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| {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] | |
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| Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Ven 17 Nov - 12:15 | |
| En entendant les mots de son petit ami, Joyce est incapable de répondre dans la seconde qui suit. Elle essaye de faire le tri dans ce qu'elle vient d'entendre tout en essayant de comprendre et de réaliser la situation qu'elle a sous ses yeux. Un mélange d'excitation et de peur s'était emparé d'elle, ce qui ne faisait que retarder le combat qu'elle menait contre ses pensées.
Est-ce que c'était trop tôt pour ça ? Peut-être oui, mais elle n'avait jamais connu l'amour comme elle le connaissait avec Tommy, c'est lui qui lui avait appris tout un tas de choses, c'est grâce à lui qu'elle avait réussi à remonter la pente avec le décès de son fils et la manipulation de son ex-amant. Autant de choses qu'elle ne pouvait clairement pas négliger dans sa prise de décision. Et pourtant, quelque chose la retenait encore de dire oui tout simplement. Et s'il faisait sa demande uniquement parce que Joyce était enceinte ? Dans une autre situation est-ce ça se serait également passé comme ça ? En proie à un combat contre elle-même et le peu d'estime qu'elle a, elle ne cesse de cogiter.
Au final, Joyce cesse de se torturer l'esprit et répond simplement ce que son coeur souhaite, c'est-à-dire un grand oui. Avec son côté naïf, la jolie suédoise a toujours cru au grand amour, le mariage, le prince et tout ce qu'on peut lire dans les livres pour enfant. Et aujourd'hui, c'était enfin à son tour de pouvoir connaître ce bonheur qui l'irradie depuis un peu plus d'une demi année. Elle avait parcouru tellement de chemin depuis leur rencontre qu'elle ne pouvait pas laisser partir cet homme, d'autant plus qu'elle attendait son enfant, et elle savait mieux que quiconque qu'un enfant a besoin de ses deux parents pour avoir un équilibre en grandissant.
Toujours un genou à terre, le beau brun lui enfila la bague au doigt, et durant quelques instants, ses yeux restaient rivés sur ce diamant. Elle se demandait combien il avait pu débourser pour un tel bijou. Et au fond, le savoir la mettrait probablement mal à l'aise, donc c'était mieux ainsi. Lorsqu'il déposa un baiser avant de se relever et de la prendre dans ses bras, elle ne put s'empêcher de répondre au baiser qu'il lui donna avec tout l'amour et la passion qu'elle avait pour lui et qui se renforçait chaque jour qu'elle passait à ses côtés.
Finalement, certaines personnes qui avaient assisté au spectacle s'étaient mise à applaudir avant de retourner à leur occupation principale, tandis que les deux amoureux n'avaient d'yeux que l'un pour l'autre. En entendant le chuchotement de son fiancé, parce que oui, maintenant c'était ce qu'il était, elle ne put s'empêcher d'afficher un large sourire malgré les larmes de joie qui continuait d'innonder son visage pâle. Beaucoup d'émotions en une journée, et ce n'était pas terminé.
" - Ça sonne bien je trouve." dit-elle avec un sourire comme elle n'avait jamais eu auparavant.
