Tu met du bordel chez moi, mais aussi en moi. ( -18 ans. Au cas où que...) ♠ Eloam.

J’aimais bien qu’il soit sur moi. Cela me permettait d’avoir une belle vue sur son torse et sur son visage. Puis, j’aimais bien aussi chacun de ses gestes. Généralement, je ne me laisse pas autant toucher de la sorte. Je vais droit au but, je ne cherche pas à excitait au maximum la personne, sauf quand j’étais avec Lysandre, mais là encore, s’était différent. En ce moment, ça va encore plus loin je trouve. On se cherche tous les deux, c’est comme chien et chat et j’adore ça. De plus, c’est une première que je me laisse autant dominé, encore plus par l’un de mes barmans. Les rôles sont comme un peu inversé, mais attention, faut pas non plus qu’il y prenne goût car moi aussi, je peux montrer ma domination, tôt ou tard.

Lorsque nos lèvres se touchaient, il y avait toujours de langoureux baisés, au point que nos langues dansaient entres elles avec beaucoup de passion et d’envie. J’avais l’impression que j’allais exploser suite à chacun de ses gestes. J’avais vite compris qu’il essayait d’aller au plus loin dans ces préliminaires. Il y arrivait plutôt bien, faut bien l’avouer. Je ne pouvais contenir mes soupires de bien êtres. Moi qui voulait rien faire de ma journée jusqu’à ce soir, j’entamais bien ma matinée. Un peu de sport de chambre, ça ne fait jamais de mal. Surtout avec un bel étalon comme Eloan. Lorsque je trouve un petit point faible de mon petit jeunot, je ne pouvais contenir ma joie avec un large sourire sur mes lèvres. Il aimait bien qu’on passe les mains dans sa chevelure. Je n’allais donc pas me priver, bien au contraire. « Tu mérites tout ce que tu veux, tu te laisses faire si sagement. » Je ricane alors à ses mots, il était tellement adorable quand il disait ça. Moi sage ? Il me prenait pour qui  C’est bien la première fois qu’on me dit que je suis « sage ». Je crois qu’il est dans un autre monde pour dire de telle parole. Je faisais frotter mon nez au sien, murmurant auprès de ses lèvres. «  Je peux paraître sage mais je suis loin de l’être mon beau. Très très loin même.. » J’avais adoré la manière qu’il avait eu de retirer ma serviette. J’avais pris plaisir à le regarder faire et cela m’avait excité encore plus. Maintenant, de toute façon je ne pouvais plus vraiment le cacher.

Je vois ça ouais. Plutôt pas mal ce que je sens là…Pour un vieux. » Je lâche à la fois un long gémissement de plaisir mais aussi de frustration à tes mots. Je lui donnais un coup de rein contre sa main en grognant. « Le vieux t’emmerde.. » soufflais-je en venant saisir à mon tour son membre dans son boxer – ce qui n’était pas très pratique - pour le caresser envieusement mais assez lentement pour le faire languir et montrer que je pouvais être très vilain quand je le voulais. S’il voulait jouer, j’allais jouer mais d’une manière assez sadique.

Je le regardais alors se redresser, attrapant ma lèvre inférieure entre mes dents, ne loupant aucune miette de ce qu’il faisait devant moi. Il était tellement souple, que ça me surprenait. Moi-même, je ne le suis pas autant. Mais ça promet être génial s’il l’est autant que ça. « Ah ouais…Tu veux voir un gamin à poil, ça t’excite ? » Je roulais des yeux en posant mes mains masculines contre sa taille, la caressant sensuellement. Sa peau était douce, j’adorais ça. Je pourrais le toucher continuellement sans m’en lasser j’en suis persuadé. «  Arrête de pensé que tu es un gamin, tu ne l’es pas et je ne suis pas un pédophile, sérieux, dis comme tu l’as dis, on dirait que j’en suis un ! » Disais-je en fronçant les sourcils, et je viens mordiller ton cou sans te faire mal, mais moi aussi, je laissais ma trace. Chacun son tour. Je l’attire ensuite bien contre moi quand il est nu, posant mes mains sur ses fesses que j’agrippe fermement. « Moi aussi j’aime jouer avec toi...patron. » Je souris en coin en échangeant nos positions, venant me placer au dessus de lui, alors que je reprenais ton membre entre mes doigts pour entamer de lent vas-et-viens toujours pour le faire patienté. « Là, pour le moment, je ne suis plus ton patron, je ne suis que Adam. » Disais-je en plongeant mon regard dans le sien.

