[HOT] ANTONIELLA + Bachelor party

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Bachelor PartyAntonio & IsabellaTu hoches la tête en l’écoutant, ouais, vu comme ça, ça avait un minimum de sens. En fait, il te regardait pas pour pas céder à la tentation, pour pas commettre le péché de chaire avant d’avoir été marié. Tu sais pas trop si tu trouves ça mignon ou si tu trouves ça dommage en fait. Sûrement un peu des deux en fait. E tout cas, tu finis par aller déposer un baiser sur sa joue, juste parce que tu peux et parce que ce garçon est juste adorable. T’as vraiment envie de lui faire des tas de baisers, mais tu penses qu’il trouverait ça peut-être un peu trop inapproprié. Qui sait, peut-être qu’il n’aimait pas vraiment embrasser ses coups d’un soir et après tout, pour l’instant, c’est tout ce que t’es. Tu trouves que ça craint, mais bon, au moins t’es quelque chose, c’est déjà bien. « Je trouve que c’est plutôt bien, même mignon dans un sens. T’étais le petit garçon modèle. » Tu souris parce que ça te rends tout de même contente de savoir la raison, de savoir que c’était quelque chose dans ce genre-là. Tu hausses ensuite les épaules, faisant comme si c’était ça alors que non, du tout, tu te rappelles encore de tout sur lui. Comment tu pourrais oublier quoi que ce soit à son égard ? Personne pourrait oublier quelqu’un comme lui, sauf des crétin sûrement. « Ouais, si ça se trouve. » Tu hausses de nouveau les épaules. Peut-être que tu surjoues, mais c’est pas bien grave. Pour l’instant, il a pas l’air de le remarquer, sûrement à cause de l’alcool. Tu serais peut-être même contente, pour une fois, de te faire quelqu’un de bourré, mais d’un côté, il a pas l’air de tellement l’être. Comme ça au moins, il se rappellera de toi. C’est pas plus mal.

Finalement, ils étaient tous les deux dans le lit et tu prenais vraiment ton pied comme jamais. Tu te demandais même comme ça se faisait qu’il te disait qu’il n’avait jamais rien fait, enfin, pas souvent en tout cas. Il faisait de la publicité mensongère, là, non ? Si, sûrement, va savoir. Toi-même tu sais même plus. Tu le laisses faire et t’as toutes sortes de réactions à ses touchers. Tu gémis, tu soupires d’aise, tu geins. Tu te demandes aussi comment ça serait lorsqu’ils allaient passer aux choses sérieuses si c’était déjà aussi bon. Il t’enverrait sûrement au septième ciel ou quelque chose dans ces eaux-là. Tu finissais par pousser un râle en le sentant se ralentir, puis s’arrêter. Tes mains descendent en même temps que lui reviens, se posant sur les omoplates du garçon alors qu’il collait son front au tiens. Et tu le trouve vraiment magnifique, mais à un point. Tu fermes les paupières en le sentant frotter son sexe au tiens, même ça, ça te faisait soupirer d’aise et tu te sentais vraiment plus humide que jamais. Tu sais pas trop si ça vient du phénomène naturel ou bien si ça vient de sa langue, mais tu t’en fous assez. T’ondules le bassin contre le sien, te mordillant la lèvre inférieure. Et puis, finalement, quand tu le sens qui se recules, tu le regardes faire, te redressant sur tes coudes pour l’observer. Quand il te demande s’il peut, tu peux pas t’empêcher de sourire, il était vraiment adorable. Tu te redresses un peu plus pour l’embrasser alors que t’enroules tes jambes autour de son bassin, faisant en même temps entrer son membre en toi, ce qui te fait gémir. Il en avait dans le caleçon et tu trouves ça plutôt plaisant. Voire même plus que plaisant. T’enroules tes bras autour de son cou, collant son buste au sien. Tu s’rais tenté d’inverser les positions, mais t’es pas vraiment sûr que ce serait sa tasse de thé.
©YOU_COMPLETE_MESS – 639 mots