Joyce était désormais la plus heureuse des femmes, même si quelque chose la chiffonnait encore, mais elle n'osait gâcher ce moment avec ses interrogations, elle aura bien le temps pour tout ça plus tard, pour le moment, elle veut pouvoir profiter de son fiancé et de leur moment ensemble. |
| | | A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept MY BOOK COVER▹ posts : 1187 ▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gifs) ▹ avatar : Chris Hemsworth ▹ pseudo : Mayiie ▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin) ▹ Teddy (R. Reynolds) ▹ Micah (N. Jonas) ▹ Noah (D. O'Brien) ▹ Carson (K. McGrath) ▹ Jordan (S. Amell)▹ age : Thirty-six y.o. ▹ 30.10.82 ▹ activité rp : Athena ▹ Kacey
| Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Sam 18 Nov - 3:53 | |
| Joyce & Tommy La vérité est parfois dure à entendre Entendre Joyce me dire oui fut un véritable bonheur, mais m’entendre prononcer son nom combiné avec le mien, celui qu’elle porterait - je l’espérais - quand nous serions mariés - puis l’entendre me dire que cela sonnait bien rendit le moment encore meilleur, encore plus inoubliable et ce, même si cela faisait un moment que nous plaisantions, parlions de cela, comme si l’avenir nous appartenait, et désormais, officiellement, il nous appartenait. Mais plus encore, me concernant, ça faisait encore plus longtemps que lors des premiers temps où Joyce me présentait comme son mari, a utilisé mon nom pour réserver une chambre d’hôtel, que j’attendais cet instant, où je pourrais l’appeler ma fiancée, ma future épouse. En effet, cette bague, je ne l’avais pas achetée récemment, depuis que je savais que Joyce était enceinte ou un truc du genre. Cette bague, je l’avais achetée alors que nous avions tout juste commencé à nous comporter comme un couple, alors qu’elle ne vivait même pas officiellement chez moi. C’était ce qui s’apparentait à un coup de tête, mais il n’en demeurait pas moins que jamais je ne l’avais regretté, jamais je n’avais songer à jamais la lui offrir. J’attendais surtout le moment parfait, ce moment où je sentais que nous serions sur la même longueur d’ondes, là où elle ne saurait pas me dire non. Bien des fois, j’en avais eu l’occasion par le passé, mais en ces lieux, en ces circonstances si spéciales, je me disais que ce moment n’aurait su être plus parfait, et le fait qu’elle ait dit oui jouait un grand rôle là-dedans, c’était certain. Aux anges, fier de mon coup, ravi comme pas deux, ce fut au bout du compte avec un petit rire que je répondis au commentaire de ma jolie blonde, ajoutant un discret: « Moi aussi… » avant de céder à la tentation de l’embrasser une nouvelle fois, sentant que je fus même obligé de garder une certaine retenue dans le baiser que je lui offris, puisque mine de rien, nous étions dans un lieu public, un lieu où les gens nous regardaient, comme si nous venions de leur offrir un petit spectacle. Enfin, c’était tout comme, et ce spectacle était quelque peu terminé, mais il n’en demeurait pas moins que jamais je ne saurais me permettre de mettre Joyce dans l’embarras, de quelconque façon. Gardant une contenance, sans toutefois la laisser se détacher de mon emprise pour le moment, je décidai, une fois que le baiser prit fin, de murmurer à son oreille: « Après avoir fait le tour, tu as envie qu’on retourne à l’hôtel pour fêter ça ? » Ce fut que suite à ces mots que je me décalai légèrement, la considérant avec un regard espiègle et en me mordillant la lèvre inférieure, attendant de voir comment elle allait réagir. |
| | | | Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Sam 18 Nov - 14:00 | |
| Il est évident que pour la jolie blonde, tout cela n'était qu'un rêve dont elle ne voulait pas se réveiller, mais ça n'avait rien de réel, c'était trop beau pour ça. C'est comme si avec le temps, elle s'était persuadée qu'elle ne méritait absolument pas ce qui lui arrivait à l'heure actuelle. En dehors de ce rêve trop beau, c'est certain que Joyce était la plus heureuse des femmes. Qui ne le saurait pas alors que l'homme qu'elle aime le plus au monde et surtout sa seule famille, venait de lui proposer de passer à l'étape supérieure en devenant sa femme ? Enfin avant le mariage, elle ne sera que sa fiancée mais c'était déjà énorme pour elle.
Finalement après avoir offert ce petit intermède aux touristes présents sur place, les jeunes mariés - enfin pas encore officiellement - ne prêtaient plus vraoment attention aux regards sur eux, même Joyce qui en temps normal avait beaucoup de mal à affronter les regards extérieurs, actuellement elle ne les voyait pas, il n'y avait que Tommy qui avait grâce à ses yeux, c'était le seul qui comptait et qui avait toujours compté pour elle.
