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 Hey soul sister ! ft. Adriano

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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyMer 22 Fév - 17:28

Ce genre de matinée était de loin celle que je profitais, celle avec mon co-époux du réveil à la fin, je savais que la journée allait être bonne. Certaines personnes seraient sans doute gêné de se retrouver dans les bras de l’autre, de prendre une douche avec et pire encore de poser leur main sur le corps de l’autre mais pas nous. Notre relation était innocente, comme celles de deux enfants. Parce qu’on ne se posait pas de question, on avait très vite compris que l’autre était notre propre reflet. Pas physiquement ni même exactement mentalement, mais nous pouvions interpréter nos réactions sans un mot, pouvions rire sur tout. Nous pouvions même vivre nu qu’aucun des deux ne ferait la moindre remarque. Même si actuellement, il avait touché mon petit ego d’homme et m’avait vexé et qu’il continuait à s’enfoncer en me taquinant sur ma virilité. « Rattrape-toi bien. » Je ne boudais pas vraiment, je crois que je n’arriverais même pas à lui faire la tête plus de dix minutes. Pourtant ça ne faisait pas tellement longtemps que l’on se connaissait, du moins, moins que certaines amitiés de longues dates mais cette complicité c’est tellement vite formée que j’avais l’impression d’avoir toujours eu Adriano dans ma vie. Je dirais même maintenant que j’avais besoin de lui dans ma vie, je me sentirais perdu et démuni. On dit toujours que chacun à son âme sœur sur terre, je ne pense pas que cela parle réellement d’amour. Parce qu’une âme sœur et l’amour c’est différent et couplé les deux me donneraient l’impression d’avoir un piètre mélange de deux choses que j’adore. Parce que ses câlins à lui était particulier, sans ambigüité et à tout moment de la journée, parce qu’avec lui, je n’étais pas gêné d’avoir des contacts humains, parce qu’au contraire j’en étais demandeur, même actuellement dans cette douche. J’aimais être contre lui, je me sentais en symbiose avec moi-même, totalement épanoui. Je pense que je ne pourrais plus vivre sans Adriano dans ma vie. Je sais bien qu’il y aura forcément un jour où nous ne vivrons plus ensemble mais rien que d’imaginer ce moment me fait ressentir une tristesse immense. J’avais souri lorsqu’il avait évoqué ce que je faisais habituellement pour lui, comme me lever chaque matin alors que je ne vais pas en cours pour être sûr qu’il se lève, lui préparé si j’ai le temps son petit déjeuner, faire office d’agenda. « Et qui me préparerait de bon repas, me réchaufferait la nuit quand j’ai froid, viendrait prendre sa douche avec moi ? » En fait, je me rendais compte que nous ne faisions maintenant presque plus rien sans l’autre si ce n’est nos obligations quotidienne. « Moi non plus, jamais je ne divorcerais. » J’étais resté là longtemps contre lui, ma tête contre son épaule en l’entourant de mes bras. J’étais actuellement comme un petit garçon en besoin d’affection, toujours en quête de l’attention d’Adriano. Puis à peine détaché l’un de l’autre, lorsqu’il avait évoqué un petit déjeuner préparer par ses soins, je lui avais refait un câlin. Plus bref, plus spontané, je lui avais presque sauté dessus en réalité. Il en fallait peu pour me rendre heureux, et combler mon estomac suffisait largement généralement. Adriano le savait même s’il me rendait heureux sans. Suite à sa remarque j’avais ri attrapant ses deux joues, puis me mettant sur la pointe des pieds, je posais ma bouche sur sa joue droite, l’embrassant tendrement, puis sur la gauche et enfin sur ses lèvres dans un "smack" rapide. Rien de bien méchant, juste de la taquinerie. parce que j’étais ce genre de pote qui embrasse ses amis. Je l’avais déjà fait avant alors avec Adriano, c’était encore moins gênant pour moi. « Je préférais mettre toute les chances de mon côté ! » Finalement je lui avais demandé s’il comptait un jour finir de se laver ou si j’allais devoir faire le travail moi-même. Car mine de rien, cela faisait bien un moment que nous étions là dedans à rire et profiter l’un de l’autre, dans le sens pur et innocent du terme. J’avais arqué un sourcil lorsqu’il avait prit ma main dans la sienne en prenant un air triste avant de frotter son nez contre le mien en souriant, ce qui eu pour effet de me faire sourire à mon tour. C’est pas cool, il me laissait même pas faire mon râleur sans m’attendrir. Comment je fais moi dans tout ça pour être chiant ? J’avais levé les yeux au ciel en l’entendant me dire que j’allais devoir le laver. Je vous jure des fois, je devrais tourner cette fois ma langue dans ma bouche. "Bah voyons, fainéant, jusqu'à te laver seul tu as la flemme !" J’avais tout de même rit, surtout en entendant le ton qu’il avait employé pour me convaincre, comme s’il pouvait me séduire. C’était impossible. Il n’en avait pas besoin non plus. Il était mon co-époux. « Faut bien que je m’entraine pour quand tu seras vieux et que je devrais m’occuper de toi. » On avait tout de même six ans d’écart, ce n’était pas énorme mais ce n’était pas négligeable non plus et j’aimais le taquiner dessus. J’avais prit le gel douche que j’avais commencé à lui étaler sans me faire attendre. Je prenais tout au sérieux moi. J’avais commencé par lui en barbouiller sur la figure puis sur le torse, les jambes et partout quoi… Je doutais que ça le gênerait mais dans le cas contraire, ça lui apprendrait à me prendre pour sa maman. J’avais même palpé ses fesses en riant. « Je me lasserais donc jamais de ce fessier si parfait. » Je me chargeais ensuite de remettre l’eau et de bien le tirer sous le jet d’eau même si j’étais par conséquent plus proche de lui. « Propre comme un sou neuf !»
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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptySam 25 Fév - 23:27