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Bachelor Party #ANTONIELLA« Je trouve que c’est plutôt bien, même mignon dans un sens. T’étais le petit garçon modèle. » Je souris doucement, elle est quand même la première a me dire que c’est mignon, mon ex trouvait ça ridicule. Elle passait mon temps à me dire que j’avais été stupide de faire ça, que de toute façon, ça n’avais jamais servit a rien. Vu que de toute façon, au final, j’avais « souillé » mon âme ou je ne sais trop quelle connerie qu’elle m’avait sorti. « Ouais.. Certainement que c’est ça.. Et j’ai eu raison j’pense, parce que si t’étais déjà aussi jolie a cette époque j’aurais pas pu résister.. » Clairement, cette fille, elle doit être de celles qui te font craquer comme pas possible, celles que tu voudrais regarder tout le temps, qui ne sortent plus de ta tête.. Certainement que j’suis quand même toujours assez sobre pour me rendre un minimum compte de ce que je fais, alors sûrement que je vais m’en souvenir, et certainement cette femme ravissante me restera dans la tête. Qu’elle y restera un bout de temps même.. « Ouais, si ça se trouve. » Je me contente de sourire, j’imagine que ça doit être ça, parce que bon, dans l’école ou j’avais été on était loin d’être nombreux, juste les quelques gamins des quartiers pauvres.. Peut être une centaine. Ouais, j’sais plus trop, je regardais pas les gens, alors ouais, j’ai un peu de mal à me souvenir d’eux. Puis pour être tout à fait honnête, j’pense pas vraiment que ce soit vraiment pour penser, faut plutôt que j’pense à elle, que je me concentre bien sur les choses que je lui fais, que je lui fasse le plus de bien possible quoi..
Peut être bien que j’adorerais l’entendre gémir mon nom.. Certainement que ça serait le truc le plus sexy du monde..
Putain ouais.. Ce le serait..

Je mordille ma lèvre, puis j’avais fini par remonter pour me remettre à son niveau et me frotter un peu contre elle, gêne pour faire grandir son envie, mais c’est sur moi que ça avait fait ça, l’envie grandissait de plus en plus, a chaque seconde j’avais l’impression que ça devenait insoutenable.. Alors au final c’est moi qui ai craqué, j’en pouvais plus, j’avais juste tellement envie d’elle.. Je me suis préparé bien comme il le fallait avant de la regarder en attendant son autorisation. Mais elle ne m’a rien dit, elle a préféré agir d’elle même. Elle s’est redressée pour m’embrasser, j’ai répondu a son baiser avec plaisir, je me suis collé contre elle, je me tenais un peu avec l’un de mes bras, puis ma main libre s’est glissé dans ses cheveux que je caressais. J’ai senti ses jambes autour de mon corps puis avant même que j’ai le temps de vraiment faire quoi que ce soit, je sentais mon sexe la pénétrer. J’ai poussé un soupir d’envie contre ses lèvres et j’ai gardé les yeux clos. J’avais presque oublié comme ça pouvait être bon putain.. J’avais pas pu faire ça depuis quoi.. Plus de quatre quand même. Certainement que j’allais être un peu rouillé.. Mais j’espérais quand même qu’elle allait aimer quoi.. J’ai fini par me coller contre elle, je m’appuie légèrement sur mon coude, j’y prends appui pour garder une certaine liberté de mouvement et lentement je me mets à onduler le bassin de bas en haut. j’ressens les première sensation qui arrivent. C’est agréable, même si pour le moment, j’ai l’impression de me torturer tellement que j’suis lent.. Mais j’sais pas, j’ai pas envie d’aller trop vite pour le moment.. J’crois que j’ose pas.. J’ai peur de mal faire, ou j’sais pas, de lui faire mal, enfin si c’est possible hein.. Mon ex me disait que les rares fois ou on avait fait ça, j’étais nul, alors certainement que j’reste fixé sur cette idée. Puis pour le coup, j’me crispe un peu.. j’fais quoi si elle trouve ennuyeux, qu’elle aime pas, qu’elle me trouve trop lent ou je sais pas trop.. « Uh.. Ça fait un bout de temps que j’ai pas fait ça et.. Je risque d’être nul.. Tu veux peut être te mettre dessus pour y aller a ton rythme.. ? » Peut être bien que ça serait mieux non ? Puis comme ça, j’pourrais la toucher aussi, peut être bien que ça lui plairait bien.. J’sais pas ce qu’elle aime dans ce genre de choses.. ©YOU_COMPLETE_MESS ♦ 751 mots

