{Loft#44}[Adricob#4] -HOT- Ne jamais résister à la tentation

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Adriano & Jacob

Ne jamais résister à la tentation

Il y a quelques jours de cela j'ai vu mon meilleur ami à la salle de sport et pour dire les choses simplement nous nous sommes à nouveau considérablement rapprochés tous les deux. Si au début j'étais mal à l'aise avec lui et ne savais pas comment me comporter face à l'incident d'il y a quelques semaines lorsque nous étions en boîte de nuit et bien maintenant tout ceci est derrière nous. Effectivement une nouvelle fois nous nous sommes chauffés bien comme il faut au point même d'en arriver jusqu'à être rassasiés l'un de l'autre. On s'est fait du bien tout simplement, on s'est touché avec les mains et avec nos langues, c'est allé très loin entre nous et il faisait chaud, déjà qu'à la salle de sport j'ai toujours trouvé qu'il faisait chaud et bien maintenant c'est encore pire. Par chance on ne nous a pas surprit, personne n'est venu dans les douches à ce moment-là, on a eu une chance incroyable je le reconnais et je n'en suis pas mécontent, je ne sais pas dans l'exhibitionnisme même si, depuis que j'ai commencé à faire des choses sensuelles avec lui c'est toujours dans des lieux publics que je me retrouve nu ou presque avec lui. Quoi qu'il en soit aujourd'hui je vais le voir, j'ai le double de ses clés et je compte en profiter pour aller lui faire une petite visite surprise, la seule chose que je sais c'est que j'ai hâte d'y être. Bien rapidement je me gare devant son immeuble et je gravis les quelques étages me séparant de son loft où il vit avec un jeune homme, j'espère d'ailleurs que ce dernier n'est pas là, je doute que Adriano a discuté avec lui de ce qu'il s'est passé entre nous et si je viens aujourd'hui c'est essentiellement pour discuter et on verra bien comment ça va se passer ensuite. Alors, tandis que j'acquiesce à cette pensée j'attrape le double de la clé de la porte d'entrée et pénètre dans le loft à la recherche de mon meilleur ami....

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Adriano & Jacob

J’avais salué mon colocataire qui s’en était allé pour le week-end voir cette fille, qu’il essayait de choper pour être sa petite amie officielle. Je lui avais dit au revoir en souriant, pensant que ça faisait quelques jours que je n’avais pas pris de nouvelles de Kalya moi non plus, ni d’Alys en fin de compte. Il faut dire que ces derniers temps, j’avais réellement était occupé par mon meilleur ami, et de la façon la plus étonne possible. Il y avait d’abord eu cet épisode dans la boîte de nuit, et ensuite la douche de la salle de sport que nous fréquentons régulièrement. Dans tous les cas, notre relation avait subitement pris une nouvelle tournure, et heureusement, ça n’avait pourtant rien changé du tout à notre amitié, en tout cas c’est que j’espérais du plus profond de moi. J’étais allé dans ma chambre, encore en boxer. J’étudiais tellement toute la semaine et que souvent, quand j’avais un moment à moi je restais à la maison à me promener nu ou presque selon l’envie, et j’en profitais pour lire ou regarder un peu mes séries. Heureusement mes examens étaient terminés pour le moment, alors aujourd’hui allait être ma journée, et je comptais bien en profiter pour me faire plaisir. Je soupirais tandis que je m’asseyais sur mon lit, ouvrant d’abord mon PC portable pour mettre un film, quand subitement à force de foyer, je tombais sur des photos de moi et de mes amis. Amusé, je commençais à fouiller dans l’ordinateur. Des photos de ma petite amie dénudée se mirent rapidement sur l’écran, et la voir des positions sensuelles et nue, ça me faisait forcément des frissons. Avalant ma salive, j’avais commencé à sentir mon cœur battre, puis mon corps qui suivait de près, la chaleur grimpant de plus en plus dans tout mon sang et ma tête. Je la regardais, et puis j’éloignais un peu l’écran, le refermant. J’ai toujours préféré m’amuser avec l’imaginaire. Je fermais un instant les yeux, me mordant la lèvre inférieure en m’allongeant sur le dos. Ça faisait quelques jours que je ne m’étais pas fait un plaisir solitaire, alors autant profiter d’être seul dans l’appartement. Je glissais doucement ma main dans mon boxer, pensant à mes ébats sexuels avec ma petite amie, ceux qui étaient violents et sauvages, ceux où elle finissait toujours par me supplier d’aller plus fort et plus vite sans pouvoir s’arrêter. Au bout de quelques minutes mon membre était dur et gonflé, mais pas totalement. Je commençais à me prendre en main me caressant doucement d’abord pour laisser grimper l’envie et le désir. « Nnnh…Aaah… » Je frissonnais de toute part, sentant mes cuisses s’écarter automatiquement alors que je fronçais les sourcils, me cambrant doucement. « K…Kalya… » Je prononçais le nom de ma petite amie par acquis de conscience, et pourtant, bizarrement, des tonnes d’autres pensées me vinrent en tête, comme ne pas rater le rendez-vous avec Jacob. Jacob ? Pourquoi penser à lui maintenant. Surpris, le fait de penser à lui ne me faisait bizarrement pas débander au contraire, je me souvenais alors de sa langue sur mon membre, de ses yeux pleins d’envie, de ses mains baladeuses…Je soupirais, gémissant, en me branlant alors complètement. Peu importe si c’était mal ou non, j’avais envie de lui, et le souvenir de sa langue continuait à me faire bander sévèrement même des semaines après. Je me cambrais violemment en avant, passant ma main aussi rapidement que possible. « Ja… » je me mordis la lèvre violement pour ne pas prononcer son nom. Quelque part, c’était sans doute un peu trop.