Hey soul sister !
Adriano & Austin

C’est vrai que j’avais beaucoup taquiné Austin sur sa silhouette fine ce soir, mais en réalité, je l’embêtais simplement, je le trouvais très mignon comme ça, et je ne le voulais pas autrement. Mo co-époux, je le voulais en entier, tel quel, avec ses problèmes de fabrication, ses petites crises de jalousie parfois, et sa voix dès le matin qui essayait de me réveiller. Je posais mes mains sur ses hanches, souriant toujours plus largement en l’écoutant me parler, alors que j’embrassais son front en riant doucement. J’avais eu la chance de le croiser un jour et je me souvenais encore comment tout ça s’était passé. C’était un jour en été, alors que je rentrais de cours, la tête chargée de lois et de textes à connaître par cœur pour les partiels de la semaine suivante, je n’avais absolument pas l’envie de m’amuser ou de parler à ce moment-là, d’autant que j’avais encore des soucis avec ma petite amie pour ne pas changer les bonnes habitudes. Mais j’avais alors croisé un garçon artiste dans la rue, et puis il m’avait rendu le sourire par quelques tours de magie, qui m’avaient attirés et intrigués tout de suite. Inutile de dire qui était ce jeune homme, puisqu’il était présent dans ma douche aujourd’hui, et dans mon appartement depuis quelques temps maintenant. J’étais vraiment heureux dans notre relation, parce que elle était particulière, et que personne ne pouvait la comprendre. Mais peu importe le reste du monde, Austin me suffisait de toute façon, après tout il était toujours là pour moi et me comprenait mieux que personne, en plus d’être une véritable aide à la maison et pour me réveiller le matin. « C’est vrai, il faut que je prenne soin de moi autant que tu dois prendre soin de moi. » Je riais doucement, frottant mon nez au sien, de façon tout à fait tendre. Tous ces contacts physiques ne me dérangeaient pas du tout, et je les appréciais de façon pure. J’avais simplement trouvé mon âme sœur amicale tout simplement. « De toute si tu veux divorcer je ferais tout pour que tu me reviennes tu sais. » Je tirais un peu la langue, en allant ensuite passer une main ébouriffer ses cheveux encore mouillés et fraîchement lavés. Bien du monde pourrait trouver tout cela étrange, mais ça m’était tout à fait égal de savoir ce que pouvait bien penser le reste du monde. Qui pouvait comprendre ce que nous vivons à part tous ceux qui avaient, comme nous, un co-époux ? Il me rendait heureux et ça me suffisait. D’ailleurs tout était plus simple pour moi depuis qu’il vivait à mes côtés. La vie était tout de même plus agréable avec lui, c’était certain. Je ne pouvais plus me passer de lui, c’était un mode de vie dont ne peut pas se passer, l’essayer c’est forcément l’adopter. Et puis il m’avait rapidement embrassé, le temps de glisser un bisou rapide mais mignon sur mes lèvres, qui m’avait fait sourire sans rougir. Je ne voyais aucun mal à tout ça, je trouvais ça adorable venant de sa part, ça n’avait rien de tendancieux. Et puis il s’était mis à me laver. « Trop mignon, ce bisou, en quel honneur ? » J’avais souris, le laissant s’occuper de moi, content de ne pas avoir à faire d’efforts l’air de rien. « C’est vrai que quand je serais dans un lit en train de baver, faudra que tu laves mon dentier pour moi. » Je riais, et j’aimais bien le contact de sa main sur sa peau, ça me faisait du bien, il faisait d’une façon toute tendre, je trouvais ça adorable. De toute façon, on était toujours tendre ensemble. J’allais ajouter quand une remarque quand il parla de mes fesses. Décidemment, n’importe qui qui serait passé dans l’appartement ou aurait pu entendre notre conversation nous aurait sûrement trouvé bizarre. Mais je m’en fiche, je m’amusais toujours autant avec lui, et c’est tout ce qui m’importait. « Tant mieux, car je compte bien te faire continuer à le laver. » Je souriais un peu, me laissant faire sous l’eau, tout près de lui encore une fois, je ne pouvais pas me retenir, j’étais allé l’embrasser dans le cou doucement, pour lui rendre le petit baiser auquel j’avais eu droit juste avant. « Et maintenant que je suis tout beau et toi aussi, on va les faire nos pancakes ? » Je souriais avec tendresse, embrassant encore une fois sa peau.


