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 till the day I die (sheiloro)

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MessageSujet: till the day I die (sheiloro)   till the day I die (sheiloro) EmptyDim 19 Mar - 5:08


Till the day I die
Sheila Brooks && Solora Ipkiss

Quel malchance que j'avais. Pourquoi est-ce qu'il fallait que mon portable se laisse écrasé par un camion ! Non mais quel égoïste. Je le détestais en ce moment. À chaque fois que je rentrais à la maison ou au bureau, j'étais submerger par les courriels. Je devais me dépêcher pour aller me chercher un nouveau portable. Il faut dire que ce n'était pas ce qu'il y avait de plus facile. Pour y arriver, il fallait que je me trouve un moment de libre. Je ne pouvais pas faire ça en pleine journée de boulot. J'ai dut attendre une journée ou je n'avais rien de prévu. Comme de fait, sans mon téléphone, je n'avais pas de réveil, pas d'appel pour me dire que j'avais du boulot supplémentaire ou qui me disait que j'avais quelque chose de prévu. Comment vivre une vrai journée de congé : brise ton portable, c'est le secret. Quand j'ai ouvert les yeux, j'ai replacé ce vieux t-shirt que je gardais depuis plus de quinze ans. C'est un secret, mais c'était celui que Kelvin m'avait laissé lorsque nous avions été prit par la pluie un soir de pleine lune à préparé des mauvais coups de gamins dans une cabane dans les bois. Ne vous méprenez pas, il ne s'est jamais rien passé de plus que de la planification. Je pourrais rajouter  malheureusement, mais pour être honnête, non. - Du moins pas à ce moment là. - J'ai traversé ma chambre avant de me laisser glissé sur mon escalier en colimaçon. En ronronnant, monsieur Norbert me suivait de près. Je sifflotais soudainement pleine de vie. J'ai regardé un moment ma tassimo me demandant si je me prenais un café ou non. J'ai pris l'option A, si ça vous intéresse. Je me suis retourné et l'heure indiqué sur le four me surpris. « QUOI! Dix heures! Monsieur Norbet, tu m'as laissé dormir autant ? » J'étais tellement habitué à ne plus dormir que je ne n'avais pas connaissance d'avoir dormir. Je compris pourquoi je me sentais aussi vitalisé. J'ai haussé les épaules et je me suis glissé au salon soudainement bien heureuse. La journée s'annonçait belle. J'ai allumé la radio et la musique remplie mon loft. J'ai perdu rapidement le contrôle de mon corps et mes hanches ont roulés au rythme de la musique. Je me suis préparé le plus gros et fabuleux déjeuner que je n'avais mangé. Je crois que je n'ai jamais autant manger que ce matin là. Je suis remonté sur la mésanine avent d'enfiler quelques vêtements. J'oubliais la coutume habituel, non, aujourd'hui c'était moi, pas le boulot. Une camisole noir, simple, un chemisier à carreaux, mon dada personnel et un jean troué surtout aux genoux. Je me suis regardé au miroir en repoussant mes cheveux vers l'avant. J'ai agrémenté le tout d'une chaine et de quelques bracelets avant de descendre. J'ai embrassé le dessus de la tête de mon chat, mit mes bottes avant de quitter après avoir éteins le radio. Je poussai ma veste contre mes épaules avant d'enfiler mes écouteurs et mon petit lecteur. Je n'avais peut-être plus mon téléphone, mais j'avais toujours ce petit ipod qui me suivait partout, vu ma malchance. J'ai traversé le centre-ville en me faufilant à travers les gens, sourire béat sur les lèvres. Aujourd'hui, je me sentais bien, trop bien et je n'arrivais pas à comprendre pourquoi. Je ne me rendais pas compte que mon sourire était contagieux. Je me suis retrouvé à Capitol Hill, près des commerces. Il fallait bien que je passe cette journée pour moi. J'en avais assez de penser aux autres, je voulais penser à moi. Grâce à ma soeur, j'avais développé un côté sucré à mon palet. J'avais prit l'habitude de me pointer dans une boutique pour prendre les mêmes pâtisseries à toutes les semaines. Naturellement c'était la pire journée de la semaine, mais pas cette fois. C'était la deuxième fois que je passais en boutique. Je crois que je lui ai transmit ma bonne humeur. j'ai continué mon chemin en mangeant une bouchée en chemin. Je me suis retrouvé dans une boutique de vêtement, moi qui en achetait que très rarement, j'avais les mêmes depuis des années. Bon, d'accord, pour le boulot c'est une autre histoire. Je circulais dans les allées sifflotant quelques chansons qui jouait sur mon téléphone. Depuis très jeune, avec la musique je partais dans ma bulle. Il m'arrivait de me promener dans la maison en dansant et je me souviens, mon père en était amusé et ma mère en était agacée. J'avais quelques mouvements bien à moi et je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment précis, comme si quelqu'un m'observait mon corps s'anima de lui-même de ces mouvements.
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Solora Ipkiss
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MessageSujet: Re: till the day I die (sheiloro)   till the day I die (sheiloro) EmptyLun 3 Avr - 6:09

