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 (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...

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MessageSujet: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyLun 24 Oct - 10:18

max & clay
je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...

La soirée était plutôt réussie mais, cela ne m’empêche pas d’avoir la trouille par moments. Je suis un mec okey mais, cela ne veux pas dire que je ne crois pas aux esprits ou à certaines conneries de ce genre. L’intérieur de la salle principal n'était plutôt pas très rassurant mais, lorsque j’ai commencé à vouloir m’aventurer à l’étage pour trouver les toilettes, j’avoue que cette sensation de mal être est bien encore pire. Mais, j’essaie de prendre une fois et ne pas fuir comme une fille de cette zone du manoir. Même lorsque j’ai vécu ici pendant ma période en tant que SDF, je ne me suis jamais aventuré dans ce bâtiment. Je ne sais pas pourquoi mais, il ne m’a jamais inspiré vraiment confiance. N’empêche en réfléchissant, je ne suis pas hyper virile comme mec… Enfin même les hommes peuvent avoir leur propre peur. Même si personnellement, j’adore les films d’horreur et les séries de ces genres. D’ailleurs, je me demande bien où le Rick Grimes qui est en moi avec ce costume peut vraiment être car, lui il n’a pas peur face aux rôdeurs. Enfin, je commence à me demande si la télé réalité que je regarde en ce moment pour me passer le temps, n’est tout simplement pas en train de me griller les neurones. Heureusement que Max n’est pas là, sinon je crois que j’entendrais parler de ma frousse de cette soirée pendant très longtemps ! D’ailleurs, Mackenzie n’est pas avec moi en ce moment car je crois qu’elle a vu des copines ou alors elle est au téléphone avec son mari. Enfin je n’ai pas vraiment trop fait attention car j’avais une envie pressante et l’unique idée fut de trouver des cabinets de toilette ! Une fois que je trouve enfin les toilettes je rendre à l’intérieur pour faire ce que j’ai à faire et avant de ressortir je me lave les mains. Je reprends ma canne pour avoir l’appuie dont j’ai relativement besoin pour la soirée, même si je m’en serais bien passé mais, vu que visiblement mon corps en a décidé autrement… Je n’avais pas vraiment le choix que de me balader avec pour la soirée. Mais, lorsque je viens à sortir de la pièce, je sursautai lorsque je voyais une silhouette féminine juste en face de moi ! Et sans vraiment me rendre compte j’avais émis un cri. Je pose alors de nouveau mon regard sur la femme en face de moi, puis je vis qu’il s’agissait de Max. J’avoue que pour le coup, je me sens vraiment con. « Ah ! Max c’est toi ! J’ai cru que j’allais me faire attaquer par un monstre ou un fantôme ! » Dis-je avec un léger rire à présent. Ouais, j’avoue que pour le coup, je suis relativement rassuré de savoir qu’il s’agit de ma colocataire. « Il est vraiment réussi ton déguisement ! » Je passe ma main dans mes cheveux avec un léger sourire.
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyMar 25 Oct - 13:01

max & clay
je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...

Le problème avec les robes volumineuses doublées de crinoline, c’est peut être qu’il devient bien compliqué de monter les marches d’un escalier. La jeune femme avait abandonné sa rencontre du moment, cherchant à se rendre aux toilettes. Sauf que dans une salle de bal au décor soutenu en toiles d’araignées, il devenait parfois compliqué de simplement circuler. Maxim s’était donc déplacée parmi les convives, passant devant un zombie, s’excusant auprès d’un Dracula plus vrai que nature qui la suivit sur plusieurs pas avant de la lâcher – elle avait dû montrer les crocs, sans métaphore – puis, elle avait légèrement bousculé un fantôme sans savoir s’il pouvait bien s’agir d’un jeune homme ou d’une jeune femme. Rares étaient ceux qui n’avaient pas le jeu et tous parlaient des conditions qu’ils avaient eu à traverser pour arriver jusque là, racontant ce qu’ils avaient bien pu identifier dans les peaux dans lesquels ils avaient plongé leur bras à tour de rôle.

Perchée sur ses talons aiguilles, elle se retrouva rapidement en bas d’un escalier digne des anciens manoirs. S’emparant du tissu de la robe pour le relever légèrement, elle entama son ascension, tenant dans son autre main un verre de vin rouge pouvant largement être confondu avec un verre de sang. Son pas n’était qu’à moitié assuré durant ce périple mais peu de gens croisèrent sa route. Rares étaient ceux qui osaient s’aventurer dans cette partie de la bâtisse, pourtant ouverte à tous mais au décor plus sinistre encore que l’était la salle de bal de Dracula. L’idée vint à la jeune femme d’explorer cet endroit, dès lors que son envie pressante serait passée. Arrivée en haut des marches, elle laissa retomber le tissu de sa robe et commença son avancée dans les couloirs. Le claquement de ses talons résonnait entre les murs de l’espace où elle évoluait. L’éclairage était plus tamisé, moins marqué et, un instant, elle eut l’impression que tout tanguait autour d’elle. Portant le verre de vin à ses lèvres, elle en prit une nouvelle gorgée, comme pour se donner du courage.