Machinalement, quand le jeune homme prononça le nom de la blonde accolé au sien, elle ne put s'empêcher de sourire, ça sonnait drôlement bien ensemble, comme si tout avait été fait pour qu'ils se rencontrent et terminent leur vie ensemble. C'était peut-être prétentieux de penser une telle chose, mais c'est bien ce qu'espérait Joyce, terminer sa vie auprès de lui, avec leur enfant, mais elle ne détenait pas les clés de l'avenir et n'avait aucun pouvoir sur les événements qui pouvaient survenir.
Après avoir échangé quelques baisers qui en disaient long sur leurs envies réciproques, le jeune homme proposa de finir ce qu'ils avaient entamé avant de retourner à l'hôtel pour fêter ça. En soit, la phrase était tout ce qu'il y avait de plus simple, mais elle savait mieux que quiconque que derrière ces mots innocents se cachait bien plus.
" - Avec plaisir.." fit-elle en chuchotant la réponse à son oreille.
Une simple caresse sur le torse de son fiancé afin de lui donner un avant goût de la suite, elle se blottit dans ses bras pour continuer la visite. Elle en avait presque oublié la hauteur à laquelle elle se trouvait, mais elle faisait tout de même attention à ne pas s'approcher trop près des grilles, comme beaucoup faisaient pour prendre des photos du paysage. |
| | | A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept MY BOOK COVER▹ posts : 1187 ▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gifs) ▹ avatar : Chris Hemsworth ▹ pseudo : Mayiie ▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin) ▹ Teddy (R. Reynolds) ▹ Micah (N. Jonas) ▹ Noah (D. O'Brien) ▹ Carson (K. McGrath) ▹ Jordan (S. Amell)▹ age : Thirty-six y.o. ▹ 30.10.82 ▹ activité rp : Athena ▹ Kacey
| Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Sam 18 Nov - 20:45 | |
| Joyce & Tommy La vérité est parfois dure à entendre Je m’attendais à ce que nous prenions un petit temps pour nous à New York, ce moment d’intimité que nous nous étions en quelques sortes promis la veille, à la maison, puisque cela nous manquait à tous les deux, mais je ne m’attendais pas à le lui proposer ici et maintenant. Enfin, il fallait dire qu’à la base, je n’avais pas prévu faire ma demande ici et maintenant. J’avais un doute que j’allais lui poser la fameuse question dans la journée, ou même pendant ces quelques jours, d’où le fait que j’avais apporté la bague, puis que je l’avais discrètement fourrée dans ma poche avant de quitter l’hôtel plus tôt. Mais en fait, j’étais d’avis que je n’aurais pas pu choisir un meilleur moment, en ces lieux, avec cette vue tout simplement splendide, avec une fiancée qui semblait tout simplement épanouie comme rarement je l’avais vue l’être depuis le début de sa grossesse. Après, j’étais d’avis que c’était mieux que je l’aie faite de cette façon, avec des propos venant du fond du coeur, plutôt que de m’être préparé pour me rendre compte que cela ne me plaisait pas puisque ça sonnait faux. Et dans ce même ordre d’idées de me montrer spontané, je me fiai à mon instinct, à cette envie brûlante de rester seule avec ma jolie blonde, pour lui proposer la suite des choses, et inutile de dire que je fus plus que ravi qu’elle me réponde par la positive. Mieux encore, elle vint à me donner une subtile caresse qui aurait pu passer pour involontaire limite, mais qui me fit grandement frémir, à un tel point qu’au bout du compte, la suite de notre visite de l’Empire State Building se résuma à l’essentiel, fut très rapide. Ensuite, nous redescendîmes au rez-de-chaussée, sur la terre ferme, pour retourner en moins de deux à l’hôtel où nous avions déjà notre chambre. De ce fait, il nous fut particulièrement simple de nous rendre directement à l’ascenseur nous menant à la suite. Et le comble, ce fut que celui-ci nous appartenait, totalement désert. Le souci, c’était que le trajet, somme toutes, était particulièrement court, puisque ces ascenseurs, à la fine pointe de la technologie, se voulaient particulièrement efficaces, peut-être même un peu trop. Non pas que je n’aimais pas la suite, mais entre la visite de l’immeuble et la marche nous menant à l’hôtel, disons que j’avais eu le temps de commencer à m’émoustiller et je devais avouer que j’étais de plus en plus impatient. Puis, à un moment donné, quand ce fut trop, alors que nous étions presque sur le point d’arriver à destination, je lâchai, sans crier gare: « Oh, et puis merde. » Sur ces mots, j’appuyai sur le bouton destiné à faire arrêter l’ascenseur, comme s’il y avait un problème ou un truc du genre, alors qu’en fait, il n’y avait pas tant de problème, ou du moins, pas dans le sens que l’hôtel le qualifiait. Une fois que ce fut chose faite, je me retournai vers ma fiancée, et je lui dis: « L’équipe d’entretien est assez efficace, on a peut-être cinq, dix minutes avant qu’ils s’en rendent compte… » Mais ces quelques minutes, disons que j’avais l’intention de les utiliser à bon escient, comme je le lui prouvai en m’emparant de ses lèvres de façon intense, limite un peu sauvage, laissant mes mains s’aventurer sur son corps, déterminé à profiter de ce temps de l’attiser un peu, en subtilité, afin que le moment dans notre suite soit encore que meilleur.