« Ah ouais ? Pourtant t’es bien docile là…J’ai bien envie de voir ce que ça donne quand tu t’énerves. » Je souriais en coin à ses mots. Il est vrai que je suis étonnement docile, ce qui me surprend assez. Je ne le suis pas autant, mais ce matin, j’avais envie de l’être. C’est qui me surprend à me faire faire des choses qu’habituellement je ne fais pas. Sauf que j’étais quand même une personne assez dur et qui ne se laisser pas marcher sur les pieds. Pour le moment, il ne m’a pas vu me battre avec quelqu’un, que ça soit au bar ou à l’extérieur. Bon, après il savait que j’avais du caractère suite à mon débarquement ce matin. « Je risque de te faire peur.. Tu sais, je fais peur aux gens. D’après toi, comment mon bar fonctionne si bien ? Parce que si on me contrarie, je parle du personnel, je ne me gêne pas de le dire ou même de viré la personne en question. » Je fronçais ensuite les sourcils. J’étais entrain de parler normalement, alors que nous étions entrain de se chauffer mutuellement. J’ai des attitudes étranges, c’est clair. Je me surprend moi-même. Néanmoins, mon corps lui, n’avait pas oublier ce qu’on faisait. Il n’arrêtait pas de frémir,il était fiévreux et n’avait qu’une envie, ne faire qu’un avec celui d’Eloan. J’avais basculé le visage sur le côté pour laisser libre accès à mon cou et avoir d’autres baisé langoureux que j’adore. Oui, j’étais devenu en quelques minutes à peine, accro à ses bisous contre ma peau. Cela me provoquer en moi, de douce sensation tellement agréable que je ne pourrais m’en lasser.

Je lâchais quelques grognement de plaisir en le sentant prendre mon membre. La manière qu’il l’avait pris, de façon à montrer sa fore et sa domination m’excitait encore plus. « Le vieux m’emmerde mais en attendant, il adore ce que je suis en train de lui faire hein » Je ricane en roulant des yeux à ses mots. Des mots qui étaient plus que véridique. J’adorais chacun de ses faits et gestes mais je n’allais pas le lui avouer, de toute façon, il sentait bien que mon engin était remplis de désir contre sa main. Tout comme moi, je pouvais sentir le sien. Mes lèvres s’étaient donc entrouvertes à ses mouvements, ondulant un peu mon bassin pour les suivre. Je viens en faire de même, venant titiller le bout de son membre avec mon pouce d’une manière sensuelle. « Mais t’es un gros pervers tu le sais bien » Lorsqu’il serre mon membre de la sorte, je lâche un long gémissement de plaisir. La surprise était quelque chose que j’adorais, puis je viens bouger mon fessier contre ton membre imitant comme des vas-et-viens. « Le pervers, tu l’aimes bien ceux-ci dit, même quand il t’engueule. »