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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyDim 12 Mar - 14:09

Je n’en voulais pas Adriano de me taquiné sur ma corpulence de biscotte, bien au contraire. C’était la réalité, j’étais maigrichon et je savais que mon âme sœur ne me jugerait pas sur ce point de vue là, même si lui avec un physique faisant plus rêver que le mien. J’étais bien dans mon corps et c’était l’essentiel, je faisais juste semblant de bouder pour entrer dans le jeu de l’homme sous ma douche, parce qu’on était comme ça, toujours à plaisanter l’un avec l’autre. Mais je sais bien au fond de moi que jamais je ne pourrais vraiment lui en vouloir et que je ne pourrais pas vivre sans l’avoir dans ma vie En si peu de temps, il était passé de l’élève un peu gauche en magie en mon âme sœur, celui qui me comprenait et que j’avais besoin d’avoir prêt de moi, il était ce type de personne qu’on ne peut classer et nous avions ce type de lien indescriptible tant qu’on ne le vit pas. Et je le vivais et maintenant je ne voulais pas le perdre. Je ne pense même pas que le hasard nous avait fait nous rencontrer, je pense que ça devait être le destin, un instinct qu’on ne comprend pas qui m’avait conduit à faire mes tours à cet endroit à ce moment là, je ne voyais pas comment il aurait pu en être autrement. Et aujourd’hui, je vivais avec ce garçon, je dormais avec et je prenais même ma douche, nous nous faisions des câlins nus comme des vers c’est pour dire. Mon sourire s’était agrandit quand il disait qu’il fallait que je prenne soin de lui autant qu’il prendrait soin de moi. C’était évident que nos chemins se suivraient pour toujours. Peut-être que nous vivrions pas éternellement ensemble, il trouverait la bonne fille, pas cette Talya et moi, je ferais sans doute mon chemin avec quelqu’un, j’espérais que ce soit Chelsea pour l’instant mais je savais que je ne serais jamais loin de lui. Peut-être voisin, mais je savais aussi qu’en cas de problème, il pourra débarquer quand il veut dans mon lit et je sais que peut importe qui il aura avec lui, je pourrais en faire autant. « Toujours ! » Je riais aussi lorsqu’il frotta son nez au mien. Moi qui n’avait jamais accepté par aucun de mes frères et sœurs la moindre tendresse, me retrouvait à faire des câlins et des bisous à cette personne si spéciale à mon cœur. « Je ne pense pas pouvoir me passer de toi plus de deux jours de toute façon ! » Je pouvais bien accepter qu’on me le prenne vingt quatre heures mais plus c’était hors de question. Je levais les yeux au ciel lorsqu’il ébouriffa mes cheveux, je ne pouvais même pas me venger parce qu’il était un peu plus grand et que je devrais grimper sur lui pour pouvoir lui faire ça. La vie était injuste avec moi. Mais j’aurais d’autres occasions d’avoir ma petite vengeance, on ne faisait que ça de toute façon. Il y en aurait d’autres des occasions de m’en prendre à ses cheveux, et même d’autres douches, d’autres journées ensemble. Finalement, je lui avais fait des bisous avant de l’embrasser rapidement juste parce qu’il m’avait proposé de me faire des pancakes. En tout bien tout honneur, ses lèvres n’était pas un endroit défendu pour moi, ni un endroit réservé uniquement à l’amour, c’était ses lèvres. Je n’arrivais pas à l’expliquer. Finalement j’avais été même « obligé » de le laver pour que monsieur accepte de sortir de la douche. « Le bisou, c’est parce que tu me fais des pancakes, alors je te remercie ! » Le pire c’était sans doute qu’il faisait vraiment le pacha, me laissant le laver. Il ne plaisantait vraiment pas. Mais ça ne me dérangeait pas. « Je peux te laver et te changer tes couches autant que tu le voudras, mais je ne toucherais pas à ton dentier ! » C’était sans doute ridicule comme façon de penser mais je me devais de mettre des conditions. Je ne suis pas infirmier moi ! Une fois fini, je n’avais pu m’empêcher de faire une petite remarque sur ses fesses dont je ne me lasserais jamais. Dire que tant de fille rêvait juste de les voir et que moi j’y avais libre accès. Ca m’amusait de penser ainsi. « Il te faudra plus que le petit déjeuner si tu veux que je lave chaque jour ! » Il était alors venu contre moi me plaquant contre la douche pour m’embrasser dans le cou ce qui me fit rire, je passais mes mains dans son dos relevant la tête. « J’attends que ça » Je n’avais qu’une hâte, les manger les pancakes. J’attendais qu’il sorte en premier, je le suivais à mon tour pour quitter la douche. J’attrapais une serviette que je lui lançais. « Aller débrouilles toi comme un grand ! » J’en prenais une pour moi que je passais sur mes cheveux trempés et dégoulinant. J’arrivais derrière lui pour lui sauter sur le dos en espérant qu’il me rattrape puis une fois en hauteur, je plaçais ma serviette à cheveux sur les siens pour frotter et la lui laisser une fois que j’avais fini.
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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyMar 14 Mar - 13:21