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| | | | Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Sam 18 Nov - 21:16 | |
| La veille avant que le jeune couple ne quitte leur demeure à Washington, ils s'étaient promis silencieusement de se retrouver comme il le fallait lors de ces quelques jours lors de chez eux. Joyce se l'était promis parce qu'au fond, ça lui manquait de ne plus pouvoir profiter du corps de son petit ami et de ces moments qu'ils avaient l'habitude de passer ensemble auparavant. Cependant, elle n'imaginera certainement pas que le tout se déroule de cette manière, mais elle en était plus qu'heurese, et la proposition de Tommy venait simplement confirmer le tout, quand il lui proposa de rentrer pour "fêter tout ça". Elle était plus que partante pour cette proposition presque indescendente mais qui paraissait innocente aux oreilles des personnes présentes au sommet du building.
Finalement, ils finirent le tour de l'observatoire avant de redescendre sur la terre ferme, ce qui bien évidemment mettait Joyce beaucoup plus en confiance qu'à plusieurs centaines de mètres au-dessus du vide. Le chemin pour regagner l'hôtel était plutôt rapide, d'autant plus que les jeunes fiancés étaient impatients de se retrouver, enfin en tout cas Joyce l'était. Elle avait même du mal à garder sa contenance mais elle devait le faire tant bien que mal, elle se voyait mal lui sauter dessus en pleine rue.
Une fois à l'hôtel, inutile d'attendre plus longtemps puisqu'ils avaient déjà la clé ainsi que leur chambre, c'est la raison pour laquelle ils se dirigèrent directement vers les ascenseurs, ascenseurs qui leur étaient d'ailleurs réservé étant donné qu'ils étaient uniquement pour leur suite. En grimpant dedans, la blonde ne se doutait absolument pas des pensées de son fiancé, ce n'est qu'une fois qu'il appuya sur le bouton pour le faire arrêter qu'elle comprit ses intentions. Comme quoi, les ascenseurs lui avaient toujours fait ce genre d'effet, aujourd'hui, elle était excité et c'était pour une toute autre raison. Était-ce raisonnable de faire croire à un dysfonctionnement ? Qu'importe, selon son compagnon l'équipe de maintenance n'allait pas mettre longtemps avant d'intervenir autant utiliser ces quelques minutes pour eux.
" - J'ai toujours éprouvé une sensation étrange quand je monte dans un ascenseur, je crois maintenant savoir pourquoi.." fit-elle tout en répondant au baiser de son fiancé avec la même ardeur que lui.
Ils n'avaient que quelques minutes avant qu'on ne vienne les interrompre et le brun ne comptait pas perdre une seule de celles-ci au vu des mains qu'elle sentit sur son corps, elle le laissa faire en étouffant au possible ses gémissements.
