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 Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}

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A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept
A. Daryl Reeves
MY BOOK COVER▹ posts : 1187
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▹ avatar : Chris Hemsworth
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Noah (D. O'Brien)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyLun 22 Jan - 14:42


Joyce & Tommy

You and me and a baby makes three

Boy or Girl ?
Je n’avais pas fait dans la dentelle cette fois-ci, je le savais parfaitement. Mais ça ne partait pas de mauvaises intentions. Ça partait de l’intention comme quoi je voulais, dans une tentative désespérée, faire comprendre à ma fiancée qu’elle n’était pas seule, essayer de la faire sortir de cette léthargie dans laquelle elle continuait à s’enfoncer encore et toujours, me laissant toujours un peu plus désemparé à chaque jour. Et j’assumais ce que je lui avais dit, j’assumais le fait que j’étais prêt à tout pour la protéger, pour faire en sorte que nous soyons heureux. J’assumais le fait que j’étais venu à caresser ses joues, parce que normalement, le contact physique entre nous, c’était chose rassurante, tant pour elle que pour moi, mais là, il n’en fut rien. Déjà, ce fut un premier signal d’alarme pour moi, mais mettant ça sur le compte de la fatigue, du stress, essayant de le mettre sur ce compte en tout cas, j’avais choisi de continuer, d’aller au bout de ma pensée. Et ce fut quand je vis la peur dans les yeux de ma fiancée se transformer que je compris que j’étais allé trop loin. Plus tôt, c’était de la peur par rapport aux agissements de son ancien amant qui s’y trouvaient, mais là, cette peur que j’y vis était beaucoup plus directe, et elle était dirigée vers une seule personne; moi. J’avais exagéré. J’avais été impulsif à un point où je l’avais effrayée plutôt que de la rassurée. Cette réalité vint me frapper au visage comme une véritable claque, un coup de marteau en pleine figure. Sonné, j’entendis à peine les propos de ma fiancée par la suite, même si j’en saisis la signification, j’en saisis le caractère triste que ceux-ci tenaient. Ce n’était pas la première fois qu’elle me disait une telle chose, et chaque fois, je tenais fermement à lui dire que oui, elle le méritait, et que je voulais lui apporter ce bonheur. Mais après ce que je venais de lui dire, je ne savais pas si la rassurer était la meilleure idée qui soit. Et ce n’était pas parce que je la voyais comme ma possession, mon bien. C’était tout le contraire. Si je lui avais dit qu’elle était mienne, c’était seulement pour lui montrer que si elle le voulait bien, cet homme, il n’aurait plus rien à voir dans sa vie. Qu’elle pouvait être heureuse, qu’elle méritait ce bonheur après tout ce qu’elle avait traversé. Qu’elle méritait même ce bonheur plus que moi, enfant gâté qui ne s’y connaissait pas en relations amoureuses, et qui venait de le prouver encore, lamentablement. Confus, je retirai mes mains de son visage, et secouant la tête, je tentai tant bien que mal de lui dire:  « Oui tu… », mais je ne parvins pas à finir ma phrase. Les mots m’échappaient, et avec le recul, je voyais le grand tableau, je voyais de quoi mon comportement avait l’air, et je comprenais sa peur. Petit à petit, je ne me trouvai pas à regretter, à me trouver maladroit. En vérité, j’avais ce sentiment que cette maladresse, combiné à cette frustration de me sentir impuissant, ces doutes de ne pas faire la bonne chose, cette tristesse que je ressentais de la voir aussi malheureuse, même dans ces moments où on nous disait que tout allait bien, faisait en sorte que maintenant, je me sentais juste monstrueux. Un monstre, un monstre jaloux, un monstre possessif, un monstre idiot, voilà ce que j’étais devenu l’espace de quelques secondes. Et malgré ses dires, malgré le fait qu’elle n’avait même pas tenté de me secouer pour que je m’en rende compte, je m’accrochai à cette constatation, si bien que je ne sus lui dire autre chose que:  « Je… Je suis désolé… Je ne voulais pas… » L’émotion, la peur qu’elle vienne à me jeter me prit à la gorge, et ne sachant plus que faire, comment me contrôler, je fis probablement la pire chose que je pouvais faire; être un lâche. Je fus un lâche parce qu’après avoir reculé encore de quelques pas, menaçant de me heurter sur un meuble sans m’en rendre compte, je ne sus faire mieux que d’accélérer le pas, me diriger vers l’escalier menant à l’étage, le montant quatre à quatre, ratant la dernière marche tant j’allais rapidement, tant je ne contrôlais plus mes gestes, provoquant un bruit sourd. Je ne me fis pas mal, mais je dus me rattraper en me soutenant sur le mur. Une fois à l’étage, je me rendis compte que la panique faisait en sorte que je peinais à marcher, alors je tentai de souffler, m’adossant à la première porte que je vis ouverte; celle de la chambre qui serait celle de notre bébé, de notre fils. Et si après cet épisode, elle refusait que je le voie ? Et si elle venait à partir ? Et si elle venait à juger que je n’étais plus bien pour elle ? L’avais-je déjà été à un moment ou un autre ? Ces questions sans réponse firent en sorte que petit à petit, je vins à m’effondrer un peu plus à mon tour, et lentement, je me laissai glisser jusqu’à m’asseoir au sol, n’osant pas regarder où que ce soit, à un tel point que d’une main, je cachai mon visage, à mon tour, tandis que la seconde, laissée à elle-même, se mit à trembler, violemment, trahissant le fait que j’étais en train de vivre ce qui était désormais ma plus grande peur; celle de perdre la femme que j’aimais plus que tout au monde.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyMer 24 Jan - 18:15

Joyce avait peur. Peur que leur relation se termine suite à cette discussion. Quelle finisse seule et que Tommy l'abandonne. En soit, elle ne pourrait pas lui en vouloir, elle avait un fantôme qui hantait ses pensées au quotidien, difficile de se battre contre lui. Sans compter qu'en plus, pour faire ce genre de choses il faut un sacré courage, et bien que son fiancé soit un homme courageux, il ne le serait peut-être pas assez pour se battre contre un homme qui a fait souffert la blonde. Elle savait depuis bien longtemps qu'ils seraient forcé d'avoir une telle conversation bien qu'elle espérait que ce soit le plus tard possible. Désormais, elle était face à ses responsabilités, ses faiblesses et ses doutes la concernant.

Au lieu de faire confiance à son compagnon, en se laissant bercer par ses bras qui auraient pu entourer son corps frêle, elle l'avait plus ou moins repoussé. Il n'était coupable en rien de tout ce qui se passait dans sa vie, elle aurait dû tourner la page depuis très longtemps, mais elle n'avait pas été capable de le faire parce qu'une fois de plus, elle avait été lâche, elle avait fui, se disant que ça finirait par passer mais aujourd'hui, c'était ce qui risquait de mettre un terme à sa relation avec Tommy alors que c'est la seule chose de bien qui lui ai arrivé.

