under water time is standing still ))

trent, maxence

under water time is standing still

Ses espoirs ont été grands à un certain moment, adoucis par la tendresse de Trent et leurs regards réciproqués, mué par la candide envie de voir l’éternel s’empreindre de leur relation. Il n’y avait rien de cela, du moins pas autant qu’il ne le voudrait ; et ses lèvres se ferment sur une exclusivité qu’il ne peut demander, un lendemain qui n’existe surement pas. Maxence détourne le regard alors que ses barrières croulent comme si elles n’étaient faites que de bouts de pailles – Trent un souffle bien trop ravageur. Les espoirs se sont atténués depuis, ils tentent encore de se débattre et faire entendre leur voix, mais c’est de plus en plus difficile de s’y laisser méprendre devant l’impossible qu’ils sont. Il a du mal à ne pas trépigner en place et dissimule vainement les tremblements de ses jambes, la nervosité dans ses yeux. Ses mains sont moites, son cœur un tambour mais son esprit est lucide. Il ne l’a jamais autant été. Ses confessions s’extirpent de ses lèvres sans filtres, de sa déception à sa tristesse envers cet homme, il lui vaut au moins ça maintenant que Trent avait réussi à l’acculer dans ce couloir, avec pour seule issue possible de lui parler, enfin. Leurs yeux se retrouvent et les barrières s’effritent un peu plus, Maxence est si faible face à lui et il réprime difficilement l’envie de couper court à toute cette conversation et simplement trouver refuge entre ses bras. Ils peuvent parler demain, ou le jour d’après, n’importe quand – c’est ce que l’enfant capricieux au fond de lui susurre. Arrêter de s’éviter, c’est la réponse simpliste que Trent lui offre, comme si leurs problèmes n’étaient pas plus avancés qu’une équation de primaire. Ils ne peuvent pas égoïstement fermer les yeux sur le mariage de Trent et son enfant, pas quand Maxence veut être le seul visage qui se dessine face à lui. Le plus jeune finit par s’approcher nerveusement, il n’entreprend rien mais Trent ne lui donne pas l’occasion d’attendre. Ses lèvres sont happées par les siennes et il n’y a aucune hésitation quand il répond au baiser. Affamé de ce contact qu’il aurait presque pu oublier, son visage prisonnier des mains de Trent comme il aime tant, comme si leur dernier baiser n’a été que la veille. Il hoche lentement de la tête quand leurs fronts se touchent. La voix de Trent ne lui offre pas plus de réponse, simplement un autre témoignage de la réciprocité de leurs sentiments. « Tu n’aides pas. » réplique-t-il, cette fois plus taquin, un peu moqueur, pour ce soir au moins il abandonne les réflexions. Ses mains glissent timidement jusqu’aux hanches de Trent pour s’y caler. Maxence entend la vibration claire de son téléphone dans la poche arrière de son jeans, il est retard, il n’a même plus envie d’y aller. « Je l’aime pas. » murmure-t-il doucement au milieu du silence qui venait de s’installer. Ses iris partent à la recherche de leurs comparses. « Ma copine, je l’ai jamais aimé. Elle le sait mais elle pense pouvoir me changer. Et ça me permet de paraitre…normal, devant mes parents. » Un aveu qu’il offre à son tour pour que tout soit transparent entre eux. Il n’a jamais parlé d’elle à Trent, lui faisant simplement part de son existence quand ils ont commencé à vivre sous le même toit. Elle n’est qu’une pièce rapportée d’un puzzle sans sens mais Trent a dû s’en rendre compte depuis bien longtemps. Elle n’est pas importante pour lui, malgré ce collier offert qu’il garde depuis toujours autour de son cou. Trent l’est.