" - C'est pas très raisonnable tout ça Monsieur Grayson.. Mais qu'est-ce que c'est excitant.." fit-elle interrompue par ses soupirs de plaisir. |
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| Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Dim 19 Nov - 15:59 | |
| Joyce & Tommy La vérité est parfois dure à entendre Joyce était déjà au courant; je n’étais pas d’un naturel sage, surtout quand il était question de passer un moment intime avec elle. Cependant, sachant très bien qu’elle était beaucoup plus timide que moi et refusant de quelconque façon de la mettre dans l’embarras, je m’étais toujours gardé une gêne quand il était question de faire preuve d’affection en public, même quand nous étions seuls dans le dit endroit. Après, il était vrai que j’avais cédé, quelques fois, entre autres lors de cette fameuse soirée - la première de plusieurs, puisque je ne saurais me passer d’elle à mon bras désormais - où nous avions craqué dans les toilettes de l’endroit. Apparemment, je cédais aussi en ce moment, dans cet ascenseur. Oui, nous étions seuls, mais il n’en demeurait pas moins que ça restait un lieu beaucoup moins intime que notre suite. Mais visiblement, cela ne déplaisait pas à ma fiancée, qui ne tarda pas à me passer une petite remarque bourrée de sous-entendus qui eut pour effet de m’amuser, d’où le sourire espiègle que je lui servis. Je décidai en revanche de ne pas lui répondre, me contentant de lui faire savoir que j’étais plus que ravi qu’elle ne soit pas paniquée par mon initiative en l’embrassant de façon limite féroce, ce à quoi elle me répondit sans problème apparent, ne faisant qu’allumer davantage mes ardeurs. Puis, une fois que le baiser prit fin, elle en vint à passer un commentaire qui me confirma que je n’avais pas tant mal fait d’arrêter cet ascenseur. Cette fois-ci, je me permis de lui répondre toutefois, affirmant d’un ton un peu salace: « Vous devriez savoir maintenant que je ne suis pas très raisonnable, surtout quand il est question de vous… » Je marquai une pause, puis j’approchai mon visage de son oreille pour compléter ma phrase avec un petit: « Madame Grayson… » qui eut pour effet de m’émoustiller moi-même, à un tel point que je ne sus résister à la tentation de pencher légèrement ma tête pour poser mes lèvres dans son cou, d’abord par un premier baiser on ne peut plus simple, puis ensuite de façon plus insistante, me rendant compte au fur et à mesure à quel point tout cela m’avait terriblement manqué; poser mes lèvres sur sa peau chaude, l’entendre soupirer contre moi, glisser mes mains sur son corps, elle, toute entière, en fait. Et ça, je comptais bien le lui prouver une fois que nous serions à la suite, même si, encore et toujours, j’avais l’intention de profiter de cet intermède pour que le simple fait de retirer notre veste respective soit limite une corvée une fois que nous y serions. Pour ce faire, Je glissai doucement une de mes mains sur son bas-ventre, jouant avec le bouton de son jean discrètement pour le détacher, afin de donner un peu plus d’espace avec moi pour aller la taquiner doucement, dans la plus grande des discrétions, mais non sans lésiner sur mes intentions, le plaisir que je comptais lui procurer.
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| | | | Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Dim 19 Nov - 23:31 | |
| Joyce avait toujours eu du mal avec le regard des gens, les savoir la juger ou autre ça lui faisait toujours du mal et elle prenait généralement ces critiques au pied de la lettre. Elle avait toujours été très sensible sur ce point là, et il suffisait de pas grand chose pour la détruire, alors qu'elle était en train de se reconstruire petit à petit et connaissait le bonheur.
Alors effectivement, Tommy savait qu'elle n'était pas spécialement fan des grandes démonstrations amoureuses en public, le regard des autres la gênait et encore plus sur le plan affectif. C'est la raison pour laquelle le jeune homme faisait toujours attention afin que Joyce ne se sente pas mal à l'aise à un moment quelconque à cause de ça.