Et si Tommy décide de poursuivre son chemin seul, qu'adviendra-t-il de leur enfant ? Voudra-t-il le voir ? Est-ce qu'elle aura la force de l'élever seule une nouvelle fois ? Tant de questions martelait son esprit qu'elle en avait mal à la tête. Finalement, elle fut forcée de regarder son petit ami dans les yeux sans rien dire, comme pour s'assurer que tout cela était bel et bien la réalité. Elle voulait simplement se réveiller, se dire que tout cela n'était qu'un mauvais rêve et que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais hélas, elle était bien dans la réalité et si elle n'agissait pas rapidement, elle risquait de perdre le seul homme qui la regarde avec amour et comme une femme, non comme un objet sexuel qu'on se sert quand on a besoin et qu'on jette après usage.

C'est comme ça que Joyce avait appris à aimer, uniquement en offrant son corps à un homme qu'elle pensait sincère. Au lieu de quoi, il s'était servi d'elle quand il en avait besoin, en la manipulant, en lui faisant croire qu'elle était unique alors qu'elle n'était qu'une femme de substitution. Soudain, elle se mit à douter de sa capacité à être une femme, une bonne épouse et surtout une bonne mère. Elle s'était persuadée de tout ça depuis trop longtemps et maintenant, tout cela était ancré en elle, malgré les efforts de son fiancé pour lui faire comprendre qu'il n'en était rien. Il ne se passait pas un jour sans que Joyce ne se demande pourquoi Tommy s'était intéressé à elle, il y avait tellement de femmes qui aimeraient être à sa place, ce n'est pas au travail qu'il manquait d'admiratrices, mais c'était sur elle qu'il avait jeté son dévolu. Pourquoi ? Elle n'avait pas un sous, elle ne faisait pas partie de son monde et elle n'avait rien à envier au niveau physique, elle était plus que passable pour ne pas dire moche. Au lieu de quoi, aujourd'hui ils étaient ensemble, sur le point de devenir parents et de se marier. Tout cela était aller si vite, peut-être trop d'ailleurs pour qu'ils prennent vraiment le temps pour se connaître, se découvrir.

La scène que vient à lui offrir son petit ami la perturba au plus haut point. Lorsqu'elle le vit s'enfuir de la sorte, elle sentit son ventre se comprimer, sa gorge se nouer et l'air se rarifier dans la pièce. Le coeur serré elle le regarda partir sans avoir la force de le retenir, et même si elle avait eu la force, aurait-elle le droit de le forcer ? C'était peut-être la meilleure chose à faire après tout. Ça lui permettrait aussi de remettre ses pensées en place, et pour cela, elle avait besoin de prendre l'air, elle suffoquait dans la pièce.

Elle prit alors le strict minimum et claqua la porte derrière elle. Elle ne pouvait se retirer l'image de Tommy, limite effrayé, s'enfuir à l'étage. Tout cela la terrorisait et elle n'arrivait plus à penser correctement. Elle s'absenta plusieurs heures, assise dans un parc, seule avec ses pensées. Joyce n'avait pas le droit de tout gâcher, même si dès que quelque chose allait bien, c'est tout ce qu'elle savait faire, cette fois-ci, elle devait aussi penser à l'avenir. Elle n'était plus toute seule, Tommy était là, mais surtout, il y avait ce petit bonhomme qui lui rappelait par des coups de pied dans son ventre qu'il était là, et qu'il avait besoin d'un papa et d'une maman pour grandir correctement.

Tout cela fit qu'au bout du compte, après avoir pris l'air plusieurs heures, elle rebroussa chemin pour rentrer à la maison. Elle s'était refroidie mais avec l'idée qu'elle avait en tête elle espérait pouvoir apaiser les tensions. Elle fut de retour quelques minutes plus tard, poussa la porte non sans craindre de retrouver son petit ami. Où était-il ? Qu'avait-il fait durant son absence ? Autant de questions auxquelles elle n'avait aucune réponse. Montant à l'étage, elle fit une brève halte par la salle de bains où elle ôte ses vêtements, les laissa au sol puis enfila une nuisette assez courte. Elle espérait que ça suffirait au jeune homme pour comprendre qu'elle s'en voulait et se sentait coupable de tout ce qui venait de se passer, elle ne voulait pas perdre son futur mari et encore moins le père de son enfant.

Comme elle s'y attendait, le PDG était dans leur chambre commune, le dos tourné et les yeux rivés sur le paysage qu'offrait la baie vitrée. Elle s'approcha doucement de lui, jugeant la réaction qu'il pourrait avoir, car il pouvait très bien la repousser, ce qui lui briserait très certainement le coeur, mais c'était un risque qu'elle était prête à prendre. Pour lui. Pour eux. Pour leur futur. Elle passa ses mains autour de ses hanches pour finir de les joindre sur son ventre tout en collant son corps contre son dos.

" - Je suis désolée.." murmura-t-elle la voix étranglée par l'émotion qu'elle ressentait encore de tout ce qui s'était basé plus tôt dans la journée.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyJeu 25 Jan - 2:38