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Trent & Maxence

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to yearn and to plead

C’était idiot finalement. De s’être infligé tant de misère pour en arriver là, à ce même point fixe qu’ils avaient été naïfs de penser pouvoir éviter. Trent savait pertinemment qu’il aggravait une situation déjà compliquée, mais il se lassait de chercher des solutions introuvables. Il réalisait qu’il n’en avait jamais vraiment eu envie. Avec sa seule morale pour compagnie, il s’était trouvé bien seul et n’avait cessé de titiller les failles de sa propre logique. Était-ce ça son futur d’homme de principe? Une vie à attendre sur la touche qu’on l’autorise à reprendre la partie, puni de toute initiative personnelle aussi égoïste soit-elle? Un discours de martyr, mais qui n’avait cessé de l’obséder pendant ces longs jours où Maxence l’avait ignoré. Et puisqu’il était là maintenant – pudique et solennel et irrésistible - et qu’ils semblaient aussi misérables l’un que l’autre, Trent avait fait preuve d’encore plus de faiblesse. Pas une solution et pas un répit non plus, mais une indulgence toute simple qui avait le goût du plus chaleureux des accueils. Max et lui n’avaient pourtant pas abusé de telles choses, mais le contour de ses lèvres était des plus familiers sous les siennes. La même pression avide et la même absence totale d’hésitation de la part de son colocataire; celles qui avaient jadis étaient animés par l’alcool sous les stroboscopes d’une boîte bondée. Le contexte n’aurait pu être plus différent dans l’intimité silencieuse de l’appartement qu’ils partageaient, mais les torts étaient tout aussi intransigeants et délicieux. « Je sais » concéda-t-il contre ses lèvres, presque surpris par l’absence totale de regret dans ses mots. « Désolé » dit-il d’une voix qui ne l’indiquait en rien, ponctuant son pardon d’un baiser rapide. Et Maxence ne semblait pas l’être tant que ça non plus. Le tout sonnait comme une trêve, chacun agitant un drapeau blanc pour mieux se retrouver au milieu du champ de bataille. Maxence avait laissé tomber les armes, et retrouvait ce petit air taquin et satisfait que Trent appréciait tant. Le temps viendrait bien assez tôt de reparler de la situation, mais pas maintenant. Pas ce soir. Trent s’apprêtait à verbaliser la chose lorsque la vibration du portable de Maxence le tira de ses pensées. Ah oui, il oubliait. Trent était assez orgueilleux pour être plus ou moins convaincu que Max n’allait pas le planter là pour retrouver sa copine, mais en avoir la preuve était toujours préférable. C'était ridicule d’éprouver autant de satisfaction en entendant le jeune homme lui dire qui n’aimait pas sa petite amie. Trent n’avait pourtant jamais à un seul instant éprouvé de la jalousie pour cette innocente inconnue. Même dernièrement, alors qu’elle avait récolté le bénéfice de ses erreurs et accaparait tout le temps libre de Maxence. Mais Max, dans toute sa tendresse et générosité - avait ressenti le besoin de mettre les choses à plat, comme s’il avait le moindre compte à rendre à Trent. Comme si Trent n’aurait pas été le pire hypocrite sur Terre s’il avait remis en question la relation entre les deux jeunes gens. Trent avait laissé ses mains glisser le long du cou de Maxence jusqu’à les caler dans le creux de son dos pour l’attirer un peu plus contre lui. Elle pensait pouvoir le changer? Quelle idée. « Tu es parfait comme tu es » dit-il, tandis que son esprit s’accrochait sur ce petit détail. Ses parents. Que penseraient-ils s’ils savaient que leur fils chéri fréquentait un homme de presque dix ans son aîné? « Tu peux la rejoindre si tu veux » continua-t-il tout de même en fixant son regard au sien, son ton aussi doux que faux. Pour maintenir les apparences, pour respecter ses promesses. « Tu ne me dois rien », il était tout de même important de le dire, mais il ne relâcha pas son emprise sur le jeune homme pour autant.

