|  Sujet: Re: OLIVAEL ✻ You want me to fix you but it's never enough Jeu 7 Déc - 20:35 | |
| « Un jour promis. » Tu lui souris, avant de t’endormir paisiblement. Tu les hais tes cauchemars. Encore plus quand ils prennent l’apparence de ta phobie. Ou tout du moins, de l’une de tes phobies. Tu les hais. Et encore plus ce soir parce que tu es épuisée. Cela fait bien trop de nuits que tu ne dors pas assez et le contrecoup s’en fait ressentir désormais. Tu as l’impression quand tu fermes les paupières que tu pourrais tomber dans un sommeil profond qui ressemblerait plus à un coma si on y pense bien. Mais non. La tu es toute éveillée. Tu es même désorientée, tu ne sais plus où tu es, ni même l’heure qu’il est. Enfin, tu te doutes. Il est bien trop tôt, il n’y a aucune vie dans l’appartement. Tu te souviens que tu es chez Oliver et tu ne l’entends même pas. Tu as froid dans ce grand lit, la, toute seule. Tu as besoin de ses bras, de te sentir en sécurité. Tu as besoin de le sentir tout contre toi. De sentir ses lèvres contre ton peau, et qu’il te dise qu’il sera la. Tout le temps. Mais est-ce que tu veux vraiment qu’il te dise ça ? Tu fais taire tes questionnement en le rejoignant dans la cuisine et tu es apaisée. Juste un instant. Parce que ça revient en mémoire. Bien trop, les questions, l’envie de tout foutre en l’air à coup de réponses qui ne plaisent pas. « Je ne sais pas... J’ai peur. Demain au bureau. J’ai peur de pas savoir me tenir alors que je sais que j’en suis capable. Mais ça tourne dans ma tête. Et j’ai peur aussi, que tu trouves quelqu’un de mieux que moi. Quelqu’un qui te mérite plus que moi. Et puis, après tout je suis un peu fêlée. Alors, peut-être que tu te lasseras. Mais on a pas parler d’avenir. On doit ps parler d’avenir. J’ai juste envie de voir venir. » tu te contredis bien trop Azrael et tu soupires en te taisant, fermant les yeux quand il t’embrasse, tu humes son odeur pour ressentir encore un peu plus de confiance. Et tu souris. Tu ne comprends pas vraiment ce qu’il te dit mais tu n’as le temps de rien dire que tu te sens dépossédée de tes jambes, et tu ris un peu avant de nicher ta tête contre le creux de son cou. Ca te fait du bien d’être là, dans ses bras, tu n’aurais voulu être nul part ailleurs. Tu te laisses faire, tu te laisses porter et tu te blottis contre lui, tes doigts caressant avec automatisme ses bras. Tu réponds à son baiser avec une tendresse infinie et tu fermes les yeux un instant « Dors aussi... » Toi il ne te faudra pas beaucoup de temps pour t’endormir parce que tu sens déjà sombrer, mais tu tiens encore à lui parler « C’était l’une des meilleures soirées de ma vie. J’ai pas envie d’être à demain... J’ai envie de te garder pour moi... » Ta voix est tout à fait endormie et tes gestes perdent de leur intensité et tu t’endors rapidement. Trop rapidement à ton goût mais tu j’as plus la force de lutter. Plus maintenant. |
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| | Sujet: Re: OLIVAEL ✻ You want me to fix you but it's never enough Ven 8 Déc - 0:34 | |
| Azraël & Oliver Why do you hurt me like that?   Tes mots ne sortent pas, tu ne sais pas comment la rassurer, tu voudrais, mais tu sens que ça ne va pas l'aider d'autant plus qu'elle est exténuée. Tu le vois. Tu ne peux pas le louper et toi, tu as l'air bien malin avec ton café. Mais au moins, l'un de vous eux va trouver le sommeil cette nuit. Tu vas encore devoir purger ta peine et ne pas fermer l’œil pour plus de dix minutes par période. Tu pinces les lèvres, silencieux, écoutant ses paroles qui te rende mal à l'aise. « Ce n'est que le début, ça va aller ma belle, tout ira bien, ne pense pas trop. » Tu murmures doucement, tes lèvres contre sa peau et puis, voilà, tu la soulèves, tu la portes. Comme une princesse et tu vas la poser sur le lit, sous les draps, tu la bordes avec tendresse et tu restes à ses côtés. Tu souris avec tendresse à l'écoute de ses derniers mots. « Repose-toi, tout va bien. » Sa voix est magnifique, elle est marquée par le sommeil et ça t'attendrit, tout comme son visage. Elle dort. Tu passes tes mains dans ses cheveux, tu les caresses. Tu restes comme ça, tu ne bouge pas, tu ne dors pas. Tu attends qu'elle soit dans un sommeil profond et puis tu quittes le lit. Sans gestes brusques, tu pousses les draps et tu colles ton oreiller contre elle, qu'elle se sente moins seule. Tu quittes la chambre et tu vas dans le salon après avoir récupéré tes affaires. Tu sors tes dossiers et tu commences à travailler, c'est ce que tu fais de mieux et tu préfères le faire ici, si tu étais resté dans la chambre, tu aurais été distrait par la présence de la jeune femme qui se trouve dans tes draps et qui passe une très bonne nuit, enfin tu l'espères. Il faut au moins que quelqu'un se repose cette nuit et tu sais que ça ne serait jamais toi. Tu passes ta nuit sur tes papiers. Comme toujours lorsque tu es incapable de rester sous les draps, tu vas bosser, lire tes anciens dossier, prendre des notes, t'occuper des affaires en cours, tu prends de l'avance, tu bosses pour les autres et tu te perds dans ton travail, parce que c'est évident moins compliqué de travailler pour toi, que de penser au reste de ta vie qui au final n'est qu'un vrai bordel et actuellement, tu te demandes si la faire entrer dedans ça ne va pas lui faire plus mal qu'autre chose. Tu as peur de ne pas être capable de lui offrir ce dont elle a besoin. Tu passes ta main sur ton visage après avoir regardé l'heure, il est près de cinq heures du matin. Tu sens que ton corps est à bout et tu as des tonnes de papiers sur la table du salon, des notes partout, tu es à bout. Tu soupires avec force et t laisses tout en plan pour la rejoindre dans le lit essayant de faire taire tes pensées négatives. Tu dois te faire confiance et te dire que tout ira bien pour vous. Tu dois arrêter. Tu glisses sous les draps et tu te colles à elle, tes lèvres dans sa nuque et tu te forces à fermer les yeux. Tu te reposes, tu ne dors pas, mais ton corps se détend. Enfin. FIN |
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