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 N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher

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Chip DanversGrateful for the family we chose
Chip Danvers
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MessageSujet: N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher   N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher EmptyJeu 15 Déc - 5:46

Stanley & Chip
Cette fois tu me sers d'alibi
Encore une fois, je me retrouvais à cuver plus qu’il n’en faut. C’était presque régulier depuis quelques temps. Est-ce que c’était devenu mon échappatoire ? Ayant encore du mal à accepter que mes parents allaient adopter, je ne savais pas quoi faire. Je ne trouvais pas les mots pour leur parler et je ne me voyais pas leur dire d’abandonner cette enfant simplement par caprice. C’était stupide, je devais simplement avaler la pilule. Même si pour l’instant elle me passait en travers de la gorge. Malheureusement, je n’étais pas des plus doué pour cacher mes émotions, on pouvait déjà le ressentir dans mes études – déjà très peu alimenté, mais aussi dans mon attitude. Une fois de plus, je me retrouvais ivre et j’avais pris plus qu’il n’en faut de drogue pour me rendre plus que simplement feeling. Deux états que je n’avais pas pour l’habitude de me rendre, connaissant mes limites, cette fois encore je les avais plus que dépasser. Me levant du canapé où j’avais pris place au bout d’un moment, je ne savais même pas qui m’entourait. En fait, je m’étais invité à une fête universitaire, il y avait tellement de gens que passer inaperçu avait été simple ! La tête tournante, l’estomac qui se sentait comme dans des montagnes russes, je me dirigeais vers la sortie en prenant mon portable. Je regardais l’heure, un bref coup d’œil, peut-être trop bref car j’avais déjà oublié l’heure… Je poussais un soupir, l’air frais de la nuit me fit frissonner. Je n’étais même pas certain que je fusse arrivé si peu vêtu, en me regardant j’en doutais me balader en t-shirt en milieu décembre c’était pas dans mes habitudes, mais je ne me souvenais même plus de ce que j’avais amené comme manteau et encore moins où j’avais pu le laisser. Tant pis. Les minutes s’écoulaient et je devais bien rentrer, l’idée de chopper une pneumonie n’était pas dans mes objectifs. Sauf que je ne me voyais pas rentrer chez moi, j’étais certain que mon père s’il me retrouvait une nouvelle fois dans cet état allait me punir jusqu’à la fin de mes jours ! L’inconvénient de toujours vivre chez ses parents, même si en toute franchise, je ne me voyais pas quitter le cocon de sitôt. J’étais bien dans la maison familiale, même si parfois je ne dirais pas non pour voler de mes propres ailes. Je pris tout mon petit change pour réfléchir à ce que je pourrais faire, une alternative vite fait sinon je finirai ma nuit congelée sur un banc du campus universitaire. Hors de question que j’appelle Yasmin, elle me passerait un aussi gros savon que mon père pour le coup ! Autant éviter… Fronçant le nez et serrant mes bras contre mon torse, je cherchais une solution, jusqu’à penser à Stanley. Pourquoi je n’y avais pas pensé avant ? Le froid sans doute ! Comme par chance il n’habitait pas trop loin de Georgetown, je marchais jusque chez lui d’un pas titubant et incertain. Par moment, je m’arrêtais pour prendre mon souffle et aussi chasser cette envie de dégobiller à chaque instant. Comme tout bon souillon, je me jurerais que cette fois serait la dernière, que plus jamais je prendrais une cuite comme celle-là ! M’en rappellerais-je demain ? J’en doutais fort… Ne sentant plus mes bras, mon nez, mes oreilles, enfin la plupart des partis de mon corps, j’étais soulagé d’arriver à son appartement. Je toquais à la porte, frottant vigoureusement mes bras pour me donner un peu de chaleur. Une personne ouvrait arborant bigoudis, la peau ridée et une longue jaquette de nuit en flanelle. « Woh ! » Ça m’avait échappé malgré moi. Oups. Je savais que Stanley aimait les personnes plus âgées que lui – à croire qu’il avait fait une erreur avec moi qui était plus jeune ! Mais je ne lui connaissais pas un penchant pour d’aussi vieilles personnes ! « Stanley est… » Elle ne me laissait pas finir ma phrase, qu’elle fermait sa porte. Quoi ! Non, mais la politesse ! Bon je n’étais sans doute pas la personne digne de donner l’exemple, mais tout de même. « Mais ! » Elle poussait un soupire, sortant sa main osseuse pour pointer derrière moi. « Les jeunes c’est l’autre porte. » Je tournais la tête – mauvaise idée, trop rapide, mon cœur ne supportait pas ces mouvements, double oups… Voilà que je m’étais gouré de porte ! Je m’excusais, tournant les talons avec lenteur pour aller toquer à sa porte. Épuisé, je venais appuyer mon front contre la porte attendant qu’il daigne venir ouvrir cette porte.
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MessageSujet: Re: N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher   N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher EmptyJeu 12 Jan - 22:33