Joyce & Tommy

You and me and a baby makes three

Boy or Girl ?
Malgré le fait que je sois au premier étage et Joyce au rez-de-chaussée, même si la maison était plutôt grande, le silence était si fort, si pesant, que je parvins quand même à entendre les pas précipités de ma fiancée sur le carrelage, puis finalement la porte d’entrée se refermer, me signifiant qu’elle était partie. Le silence encore plus lourd me confirma que je n’avais pas halluciné, que j’étais désormais seul dans cette grande demeure, qui me paraissait beaucoup trop grande, alors que précédemment, jamais je ne m’en étais plaint. Et en raison de cette grandeur, de ce silence, mes regrets semblaient résonner plus fort dans ma tête. Toujours assis dans l’embrasure de la porte, je vins à me demander si je n’aurais peut-être pas dû me lever, tenter d’aller la retenir, m’excuser. Mais aurais-je eu le courage de le faire ? Et si j’étais descendu à temps, qu’aurais-je pu lui dire ? Me serais-je encore heurté à ma légendaire maladresse ? Aurais-je été aussi pathétique que précédemment ? Et alors que je n’avais que de bonnes intentions, m’aurait-elle pris pour un monstre encore une fois ? Juste pour ça, j’en vins à me convaincre que le mieux avait été donc que je reste ici, même si, sitôt qu’elle eut franchi la porte, tout ce que je sus faire, ce fut penser à elle, m’inquiéter pour elle. Où était-elle partie ? Qu’avait-elle pris avec elle ? Je me doutais bien qu’elle n’avait pas pris quoi que ce soit pour faire ses valises et quitter, mais si elle avait suffisamment d’argent sur elle pour se trouver un hôtel pour la nuit, pour revenir chercher ses affaires demain matin ? Était-il en sécurité, là où elle était ? Se sentait plus en sécurité seule, hors de la maison, plutôt que seule avec moi, entre ces quatre murs ? Cette dernière idée me fit trembler, plus fort, à un tel point que je ne me vis pas rester inactif. Mais que pouvais-je faire ? L’appeler ? Lui laisser un message ? Maladroitement, je sortis mon portable de ma poche, regardant l’écran vide, sans message, pour finalement me raviser. Peut-être qu’au fond, elle était sortie que pour prendre l’air, comme je l’avais déjà vue faire précédemment. Et peut-être qu’après, ça irait mieux ? Mais comment ? Allait-elle m’en vouloir ? Me demander de m’excuser ? Pour sûr, je le ferais, mais est-ce que ça viendrait tout régler ? Que pourrais-je faire pour lui faire comprendre que je voulais que son bien ? Que je serais prêt à tout faire pour alléger ce fardeau qu’elle portait depuis trop longtemps à mon avis ? Était-ce trop tard pour que je fasse quoi que ce soit ? Perdu dans mes pensées, il me devint insupportable de devenir inactif. Tant bien que mal, je tentai de faire quelque chose. Premièrement, je descendis au rez-de-chaussée pour tenter d’avaler quelque chose, sans que quoi que ce soit ne passe vraiment, pas autant que d’habitude en tout cas. Conscient que je me devais de me secouer si je ne voulais pas continuer à me traîner les pieds, même si je ne me voyais pas faire autre chose, que je n’avais pas la motivation de faire quoi que ce soit alors que cette discussion avait été laissée en suspens. J’essayai même d’aller prendre une autre douce, me refroidir les idées, essayer de me sentir mieux, mais lamentablement, je n’avais pas su faire autre chose que de verser quelques larmes, alors que normalement, je n’étais pas du genre à céder si facilement, pas comme ça. Mais j’étais perdu, comme jamais je ne l’avais été auparavant. Me rendant compte qu’il n’y avait rien à faire, que je ne pourrais pas me faire d’idée tant et aussi longtemps que je ne la reverrais pas, tant que je ne lui parlerais pas, je me trainai encore une fois, mais cette fois-ci jusqu’à la chambre. Je n’eus même pas le courage de m’installer sur le lit, parvenant seulement à me planter devant la baie vitrée, regardant au loin, me demandant encore où elle était passée, ce qui allait arriver si jamais elle choisissait de ne pas revenir. Le fait que je me perde dans mes pensées fit en sorte que je me coupai du monde un instant, pour m’isoler dans le mien, ce monde qui était bien triste, bien seul. Renfermé profondément, je n’entendis quelconque bruit dans la demeure, me rendant compte que je n’étais plus le seul dans la demeure lorsque je sentis des mains glisser autour de ma taille, me faisant sursauter. Mais rapidement, je me détendis quand je reconnus les mains, les bras, l’étreinte de ma fiancée, qui se pressa dans mon dos. Soulagé pour un bref instant, je fermai les yeux, même si cela, en mon sens, ne venait rien arranger. Et même si ses excuses étaient bienvenues, beaucoup plus que des reproches, que cet air terrifié qu’elle m’avait adressé plus tôt, il n’en demeura pas moins que ce fut suffisant pour complètement me soulager. Secouant la tête, je ressentis le besoin, l’urgence de lui répondre:  « Ne sois pas désolée, c’est ma faute, je m’excuse, je… » Ma voix était rauque, à défaut d’avoir dit quoi que ce soit, de m’être laissé emporter par l’émotion plus tôt. d'où le fait que je dus marquer une pause, me racler la gorge, pour ajouter, du fond du coeur:  « Je t’aime… Je ne veux pas te perdre… » J’aurais pu continuer longtemps, lui dire à quel point j’avais peur qu’elle parte, que je m’en étais fait pour elle pendant qu’elle était partie, mais je n’y parvins pas, parce que ces deux petites phrases venaient tout résumer, en mon sens. Et l’important, c'est que ce fut suffisant pour me donner le courage de me décaler légèrement, puis de me tourner, pour la regarder, affronter son regard, et finalement, me rendre compte qu’elle avait changé ses vêtements, me faisant comprendre que je ne m’étais définitivement pas rendu compte de son retour. Et je n’allais pas le nier, ce n'était pas une surprise désagréable, même si là, en ces circonstances, je ne savais pas tant comment le prendre, ne sachant pas si je méritais qu’elle m’étreigne ainsi, je méritais de me faire des idées, même si, il fallait que je l’admette, je ne restais pas indifférent à la voir vêtue ainsi, même si tristement, je ne savais à quoi m’en tenir, comment réagir, ou plutôt, comment j'avais le droit de réagir.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyJeu 25 Jan - 7:13

Joyce c'était dit que leur couple était déjà passé par des moments difficiles, notamment l'annonce de sa grossesse. Elle avait cru que c'était la fin, finalement ils avaient réussi à surpasser tout ça et ils avaient été heureux durant quelques mois, malgré les angoisses que la blonde cachait. Ils avaient déjà affronté plusieurs coups durs, mais ils étaient toujours unis, mais cette fois-ci elle avait comme le sentiment que c'était la fin. Elle venait de blesser le seul homme à qui elle tenait tant, le seul qui la considérait pour ce qu'elle était vraiment, qui lui prouvait qu'elle était une femme et pas des moindres, qu'elle était la sienne. Il l'avait exposé à son bras fièrement pendant ses soirées mondaines, et elle, en échange qu'avait-elle ? Rien. Absolument rien pour lui prouver à quel point elle tenait à lui.

Au lieu de ça, plutôt que d'affronter son copain en face, elle avait opté pour la même option que lui, à savoir : la fuite. Elle avait quitté la demeure qu'ils partageaient ensemble pour se perdre dans les rues, avant d'atteindre un parc où elle resta inactive durant plusieurs heures. Devait-elle rentrer, ne devait-elle mieux de ne pas dormir à l'hôtel au moins pour ce soir ? Elle n'arrivait plus à penser correctement, ni à savoir ce qu'elle devait ou non faire.

Après plusieurs heures, la blonde ne pouvait cesser de s'en faire pour son compagnon, que faisait-il seul à la maison ? Était-il aussi perdu qu'elle l'était à cet instant précis ? Sentait-il son coeur serré comme le sien l'était ? Tant de questions qui lui montraient tout simplement qu'elle avait besoin de le retrouver, de se perdre dans ses bras et d'oublier tout le reste l'instant de quelques instants. Elle n'avait pas appris à aimer autrement que par quelques instants d'intimité, alors elle faisait du mieux qu'elle pouvait, mais une chose qui était certaine c'est que si elle craignait quelque chose, ce n'était pas de Tommy, mais bel et bien d'Eliott.