Hey soul sister !
Adriano & Austin

Quand je me retrouvais avec Austin, je ne pouvais qu’être heureux. Ça pouvait paraître stupide voir même étrange pour la plupart des gens, mais pour moi c’était comme une évidence, et notre relation me paraissait simplement unique et fabuleuse. Avant d’arriver en Amérique, je n’avais connu ce genre de liens avec personne d’autre, et d’ailleurs, je ne le voulais avec personne. Même si j’ai de nombreux amis, c’est mon co-époux, qui bien souvent, parvient à m’arracher un rire ou un sourire, quand ça ne va pas vraiment et quand mon monde n’est pas le plus beau. Il suffit de quelques mots de sa part pour que tout aille mieux, et ça, c’est quelque chose qu’il est le seul à savoir faire. J’avais souris en le regardant, tandis que nous étions toujours aussi proches, les corps nus collés l’un contre l’autre, sans que ça ne nous gêne. Après tout, pourquoi devrions-nous-en rougir, alors qu’il y a quelques secondes à peine, il m’avait donné un petit baiser du bout des lèvres, et j’avais apprécié. J’avais passé mes mains sur ses hanches pour le tenir et l’attirer doucement contre moi, les yeux plongés dans les siens. Je ne pouvais pas détacher mon sourire radieux de mon visage, puisque c’était lui qui le provoquait. « Deux jours hein ? Tant mieux, parce que moi non plus je ne peux pas me passer de toi. Et de toute façon je t’interdis de pouvoir te passer de moi. Même une seule journée, ou une seule nuit. » J’avais donné une petite pichenette amicale sur son nez tout en l’observant. La plupart de nos phrases et de nos gestes ne constituaient que des sous-entendus, ou des petites choses mignonnes et romantiques, et la plupart du temps, quand nous étions en public, j’aimais bien en jouer pour faire douter les autres. De toute façon, nous étions toujours assez flous, et personne ne comprenait réellement la nature et la beauté de notre véritable lien. Je plains tous ceux qui n’ont pas trouvé leur co-époux, car je pense que c’est un sentiment unique que tout le monde devrait vivre un jour pour comprendre le sens du mot fraternité. Et puis prendre une douche c’est tellement plus amusant avec quelqu’un comme Austin. « Ça veut dire que je n’ai pas le droit à un bisou juste parce que tu m’aimes ? Je suis obligé de te gâter pour en avoir un ? » Je prenais une mine un peu boudeuse, faisant comme si cette nouvelle me faisait de la peine, et peut-être que ça me permettrait d’avoir un nouveau témoignage de son affection, après tout on ne sait jamais. A nous voir tous les deux, on pouvait croire que ça durerait éternellement, mais c’est certain que un jour ou l’autre, on ira vivre avec quelqu’un, sûrement une copine et un jour une femme, une famille. L’amour ça éloigne souvent les amis, mais lui, impossible. Quoi qu’il arrive, j’étais convaincu que notre relation resterait la même, et qu’importe, je me glisserai dans son lit ou sa douche de temps en temps si il le faut. « Quoi ? Tu fais du chantage ? Frotter mon corps nu ça te suffit pas comme récompense ? » Je riais doucement, tandis que je coupais l’eau, sortant de la cabine de douche en passant une serviette autour de ma taille. J’allais me tourner pour lui dire de me rejoindre, quand je sentis son corps se jeter dans mon dos. Je levais les yeux au ciel avec amusement, tandis que je le maintenais. J’aurai pu porter un enfant que ça aurait été pareil tellement je le trouvais léger. Au moins il m’avait séché les cheveux, c’était déjà ça. « Tu me prends pour ton cheval ou tu voulais simplement une excuse pour me monter dessus ? » Je souriais un peu à ma phrase, sortant de la salle de bain pour aller vers ma cuisine ouverte. Là, je le déposai sur le plan de travail. Pour un peu ça faisait scène de film romantique. Je lui tapotai la tête doucement en souriant.


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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyMar 21 Mar - 18:17

