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 Don't forget that the past exists :: Perla

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Lowen ZimmerTrust always hurts in the long run
Lowen Zimmer
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MessageSujet: Don't forget that the past exists :: Perla   Don't forget that the past exists :: Perla EmptyLun 28 Aoû - 13:48

Les secrets. Qui n’en a pas ? J'étais sans doute le premier à en posséder plus d’un. Ma femme, ou tout du moins celle qui figurait sur un bout de papier civil cacher parmi une tonne de paperasse dans ma maison de San Diego. Avec cela venait l’alliance qui prouvait en quelque sorte aux yeux de la loi que l’on était bel et bien marié. Toutefois, celle-ci n’avait jamais eu la chance de laisser une démarcation de bronzage ou encore soulevé une tonne de question. Le bijou en question se trouvait lui aussi quelque part dans ma résidence principale. Je ne l’avais plus mit à mon doigt depuis que Perla s’en était aller. Je n’avais pas chercher à garder contact ni ne lui avait couru après. Ç’aurait été mal me connaître de croire que j’en aurais fait autrement. La vie avait simplement poursuivit son court et aujourd’hui, de vieux démons me pourchassaient. Si le fait que je sois marié relevait du secret, mes dettes et prêt à la banque l'étaient tout autant. Mes fonds de poches ne pesaient plus autant qu’il y a une année. La drogue et mon addiction pour les jeux d’argent y était pour quelque chose. Sauf qu’on ne change pas aussi aisément. Le regard posé sur la vitre, je passais une main sur ma nuque, mes doigts glissant le long de mon cou avant de retomber mollement près de mon flan pour remonter doucement vers la pile de document qui se trouvait sur la table à mes côtés. Je ramenais mon regard sur les mots imprimés. Du charabia. C’est toujours ainsi que j’avais vu la chose, de multiple mot tiré d’un vocabulaire enrichi, mais qui pour le commun des mortels semblaient trop élaboré créant ainsi la confusion et poussant bien souvent l’homme vers les mauvais jugements. Mes yeux scrutaient chaque lettre, alors que la pulpe de mes doigts caressaient le papier marqué d’encre. Encore et encore. Ce genre de document j’en avais vu plus d’un durant ma carrière et généralement, je ne me posais aucune question, apposant ma signature tout en bas près du x. Mon regard revenait se poser sur la baie vitrée, analysant en silence mon reflet. Je fermais mes paupières, passant ma main, qui n'était pas posée sur les papier, sur mon front. – Sans café aucune décision n’est bonne, songeais-je en pliant le document que je venais glisser soigneusement dans la poche intérieure de mon veston. Je tenais à ce nouveau restaurant, j’y tenais réellement, bien que je connaissais l’envers du décor. Mon compte en banque qui se vidait rapidement pour payer mes dettes. Saloperie. Poussant un soupir, je glissais mon portefeuille dans ma poche de pantalon et prenais mes clés avant de quitter ma chambre d'hôtel pour partir en quête d’un petit café. J’aurais pu faire venir le room service, mais je ne le faisais jamais. Très peu friand de la restauration hôtelière, je me retrouvais plus souvent à la table d’un petit restaurant de quartier que dans des endroits luxueux. Ça pouvait détonner sachant mon caractère et ma réputation, mais ces endroits avaient quelques choses de charmant. Et si j’avais pu avoir une carrière prospère, c'était avant tout grâce à ce genre de petit restaurant. Ne prenant aucun taxi, je décidais de marcher dans la foule de travailleur, presser de gagner leur bureau pour commencer leur journée. Gobelet de café pour emporter ou portable collé à leur oreille, je n’avais jamais envié ce rythme de vie. Les gens trop pressés qui ne prennent même pas le temps de regarder autour d’eux et voir ce qui les entoures. Non, ce n'était pas une vie pour moi. Posant mes verres fumés sur mon nez, je prenais la direction d’un petit café que j’avais remarqué lors de certaine visite de locaux. Mon portable se mit à vibrer et je poussais un soupir en sortant celui-ci avant de le glisser à mon oreille sans prendre le temps de regarder qui appelait. La voix d’Avri résonnait dans l’appareil et je m'étonnais de la voir si réveillée contrairement à moi. Ma voix me semblait rauque se brisant aisément sur les voyelles. Je tentais de tenir la conversation, mais je fus soulagé de raccrocher lorsque je prenais place sur une table à la terrasse d’un bistro. Une serveuse vint à ma table et je commandais un café noir, sans sucre ni lait ou crème. Appuyant mon dos contre la chaise, je sortais le document que j’avais préalablement mis dans mon veston. Dépliant celui-ci, je me mis à lire : Contrat d’achat commerciale. Conscient que je devais prendre une décision, je me mis à lire avec toute l’attention possible le document. Je relevais à peine mon regard lorsque la serveuse vint à déposer la tasse de café sur ma table me lorgnant de son regard ambré. Je me devais de prendre position, seulement j’ignorais que le passé me rattraperait en ce matin d’août.
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