Sujet: I can't stand the idea of losing you (Rayna) Jeu 1 Fév - 23:39
I can't stand the idea of losing you
Rayna & Aislan
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« Je m’en tape je monte avec elle ! » Ce n’est dans son habitude de parler de la sorte même s’il a le sang chaud. Seulement là, il ne faut pas trop lui en demander. Il veut monter dans cette putain d’ambulance mais on lui refuse en lui disant de le suivre en voiture et même s’il y serait rapidement grâce aux sirènes de l’ambulance et de sa propre voiture où il peut y mettre une sirène, il refuse. Il veut monter à bord. Il est en stress, il tremble et pourtant il garde la tête sur les épaules. Cette dernière heure a été intense. Il a agi sans même réfléchir, comme il sentait qu’il devait faire, sans penser aux conséquences. Il avait eu un pressentiment et après avoir fait des enquêtes derrières son ordinateur, il était parti sans qu’on ne lui autorise pour mener son enquête de son côté. Il savait que Rayna et son coéquipier étaient sur une grosse enquête mais il trouvait cela bizarre qu’ils n’aient pas la moindre nouvelle alors il avait enquêté de son côté. Sans doute était-ce un moyen de montrer que lui aussi pouvait aider, qu’il pouvait être un bon coéquipier comme il l’avait été auparavant. Avant que ce soit une vraie tornade entre les deux agents du fbi. Il avait fait enquête seul, il n’avait prévenu personne et avait fini par trouver la trace de son ancienne coéquipière et ancienne compagne. Il ne sait plus trop ce qu’il s’est passé, tout s’est passé grâce à l’adrénaline alors les souvenirs sont troubles. Il se souvient avoir trouvé leur trace, avoir compris qu’ils se sont fait choper et qu’on les tenait en otage. Il va dire que c’est son côté agent qui a fait ça mais au fond il sait que c’est le fait que la femme prise en otage était Rayna mais il n’a pas pu se contenir bien longtemps alors après avoir enfin prévenu le central pour qu’ils envoient des renforts, il avait pénétré dans l’endroit de manière stratégique. Au bout du compte il avait réussi le plus important : il a sorti Rayna de là sans égratignure bien qu’une ambulance veuille l’emmener pour faire quelques examens de préventions à l’hôpital. D’où le fait qu’il veuille monter dans l’ambulance en laissant sa propre voiture ici. Ce n’est pas à Washington que les taxis manquent alors il pourra venir la chercher plus tard, au pire il passera ses clés à des collègues pour que quelqu’un vienne la chercher. Autant dire que c’est le cadet de ses soucis. Les ambulanciers se lancèrent un regard, l’un haussa les épaules avant d’accepter. Comme s’il leur laisser vraiment le choix. Alors, sans dire le moindre mot, il monta à l’arrière pour rejoindre Rayna qui attendait d’être amenée. « Tout va bien ? » Il garde un ton dur, il essaye de garder un tout détacher et pourtant il a peur, il a vraiment eu peur. « Je t’avais dit que ton nouvel équipier était un idiot ! » Il avait fait une faute, une faute grave puisqu’ils ont été en danger. Avec Aislan ça ne serait pas arrivé. Pourtant, s’il a dit cela c’est uniquement pour essayer de détendre l’atmosphère, son sourire le montre. Mais aussi pour changer de sujet car tournant la tête, il évite de la regarder dans les yeux, il sent bien qu’il a les larmes aux yeux. Il a eu peur de la perdre et rien que d’y penser il a le souffle coupé, il ne supporte même pas la pensée.