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Adriano & Jacob

Ne jamais résister à la tentation

Cette petite visite surprise, je m'ose à espérer fera plaisir à Adriano parce qu'en fin de compte ça fait un petit temps que j'ai envie de le voir mais que je ne vais pas pour autant chez lui par peur que tout ceci soit trop rapide pour lui et qu'il ai encore besoin d'un certain temps pour accepter tout ce qu'il s'est produit entre nous. Pour sûr tout ceci me stresse, je ne sais pas comment il va réagir en me voyant, je ne sais pas quelle sera sa réaction ou encore s'il va tout simplement avoir envie de discuter ou de me voir. Vu comment il avait réagit la dernière fois quand on s'est touché en boîte de nuit je peine à imaginer quelle sera sa réaction lorsqu'il m'aura devant lui après les attouchements qu'on s'est fait il y a quelques jours. Néanmoins j'ai envie de le voir et tant pis si je me fais envoyer chier, tant pis, je me ferais simplement une raison à tout ceci et je rentrerais chez moi même si ça me fera sans nul doute énormément de mal qu'il puisse me virer comme ça. Alors, lorsque je vins à arriver chez lui je me balade dans le loft sans faire trop de bruit, j'ai envie que ma petite surprise soit réellement une surprise. Rapidement je le trouve dans la chambre et je me cale d'une certaine façon pour qu'il ne me voit pas. Je le vois en train de se faire du bien tout en prononçant avec désir le prénom de sa pouffiasse de copine, c'en est trop, je grimace et me casse dans le salon rongé par la colère tout en baissant la tête. Effectivement je m'attendais à autre chose, déjà la masturbation c'est moyen, s'il avait envie de se faire toucher autant appeler quelqu'un non ? Et puis prononcer le nom de cette bougresse ? Sérieusement ? Après ce qu'on a fait c'est à elle qu'il pense et non pas à moi ? Je grimace et soupire profondément blessé par les mots qu'il a pu avoir, le simple fait qu'il prononce le nom de cette gonzesse plutôt que le mien concrètement ça m'a achevé. Alors, je reste dans le salon et puis on verra bien comment il réagira lorsqu'il me verra moi en tout cas je sais comment je vais réagir et ça ne risquera pas d'être très beau à voir ni même à entendre... Salope...

