[Adricob#3] -HOT- La vengeance c'est mal il paraît

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Adriano & Jacob

La vengeance c'est mal il paraît.

De toute évidence il ne m'en veux pas du tout, au contraire, il semblait plus mal à l'aise qu'autre chose au début et je comprends ça, avec ce qu'il s'est passé entre nous il y a quelques semaines c'était délicat pour lui, sans doute, de vouloir en discuter avec moi de ce que nous avons fait tous les deux et j'ai imaginé que c'était la meilleure chose à faire pour nous : que je mette une certaine distance entre nous. Moi en tout cas je voyais les choses comme ça, je me disais qu'en mettant une certaine distance entre nous et bien que ça irait mieux ensuite, sans nul doute que c'était l'idée la plus foireuse que j'ai pu avoir jusqu'à présent mais je pensais sincèrement qu'il n'y avait que ça a faire et pour le coup je reconnais volontiers que j'ai fais une très grosse connerie en agissant de la sorte. Adriano compte tellement pour moi ce fût tellement douloureux pour moi d'être sans nouvelles de lui pendant toutes ces semaines, ne pas échanger une seule discussion, pas même au téléphone, je déteste être éloigné de lui. Pour moi lorsqu'on s'éloigne comme ça c'est comme si on m'arrachait le cœur et qu'on le réduisait en bouillit, voilà l'effet que ça produit sur ma personne. On peut donc rapidement en arriver à se dire que c'est loin d'être amusant pour moi quand on s'éloigne tous les deux. Cependant je pense sincèrement que ça va aller, ça finira forcément par aller entre nous, je l'espère, il faut qu'on discute, il faut qu'on fasse quelque chose, il ne faut pas qu'on reste comme ça avec des idées plein le crâne sans en parler à l'autre. Moi en tout cas je ressens les choses de cette façon. Habituellement nous n'avons aucun mal pour discuter Adriano et moi alors je me dis qu'il n'y a aucune raison pour qu'un manque de communication se créer tout d'un coup. Pourtant, je suis bien obligé d'admettre que c'est précisément ce qu'il s'est passé quand je suis arrivé ici et qu'on a tous les deux esquivés le sujet comme si nous n'avions rien fait de bien particulier. Me voilà donc assez gêné alors que je suis face à lui et malheureux aussi parce que c'est bien la première fois depuis toutes ces années qu'on se connait lui et moi que je me retrouve dans une telle position face à lui. Je n'aurais jamais imaginé qu'on aurait pu en arriver là, tout d'abord à nous retrouver a nous chauffer il y a quelques semaines de cela et aussi à nous retrouver et esquiver le sujet comme si nous avions commis un meurtre. Moi je reste braqué sur mes positions et je me dis que nous n'avons rien fais de mal, évidemment, j'admets volontiers que nous sommes allés beaucoup trop loin mais quand même de là à penser ou a dire que c'est quelque chose de grave ? Non je ne pense pas que ce soit si grave, on s'est juste considérablement rapprochés et nous aimons ce que nous faisons tous les deux, nous avons aimé et je vois bien dans ses yeux qu'il est toujours tenté même s'il le cache. Alors lorsque je vins à l'entendre me dire qu'il vint à me faire une déclaration je souris et le dévisage longuement. « Je suis content de te l'entendre me le dire... » Dis-je à mon brun tout en affichant un grand sourire sur mes lèvres tandis que je le dévisage longuement de mes yeux sombres. Après quoi il repart sous la douche et après une rapide hésitation de ma part je me décide à le suivre tout en me dessapant totalement histoire de ne pas mouiller mes fringues. Je ne suis même pas gêné de me retrouver à poil devant lui tout d'abord parce que je suis parfaitement à l'aise dans ma nudité et en second temps parce qu'il m'avait déjà vu à poil précédemment. Il se tourne finalement vers moi me dévisageant à son tour tandis que je passe mes lèvres dans son cou sensuellement, là il me pousse doucement contre le mur et se colle contre moi. Quand il ouvre enfin la bouche je grimace comprenant que j'ai forcément mal agi en le laissant comme ça sans nouvelles et ça m'embête parce qu'en faisant ça il m'oblige à me remettre en question et il sait très bien que je déteste ça. « Je suis désolé... Je ne voulais pas te faire du mal. » Avouais-je mal à l'aise tandis que je le dévisage longuement de mes yeux sombres tout en me collant davantage contre lui. Il colle d'ailleurs son engin contre le miens et l'effet est immédiatement je me sens chaud, très chaud même et j'ai envie de lui aussi, de multiples émotions se déroulent dans mon crâne à tel point que je ne saurais définir ce que je ressens précisément. Soudain il rouvre la bouche tout en posant ma main sur son cœur me demandant de lui réparer je le fixe et acquiesce. « Je ne te ferais plus ça c'est promis... Je pensais que c'était la meilleure chose à faire pour toi, que tu avais besoin de temps face à tout ceci. D'aucune façon je n'ai voulu te causer du chagrin tu sais... » Répondis-je gêné de lui avoir causé autant de mal face à tout ceci. Puis, je m'ose carrément à aller plus loin en passant mes mains sur ses fesses caressant tendrement sa peau tout en le dévisageant longuement de mes yeux sombres. « J'aime tellement ton cul... » Informais-je tandis que je malaxe ses fesses sensuellement entre mes mains tout en collant ma virilité bien plus contre la sienne juste pour sentir quand il va se mettre à bander, ça ne tardera pas je pense d'ailleurs..