Dernière édition par Aislan O. Brown le Ven 13 Avr - 12:05, édité 1 fois
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Sujet: Re: I can't stand the idea of losing you (Rayna) Mar 6 Fév - 15:21
I can't stand the idea of losing you
Rayna & Aislan
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Tout est allé très vite. Je ne me souviens pas très bien de ce qui s’est passé. Mais Quentin mon jeune coéquipier avait le sang chaud. J’avais hérité de lui après avoir dit à mon patron qu’Aislann et moi ça ne marcherait pas du tout. Faut dire que je ne m’étais pas sentie en sécurité. Mais là avec Quentin, je ne sais même pas me l’expliquer, il voulait bien faire, mais autant dire que c’était une catastrophe, bien trop imprévisible que ce soit pour moi, ou pour le métier d’agent du FBI. Faut un juste milieu, car le but n’est pas de se faire tuer, tout au contraire même. Il est d’aider les autres, de faire en sorte d’arrêter les délinquant, les terroristes et justement nous étions sur l’une de ces enquêtes totalement tendu qui nous faut prendre des pincettes et faire attention. Car on se met en danger, ça on le sait, mais parfois on met aussi notre famille avec ces personnes en danger … alors mettre ma vie de famille en danger n’est clairement pas une chose que je peux accepter. J’étais attachée et assommée quand je vis apparaître Aislann. Je pensais même rêver, disant désolée, désolée … alors que c’était bel et bien lui. Enfin, j’étais dans l’ambulance, alors que j’avais juste une plaie à la tête, que j’avais ma tête, du moins au vu des questions qu’ils m’avaient posés les deux ambulanciers, mais j’avais conscience qu’il faisait leur travail. Quentin avait été amené au bureau pour parler avec les hauts patrons pour voir ce qui n’a pas été dans cette intervention. Le fait d’attendre les renforts déjà, mais bon c’était fait et on finissait plutôt bien pour tout le monde même pour l’enquête limite c’est un conte de fée. Je vois par la suite Ais’ monter avec moi dans l’ambulance et j’écarquille un peu les yeux, ne comprenant pas trop. « Oui, ça va … merci ! » Disais-je sans vraiment savoir ce que je suis censée dire ou faire et c’est une chose qui ne me ressemble pas, alors c’est juste horrible. Mes yeux se jettent en l’air avec un air dépité, mais rien que ce geste me donne un mal de tête. En fait, ils font bien de m’emmener à l’hosto, je crois que j’ai besoin de quelques calment. « On a remplacé un idiot avec du vécu, avec un idiot sans vécu … peut être que le troisième sera le bon … » Que je réponds avec un léger sourire tout en déposant mon regard dans le sien. « Je vais bien Ais … » Je veux lancer un pique en espérant surtout que ça le fera sourire, car sa tête actuelle me donnerait presque envie de pleurer. « Tu as presque réussi à te débarrasser de ton ex ! » Lâchais-je en rigolant, alors que je dépose ma main sur son genou. L’ambulance arrive à bon port, c’est-à-dire à l’hôpital, maintenant que je suis ici, je suis mise dans une salle et Aislann ne me quitte pas. « Tu ne devrais pas être avec tes deux enfants ? Surtout le petit ? » Oui, car Heaven a l’âge de Devin, donc elle est grande pour s’occuper d’elle seule.
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Sujet: Re: I can't stand the idea of losing you (Rayna) Sam 14 Avr - 13:56
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Rayna & Aislan
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Son cœur s’affole tout comme ses esprits. L’adrénaline a joué pour beaucoup, il a foncé sans trop réfléchir même si ses instincts l’ont fait faire ce qu’il a appris à Quantico. On lui a toujours appris à agir sans trop d’émotion, pour ne pas faire de bêtises et pourtant là les émotions l’ont gagné. Le résultat est quand même bon, Rayna semble aller bien mais il n’arrive pas à se calmer. La peur, la colère contre ceux qui ont pu lui faire du mal et à ce bleu qui a dû s’y prendre comme une tanche vu le résultat final. Il aurait dû se battre pour rester son coéquipier. Au début il voulait le faire pour une question d’égo, car il ne voulait pas être mis sur la touche mais aujourd’hui les choses ont changé : il ne supporte pas l’idée de la perdre, encore moins s’il peut tout faire pour l’aider ou encore mieux la sauver. Il n’est pas un super héros, il n’est pas invincible mais il peut au moins faire de son mieux comme il l’a toujours fait. Il ne tient pas en place alors il est hors de question qu’il ne monte pas avec elle dans l’ambulance, quoi que les gens disent et quoi qu’elle pense. « Tu es sûr ? » Il en fait peut-être trop mais s’il le pouvait il ferait les cent pas dans cette ambulance en mouvement. Il sourit à sa remarquer, il rit même mais ce sont les nerfs qui lâchent plus que sa phrase elle-même. « Il n’y en aura pas un troisième il y a que des imbéciles ! » Lui le premier mais aujourd’hui il se rend compte qu’il s’est mis lui-même en sécurité pour elle. Pour ses enfants ce n’est pas une bonne chance, ils ne peuvent perdre un père mais ça veut quand même dire quelque chose sur ses sentiments à son égard qu’il pensait enterrés non ? Son regard dans le sien il sourit à sa remarquer alors qu’il pose lui-même sa main sur sa main posée sur son genou « La prochaine fois ça sera peut-être la bonne ! » Faire de l’humour là-dessus est une façon de décompresser et maintenant qu’ils sont arrivés, il ne la lâche pas d’une semelle. Plutôt rêver et si des médecins lui font la moindre réflexion il va gueuler. Il a le sang chaud Aislan. « Il est avec la babysitter, je lui enverrai un message pour rallonger ses horaires ! » Il ne veut pas partir. Heaven, il ne sait pas trop où elle est, elle est grande mais il ne veut pas lui demander de garder Timéo. C’est sa mère mais la situation est trop compliquée, ce que personne ne sait. Même pas Rayna. Après avoir tourné en rond plusieurs fois comme un fauve dans sa cage il s’asseoit auprès d’elle, lui prend la main et ne parle pas ; Il ne parle pas jusqu’à sentir des larmes lui monter aux yeux, ce qu’il s’empresse d’essuyer « J’ai eu tellement peur, j’ai cru que je t’avais perdu ! » Il est du style à cacher quand il ressent ce genre de chose, à ne pas montrer ses faiblesses mais il n’a pas envie de garder sa carapace avec Rayna, même si le contraire risque d’arriver, il est à deux doigts de sentir un sanglot.