Joyce finit par rebrousser chemin pour rentrer chez elle. Chez eux. Ne sachant pas comment elle serait accueilli par son fiancé, elle ne pouvait s'empêcher d'avoir la gorge serrée à l'idée qu'il la repousse, qu'il ne veuille plus d'elle après ce qui venait de se passer. Le médecin avait beau avait dire qu'il ne lui fallait de grosses émotions durant la fin de sa grossesse, mais ça n'empêchait qu'elle était anxieuse au quotidien, et encore plus maintenant que le risque de perdre son futur mari et père de son fils planait au-dessus de sa tête, à cause de ses réactions. Elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même.

Alors qu'elle passait ses bras autour de la taille de Tommy, elle le sentit sursauter, mais de l'autre côté, elle sentit aussi tout ses muscles se détendre presque immédiatement. Aussitôt elle lui adressa ses excuses, il avait le droit de savoir ce qui lui passait vraiment par la tête, et puis, ils étaient un couple, peut-être qu'il pourrait l'aider à surmonter tout cela. Elle entendit par la suite la voix de son compagnon sans qu'il ne se retourne.

Ses propos la fit réagir, il n'avait pas envie de la perdre, elle non plus n'avait pas envie de le perdre, ni pour elle-même, ni pour leur fils qui avait besoin de son père, peut-être même plus qu'il n'avait besoin de sa mère. Finalement, le jeune homme finit par se retourner, il ne l'avait pas encore repoussé jusqu'alors, et lorsqu'il posa les yeux sur elle, elle comprit qu'elle avait déjà à moitié gagné vu le regard qu'il lui lançait.

" - Tu sais je.. Je n'ai jamais appris à aimer autrement qu'en offrant ce que jai de plus cher. C'est comme ça qu'il m'a appris à aimer.. Alors il se peut que.. Je sois maladroite mais à aucun moment je n'ai voulu te blesser volontairement.. J'essaye d'apprendre à aimer au quotidien, comme tous les couples le font, mais j'ai encore beaucoup de lacunes.. J'ai peur tout simplement qu'un jour tu te lasses et que tu trouves mieux que moi, ce n'est pas difficile en même temps.."

Joyce n'avait pas osé affronter le regard de son compagnon durant son discours, elle n'en avait pas la force, encore moins après ce qui venait de se passer entre eux. Mais ce ne fut qu'après, lorsqu'elle n'attendait aucune réponse de sa part, qu'elle replongea son regard dans le sien, le désir envahissant son corps, faisant brûler son bas-ventre et changer l'expression de ses yeux.

" - Fait moi l'amour comme tu me l'as jamais fait bébé.." murmura-t-elle proche de lui, cette lueur de désir dans le regard.

La jeune blonde commença alors à caresser le torse de son compagnon, pour éveiller peut-être l'envie qu'il n'avait plus. Peut-être qu'il ne la désirait plus, d'une part à cause de son ventre arrondi et puis d'autre part, après s'être pris la tête avec elle, ce n'était peut-être pas la première chose dont il avait envie.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyJeu 25 Jan - 13:58


Joyce & Tommy

You and me and a baby makes three

Boy or Girl ?
Allait-elle accepter mes excuses ? Se montrer compréhensive du fait que j’étais désolé, que jamais je n’avais voulu lui faire peur, que jamais je n’avais voulu insister de sorte à ce que les choses tournent mal comme ça ? Voilà ce qui me terrifiait le plus en cet instant précis. J’avais bien compris que ma fiancée tentait de faire un pas dans la bonne direction, autrement je me doutais bien que jamais elle ne se serait vêtue ainsi, jamais elle ne serait venue m’étreindre de la sorte, jamais elle ne se serait montrée désolée comme elle l’avait fait de tout ça, mais quand même, j’étais insécure, vulnérable, un peu comme un enfant. La vérité était que lorsqu’il était question de notre relation, quand ça devenait plus difficile, je devenais vulnérable. Je devenais vulnérable non pas que je doutais de nous deux, d’elle, de cette famille que nous étions sur le point de créer, mais parce que je voulais faire ce qu’il y avait de mieux, et faute d’expérience, faute de conseils pertinents, je ne savais pas toujours, voire bien jamais quoi faire. Comme là, une discussion qui avait pris une tournure plus négative que je ne l’aurais cru avait été suffisante pour que mes paroles dépassent ma pensée, et pour que je ne sois même pas capable d’assumer mes mots, mes actes. C’était ridicule, je le savais, et tristement, je ne pouvais pas m’enlever ça de la tête, tant et aussi longtemps que Joyce ne s’en montrerait pas compréhensive. Mais pouvais-je vraiment l’obliger à me dire ça directement ? Ça ne se faisait pas, fort probablement, du coup, je me trouvai à attendre, quelque peu angoissé, qu’elle reprenne la parole, qu’elle devienne mon guide, qu’elle me fasse comprendre ce qu’elle attendait de moi. Et bien que j’aie eu l’occasion dans ce bref laps de temps de m’imaginer bien des réactions, bien des propos, jamais je n’aurais pu m’attendre à ce qu’en réalité, elle vienne tenir un discours similaire au mien. Je n’allais pas le nier, je me sentis soulagé de l’entendre me tenir ces paroles, et je le restai jusqu’à ce qu’elle en arrive à sa dernière phrase, probablement la seule phrase de ses dires que je ne pouvais pas partager, à savoir que je pourrais me lasser et la quitter. Je ne saurais m’expliquer comment exactement, ni pourquoi, mais je savais que ce n’était pas possible. J’avais rencontré, fréquenté bien des femmes dans ma vie, et jamais personne ne m’avait donné envie d’unir ma vie avec elle, à l’exception de Joyce. J’étais en train de devenir ce que j’osais espérer être un meilleur homme à ses côtés. Sa présence était rassurante et bienveillante, sa fragilité me donnait envie de la protéger à tout moment, de toute façon possible. Et ce qui venait de se passer m’avait prouvé que maintenant, ma vie, c’était avec elle, ce serait avec notre fils qui allait bientôt naître, et que sans elle, sans eux, je ne donnais pas cher de ma personne. Mais pouvais-je lui dire tout ça ? Si je trouvais les mots justes, pour sûr que je le ferais, mais avant que je ne puisse reprendre la parole, ce fut ma fiancée qui le fit, venant à me faire une proposition qui venait justifier sa tenue, sa présence. Mais disait-elle ça seulement pour me réconforter ? Me concentrant sur son regard, sur ses gestes, je crus comprendre qu’elle aussi, ça ne lui déplairait pas. Combiné avec ces avances qu’elle avait eues plus tôt dans la matinée, je me dis que je n’avais pas tant à hésiter plus longtemps. Allais-je lui sauter dessus pour autant, même si je savais que cela ne lui déplaisait pas, quand parfois, j’y allais un peu plus brusquement, que je m’imposais davantage ? Non, pas pour le moment en tout cas. Si elle me guidait dans une direction autre, je n’allais pas refuser, mais là, je décidai de saisir ce moment, cette opportunité qui m’était donnée pour lui prouver mon amour, lui prouver que cet amour dépassait les paroles, dépassait les gestes irréfléchis. En douceur, comme si je craignais de m’être endormi, et qu’elle s’évapore à mon contact, je glissai le bout de mes doigts sur sa joue, refusant d’y mettre une pression considérable comme plus tôt, ne voulant pas raviver quelconque mauvais souvenir. Quand je me rendis compte que le contact était réel, je me permis finalement de pencher légèrement la tête sur le côté, venant cueillir un baiser sur ses lèvres, un baiser qui, à mon étonnement, eut un effet électrifiant tant il me fit le plus grand bien. Ne parvenant plus à être timide suite à celui-ci, je lui en donnai un second, un peu plus intense, laissant ma main qui était sur sa joue glisser sur sa nuque, tandis que la seconde s’aventurait sur sa hanche, remontant doucement le fin tissu qui la recouvrait, sans que je ne le lui retire pour autant. Lorsque le baiser prit fin, je pris la peine au moins de lui chuchoter:  « Tu es superbe quand tu mets des tenues comme ça… » Ça pouvait sembler un peu pervers, mais au fond, je l’étais, et ça, elle le savait. Et si elle ne connaissait pas mes faiblesses, pour sûr elle ne se serait pas vêtue ainsi pour m’attiser, j'en étais persuadé. Chose faite, il ne m’en fallut pas plus pour que cette envie de la combler soit définitivement présente, et déterminé à lui faire l’amour comme on le fait à une reine, selon ses plaisirs, selon ses envies, je décidai que cette fois-ci, pour le moment, le lit ne serait pas approprié. Je savais à quel point la baie vitrée lui faisait de l’effet, donc ce que je fis, c’est que je pris ce fauteuil qui restait ici en permanence, l’invitant à s’y asseoir, tandis que je me penchais sur elle, glissant mes lèvres dans son cou, puis à la naissance de son décolleté, alors que mes doigts s’amusaient à s’aventurer sur ses jambes dénudées, remontant lentement mais sûrement, tout en douceur, pour la redécouvrir, redécouvrir sa peau sous mes doigts, la sentir frissonner, lui faire plaisir autant que possible.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyJeu 25 Jan - 21:01