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La vengeance c’est mal il paraît

Adriano & Jacob

J’avais souri doucement, un peu rassuré. Je crois que c’est clair, on voulait continuer ce qu’on avait laissé en suspens la dernière fois. Je soupirais doucement, j’étais soulagé de savoir qu’entre nous rien ne changera jamais, et puis, je ne voulais pas lui dire à quel point j’avais pu être mal quand il ne m’avait pas donné de nouvelles. Bien sûr je venais de lui avouer qu’il m’avait brisé le cœur, mais je ne disais pas tout. Je ne parlais pas de ces moments où j’attendais après mon téléphone avec des larmes aux yeux, je ne parlais pas de ces SMS écrits pour me faire pardonner sans jamais pourtant les envoyés. Moi, j’ai toujours été un vrai sentimental, et encore plus quand c’était avec les gens qui comptent à mes yeux. Alors inutile de dire à quel point je pouvais me sentir perdu quand je n’avais pas mon meilleur ami auprès de moi. C’est bien simple, il était celui dont j’avais besoin pour aller bien, il me faisait rire comme personne depuis des années. Je lui disais tout, il me disait tout et c’était bien comme ça, ça avait toujours fonctionné, et je ne voyais pas pourquoi ça devrait changer maintenant. Ce n’est pas parce que deux nos deux corps réclamaient encore des caresses sauvages que je ne pouvais plus avoir besoin de lui comme avant dans ma vie. Jacob, c’était simplement mon tout, et je n’imaginais pas du tout ma vie sans lui, c’était tout simplement impossible maintenant qu’il était entré dans ma vie de l’imaginer sans lui. Il faisait tellement mon bonheur, et puis, qui je pourrais appeler le soir s’il n’était pas là. Lui qui m’écoute et me réconforte à toute heure du jour et de la nuit, et qui me conseil sur mes relations amoureuses catastrophiques. Heureusement, l’eau était là pour couvrir mes presque larmes subites. J’avais tellement eu mal sans lui tous ces jours, j’avais tellement angoissé dans mon coin, me demandant si tout ça venait de mettre un terme à notre amitié, mais heureusement, rien n’était capable de détruire notre nous que j’aimais tant. Mon Jacob, personne ne l’éloignera de moi. « Je sais…Je suis désolé, j’aurai aussi dû venir te parler après tout ça. » Je soupirais doucement, tandis que mes mains glissaient contre son torse. Il était là devant moi et nu, alors comment je pourrais m’empêcher de le toucher, moi qui en crevait d’envie. Mes yeux se couvraient d’un léger voile de désir, je voyais presque flou, et ma tête cognait. De longs frissons parcoururent mon échine tandis que je regardais Jacob, comme si je le redécouvrais encore, moi qui connaissait déjà son corps. J’avais couiné un peu en le sentant empoigner mes fesses, moi qui avait tellement aimé ça, et il le savait maintenant. « T’en fait pas. Je le sais maintenant, tu ne me feras jamais de mal, et je t’en ferais jamais non plus. De toute façon, toi et moi c’est…C’est nous, rien peut nous arriver non ? » Je souriais un peu, tandis que j’allais gémir doucement dans le creux de son oreille. A sentir sa virilité contre la mienne, je me sentais défaillir encore plus dans le bonheur et dans l’envie. Je sentais mon membre pulser doucement, alors qu’il grandissait contre celui de Jacob. J’allais mordre son cou, glissant mes dents sur ses tétons, le regardant droit dans les yeux cette fois, tant pis, j’assumais, je le voulais ici et maintenant. Ma main s’empara doucement de nos deux membres, et je les collais délicatement l’un contre l’autre dans la paume de ma main, caressant alors son entrejambe en soupirant chaudement contre sa peau, remontant en lui léchant jusqu’au lobe de l’oreille. « Si tu l’aimes montre le moi. » Je laissais ma main faire des mouvements de va et vient envieux, tandis que l’eau continuait de couler sur nous. Je soupirais encore, gémissant son prénom de façon provocante.

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Adriano & Jacob

La vengeance c'est mal il paraît.