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Bachelor PartyAntonio & IsabellaTu devais vraiment t’empêcher de rire, ou de t’indigner, tu sais pas trop. Ouais, parce qu’au lycée, tu ressemblais déjà à ça. Certes, pas complètement, t’avais quelques traits qui s’étaient améliorés, des formes en plus qu’avant, mais c’est pas pour autant que t’étais si différente que ça. Pourquoi il t’avait jamais sauté dessus alors ? Pourquoi il t’avait résisté tellement d’années ? C’était vraiment une question que tu te poses, là, du coup. Tu comprends pas trop. T’es pas sûre de vouloir savoir, là tout de suite. Ou peut-être que si, va savoir. Ouais, toi-même t’es pas sûre de ce que tu veux. Pourtant, d’habitude, tu sais ce que tu veux, mais devant lui, tu sais pas trop. T’es confuse. C’est peut-être le fait que tu l’aimes depuis tellement de temps qui te mets dans tout tes états, qui te rends moins confidente qu’en temps normal. Il a un effet tel sur toi... Tu saurais pas vraiment dire si ça te plaît ou pas. Peut-être un peu des deux. D’un côté, t’aime ça parce que ça change, mais d’un côté ça te perturbe trop. T’es toute perturbée à ses côtés. « Je crois pas avoir beaucoup changé.. Mais bon, après, si ça se trouve, je me trompe. » Faut dire aussi que tu passes pas ton temps à regarder des photos de toi quand t’étais p’tite. Ce serait un peu spécial, non ? Quoique, narcissique comme t’es, ce serait pas du tout étonnant. Ou peut-être que si, qui sait ? T’en es pas encore arrivé au point d’accrocher des photos de toi à tout âge un peu partout dans ton appartement. Un jour, peut-être, qui sait ? Tu devras sûrement aller te faire soigner à ce moment-là, mais c’est pas bien grave. C’est pas encore le moment, t’en es pas encore arrivée là. T’es pas sûre de le vouloir.

Tu restes collées à lui, les jambes enroulées autour de ses hanches alors que tu l’embrasses avec passion, tes mains sur ses omoplates. T’es bien contre lui, t’es bien aussi quand t’es proche de lui. Et là, t’es clairement bien plus que proche de lui, et tu trouves ça bon. Tu fermes les yeux en le sentant commencer à lentement bouger assez lentement en toi, soupirant d’aise contre ses lèvres. Tu sais pas trop s’il est pas à l’aise ou s’il veut juste être tendre avec toi, peut-être un peu des deux. Tu finissais bien rapidement par avoir ta réponse, il était un peu rouillé et c’était pas dérangeant en fait. En plus, tu penses pas que ce soit ça qui pourrait le rendre nul au pieux. T’es persuadée que, de toute manière, ce sera la meilleure chose de toute ta vie, qu’il soit rouillé ou non. Tu mordilles doucement sa lèvres inférieure quand il te parle, hochant la tête. « Comme tu voudras, cariño. » Tu lui soufflais ça à l’oreille avant de te reculer afin de le mettre contre le lit, te mettant au-dessus de lui. Au départ, tu te contentes de te frotter contre son membre pour le faire languir un peu, mais finalement, tu prends son membre en main, serrant légèrement autour de la base. Puis, tu t’assois sur son membre en poussant un léger gémissement quand tu le sens entrer en toi une nouvelle fois. Tu poses une de tes mains sur ses abdos, s’appuyant sur lui. Tu te disais que ça ne l’écraserait pas, faut dire qu’il est vachement musclé tout de même. Tu penses pas que ça l’écraserait. Tu te penches pour poser un baiser sur ses lèvres, faisant de légers mouvements circulaires de tes hanches et tu suçotes sa lèvre. Finalement, tu te remets assez droite, uen main dans ta chevelure parce que tu commences tout de même à crever de chaud. Tu commences ensuite à mouver de haut en bas, gémissant son prénom en te mordillant la lèvre inférieure, c’était tout de même bon.
©YOU_COMPLETE_MESS – 654 mots