Revenant aux quelques minutes qu'ils avaient pour eux avant d'être interrompu par l'équipe de maintenance, les deux fiancés en profitaient pour faire grimper la pression avant que de ne passer aux choses sérieuses, et dieu sait que la blonde attendait ce moment avec impatience tout comme son petit ami. Elle le laissa donc prendre les choses en main tout en lui adressant des soupirs d'encouragement pour qu'il continue sa douce torture sur son corps.
Alors qu'elle le laissait prendre possession de son corps, elle sentit des frissons l'envahir et la chaleur iradier petit à petit chaque parcelle de son corps. Les battements de son coeur se faisaient de plus en plus rapide et ce fut encore pire quand ce dernier s'aventura au niveau de son bas ventre, jusqu'à jouer avec le bouton de son jean et lui défaire pour poursuivre sa délicieuse torture.
" - Tu sais à quel point tu m'as manqué ?" chuchota-t-elle sa voix entrecoupée de soupirs de plaisir.
Sa question n'était pas tant pour lui faire comprendre qu'il lui manquait quand ils n'étaient pas ensemble, mais plutôt pour lui faire comprendre à quel point ce genre de moment lui avait manqué, c'était presque comme un drogué qui prenait sa dose, ça lui avait tellement manqué que le moindre contact entre eux lui semblait encore plus intense que les fois précédentes.
Lorsqu'il s'attaqua à sa peau sous le jean, la blonde ne mit pas longtemps avant de lâcher prise et de d'abandonner en laissant glisser sa main dans les cheveux de son amant. Elle aimait quand il prenait les devants de la sorte, mais ce n'est pas pour autant qu'elle n'aimait pas prendre son temps. Enfin, elle aimait prendre son temps, mais perdait très rapidement patience quand Tommy jouait avec ses nerfs. Ce qu'elle appréciait le plus, c'était ce petit jeu de rôle entre eux qui mettait du piment avant qu'ils ne sombrent totalement et s'abandonnent dans les bras l'un de l'autre pour combler leurs désirs. |
| | | A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept MY BOOK COVER▹ posts : 1187 ▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gifs) ▹ avatar : Chris Hemsworth ▹ pseudo : Mayiie ▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin) ▹ Teddy (R. Reynolds) ▹ Micah (N. Jonas) ▹ Noah (D. O'Brien) ▹ Carson (K. McGrath) ▹ Jordan (S. Amell)▹ age : Thirty-six y.o. ▹ 30.10.82 ▹ activité rp : Athena ▹ Kacey
| Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Lun 20 Nov - 3:07 | |
| Joyce & Tommy La vérité est parfois dure à entendre En temps normal, lorsque je me trouvais dans une position intime avec ma fiancée, qu’importe le moment, le lieu, les circonstances, le plaisir venait progressivement, parfois rapidement, parfois plus lentement. Mais cette fois-ci, il était grimpé en flèche. Tout d’abord en raison du fait que je m’étais permis de poser mains et lèvres sur elle pour la première fois depuis ce que je jugeais être trop longtemps, mais aussi, et surtout, par les propos qu’elle en vint à me tenir, les combinant avec des soupirs de plaisir qui me rendaient complètement faible, complètement fou. Est-ce que j’allais m’en plaindre ? Certainement pas. Me concernant, jamais je ne pourrais me plaindre d’être émoustillé par celle que je considérais comme la femme de ma vie, mais lorsque cette dernière était si réceptive, alors j’étais aux anges et en ce moment, même si limite, nous n’avions rien fait, je l’étais déjà. Et comme pour lui faire savoir, moi aussi, je me permis de soupirer doucement dans son cou entre deux baisers. Mais comme si ce n’était pas suffisant pour lui répondre, je pris la parole, lui disant: « Et toi donc… » Venant de moi, c’était une réponse pas mal sérieuse, mais pour tout dire, je n’étais pas d’humeur à plaisanter, beaucoup trop concentré sur elle, sur ce que je faisais pour le faire. Par contre, ce ne fut pas pour autant que je laissai carrément sa question de côté; sitôt que je repris un peu de contenance, même si cela impliquait que j’arrête momentanément