Finalement, elle parvint à dénicher les toilettes, non pas sans mal. Malheureusement, la seule cabine de l’endroit était bien occupée pour l’heure et Max lâcha un long soupir, replaçant quelques mèches de cheveux à leur place à l’aide du miroir. Elle inspecta également la tenue de ses crocs et celle de cette robe de princesse des ténèbres qu’elle portait. Puis, le son de la chasse d’eau accapara son attention et se dirigea au devant de la porte qui s’ouvrit… Sur un Clay qui lâcha un cri pas hyper viril. Enfin, dans la tête de Max, c’est bien comme ça qu’il sonna. Elle haussa des sourcils surpris et il fallut plusieurs secondes à son colocataire pour la reconnaître. Lui en revanche, était assez reconnaissable, si ce n’était cette tenue de sheriff qu’il semblait avoir roulé, ainsi que l’ensemble de son corps, dans la terre et la poussière pour l’occasion. La jeune femme se mit à rire doucement, plissant ses yeux et dévoilant ses dents blanches ainsi que les crocs qu’elle avait ajoutés pour l’occasion. « Oh merde, Clay… J’vais me pisser dessus tellement ta tête était drôle à voir… » Elle continue de rire un instant avant de reprendre son souffle. « J’ignorais que tu me prenais pour un monstre… Sois sage, sinon, je vais devoir mordre avec plaisir cette jugulaire pour pouvoir remplir mon verre… » Elle agita légèrement le verre de vin qu’elle tenait avant de sourire de plus belle.

Il lui fit un compliment sur son costume et elle sentit ses joues rosir. « Merci… J’ai eu du mal à l’enfiler, une vraie robe de princesse diabolique… Mais vous n’êtes pas mal non plus, monsieur Grimes. Vous allez m’arrêter et me passer les menottes pour trouille mortelle ou bien, je peux me rendre aux toilettes avant ça ? » Elle lui tendit son verre pour qu’il le lui garde avant de s’aventurer avec galère dans l’habitacle restreint des toilettes et fermer la porte. Le tulle de la robe était horrible à soulever et il allait lui falloir quelques bonnes minutes avant de pouvoir sortir de là. Aussi, pour ne pas laisser Clay seule, elle continua de lui parler à travers la porte. « Tu es venu tout seul ? A moins que tu ne sois avec Kawaii ? Elle n’était pas non plus à l’appartement quand je suis partie… A croire que chacun s’est préparé dans le plus grand secret avant de venir ici sans en parler à qui que ce soit… »
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyLun 7 Nov - 17:57

max & clay
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Honnêtement, je ne me suis pas vraiment attendu à tomber nez à nez avec Max ! Et pour le coup, elle m’a sérieusement mis les miquettes en arrivant de la sorte. À un moment j’ai vraiment cru qu’un vampire débarqué pour venir me tuer ou me transformé en vampire ! Eh non, je ne suis pas une flipette mais, tout de même. Les gens peuvent s’annoncer n’est ce pas ? Bon okey peut-être que je suis une petite nature mais, ça arrive à tout le monde d’avoir tôt ou tard les miquettes ! Enfin bref, ce n’est que Max qui s’amuse à me faire peur, la Vilaine ! « En même temps, je ne me suis pas attendue à te voir ici ! » Dis-je en riant légèrement. Puis je pris un air plutôt sérieux : « avoue que tu aimerais boire mon sang ! Et faire de moi ton esclave. » Je finis par lui faire un compliment mais, en même temps Max était vraiment très beau dans son costume de madame Dracula. Enfin, elle est toujours très belle. Max reconnu ma tenue, enfin une qui mérite mon estime. À croire que les gens sont plus ou moins tous mordu de la série mais, ne reconnaisse pourtant pas la référence ! Heureusement que Max est présent pour relever le lot. « Hum… Je ne sais pas. Si je te mets les menottes, je pourrais faire ce que je désire de toi. » Dis-je d’un petit air malin puis, je viens doucement à rajouter : « Allez vas, je te protège avec ma canne. » Je viens à montrer ma merveille copine depuis quelques mois à présent. Ma colocataire entra dans les toilettes et je l’entendis me parler de l’intérieur. Kawaii ? Je ne savais pas vraiment si elle était présente ou même ce qu’elle fait. Mais à part me piquait mes vêtements… Enfin c’est Kawai ! « Non, je suis venue avec Mackenzie mais, pour le moment elle est avec des amies il me semble. Et pour Kawai, je n’arrive pas à savoir exactement comme celle-ci vit depuis un moment. Elle est un véritablement courante d’aire la petite. C’est dommage que je ne fusse pas au courant que tu viendrais, sinon je t’aurais proposé de venir avec Mack et moi. » Et je finis par rajouter avec un léger rire : « J’aurais été chanceux de venir avec deux merveilles ! » Je finis par m’assoir sur l’une des chaises, mon genou commence à vraiment me faire mal. C’était vraiment chiant d’être handicapé à ce point pour la soirée d’Halloween mais, je crois que c’est les escaliers qui m’ont amplifié la douleur. J’aurais dû prendre mes médicaments pour la douleur mais, je n’avais pas spécialement pensé que j’en aurais besoin. Je masse doucement mon genou et je finis par me relever pile dans le moment où Max ouvre la porte. Je me retrouve à quelques centimètres de son visage. Je pose alors mon regard dans ses yeux avec un léger sourire et je viens remettre une mèche rebelle en place derrière son oreille. « Décidément, je crois que ce n’est pas notre soirée. » Ma main vient se glissais dans le cou de la jeune femme puis, je finis par lui demandait : « Tu vas bien ? »
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptySam 12 Nov - 0:05