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Adriano & Jacob

[size=13]Les yeux fermés, je sentais seulement les spasmes de mon corps. J’avais cru entendre un petit bruit, mais le plaisir qui était en train de me parcourir me faisait littéralement oublier le reste. Alors que j’avais essayé de penser à ma petite amie, et c’est ce qui aurait dû être normal, je n’avais pourtant pas réussi à oublier le moment délicieux que m’avait fait passé mon meilleur ami dans la salle de sport il y a de ça quelques semaines. Je me mordais la lèvre alors que l’image de Kalya n’était depuis plus longtemps dans mon esprit, remplacée par Jacob et son visage, le souvenir de sa gorge et de sa langue brûlante autour de mon membre. Je continuais à me masturber de plus en plus vite, tandis qu’au bout d’un moment, un râle grave s’échappa de ma gorge, et je me laissais vider entièrement dans la paume de main en couinant doucement, soupirant un discret « Jacob… », les yeux vitreux de plaisir. Je soupirais doucement, me penchant pour attraper un mouchoir et m’essuyer la main et le bout du membre, tandis que mon corps frissonnait encore un peu. Décidément, c’était la meilleure fellation qu’on m’avait faite la dernière fois, et impossible de ne pas s’en souvenir, ça avait été tellement bon. Je ne pouvais pas me mentir, jamais une fille n’avait été capable de me faire un tel plaisir. Certainement qu’un homme comprenait tout simplement mieux le plaisir et le désir d’un homme, ça me semblait tellement logique. Je me relevais, enfilant un boxer alors que je sortais de ma chambre. Une fois dehors, quelque chose m’avait paru anormal, un genre d’instinct. J’entendais un peu de bruit, comme si quelqu’un venait de murmurer quelque chose. Je ne pensais pas qu’Austin soit déjà rentré, ce n’était pas possible. Et puis je n’avais aucun message sur mon téléphone, il m’aurait de toute façon prévenu le connaissant. Intrigué, je m’avançais avec prudence vers le salon d’où venait les murmures. Ça paraissait stupide mais après tout ça pouvait bien être un voleur même si je ne voyais pas de traces d’effractions ni rien. Finalement, je me disais qu’on était en pleine journée et que je n’avais pas besoin d’avoir plus peur que ça, il y avait sûrement une raison logique. Haussant les épaules, je me suis alors dirigé vers le salon, et enfin sur place, j’avais pu aperçevoir mon meilleur ami, assis là. D’abord étonné, je me suis souvenu qu’il avait le double et ça m’avait échappé. Je souriais, vraiment content de le voir, même si j’étais un peu inquiet qu’il ai pu m’entendre. Je me mordais la lèvre. Bizarrement, son visage n’avait rien de particulièrement souriant et c’était pour tout dire un peu inquiétant. Je m’approchais de lui doucement. « Jacob ! Qu’est-ce que tu fais là ? T’es ici depuis longtemps ? » Je lui souriais, allant m’assoir près de lui en l’embrassant sur la joue tendrement. « Tu vas bien ? » J’étais vraiment heureux de le voir mais une raison inconnue il me semblait que l’ambiance était plutôt tendue.