Cette journée commençait si bien, auprès d’Adriano je ne pouvais qu’être heureux. Parfois, je me demandais presque comment je faisais avant de l’avoir, maintenant en y repensant ma vie me paraissait plus sombre, comme s’il y avait un immense vide en moi que je ne parvenais pas à combler. Certes j’avais toujours ce manque en moi de Connor, mon frère jumeau sans oublier le petit Blue qui me manquait affreusement mais Adriano remplissait une autre part de moi. Il était mon âme sœur après tout. Alors ce week-end qui commençait si bien allait juste être parfait ! C’est pour cela que je n’avais même pas hésité à décaler mon programme de la journée pour pouvoir rester avec Adriano toute la journée. J’avais beau adoré plus que tout passer du temps avec et vivre en sa compagnie, nos emplois du temps ne coïncidait pas forcément l’un avec l’autre. C’était tellement dommage mais ça rendait nos retrouvailles encore meilleures. Et j’en profitais actuellement dans cette douche, même si nos corps étaient nus, même si nous étions trempés, rien ne me gênait quand j’étais avec lui. Alors oui, même s’il n’y avait aucune relation ni amoureuse, ni sexuelle entre nous, je préférais cent fois plus prendre ma douche avec lui que seul, c’était franchement moins marrant. Mes yeux étaient plongés dans les siens tandis qu’il répondait au fait que je ne tiendrais pas deux jours sans lui. Il était d’accord sur ce fait et en était content parce que lui non plus. Il m’interdisait même de le faire plus d’une journée. « Tu sais bien que je suis un homme libre » Je le taquinais, il le savait évidemment que rien qu’une journée entière sans lui serait affreusement longue. Même en semaine, j’attendais souvent qu’il rentre pour qu’il me raconte ses journées, pour le prendre dans mes bras et ne plus le quitter avant de dormir, même si parfois on ne parlait pas lorsqu’il se plongeait dans son travail. C’était pour le plaisir d’être ensemble avec mon co-époux, celui qui me donnerait presque envie de me marier. Nos proches savaient bien que nous n’étions pas ensemble mais d’un point de vue extérieur, nous semblions être le parfait petit couple. Ca ne me dérangeait pas d’avoir cette image et qu’on me voit ainsi, je n’avais pas d’honte à être perçu comme gay parce ce qui comptait, c’était que rien ne pourrait gâcher cette relation si particulière même si je devais pour ça, lui laver moi-même le corps. « Non ça veut juste dire que je joins l’utile à l’agréable » Soupirant de façon exagéré, je l’avais prit dans mes bras comme pour le réconforter, même si encore une fois je faisais ce que je disais être joindre l’utile à l’agréable. Mais ça ne m’empêchait pas d’avoir mon sens des affaires, si déjà je devais le laver tous les jours, j’avais intérêt à en avoir pour mon compte aussi. « Désolé mon amour mais même si j’adore frotter tes belles petites fesses, ça ne suffira pas, il me faudra un salaire » Je tapotais son torse avec un regard rempli de fausses compassions. Malheureusement, cette douche prit fin et il nous fallut sortir de la douche même si j’aurais pu y resté toute la journée. Enfin, ça n’aurait pas vraiment aidé la planète et la facture d’eau aurait été salée. Le voyant se vêtir d’une serviette, en grand enfant que j’étais, j’avais préféré lui sauter sur le dos en riant pour lui sécher les cheveux. J’avais juste envie de l’embêter un peu et de rire aussi, heureusement qu’il ne m’avait pas lâché. « Un peu des deux ! » Je riais franchement avant qu’il ne sorte de la salle de bain malgré le fait que je dégouline encore et que moi je n’avais pas de serviette. Heureusement que nos voisins d’en face n’était pas du genre à nous espionner avec des jumelles parce qu’ils auraient eu de quoi se rincer l’œil avec nous. Une fois posé sur le plan de travail, je me séchais rapidement avant de bondir sur mes pieds et d’enfiler à mon tour la même serviette humide autour de ma taille. « Et maintenant, opération cuisine ! » J’avais mis tellement d’enthousiasme dans cette phrase qu’on avait l’impression que je n’avais pas mangé depuis quelques jours. Pendant ce temps, je me rendais dans nos armoires pour me prendre des fringues et à lui aussi. « Tu veux mettre quoi aujourd’hui ?! » Décidemment, on était vraiment devenu un vieux petits couples qui faisaient tout en même temps, de manière efficace.
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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyLun 27 Mar - 14:22


Hey soul sister !
Adriano & Austin

[size=13]Clairement, si quelqu’un avait seulement pu être témoin de ce qui s’était passé sous cette douche, il se serait obligatoirement posé des questions sur la réelle nature de notre relation à moi et à Austin, mais qu’importe, ça faisait partie du charme de l’ambiguïté quand on avait l’occasion et le bonheur d’avoir tout comme moi, un coépoux rien que pour soit. J’aurai pu encore rester bien des heures sous l’eau chaude à rire de façon aussi légère mais il était temps de quitter la salle de bain pour la cuisine, et il faut dire que c’était sans aucun doute la meilleure solution pour ma facture d’eau. Depuis quelques temps, Austin vivait chez moi, sans payer de loyer, mais c’est quelque chose qui ne me dérangeait absolument pas, et je lui en avais déjà touché un mort. Je l’appréciais, et c’était pour moi tout à fait naturel de l’héberger, surtout au vu de notre relation. Avant, j’habitais seul, alors ça avait été un changement pour moi, que je ne regrettais pas, et c’était beaucoup plus agréable de dormir avec un coépoux dans les bras, que seul. Je ne comptais plus les nuits passées l’un contre l’autre, à caresser ses cheveux ou à le papouiller comme des amoureux, qui n’en sont pas. Il avait réussi à m’attendrir comme personne, et c’était presque mon petit chaton en moi en fin de compte. Bien qu’il prenait beaucoup plus de place qu’un chat. « Un salaire ? J’espère que je peux te payer en nature… » J’avais eu un petit sourire carnivore tout en mordant tendrement son cou, en y laissant ensuite un doux baiser pour réconforter un peu sa peau que je venais pourtant de malmener. Si j’avais été attiré par les hommes j’aurai sans doute craqué, mais comme ce n’est pas le cas, notre amitié n’avait pas de limites, et nous nous permettons énormément de choses. Ça ne me gênait pas, j’aimais ça, et sans que ce soit ambigu. Nous avions quitté la douche, et pour moi, ça avait bien évidemment été à contrecœur. Ma serviette autour de la taille, je m’étais retrouvé dans la cuisine, tandis que le soleil passait à travers la baie vitrée de mon salon. L’appartement était baigné de lumière et c’était une sensation que j’adorais et qui me mettait dans une forme olympique dès les premières heures du petit matin, surtout quand Austin était là pour partager tout ça avec moi, c’était encore mieux bien entendu. J’avais ouvert le placard pour poser sur la table tout ce qui pouvait me servir à préparer les pancakes que j’avais promis à mon coépoux pendant notre douche. Je ne le regrettais pas puisque faire de la pâtisserie avait toujours été mon petit point faible, ma passion inavouée. Bien sûr, puisqu’il vivait avec moi Austin savait que j’adorais en faire, et il n’hésitait pas à me faire les yeux doux pour avoir de temps en temps quelque chose de sucré à se mettre sous la dent. Tandis que je m’étirais en préparant le saladier, je laissais Austin s’en aller vers la chambre tout en lui claquant les fesses au passage en prenant soin de les masser un peu histoire de l’embêter. Je l’entendais visiblement dans ma chambre, et je ne doutais pas qu’il me pique encore des caleçons. Il pensait sans doute que je ne m’en rendais pas compte car je ne lui avais jamais fait la remarque. « Je vais traîner en boxer pour que tu puisses mater ton fantasme, donc apporte juste un propre ça ira. » Je levais les yeux au ciel en souriant, je m’imaginais déjà sa réponse, mais j’aimais le taquiner de toute façon, il me le rendait bien. « Et puis viens m’aider, j’ai envie d’étaler de la pâte à tartiner sur toi pour te lécher partout. » Je riais bêtement à ma connerie attendant qu’il revienne dans la cuisine pour me tenir compagnie. Il me manquait déjà au bout de quelques secondes le petit con.[size]