max & clay
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Planter ses lèvres dans son cou… Voilà une chose qui n’aurait peut-être pas déplut tant que cela à la jeune femme qui sourit d’un air coquin quand il émit l’idée qu’elle puisse faire de lui son esclave. Oh, elle aurait volontiers soulevé le fait qu’elle se serait servi de cet appui sur lui pour qu’il fasse la vaisselle et les courses… Mais si c’était là le seul intérêt qu’elle y voyait, il était inutile de le mentionner et elle préféra garder ce détail sous silence. Elle préféra le complimenter à son tour sur son costume de sheriff sortit tout droit d’une série télévisée ou d’un comic book et jouer avec lui sur les accessoires qu’il pouvait porter, lui relançant gaiement la petite pique qu’il lui avait lui-même adressé. Ils avaient beau avoir l’habitude de ce genre de rituels, l’effet désinhibant de l’alcool l’aida peut-être à l’attaquer sous cet aspect. Après tout, les piques qu’ils s’adressaient ne concernaient pas souvent le dessous de la ceinture – exception faite de l’état de nudité que Clay adoptait parfois.

Sauf qu’une fois de plus, Clay eut le répondant nécessaire qui fit doucement rire Max tout en amenant un peu de rouge à ses joues. Elle ne répondit pas, un fois de plus, l’esprit embuée par les vapeurs de l’alcool ingéré dans la soirée l’aidant à visualiser la chose et la plongeant dans un profond malaise. Et fort heureusement, son colocataire lui offrit une voie de secours, l’invitant à aller aux toilettes à son tour, lui assurant qu’il la protégerait de sa canne. Dans un dernier sourire, la brunette entra et referma la porte derrière elle, poussant un long soupir. Et finalement, occupée à se soulager, elle avait posé une question au travers de la porte à l’attention de son colocataire. Il n’était pas venu seul, mais en compagnie de Mackenzie. Cachée derrière la porte, Max hocha la tête comme s’il s’agissait d’une évidence. Elle était la meilleure amie du jeune homme et l’autre femme bien présente dans sa vie. Une once de jalousie la traversa doucement et elle était finalement bien heureuse d’avoir eu la chance de croiser son précieux colocataire durant cette soirée. En revanche, tout comme elle, il n’avait aucune idée d’où pouvait être la jeune fille qui était entrée dans leur vie il y a quelques mois. Ils étaient donc d’accord sur le fait qu’elle était aussi libre que l’air. « Je ne m’en fais pas pour elle. Je fais attention à ce qu’elle mange régulièrement en lui laissant des petits plats avec un post it dessus… Tant qu’elle ne me dit pas que je ne suis pas sa mère… » Le fait qu’elle materne un peu tout le monde était un trait de caractère qu’elle avait bien du mal à contrôler mais c’était une véritable joie pour elle de s’occuper ainsi des autres.

Quand il eut une réflexion sur le fait qu’elle aurait pu venir avec Mack et lui, elle eut un petit rire gêné. Certes, c’aurait été fort agréable pour lui mais l’idée de partager la soirée avec l’autre femme de la vie de Clay était une chose qui ne l’enthousiasmait pas vraiment. « Ne t’en fais pas, c’est très bien ainsi… Je n’aurais pas voulu vous déranger… » Et finalement, elle acheva ce pourquoi elle était venue et ouvrit la porte… Se retrouvant nez à nez avec Clay. Ses yeux s’écarquillèrent doucement. « Ooooops ! Désolée ! » Elle avait manqué de peu de lui marcher sur les pieds. La réflexion de Clay la fit frissonner, autant que son geste. Doux, agréable, bienveillant. Tout était si différent de ce qu’elle avait pu vivre par le passé. Elle déglutit avec difficulté, ses yeux bleus se baissant quand il lui demandait si elle allait bien, faisant glisser sa main dans son cou, provoquant un frisson qu’elle eut grand peine à maîtriser. « Ca va… Je crois que j’ai un peu trop bu. » Tout excuse était bonne à prendre dans ce genre de situation. Et pourtant, elle reprit en main son verre de vin et le porta de nouveau à ses lèvres. Vive la contradiction.