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Adriano & Jacob

Ne jamais résister à la tentation

Je suis énervé, et pas qu'un peu, le fait est de l'avoir entendu prononcer le prénom de cette connasse définitivement ça ne passe pas. Et le moment intime qu'on a partagé tous les deux ils comptent ? Et est-ce que moi je compte simplement ou j'ai été uniquement le gros con qui a bien voulu lui faire la fellation de sa vie ? Merde je suis fou de rage et ma main me démange au plus haut point, j'ai envie de lui mettre une fessée dont il se rappellerait toute sa vie puis ensuite de le prendre brutalement juste pour qu'il se rappelle de moi et du pouvoir que j'ai sur lui. Néanmoins, énervé comme je suis je n'en fais rien, je reste dans le salon le cul planté sur le canapé sans rien dire ni rien faire. Je bouillonne de rage, je suis énervé comme pas possible, je m'attendais à tout autre chose de la part de mon meilleur ami et en fin de compte j'ai juste l'impression d'avoir été utilisé. Déjà putain pourquoi est-ce qu'il se masturbe ? Y a personne de suffisamment compétent dans son entourage pour venir le soutenir dans sa lute ? Quand j'y songe moi ça fait bien longtemps que je n'ai pas eu recours à ce genre de pratique, j'ai toujours quelqu'un pour me soulager dans mes besoins, dans mes envies, donc d'une façon ou d'une autre je n'ai pas besoin d'avoir recours à ma main droite. Donc oui déjà ça, ça me surprend qu'il le fasse mais en plus qu'il geigne le nom de cette moins que rien, de cette petite idiote inutile et pathétique définitivement ça passe encore moins. Salope ce mot résonne dans ma tête, pourtant je ne le prononce mais je le pense terriblement fort, pourquoi elle putain ? Pourquoi pas quelqu'un d'autre ? Ça me rend fou, fou de rage. « Inutile de se prendre la tête, je vais lui en mettre plein la gueule et on verra bien comment il réagira. » Murmurais-je blasé après un rapidement hochement de la tête tandis que je fixe mon portable et reçois un appel de Claire ma secrétaire personnelle qui ne va pas tarder à quitter mon entreprise, pendant de longues minutes nous discutons d'un sujet qui m'énerve encore plus, un client plus que casse couille qui est là et exige de me voir, bah il ira se faire foutre, j'ai d'autres choses à faire que venir en plein weekend pour m'occuper de Monsieur, il attendra la semaine comme toute personne et sur ces mots je raccroche sans rien dire de plus. Peu après Adriano arrive à ce moment-là et me salue chaleureusement, je le dévisage longuement lorsqu'il me demande comment je vais. « Je suis là depuis han, han Kalya. A moins que c'était han han salope j'ai peut-être mal entendu. Ou alors c'était peut-être Jacob tu es un grand con tu le sais ça ? » Balançais-je furieux au jeune brun que je dévisage longuement de mes yeux sombres. Au moins ça répondra à ses deux interrogations, si je vais bien et depuis quand je suis là. Naturellement je vais mal, je suis furieux contre lui et contre moi-même de m'être fais berner de la sorte..

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Adriano & Jacob

Au début, j’avais été réellement heureux de voir Jacob, même si j’étais en train de m’astiquer il y a de ça quelques minutes, je n’étais plus vraiment gêné de quoi que ce soit entre nous depuis les deux derniers épisodes qui nous avaient rapprochés physiquement, et que j’avais particulièrement aimés, je le reconnaissais volontiers maintenant, et je ne voyais pas l’utilité de m’en cacher, ces moments avec mon meilleur ami avaient été vraiment bons. Alors quand je l’avais aperçu dans mon appartement, j’avais vraiment été heureux. Je nous imaginais déjà en train de parler de tout et de rien aussi complices que d’habitude, et pourtant, cette image que j’avais eu avait rapidement volée en éclats, aux premiers mots de mon ami. Clairement, il n’était vraiment pas de bonne humeur, et il m’en voulait. Son regard assassin me le fit tout de suite comprendre. Et la suite aussi, dès qu’il s’était mis à parler de ma petite amie en reprenant la voix que j’avais eu en me masturbant, je compris qu’il m’avait entendu, et sans aucun doute il devait m’avoir vu aussi. C’était donc ça le bruit que j’avais entendu un peu plus tôt, il était entré dans l’appartement si discrètement il faut dire. Tout de suite mal à l’aise, je me demandais pourquoi ça pouvait bien l’agacer que je puisse penser à ma petite amie, après tout c’était tout à fait normal quand on est en couple. Je me mordais la lèvre. Il n’avait sans doute pas entendu que je criais son nom à la fin. Je détournais un peu les yeux. J’ai toujours été triste quand Jacob se mettait en colère contre moi. C’est la seule personne que j’aime plus que tout, alors quand il s’énerve, et c’est rare, j’ai toujours cette envie de me faire petit et de rester loin. « Ah t’as vu alors… » Je rougissais un peu en restant près de lui. « Mais…Tu sais c’est un peu normal que je dise le prénom de ma copine non ? Enfin… » Je soupirais doucement. Ce qui n’était pas normal c’était de penser à son meilleur ami surtout, mais dans le fond ça ne me gênait pas plus que ça, j’assumais maintenant. « Jacob…T’as pas du entendre la fin parce que…C’est vrai qu’au début j’essayais mais…C’est pas en criant son nom que j’ai joui, t’as pas entendu c’est tout…Et…T’es pas un grand con, t’mon meilleur ami. » Je ne savais plus vraiment où me mettre. J’avais envie de me blottir contre lui, je sentais ma tête qui chauffait et j’avais presque l’impression que les larmes me montaient aux yeux. Je ne supportais pas de me disputer avec mon meilleur ami, je l’aimais beaucoup trop pour ça. Je ne voulais pas le dire maintenant mais le fait qu’il puisse être jaloux me faisait énormément plaisir, et quelque part ça pouvait même m’exciter aussi. Je baissais les yeux comme un gamin, murmurant, tristement. « Jacob…Me fais pas la gueule… » Je ne peux pas supporter ça. Mes mains hésitèrent un instant à aller vers lui, à prendre sa main à l’embrasser peut-être encore une fois, mais je n’y arrivais pas. J’avais bien trop peur de me faire rejeter.

