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| Avri ✻ after the gold rush | |
| Lowen ZimmerTrust always hurts in the long run MY BOOK COVER▹ posts : 939 ▹ credits : #avatar : Valtersen #gif : tumblr #sign : monocle. #lyricsign : believer ; imagine dragons ▹ avatar : Dan Stevens ▹ pseudo : monocle. #alice ▹ multinicks : Derrick ✧ Rhett ✧ Chip ✧ Carter ✧ Solora ✧ Devon ✧ Jesabel ✧ Linus▹ age : Trente-cinq ans ✧ 24 juin 1983 ▹ activité rp : open (2/5) ✧ rhys ; avri ; rhys & malachai
old memories ✧ trent ; avri Carnet d'adresses▹relations: | Sujet: Avri ✻ after the gold rush Dim 16 Sep - 5:25 | |
| Avri & LowenI was lying in a burned out basement with a full moon in my eyesafter the gold rush The Fat Dock avait enfin ouvert ses portes depuis quelques mois et comme tous les autres restaurants de Lowen il était devenu un point sur la carte. Un restaurant à essayer, à découvrir, à recommander. Avoir une table devenait de plus en plus difficile, la liste des réservations s’allongeait de jour en jour. Une chose qui rendait fier le chef, mais qui donnait aussi beaucoup plus d’ouvrage. S’il désirait garder sa cote, il n’avait pas le droit à l’erreur. En aucun cas. Il avait donc décidé de rester dans la vie, d’assurer lui-même le service jusqu’à ce qu’il trouve la personne pour le remplacer. Cette personne qui saurait reprendre ses recettes sans la moindre anicroche, une tâche loin d’être aisé lorsqu’on n’avait pas l’esprit de l’allemand. Des personnes, il en avait vu et revu sans grand succès. Il faut dire que Lowen était exigeant en tout temps et demandait une perfection presque impossible à atteindre. On le traitait de tous les noms, mais au final qui avait la réputation ? Qui était chef étoilé ? Lui. Il considérait qu’il avait donc tous les droits. Prétentieux. C’était bien quelque chose à laquelle on s’habituait à force de travailler avec lui, mais des gens il en avait fait pleurer, il en avait démoli verbalement, mais rien ne l’empêchait de s’arrêter. Il s’avait tout de même être reconnaissant, féliciter lorsqu’il voyait bien que c’était la chose à faire. Mais si Lowen était intransigeant dans son travaille, il possédait tout de même des faiblesses, et pas que des petites. Le jeu. La cocaïne. Et cette fois, il avait fait fort en impliquant ces deux choses dans une soirée qu’il pensait pouvoir mener par le bout du nez. Être arrogant ne fait souvent pas bon ménage avec les flingues et même si Lowen avait souvent été confronté à ce genre d’histoire, il s’en sortait vainqueur. Cette fois, c’était différent. Alors que la caravane se stationnait derrière le restaurant où près de vingt-quatre heures plus tôt on l’y avait imposé d’entrer dans ce même véhicule, voilà qu’on le balançait en dehors. Toussant ses poumons, crachant le liquide ferreux au sol, il regardait cette marre de sang s’étendre sur le sol. Il se prenait les côtes en se redressant. Sa montre on la lui avait prise, mais s’il portait son regard vers le ciel, il voyait bien que le temps avait changé. La soirée allait commencée. Ce qui voulait dire que le restaurant serait dans une heure voir peut-être deux remplis de clients affamés et désireux de manger un met concocté par le chef Zimmer. Habituellement, il aurait passé l’après-midi à tout mettre en œuvre, tout préparer pour qu’une fois le repas lancé, tout se dérouler comme il l’avait imaginé. Tout devait être planifier à la seconde prêt. Il se dirigeait vers la porte arrière du restaurant, celle servant à la livraison. Il tirait sur la poignée, ouvrant dans un grincement la porte, prenant appuie contre le mur, alors qu’il avançait dans la cuisine. Il essuyait son arcade sourcilière qui le démangeait, tâchant sa main de rouge. Un cri étouffé le faisait grimacer. « La ferme. » grommelait-il en appuyant la tête contre le mur. « Miss Haller, il est là. Zimmer est arrivé… mais… » disait une voix empressée, alors que plusieurs personnes se précipitaient vers lui. Il s’aidait avec le mur pour se redresser, se donner contenant. « Retournez au boulot ! » Direct. Autoritaire. Il posait son regard sur son associée qui se tenait désormais devant lui. « Ce soir c’est toi qui cuisine ! Maintenant trouve moi une bouteille de whisky ! » Il ne fallait pas chercher la logique de Lowen, il préférait aboyer ses ordres plutôt que de réfléchir à tout ce qui l’entourait…