Je vois bien dans ses yeux le désir qui animent son regard c'est déstabilisant d'ailleurs de voir à quel point il me désire et je pense que maintenant s'il n'assume pas et bien je ne pourrais rien faire de plus pour lui. Et pour tout dire je ne vais m'en plaindre qu'il me désire à ce point, c'est grisant de sentir aussi désireux de continuer, d'aller plus loin avec moi, a tel point qu'à mon tour j'ai envie de dépasser toutes les limites que je me suis fixé en arrivant ici aujourd'hui. Oui en arrivant ici je me suis promis de ne rien tenter de plus que ce qu'il voudra faire mais là quand je le vois aussi excité clairement ça me donne d'autant plus envie de continuer sur ma lancée même d'aller encore plus loin que tout ce que j'aurais pu imaginer de ce fait voilà pourquoi je suis autant excité par la situation. Savoir que je lui procure un tel plaisir définitivement ça me plaît et voir dans ses yeux toute son envie d'aller plus loin ça me donne encore plus envie de me surpasser. Néanmoins dans ses yeux je ne vois que son désir, non pas du tout, je vois également sa tristesse, son malheur et je comprends bien assez vite que tout ceci l'a profondément touché, que le fait est que je me sois retrouvé sans lui donner la moindre nouvelle pendant toutes ces semaines ça l'a profondément affecté. Déjà dans ses précédents mots j'ai rapidement compris à quel point ça l'avait touché mais quand je le regarde dans les yeux comme je le fais en cet instant précis je comprends d'autant plus à quel point j'ai fais une connerie et je me sens mal. En effet je culpabilise et ce n'est pas dans ma nature d'agir de la sorte, moi je suis plutôt de ceux qui se considèrent comme des êtres parfaits, je le suis de toute façon, je n'ai donc pas besoin de me remettre en question. Mais là quand je vois toute la tristesse dans les yeux de mon meilleur ami je comprends à quel point j'ai pu fauter quand j'ai fais ça et je me sens mal, oui je culpabilise encore plus, je me sens très mal parce que je vois à quel point ça l'a touché et je me sens profondément donc d'avoir agi de la sorte. Et dire que je pensais qu'en faisant ça ce serait mieux pour lui, qu'en lui offrant du temps supplémentaire il pourrait se détendre, se poser quelques instants sur la situation du moment et donc ne pas se prendre la tête face à tout ceci.... Finalement je me dis que j'aurais peut-être pas dû faire ça, en définitive je n'aurais pas dû mettre cette distance entre nous, je n'aurais pas dû le délaisser mais ce qui est fait est fait et je ne peux revenir en arrière, l'erreur est humaine comme on dit et je reste humain quoi qu'il advienne donc comme tout le monde il m'arrive de gaffer même si ça reste rare. Alors tandis que j'acquiesce à cette pensée je pose mon regard sur lui le détaillant longuement jusqu'à ce qu'enfin il rouvre la bouche me disant qu'il aurait pu revenir vers moi lui aussi, je hoche de la tête alors. « Oui tu aurais pu le faire mais on s'est retrouvé et ne t'en fais pas je ne compte définitivement pas te refaire un coup pareil. N'aies crainte, fais moi confiance.. » Assurais-je à mon meilleur ami histoire qu'il ne doute pas un seul instant de la sincérité de mes propos. C'est bon j'ai compris que j'ai commis une profonde et moche erreur et les erreurs ça sert à ce qu'on ne retombe pas dedans une nouvelle fois et justement je ne compte pas recommencer un coup pareil. Tout d'abord parce que ça lui a causé beaucoup de chagrin et qu'il n'est pas dans mon intérêt de lui faire du mal et aussi parce que ressentir à mon tour tout ce que j'ai pu ressentir définitivement je ne suis pas prêt à ressentir une nouvelle fois tout ceci. Sur le long terme ce serait de l'auto-destruction et je ne suis pas pour ce genre de choses, j'ai besoin de Adriano au quotidien, j'ai besoin de l'entendre me parler, d'entendre son rire, de le voir, de sentir sa présence à mes côtés, avoir ses mains sur une zone de mon corps ou de mon visage, j'ai besoin de lui, c'est tout. Alors lorsque je vins à entendre ses mots je comprends qu'il a besoin d'être rassuré je hoche donc la tête une première fois comme pour lui signifier qu'il n'a pas besoin de s'inquiéter face à tout ceci. « Il n'arrivera rien à notre nous. Je ferais tout pour qu'il ne nous arrive jamais rien. Ne t'en fais pas par rapport à tout ceci, quoi qu'il advienne je serais toujours là d'une façon ou d'une autre. Regarde, je suis revenu là, j'aurais très bien pu te laisser filer mais je l'ai pas fais, rien que ça, ça devrait te prouver que je compte pas te laisser partir, je me trompe ? » Dis-je à mon meilleur ami tandis que je le scrute longuement tout en caressant sa joue tendrement du bout de mes doigts. Après quoi je positionne mes mains sur ses fesses les malaxant légèrement entre mes mains tout en le dévisageant longuement lui faisant clairement comprendre par ce simple mouvement mes intentions à son égard ce qui ne le laisse définitivement pas indifférent parce qu'après un temps il empoigne nos membres entre ses mains et commence à nous caresser sensuellement ce qui m'arrache un petit gémissement. Quand j'entends ses mots je le dévisage longuement souriant en comprenant bien ce qu'il a en tête puis je le fais relâcher mon engin et me laisse tomber à genoux devant lui. « A ton service. » Lançais-je sensuellement tandis que je prends son membre entre mes mains le caressant tendrement de ma main droite tout en caressant ses testicules doucement, puis je m'ose à aller plus loin et plonge son membre à l'intérieur de ma bouche suçotant cette zone de son corps, léchouillant tout en massant ses testicules toujours avec une certaine douceur...