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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyMer 29 Mar - 21:58

Peut-être n’étions-nous pas normal au fond ? Nous prenions notre douche tous les deux, nous nous enlacions, nous embrassions même sans qu’il n’y ait le moindre sentiment amoureux. Peut-être n’avions nous pas de limite ? Tout me paraissait tellement naturel, voir son corps nu ne me donnait aucune mauvaise, idée, le toucher non plus si ce n’est le taquiner. Je pouvais passer toutes mes nuits dans son lit sans le moindre dérapage, ni la moindre pensée de dérapage. Alors oui, peut-être que nous avions un problème et que nous n’étions pas normal mais je ne voulais pas changer. Si être normal consistait à se mettre des barrières avec les gens que l’on aime le plus, je ne voulais pas l’être. Parce qu’être sous la douche avec lui, je ne m’en laissais pas et je ne voulais pas que cela soit le cas, j’étais bien avec lui, j’étais bien contre lui, ça me réconfortait et je me sentais à ma place, auprès de mon âme-sœur, de mon co-époux, c’était tellement simple pour moi. J’aurais pu rester des heures sous l’eau avec lui mais ce n’était pas possible, je n’aimais pas gaspiller trop l’eau et la facture serait salée. Déjà que je ne payais pas, j’évitais alors d’ajouter des dépenses inutiles à Adriano. Je savais que ça ne le dérangeait pas et ça me touchait, parfois ça me gênait un peu cette sensation mais je me rappelais que j’étais chez lui et que jamais il ne me reprocherait quoi que ce soit. Toutefois, je cherchais tout de même une solution, car il y aurait bien un jour où Adriano ferait sa vie d’adulte et je ne voulais pas être un poids, ni gâcher quoi que ce soit. J’avais peut-être encore le temps, pour l’instant c’est moi qui me réveillait dans ses bras, sur son torse, mon corps contre le sien, parfois victime des effets du matin, d’autres fois non. Et ça me brisait le cœur de me dire que ça ne durerait pas toute une vie, qu’il allait falloir que nous nous construisons mais c’était normal et je ne nous souhaitais que ça, s’épanouir pleinement dans nos vies d’adultes. Ce qui ne semblait pas près d’arriver, étant donné que sa seule ambition actuelle était que je le lave chaque jour. Et même si c’était un plaisir de pouvoir balader mes mains sur absolument chaque recoin de ce corps qui en ferait fantasmer plus d’un, j’avais exigé un salaire qu’il espérait pouvoir payer en nature. « J’aime ce genre de nature ! Tu le sais bien » J’avais ri de bon cœur avant de le sentir me mordre le cou, ce qui me fit grogner légèrement. Je n’avais pas forcément eu mal mais tout de même, je préférais nettement le doux baiser qui suivit au même endroit. Parfois, je regrettais presque de ne pas être amoureux d’Adriano, que nous n’ayons pas de véritables sentiments amoureux l’un pour l’autre, tout serait tellement parfait, il serait sans doute mon grand amour. Mais hélas ce n’était pas le cas, et au fond, je ne voulais rien changer à cette relation si parfaite. J’avais entouré mes bras autour de son cou un peu trop haut pour moi, profitant d’une dernière étreinte avant de quitter cette cabine de douche, témoin de cette affection si particulière. Nous avions finalement rejoint la cuisine, moi sur son dos d’abord puis sur le plan de travail. La pièce était illuminée et j’avais observé Adriano aller vers les placards. Je réalisais alors que j’étais heureux, j’avais enfin trouvé le bonheur dans cette ville et une grande partie du mérite lui revenait. Je le laissais démarrer la préparation des pancakes tandis que je m’étais dirigé vers l’armoire d’Adriano pour lui prendre quelques affaires, non sans me faire claquer les fesses avant par mon co-époux, ce qui avait eu pour effet de me faire me dandiner pour le provoquer. Sa chambre et son armoire étaient un peu devenue mienne aussi au fil du temps, surtout son lit en réalité car à la base, j’avais affirmé que le canapé me conviendrait amplement mais ses bras sont tout de même plus confortables. Évidemment, je lui piquais un de ces caleçons. J’avais les miens pourtant mais… J’aimais bien mettre les siens, sans doute pour l’embêter un peu même s’il ne m’avait jamais vraiment rien dit. Je lui piquais des hauts aussi parfois, mais c’était plus pour trainer quand il fait froid car je finissais presque avec une robe. Je lui avais tout de même demandé ce que lui désirait après lui avoir encore emprunté un des siens, me recouvrant enfin le bassin pour ne plus le tenter à me tripoter les fesses. « Tu serais mieux sans dans ce cas, tu serais tellement sexy nu en train de cuisiner ! » Je rentrais encore une fois pleinement dans son jeu, lorsqu’il m’avait dit resté en boxer pour que je puisse le mater. J’avais levé les yeux au ciel quand il avait enchainé en me demandant de revenir pour m’étaler de la pâte à tartiner sur le corps et pouvoir la lécher ensuite. « J’arrive j’arrive ! » Il était con mais ça me faisait tellement rire, le pire étant surement que je finirais sans doute réellement avec de la pâte à tartiner partout. Qui a dit que vivre avec Adriano était simple ? Ca l’était pourtant, il y avait bien pire comme compagnie ! J’avais prit un sous vêtement pour lui et je l’avais rejoint dans la cuisine alors qu’il était devant son saladier. Arrivant derrière lui, je lui avais attraper franchement les fesses en riant toujours. « Livraison de sous-vêtement à domicile ! » Posant ensuite mon regard sur la pâte en préparation, je ne pu m’empêcher de mettre mon doigt dedans pour la gouter. « Hm… J’adore ! »
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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyDim 2 Avr - 18:13