de glisser ma main dans son jean, je lui demandai, au creux de l’oreille: « Mais juste pour être sûr… Dis-moi à quel point, dis-moi ce qui t’a manqué le plus… Est-ce que c’est lorsque je te fais des bisous comme ça ? » Sur ces mots, je l’embrassai de nouveau dans le cou, de façon plus intense, à croire que j’allais laisser une marque sur sa peau à la fin. Après un second baiser du même genre, j’ajoutai: « Ou quand je te fais ça ? » Ce fut sur ce que je repris mes caresses au niveau de son intimité, gardant toutefois ma main par-dessus le tissu de sa culotte pour le moment, histoire de l’embêter un peu plus, la faire parler, faire en sorte qu’elle me dise ce dont elle avait envie. Non seulement, je voulais être certain de la combler comme il se le devait, mais au vu de comment j’avais réagi à sa question, je me doutais bien que cela ne pourrait pas calmer mes ardeurs, et j’espérais que cela allait attiser les siennes aussi par la même occasion, malgré le fait que j’étais en train de la faire sortir de sa zone de confort, d’une certaine façon. |
| | | | Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Lun 20 Nov - 3:38 | |
| Depuis de longues semaines voire même mois, la jeune femme n'avait plus l'occasion de profiter de son compagnon autant qu'elle l'aurait voulu. Est-ce pour autant que durant cette période elle ne l'avait pas désiré ? Non c'était totalement faux, bien sûr qu'elle l'avait désiré, mais hormis quelques exceptions Joyce n'était pas du genre à lancer la perche, elle avait toujours peur que ce ne soit pas réciproque, alors par peur que l'envie ne soit pas la même du côté de son petit ami, elle s'était abstenue et elle n'avait eu aucun signe de son côté comme quoi une envie quelconque était présente. Alors elle avait laissé le temps passer jusqu'à ce qu'ils s'éloignent lentement, qu'ils se perdent de vue jusqu'à la veille où les non-dit avaient éclatés laissant entrevoir la véritable raison de leur éloignement.
Joyce s'était promis de remédier à tout cela une fois à New-York, mais elle était loin de se douter que ce serait dans de telles conditions, bien que ça rendait le moment encore plus intense et plus mémorable. Un de plus qu'elle pourrait ajouter à la collection qu'elle a depuis un peu plus d'une demi année avec cet homme qui est désormais son fiancé mais également l'homme qu'elle désire pour le restant de ses jours.
Après lui avoir fait part de son ressenti et de ces retrouvailles, elle le laissa poursuivre tout en osant cette fois-ci entreprendre aussi quelqies caresses de son côté. Tout d'abord sur le torse de son homme qu'elle aimait tant avant de lentement descendre jusqu'à se heurter à la ceinture de son pantalon. Pour le moment elle n'alla pas plus loin, était-elle en train de redevenir cette Joyce timide qu'il avait connu dans ces débuts ? C'était bien possible, il fallait simplement un déclic pour qu'elle se lâche entièrement, et peut-être qu'il suffisait de rejoindre leur suite pour cela, ils en auront la réponse d'ici quelques minutes.
" - Si tu savais à quel point j'aime les deux, choisir serait probablement le pire dilemme auquel j'ai dû faire face dans ma vie. Mais ce que je préfère, c'est quand tu mets tes mains juste ici.." fit-elle en plaçant sa main libre sur sa poitrine. " - Et que tes lèvres et tes doigts parcourent la superficie de mon corps.. Mais ce que j'aime par-dessus tout c'est quand on ne forme qu'un.."
Tout ses mots n'avaient été que murmures entrecoupés par les soupirs de plaisir que lui procurait le jeune homme. Décidant de lui rendre la pareille, elle avait enfin osé passer sa main sur la bosse déjà bien formée dans le pantalon de son petit ami, avant de s'approcher de lui pour s'y coller afin de sentir son sexe contre sa peau encore dotée de son jean dans l'immédiat.
" - Tu sais que les gâteries c'est que pour les enfants sages, si tu ne l'ai pas, alors tu n'auras rien.." fit-elle en accentuant la pression sur le sexe de son fiancé.