Dernière édition par Adriano R. Serantoni le Dim 2 Avr - 19:19, édité 2 fois

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Adriano & Jacob

Ne jamais résister à la tentation

Franchement s'il y a bien une chose que je ne supporte pas dans toute cette histoire c'est qu'il puisse prononcer son nom à elle, juste son prénom à cette grognasse, ça me rend dingue. Pourquoi continuer à penser à elle ou encore à vouloir se donner du plaisir avec une nana aussi inutile et pathétique qu'elle ? Elle sert à rien, c'est une imbécile qui l'empêche de vivre, elle est inutile, si à la rigueur elle le rendait heureux je comprendrais mais c'est faux depuis qu'il est avec elle il me dit du mal constamment d'elle, y a jamais une fois où il m'a dit textuellement que c'est une femme formidable et qu'il l'aime comme un fou, qu'elle n'a aucun défaut. Moi je le rends heureux, je suis parfait donc il est heureux avec moi, avec une pimbêche imparfaite il ne peut pas être heureux, personne ne peut être heureux avec quelqu'un d'aussi pourrit qu'elle. Je le pense en tout cas et tôt ou tard j'irais lui balancer ma façon de penser à l'autre imbécile histoire qu'elle sache enfin ce que je pense véritablement d'elle. Enfin bref je suis sur les nerfs au plus haut point et pour l'heure il n'y a rien qui puisse me calmer, c'est simple j'hésite même à me casser sans demander mon reste mais à la minute même où je m'apprêtais à me barrer le voilà qui arrive et qui me salue chaleureusement comme s'il ne venait pas de commettre une grave erreur. Il s'attend à quoi ? A ce que je lui saute dessus, lui faisant un énorme câlin sans même lui demander le moindre compte ? Il rêve, je demande des comptes à qui je veux et encore plus aux personnes a qui je tiens, plus encore lorsqu'on me cause du tord comme il vient de le faire. J'hallucine putain ! Le voilà alors qui me parle se cherchant des excuses. « Ha bon bien ! Donc tu te tapes une queue et tu gémis bien le prénom de l'autre abrutie mais quand il s'agit de te mettre à genoux devant moi là par contre rien à branler d'elle ? Réagis un peu ! » Balançais-je hors de moi tandis que je le fusille du regard mais je ne m'arrête pas là pour autant. « Tu réagirais comment toi si t'arrivais chez moi et que je gémissais le prénom de Claire ou de quelqu'un d'autre hein ? Tu serais pas un peu furieux que je t'oublie aussi rapidement ? » Lançais-je toujours sur le même ton de voix tandis que je le fusille du regard en attendant de voir sa réaction. Après quoi le voilà qui me cherche de nouveau des excuses me disant que soit disant il s'est terminé en gémissant mon prénom et non le prénom de l'autre pimbêche je roule des yeux. « Ça ne change rien. C'est à elle que tu pensais à la base et non pas à moi. » Dis-je en roulant des yeux toujours en le scrutant méchamment, oui je suis pas content et c'est normal, je m'attendais à autre chose là j'ai juste l'impression d'avoir été utilisé et ça me déplaît fortement. Il me regarde alors avec ses yeux de chien battu et il me demande de pas lui faire la gueule, il est sérieux ? « Je fais pas la gueule je suis juste salement blasé ! Au lieu de penser à une perfection tu penses à une pimbêche qui te ruine la vie depuis je ne sais combien de mois. Ça me rend dingue c'est tout. Surtout après ce qu'on a vécu ! » Lâchais-je énervé tandis que je lève les yeux au ciel tout en le dévisageant longuement de mes yeux foncés...

