AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

Partagez
 

 Just running away... on my own again {feat. levi}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
Summer C. DawsonGrateful for the family we chose
Summer C. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 675
▹ credits : Bazzart
▹ avatar : Sabrina Carpenter
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Elisa McLeod la jeune américaine, qui a la tête que pour ses études.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean, le jeune hawaiien, célibataire et musicien.
Layla M. Stone, la psychologue, bisexuelle, qui cherche encore l'amour.
▹ age : 23 ans
▹ activité rp : Mes Rp's en cours

Noah

Mes Rp's terminés


Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 15:53



Maxine & Levi
Just running away... on my own again


Avec un soupir de désespoir sur les lèvres, la jeune brunette regarde pendant un instant autour d'elle. Depuis qu’elle habit dans cette ville, les divers voyages qu’elle a faits durant son enfance lui manquent énormément. Être en route, voir des différents environnements chaque jour, lui manque. Même si elle doit avouer, qu’avoir enfin un endroit qu’elle peut appeler maison, lui fait du bien. Sauf, qu’elle regrette d’avoir une mauvaise orientation. Lire une carte lui est impossible, car elle ne sait jamais, comment elle doit les lire. La belle brune ne sait pas sur quoi se baser, quand elle regarde une carte. Cela la fait rire, lorsqu’elle se rend compte, que le jeune homme n’est aussi pas un guide touristique né. Maxine n’aime pas faire des détours, mais si elle n’a pas le choix, elle le fait. Surtout que son estomac fait de plus en plus de bruits. « Pas exactement, mais disons que ce n’est pas aussi direct. » Mais bon, la jeune femme n'a pas le choix. En tout cas, son estomac lui fait de plus en plus de signes, qu’il veut que la brunette mange enfin quelque chose. À vrai dire, en ce moment, elle risque de manger presque tout, sauf le poisson. Le poisson est l’unique chose, qu’elle risque de ne jamais toucher. Quand elle était petite, sa mère a fait une fois du poisson, mais il n’était pas vraiment bon et depuis ce jour, la jeune femme n’ose plus en toucher. « À vraie dire, tant que je reçois quelque chose à manger, je m’en fous royalement du chemin que je dois faire. » Réplique la petite brunette en souriant. En plus, elle ne doit pas rentrer et voir son père. Surtout qu’elle se sent de plus en plus mal, qu’elle lui a jeté des trucs pas sympa dans la tête. D’ailleurs, elle lui donne encore toujours la faute à la mort de sa mère, malgré le fait qu’elle sait que c’est la fichue maladie qui s’appelle cancer, lui a pris sa mère. « Il te faudrait bifurquer d’un bloc ou deux pour y arriver. » Ce n'est pas tellement loin, se rend la jeune femme, compte. « Je pensais que maintenant vous alliez dire six blocs. » Dit la jeune femme en rigolant avant de prendre à nouveau la parole. « Mais un ou deux, ce n’est pas tellement loin. En tout cas je l’espère. » Réplique Maxine, toujours un sourire sur lèvres. Malgré le fait, qu’elle ne va pas bien, elle essaie de garder le sourire. Mieux dite, elle essaie de le garder le plus de temps