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Bachelor Party #ANTONIELLA« Je crois pas avoir beaucoup changé.. Mais bon, après, si ça se trouve, je me trompe. » Je me contente d’un haussement d’épaule. 9A je ne peux vraiment pas le dire en fait. Elle devait certainement faire partie de ses femmes susceptible de me plaire et que donc, je me regardais pas pour éviter la moindre tentation, non parce que j’imagine bien qui si elle a pas tellement changé. Si j’étais tombé sur elle à l’époque ou mes hormones se réveillaient, ça l’aurait vraiment pas fait. Certainement que j’aurais vraiment pas pu me retenir. Mais peut être bien que ça aurait pu ne pas poser de problème. Des fois je me dis qu’en voulant jouer au fils parfait, j’ai certainement ruiner mon adolescence, j’ai même pas eu le temps de découvrir l’amour comme tout les autres l’ont fait à cet âge. « C’est dommage.. Je suis quand même sûr que t’étais une fille magnifique.. Ça doit être la raison pour laquelle je ne te voyais pas. » Parce que j’avoue que les filles qui ne m’attiraient pas, je les regardais. Parce que je ne ressentais rien du tout pour elles. Elles ne me plaisaient pas. Alors que ma belle Isabella.. Bon sang.. Elle est belle de la tête au pieds.. Tout m’attire chez cette femme. Sinon, j’en serais pas là. J’ai beau être ivre. Je ne coucherais quand même pas avec la première venue. Sauf si celle ci me plaît comme c’est la cas de la brune.

J’me sentais bien, le fait de ne faire plus qu’un avec elle, d’être lié de cette façon, franchement, c’était juste tellement agréable. J’étais bien collé contre elle. Puis, plus mes mouvement se faisaient, plus je sentais le plaisir qui montait, puis la chaleur aussi. Mais j’avais tellement pas l’impression que je pourrais faire ça bien.. j’veux dire, j’étais quand même très loin d’être le mec le plus expérimenter.. Alors j’avais l’impression de mal m’y prendre.. Et c’était juste pas possible quoi. Parce que j’voulais que ça lui plaise, qu’elle trouve ça bien. Alors ouais, j’ai fini par lui proposer de prendre le dessus.. « Comme tu voudras, cariño. » Je lui adresse un sourire avant de me laisser totalement faire quand elle me poussait pour m’allonger. Je me suis bien calé dans le lit et j’ai glissé mes mains sur ses hanches quand elle se mettait sur moi. Puis quand elle s’est mise à frotter mon sexe au mien, j’ai cru qu’elle voulait me tuer.. J’ai fermé les yeux et j’ai laissé de nombreux soupirs s’échapper de mes lèvres. J’étais tellement excité sur le coup, c’est dingue.. D’un coup j’ai senti que mon érection revenait à la place à laquelle elle allait avoir droit pour la soirée. j’ai ouvert les yeux pour regarder ma partenaire et j’ai mordu ma lèvre. Je la laisse totalement faire quand elle s’appuie sur moi, je me contente juste de de glisser mes mais dans son dos quand elle se penche pour m’embrasser et sucer ma lèvre inférieure. Puis quand elle se redressait je l’imitais pour m’asseoir, j’ai passé mes bras autour de sa taille et je suis venu embrasser son cou, étouffant les quelques petits gémissements qui m’échappaient. Sérieux, j’avais si chaud que je devais être en train de fondre. Mais ça valait largement le coup avec ce que je ressentais à ce moment. J’ai fini par prendre l’un de ses tétons entre mes lèvres pour le suçoter tout doucement. Le mordillant même un peu, mais vraiment tout doucement pour ne pas lui faire mal hein. « Tu fais ça tellement bien.. » Je glisse mes mains sur le haut de son dos pour finalement coller son buste contre le mien sauf pour autant l’empêcher de bouger. Je me redresse un peu pour venir frôler ses lèvres des miennes avant de finalement les happer pour l’embrasser avec fougue. Ses lèvres sont telle une drogue pour moi. Elle sont si douce, j’adore leur goût.. Sérieux, c’est ce genre de truc qui pourrait me faire revenir en rampant vers cette fille..©YOU_COMPLETE_MESS ♦ 650 mots