Est-ce que Joyce en voulait à Tommy ? Non. Enfin, les paroles qu'il avait eu lui avait fait peur, durant quelques instants, elle avait eu l'impression qu'il s'agissait de la relation malsaine qu'elle avait entretenue avec Eliott, et tout cela l'avait effrayé. Mais si son fiancé avait tenu des propos quelque peu déplace durant cette discussion, elle n'avait pas eu la main légère non plus. Elle était tout aussi responsable que lui, si ce n'était pas plus. C'est la raison pour laquelle elle n'avait pas tenu très longtemps loin de l'homme qui la faisait sentir vivante, elle s'était rendue à l'évidence, Tommy était l'homme qui lui fallait, mais elle ne cessait de douter de ses propres atouts.

Toujours mise à l'écart jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais appris à être aimé comme son copain le faisait à l'heure actuelle, et finalement c'est cet inconnu qui l'effrayait. Le fait de ne rien maîtriser, d'avancer à l'aveugle l'avait terrorisé et ça avait joué sur sa lucidité. Et maintenant elle s'en voulait d'avoir tenu de tels propos à l'égard de celui qui l'aidait à remonter la pente depuis quasiment un an. Un an déjà qu'elle avait trouvé l'homme qui la rendait heureuse, un an qu'elle partageait la demeure d'un riche patron pour qui elle avait travaillé. Au fond un an c'est pas grand chose, mais ça représente beaucoup à ses yeux.

Au bout du compte, Joyce s'était exprimé sur ses peurs, sur ses doutes, sur ce qui venait de se passer tout simplement. Elle avait été obligé de fournir l'explication à Tommy pour qu'il comprenne ce qui l'avait tant effrayé dans ses paroles, et elle lui avoua également la façon dont elle avait appris à aimer quelqu'un. Finalement, avec du recul, ça n'avait jamais été une véritable histoire d'amour entre Eliott et elle, il l'avait utilisé tel une vulgaire prostituée mais sans lui donner quoique ce soit en échange, si ce n'était que l'impression d'avoir trouvé quelqu'un qui l'aimait tel qu'elle était. Elle avait été bien naïve de penser que c'était le cas.

Voilà pourquoi dès que les choses devenaient un peu trop compliquées, Joyce avait l'habitude de pratiquer ce qu'on appelle les réconciliations sur l'oreiller, elle le faisait avec Eliott, mais rien à voir avec ce qu'elle vivait avec Tommy. Ici, c'était sincère et l'envie était partagée, elle ne se sentait pas forcée de faire quoique ce soit, elle désirait simplement l'homme qu'elle venait de faire souffrir et pour se faire pardonner, elle était prête à beaucoup de choses, comme lui offrir son corps.

La jolie blonde n'avait jamais pris conscience de ses atouts, elle avait été utilisée, manipulé contre son gré et rabaissée. Son corps était pour elle un véritable obstacle, d'autant plus maintenant qu'il était déformé à cause de sa grossesse, mais grâce à Tommy elle avait réussi à faire un pas en avant et essayait de s'accepter tel qu'elle était, parce qu'elle savait qu'elle plaisait à un seul homme et c'est le seul qui avait vraiment un impact sur son quotidien.

Ce qui les libéra tous les deux, ce fut ce baiser que Tommy lui donna, suite à quoi ils allaient enfin se retrouver en espérant que leurs maux finissent par totalement disparaitre du paysage afin de laisser  qu'un ciel sans nuages. Joyce n'était pas insensible à ses baisers et il le savait mieux que personne, il connaissait ses faiblesses et les utilisait contre elle, mais comment lui en vouloir alors que tout cela n'était que pour la combler de plaisir ? Elle laissa poursuivre tout en posant ses mains sur son corps afin de se perdre dans ses cheveux, comme elle aimait tant le faire.

" - Il suffit de demander.." fit-elle en esquissant un sourire.

Elle aimait qu'on lui dise qu'elle était belle, désirable, c'est sans doute ce qui lui manquait le plus, et venant de Tommy c'était deux fois plus important, encore plus dans cette période où elle subissait son corps et devait s'adapter avec son ventre arrondi qui prenait de la place et qui la faisait parfois souffrir.

Se laissant guider comme bien souvent, la blonde laissa son fiancé l'installer sur le fauteuil face à la baie vitrée tandis qu'il prit en main cet instant. Leur instant. Celui où plus rien ne comptait sauf eux, leur corps désirant celui de leur partenaire et toutes ces caresses qui les font perdre pied. Son regard se perdit quelques instants sur le paysage qui s'offrait à elle. Elle ne parlait pas de son fiancé mais bel et bien du paysage extérieur, celui qu'elle aimait tant et dans lequel elle adorait se perdre en le regardant. Mais bien rapidement elle fut contraite de fermer les yeux sous l'effet des caresses de son petit ami. Il savait comment la faire perdre pied et il s'atelait parfaitement à la tâche à l'instant présent.