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Alors que je voulais passer un moment tranquille avec mon meilleur ami, je devais supporter ce que je détestais le plus au monde, une crise qui ressemblait presque à une crise conjugale. Je soupirais doucement, me frottant la nuque en écoutant ses reproches. Honnêtement, je détestais ces moments-là. Déjà que je n’aimais pas les disputes de façon générale, quand il s’agissant de mon meilleur ami, autant dire que je ne supportais pas la moindre minute d’engueulades. J’avais trop besoin de lui, j’avais trop besoin de son sourire et de ses rires. Je baissais les yeux en fronçant les sourcils. J’avais l’impression d’être stupide quand il me parlait comme ça, et je ne supportais pas du tout ça. Ses mots me faisaient mal à la tête mais surtout mal au cœur. J’ai toujours bien supporté la critique et en général je laissais souvent les gens me parler sans m’agacer, j’ai toujours dit que je me fichais de l’avis des autres, mais j’avais besoin, tellement besoin de Jacob au quotidien, et il savait combien je me sentais malheureux quand il se prenait la tête avec moi, c’était tellement rare, que ça arrivait, je perdais toute notion du temps, je me sentais mourir quand il me criait dessus. « Jacob…Je… » Je me mordais la lèvre. Je dois bien avouer que j’aurai sûrement été un peu jaloux de l’entendre dire autre chose, même si j’étais de nature plus calme que lui. Je soupirais doucement en m’approchant de lui. Je devais réagir, pleurer ça ne servirait pas à grand-chose de toute façon. « Je suis désolé. T’as raison. Je n’aurai même pas du essayer de penser à elle, ça sert à rien et je m’en rends compte. De toute façon c’est pas elle qui m’a excité, c’est pas en pensant à elle que je suis venu, j’ai seulement pensé à toi, ta langue, ta gorge… » Je le regardais doucement. Il fallait me rendre à l’évidence, cette fois c’était le moment de quitter ma petite amie que je n’aimais plus depuis longtemps. Ces moments avec Jacob m’en faisait prendre conscience. « Je vais la quitter d’accord ? J’ai compris, t’as raison. Et je m’excuse. Moi aussi, c’est vrai, si je t’avais entendu dire un autre nom, ça m’aurait saoulé. T’as raison Jacob. Je serais jaloux moi aussi. » Je venais devant lui, me glissant doucement sur lui, le dépassant un peu d’une tête ainsi posée sur son corps, je passais mes bras autour de son cou. Mes yeux étaient tristes. Comment j’aurai pu ne pas l’être, je voulais simplement qu’il me pardonne. Je savais bien qu’il disait vrai. « Jacob… » Je murmurais son prénom doucement de ma voix grave avec mon accent. Je glissais mes lèvres contre ses joues. « Pardon une fois… » Mes yeux se fermèrent tandis que mes lèvres allèrent contre son cou. J’embrassai chaudement sa peau. « Pardon deux fois. » Mes mains se glissèrent dans sa nuque que je tenais en caressant du bout des doigts. Mon cœur me faisait tellement mal de se dire qu’il m’en veut encore. Je fronçais les sourcils, espérant qu’il me pardonne alors. Je glissais vers son oreille en la mordillant. « Pardon trois fois. » Je relevais doucement son t-shirt, allant suçotter son téton droit. « Pardon quatre fois… » Enfin j’allais mordiller le second avec douceur. « Pardon cinq fois… » Je soupirais doucement contre sa peau, remontant ma bouche vers son visage. Je m’éloignais le regardant un court instant le visage un peu inquiet. « Pardon. » J’écrasais doucement mes lèvres contre les siennes, les décollant rapidement de peur d’être rejeter encore une fois.

