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 declan ◮ i forget where we were

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Declan GardnerFriendship is easier made than kept
Declan Gardner
MY BOOK COVER▹ posts : 1183
▹ credits : dublin
▹ avatar : sebastian stan
▹ pseudo : shellhead.
▹ multinicks : trent - nash - neil - rhys - avri
▹ age : thirty two
▹ activité rp : carter(3); carter(2)

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▹relations:

declan ◮ i forget where we were Empty
MessageSujet: declan ◮ i forget where we were   declan ◮ i forget where we were EmptyLun 5 Sep - 19:41

Declan Owen Gardner
I have not failed. I’ve just found 10,000 ways that won’t work

Prénom : Declan. il parait que son père a du sang irlandais dans les veines. mais puisque c’est la même excuse qu’il donne pour justifier une gueule de bois un lendemain de saint patrick, declan préfère ne pas s’étendre trop là-dessus.  il en a également rien à cirer de la généalogie. c’est son nom et puis c’est tout. en deuxième vient owen. pourquoi pas. Nom de famille : Gardner. Date & lieu de naissance : 12 Novembre 1984 à Boston. Âge : 31 ans. Métier : vient de se faire renvoyer de son job de serveur. Statut civil : Marié. Statut financier : A des problèmes d'argent. Caractère : ce qu’il faut comprendre, c’est que declan a un étroit éventail d’émotion. de perpétuellement confus, à apathique en passant par maladroitement immature, le tout saupoudré d’une dose de sarcasme, le jeune gardner n’a rien d’un meneur de foule. il se laisse porter par le courant, refusant d’être  submergé par les responsabilités et les attentes que l’on peut avoir de lui. cela cache un malaise évident, sans doute une inquiétude pathologique de ne pas être à la hauteur, mais il faudrait gratter longtemps la surface pour s’en apercevoir. en tout cas, c’est le genre de personne sur qui on est content de tomber dans une soirée où l’on ne connait personne. le contact humain ne le met pas dans tout ses états, ayant maîtrisé une timidité qui lui avait longtemps collée à la peau durant ses jeunes jours où les kilos en trop avaient fait de lui une cible facile. toujours partant pour vous laisser lui payer un verre, il vous accompagnera volontiers dans toute discussion pseudo-philosophique ou moquerie facile des exemples les plus amusants de la condition humaine. l’alcool le rend incroyablement triste et pathétique, et facebook détient encore les traces d’une performance mémorable de « i will remember you », où il fini par sangloter dans son whisky sur scène. declan n’est qu’une drôle de petite créature qu’il ne faut décemment pas prendre au sérieux. si son statut professionnel actuel ne le reflète pas forcément, declan n’est pas dépourvu d’intelligence. il a un diplôme en psychologie assez conséquent qu’il a juste décidé de ne pas mettre en application dans l’immédiat. il aime accuser ce champ d’étude pour tout ce qui ne va pas chez lui. sur une note plus légère, monsieur a sa dose de sensibilité et il n’en a pas honte. y’a que les psychopathes qui aiment pas leur maman ! dans une autre ribambelle d’adjectifs, monsieur est râleur, désordonné, compétitif, confiant, nonchalant – et si je vous jure – il cache même quelques qualités! Parti politique : Declan ne s'intéresse franchement pas à ces choses là. La politique lui passe au dessus de la tête. Mais si on lui demande, il s'identifie comme Démocrate. Groupe : Honey I'm Good. Avatar : Sebastian Stan.
Combien de livres lis-tu par mois ? Quels sont tes préférés ?
On ne dirait pas trop comme ça, mais Declan serait plutôt du genre à lire livre sur livre. A l'université, il ne râlait jamais devant les lectures obligatoires, et se plaisait même à lire les nombreux ouvrages sur son domaine d'étude. Petit déjà, il lisait beaucoup de romans, étant incapable d'aller se coucher sans avoir lu au préalable quelques pages d'un livre, se laissant bercer quelques instants dans un monde imaginaire avant de céder au sommeil. Aujourd'hui, il conserve cette habitude. C'est chez ses parents qu'il pique parfois des livres, ou dans les gares dans ces endroits où les gens laissent des livres à prendre gratuitement. C'est que c'est pas donné les livres et il préfère dépenser ses sous pour les pages colorées et tendres des livres pour enfant à raconter à son fils le soir.

Pour toi, l'amitié c'est...
Declan n'est pas le genre d'ami à passer un coup de fil pour demander des nouvelles ou qui est à l'initiative de nombreuses sorties. Non, il est plutôt de ces horribles personnes qui lisent un sms pour y répondre une semaine après, et qui se pointe à une soirée parce qu'on lui demande. Il ne faut pas y voir quelque chose de dénigrant ou de complètement désintéresse. Quiconque connait assez bien Declan sait reconnaître qu'il s'agit juste de sa manière d'être. Declan peut compter sur les doigts d'une main les personnes qu'il considère comme des amis. Il tient à ses personnes, mais le montrer ouvertement et le rappeler par intermittence n'est pas exactement son fort.