Cambrant son corps sous le désir qui l'animait, la jeune suédoise pencha la tête en arrière afin de laisser libre accès à son cou, afin que Tommy continue cette douce et délicieuse torture qu'il avait entreprit, elle émettait parfois de petits couinements, preuve qu'elle prenait du plaisir à le laisser ainsi s'occuper de sa personne.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyJeu 25 Jan - 23:46


Joyce & Tommy

You and me and a baby makes three

Boy or Girl ?
Demander à ma fiancée de mettre une petite tenue pour le plaisir ? Je pourrais le faire, c’était vrai. En fait, me connaissant, je ne serais pas du genre à m’en gêner. Enfin, je ne le ferais pas directement, peut-être que je me ferais un petit plaisir de lui acheter une petite tenue, pour le plaisir de la voir la porter. Et puis, je n’avais jamais eu tant l’occasion de le faire, puisque précédemment, elle prenait l’initiative plus souvent qu’autrement. Ou bien au fond, étais-je timide de le faire, parce que je ne voulais pas la forcer ? C’était possible, je n’allais pas le nier. Mais en vérité, je me disais que la meilleure explication sur le fait que je ne m’étais jamais imposé de ce côté était que je n’avais pas tant besoin de ça pour avoir envie d’elle, la trouver belle, la désirer. Bon, je restais un homme, pour sûr que ça venait aider à accélérer les choses, je l’avais encore prouvé dans le cas présent, ce cas où alors que quelques secondes auparavant, je m’inquiétais pour elle, pour le bien-être que je lui apportais, l’avenir de notre couple, maintenant, tout ce que je voulais, c’était respecter son désir, lui faire l’amour, lui prouver l’affection que je lui portais par ce moment intime inattendu, inespéré. Et pour ce faire, je crus qu’il n’y avait rien de mieux que de lui offrir l’objet de son désir à cet endroit qu’elle aimait tant, de sorte à pouvoir lui permettre de profiter de cette vue qui lui avait tout de suite plue quand elle était venue chez moi pour la première fois. Heureusement pour moi, elle ne se fit pas prier de s’installer sur ce fauteuil, me permettant de me pencher sur elle pour embrasser chaque parcelle de peau qui n’était pas couverte, venant redécouvrir sa peau sous mes doigts par la même occasion. Ce n’était qu’un début, j’en étais conscient, et pourtant, il me fit un plaisir fou de l’entendre déjà réagir, de voir son corps venir à la rencontre de mes mains, de mes lèvres. C’était comme si cela venait à me rassurer que qu’importe les obstacles, qu’importe ce qui nous attendait, les épreuves que nous devions traverser, le désir était, serait toujours présent. Dans mon cas, c’était sans équivoque, mais savoir que la réciproque était aussi vraie me faisait le plus grand bien dans le cas présent, je ne pouvais pas le nier. Naturellement, je n’avais pas l’intention de m’en tenir qu’à cela pour le moment. Bien au contraire, j’avais désormais envie de plus, envie de l’entendre gémir plus fort, de se cambrer davantage, dans le mesure qu’elle le pouvait, bien évidemment. En somme, je voulais que ce moment soit inoubliable, tant pour elle que pour moi. Sans hésiter plus longtemps, refusant de me montrer timide une seconde de plus, je continuai sur ma lancée, l’embrassant, la caressant encore un petit moment, jusqu’à ce que l’envie de l’entendre gémir, peut-être crier si j’avais un peu de chance et que je m’y prenais bien. À ce moment, je me redressai quelque peu, glissant mes mains sur ses bras pour trouver les bretelles de sa petite tenue, les faisant tomber de ses épaules, me permettant de découvrir, redécouvrir sa poitrine que j’aimais tant. Tendrement, je saisis ses seins entre mes mains, venant les masser doucement, prenant évidemment soin de ne pas y aller trop fort, histoire de ne pas lui faire mal non plus. Au passage, mes lèvres se joignirent à la partie pendant un instant, attrapant la pointe de son sein, puis l’autre, y restant quelques secondes à la fois. Lentement, mais sûrement, ces gestes firent en sorte que l’envie commença à s’installer en moi, même si je ne me sentais pas prêt à venir me fondre en elle. Pas que je ne le voulais pas, mais parce que je voulais le faire quand l’envie serait forte pour elle aussi, voire même trop forte qu’elle viendrait à m’en supplier. Et pour y parvenir, j’avais mes petites idées. D’ailleurs, je mis une d’entre elles à exécution au bout d’un moment, lorsque je vins à me distancer de sa personne, lâchant sa poitrine pour venir glisser mes mains sur ses hanches, là où je saisis son sous-vêtement pour l’en débarrasser, sans toutefois lui retirer complètement sa nuisette. Poitrine découverte, à ma merci, avec ce vêtement, c’était une vision divine. Sa culotte gisant désormais au sol, je revins devant elle, non pas penché, mais carrément à genoux. Comme ça, elle aussi saurait en profiter, profiter de la vue à l’extérieur, tandis que de mon côté, je saisis ses cuisses, y enroulant mes bras de sorte à ce qu’elle ne puisse bouger, qu’elle me laisse l’espace nécessaire pour que j’enfouisse mon visage entre ses jambes, venant embrasser son intimité avec ardeur, avec une passion de laquelle je ne me pensais pas capable à cet instant précis, cette passion qui me guidait pour lui faire plaisir, pour la faire grimper aux rideaux comme elle avait fait avec moi au réveil, voire plus encore, si c’était possible.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptySam 27 Jan - 14:58

La jeune femme aimait faire plaisir à tout le monde, elle avait toujours été ainsi. Son caractère faisait qu'elle se pliait en quatre pour venir en aide à ce qui en avait besoin, et c'est aussi ce qui avait causé sa perte. Trop naïve, elle s'était laissé embobiner et elle en payait le prix fort aujourd'hui. Mais pour Tommy, c'était différent, si elle pouvait lui faire plaisir en mettant des tenues comme celle qu'elle portait actuellement, alors elle était prête à y mettre son salaire s'il le fallait, mais pour lui, elle était prête à beaucoup de choses, mais elle ne le lui avait jamais dit, c'était peut-être là tout le problème.