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| | | Avri HallerGrateful for the family we chose MY BOOK COVER▹ posts : 167 ▹ credits : moonlight (vava) + shellhead. (crackship) ▹ avatar : alicia vikander ▹ pseudo : shellhead. ▹ multinicks : declan - nash - neil - rhys - trent▹ age : 28 ans ✻ 26 juillet 1990 ▹ activité rp : open ✻ lowen (2) - kacey
| Sujet: Re: Avri ✻ after the gold rush Lun 17 Sep - 12:32 | |
| Avri & LowenI was lying in a burned out basement with a full moon in my eyesafter the gold rush Avri fulminait. Elle s’en voulait, surtout, d’être surprise. Lowen avait toujours été un électron libre qu’elle ne pouvait espérer contrôler, alors s’énerver face à son retard n’avait aucune réelle utilité. C’était un fait à constater, digérer et solutionner : le Chef n’était pas là; peut-être même ne viendrait-il pas du tout, et Avri et son staff n’allait certainement pas se tourner les pouces en attendant qu’il se pointe. Le timing n’était évidemment pas idéal. Le restaurant était encore en pleine ascension, surfant sur la vague de nouveauté et d’excitation qui avait suivie son inauguration. La renommée de son propriétaire et le bouche à oreille avaient assuré le remplissage total de leur carnet de réservations pour des semaines entières, et il était plus important que jamais que la qualité de service reste à la hauteur des attentes de leur clientèle. Avri avait confiance en son équipe; c’est elle après tout qui avait supervisé l’assignation de chacun, et encore elle qui traitait au quotidien avec eux. Que Lowen garde une certaine distance avec la plupart des employés ne la dérangeait pas. Ça faisait partie du personnage, et personne ne s’attendait à devenir le meilleur ami de Lowen Zimmer par le simple fait de bosser dans la même cuisine que lui. Ils étaient tous à la hauteur, tous capable de faire un excellent travail, que le Chef soit là ou non pour les guider. Mais bordel, si l’imprévu était commun dans la haute gastronomie, ça n’était jamais agréable pour autant. Quelque part, Avri avait été persuadé que Lowen s’était amélioré, qu’il prenait un peu plus à cœur ses responsabilités vis à vis de son équipe. Vis à vis d’elle et de leur investissement. Peut-être avait-elle lu trop profondément dans leur complicité grandissante et s’était imaginé quelque chose qui n’était pas vraiment là. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. Après avoir harcelé Lowen par téléphone et retourné l’établissement en entier pour savoir si quelqu’un savait où le Chef se trouvait, la jeune femme s’était autorisé quelques minutes pour purger sa colère. Enfermée dans son bureau, elle avait utilisé tout le vocabulaire grossier gracieusement collecté lors de ses nombreuses années passées derrière les fourneaux, puis avait envoyé valser un coussin à travers la pièce pour bonne mesure. Lowen fucking Zimmer. Sans doute la seule personne capable de la faire sortir de ses gongs de la sorte, aujourd’hui comme des années en arrière, lorsque l’écho arrogant de sa voix dans une soirée londonienne avait commencé à l’irriter. Avri avait vérifié que sa coiffure était toujours impeccable avant de prendre une grande inspiration et de rejoindre le champ de bataille. Elle était