Néanmoins, j’aimais bien aussi prendre le dessus, et je voulais lui montrer ce pourquoi je me suis retourné et mit sur lui. Je ne pouvais que sourire largement en le voyant réagir de la sorte sa façon de faire avec ses lèvres me rendait fou. J’ondulais lentement mon bassin contre le sien pour lui montrer aussi mon envie grandissante de me joindre à lui entièrement. Puis lorsqu’il me plaque contre son torse je lâche un petit ricanement auprès de ses lèvres avant d’entamer un long et langoureux baisé. Je détachais ensuite nos lèvres pour venir embrasser chaudement le creux de son cou avant de venir suçoter sa peau avec fougue. « Prenez-bien soin de moi alors mr. Adam, je dois être en forme pour aller travailler demain. » Je laissais nos deux intimités se frottaient entre eux, passant l’une de mes mains dans ses cheveux, et l’autre prenant sa main pour la plaquer auprès de son visage. Je viens murmurer au creux de son oreille, chaudement. « Tu auras une pêche d’enfer demain, sois en sûr mon beau. » Je viens ensuite frotter mon membre contre son joli fessier, le pressant dessus envieusement. « Allez montre-moi un peu si tu sais jouer". Sans plus attendre, je viens lentement entrer en lui, venant mordiller son épaule dans un long soupire de bien-être. Puis, je lui donne un coup de rein pour être entièrement en lui, l’une de mes mains agrippant sa taille.

« Peur ? Tu déconnes ? Vire moi je m'en fous. J'aurai bien profité avant. » Je souriais avec amusement à ses mots. C’était clair que je n’allais pas le viré maintenant, ni même jamais d’ailleurs. Comme si j’allais le remettre à la rue. Faut pas trop y compter et ce même s’il ne sait pas la vraie raison de ma bonne action vis-à-vis de lui. Du coup, il ne faut pas compter sur le fait que je le virais. Puis, je n’ai pas vraiment de raison de le faire. Bien évidemment, je savais que ce n’était pas une bonne chose de coucher avec ses employés, même point de vue légale, je ne sais pas trop si c’est autorisé, fin, j’en sais rien. Après, je m’en fiche un peu, je suis libre de faire ce qui me semble. « J’ai n’ai aucune envie de te viré mon cher ! » Soufflais-je chaudement auprès de sa peau. Mes lèvres ne cessaient de parcourir sa douce beau comme les siennes, ce qui me faisait souvent soupirer de bien être.

Lorsqu’il vient remplaçait sa main par ses lèvres, je passais mes mains dans ses cheveux pour les agripper, les lèvres entrouvertes. Cela faisait un bien fou que j’en basculais la tête vers l’arrière. J’avais bougé mon bassin au rythme de ses mouvements, il me rendait fou. Le plaisir ne cessait de s’intensifié sous chacun de ses mouvements. « Quand il m'engueule ça me rends dingue. » Je ricane en pinçant mes lèvres entres elles. Le fait qu’on se « bat » pour montrer qui est le plus dominant que l’autre m’excitait encore plus. Cela m’amusait en plus de ça. « Je vois ça.. » Disais-je dans un souffle avant de nous retourner pour que je sois sur lui, cette fois-ci.

« Pourtant j'aimerai bien que tu m'épuises jusqu'à ce que je ne puisse plus marcher. » Je ne prenais pas ces paroles à la légère. Je tirais un peu ma lèvre lorsqu’il l’attrape entre ses dents, puis je souriais à sa manière d’être tendre envers moi à son tour. C’était assez étrange de fusionné cette tendresse et cette sauvagerie ensemble. A la base, j’oublie la tendresse avec les autres, mais pas avec lui. Et je dois bien l’avouer que c’est vraiment agréable cette fusion. Cela fait un peu peur d’ailleurs. « J’en prend nos mon cher.. » Je souris en coin avant de prolonger son baisé, le rendant fougueux et langoureux alors que je venais en même temps en lui. Ce contact m’a fait lâcher un long soupire de bien être. Il était tellement sexy que ça m’excitait encore plus. Je bougeais d’abord lentement en lui pour le faire languir alors que ma main vient titiller son gland d’une manière sensuel puis lorsqu’il vient murmurer mon prénom de la sorte, je lâchais un grognement de plaisir. J’accélérais les mouvements, laissant mon bassin claquer fermement contre ses jolies fesses alors que je mordillais son épaule dans un souffle chaud. Mes doigts de ma main libre viennent agripper ta peau, même la griffer un peu sous le plaisir, lâchant quelques injure. « Putain Elo… »