Ayant passé toutes ces dernières années seule, elle avait fini par se débrouiller sans jamais demander d'aide. Elle avait rencontré des obstacles qu'elle pensait infranchissable et même si elle y avait laissé beaucoup d'elle-même, elle l'avait franchi. Désormais qu'elle n'est plus seule, elle a encore du mal à se confier, non pas qu'elle n'a pas confiance en son fiancé, sinon elle n'aurait pas dit oui lorsqu'il lui a demandé de l'épouser, simplement ce n'est pas quelque chose d'automatique chez elle, elle est obligée de se forcer pour se confier et dire ce qu'elle a sur le coeur. Comme à cet instant précis où elle a fait part de ses doutes, de ses angoisses à Tommy. Aurait-elle dû le garder pour elle ? Vu la réaction qu'il avait eu, elle se disait que ça aurait sans doute été mieux ainsi.

Mais inutile de se torturer l'esprit plus longtemps, et de toute façon, elle était tout bonnement incapable de réfléchir dès lors qu'il posait les mains sur son corps ou bien qu'il n'y avait pas assez de distance entre eux. Cet homme avait un pouvoir qu'il ne devait pas sous-estimer. En quelques secondes, leur dispute était effacée, ou tout du moins plus à l'ordre du jour. Tommy se concentrait sur le corps de sa partenaire, tandis que cette dernière tentant tant bien que mal de garder les pieds sur terre, mais ce fut de trop lorsqu'il s'aventura sous la nuisette qu'elle portait. Ses seins se mirent à pointer, son corps à se cambrer pour en demander encore plus et tous les soucis qu'elle avait en tête s'envolèrent un peu plus à chacune des caresses de son fiancé.

Sa peau se mit à granuler au fur et à mesure qu'il découvrait une nouvelle parcelle de sa peau, elle la laissa mener la danse, incapable de faire quoique ce soit en retour. Elle avait lâché prise et se laisser guide dans ce tourbillon d'émotions qu'elle aimait tant lorsqu'elle partageait des moments aussi intimes que celui-ci avec son partenaire. Tommy s'affaira à faire glisser les bretelles de l'unique tissu qu'elle portait, afin de le laisser tomber et de dévoiler sa poitrine. Partie du corps qui avait changé au fil de sa grossesse, elle avait grossi et elle se souvenait encore des paroles de son petit ami qui lui avait dit que ça ne lui déplaisait pas. Désormais, sa poitrine était notamment plus importante mais également plus sensible, alors forcément lorsque son partenaire décida de s'y attaquer, son souffle se fit de plus en plus court et rapidement, elle passa un nouveau seuil sur l'échelle du plaisir. Ses gémissements se firent un peu plus fort tandis qu'elle murmurait le prénom de son homme homme un supplice.

Et rapidement, elle comprit que ce moment allait être encore plus intime lorsqu'il saisit ses jambes pour l'attirer à lui, se mettant à genoux devant elle. Une vision qui aurait presque suffit à la faire jouir instantanément. Le voir ainsi, entre ses jambes lui procurer tant de plaisir c'était tout simplement irréel, mais le plaisir qui lui brûlait le bas-ventre lui, était bien réel. Sans plus attendre, au contact de ses lèvres sur son intimidé, la blonde émit un petit cri. Que c'était bon de le retrouver ainsi, elle avait presque l'impression que cela faisait des mois qu'ils s'étaient perdu et qu'ils venaient seulement de se retrouver. Jamais elle n'avait ressenti un tel désir pour cet homme, était-ce possible de l'aimer encore plus que la veille ? Il faut croire que c'était son cas, elle était incapable d'être raisonnable dès lors qu'il se trouvait dans la même pièce qu'elle, ses pensées devenaient tout de suite peu catholiques.

Le laissant procéder à cette torture qu'il lui infligeait, elle perdit sa main dans ses cheveux tout en le guidant parfois en appuyant légèrement dessus. Son ventre rond l'empêchant de se mouvoir à guise, elle lui fit comprendre à sa façon qu'elle avait envie de plus. Toujours plus. Ses cris en disaient long mais elle espérait ne pas tout donner à cet instant, voilà pourquoi elle se retenait, elle n'avait pas envie que cet instant prenne fin parce qu'elle n'avait pas su contrôler son corps. La pensée qu'elle avait procédé de la même manière, le matin même pour réveiller son homme lui fit réaliser, que tout ce qui s'était passé, n'avait été si en l'espace de quelques heures, que le matin même ils étaient complices et que tout avait dérapé lors de ce rendez-vous sui auraient dû les réjouir plus qu'autre chose.

" - Ne t'arrête surtout pas.." murmura-t-elle entre deux gémissements de plaisir.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyDim 28 Jan - 1:12


Joyce & Tommy

You and me and a baby makes three

Boy or Girl ?
Notre réaction respective fut instantanée lorsque mes lèvres entrèrent en contact avec son intimité. De son côté, je l’entendis pousser un petit cri, et de mon côté, sa réaction, combiné avec le fait qu’il y avait un bon moment que je ne m’étais pas permis de l’approcher, de la chauffer ainsi, pour sûr, le sentiment de manque se fit sentir rapidement, m’éveillant aussitôt. Enfin, je m’étais déjà senti éveillé à la voir dans cette nuisette, puis en découvrant sa poitrine, en la touchant, l’embrassant, mais là, la sensation était plus forte, grisante, délicieuse. En revanche, je refusais de me laisser déconcentrer pour autant. Au contraire, parce que je me sentais porté par les réactions de ma fiancée, que c’était celles-ci qui me faisaient frémir le plus en ce moment, le plus normal dans le cas présent était de continuer sur ma lancée, lui plaire autant que possible. Du coup, je refusai de détacher ma bouche de son intimité, continuant de plus belle à y déposer mes lèvres, à y passer ma langue, tantôt en lenteur et intensément, tantôt avec des gestes plus rapides, dépendant de ses réactions, dépendant de la façon dont elle me guidait avec sa main qui avait retrouvé sa place normale dans mes cheveux. Place normale parce que même si jamais je ne lui avais dit à proprement parler, mais j’adorais sentir ses doigts sur ma tête, que ce soit pour des caresses, ou bien pour m’aider à la satisfaire aussi bien que possible. Aveuglément donc, je m’appliquai à lui faire plaisir, encouragé par ses dires, son toucher qui me faisait le plus grand bien. Et honnêtement, je ne m’en lassais pas, je ne m’en lassais pas de la retrouver, je ne me lasserais jamais de la combler non plus et ce, qu’importe les circonstances, qu’importe le moment, qu’importe ses envies. La rendre heureuse, voilà ce qu’était devenu mon but principal dans ma vie. Et pour la première fois depuis toujours, j’avais un but qui n’était pas seulement lié à ma personne, mais qui faisait en sorte que je me dévouais pour quelqu’un d’autre, et franchement, ça me faisait le plus grand bien, ça me faisait sentir meilleur, si je pouvais le dire ainsi. Évidemment, il était clair que ce n’était pas parfait, j’avais eu la preuve plus tôt que j’avais fort à faire pour devenir un bon fiancé, un bon époux, un bon père également. Mais pour Joyce, pour celle que je considérais comme la femme de ma vie, ça valait le coup, je le savais, je le sentais au plus profond de moi. Et puis, j’avais toujours ces moments pour me sentir plus confiant, pour ne pas me perdre, pour me convaincre que même si j’avais mes défauts, Joyce était capable de m’aimer pour ce que je pouvais lui offrir, moi, Tommy, sans artifices ou quoi que ce soit du genre. Et si elle était capable de m’accepter, elle était capable d’accepter le fait que je n’avais pas toujours l’esprit bien net, surtout quand je me retrouvais comme ça, entre ses jambes, à lui procurer du plaisir autant que je le pouvais. La gêne, la peur de faire quelque chose d’incorrect était venue à s’envoler chez moi dans le cadre de ses retrouvailles, d’où le fait que je m’en permis un peu plus. Dans le cas présent, cela consista à détacher ma main d’une de ses cuisses, éloigner quelque peu mon visage, pour approcher mes doigts de l’intimité de ma future épouse. Doucement, sans brusquer quoi que ce soit, je laissai mon index la pénétrer, en lenteur, même si j’y entrai sans difficulté. Cette constatation me valut de dire:  « Tu es tellement trempée… J’adore… » Sur ces mots, je commençai à remuer mon doigt lentement en elle, explorant son intimité, l’habituant à ma présence pendant quelques instants, avant de finalement revenir à la charge avec mes lèvres, la stimulant de ces deux façons. Je n’écartais pas l’idée qu’elle pourrait avoir un premier orgasme avant que nous nous soyons pleinement retrouvés, mais honnêtement, cela ne me gênait pas. Au contraire, si je pouvais la combler à plus d’une reprise, ce serait parfait. Soudainement motivé à cette idée, je laissai mon majeur joindre mon index en elle, entamant des mouvements de va-et-vient plus significatifs, afin de lui donner un aperçu de ce qui l’attendait plus tard, si elle me laissait me rendre jusque là, bien évidemment.
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MessageSujet: Re: Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18}   Joyce & Tommy + You and me and a baby makes three {-18} - Page 4 EmptyDim 28 Jan - 10:35