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Adriano & Jacob

Ne jamais résister à la tentation

Bien évidemment que je suis vexé face à tout ceci, je m'attendais à tout autre chose de la part de mon meilleur ami, le fait est qu'il puisse gémir avec autant de désir le prénom de cette connasse ça me rend dingue, franchement ça me rend dingue. Surtout elle quoi, ça aurait pu être quelqu'un d'autre j'aurais réagi mal je l'admets mais pas à ce point, là c'est elle dont il s'agit et c'est ça qui m'agace dans cette histoire, et ça me blesse aussi parce qu'après ce qu'on a fait tous les deux le fait est de l'avoir entendu prononcer ce simple prénom franchement ça me rend fou de rage. Je suis blessé, je suis malheureux mais je suis aussi terriblement en colère et ça je pense qu'il l'a très bien comprit vu le sermon que je lui ai balancé dans la gueule. Mais je considère que c'est normal et même nécessaire de lui en avoir mis plein la tronche, je suis pas le genre de gars qu'on prend pour un con et s'il doit en arriver à gémir le nom de sa grognasse autant mettre les choses au clair tout de suite. Soit il fait des choses avec moi et il gémit mon nom soit il gémit son nom à elle et il s'assume simplement avec elle. Je ne cautionne pas cette fille mais je ne cautionne pas qu'on joue comme ça avec une personne, surtout elle, elle semble amoureuse, même si je ne l'aime pas je vais pas mentir je sais qu'elle l'aime mon pote. Elle est insupportable, elle est ridicule et stupide mais elle l'aime et ça je le sais très bien, donc au lieu de compliquer la situation encore plus qu'elle ne l'est déjà autant la larguer, non ? Moi je vois les choses comme ça en tout cas et difficile pour moi de changer d'avis à ce sujet, mais après je ne lui dirais pas ce n'est pas dans mon intérêt de le briser encore plus en lui disant ce que je pense vraiment de son comportement mais c'est sûr c'est dégueulasse pour elle, même si c'est mérité. Quand je l'entends alors confirmer qu'il serait jaloux je suis satisfait, vraiment satisfait parce qu'au moins il assume. « Par chance pour toi je me la touche pas donc tu n'as pas de jalousie à avoir à ce sujet-là et en ce moment je fais des trucs qu'avec toi donc t'as pas besoin d'être jaloux. » Répondis-je simplement tout en haussant des épaules, ce que je ne dis pas cependant c'est que ça pourrait changer, je mettais un dernier petit coup pour Claire avant son départ histoire qu'elle parte dans la joie et dans la bonne humeur mais ça à la limite ça me regarde je pense que mon meilleur ami s'amusera avec d'autres filles d'ici là. Finalement le brun s'installe sur moi, s'excusant une nouvelle fois tout en embrassant mon cou tendrement, je ferme les yeux juste pour savourer encore plus du moment présent. Il ne s'arrête pourtant pas là, il s'excuse à nouveau et me léchouille le téton ce qui me fait gémir aussitôt, il me provoque là et j'aime assez ça. Il recommence alors à s'excuser et mordille mon autre téton ce qui me fait gémir de nouveau, je rouvre alors les yeux tandis qu'il me dévisage longuement et s'excuse à nouveau puis il dépose rapidement ses lèvres contre les mienne puis il se retire et continue de me fixer avec des yeux suppliant ce qui me fait sourire. « C'est bon j'ai compris... » Murmurais-je d'une voix douce tandis que j'agrippe ses fesses et l'embrasse avec fougue, caressant sa langue à l'aide de la mienne le tout en malaxant ses fesses avec mes mains...