prête à maîtriser le chaos. Il avait fallu mettre les bouchées doubles, anticiper les tâches qui ne pouvaient être accomplies par le Chef et compenser au mieux. Avri préférait partir du principe que Lowen ne viendrait pas, c’était plus sûr ainsi. Si elle n’inspirait pas la crainte comme Lowen, elle n’avait pas pour autant de mal à se faire entendre. Dans une situation telle que celle-ci, elle incarnait de toute manière un phare en pleine tempête : le seul point de repère de tout un équipage en perdition. Lorsque, quelques heures plus tard, on lui annonça que Lowen était là, Avri le regretta presque. Elle aurait voulu lui dire le lendemain, la voix lourde de venin, qu’ils s’étaient très bien débrouillé sans lui. Mais il était là, et il n’en fallu pas plus pour raviver sa colère. Le jeune serveur n’avait pas eu le temps de finir sa phrase qu’Avri fonçait dans sa direction, et lorsqu’elle le vit, tout s’expliqua enfin. Elle s’arrêta nette, tiraillée entre inquiétude instinctive et résignation. Puis finalement, c’est un élan de pitié qui l’a percuta. C’est tout ce qu’il était - pathétique - avec son visage tuméfié et ensanglanté, s’exprimant avec agressivité et dédain comme un bête mourante qui montre les crocs jusqu’à son dernier souffle. Avri ne savait pas vraiment le genre de vie que vivait Lowen, comment il faisait pour se trouver dans de telles situations. Elle avait toujours soupçonné que quelque chose de plus malsain se cachait derrière ses belles paroles et ses absences intempestives, mais elle n’avait jamais cherché à savoir quoi. Maintenant qu’elle en voyait les conséquences, elle n’était pas sûre d’en avoir envie. « Retournez au travail » répéta-t-elle après un battement, le regard toujours fixé sur Lowen. Ils n’avaient pas besoin d’une audience pour ce qui allait suivre. « Premièrement, si tu penses que je t’aurais laissé mettre un pied en cuisine dans cet état, c’est mal me connaître » dit-elle d’un ton plat et froid. « Deuxièmement » enchaîna-t-elle en plissant les yeux sous le poids de sa fureur et sa vexation, et d’une pointe de peur sourde et irrationnelle qu’elle refusait de considérer. « ne me parle plus jamais ainsi ». Malgré leur histoire, malgré leurs engueulades, Lowen lui avait toujours montré du respect. Le jour où cela cesserait, elle n’était pas sûre de rester. « Qu’est ce qui s’est passé? » finit-elle par demander. Parce que c’était plus fort qu’elle. Parce que pendant qu’elle le remettait à sa place, elle n’avait cessé de balayer son visage du regard pour cataloguer toutes les blessures qui s’y trouvaient.
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| | | Lowen ZimmerTrust always hurts in the long run MY BOOK COVER▹ posts : 939 ▹ credits : #avatar : Valtersen #gif : tumblr #sign : monocle. #lyricsign : believer ; imagine dragons ▹ avatar : Dan Stevens ▹ pseudo : monocle. #alice ▹ multinicks : Derrick ✧ Rhett ✧ Chip ✧ Carter ✧ Solora ✧ Devon ✧ Jesabel ✧ Linus▹ age : Trente-cinq ans ✧ 24 juin 1983 ▹ activité rp : open (2/5) ✧ rhys ; avri ; rhys & malachai
old memories ✧ trent ; avri Carnet d'adresses▹relations: | Sujet: Re: Avri ✻ after the gold rush Mar 27 Nov - 5:03 | |
| Avri & LowenI was lying in a burned out basement with a full moon in my eyesafter the gold rush Une douleur sourde envahissait son corps alors qu’il tenait à peine debout, le mur soutenant de peine et de misère son corps. Parler, le simple fait d’ouvrir la bouche lui décrochait des grimaces, mais il ne pouvait rester silencieux. Lowen préférait toujours montrer les crocs avant même de prendre le temps de réfléchir à la situation. Posant son regard sur son associé, il la regardait, légèrement gêné par son arcade sourcilière qui le démangeait. « Deuxièmement ? » disait-il entre ses dents, retenant d’afficher sa