Cette fois tu me sers d'alibi

feat. Chip & Stan

Comme demain matin Stanley avait cours, il n’allait pas sortir et se contentait donc de regarder la télévision en compagnie de sa soeur jumelle. Ils avaient dû déterminer ensemble quoi regarder car ils n’ont pas forcément les mêmes goûts pour tout en ce qui concerne les séries ou même en matière de films. Mais peu importe ils finissaient toujours par trouver un terrain d’entente. Et bien souvent c’était le jeune garçon qui cédait face à sa sœur. Bon en même temps du moment qu’ils pouvaient passer la soirée ensemble, ça lui allait. Et puis souvent la blondinette cessait de regarder la télé avant lui pour aller bouquiner dans sa chambre avant de finir par tomber dans les bras de Morphée. Même si le jeune homme aime bien lire, en ce moment il délaisse un peu la lecture, préférant se mettre à jour dans ses séries préférées. Puisqu’il cumule pas mal de retard à cause de ses études mais aussi parce que quand il a du temps libre et que c’est la même chose pour sa petite-amie, évidemment il préfère la privilégier elle plutôt que la TV. Heureusement d’ailleurs car sinon ça serait malheureux et il faudrait qu’il se pose des questions au sujet de leur relation. Et puis Elysia ne laisserait sûrement pas passer ça de toute manière. Quoi qu’il en soit Stan avait passé une agréable soirée en compagnie de sa sœur puis se retrouvant seul, au bout d’un moment il était allé se coucher.

Il ne saurait dire à quelle heure de la nuit il dût se lever pour aller faire un tour aux toilettes et surtout aller se prendre un verre d’eau dans la cuisine car il avait la gorge sèche mais au même moment il entendit toquer et n’eut donc pas le temps de boire le verre qu’il venait de se servir. Il arqua un sourcil se demandant qui pouvait venir si tard. Peut-être des gens qui faisaient une farce ? Toujours est-il que comme il était en caleçon, il fonça vite dans sa chambre pour enfiler un pantalon de jogging puis revint vers l’entrée et jeta un œil par le judas mais il ne voyait rien. Il déverrouilla quand même la porte et l’ouvrit puisqu’il était piqué par la curiosité. Il fut très étonné de trouver Chip dans un état plus que pitoyable devant lui. « Chip ! » D’ailleurs il semblait à peine tenir debout. Stan passa son bras dans le dos de son ami afin de l’aider à rentrer chez lui. Il continua à le soutenir jusqu’à arriver au canapé où il fit s’asseoir son meilleur ami puis retourna fermer la porte qui était restée ouverte.

Une fois verrouillée, il retourna aussitôt voir son ami et grimaça en le voyant. « Tu vas choper la mort à traîner dehors par ce temps en t-shirt… Et qu’est-ce que t’as foutu pour te retrouver dans cet état ? » Inquiet pour Chip et un brin mère poule, Stanley s’en alla dans sa chambre afin de fouiller dans un placard. Il en sortit une grosse couette ainsi que des oreillers qu’il ramena au salon et déposa tout sur le canapé. « Je suppose que si t’es venu à cette heure-ci c’est pour dormir ici, donc voilà tout ce qu’il te faut. » Il partit ensuite en cuisine chercher le verre qu’il n’avait pas encore bu puis en prendre au passage un autre pour son ami. Il ramena le tout au salon et déposa tout ceci sur la table basse avant de s’asseoir au bord du canapé. Il regarda son ami ne sachant pas quoi dire. Il aimerait bien en savoir plus mais préférait laisser Chip tranquille et attendre de voir s’il finirait par se confier à lui. Il attrapa son verre qu’il avala d’une traite puis le reposa. « T’as de la chance que j’étais relevé et pas loin de la porte d’entrée sinon je ne t’aurais probablement pas entendu. » Effectivement sa chambre est assez éloignée de la porte d’entrée et donc ce n’était guère en toquant que Chip se serait fait entendre.