Elle se dégagea doucement de la main de son colocataire avant de se diriger vers le couloir. « Ca te dit qu’on explore un peu ? A moins que Mackenzie ne t’attende ? »
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyJeu 17 Nov - 11:44

max & clay
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Mes colocataires ont chacune leurs petits trucs propres à elles. Enfin je les adore toutes les deux et entre nous, c’est un véritable plaisir de vivre avec ses filles. Attention, je ne dis pas que les autres filles ne pourront pas être aussi bien mais, bon. Je ris lorsque j’entendis les propos de Max en ce qui concerne la plus jeune de mes colocs. Max a toujours tendance à materner ses proches mais, je pense que c’est plus car celle-ci s’inquiète tout simplement. « Tu es un peu jeune pour être sa mère. Mais, je pense que c’est la meilleure chose à faire avec notre petite Kawaii ! Déjà qu’elle a du mal à se décider à ranger ses fringues et préfère piquer les miennes. » Je ris à nouveau, car il y a quelques semaines Kawaii m’a un peu cassé un coup d’un soir. La femme que j’avais ramené à croire que Kawaii était ma copine ou un truc du genre… je ne sais pas vraiment ce qui a bien pu passer dans la tête de la rouquine mais, je n’ai pas compris le délire. Du coup, j’ai fini ma soirée en compagne de Kawaii et de Fergusson. Après c’est vrai que Max aurait très bien pu venir avec Mackenzie et moi. Je ne pense pas que cela aurait déranger Mack puis moi aurait été très bien entouré pour le coup. J’hausse les yeux lorsque j’entendis la réponse de la brunette qui était dans la petite pièce derrière moi. « Non, mais t’es sérieuse là ? Tu penses vraiment que tu nous aurais dérangés ? » Non mais, les femmes ! Lorsque Max vient à sortir, nous nous retrouvons nez à nez et assez proche l’un de l’autre. Mon regard se pose dans le sien, je viens à replacer une mèche rebelle derrière son oreille puis, ma main vient instinctivement ce posé sur son cou. Lorsqu’elle vient répondre à ma question, je souris puis, je viens à dire : « donc je confirme c’est une mauvaise idée que je te laisse seule dans les couloirs bizarres de cet endroit. » Puis elle finit par boire à nouveau dans son verre de vin. « Il me semble que tu as suffisamment bu pour ce soir, non ? Enfin tu me diras, tu as Rick Grimes avec sa canne pour te défendre des éventuelles monstres qui se cachent par là ! » Max se dégagea puis, elle commence à avançais toute seule dans le couloir. « Mackenzie est avec des amies, donc je ne pense pas qu’elle ne m’attend pas. Donc pourquoi pas ! » Je finis par rejoindre ma colocataire et nous avançons un peu dans le couloir sombre. Je m’arrête à un moment devant un tableau d’une femme avec deux enfants. « Tu ne trouves pas qu’elle ne ressemble pas à une femme très gentille ? Ça me donne limite l’impression d’être dans un genre de manoir du film de fantôme. » Dis-je avec un léger sourire. Je me tourne vers Max en haussant les épaules : « peut-être que nous allons croiser des fantômes voleurs de bonbons ! Par contre j’en ai pas sure moi, donc ça craint pour nous. » Dis-je en plaisantant. En tout cas, la décoration était super bien faite pour l’occasion. Déjà que lorsque j’étais à la rue, je n’ai jamais vu m’aventurer dans cet endroit… Je ne sais pas pourquoi mais, j’ai toujours eu la sensation qu’un truc n’était pas très clair. Après bon j’avoue que je n’aime pas tous les trucs sur le paranormal. Je vis une porte fermée, je viens à clenche la poignée puis je finis par entrer. Il s’agit d’une chambre, surement celle d’une fille car la décoration en est tout simplement digne. Je m’approche d’une petite commande où est disposé sous une protection de verre un collier vraiment très ancien avec une pierre noire au milieu. « Je suis sûre que ce bijou t’irait à merveille. » Je finis par m’assoir un peu sur le lit pour reposé mon genou qui à tendance à me faire de plus en plus mal. « J’aurais dû prendre mes médicaments pour la douleur… J’ai cru que la douleur passèrent pendant la soirée mais finalement. Enfin je n’ai pas à me plaindre… Je n’ai pas de perte d’équilibre pour le moment. » Dis je doucement.
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyJeu 24 Nov - 9:47

max & clay
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Un peu jeune pour être la mère de Kawaii, effectivement, Max comptait bien là-dessus. Mais ce clin d’œil la ramena à cette terrible nuit où elle avait failli perdre la vie mais où elle avait perdu celle de son enfant. Aujourd’hui, elle aurait pu arborer un ventre arrondi sous cette robe et pourtant, son abdomen demeurait plat. Alors oui, elle savait que tout ceci était arrivé et que c’était pour le mieux, même si la façon dont tout ceci s’était passé avait été terriblement brutale. Max aurait pu devenir mère mais elle ne le serait guère tout de suite. La maternité continuerait de se trouver dans les actes qu’elle avait vis-à-vis des autres, et ce serait tout pour le moment.