Hey soul sister !
Adriano & Austin

Cet instant passé sous la douche avait été tellement agréable, comme tous ceux passés avec Austin d’ailleurs. Je me souviens encore de notre rencontre dans la rue, et ça me semble tellement loin maintenant, tellement dérisoire. Finalement, moi qui n’ai jamais cru au destin, quand je me retrouve avec lui, je me demande quand même si certaines personnes ne sont pas destinées à être ensembles quelques temps ou alors toutes leurs vies. Je l’avais laissé partir vers la chambre en souriant, tandis que je commençais à faire les pancakes que je lui avais promis il y a de ça quelques minutes à peine. Je le savais gourmand mais comme je le suis au moins autant que lui ça ne me gênait pas du tout. Alors que je faisais la pâte beaucoup de questions me venaient subitement, soupirant doucement, je regardais en direction de ma chambre. J’aimais plus que tout au monde ma relation avec Austin, même si certains de mes amis ne la comprenait pas, et il faut dire que leur avis m’importait peu au final. C’est vrai que si j’avais été attiré par les garçons, les choses auraient peut-être été différentes, et je dois avouer, que parfois, j’aimerai bien savoir comment tout cela aurait pu être, mais ce n’est pas le cas, alors je laisse les autre médiser sur notre relation de coépoux si ça peut leur faire plaisir, mais moi c’est quelque chose qui me convient tout à fait et je n’ai pas besoin de leur approbation pour être heureux de cette façon. Je laissais Austin revenir vers moi en souriant, prenant le boxer et en l’enfilant rapidement. « Si il y a que ça pour te faire plaisir je peux très bien rester nu tu sais que ça ne me dérange pas du tout. » Je riais doucement, alors que je me penchais pour l’embrasser sur la joue rapidement. C’est vrai que je n’ai jamais vu où était le mal dans nos gestes de tendresses, et j’aimais ça, tout simplement. Je ne me voyais pas me passer de nos nuits, de nos instants à deux et même ses baisers parfois rapides me manqueraient vraiment. Alors pour le moment j’étais heureux de pouvoir vivre avec lui. Je le regardais manger la pâte à tartiner tandis que je lui donnais une petite claque sur la main comme on le fait à des enfants qui ne seraient pas sages. Je souriais en levant les yeux au ciel doucement. « Hé gourmand ! C’est pour après ça hein ! » Je soupirais doucement en terminant de préparer la pâte haussant un sourcil en regardant de façon aléatoire Austin et le pot de pâte qui se tenait sur la table. Une idée stupide me vint en tête mais après tout c’était un peu de sa faute, c’était lui qui avait commencé à jouer avec la nourriture. Je glissais mon doigt dans le pot de pâtes à tartiner pour en laisser mon index se recouvrir et je le posais sur sa joue en ricanant. « T’as pas l’air idiot comme ça hein. » Je le laissais un peu en galère, et puis je me penchais doucement pour aller lécher la pâte en le regardant. J’aimais bien le provoquer un peu, toujours dans cette idée de confirmer l’image que les gens avaient de nous, parfois ça m’amusait et on savait que ce n’était pas bien méchant. Doucement je mordais un peu le coin de ses lèvres pour être certain de ne pas laisser de pâte. « Cochon, t’en avais partout. » Je ricanais un peu, m’éloignant à nouveau pour continuer la préparation.