trent, maxence

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Les semaines passées à s’éviter revêtent soudainement l’allure d’un temps perdu, un effort consumé en quelques petits bouts de néant puisqu’ils finissent inlassablement par se retrouver. Maxence l’avait ignoré parce qu’il était conscience de sa vulnérabilité face à lui, ce n’est pas la première fois qu’il tombe amoureux, des émois troublants ont à quelques reprises fait battre son cœur, lui donnant ainsi une idée claire sur ses préférences. Pourtant, ça n’avait jamais autant duré, il n’était jamais tombé aussi profondément. Trent était certainement la pire personne pour qui il pouvait éprouver ces sentiments-là. Ils n’ont rien pour les réunir, tout est contre eux. Il n’y a que sous le toit de cet appartement qu’ils partagent une once d’intimité. Maxence n’est pas enclin aux démonstrations affectives en public, sa pudeur lui faisant même prendre ses distances avec sa petite-amie quand ils sont dehors, là n’est pas le problème, hors de cet appartement, Trent redevient cet homme marié et père. Une combinaison qui devrait le rendre inaccessible partout. Et le plus jeune se sent perdu dans cette dynamique, en colère et déçu, triste tout simplement de voir ses efforts s’éteindre avant même de leur avoir donné une chance. Dans tout ce tumulte, il sent la confusion de Trent aussi. L’attraction l’aveugle certainement mais il désire oublier, pardonner ce mensonge par omission qui les fait glisser le lent d’une vague houleuse. Il sait qu’il ne s’en sortira pas indemne, il ne s’est déjà que trop investi. Il n’y a pas de promesse, aucune attache si ce n’est le désir réciproque qui le brûle de l’intérieur, avide de faire s’écrouler les murs qu’il érige. Les lèvres de Trent contre les siennes ont un goût familier, elles l’envoutent d’une impression de réconfort et de sécurité qui n’a aucun lieu d’être entre eux. « Tu n’as pas l’air si désolé que ça. » le ton plus léger, plaisanterie niaise alors qu’il accepte chaque baiser tendrement. Ce n’est que partie remise mais il préfère souffler ce soir, c’était assez douloureux pour lui ces derniers mois, plus occupé à tout mettre en œuvre pour éviter de croiser de Trent que de réellement s’occuper de ses cours et des examens qui approchent. Son téléphone le force à quitter ses contemplations, il a conscience qu’il est en retard de plusieurs minutes de l’heure de rendez-vous et il est naturel que sa petite-amie s’inquiète de ne pas le voir aussi ponctuel à son habitude. Le moment lui semble idéal pour confesser la réalité de leur relation, affirmer qu’il n’y avait pas d’amour dans son couple – les bourdonnements de son cœur avaient une toute autre trajectoire, mais il ne sait pas s’il pourra le clamer haut et fort au principal intéressé. Ça ne l’empêche pas de vouloir s’en alléger, il n’y avait rien de vrai pour lui, contrairement à Trent et sa femme. Il scrute le visage de l’homme, à la recherche d’une réaction, son corps malléable contre le sien n’oppose aucune résistance quand il l’attire contre lui. « Tout le monde ne penserait pas ça. » Il prie pour qu’aucune couleur ne vienne farder ses joues pâles à cette simple remarque. Son ainé insiste qu’il pouvait partir, puis qu’il ne lui doit rien. Son emprise demeure ferme autour de sa taille et Maxence est conscient de ne pas avoir la force nécessaire pour s’en déloger si Trent ne s’éloigne pas. « Mais toi, qu’est-ce que tu veux ? » Ses mains remontent doucement le long des bras du plus vieux, trouvent le chemin jusqu’à son torse pour y reposer ses paumes, là où les battements de son cœur lui sont aisément perceptibles. « Ça te dérangera pas que je m’en aille après ce qu’on vient de se dire ? » Taquin et joueur, il refuse d’encore baisser les armes et simplement affirmer qu’il préfère rester avec Trent avant que ce dernier ne l’y encourage clairement.

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Trent & Maxence

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to yearn and to plead

Trent avait eu son lot de pardons à délivrer. La plupart ne méritaient pas d'être retenus, leur sincérité n'ayant d'égal que leur offense, mais Trent avait été un jeune homme fier et distrait, et son bon fond avait compensé sa négligence à maintes reprises. D'autres avaient été nécessaires, extirpés de derrière une rangée de dents serrées ou motivés par les tiraillements de son cœur. Et puis il y avaient ceux que Trent gardait encore au chaud. Il les polissait telles des pierres précieuses, conscient de leur nécessité d'être parfaites le moment venu, lorsque ses plus terribles secrets seraient révélés au grand jour. Il était presque ironique de s’inquiéter des conséquences que son attirance pour Maxence aurait sur son mariage, en sachant qu'il gardait précieusement une bombe à retardement capable de faire bien plus de dégâts. Sa pauvre femme ne méritait sans doute pas le flot d'emmerdes que Trent apportait avec lui. Et Max non plus. Il n'était pas encore sûr du genre de pardon qu'il allait réserver à son doux colocataire dans le futur, mais ça n'était certainement pas aujourd'hui qu'il allait s'excuser de céder à ses sentiments. « Non » avoua-t-il. « Pas pour ça » ajouta-t-il à demi mots. Il n'avait que l'embarras du choix, de ses mensonges à sa faiblesse, et déclarer une trêve ne semblait pas aussi terrible que le reste de ses actions. C'était un sursis, aussi égoïste que réconfortant. Mais cette relation n'avait jamais été qu'à eux; condamnées à être influencée et malmenée par des personnes extérieures. Le téléphone de Maxence était là pour leur rappeler ce fait. Et Trent, qui n'avait jamais forcément apprécié cette jeune femme par principe, lui en voulait soudainement. Pas de s'accaparer Maxence - il ne l'avait jamais vraiment compté comme une menace, une adversaire à prendre en compte - mais de penser qu'il avait besoin de changer, d'être adapté à un moule qui ne pouvait espérer contenir toutes les nuances de sa personnalité dans toute leur perfection. Trent en avait connu des personnes séduisantes et brillantes au cours de sa vie, et aucune d'entre elles ne l'avait fait flancher. Jusqu'à Maxence. Malgré son âge, malgré sa réserve, il avait franchit tous les remparts jusqu'à se creuser une place rien qu'à lui. Il y avait quelque chose d'exceptionnel dans cet accomplissement que Trent ne pouvait s'empêcher d'admirer, aussi égocentrique cela soit-il. Si les autres ne se contentaient pas de cela, alors tant pis pour eux. « Heureusement qu'on ne demande pas leur avis, alors » dit-il en passant un pouce sur la pommette rosée du jeune homme. « Il va falloir que tu te contentes du mien » ajouta-t-il, un sourire au coin des lèvres qu'il s'empressa d'imprimer sur celles de Maxence. Il en profitait tant qu'il était là, avant qu'il ne lui glisse entre les mains pour aller respecter ses promesses. Mais Max lui posait la plus dangereuse des questions tandis que ses mains se frayaient un chemin jusqu'à son torse. Il expira d'un léger rire. « J'essayais juste d'être réglo » dit-il en haussant une épaule. Envers cette jeune inconnue. Envers Maxence. « Mais si tu as besoin de me l'entendre dire » continua-t-il en plantant son regard dans le sien, conscient que son colocataire savait très bien d'avance ce qu'il souhaitait et se plaisait juste à le taquiner. « Je te veux ici, avec moi ». Encore et encore et encore.