Elle fut ravie d’entendre que Mackenzie était occupée. Au fond d’elle, elle était bien heureuse de pouvoir partager quelques instants avec Clayton, plutôt que de devoir le partager avec une autre. Les sentiments qu’elle avait pour son colocataire lui semblaient clairs et pourtant, plus le temps filait, plus il lui semblait compliqué de garder une distance clair et franche dans cette amitié qu’ils avaient construite durant toutes ses années. Après tout, en grandissant, les goûts changent, non ? Elle rit légèrement avant de déposer son verre de vin sur une petite table et d’avancer dans le couloir. Ses escarpins claquaient sur le sol et le bruissement de tissu la suivait doucement, elle qui tenait un peu du drapé de sa robe d’une main, prenant soin de ne pas marcher sur les couches de tulle. Finalement, il s’arrêta devant un tableau et elle stoppa le pas également, intriguée par cette contemplation qu’il eut devant cette toile sinistre. « Je crois bien que c’est le but que de nous plonger dans cette ambiance… » Il osa sourire, venant à émettre l’hypothèse qu’ils pourraient croiser des fantômes chasseurs de bonbons qui les mettraient en bien mauvaise posture. Elle écarquilla les yeux, laissant apparaître une inquiétude feinte sur son visage. « Alors nous sommes perdus ! Je te laisserais te sacrifier pour que je puisse tenter de fuir, en gentilhomme que tu es ! »

A son tour, elle rit doucement avant de poursuivre sa route dans le couloir. Si elle passa son chemin devant une porte close, Clay ne tarda pas à l’ouvrir, forçant Max à revenir sur ses pas et le rejoindre dans la chambre. Afin de préserver leur solitude, elle la repoussa derrière elle, la laissant se refermer et s’avança, à l’image de son colocataire, vers ce magnifique collier posé sur un réceptacle et protégé par une coupelle de verre, telle la Rose que la Bête essayait vainement de protéger. Ils restèrent un instant à le regarder sans mot dire avant que le jeune homme ne se risque à faire un compliment à sa colocataire qui sentit le rouge monter à ses joues. « Ne dis pas de bêtise… Il est bien trop sophistiqué pour quelqu’un comme moi… Un simple collier de perle se sentirait bradé autour de mon cou… » Elle essaya de sourire, ne lâchant cependant pas des yeux le précieux bijou. Puis, elle remarqua que Clay avait rejoint le lit où il se frictionna le genou. Le geste ne passa pas inaperçu aux yeux de la jeune brune qui eut rapidement l’air soucieux. Quand il lui expliqua la situation, elle lâcha un léger soupir partagé entre lassitude et agacement. Cet homme ne savait définitivement pas prendre soin de lui.

Elle s’avança et prit place à son tour sur le lit, aux côtés de Clay, sa robe venant autour d’elle se déposer avec grâce. Elle ouvrit la petite pochette qu’elle avait gardé sur elle, retenue par une légère lanière de cuir, et en sortit un antidouleur. « Tiens. Ca ne vaut pas ce que tu prends, mais c’est surement mieux que rien… Et puis bon, si tu venais à tituber, appuie toi sur moi. Tu sais que tu as toujours pu le faire. » Elle lui adressa un sourire bienveillant, son regard clair se posant dans le sien, leur proximité étant, une nouvelle fois, rassurante. Le silence retomba dans la pièce où se trouvaient les deux amis. Puis un cliquetis fit froncer les sourcils de la jeune femme qui tourna la tête en direction de la porte d’où il provenait. Un cliquetis qui, lorsqu’elle eut fini de l’analyser, ne tarda pas à lui faire dresser les cheveux sur la tête. « Oh non ! » Elle sauta sur ses pieds et se précipita vers la porte pour jouer avec la poignée. Mais la porte demeura close. « Eh ! Ouvrez ! C’est pas drôle ! » Elle tambourina contre la porte un instant avant de lancer un regard franchement pas rassuré à Clay.

Ses yeux se baissèrent alors sur un petit morceau de papier, glissé sous le seuil de la porte. La brunette se pencha pour le ramasser – chose franchement peu aisée avec une robe telle que la sienne – et le déplia pour le parcourir des yeux. « Votre curiosité en cette pièce vous a menée. Saura-t-elle vous permettre d’en sortir ? Une clef dans la main du Maître, l’autre perdue entre ces murs, c’est cette dernière qu’il vous faudra, pour sûr. C’est quoi ce charabia ? » Elle tendit le morceau de papier à son colocataire pour qu'il puisse lui apporter son avis sur le sujet. De toutes manières, il semblait qu'ils allaient pouvoir passer un long moment entre ces murs...
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyLun 5 Déc - 16:35