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La vengeance c’est mal il paraît

Adriano & Jacob

On s’était retrouvé, voilà ce que venait de dire mon meilleur ami, alors que nos corps se laissaient bercer par l’eau brûlante et que nous étions seuls, nus et pourtant tellement remplis de désirs l’un envers l’autre, comme ce n’était pas permis. J’avais enfin retrouvé mon ami, celui qui donnait tellement de sens à ma vie à chaque jour qui passe. Je n’avais pas pu me retenir de caresser son dos, de remonter à sa nuque, de le regarder de lui sourire, enfin apaisé. Plus aucune trace de tristesse dans mes yeux, seulement de l’envie et de l’amour à n’en plus pouvoir respirer. Je voulais lui dire combien je tenais à lui, mais finalement, j’avais préféré lui montrer en le laissant faire ce qu’il voulait de moi quelques instants, en le laissant s’emparer de mes fantasmes le temps d’une douche. « Je te fais confiance…Je te fais confiance pour tout. » J’avais chuchoté de façon érotique sans même m’en rendre compte. Ma phrase contenait un sous-entendu bien sûr, mais je ne savais pas s’il l’avait compris, et c’était tant mieux dans le fond. J’en aurais presque rougis, il faut le dire. Je me mordais la lèvre en le regardant. Ma main toujours contre son membre. Je lui faisais confiance pour ce qui allait se passer maintenant, pour ce qui se passerait dans les jours et les années à venir, je lui faisais confiance comme à personne. Jacob était la seule personne pour qui j’étais capable de mettre en vie entre ses mains. Je ne le voyais pas me décevoir ou m’abandonner. Même si j’avais pu en être inquiet, je savais au plus profond de moi-même qu’il ne le ferait jamais, puisque c’était lui et moi contre le monde entier. Mes doigts ne cessaient de caresser son membre, appuyant parfois mon pouce contre son bout, je me sentais vibrer en même temps que je le caressais, comme si je ressentais son plaisir à travers mes propres gestes. C’était sans doute ça être en fusion. Je plissais les yeux, je voyais tellement flou, envahi par mon désir, il devait sans doute voir mon regard vitreux, et il devait sans aucun doute s’en amuser. « Non, tu ne te trompes jamais de toute façon. Je n’ai jamais douté de toi tu sais. » Je souriais, heureux. J’étais bien, et je ne ressentais plus que du plaisir et de la joie. Ce moment aurait bien pu durer éternellement, que ça ne m’aurait jamais dérangé, j’étais tout simplement bien. Alors que je croyais qu’il désirerait encore de mes caresses, j’avais été un peu surpris quand il repoussait ma main, même si je ne tardais pas à comprendre pourquoi. Le voir se mettre à genoux, me fit subitement monter le rouge aux joues. C’était excitant de le voir dans cette position, surtout de me penser en train de le dominer d’une certaine façon. Même si je me savais plus vulnérable, et que je me demandais ce que j’allais ressentir avec lui. J’avais voulu le repousser, hésitant, mais seulement verbalement. La vérité, c’est que je faisais semblant d’être hésitant. Verbalement je voulais lui dire non, faire comme si ça me gênait, alors que mon corps et mes gestes disaient tout le contraire, ils lui disaient combien j’avais envie de lui. Je bandais, et mon membre s’était dressé. Je me demandais si ça l’embêterait. Je sais que bien des filles avaient déjà abandonnées vu la taille, ou alors, je me faisais chier. Je baissais le regard vers son visage, tandis que je lui relevais un peu le visage en tenant son menton. Mes yeux étaient voilés, et je rougissais clairement. La situation me donnait trop d’émotions et de sensations d’un coup. Je me mordais la lèvre, poussant un cri de plaisir quand il commençait alors à me prendre dans sa bouche. Instinctivement, je me cambrais vers lui, désireux d’en avoir plus, tandis que j’agrippais ses cheveux. « Putain, quoi…T’es…Tu vas vraiment faire ça ? » J’avais envie de lui dire d’y aller vraiment, mais je préférais l’exciter en jouant les prudes, ça marchait bien avec lui aussi. « Non, arrête c’est pas.. » C’est pas bien ? Sérieusement, je crevais d’envie qu’il continue encore plus vite. J’étais complètement dur, c’est tout. Et tandis que mes mots faisaient croire que j’étais effarouché, je serais ses cheveux tout en remuant doucement mon bassin. « Jacob p’tin… » Mes doigts glissèrent sur sa nuque fermement. « J’en ai trop envie… »

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Adriano & Jacob

La vengeance c'est mal il paraît.