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MessageSujet: Re: Hey soul sister ! ft. Adriano    Hey soul sister ! ft. Adriano  - Page 2 EmptyMer 5 Avr - 2:02

Notre douche me manquait déjà, c’était tellement spécial ce genre de moment. Mais en réalité tous était spéciaux. Du moment qu’il était avec moi et qu’il me prenait régulièrement dans ces bras. C’était étonnant même que je l’accepte et que j’en fasse de même. Adriano était quelqu’un de très tactile, toujours en train de me câliner et m’embrasser sur la joue, le front etc et j’en redemandais presque alors qu’avant j’aurais été plus que gêné par ce genre de contact avec quelqu’un. Mais maintenant, j’avais hâte de manger et en attendant, je m’étais dirigé vers la chambre, le sourire aux lèvres dans le but de me vêtir un minimum et qu’il le soit aussi, même si ça ne me gênait pas de le voir nu. Ca ne me gênait pas non plus de l’être, je ne savais même pas pourquoi j’allais nous chercher des sous-vêtements, sans doute pour la forme car au fond on s’en fichait d’être en tenue d’Adam ou habillés. Au moins ça me passait un peu le temps en attendant les pancakes, j’étais du genre gourmand et j’avais vraiment hâte de pouvoir les manger, heureusement que ça ne m’était pas tellement de temps à se préparer, j’allais pouvoir survivre et ne pas mourir de faim en succombant à l’odeur qui aller commencer à flotter dans les airs. Je revenais alors vêtu de l’un de ses sous-vêtements, l’autre pour lui à la main. On disait souvent que les sous-vêtements ça ne se prête pas mais encore une fois, ça ne me dérangeait pas. Lui non plus, puisqu’il ne semblait encore jamais rien m’avoir dit. Dans tous les cas, je lui aurais bien prêté les miens mais je craignais qu’il ne se sente un peu à l’étroit dedans. Moi j’aimais les siens, plus larges, je me sentais à l’aide dedans. Toutefois même en lui donnant le boxer, je râlais faussement en lui disant que s’il voulait que je le matte, il ferait mieux de rester sans. Il serait tellement sexy à cuisiner nu comme il le faisait déjà. « Ne me tente pas ! » Je riais, je savais qu’il serait capable de rester nu toute la journée et au fond ça me serait égale mais je ne lui avais pas rapporté son boxer pour rien, alors il l’avait enfilé, cachant de ma vue son beau petit derrière et son service trois pièces qui aurait fait complexé plus d’un homme. Lorsqu’il m’avait embrassé sur la joue, je n’avais pu retenir un sourire avant d’attraper son visage avec mes deux mains et de lui en faire un à mon tour sur la sienne le plus fort possible avant de rire. Je me sentirais mal si du jour au lendemain on me retirait tout cela, Adriano, nos gestes de tendresse, nos moments ensemble. Je m’y habituais et je ne voulais plus devoir me réhabituer à ne plus en avoir. C’était idiot mais c’était devenu vitale, Adriano était mon co-époux, mon âme sœur et il était maintenant une part de moi, comblant tous ces vides en moi accumulés au fur et à mesures des pertes que j’avais vécu. M’asseyant sur le plan de travail, j’avais plongé mon doigt dans la pate à tartiner avant de recevoir une petite tape sur la main. « Hé ! » avais-je râlé alors qu’il me rouspétait dessus en me disant que c’était pour après. C’est pas juste, j’avais faim moi. Je faisais une petite moue d’enfant boudeur, en croisant mes bras contre mon torse jusqu’à ce qu’il ait l’idée de glisser son doigt dans le pot et de me l’étaler sur la joue. J’avais posé d’abord ma main sur ma joue pour bien confirmer qu’il avait ce que je pensais qu’il avait fait. « Mais t’as des soucis mon p’tit Adri ! » Je ne me vexais pas mais il s’était un peu emballé. Je m’apprêtais déjà à commettre ma vengeance quand il vint vers moi pour lécher la pâte directement sur ma joue ce qui me fit quand même rougir parce que je m’y attendais pas. Je n’avais pas pour autant bouger trempant à mon tour mes doigts dans le pot en tentant qu’il ne me voit pas et quand il eut fini et qu’il commença à me narguer, je bondissais sur lui pour tenter de lui en mettre partout, sur le visage le torse, partout. Malheureusement pour moi j’étais une crevette et il ne lui fallu pas bien longtemps pour me retenir les bras, les mains pleines de pâtes à tartiner un peu étalée mais pas tellement. « Si t’espère que j’te lèche le corps, tu te fourre le doigt dans l’œil. » disais-je en visant du regard l’un de ses pectoraux et son ventre, sans parler du coin de ses lèvres. Moi je le laissais dans sa galère de petit cochon. « C’est qui le cochon maintenant ? »
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