max & clay
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« Car tu crois sérieusement que je vais mourir pour tes beaux yeux ? Je suis peut-être un gentleman mais, je tiens à ma vie ! Puis t’imagine Fergusson sans son Clay ? Le pauvre chat. » Annonce Clay avec un sourire plutôt taquin. Honnêtement, Clay n’a aucune idée de comment il pourrait réagir si leurs vies étaient en danger mais, certes il ferait tout pour protéger la brune. Ils continuèrent dans le couloir vraiment lugubre jusqu’au moment où Clay ouvrit une porte par curiosité. Il entra à l’intérieur de cette pièce puis regarde un peu ce qui se trouve à l’intérieur jusqu’à tomber sur une parure de bijou qui est vraiment très beau mais, qui doit coûter vraiment cher. Lorsqu’il écoute la réponse de son amie, Clay dévisagea un petit moment Max du regard. Est-elle vraiment sérieuse ? « Il va vraiment falloir que tu arrêtes de te dénigrer comme tu le fais. Je suis sûre et certaine qu’il t’irait à merveille. » Puis, l’homme vient d’assoir sur le rebord du lit pour soulager un peu la douleur. Décidément sa jambe n’est vraiment pas décidée du laissé en paix ce soir et malheureusement pour lui, il n’a pas vraiment pensé qu’il aurait besoin de médicament pour la soirée. La brune vient le rejoindre à sur le lit et sortit de son sac un antidouleur. Clay la regarde avec un franc sourire, Max était toujours aux petits soins pour lui et il sera toujours heureux de l’avoir à ses côtés. « Tu es vraiment indispensable, Maxim Evans. » Clay avalé directement le médicament en espèrent qui vont faire un minimum d’effet. Puis, la jeune femme vient à s’approcher de la porte pour essayer d’ouvrir. Lorsqu’il vit le regard de son ami et sa façon de taper sur la porte, il comprit rapidement qu’il ne va pas être sorti de cet endroit très rapidement. Max vient à lui apporter le bout de papier à son colocataire, en demandant ce que veut dire se charabia. Il prend le mot de papier puis soupir. « Je n’ai jamais été doué en devinette mais, ce dont je suis sûre c’est que le double de cette clé est présent dans la chambre. » Clay pose alors à nouveau son regard sur Max avec un sourire, il vient lui prendre la main et lui dit doucement : « soit on cherche dans toute la pièce, soit on reste tranquillement assis à attendre. Ils seront bien dans l’obligation de nous relâcher un jour ou l’autre. C’est à toi de voir. » Dit-il avec un léger sourire. Bon, Clay pense qu’ils vont surtout devoir chercher la clé mais, l’idée de rester un peu tranquillement dans cette pièce avec Max, ne le dérange absolument pas. Après tout, il préfère rester à se poser un moment ici en la compagnie de sa colocataire qu’avec un ou une étrangère. Clay soupire puis, il finit par se lever et il finit par s’approcher de la parure de bijou avec les perles, il ouvrit le présentoir et le prix dans ses mains. « Si nous devons attendre un peu, surtout que la douleur disparaisse avant que je puisse me mettre à chercher, il va falloir que tu essaie ce bijou. » Il s’approcha d’elle « Allez tournes-toi un peu et lèvent des cheveux. » Ordonna Clay. Il vient mettre le collier autour du cou de son amie, caressant par la même occasion la peau de son cou sans vraiment le faire exprès. Il l’a fait se tourner vers lui avec un léger sourire, elle était vraiment belle avec ce collier. Il avait eus raison, ce collier lui va parfaitement bien. « Tu es sublime avec ce collier. » Il la finit de venir devant un grand miroir pour qu’elle puisse se voir avec le collier que Clay vient de lui mettre. Le barman se mit derrière elle avec un léger sourire. « Alors tu me disais quoi tout à l’heure ? »
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyMar 6 Déc - 0:11

max & clay
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La jeune brunette n’aimait pas trop cette situation dans laquelle ils s’étaient fourrés. Elle aurait joué volontiers avec la porte pendant encore de longues minutes afin d’être certaine qu’elle n’était pas close mais elle songea bien assez tôt que tout ceci serait inutile. Alors elle avait donné le morceau de papier à son colocataire et essayé d’obtenir des réponses au charabia qu’il contenait grâce à lui. Il ne mit pas longtemps avant de souligner qu’un double des clés devait se trouver à l’intérieur de la pièce. Alors quoi, s’agissait-il d’un jeu ? Elle aurait bien évidemment commencé ses recherches dans l’immédiat si Clay ne s’était pas emparé de sa main et ne lui avait pas fait comprendre que, finalement, un peu d’intimité et de temps passé à deux ne pouvait pas être un mal. Elle eut un léger sourire. « Je doute qu’ils nous offrent une bière si on se contente d’attendre là les bras croisés… Et puis détrompe toi, ils pourraient très bien nous oublier, qui que ce puisse être. »