L'envie de le toucher, de le caresser, de lui faire du bien est plus que présente en cet instant précis. J'ai envie de le toucher, de tester ses limites, de voir comment il réagirait quand je le toucherais, j'ai envie de voir ce que ça pourrait lui faire si je le touchais, mais pourtant je ne fais rien de bien particulier mis à part lui malaxer les fesses sensuellement lui faisant clairement comprendre mon envie. Oh et je me colle bien contre lui, collant mon anatomie contre la sienne a tel point que je me sens durcir rien qu'avec ce simple contact. Tout à l'heure, il semblait tellement malheureux face à mon abandon de quelques semaines, moi aussi je l'étais, mais maintenant ça va mieux, je le pense en tout cas, oui ça va beaucoup mieux. Parce qu'on s'est retrouvé, parce qu'on a enfin prit le temps de discuter tous les deux de tout ceci, de tout ce qu'il s'est passé. De base c'est ce qu'on aurait dû faire dès le début, en arrivant dans la salle tout à l'heure c'est ce que je m'étais dis, je m'étais dis que la meilleure chose à faire serait d'en parler plutôt que de jouer à celui qui ne se rappelle pas de ce qu'il s'est passé. Effectivement faire comme si il ne s'était rien passé ce n'était pas l'idée du siècle et pour l'heure je m'en veux encore un peu parce que savoir que ça l'a mit dans un état pas possible définitivement ce n'est pas ce que je voulais. Faire du mal aux autres déjà je n'aime pas ça mais alors quand il s'agit de faire du mal à une personne que je peux aimer autant que j'aime Adriano définitivement j'apprécie encore moins. Alors oui pour l'heure je me promets intérieurement de ne plus jamais lui faire autant de mal parce que c'est désagréable pour moi de causer de la détresse à une personne aussi proche de moi que peut l'être Adriano. Et puis même il est mon âme sœur, mon meilleur ami, celui a qui je dis tout, et pour l'heure celui que je veux prendre contre cette douche mais ça c'est en option. J'essaye de me canaliser pour ne pas aller trop loin avec lui, je sens bien dans ses yeux toute la tendresse qu'il a pour moi ainsi que le désir cuisant qu'il a envers ma personne. Alors, lorsqu'il rouvre la bouche en me disant qu'il me fait confiance pour tout je comprends évidemment le sous entendu et ça me fait plaît. « Pour tout ? Vraiment ? C'est très intéressant tout ça tu sais... » Balançais-je sensuellement au creux de son oreille tandis que j'embrasse son cou tout en remontant légèrement en tirant légèrement sur le lobe de son oreille tout en collant ma virilité plus contre la sienne. Je le sens bander et rien qu'en baissant les yeux je peux admirer avec satisfaction la taille immense de sa virilité collée contre la mienne qu'il maintient fermement entre ses doigts habiles. Le voir maintenir ma partie préférée de mon corps clairement ça m'excite encore plus et je me sens grossir entre ses doigts, grossir et durcir surtout lorsqu'il passe son pouce sur le bout de mon engin, geste sans doute fait uniquement pour me chauffer encore plus. Désormais il est bien conscient de ce qu'il fait et je m'ose à espérer que cette fois-ci il assumera ses gestes jusqu'au bout. Alors, quand il rouvre la bouche je souris et le dévisage longuement tout en caressant ses fesses plus sensuellement. « Oui je sais. » Dis-je avec un sourire jonché sur mes lèvres tandis que je le dévisage longuement de mes yeux foncés puis, peu après je le fais lâcher mon engin et me laisse tomber à terre devant lui le fixant longuement comme pour lui demander la permission, silencieusement, pour que j'aille plus loin avec lui. Pour simple réponse à ma demande silencieuse je le vois bander encore plus ce qui me fait aussitôt sourire. « Regarde toi comme tu es prêt pour m'accueillir. » Lançais-je sensuellement tandis que je me mets à caresser son anatomie avec ma main droite tout en laissant mes mains descendre jusqu'à ses testicules que je masse tendrement sans lui faire mal. Soudainement je m'ose à aller plus loin et je le prends en bouche, titillant son engin, suçant avec passion, laissant claquer ma langue sur le bout, puis sucer sur toute sa longueur le tout en massant ses testicules tendrement. Évidemment il ne tarde pas à réagir je l'entends me parler me dire que ce n'est pas bien sans pour autant terminer sa phrase, je relève alors la tête vers lui. Ce n'est pas bien, vraiment ? Bizarrement ses yeux disent tout autre chose et pour réponse je le suce plus goulument m'osant même à le caresser en même temps tout en continuant à masser ses testicules. J'ai envie de voir s'il peut jouir comme ça avec moi, j'ai envie de lui prouver que moi Jacob, un homme, son meilleur ami encore plus, je peux le faire jouir. J'ai envie de lui prouver que soit disant hétérosexualité n'est pas si sûre que ça. Non maintenant il est hétéro à tendance Jacob et pour tout dire ça me convient parfaitement on peut même dire que ça m'excite de l'éduquer sur les plaisirs du sexe entre hommes...

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La vengeance c’est mal il paraît