trent, maxence

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Sa jeunesse l’emplie de fougue, lui fait voir des espoirs qu’il sait fond mais auxquels il continue de s’accrocher, comme mué par une force irrésistible. L’attrait de Trent est indéniable et le pardon que Maxence a finalement si facilement accordé en est témoin. Evidemment, il déteste leur situation, tout n’était que flou et suppositions, plus que tout, il est certain qu’il en ressortira le cœur brisé, mais il déteste bien plus la distance qui s’est imposée entre eux depuis cette sortie au restaurant. Avoir Trent si proche de lui et inaccessible à la fois le rendait fou. Il savait d’avance que ce n’était qu’une histoire de temps avant que le plus vieux ne le confronte (si réellement, il tenait à lui), il ne pensait pas que ce serait ce soir en particulier mais c’est arrivé et Maxence a cédé, presque sans combat. Non, pas pour ça. Maxence aime certainement plus que de raison la franchise confuse d’insolence que revêt parfois Trent, elle suffit à souffler un éclat dans ses iris, délayer la rigidité de sa bouche afin d’étirer ses lèvres en un sourire trop tendre, trop niais. Le téléphone le rappelle à l’ordre, remet entre ses yeux le visage de la jeune femme qu’il avait oublié depuis plusieurs minutes déjà. Est-ce qu’elle aussi s’abreuvait des mêmes espoirs vains qu’il avait envers Trent ? Surement. Pour autant, Maxence ne ressent pas d’empathie, puisque personne ne semble en avoir pour lui. Au moins, il avait été clair avec elle dès les premières semaines.

Il survole le beau visage de Trent et revient vers le bleu de ses yeux, comme un point d’ancrage. La caresse sur sa joue est une flatterie qu’il reçoit avec plaisir, le chaste et rapide baiser également. Il attend une réponse de sa part, une réelle opinion plutôt que de lâchement lui laisser le choix. Leur dynamique dans leurs relations respectives a beau être différente, Maxence sait qu’il détesterait voir son ainé courir à la rencontre de sa femme après leur discussion. Il n’avait certainement pas son mot à dire mais ça ne l’empêcherait pas de mâchouiller sa déception et sa tristesse dans un recoin de sa chambre. Il souhaite entendre Trent lui demander de rester, se sentir assez important pour lui. Maxence attend docilement et réprime un frisson face à la main aventureuse du blond. Il garde le regard fixé sur les lèvres de Trent pour ne pas perdre une syllabe. « Tu essayais d’être réglo, évidement. » parce que Trent n’a été que modèle de justice ces derniers mois, Maxence préfère en rire légèrement, continuant ainsi sa taquinerie. Les mots se suivent et le rire de Maxence s’évapore à mesure que son cœur se fait plus tremblant. Je veux ici, avec moi. Il a presque envie de continuer sa blague, répondre qu’il compte finalement la rejoindre pour contempler l’air sur le visage de Trent mais il se contente de s’approcher un peu plus. « Moi aussi. » murmure-t-il tout contre ses lèvres, le souffle chaud et les paumes lovées aux contours du visage de Trent. « Moi aussi. » répète-t-il en lui dérobant tout son oxygène, attirant Trent à lui tout en marchant en arrière jusqu’au canapé. Son parfum lui a manqué, ses lèvres, sa voix, tout de lui. Heureusement que Trent était venu à lui parce qu’il doutait de sa persévérance. « Ça m’a manqué. » Il peut le dire, ils sont chez eux après tout. Lieu de tous leurs secrets.

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