Quelle est la chose la plus folle qu'on a raconté sur toi ?
Declan ne suit pas les ragots. Ce n'est pas tant une hantise particulière pour les potins en tout genre et les moqueries sur autrui (dieu sait qu'il lui arrive lui aussi de juger hâtivement certains comportement), c'est plutôt un désintérêt profond pour la vie des autres. Ça ne l'a jamais intéressé de savoir qui fait quoi de son temps, qui trompe qui avec qui, il s'en moque éperdument. Declan ne sait pas s'il s'agissait d'une vraie rumeur colporté par quelqu'un qui ne l'aimait pas, ou bien par un membre de ce fameux club de lecture, mais il a déjà entendu dire qu'apparemment il était affilié à la mafia irlandaise....Declan n'est pas sûr s'il s'agit juste de l'effet de sa ville natale ou s'il a vraiment une gueule de mafieux véreux. Peut être qu'il devrait essayer de sourire un peu plus.
Un ▬ Declan a un grand frère qui réussit un peu trop bien dans la vie selon lui et ce sentiment de ne pas être à la hauteur face à cette compétition imaginaire a mené Declan a s'éloigner de celui-ci, l'accablant pour sa propre insécurité. Deux ▬ il a un chat qui se nomme avec grande originalité Truc. La pauvre bête l'a accompagné dans ses galères, et fait désormais partie intégrante de sa nouvelle petite famille. Trois ▬ Ce qu'il n'aime pas? Le café premièrement. Il est persuadé que le reste de la population est convaincue qu’en se forçant à en boire le goût s’améliorera. Faux. Répondre au téléphone est également une de ses hantises. Il est incapable d’être autre chose que méfiant en prenant un appel. Quatre ▬ Il a un problème avec les oiseaux également. Ça parait tellement vicieux à vous fixer avec leurs yeux perçant. Le traumatisme doit rester de cette fois, lorsqu’il était enfant, où un pigeon s’est engouffré par la fenêtre de sa chambre et lui a foutu la trouille de sa vie. Cinq ▬ Il a jadis fait partie d'un boys band. Ça lui avait paru être une bonne idée sur le coup. Il pensait auditionner pour une groupe classique et s'est vu recruté. Pourquoi pas, s'était-il dit. Il comprit vite son erreur et réalisa qu'il détestait, sans surprise, chaque aspect de la chose. Il laissa donc les quatre autres membres du groupe en plan pour aller continuer ses études sous la pression de ses parents. Six ▬ a un diplôme en psychologie qu'il n'a jusqu'alors pas mis en application. Après quelques mois à galérer à trouver du travail en sortant de l'université, il a pris un boulot de serveur et perdit peu à peu la motivation de recommencer à chercher. Sept ▬ Declan s'est retrouvé marié par erreur avec une collègue à Las Vegas. S'ils ne pouvaient pas se voir en peinture, la découverte de la grossesse de Carter les a poussés à se côtoyer d'avantage et des sentiments sont nés. Ils vivent ensemble à présent avec leur fils, Steve. Huit ▬ il vient récemment de se faire virer de son boulot de serveur après une altercation avec un client qui a été la goutte d'eau de trop. Neuf ▬ Declan est un fils à maman, il n’y a pas d’autres manières de le dire. Il est de ces personnes ayant prétexté ne pas se sentir bien pour éviter de se rendre à une soirée, le tout pour finir à bouder dans le salon car personne n’a trouvé son dessin au pictionnary. Declan aime passer du temps avec les membres de sa famille puisque parmi eux il n’a pas besoin de faire d’effort. ils le prennent comme il est. Il se sent confortable en leur présence, chose qu'il ne retrouve pas dans ses interactions avec le commun des mortels. Les relations ont parfois été un peu tendues avec son frère aîné, mais Declan sait reconnaître que ça vient surtout de lui. Dix ▬ Declan est un horrible cuisinier. Heureusement pour lui, son statut financier lui a longtemps servi d'excuse et justifiéson choix de rester à l'écart des fourneaux pour préparer de bons petits plats.
Prénom : Margaux. Pseudo sur le net : Shellhead. Âge : 24 ans. Pays : France. Comment as-tu découvert le forum ? Je sais pas, un instant j'étais quelque part et l'autre d'après, pouf, je me retrouve ici  declan ◮ i forget where we were 3140464189   Quelles sont tes premières impressions ?  declan ◮ i forget where we were 1583611369 . Crédits : Tumblr. Un petit mot pour la fin ? i love you  declan ◮ i forget where we were 2157058912 .