Sheila & Solora
till the day I die
Les contes de fée existe-t-il ? En tout cas, les princes charmants sur leur fidèle destrier d’un blanc immaculé ne courent pas les rues. J’avais eu la chance d’avoir le mien, de tomber sur cet homme au doux sourire, grand, viril… Enfin, tout ce qu’on pourrait rêver d’un prince et ma chance s’était prolongée pour nous offrir une vie commune de plus de dix ans. Qui pouvait encore se vanter de cela ? La mode n’était certainement pas au mariage et encore moins à la monogamie. Je ne comptais plus le nombre de fois que j’avais entendu ces histoires de tromperie, d’adultère, de divorce et de goujat à l’école de Percy. Toutes ces femmes qui cherchaient un homme pour prendre soin d’elles. En quatre mois, j’avais pu comprendre leur désir, comprendre leur solitude, mais je possédais un ingrédient de plus à mon propre malheur : Le deuil. Une chose que je n’avais jamais envisagé, pour moi j’allais finir vieille fille près de mon mari et laisser nos vies se fanées tel les fleurs du même arbre. Je ne pouvais pas imaginer continuer ma vie sans lui et pourtant, on s’était joué de nous. On avait joué avec notre amour, notre douce idylle. Me levant dans cette maisonnée encore endormie, j’enfilais un peignoir que je nouais doucement autour de ma taille. Une tignasse de lionne en guise de coiffure au réveil, je me glissais hors de la chambre pour me diriger vers la cuisine tout en regardant mon portable. Aucun rendez-vous planifié à mon horaire, une journée que je pouvais dire pour moi, bien que j’eusse promis à mon fils d’aller le conduire chez un ami et j’étais à peu près certaine que Kelvin avait quelque chose de prévu. De toute manière, je n’avais rien à faire de ce qui pouvait occuper ses journées – tout du moins, c’est ce que je tentais de me convaincre. Foulant le carrelage froid de la cuisine, je fus parcouru d’un frisson, crispant mes orteils avant de presser le pas vers le réfrigérateur. Peut-être avais-je l’espoir de sentir un sol plus chaud en agissant ainsi ? Je sortais tout ce dont j’avais besoin pour préparer le petit déjeuner, quelque chose de sucré que je pouvais faire baigner dans un sirop d’érable épais et collant. Mon choix s’étant arrêté sur du pain perdu et je m’autorisais une petite douceur salé-sucré, du bacon que j’allais cuir dans du sirop d’érable. Avec moi, il ne fallait en aucun cas avoir peur du sucre, ma meilleure amie avait pour habitude de me dire que si on m’ouvrait les veines se ne serait pas du sang qui en sortirait, mais plutôt des litres de sirop sucré – ce qui m’assurait une survie si les vampires venaient à dominer la Terre, pardon je m’égare ! Le grésillement du beurre dans la poêle et la douce odeur du pain perdu devenant doré et celle du bacon frétillant lui de son côté étaient des sons agréables à mes oreilles, pas besoin de musique, pas besoin de mot, seul le dialogue de la nourriture pouvait me donner le sourire aux lèvres. J’avais presque fini trois assiettes que j’avais vu Kelvin s’occuper du café avant de prendre place au comptoir repas devant la plaque de cuisson, puis Percy s’assoyant près de lui avec le chien à ses pieds. « Bon matin. » dis-je d’une humeur palpable. Depuis plus d’un mois, j’avais ce sourire et cette joie de vivre qui m’avait longtemps fait défaut. Je ne pouvais pas divulguer la cause de cette joie, mais ça me convenait tout aussi bien, les secrets ont quelque chose de désirable. Je mangeais en compagnie des deux hommes de la maison dans une discussion animée, ce qui changeait des autres matins, des autres moments plus moroses. Déposant finalement les couverts dans le lave-vaisselle, j’allais prendre une douche rapide et me vêtis d’un onepiece blanc en viscose, souple, ample, quelque chose de confortable et fluide pour cette journée shopping. Oui, c’était ce qui était prévu à mon horaire. Une chose que je n’avais pas fait depuis longtemps, presque une éternité, j’avais besoin de renouveler un peu ma garde-robe, mais aussi c’était une occasion pour trouver une tenue adéquate pour mon rendez-vous avec Trent qui aurait lieu le lendemain. Déposant Percy chez son ami, je saluais la mère de celui-ci, avant de prendre la direction des rues commerçantes. J’avais pu repérer quelques boutiques intéressantes une fois en ayant passé devant elles. J’en avais fait deux ou trois sans rien trouver à mon goût, avant de m’arrêter dans la prochaine sur mon trajet. Je parcourrais les rayons, cherchant la perle rare, lorsque je finis par relever la tête en sortant une robe de ville, j’allais l’examiner d’un œil critique lorsque je posais plutôt mon regard sur une silhouette féminine dans le rayon voisin. Celle-ci me disait quelque chose, elle me parlait. Je ne pouvais pas dire, mais elle m’était terriblement familière. Et je compris, en voyant la jeune femme se déhanchée ça me semblait impossible, invraisemblable ! Sheila. Que faisait-elle là ? Pinçant, mes lèvres, je me retournais pour lui faire dos. Avait-elle fait comme Trent ? Était-elle parvenue à retrouver ma trace ? Personne ne devait savoir que je me trouvais dans la capitale et j’avais déjà croisé Trent et Tommy… Quel planque formidable… ! Mais le souci n’était pas là, j’hésitais à lui parler, à la saluer tout bonnement. Devais-je griller ma couverture pour ma sœur ? Devais-je ouvrir la porte à mon secret au risque de tout briser ? Pinçant mes lèvres, je reposais la robe sur le rack parmi ses jumelles, avant de contourner le rayon pour me placer près d’elle. J’hésitais encore, mais on ne peut pas se séparer de sa famille, pas éternellement. Posant ma main sur son bras, j’attendais qu’elle se tourne pour lui adresser un sourire.
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