« J’ai trop envie que tu continues à m’embrasser, alors me laisse pas partir ok ? » Comment ne pas être déstabilisé quand on me dit de telle paroles. C’était assez nouveau pour moi qu’on me dise ça. Quand on couche avec moi, mes partenaires savent tout de suite que je ne souhaite pas avoir d’autres choses, pas d’amour, pas d’amitié, ou rarement, il y a eu que Lysandre qui a eu ce privilège, et je crois bien que c’est le seul qui y gardera mon amitié spécial. Enfin… Eloan… Lui, il l’aura aussi, même plus que de l’amitié, enfin, je crois. C’est étrange tous les émotions qui sont en moi quand je suis avec lui. Quand il me touche, quand il me dit ces mots là, j’ai l’impression que mon cœur va exploser. Il va me rendre fou, dans tous les sens du terme. Je ne comptais pas le laisser je ne voulais pas, je suis trop épris de lui. J’ai envie qu’il m’embrasse toujours, qu’il me touche et qu’il me regarde constamment. « Je ne vais pas te laisser partir… Jamais. » Murmurais-je finalement avant de l’embrasser de nouveau en saisissant son visage entre mes mains.

Me voilà enfin en lui. C’était une sensation tellement agréable en moi que je crois rêver. Je n’ai jamais connu mieux, puis le fait qu’il joue avec mes pulsions, qu’il me pousse au bout de mes limites, ça ne pouvait que me plaire encore plus. Je griffais, serrais, caressais sa peau, le plaisir m’envoyait dans un autre monde. Je ne pensais plus à rien sauf à notre moment à tous les deux, à cet instant si délicieux. Mes gémissements se joignent avec les siens, qu’importe si les voisins entendent, j’en ai rien à faire. Des brusques et sauvages coups de reins se faisaient de plus en plus, et je continuais de ma main libre à m’amuser avec son membre, mes doigts se serrant autour de ce dernier, variant la rapidité des mouvements pour lui donner un plaisir que personne n’a pu lui donner. J’ai envie que ça soit unique lui et moi. J’ai envie que notre histoire soit unique, propre à nous.

Pourquoi suis-je ainsi avec lui ? Qu’est-ce qu’il me fait ? C’était dingue l’influence qu’il avait sur moi. Peu de personne on le contrôle sur moi, je n’aime pas ça du tout, mais lui, il parvient à me contrôler à sa manière. J’étais censé l’engueuler en venant dans sa chambre, pas coucher avec lui, l’idée ne m’était même pas venu en tête même si je le trouvais très sexy quand il avait franchis le planché de mon bar, mais voilà, je suis habituellement patient pour avoir un rapport avec une personne de mon entourage. Tout était différent avec lui, ça me faisait à la fois peur mais aussi, ça me provoquer un sentiment agréable en moi. Il me rendait fou et je le montrait en bougeant rapidement en lui, ce qui me faisait lâcher son prénom dans des cris.

« Adam…C’trop bon avec toi. » Je souriais avec douceur à ses mots. Tant de sincérité dans ses paroles, je savais que j’étais un bon coup, fin, on ne s’était jamais plains, mais c’était toujours plaisant de l’entendre de la bouche de mes partenaires. Je fermais alors les yeux aux contactes de ses lèvres contre les miennes, avant de prolonger le baisé étonnement, avec une grande douceur. « J’adore aussi… » Disais-je en le regardant dans les yeux à mon tour. Mes mains viennent caresser le long de ta taille. « Si tu continues comme ça j’pourrais plus me passer de toi. » Tant de gentillesse, je ne sais pas si c’est parce que je l’emmenais au septième ciel comme on disait, ou si s’était parce qu’il tenait vraiment à moi, ça me perturber. Mais je me surprenais à sourire bêtement à ses mots, on dirait un enfant heureux, je ne me reconnais plus… « Alors ne te lasse pas de moi… » Finissais-je par avouer, mes lèvres viennent embrasser le long de son cou sensuellement. J’étais en pleine extase, je sentais l’orgasme arrivait à grand pas sous nos mouvements et nos gestes à la fois tendre et ferme.