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Adriano & Jacob

Je m’étais senti un peu coupable c’est vrai, et à chaque fois que Jacob me répondait de cette façon où se montrait distant, quelque chose en moi se brisait et mon cœur finissait toujours en petites miettes. Heureusement, il me restait toujours son sourire pour le réparer rapidement. C’est toujours ça quand on aime trop quelqu’un, on souffre à cause de lui, on souffre pour lui, et il n’y a que lui pour nous rendre heureux à nouveau. Alors moi, entendre Jacob, mon meilleur ami me faire des reproches, ça me brise toujours le cœur, et parfois, j’aurai pu en pleurer. Mais cette fois j’avais décidé de me montrer fort, et je voulais qu’il comprenne que j’étais désolé. En fin de compte grâce à lui je venais de comprendre beaucoup de choses importantes, et surtout que ça faisait bien longtemps que je n’étais plus amoureux de ma petite amie et que j’avais longtemps essayé de m’accrocher à notre relation pour rien. Essayer de me masturber en pensant encore à elle ça avait sans doute été minable, mais pour autant je ne regrettais pas de m’être touché de cette façon, puisque ça m’avait permis de penser à mon meilleur ami et de me souvenir de tout ce qu’il m’avait fait dans cette douche, et de tout ce que je lui avais fait par la même occasion. L’idée qu’il m’avait aperçue avait quelque chose d’excitant, je ne pouvais pas le nier, même si au final ça avait débouché sur une dispute, moi le voir énervé, et aussi jaloux, ça ne faisait pas baisser mon envie de lui bien au contraire. « De toute façon ce n’est pas comme si t’allais te contenter de moi toute ta vie…Mais bon, je t’avoue que ça me ferait plaisir si tu pensais à moi de temps en temps. Tout comme moi, je penserai à toi. C’est certain que je pourrais plus oublier tout ce que tu m’as fait Jacob. » Le pire c’est que c’était totalement vrai. Maintenant que j’avais éprouvé tellement de plaisir avec lui, j’étais certain que j’y penserai même si je couchais avec une fille parfois. J’étais toujours contre lui et je me pressais encore un peu contre son entrejambe. Doucement je me frottais, en fin de compte dès que j’étais avec lui, j’avais une petite tension qui naissait. Quelque chose qui me donnait un peu envi de l’exciter doucement. Je l’avais regardé tendrement, et j’avais passé mes bras autour de son cou, alors que j’embrassais ses joues encore une fois en soupirant de façon brûlante. Finalement, il avait retrouvé son sourire, et j’avais retrouvé le mien en même temps. Avec Jacob impossible de se prendre la tête bien longtemps, je ne pouvais pas le supporter. « Tu me pardonnes ? Tu pardonnes à ton Adriano ? Je t’adore. » Je riais doucement alors que je posais un baiser sur son front. Alors que j’avais une tête d’enfant vainqueur, je sentis subitement ses mains contre mon cul et sa langue allant rejoindre la mienne. Surpris, je couinais un peu, fermant les yeux en intensifiant le baiser. Je remuais doucement mes fesses contre ses mains. Tous ses gestes me donnaient envie de lui, et je ne pouvais pas me retenir. Je chuchotais doucement contre ses lèvres en gémissant. Quand il tripotait mon cul comme ça je devenais fou. « Nnhh…Tu l’aimes mon cul hein ? » Je léchais doucement ses lèvres en le regardant dans les yeux. Je frissonnai doucement, laissant mon entrejambe s’appuyer contre le sien. « J’adore quand tu me le malaxes bien fort. » J’allais mordiller son oreille doucement, plein d’envies.

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