Adriano & Jacob

Si en arrivant dans cette salle on m’avait dit que je remettrai le couvert avec mon meilleur ami, je ne suis pas certain que j’y aurais cru, et pourtant, je devais bien me rendre à l’évidence face à ce qui était en train de se passer sous cette douche, j’avais craqué encore une fois, et encore une fois, je ne désirais rien d’autre que de découvrir le plaisir qu’un mec pouvait me donner, et pas n’importe quel mec, mon meilleur ami était et serait toujours le seul que je le laisserai me toucher de cette façon. Curieusement, le fait que ce soit mes premiers gestes, mes premières interactions avec un homme dans le domaine du sexe, ça m’excitait encore plus que je ne l’aurais pensé. Il y avait un côté aventureux, un côté découverte, j’ai toujours été curieux, et maintenant j’avais hâte de ressentir du désir avec et grâce à lui. Je lui faisais confiance, puisque c’était lui, et ça me semblait maintenant presque normal, de lui confier la tâche de m’initier aux plaisirs masculins de la chair. Au vu de la taille de mon membre qui grandissait, et qui pulsait de plaisir contre ses lèvres, il avait totalement réussi, mais je n’en attendais absolument pas moins de lui de toute façon. Désormais, je ne voyais pas de raison de résister. Il m’avait rassuré sur notre amitié. Comment ça aurait pu changer quelque chose entre nous après tout, deux âmes sœurs, c’est un lien qui dure éternellement, et peu importe la façon dont on gère notre amitié, je savais très bien qu’il serait toujours à mes côtés. La phrase qu’il venait de prononcer me fit rougir encore plus. J’aurai pu dire que j’étais rouge à cause de l’eau brûlante, mais il savait que non. Il m’excitait, m’embarrassai un peu, ça avait quelque chose de mignon et d’excitant à la fois. Le voir à genoux devant moi, sentir ses lèvres, sa langue, son souffle contre ma peau, contre ce membre qui était totalement dur et qui s’abandonnait à lui maintenant. Je le sentais glisser à peine contre sa bouche, et j’avais terriblement envie de me sentir venir tout au fond de sa gorge. Impatient, je sentais que mon bassin remuait doucement, sans trop vouloir le brusquer pour autant. Mais plus que tout je voulais être au fond de sa gorge. Je griffais doucement sa nuque, tandis que mon autre main tenait ses cheveux de plus en plus forts. Mes jambes tremblaient doucement, après le sport, je tenais déjà mal, mais avec autant de plaisir c’était encore pire. « Arrête de dire des conneries aussi excitantes… » Je souriais doucement. L’entendre dire des trucs pareils ça m’amusait et ça me faisait encore plus d’effets. Mais moi aussi je savais lui en donner, et je n’hésitai pas à essayer de le faire bander encore plus. Mes yeux alternaient entre son visage et son entrejambe que j’essayais d’apercevoir. « Ptin…Ta langue est brûlante c’trop… » Je gémissais doucement, tandis que je me cambrais vers lui. Mes yeux étaient désormais flous de plaisir et des frissons parcouraient mon corps tandis que mon membre pulsait contre sa langue. « Trop bon bordel… » Je lui relevais violemment le visage en le tirant un peu par les cheveux. Il savait que je pouvais être violent pendant le sexe, mais il ne m’avait jamais vu. « Ta gorge elle est aussi chaude ? » Je souriais un peu en coin. Plus question de revenir en arrière comme la dernière fois ou de faire comme si j’hésitais. Je voulais que ça continue, je voulais qu’il soit celui qui m’apprenne tout ça. Puisque c’est mon meilleur ami, je pouvais bien le laisser me donner du plaisir. Peut-être même me faire jouir.

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Dans ses yeux, plus la moindre trace de tristesse, juste de l'excitation, du désir et de la tendresse, tout ça, toutes ces sensations uniquement pour moi. Pas pour quelqu'un d'autre, pas pour sa connasse, pas pour une pimbêche de la salle de sport, uniquement pour moi et moi seul et je dois bien admettre que ça me plaît énormément de le voir aussi excité contre moi. Savoir qu'incessamment sous peu je pourrais éventuellement le faire jouir rien qu'avec le pouvoir de ma langue se posant sur son engin parfaitement dur c'est tout simplement délicieux d'imaginer une telle chose. D'ailleurs contre moi je sens bien qu'il est pleinement détendu alors que je commence à masser son anatomie avec ma langue, dans ses yeux juste du désir, il veut que je continue et le voir en position de faiblesse comme ça face à moi ça me plaît. En effet de mon point de vue c'est moi qui le domine, j'ai la partie la plus sensible de son corps dans ma bouche, un seul faux mouvement et il est à terre, c'est moi qui le domine totalement pour l'heure. Tout ceci me plaît au plus haut point, c'est simple je pense même au fait est qu'on pourrait se faire surprendre par quelqu'un et si cette idée ne me dérange pas et bien c'est pour une bonne raison : ça m'excite plus qu'autre chose de me dire qu'on pourrait se faire surprendre. Comme dans la boîte quand on se tripotait, j'étais encore plus excité parce que je savais qu'il y avait le risque qu'on puisse se faire jeter de la boîte. L'exhibitionnisme parfois ça a du bon et avec lui justement j'adore ça, c'est tellement sensuel, tellement bon ce qu'il se déroule entre nous en cet instant précis. Je crois que je ne pourrais jamais me lasser d'avoir son engin entre mes doigts ou dans ma douche, le toucher, lui titiller le bout, la prendre entièrement dans ma bouche comme je le fais là juste pour voir sa réaction, sentir ses mains sur ma nuque comme pour m'inciter à continuer cette gorge profonde, ses mains qui se posent ensuite dans mes cheveux pour que je le scrute pendant qu'il me dit des paroles cochonnes. Tout ça, toutes ces petites choses je crois que je ne pourrais pas m'en lasser et définitivement je considère que c'est très bien comme ça. Alors, lorsque je vins à masser son engin en même temps que je le pompe goulument tout en gémissant mon plaisir je continue de caresser ses testicules qui doivent être en feu désormais. Puis je relève la tête vers lui affichant un regard provocateur sur ma tronche juste pour voir sa réaction. Après quoi je me concentre sur son engin et laisse ma langue claquer contre son engin, massant le bout tendrement, suçotant le bout, le léchouillant sensuellement. Je le pompe comme si c'était la meilleure sucette du monde et pour l'heure c'est ma sucette adorée, j'aime l'avoir dans ma bouche, j'en apprécie le goût et la grosseur. Finalement, je finis par relâcher ses testicules, presque à contre cœur, et je passe ma main droite contre ses fesses massant généreusement cette partie de son corps tout en m'effrayant un chemin vers son petit orifice où je fais tourner sensuellement l'un de mes doigts. J'ai envie de voir l'effet que ça lui fait de se prendre un doigt à cet endroit-là, j'ai envie de voir comment il réagirait tout simplement...