douleur. Avri était définitivement la seule personne pouvant avoir assez d’audace pour lui tenir tête. Une femme de caractère qui s’avait garder son attention, l’intriguer. Ce n’était pas pour rien qu’il n’avait jamais tenter plus avec elle, il y voyait plus qu’une simplement femme avec laquelle s’amuser. Il avait su lui trouver des qualités qui l’avait poussé à se surpasser et ainsi lui offrir plus. Lowen pouvait paraître mauvais bougre, mais tel un oignon il était composé de plusieurs couchent. Son centre restait un mystère, mais il avait plusieurs couchent qu’on pouvait retirer avec le temps pour découvrir un peu plus de facette chez cet homme. Il restait tout de même difficile de savoir ce qu’il pouvait penser ou quelle idée sournoise il pouvait avoir derrière la tête. On pouvait donc penser le connaître, mais au final, il arrivait toujours à étonner les personnes qui l’entourait. Un être de feu et de glace. Ennuyer par son reproche sur cette façon qu’il avait eu de lui parler, il claquait sa langue dans son palais. Un bruit tout aussi désagréable que s’il avait rétorqué des mots sanglants. Il lui jetait un regard, poussant un soupir avant de se redresser pour marcher, passant près d’Avri, il ignorait volontairement sa question. Puisqu’elle ne souhaitait pas faire ce qu’il lui avait demandé, il irait chercher ce whisky lui-même. Posant sa main sur ses côtes, il marchait avec difficulté se rendant jusqu’à son bureau. Sobre, il manquait même de vie. Un endroit dénué de personnalité, mais Lowen n’avait jamais cherché à le rendre accueillant. Pour lui, ce n’était rien de plus qu’un bureau où des papiers se trouvaient. Il n’avait même pas investi dans une plante. À quoi bon ? Il passait le plus clair de son temps derrière les fourneaux à hurler ses ordres ou concocter une nouvelle recette qui éveillerait les sens de ses clients. Il n’avait que faire de la paperasse. Tristement, à ses yeux Avri était celle qui s’occupait de ces tâches ingrates. Du regard il cherchait le seul meuble qui servait à décorer, trouvant sur le plateau de la petite table une bouteille de whisky. Entamé que d’un verre ou deux, il empoignait celle-ci avant de ressortir de la pièce pour prendre la direction du bureau de son associer. Ça avait tout d’une femme, l’odeur comme l’apparence. C’était beaucoup chaleureux que le sien, il pouvait le concéder, même s’il ne le dirait pas à voix haute. Passant une main dans ses cheveux, il venait à ouvrir la bouteille pour porter directement le goulot à ses lèvres. Douce chaleur se propageant dans sa gorge, déclenchant une légère toux qui le fit immédiatement grimacer. Il se laissait tomber dans un fauteuil, son regard observant devant lui. Il la savait présente, Avri ne le laisserait pas tomber. Il en était convaincu. « Si je dis que je suis tombé, tu vas me croire ? » demandait-il en tournant la tête pour poser ses prunelles sur la brune. Il étudiait les traits de son visage, avant de boire une seconde gorgée qui le fit grimacer. « J’ai connu pire comme situation. » continuait-il, ne réalisant pas l’étendu de ses mots. Après tout, il l’avait toujours tenu éloignée de tout cela. Il n’avait jamais voulu la mêler à sa vie chaotique. Chaque fois qu’il avait éprouver des difficultés, elle était ailleurs, ignorant qu’il se trouvait dans la pire des galères. « T’es une femme… Tu dois bien avoir des cachets quelque part. » demandait-il en haussant, son arcade lui donnant la sensation que sa peau se fendait davantage. « Arg. » grognait-il entre ses dents. « T’as déjà jouée l’infirmière ? » Hors de question qu’il aille à l’hôpital ! Seulement, il ne pouvait rester dans cet état, déjà parce qu’il faisait atrocement peur et puis peut-être se vidait-il de son sang – un peu de dramaqueen n’a jamais tué personne !