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MessageSujet: Re: N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher   N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher EmptyVen 17 Mar - 19:29

Stanley & Chip
Cette fois tu me sers d'alibi
Arrivé devant la porte de mon meilleur ami, j’avais pris l’initiative de toquer plutôt que d’appuyer mon doigt sur la sonnette. Mon intention n’était pas de réveiller tout la maisonnée, quoi que peut-être en quelque sorte, puisque je désirais tout de même que quelqu’un vienne me répondre. Attendant sagement, ou plutôt attendant dans l’espoir que le tournis me quitte, j’avais appuyé mon front contre la porte, laissant la fraîcheur de celle-ci s’étendre sur ma peau chaude malgré le temps frais de décembre. Je gardais les yeux clos, grimaçant légèrement en revoyant cette femme qui venait de m’ouvrir la porte voisine. Une vision qui n’était pas prête de me quitter, tout du moins pour les prochaines heures, puisque je n’étais pas certain de me souvenir de cette soirée à mon réveille. Des bruits de pas, un sentiment de soulagement m’envahi, alors que la porte s’ouvrait me faisant perdre pied. Ma motricité n’était pas au  meilleur de sa forme et ça ne me prenait pas plus pour me donner un haut le cœur. Il allait me falloir un petit remontant pour me retirer la gueule de bois qui s’annonçait terrible au petit matin. Je posais à peine mon regard sur Stanley, trop vitreux pour vraiment bien le voir. Je savais à peine distinguer si c’était mon meilleur ami ou bien sa jumelle, mais le son de sa voix me rappelait celle de Stan – à moins, bien entendu qu’Avalon ait un rhume. « Salut… » disais-je d’une voix rauque, rouillée par le surplus d’alcool et de fumette. Mon état devait être pathétique, mais j’étais trop éméché pour m’en préoccupé. Soutenu, je suivais mon best sans rechigner tel une marionnette dirigé par son marionnettiste, avant de me laisser tomber sur quelque chose de moelleux, sans doute le canapé. Je poussais un soupire lasse. Mon regard suivait mon ami, jouant avec mes doigts et mordant l’intérieur de mes joues. Mon cerveau lançait une analyse de ses paroles, essayant de décortiquer ce qu’il venait de me dire, essayant de comprendre pour ne pas simplement balancer la première connerie qui me passait par la tête. Ce qui aurait été sans doute plus aisé de faire que de dire la vérité. Je ne ressentais pas la honte ni la culpabilité de mes gestes, mais de là à dire ce que j’avais fait ça me semblait presque impossible. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que je ne m’en souvenais pas vraiment. « Je crois que j’ai égaré mon manteau… » disais-je en premier lieu pour expliquer ma tenue. « Ou alors, je suis sorti comme ça, je sais plus trop… Je crois que j’ai encore un peu trop abusé de Morgan et Marie. » Dans mon jargon, c’était ma manière de dire que j’avais bu du rhume et fumer, mais d’un œil extérieur ça pouvait sembler étrange, voir à double sens, ce que je ne réalisais pas du tout. Stan revenait les mains chargées de mon petit kit de survie pour la nuit, le déposant près de moi. Je lui adressais un maigre sourire et un « merci » tout aussi dénué de vie. J’allais lui en devoir une, comme on dit. Ne cherchant pas à savoir ce qu’il allait faire, je me mettais à placer les oreillers au bout où se trouverait ma tête. Il avait vu juste, en débarquant ici, je venais squatter son canapé, bien que je ne sente pas dans le besoin de le préciser. De toute manière, il avait sans doute bien compris simplement en me regardant. Passant la couette autour de mes épaules, je m’emmitouflais dans celle-ci ne laissant que mon visage à la vue. Je le remerciais une seconde fois en le voyant revenir déposant un verre d’eau sur la table basse se trouvant devant moi. Je regardais le verre, presque obnubiler par l’ondulation qui s’était formé à la surface de l’eau. Il me faudrait bien plus que de l’eau pour décuver, mais c’était déjà sympa de sa part qu’il me laisse entrer sans rien me demander, je n’allais pas jouer le chieur en plus ! Je sortais finalement de ma rêverie, tournant mon regard vers le brun. « J’aurais squatté ton entré si tu n’avais pas ouvert ou je t’aurais chanté la sérénade jusqu’à ce que tu daignes ouvrir la porte. Mais j’suis pas certain que la bonne femme en face de chez toi aurait été heureuse de m’entendre chanter comme un chat de gouttière. » Je grimaçais, non pas à l’idée de chanter comme une casserole, mais plutôt à l’image de la vieille momie vivant non loin de chez Stan. « Elle est toujours aussi sympa ? Parce que franchement, elle ne m’a pas laissé une très bonne opinion en me fermant la porte au nez. On dit que les jeunes manquent de savoir vivre, mais les vieux…. Raaaaah, sont pas sweet ! » continuais-je dans un monologue sérieux.