possible. Lors de leurs présentations, Maxine ne pouvait pas se retenir et poser la question. Quoi, c’est une possibilité que le prénom vient de cette fameuse marque de Jeans non ? D’ailleurs Maxine adore les porter, même si cela énerve son père, car ce n’est pas la marque la moins chère qui existe. « On peut dire ça oui… » Maxine qui est en train d’observer le jeune homme, se rend bien compte, qu’il ne lui dit pas vraiment la vérité, mais elle ne pense pas non plus qu’il est en train de mentir. Levi est plutôt en train d’éviter de lui dire la vérité. Maxine ne compte pas le pousser à lui répondre. S’il ne veut pas l’en parler, elle ne risque pas de le forcer. « D’accord. » Réponds la petite brune. À vrai dire, elle ne sait pas trop quoi répliquer d’autre. Le moment qu’ils se mettent à parler du quartier dans lequel vit note jeune madame. Elle est très surprise de la réaction de Levi. « Je t’avoue que je ne me verrais pas trop y retourner. » Tout de suite elle se pose pleins de questions, mais elle sait très bien, qu’il ne faut pas les poser à voix haute. Maxine se rend vite compte, que le jeune homme a dû avoir des mauvaises expériences là-bas, dans son passé. Et ce n’est pas elle, de le forcer à lui en parler. En premier elle vient à peine de le rencontrer et puis, elle n’est qu’une gamine. Mais bon, elle a bien être jeune, mais après la mort de sa mère, elle a dû grandir. Surtout qu’elle ne veut pas que son père doit s’occuper de tout. « Je ne vais pas te forcer à m’en parler. Mais, est-ce que je dois avoir peur de vivre dans ce quartier ? » Demande la brunette et on peut très bien voir sur son visage, qu’elle commence à devenir un peu peureuse. Non pas envers le jeune homme, mais envers le quartier où elle habite. Quand elle se met à raconter, que son père n’est pas très content de vivre là-bas, la réaction du jeune homme la surprend légèrement. « Et… tu sais pourquoi ? » La vérité est que son père ne lui a jamais parlé de la raison. Peut-être il a fait des mauvaises rencontres. Beaucoup de questions lui passent par la tête et elle ne sait pas à qui elle peut les poser. Lisbeth, peut-être est une personne à qui elle peut les poser, mais elle risque de le dire à son père. Un soupir lui échappe par les lèvres, avant qu’elle prend la parole. « À vraie dire non. Mais je pense, qu’il a peut-être fréquenté les mauvaises personnes et a un peu peur maintenant. » Sur le visage de la jeune femme, on remarque qu’elle a peur, mais en même temps, on peut y voir encore quelque chose d’autre. Elle s’en fout un peu. Elle adore son père et ne veut pas qu’il lui arrive quelque chose, mais s’il ne veut pas lui faire confiance et lui parler de ses soucis, alors elle a le droit de s’en foutre. « J’ai le droit de te poser une autre question ? » La jeune femme demande, mais n’attend même pas la réponse. « Est-ce que le quartier dans lequel tu vis maintenant, il est plus beau et plus sûr ? On ne doit pas y avoir peur quand on sort dans les rues ? » C’est la première fois, qu’on peut s’en rendre compte du vrai âge de la fille. Jusqu’à présent elle a réussi à cacher sa peur plutôt bien, mais là, elle n’arrive plus, peut-être elle ne le veut aussi plus.