Elle aimait le comparer à un enfant, parce qu'elle savait que dans certaines situations c'est ce qu'il était, comme au zoo un peu plus tôt dans la journée lorsqu'il avait acheté ce sachet de nourriture pour les animaux. Mais, c'est sans doute ce qu'elle aimait le plus chez lui, c'est la raison pour laquelle ils se complétaient parfaitement.
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Une phrase lourde en sous-entendus, à lui de l'interpréter comme il le désirait. |
| | | A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept MY BOOK COVER▹ posts : 1187 ▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gifs) ▹ avatar : Chris Hemsworth ▹ pseudo : Mayiie ▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin) ▹ Teddy (R. Reynolds) ▹ Micah (N. Jonas) ▹ Noah (D. O'Brien) ▹ Carson (K. McGrath) ▹ Jordan (S. Amell)▹ age : Thirty-six y.o. ▹ 30.10.82 ▹ activité rp : Athena ▹ Kacey
| Sujet: Re: {HOT} La vérité est parfois dure à entendre [Feat. Tommy S. Grayson] Mar 21 Nov - 3:15 | |
| Joyce & Tommy La vérité est parfois dure à entendre Même si dans un premier temps, les avances physiques de Joyce se firent beaucoup plus timides que les miennes, cela ne lui empêcha pas de jouer au petit jeu que j’avais mis en place, en venant à répondre à mes questions par des mots, comme je le souhaitais dans un premier temps, mais également par des gestes, par exemple quand elle vint à poser ma main sur sa poitrine, me faisant savoir que ce type de caresses lui plaisait. Ça aussi, je le savais, et moi aussi, cela me plaisait, grandement, mais conscient que c’était devenu une zone sensible de son corps - et pas dans le bon sens du terme - avec la grossesse, c’était une partie où je n’avais pas tant osé m’aventurer pour le coup. Mais puisqu’elle en venait à me le demander, avec cette invitation que je ne pouvais refuser, je me dis que pour le coup, je pouvais bien me le permettre, quitte à me raviser si je lui faisais mal, même si j’espérais sincèrement ne pas en arriver là. Après, il était évident que je ne pus me permettre de la caresser comme je l’aurais fait dans une complète intimité, mais je me permis au moins de masser doucement un de ses seins tout en passant mon pouce dans l’ouverture de son chemisier, pour m’attiser un peu plus, maintenant impatient d’arriver à la suite. Ce fut pire quand je la sentis soudainement poser sa main sur mon sexe, m’arrachant un grognement de soupir alors que j’avais toujours mon visage niché dans son cou. Mais sachant que ce n’était pas pour me déplaire, je ne tardai pas à presser mes hanches contre les siennes afin de profiter encore plus du contact de sa main contre mon jean, m’arrêtant que pour soupirer de plaisir avant de lui répondre: « Je suis toujours sage moi… C’pas mon second prénom pour rien…» Je savais très bien que ce n’était pas vrai, mais là, s’il était vrai que je me devais d’être sage pour avoir droit à une fameuse gâterie, alors j’allais être une personne modèle, c’était sûr et certain et ce, même si Joyce faisait tout pour me pousser à faire le contraire. Comment étais-je supposé me tenir tranquille alors qu’elle en venait à me faire part de ses envies avec tant de sous-entendus ? En mon sens, ce n’était juste pas possible. Et d’ailleurs, je ne tardai pas à réagir à cela, lui disant: « Jouer ? Intéressant… » Il était vrai que j’aurais pu lui demander plus de détails, afin qu’elle continue à tenir ces propos un peu salaces qui me faisaient tant d’effet, mais en fait, je ne savais pas si je pourrais garder suffisamment ma contenance pour ça. Comme pour le prouver, je continuai à exercer une pression là où mes mains se trouvaient sur son corps, mais au final, je ne pus le faire bien longtemps, puisque soudainement, une secousse se fit sentir, signifiant que l’ascenseur n’allait pas tarder à reprendre du service pour que nous puissions atteindre notre suite, ce qui ne serait probablement pas de refus désormais, après ce petit moment qui avait été, en mon sens, plus que bénéfique. |
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