaisent et te font réagir. Elle devient ta copine et tu deviens son mec. Vous êtes amoureux et vous vous le dites enfin après de longs mois d’attente. Surement de ta faute, toi, le mec trop cassé pour te dévoiler. Cependant elle ne t’en veut pas, elle te rassure comme elle a toujours su le faire. Alors tu l’embrasses, devenant complètement avide de sa bouche, de son corps. Tu n’en reviens toujours pas qu’elle est enfin à toi. Sourire qui apparaît sur tes lèvres, quand Joan murmure qu’elle est heureuse. Bordel, ça te fait un bien fou de savoir ça, de savoir que tu la rends heureuse, souriante. Tu veux qu’elle nage dans un bonheur infini, qu’elle garde ce sourire magnifique et ces yeux brillants d’envie.
Ses mains viennent alors te déshabiller, sa bouche rencontrer la peau de ton torse, te faisant souffler par la même occasion. "Joan… Ta bouche m’a manqué…" Et d’un coup, tu deviens fou. A toi, elle est à toi. Elle le dit. Tu viens l’embrasser encore alors que tes doigts cherchent désespérément la fermeture de sa robe. "Bordel, c’est de quel côté Joan ? Sinon je la déchire ta robe, et ça te plaira peut-être pas !" grognes-tu, un peu agacé. Elle aurait du venir à poil ou en sous vêtements sous un long manteau, cela aurait été moins chiant. Enfin, tu trouves la fermeture du bout de tissu et rapidement, ta femme se retrouve en sous vêtements. "Magnifique…" murmures-tu alors que tes doigts glissent sur ses hanches, sur son ventre avant de remonter sur ses seins. Tu fais voler son soutien gorge dans la pièce, permettant à tes lèvres de gouter à sa peau sensible alors que l’une de tes mains part à la recherche de la dentelle de sa culotte pour venir la caresser. Encore un sourire qui s’esquisse sur tes lèvres alors que tu relèves la tête pour la regarder dans les yeux et surtout l’admirer gémir sous tes doigts.
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MessageSujet: Re: (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan)   (+18) Comme la vague irrésolue, je vais, je vais et je viens, entre tes reins. (Joan) EmptyVen 18 Jan - 9:55


Deux mille dix-neuf sera votre année. Il y aura sûrement des hauts et des bas. Mais t'es certaine de toi. Cette année sera meilleure que celle qui est sur le point de s'achever. Tu ne gardera pas un bon souvenir de deux mille dix-huit. Ou, en tout cas, elle ne fera pas partie de tes années préférées. Même si tu as fait la connaissance de Benjamin. Près de lui, tu te sens bien. Tu ne veux plus jamais le laisser s'en aller. Alors tu lui avoues tes sentiments. Lui aussi le fait. Et Ô combien tu es heureuse de voir que vos sentiments sont réciproques. Benjamin a toujours dit qu'il n'était pas fait pour toi. Baliverne ! Au contraire, c'est lui ton âme soeur. C'est lui que tu veux. Et tu l'as à partir de maintenant. Benjamin est à toi. Il t'appartient. Tu es tellement heureuse. Cette semaine loin de lui a été horrible. Tu ne t'es jamais sentis si perdue et abandonné de toute ta vie. Mais maintenant, il est là. Il est revenu. "je veux t'accompagner dans chaque pays où tu iras. Je veux qu'on fasse l'amour dans chaque pays." Dis-tu d'une voix très douce. T'as bon espoir de l'exciter un peu. Benjamin t'embrasse et tu prolonges le baiser. Lorsque tu lui avoues avoir passé la nuit avec un autre quelques heures après son départ, le jeune homme t'en veux. Juste un peu. Tu ne veux pas qu'il t'en veuille. Tu ne veux pas qu'il s'énerve contre toi. T'essaies de le calmer, de le rassurer. Nouveau baiser échangé. Tu ne t'en lasseras pas. Ça t'as tellement manqué ces baisers. Il est ton mec. T'es sa copine. Enfin, vous êtes un vrai couple. Il n'y aura plus que lui dans ta vie et dans ton lit aussi. D'ailleurs, ça va être bien difficile de quitter son appartement. T'envisage sérieusement à abandonner le tien. Après tout, pourquoi perdre plus de temps ? La vie est trop courte. Et c'est lui le bon. T'es absolument certaine de toi.
Assise sur ses genoux, tu laisses Benjamin te déshabiller. Mais le jeune homme s'énerve bien vite en essayant de te retirer ta robe. "ah non ! Déchires la pas hein !" Dis-tu en l'aidant à attraper la fermeture éclaire. Très vite, elle glisse jusqu'au sol et tu te retrouves en sous-vêtements devant lui. Ben te complimente. Tu rougis et viens défaire la fermeture éclair de son jean. Il continue de te déshabiller. Toi aussi. Allongée sous lui, tu parcoures son corps de caresses et de baisers. Tu gémis lentement. Rien qu'avec de simples carresses, le jeune homme sait comment te rendre dingue. C'est son prénom que tu gémis. Tu veux qu'il vienne à toi. Tu veux qu'il te prenne et te fasse l'amour comme dans tes souvenirs. Ça te manque tellement de l'avoir en toi. "Hum .. Ben .. Fais moi l'amour .." Murmures-tu entre deux gémissements. Durant cet instant, il n'y a plus rien d'autres qui compte. Comme si le temps s'était arrêté pour vous. Comme si le monde autour de vous avait cessé d'exister. Tu caresses son torse. Tes mains se perdent dans ses cheveux puis, elles viennent caresser son membre déjà bien dur. Tu souris et l'embrasses avec passion. Tant pis pour le diner, ça attendra.
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