©️ Never-Utopia,
modifiée benficagirl
Revenir en haut Aller en bas
Levi AbberlineTrust always hurts in the long run
Levi Abberline
MY BOOK COVER▹ posts : 1509
▹ credits : Cranberry (avatar) ▹ Tumblr (gifs)
▹ avatar : Tyler Hoechlin
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Noah (D. O'Brien)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Thirty-three y.o. ▹ 31.08.86
▹ activité rp : HaleyLibreYou ?

Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyVen 30 Mar - 15:04


Maxine & Levi

Just running away... on my own again

lost in the middle of a memory
Loin de moi l’idée de me frustrer, de presser la petite demoiselle ou quelque chose dans le genre, mais je dus admettre que je ne fus pas des plus à l’aise au moment où elle vint à me dire qu’elle n’avait pas de goût précis, que tout ce qu’elle voulait c’était manger - et à bas prix, de ce que j’avais pu comprendre - ayant l’impression de tourner en rond, de ne pas savoir où cela allait nous mener. Puis, au final, elle vint à me dire que le détour d’un bloc ne la gênait pas, venant m’éclairer un peu plus, me permettant d’acquiescer silencieusement en hochant la tête, confirmant par la même occasion que j’allais lui servir de guide. Je ne cherchai pas à lui demander si elle redoutait de marcher un peu plus ou quelque chose dans le genre, me disant que peut-être, elle aussi, savait ce qui en était. Personnellement, j’en étais conscient aussi, mais l’habitude avait fait que je ne redoutais plus grand-chose niveau danger, ne serait-ce que le danger que je m’imposais à moi-même. Ce danger en question, c’était celui lié au fait de croiser une personne de ma connaissance, que je serais susceptible d’associer à un passé plus sombre, à des souvenirs qui me rendaient encore vulnérable, même après tout ce temps. Je savais que j’étais désormais doté d’une force psychologique qui m’avait toujours manqué pendant les années précédentes, mais il n’en demeurait pas moins que je ne voulais pas tenter quoi que ce soit, voler trop près du soleil et finalement me brûler les ailes. J’avais beaucoup trop à perdre, je refusais de laisser tomber les gens dans mon entourage pour une telle bêtise, un risque inutile. Voilà ce qui me faisait si peur concernant ce quartier avec sa réputation de mal famé, mais je savais très bien que ça ne concernait que moi. Plus encore, cela ne venait pas complètement me fermer au fait que les dangers étaient autres, que le quartier n’était pas trop fréquentable. Du coup, je ne pouvais garantir à l’adolescente que tout était sécuritaire. Mais refusant de lui faire peur alors que ça n’avait peut-être même pas raison d’être, je crus que le meilleur compromis était de lui dire:  « Je ne saurais pas te dire… Ça dépend de ce que tu fais, surtout. » Parce que si elle sortait tard le soir, empruntait des ruelles sombres, dans une tenue suggestive, pour sûr, elle ne prenait pas les mesures les plus appropriées pour rester en sécurité. C’était là un exemple qui pourrait paraître extrême, mais il ne l’était pas vraiment. C’était triste de penser ainsi, mais moi-même, jamais je ne me permettais de laisser Haley sortir seule quand j’y habitais encore, ne serait-ce que pour aller chercher du lait à la supérette du coin, en plein jour. Étais-je paranoïaque pour ça ? Je ne pensais pas, mais mon point était que j’avais préféré être prudent. Mais ça, ce n’était probablement pas donné pour tous les parents, et peut-être que tous les parents n’avaient pas la même vision des choses. Bien mal placé pour le faire, je ne cherchai donc pas à juger la personne qui s’occupait de la jeune Maxine devant moi, supposant qu’elle avait ses raisons, que son père avait ses raisons de la laisser sortir ainsi. Je ne cherchai pas à en savoir davantage, ne reprenant pas la parole quand j’eus réponse à ma question, accusant simplement réception de celle-ci. Mon mutisme permit à la jeune femme de reprendre la parole, me posant une question à caractère un peu plus personnel, à laquelle je ne m’attendais pas vraiment. Mais puisque ce n’était pas si horrible, voire même futile comparativement à ce qu’on avait pu me demander, en thérapie entre autres, je n’hésitai pas tant avant de lui répondre:  « Oui, quand même… » Oui dans le sens qu’il était plus beau et plus agréable à vivre, pas oui dans le sens où il fallait avoir peur de sortir. Comparativement à précédemment, il n’en était rien. Mais encore là, peu certain que je sois vraiment une bonne source fiable, le constatant encore plus concrètement suite à mes propos, j’eus un rire nerveux, et j’ajoutai, histoire d’être aussi transparent que possible:  « Mais tu sais, je ne suis pas tant bien placé pour t’en parler… » Me doutant bien qu’aux premiers abords, ça pouvait paraître idiot, compte tenu du fait que j’y avais vécu, comme je lui avais dit, je pris sur moi, inspirai profondément, et j’ajoutai:  « Disons que… Je ne fréquentais pas les bonnes personnes… Maintenant je ne le fais plus, je ne le regrette pas, mais bon. » Je me doutais bien que je venais de potentiellement ouvrir la porte à d’autres questions, plus personnelles, plus indiscrètes, sans être certain que j’étais prêt à y répondre. Le cas échéant, je n’aurais pas trop le choix, puisque d’une certaine façon, je l’avais cherché. Par conséquent, je préférais m’y préparer mentalement tandis que j’attendais la réaction de la demoiselle, et si elle ne le prenait pas en considération, alors ce ne serait que pour moi source de soulagement.
Revenir en haut Aller en bas
Summer C. DawsonGrateful for the family we chose
Summer C. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 675
▹ credits : Bazzart
▹ avatar : Sabrina Carpenter
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Elisa McLeod la jeune américaine, qui a la tête que pour ses études.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean, le jeune hawaiien, célibataire et musicien.
Layla M. Stone, la psychologue, bisexuelle, qui cherche encore l'amour.
▹ age : 23 ans
▹ activité rp : Mes Rp's en cours