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<pris>SEBASTIAN STAN</pris> ► Declan Gardner
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MessageSujet: Re: declan ◮ i forget where we were   declan ◮ i forget where we were EmptyLun 5 Sep - 19:43

You want to make a memory
Citation qui représente ton personnage ici

Declan n'était d'ordinaire pas du genre à se laisse influencer par d'autres. Les critiques sur sa personne, les taquineries, les défis, rien de tout cela ne réussissait à le faire gonfler d'indignation et céder au chantage. C'est pourquoi il se demandait bien comment il en était venu à se retrouver ici. Assis dans une salle d'attente avec des jeunes hommes pleins d'ambition, prêt à passer une audition pour un groupe de musique quelconque qui était sur le point d'être formé. Personnellement, Declan blâmait un de ses amis qui avait malgré lui réussis à le convaincre qu'il s'agissait d'une bonne opportunité. Que l'on comprenne bien, Declan n'avait rien du jeune premier bourré de talent et prêt à éblouir les autres par sa personnalité. Alors oui il lui état arrivé de faire le con de temps en temps avec des potes, une guitare à la main et des notes absurdes au bout des lèvres, mais de là à prendre la chose au sérieux? Non. Mais il était là. Et il n'avait pas de bus retour avant au moins une heure donc ce n'est pas comme si il avait grand-chose à perdre. Declan ne savait pas trop à quoi s'attendre. Il ne connaissait rien de l'annonce et n'avait fait que se rendre à l'adresse et à l'heure qu'on lui avait indiqué sur un vulgaire post-it. Peut être aurait-il dû se renseigner d'avantage. Ça lui aurait évité son regard de merlan frit lorsqu'on lui avait annoncé qu'il s'agissait d'un recrutement pour un boys band et qu'il pouvait rayer tout de suite de son esprit toute fantaisie d'un public qui scande son nom pendant qu'il délivre un solo mémorable de guitare. Non pas qu'il était aussi doué avec l'instrument, mais eh, il avait le droit de rêver. Alors Declan avait retourné un regard plat aux recruteurs et dans un haussement d'épaule avait quand même chanté un petit quelque chose histoire de dire qu'il n'était pas venu pour rien. Il ne se souvient même plus de ce qu'il avait chanté. Quelque chose qu'il avait entendu à la radio sur le chemin. Clairement, il s'était bien préparé. D'où son étonnement lorsqu'on le rappela. Apparemment, il n'avait pas une trop mauvaise voix. Sa mère elle, en apprenant la nouvelle, s'empressa de lui dire que c'était sans doute son physique avantageux qui l'avait aidé. C'est à peine si elle n'avait pas sorti l'album photo pour lui prouver par A + B qu'elle avait fait un beau garçon. Ok. Le fait est : ce n'était pas le plan. Malgré la fierté passagère d'avoir son fils remarqué par des gens du business, ses parents n'étaient certainement pas chauds à l'idée de le voir cesser ses études pour poursuivre une voie aussi précaire et dont il n'avait franchement jamais mentionné l'attrait. Mais il s'agissait de Declan et ils avaient bien vite cessés de chercher à comprendre la logique de ses raisonnements. Il est sûr que Declan n'était animé d'aucune passion pour la chose et encore moins d'ambition. Et en même temps, face à l'angoisse des études supérieures, la chose lui avait parue digne d'être exploitée. Alors dans un "pourquoi pas" typique de sa personne, il avait tenté le coup. On lui avait vite présenté les autres membres du groupe, des gars clairement bien plus impliqués que lui, et Declan avait essayé de ne pas passer pour un imposteur. Ça avait été marrant au début. On le payait pour chanter et danser, même si cette dernière chose le laissait constamment embarrassé pour sa personne. On lui promettait monts et merveilles et Declan était assez opportuniste pour le croire. Mais la réalité devait tôt ou tard le rattraper et elle le fit. Les mauvais côtés surpassèrent bien vite les bons et il ne supporta plus de faire le guignol sur scène, de se rendre mal à l'aise à forcer sa nature dans ce genre de spectacle. Alors il avait jeté l'éponge. Sans plus d'explications, attendant la fin de son contrat de deux ans avant de mettre les voiles. Ça avait été juste avant que le groupe prenne de l'ampleur et se fasse vraiment connaître. Declan aurait pu regretter, confiné dans sa chambre d'étudiant à plancher sur des livres de psycho, mais un simple regard sur leur chorégraphie sur scène et le regret d'avoir jeté une carrière potentiellement lucrative disparaissait aussitôt. Il fallut encore deux ans pour que l'anecdote meure et qu'on cesse de lui demander de pousser la chansonnette aux repas de famille. Ugh.