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La vengeance c’est mal il paraît

Adriano & Jacob

Mes jambes tremblaient de plus en plus, et je sentais que j’avais de plus en plus de mal à maintenir mon corps à flot. C’était chaud, c’était intense, et j’étais plus que bouillant. Mon sang, mon souffle, ma peau, mes cris, tout était tellement électrique, tout était tellement décuplé, je me sentais vibrer jusqu’à l’intérieur de moi, et je n’avais que rarement connu ça. Je savais que là où il se tenait, il pouvait voir mon corps trembler et frissonner. Mais peu importe, je le laissais découvrir mes points faibles, ma vulnérabilité. Même si ce n’était qu’une fellation et que ça lui interdisait de connaître mes zones érogènes et d’en découvrir encore plus de moi. Mes doigts remuaient contre la peau de sa nuque, la griffant, la maltraitant, alors que je m’entendais grogner de plaisir. Mon membre était complètement dur maintenant, et ça m’aurait presque fait mal si seulement Jacob n’était pas venu me soulager avec sa gueule d’amour qui me faisait terriblement envie de ses lèvres. Je voulais être cru, je voulais le commander, parce que je savais que dans sa position pour le moment, c’était lui qui me dominait, et ça me rendait fou moi qui aimait tellement contrôler le cœur et le corps des femmes. Lui, il me faisait bander, il me faisait rougir, il me faisait gémir plus que je ne m’en saurais cru capable. Certainement qu’on devait nous entendre si l’eau de la douche ne couvrait pas le bruit, même si je m’en foutais, que nous soyons dans une douche de salle de sport, moi tout ce que je voulais c’était qu’il m’enfonce dans son gosier sans se retenir, qu’il m’offre ce que tellement de filles n’arrivaient pas à me faire, par peur ou par nullité. Je rougissais de plus belle, et je savais qu’il devait se régaler de me voir comme ça moi qui d’habitude était si fière. Je me mordais la lèvre inférieure en le regardant. Je ne tenais plus, je me cambrais et j’avais le bassin empli de spasmes. Je poussais brusquement son visage contre mon bas ventre pour le sentir me prendre plus loin et plus fort. J’étais ivre de plaisir et je ne me contrôlais pas, comme toujours dans les cas sexuels, j’avais envie de plus toujours plus peu importe si je faisais mal ou non, je voulais juste gémir comme jamais. La tête en arrière, je tirais cette fois ses cheveux, est-ce qu’il m’en voudrait après peu importe, j’étais toujours aussi brutal. « Ha…Jacob…Jacob, putain va-y, encore » Je gémissais sans m’en rendre compte, je ne contrôlais plus mes paroles, je laissais simplement mon plaisir monter faire crier ma voix. Mon membre spasmait de plaisir dans sa bouche je le sentais clairement. Et puis subitement je sentis un doigt se promener près de mes fesses. Un moment j’avais écarquillé les yeux de surprise, c’était clairement inconnu pour moi. Je rougissais encore plus, détournant les yeux en le sentant. « Nhh…P…Pas là putain… » Je me cambrais un peu, glissant main pour essayer de repousser son doigt, mais tellement faiblement, parce que mine de rien, si c’était lui j’étais d’accord pour découvrir ça et en même temps pas trop quand même. Je me cachais derrière ma main, j’avais un peu honte, le visage en feu, qu’il puisse me tripoter à cet endroit. « T’abuses mec…C’est… » Je criais presque son nom, je n’osais plus le regarder, et mon membre signifiait qu’il n’en pouvait presque plus.

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Adriano & Jacob

La vengeance c'est mal il paraît.