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| | | Avri HallerGrateful for the family we chose MY BOOK COVER▹ posts : 167 ▹ credits : moonlight (vava) + shellhead. (crackship) ▹ avatar : alicia vikander ▹ pseudo : shellhead. ▹ multinicks : declan - nash - neil - rhys - trent▹ age : 28 ans ✻ 26 juillet 1990 ▹ activité rp : open ✻ lowen (2) - kacey
| Sujet: Re: Avri ✻ after the gold rush Lun 22 Avr - 16:24 | |
| Avri & LowenI was lying in a burned out basement with a full moon in my eyesafter the gold rush Il l’ignorait. Comme il avait ignoré le moindre de ses appels toute la soirée. Comme il avait ignoré le respect mutuel qu’ils étaient censé avoir l’un pour l’autre et l’équipe qu’ils formaient tant bien que mal. Elle lui avait fait confiance, et god help her, elle n’avait pas encore totalement perdu toute foi en Lowen Zimmer. C’est qu’elle savait ce dont il était capable; savait qu’elle était là aujourd’hui grâce à lui et qu’elle était définitivement trop intelligente pour se laisser berner par la façade que son collègue présentait au monde entier. Avri le laissa filer – pour aller se bourrer la gueule ou panser ses blessures en toute intimité, elle s’en moquait pas mal – consciente que démarrer une dispute d’envergure dans un coin de leur cuisine n’allait en rien arranger la situation. Elle ferma les yeux un instant, inspira profondément pour se redonner contenance, et retourna auprès de son équipe pour jouer son rôle de figure représentative du leadership. Quelques vérifications, quelques conseils et ordres relayés d’une voix ferme, et Avri repartait en direction des bureaux. Elle était bien incapable d’ignorer Lowen pendant tout le service, incapable de savoir s’il allait faire irruption en cuisine et perturber le staff ou tomber dans le coma dans son bureau. L’un dans l’autre, il fallait qu’elle finisse de s’occuper de son cas avant de pouvoir finir sereinement cette soirée. C’est finalement dans son propre bureau qu’elle s’engouffra après avoir remarqué que la porte était entrouverte. C’était un bon signe, décida-t-elle. Il ne se cachait pas d’elle. Il n’évitait pas la conversation inévitable. Lowen était avachis sur un fauteuil, une bouteille de whisky à la main qu’il portait à ses lèvres par intermittence; la vision même d’une dépravation qui s’assume. C’est encore avec légèreté et arrogance qu’il l’accueilli, et Avri avait assez joué à ce jeu pour une nuit. « Si c'est pour me mentir, je préfère que tu me dises rien » trancha-t-elle en s’approchant. Elle se moquait bien de la manière dont il s’était attiré de tels problèmes, tant qu’elle pouvait s’assurer que ça ne se reproduirait pas. Mais Lowen lui offrait un rare aperçu sur les coulisses de sa vie, et la réalité paraissait peu reluisante. Elle le fixa d’un regard lourd de jugement et d’incrédulité. « C’est censé me rassurer? » demanda-t-elle en lui arrachant la bouteille des mains pour la poser lourdement sur son bureau. Elle ignora sa remarque potentiellement sexiste et définitivement ironique. Oh, des cachets Avri en avait plus que nécessaire, mais ça n’était pas le sujet. D’un pas furieux, elle contourna le bureau pour piocher des anti-douleurs d’un tiroir qu’elle tenait fermé à clé. Elle empoigna également une bouteille d’eau qu’elle gardait à proximité avant de tendre le tout à Lowen. Elle en profita pour donner un coup sec sur le dos de sa main lorsque celui-ci tenta de tripoter une plaie qui ne demandait qu’à se rouvrir. « Quoi, tu caches aussi une blessure par balle là-dessous? » railla-t-elle en désignant son haut taché de sang. « Tu mériterai que j’appelle les flics » continua-t-elle, une menace en l’air qui servait d’exutoire à sa colère. Elle avait envie de lui arracher tous les détails de son altercation comme elle avait envie de ne plus jamais lui parler. Il avait décidément le don de la rendre dingue. Si seulement elle était capable de lui tourner le dos. Si seulement.
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| | | | Sujet: Re: Avri ✻ after the gold rush | |
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