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Sujet: Re: I can't stand the idea of losing you (Rayna) Ven 22 Juin - 21:49
I can't stand the idea of losing you
Rayna & Aislan
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En vrai, je n’ai pas eu le temps de réaliser que ma vie aurait pu prendre fin ici sans que je ne puisse téléphoner à mes enfants et surtout à Jonas, pas qu’il soit plus important, mais ça fait un moment que je ne l’ai pas vu. Enfin, j’ai l’air d’être vivante, juste un énorme mal de tête, le moindre mouvement du regard me tue. Mais je me retiens de grogner ou encore de jurer ou bien de me plaindre. Après tout, je le sais j’aurais pu vivre pire, j’ai été entraînée à combattre les interrogatoires musclés et à ne surtout pas lâcher le morceau quoi qu’il arrive. Même si notre vie est en train d’être menacée, c’est ainsi, même si pour le moment ça devrait aller. Je ne suis pas à plaindre vu que c’est moi qui ait créée cette situation en demandant à ce que Aislan ne soit plus mon coéquipier, alors forcément j’ai fait en sorte de la créer, même si je ne me sentais pas forcément en sécurité avec lui, je l’aurais plus été ce soir avec lui. Enfin, je le regarde et je respire calmement. « Oui, pourquoi ? » Je m’agacerais presque, je n’ai aucune envie qu’il me pense faible ou même une autre personne. Tout ira bien, très bien même. Je grimace à sa réponse alors que l’ambulance fait son petit trajet comme il doit si souvent le faire. « Comment il n’y en aura plus ? » Je suis curieuse et surtout inquiète, je n’ai pas envie de me retrouver au chômage. « Je ne veux pas arrêter ma carrière, alors il y en aura un troisième et autant qu’il faut pour que je puisse continuer mon métier ! » J’ai abandonné ma vie de famille avec mon mari, certes gay, qui est surtout mon meilleur ami enfin bref, je ne veux pas tout arrêter, ce n’est pas le moment, pas mon moment pour partir en retraite. Mes prunelles dans les siennes, je souris et sens sa main se déposer sur la mienne que je venais tout juste d’imposer sur son genou. « Quand je dis que tu n’es pas doué ce n’est pas des paroles en l’air ! » Je fais un petit clin d’œil en soupirant en ressentant la douleur, alors oui je peux clairement la cacher, mais je la ressens alors autant dire que ça fait un mal de chien. Les médecins sont là, enfin du moins pas encore, mais ils sont à deux doigts de moi, ils vont vite arriver. « Tu devrais surtout rentrer avec ton fils et ta fille ! » Que je lui disais. Sa présence ne me dérange pas, mais je ne veux pas non plus le priver d’un moment en famille, moi mes enfants sont grand tout comme Heaven sa première fille, mais son petit timéo ne l’ait pas alors il devrait en profiter avant qu’il ne grandisse et finisse par partir. Je commence à fermer les yeux, quand j’entends la voix de mon ex et ancien coéquipier flirter avec mon ouïe. Une voix triste et apeurée. Je ne comprends pas trop, ce qui a changé depuis cet accident, mais c’est étrange, vraiment. « Mais … » Que je dis avant d’hésiter. « Je suis là … mais pourquoi tu me hais après tout, pourquoi tu fais tout ça ? » Puis, ma phrase se terminer, le point final vient d’être lancé quand les médecins arrivent lui demandant de leur laisser de la place pour qu’il puisse m’examiner. « Rentre chez toi ! » Que j’ajoute gentiment surtout pour lui. Alors que je ne sais pas s ‘il m’a écouté ou non, mais je suis prise en charge et je réponds aux questions des médecins.
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Sujet: Re: I can't stand the idea of losing you (Rayna)