****

Declan en tremblait encore. Ca avait été stupide, tellement stupide se répéta-t-il tandis qu'il laissait son front reposer contre la porte de la salle de repos. « Merde »  souffla-t-il en fermant les yeux. Il avait su pourtant, qu'il était plus ou moins sur la sellette. Le truc, c’est que Declan n’avait honnêtement pas le caractère pour travailler au contact des clients. Mais s’il y a une chose qu’il sait faire c’est prétendre. Ce n’est pas difficile quand les clients sont sympas, qu’ils flirtent avec lui et lui glissent un bon pourboire. Mais il suffit qu’une personne lui déplaise au premier coup d’œil et Declan tourne le tout en une parodie. Ses sourires tournent un peu plus mielleux et chaque phrase dissimule une insulte particulièrement bien cachée. Ou alors il ne fait aucun effort. Il n’est pas toujours aussi subtil qu’il le pense, si bien que les plaintes auprès du patron n'étaient pas une nouveauté. Mais ce dernier semblait avoir un soft spot pour Declan. Ce n'est pas comme s'il était réellement mauvais dans son boulot. C’était même le chouchou des filles avec son air de chien battu et l’angle de sa mâchoire, et il était particulièrement adroit pour jongler divers verres sur un plateau. Mais il n’est pas parfait. Il soudoie le barman pour un petit verre discretos, il a élevé à un niveau olympique la course à l’employé du mois, et n’a pas toujours l’air super réveillé. Alors, admettons. La vérité est que Declan n'avait jamais été indispensable. Pas à un poste aussi banal et populaire que serveur. Là où une vingtaine d'autres attendaient sagement pour prendre sa place et faire mieux. Il avait été stupide. Tout allait tellement bien dans sa vie: il avait la femme, l'enfant, la vie en couple et tout semblait s'être aligné parfaitement dans sa vie. Bien sûr que ça n'avait pas duré. Et c'était entièrement sa faute. Quelle surprise. Ce client particulier avait été fort de caractère et n'avait pas apprécié une remarque de la part de ce serveur qui, selon lui, devait juste lui apporter sa boisson et ne pas se la ramener. Mais Declan avait fait son malin, délivrant une remarque acide que personne ne lui avait demandé et c'était parti en vrille. L'autre l'avait mal pris, empoigné par le col de sa chemise, ce qui avait entraîné la chute de son plateau et des verres dessus. La petite altercation avait vite attiré l'attention, et à l'arrivée du patron, le client n'avait pas tardé à pointer Declan du doigt et de se plaindre vivement. La goutte d'eau qui fait déborder le vase. Et Declan s'y noyait. Il s'y noyait car il savait ce qui allait arriver, il le sentait dans le battement effréné de son cœur et la moiteur de ses mains. Il s'y noyait car les conséquences étaient sérieuses et que Declan n'avait jamais eu à être l'adulte responsable. Mais Declan était un père de famille et il venait de perdre sa source de revenu. Il était un père de famille qui n'était pas foutu de garder un job de serveur et qui comprenait hystériquement les conséquences de son irresponsabilité. Tu parles d'un modèle pour son fils. Son fils qu'il aimait à en crever et qui représentait malgré tout une petite fortune en accessoire et entretien. Et dire qu'il avait secrètement envisagé de faire une vraie cérémonie de mariage pour Carter, estimant que sa femme méritait bien plus qu'une soirée oubliée à Las Vegas pour célébrer leur union. Un rire hystérique s'échappa de sa gorge – peut être un sanglot – lorsqu'il réalisa qu'il ne lui restait plus qu'à vendre un rein pour espérer avoir un jour les moyens de lui offrir une telle chose. Bien sûr, il pouvait demander de l'aide à ses parents mais ce n'était pas à eux de réparer ses erreur et de l'entretenir comme s'il n'était encore qu'un gosse. Il avait plus de trente ans, bon sang. Declan se recula de la porte juste à temps en entendant des pas approcher. Son boss fit irruption dans la pièce quelques secondes plus tard et il n'eut même pas besoin de dire un seul mot. Declan avait compris. « Ok... » dit-il après un battement, hochant la tête comme pour admettre défaite. « Ok » répéta-t-il en dénouant le tablier autour de sa taille et enfonçant téléphone et clés dans sa poche. Il serra les dents, caressant nerveusement son alliance du pouce avant de mettre les voiles. Il avait merdé. L'idée d'avouer à Carter qu'il avait perdu son job le rendait malade. L'idée même de vocaliser ces mots le rendait malade. Bien joué Declan. Bien joué.
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