Depuis le début de leur relation, Joyce n'était plus la même femme. Bien qu'au fond, elle soit restée la même, toujours aussi sensible, aussi fragile et surtout beaucoup trop émotive, mais Tommy l'avait rendu meilleure, il avait fait ressortir d'elle des choses dont elle n'avait même pas soupçonner l'existence auparavant. Il l'avait aimé pour ce qu'elle était et non pour ce qu'il aurait aimé qu'elle soit, elle avait des défauts comme tout le monde, elle en était consciente, et chaque jour qui passaient elle essayait de travailler sur ces derniers. Mais elle restait Joyce Sandberg, et elle ne pouvait pas changer du jour au lendemain, c'était tout simplement impossible, elle avait aussi son caractère qui faisait qu'elle resterait la même dans les grandes lignes, mais ça ne semblait pas déplaire à son futur mari.

S'il y a une chose qu'on peut dire sur la grossesse de la jeune suédoise, c'est qu'elle n'aura pas été de tout repos, certes elle n'est pas encore terminée, mais elle en est au trois quarts et bientôt, c'est une véritable famille qu'ils allaient former, Tommy, leur fils et elle. Cette même grossesse qui en plus d'impacter son humeur et tout un tas d'autre chose, elle l'avait surtout empêché de retrouver son fiancé comme elle l'aurait voulu. Il est vrai que ce n'est pas chose aisée de pouvoir faire l'amour avec un ventre prenant autant de place, mais elle s'était dit qu'ils arriveraient toujours à passer au travers de cet inconvénient. Pendant un temps, elle avait cru que le jeune homme ne la désirait plus, il ne l'a regardait plus comme avant, il ne l'a touchait plus, ça lui avait tout simplement manqué, mais elle avait gardé tout cela pour elle parce qu'elle pouvait s'abstenir si Tommy ne la désirait pas, c'était dur, mais pour lui, elle était capable de tellement de sacrifices que la liste était interminable.

Alors forcément, les mains de son homme sur sa peau ne l'a laissait pas indifférente, comme toujours d'ailleurs, mais cette fois-ci c'était différent, comme si son corps réagissait différemment, comme si c'était la première fois qu'il la comblait de la sorte. Ou bien c'était simplement le fait de le retrouver que son corps exprimait en se mettant à frissonner à chacune de ses caresses. La vision que lui avait offerte Tommy avec vu sur la baie vitrée c'était la meilleure chose qu'il soit, mais dès le départ elle savait pertinemment qu'elle ne pourrait pas en profiter autant qu'elle aurait aimé, mais pour cela, elle aurait tout le temps de le faire plus tard, autant profiter de cet instant de retrouvailles entre eux.

Elle le laissa faire, découvrir ou redécouvrir son corps avec ses doigts experts, jusqu'à ce qu'il se glisse entre ses cuisses, et là il n'y avait plus aucun doute sur ses intentions, ce qui suffisait presque à la faire jouir instantanément. Au lieu de quoi, elle se retient autant que possible, mais lorsqu'il allia sa langue avec ses doigts, ce fut le coup fatal pour la jolie blonde qui se cambra encore plus, appuyant sur la tête de son homme le suppliant d'arrêter parce qu'elle sentait tout son corps se secouer. Mais bien évidemment qu'au fond, elle n'avait aucune envie qu'il arrête c'était même tout le contraire, elle voulait qu'il continue, qu'il lui donne encore plus que tout ce qu'il était en train de faire, qu'il l'emmène loin, très loin de tout leurs problèmes, dans un monde parallèle, dans leur monde à eux deux, là où plus rien ne les atteins.

Les paroles salaces du jeune homme avaient eu raison de Joyce qui sentit son corps l'abandonner quelques secondes avant qu'elle ne reprenne un semblant d'esprit, elle eut à peine le temps de se remettre complètement que le brun poursuivait déjà sa torture sur sa féminité. Elle se sentait si fragile, si vulnérable, si exposée, mais c'était sans doute dans ces moments qu'elle se fichait bien d'être ainsi, pas face à Tommy en tout cas, elle n'avait rien à craindre. Silencieusement elle se demandait si elle allait pouvoir suivre le rythme s'il continuait à cette cadence, parce qu'elle sentait son corps qui menaçait de l'emporter une seconde fois alors qu'elle venait tout juste de pousser son cri ultime, arrachant sans doute quelques cheveux à Tommy au passage. Elle avait hâte de passer à la suite mais n'en dit rien, parce que c'était bel et bien la première fois que Tommy lui faisait l'amour de la sorte, et elle n'allait certainement pas s'en plaindre parce qu'elle aimait qu'il lui fasse sentir à quel point il l'aime en la comblant de la sorte, et pour rien au monde elle n'aurait voulu être ailleurs à cet instant précis.
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