Voir ses jambes trembler sous le coup de l'excitation définitivement ça me plaît je vois bien dans quel état je le mets et pour tout dire je dois bien avouer que j'en suis bien satisfait. Sentir dans son regard son envie que je continue, que je ne m'arrête sous aucun prétexte ça me plaît encore plus puis sentir ses yeux se dresser sur ma personne, ses yeux qui me supplient de continuer sur ma lancée, me faisant également comprendre à quel point il aime ma langue sur son membre ainsi que mes mains sur ses testicules définitivement c'est juste envoutant tout ceci. Autant pour lui que pour moi, mon meilleur ami est extrêmement communicatif dans ses mots, dans ses gémissements, j'aime ce genre de partenaires, ceux qui ne se retiennent pas de gémir, ceux qui gémissent à volonté, qui se permettent des petites phrases sensuelles également pendant l'acte. Il fait exactement tout ce que j'aime pendant l'acte et ça me pousse encore plus a continuer sur ma lancée et donc de le prendre dans ma bouche avec plus de passion tellement j'aime ça. Je crois que je ne pourrais jamais me passer de son engin dans ma bouche, c'est une sensation délicieuse, tellement agréable et quand je relève la tête et que je vois a quel point il est désarmé c'est d'autant plus agréable comme sensation. J'aime voir dans ses yeux a quel point il vulnérable, a quel point il ne maîtrise pas la situation. Non, dans l'immédiat c'est moi qui la maîtrise, moi ainsi que ma langue et mes mains posées respectivement sur son engin que je caresse tendrement et sur ses testicules que je ne me lasse pas de masser. Elles doivent être en feu à cet instant précis et ça m'excite de me dire que je lui donne du plaisir de toutes les façons possibles. Et l'entendre me parler ça m'excite encore plus, à chaque fois qu'il ouvre la bouche comme pour me demander de continuer j'ai envie de rire mais je ne le fais pas, j'ai la bouche pleine et ce serait pas le moment de me taper une crise de rire. Alors je me retiens captivé par mes mouvements tandis que je continue mes mouvements tout en approchant dangereusement ma main de ses fesses que je masse sensuellement jusqu'à carrément faire venir l'un de mes doigts vers son petit orifice que je caresse tendrement. Lorsque je relève la tête vers lui je le vois rougir et ça me plaît de le voir dans cet état, je poursuis sur ma lancée et le pénètre d'un doigt faisant des mouvements d'aller et retour en lui juste pour tester ses réactions. Je n'arrête pas pour autant mes mouvements sur son engin, on peut même dire que je l'avale toute entière, la prenant parfois entièrement dans ma bouche pendant seulement quelques secondes, vu la taille de son engin je ne me risquerais pas a m'étouffer avec son membre, ce n'est pas ce que je veux. Là je veux simplement le rendre fou, fou d'excitation jusqu'à ce qu'il finisse par venir dans ma bouche, c'est mon but. Et bien sûr je ne cesse pas mon massage sur ses testicules, je veux le rendre fou de tous les côtés...

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La vengeance c’est mal il paraît

Adriano & Jacob

Est-ce que j’aurai cru ça un jour possible ? Me retrouver sous une douche brûlante, le corps en émoi et en ébullition, le visage rouge de plaisir et d’embarras, alors que celui qui était maintenant mon meilleur ami depuis des années était en train de faire le plus de gestes, de caresses et de coups de langues possibles pour me donner envie de crier son nom. Si on me l’avait dit, je n’y aurais sans doute jamais cru et pourtant, c’était ce qui est en train de se passer entre nous. Jamais je n’aurais pensé qu’un homme puisse me donner autant de plaisir, mais c’était sans aucun doute parce qu’il s’agissait de mon meilleur ami. Personne d'autre n’aurait le droit de me faire des choses aussi osées, aussi érotiques. Mais lui, dès qu’il posait son regard sur mon corps, dès qu’il me touchait, je devenais comme dingue, et je réagissais instantanément. C’était comme si tout mon corps reconnaissait que c’est Jacob, et qu’il me force à devenir bouillant rien que pour ses beaux yeux. Je pouvais sentir ses doigts contre mes testicules, sa langue contre mon membre, tout. Je le désirais tellement fort. Je me refusais à fermer les yeux pour ne pas perdre une miette de ce qu’il était en train de me faire. Je tirais un peu sa tête en arrière, et la poussais à nouveau, lui indiquait ce dont j’avais envie, même si tout me rendait fou de plaisir. Je n’arrivais plus à me retenir de gémir son nom. Tant pis si c’était trop, tout ce qu’il me faisait était tellement bon. Alors qu’il continuait, je pouvais sentir que de temps à autre il mettait mon membre entièrement dans sa bouche, inutile de dire que à ces moments-là je criais mon plaisir en caressant sa nuque pour l’encourager. Et puis, en sentant finalement son doigt, c’était trop. Cette fois je sentais que mon corps allait craquer littéralement. Cette sensation m’était jusque-là encore inconnue mais elle m’effrayait quelque peu. Je me cambrais en avais pour atténuer un peu la sensation mais en même temps, ça me procurait le double de plaisir. Je fronçais un peu les sourcils, gémissant par spasme tandis que je sentais mes fesses se détendre de plus en plus. La sensation était curieuse, et ça me faisait couiner de surprise. Mon corps faisait trop de nouvelles choses d’un coup. Je ne le contrôlais et ne le comprenais plus du tout. Mais trop de plaisir d’un coup, m’achevait. Je me cambrais subitement, saisissant violemment la chevelure de Jacob. « Aah…T…Touche pas à mon cul Jacob. » ça avait l’air d’un petit reproche mais mon membre pulsait rapidement, et je sentais que j’allais bientôt venir, comme si un simple doigt pouvait me donner encore plus de plaisir, et puis, son souffle insistant contre mon gland, n’en parlons pas. Je ne tenais plus alors que mes jambes tremblaient. « J’vais…Merde putain Jacob, ça vient… » Je fermais durement les yeux un instant, impossible de me retenir plus longtemps. Je sentis dans un long spasme gémissant, mon membre qui se déversait de plaisir contre la langue de mon meilleur ami. Alors que mon souffle était court et mon corps totalement habité.

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