Elle l’observa alors se lever et retourner une nouvelle fois vers le meuble où se trouvait le magnifique collier protégé par une vitrine. Mais le jeune homme, aussi audacieux pouvait-il être, n’hésita pas un instant avant d’oter cette dernière pour mieux se saisir du précieux bijou. Maxim écarquilla les yeux. « Mais… Qu’est-ce que tu fous ? » Il ne mit guère de temps avant de lui répondre. Il souhaitait qu’elle essaye ce collier. Mieux encore, il ne lui laissait pas vraiment le choix. Elle ouvrit la bouche pour répliquer mais aucun son n’en sortit car elle n’avait aucun argument pour aller à l’encontre de tout ça. Alors la mine tendue par cet essayage qu’elle voyait comme inapproprié, elle se tourna, relevant les mèches de cheveux bruns qui s’étaient échappées de son chignon déjà fatigué par l’avancée de cette soirée. Elle sentit le précieux métal se poser sur sa peau, ne pouvant réprimer un frisson, ni pour cela, ni pour les doigts cajoleurs de son ami qui frôlèrent sa peau. Elle prit une profonde inspiration, essayant de reprendre contenance.

Il l’a fit se retourner et devant les compliments qu’il lui offrit, elle ne put s’empêcher de rougir, donnant quelques couleurs à un teint d’albâtre et vampirique. Puis, se saisissant de sa main, il la fit s’avancer vers le large miroir qui ornait le mur de la chambre afin qu’elle puisse croiser le regard de son reflet. La pièce qui ornait son cou était merveilleuse, parfaite. Et il avait raison. Elle était radieuse, magnifique. Nul doute ne faisait que la robe bustier ne pouvait y être pour quelque chose, se prêtant merveilleusement au style du bijou, mais autour du cou fin et délicat de Maxim, il semblait avoir trouvé une place qui l’embellissait tout autant. Alors quand Clay l’interrogea sur ce qu’elle avait pu dire plus tôt, elle se mordit la lèvre inférieure. « Eh bien je reste en partie sur ma position… Je ne pourrais pas porter pareille pièce au quotidien, c’est certain… » Elle posa son regard bleu clair sur le reflet de son ami, l’observant alors qu’il se tenait derrière elle. Puis, doucement, elle se retourna et vint poser ses lèvres contre la joue de Clay, sans prévenir. Puis, dans un sourire, elle lui parla de nouveau. « Merci d’être aussi bienveillant et gentil avec moi… Peu de colocataires en feraient autant… » Puis, elle baissa le regard vers la patte folle de Clayton, fronçant un peu les sourcils. « Rassied-toi, je vais commencer à chercher… Si c’est une chasse au trésor qui nous attends, autant s’y mettre dès à présent. »
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyDim 11 Déc - 16:53

max & clay
je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...

Pour Clay ce petit jeu n’était pas une mauvaise idée pour qu’il puisse rester un peu ensemble en tranquillité. Surtout que cela fait un moment où ils ne se sont pas retrouvé en tête à tête. « Peut-être qu’il y a un réfrigérateur caché dans la chambre ! Après s’ils nous oublient on cherchera le double de la clé. » Dit-il avait un sourire dont Max n’arrive pas à résister en temps normale. Puis, c’est aussi l’occasion pour prouver à son ami, qu’elle mérite d’avoir de belle chose elle aussi. Dont le collier de perles qu’il avait admiré quelques minutes avant d’être enfermé dans la chambre. Clay fut très clair avec son amie et celle-ci s’exécuta sans vraiment brancher. Clay avait raison, ce bijou était vraiment sublime autour du cou de Max, elle avait vraiment tort de ce sous-estimé comme elle le fait. Max est une très belle jeune femme mais, elle n’a pas vraiment l’air de son rendre compte… Ou peut-être que c’est aussi à cause de ce qui s’est passé avec son ex petit ami. Le colocataire de la jeune femme l’emmena devant un miroir pour qu’elle puisse se regarder. Et il vit bien à son regard qu’elle comprit que ce collier était parfait pour décorer son cou. « Certes mais, tu sais avec quelle robe, il serait parfait ? Celle de ta mère, la rouge. » Dit-il doucement. Max vient se retourner doucement pour déposer ses lèvres sur la joue de Clay. Celui-ci souria puis lorsqu’il entendit ce qu’elle vient lui dire, il passe sa main doucement sur la joue de Max en la regardant dans les yeux. Il ne sait pas exactement pourquoi il est autant aux petits soins avec elle mais, une chose est sûre… Il tient énormément à cette femme qui vit avec lui depuis maintenant de longues années. D’ailleurs, ce n’est pas rare qu’il se demandait comment elle fait pour le supporteur dans la vie de tous les jours. « Peut-être… mais, tu n’es pas n’importe quel colocataire non plus. Tu as toujours été aux petits soins pour moi, surtout dans les moments les plus difficiles. » Dit-il avec un léger sourire. Puis il se mit à rire lorsque Max vient lui donner l’ordre de se rassoir : « Bien chef ! » Il partit se mettre sur le lit mais, pas assis, non il décida de s’allonger et d’observer Max se mettre à chercher la fameuse clé de cette chambre. Après celui-ci n’est pas spécialement stressé à l’idée qu’elle ne la trouve pas. Être bloqué avec elle dans cette pièce n’est pas vraiment la chose la plus gênante. Puis en regardant dans le haut du lit à baldaquin, je vis quelque chose brillé. « Max. Je crois que j’ai trouvé ta clé ! » Dit-il en pointant le haut du lit. « Regarde, elle doit être bloqué dans le tissus. » Clay laisse alors sa colocataire venir sur le lit puis, il l’observe entrain de prendre cette fameuse clé. Le barman eut un léger sourire avant de lui dire doucement : « Je ne sais pas qui à eut cette idée mais, je pense qu’il a des idées plutôt déplacer. » Clay ne pu s’empêcher de rire puis, il vient à se mettre assis sur le lit : « Donc je présume que nous devons partir à présent ? » Questionna Clay.
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MessageSujet: Re: (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...   (max) je pense, donc je sue... de trouille, évidemment... EmptyJeu 15 Déc - 1:06