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Bachelor PartyAntonio & IsabellaTu peux pas t’empêcher de sourire en écoutant ses compliments. Tu pourrais passer ta vie à l’écouter te complimenter parce que de un, c’était bon pour ton ego et de deux, c’était le garçon de qui t’étais amoureuse depuis ta jeunesse. T’es presque sûre qu’à ta place, tout le monder réagirait un peu comme toi, en souriant comme une idiote. Quoique, t’es presque sûre que même avec ces sourire sur les lèvres t’as pas l’air d’une idiote. T’es trop mignonne pour ça, tu le sais très bien. Parfois tu te demandes quand est-ce que tu vas arrêter de penser à quelqu’un d’autre qu’à toi dans ton propre esprit. Peut-être que si tu te posais dans une relation avec quelqu’un, tu serais un peu mieux. T’arrêterais de penser à toi et p’têtre que tu commencerais à penser à lui. Ou elle. Bon, lui avec préférence. Et ce serait encore mieux si c’était Antonio. Le truc, c’est que tu te doutes bien que c’est pas près d’arriver. Tu te doutes bien qu’après ce soir, y’a peu de chance que vous vous revoyiez un jour, mais tu peux pas le blâmer. Tu va déjà bien profiter de cette nuit passé à ses côtés et avec un peu de chance, t’arrivera à le rendre accro pour qu’il veuille que tu reviennes. Genre, comme un drogué en manque de sa dose. Peut-être bien que t’aurais dû te laver avec de la cocaïne avant de venir à la fête. Quelque chose dans ce genre-là. Non, t’es tout de même pas assez taré pour rendre un mec camé juste pour l’avoir, même si c’est Antonio. T’es pas comme ça. Tu le seras sûrement jamais d’ailleurs. Tu finis par sortir de tes pensées quand tu l’entends parler « Tu va vraiment finir par me faire rougir. » Tu lui dit ça avec un sourire parce que, sérieusement, t’es presque sûre que s’il continuait de te complimenter, il te rendrait bien rapidement rouge de la tête au pieds. T’es pas sûre que c’est vraiment quelque chose de bien. Sauf s’il aime les tomates, tu sais pas. « Si t’es sage, je te montrerais peut-être une photo un de ces quatre. »

Finalement, entre vous deux, il y avait bientôt plus de conversation du tout, sauf si on pouvait compter les gémissements et les soupirs d’aise comme une discussion. Dìos, les soupirs qu’il poussait quand tu frottais ton sexe au sien étaient tout juste parfaits, t’avais envie de l’entendre encore et encore parce que ça voulait dire que tu faisais ça bien, qu’il aimait ce que tu faisais. Donc, tu continuais en te mordillant doucement la lèvre. T’aimais étrangement le faire attendre, le titiller. T’aurais presque envie de passer toute ta soirée à faire ça, mais une partie de toi te tuerais parce que t’as tout aussi envie que lui d’aller plus loin que ça. Tu prends donc pas tellement de temps que ça avant de t’asseoir sur le membre du jeune homme, poussant un gémissement quand il était entièrement en toi. Tu sentais bien qu’il avait une taille plus que plaisante et t’allais pas t’en plaindre, au contraire. Tu te baisses pour déposer tes lèvres sur les siennes, les embrassant avec envie. T’aimais ses lèvres. T’aimais tout de lui, t’avais l’impression que tu t’en lasserais jamais. Finalement, vous vous étiez tous les deux bien rapidement redressés et tu t’arrêtais pas de mouver les hanches de haut en bas, tes mains dans son dos, le griffant légèrement quand tu le sens suçoter le bout de chair sur ta poitrine alors que tu gémis son prénom. Il te faisait ressentir tellement de choses que t’avais l’impression que t’arriverais pas à le supporter. « Je pourrais te dire la même chose. » Tu lui dis ça et ça s’entendait que t’étais légèrement essoufflée, mais vraiment excitée. Puis, une fois que t’es collée à lui et qu’il t’embrasse avec fougue, tu peux rien faire si ce n’est répondre au baiser avec la même fougue.
©YOU_COMPLETE_MESS – 662 mots

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