Vraiment désolée pour le délai de réponse N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher 3352263135
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MessageSujet: Re: N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher   N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher EmptyMer 5 Avr - 23:46

Cette fois tu me sers d'alibi

feat. Chip & Stan

Stanley ne s’attendait pas du tout à trouver son meilleur ami dans un état pitoyable sur le palier. Toutefois il n’avait pas cherché à comprendre et l’avait aidé à entrer dans son appartement. Il l’avait soutenu jusqu’à arriver au canapé où il le fit s’assoir. Au vu de son état, il se doutait bien que le brun avait abusé au moins de l’alcool. Il ne fallait pas avoir fait Harvard pour s’en rendre compte. Et puis même sans ça l’odeur était bien présente pour le mettre sur la piste. Une fois qu’il fut sûr que Chip serait bien installé, il s’en alla fermer et verrouiller la porte d’entrée afin que personne ne s’introduise ici durant la nuit. Puis il était retourné voir son ami et lui avait demandé ce qu’il fichait dehors en t-shirt en pleine nuit. C’était assez surprenant tout de même surtout à cette saison. En tout cas le jeune Archer ne s’y serait pas risqué lui. Stan ne put s’empêcher de réprimer un petit rire en entendant les justifications de son meilleur ami. « Ouais je vois… Bon ben j’espère que tu seras pas malade à cause du froid demain matin. » Le jeune étudiant n’avait pas eu besoin qu’on lui décrypte les paroles de son ami puisqu’il le connaissait tout de même assez bien pour comprendre à quoi il faisait allusion. Il ne le jugeait pas même s’il voyait que Chip avait une bonne cuite là. Mais bon il ne lui ferait pas la leçon de toute façon car lui aussi parfois peut se prendre une mine.

Après ça Stanley se doutant que son ami ne repartirait pas d’ici alla lui chercher tout ce dont il pourrait avoir besoin pour la nuit. À savoir de quoi dormir confortablement sur le canapé. Il ne pouvait pas lui proposer mieux que ça puisque l’appartement ne dispose que de deux chambres et qu’elles sont toutes les deux occupées. Mais bon pour avoir déjà testé le canapé, il ne devrait pas y avoir de problème. Sauf si Chip bougeait trop et tombait par terre. Stan souria à son ami quand celui-ci le remercia pour la couette et les oreillers. « De rien. » Lui avait-il simplement dit.

Puis n’ayant pas pu boire quelques minutes plus tôt il était allé se chercher son verre d’eau à la cuisine et en avait même pris un autre pour son ami. Il n’aurait peut-être pas soif mais néanmoins ça ne pourrait pas lui faire plus de mal et puis l’alcool était connu pour déshydrater alors un verre d’eau dans le coco ça serait déjà bien même si ça serait loin de tout résoudre. Stan lui put enfin boire son verre puis il écouta la réponse de son ami qui le fit rigoler. Il n’était pas sûr d’avoir tout bien compris mais vu les paroles de Chip, il en avait déduit qu’il avait rencontré une de ses voisines. Et puis même sans ça l’imaginer faire un remake de Roméo et Juliette l’amusait beaucoup. Et ensuite il avait eu une vision du dessin animé Artistochats. À croire que se faire réveiller la nuit mettait son cerveau en ébullition. « Oh dommage j’aurais bien voulu que tu fasses Roméo pour moi. » Avait-il dit en s’esclaffant avant de se calmer un peu pour poursuivre. « Attends t’as fait la rencontre de Mémé Scottfield ? » Avait-il demandé en arquant un sourcil. Il eut bien vite la réponse en écoutant la suite du récit du brun. Une fois de plus il éclata de rire. « Attends en même temps il est quelle heure ? » Stan se tourna pour regarder l’horloge au mur. « Ouais ben il est genre plus de trois heures du mat, tu t’attendais à ce qu’elle t’accueille à bras ouverts peut-être ? Moi-même si t’avais pas été mon ami je t’aurais claqué la porte au nez. » Donc oui Chip avait de la chance d’être l’ami de Stanley car sinon il se serait retrouvé dehors sans ménagement.

Observant un peu plus son ami, Stan eut la bonne idée de partir dans la salle de bains chercher une bassine. Il ne tenait pas à devoir ramasser le vomi du brun le lendemain matin. Du coup il espérait que malgré sa cuite, celui-ci saurait encore viser. Il déposa donc la bassine par terre près du canapé. « Si jamais t’as besoin de dégobiller, je t’ai ramené ce qu’il faut ! » Et puis si jamais Chip visait mal et bien il se ferait un plaisir de lui faire ramasser le lendemain afin que ça lui serve de leçon de se mettre dans cet état. Parce qu’il n’y avait pas moyen que l’étudiant se salisse les mains pour ramasser les conneries de son pote. Il avait voulu boire au point d’être bourré, il faudrait qu’il assume la descente. Stan regarda son ami qui s’était bien emmitouflé dans la couette. « Ça va aller quand même ? Tu veux que je te laisse dormir ou que je reste encore un peu avec toi ? » Si jamais Mister Danvers tenait à ce qu’il reste près de lui, il le ferait même s’il risquait d’avoir la tête dans le cul pour les cours de la matinée.

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MessageSujet: Re: N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher   N° 86 :: Cette fois tu me sers d'alibi :: Darcher Empty

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