max & clay
je pense, donc je sue... de trouille, évidemment...

Le compliment qu’il apporta sur la robe idéale qu’elle devrait vêtir pour porter royalement ce collier la fit doucement sourire. Il y a quelques temps, il ignorait encore toute l’origine de cette robe absolument ravissante qu’il lui arrivait de porter pour de grandes occasions. Mais la jeune femme lui avait ouvert son cœur et révélé la vérité sur son passé et celui de la pièce de tissu si précieuse à la couleur vermillon. Elle déposa alors un baiser sur la joue du jeune homme avant de le remercier de sa présence, le gratifiant du statut de meilleur colocataire. La réponse de Clay fut à la hauteur de la relation qu’ils entretenaient. A force de vivre ensemble, ils apprenaient à être inséparables l’un pour l’autre, peut-être même trop. Après tout, combien de personnes avait déjà mal jugé cette relation ? Un certain nombre et cela avait même fini par causer des blessures profondes à Maxim. Si elle ne lui avait jamais vraiment avoué, c’était à cause de Clay que Josh avait poussé cette ultime crise de jalousie qui avait failli se solder par un incident plus grave qu’il ne l’avait été. Mais ça, elle n’oserait jamais le lui dire de manière explicite, de peur de le décevoir.

Oubliant le collier qu’elle portait, elle essaya de réorienter la conversation vers leur préoccupation réelle du moment : la clef qu’il leur fallait trouver dans cette pièce pour pouvoir s’assurer une sortie tranquille et sereine. Elle donna les directives, ordonnant presque à Clay de s’asseoir pendant qu’elle entamait les recherches. Le jeune homme ne se fit pas prier, bien au contraire. Quand Maxim reposa les yeux sur lui, il était allongé de tout son long dans le lit et elle ne put se retenir de pouffer légèrement. Elle commença les recherches, retournant les tableaux qui étaient accrochés au mur ouvrant les tiroirs, ne se posant plus aucune question concernant l’ordre de la pièce ou même si elle avait le droit de faire tout ça. Et finalement, après plusieurs minutes sans aucune trouvaille, ce fut Clayton, qui, allongé sur son lit, l’interpella, lui signalant qu’il avait peut-être trouvé la fameuse clef. Elle s’avança vers lui et lança un regard dans la direction indiquée. En effet, il y avait de fortes chances pour que ce soit ce qu’ils cherchent. « BINGO ! Sans crier garde, elle retira ses escarpins et se hissa sur le lit, tenant sa robe d’une main et un montant du meuble de l’autre, ne manquant pas de passer au-dessus de Clayton, se retrouvant presqu’au-dessus de lui.

Elle commença alors à trifouiller la planque, ayant un peu de mal à extraire la petite pièce métallique. Quand, finalement, elle vint, Max perdit l’équilibre et, dans un petit cri, elle tomba à la renverse dans le lit, aux côtés de son ami. « Je ne t’ai pas fait mal ? » Elle n’avait rien, mais Clay ? Elle ne put s’empêcher de rire doucement de sa propre bêtise avant de se redresser, se tenant à côté de lui. Quand il mit en avant le fait qu’ils allaient pouvoir sortir, elle lui tendit la clef. « Monsieur Winston, voici la clef de notre liberté… Si vous voulez me garder captive, c’est le moment ou jamais de la jeter par la fenêtre… Si il y avait une fenêtre, évidemment… » Maintenant qu’ils étaient débarrassés de cet état angoissant lié à la perte de l’objet, elle pouvait très bien profiter également de ce temps à part qu’on leur offrait. Elle se laissa retomber en arrière, sa tête retrouvant les coussins, fronçant les sourcils. « En tous cas, tu as raison, le mec qui a fait ça est un tordu… Il voulait vraiment qu’on s’allonge sur ce lit. »
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