Noah

Mes Rp's terminés


Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyJeu 12 Avr - 2:23

just running away... on my own again

Maxine est en train de faire le contraire de ce que ses parents lui ont toujours dit. Si quelqu'un est une personne qui t'es inconnus, ne t'approche pas de celle-ci et surtout ne te promène pas avec lui. S’il veut t'amener quelque part, dit non. Même s’il veut tout simplement te montrer le chemin. Mais là, à cet instant, la belle brune est en train de faire carrément le contraire, de ce que ses parents lui ont dit. Mais le jeune homme n’a pas l’air d’être un tueur en série. La faim est plus forte qu’elle, et cela se fait de plus en plus entendre. Non ce n’est pas que la brune n’a rien à manger, mais à vraie dire, elle a oublié de le faire avant de sortir de chez elle. Malgré le fait que Maxine est encore assez jeune, elle a déjà beaucoup vécu durant sa jeunesse. Des voyages dans le monde entier, ce tour du monde, elle ne le regrette pas, mais c’est difficile pour elle, de retourner dans une vie normale. Arrivée à Washington c’était la première fois, qu’elle a visité une vraie école. Durant son voyage, elle a été éduquée à la maison, par son père. Maxine avait déjà le sentiment, qu’elle ne vit pas dans le quartier le plus populaire et encore moins celui avec le plus de sécurité, mais c’était le seul quartier, ou son père pouvait payer le loyer. La brune a pris l’habitude d’étudier les expressions faciales de ses interlocuteurs. Les expressions de Levi, lui, disent que quelque chose de grave a dû arriver dans le quartier, mais elle ne sait pas trop quoi dire, elle est après tout qu’une adolescente. Le fait qu’elle ne sait pas, si elle doit se sentir en sécurité dans son quartier, la rend dingue. À vrai dire, elle est dingue depuis sa naissance mais bon cela, c’est une tout autre histoire. « Je ne saurais pas te dire… Ça dépend de ce que tu fais, surtout. » Le père de la jeune brune n’est pas une personne très stricte, il lui laisse beaucoup de libertés et une est le droit de sortie. Partout où ils ont vécu jusqu’à présent c’était calme et on ne devait pas se soucier, quand on sortait seul le soir. Sauf peut-être lorsqu’ils étaient en Australie, car ils ont vécu sur un camping, avec leur camping-car. Cette vie manque énormément à la jeune fille. Maxine a grandi en apprenant, qu’on n’a pas besoin de beaucoup dans la vie, un toit sur la tête c’est tout. « Donc on peut en conclure que sortir seule le soir n’est pas une des idées les plus intelligentes à faire si tu vis là-bas. » Maxine prend comme conclusion. Une conclusion à laquelle elle devrait peut-être se tenir. Pourtant la jeune fille aime bien traîner seule dans les ruelles du quartier. Même si parfois on ne le croit pas, la jeune fille tient à sa vie après tout. Son père aime bien la laisser sortir seul, pour qu’elle s’habitue à sa vie de jeunes adultes. Elle n’est plus vraiment loin de ses dix-huit ans, faut aussi le dire. Maxine est certaine, qu’elle pose des questions, dont Levi ne veut pas donner les réponses. Elle a trop pris l’habitude, qu’avec son père, il n’y a pas vraiment de Tabu, sauf peut-être la vie sentimentale de celui-ci. La jeune femme ne lui posait pas de questions à ce sujet et lui il n’en posait pas à elle. « Oui, quand même… » Une réponse qui ne satisfait pas vraiment Maxine, mais elle n’ose pas aller plus dans le détail. La peur de tuer la conversation est en train de la prendre. La belle brune se rend bien compte que Levi est en train d’avoir un rire nerveux, mais elle ne risque pas de dire quoiqu'il soit, apparemment, il a eu des soucis dans le quartier, dans lequel la brune vit. Cette constatation elle a pu la faire entre-temps. « Mais tu sais, je ne suis pas tant bien placé pour t’en parler… » Pourquoi, il n’est pas la bonne personne pour en parler, une question que la jeune femme se pose tout de suite. Sur le visage de la brune, on peut vite remarquer, que son cerveau se met à travailler et qu’elle réfléchit, au pourquoi. « Mais tu y as vécu. » Maxine finit par dire, tout juste avant qu’il reprend la parole. « Disons que… Je ne fréquentais pas les bonnes personnes… Maintenant je ne le fais plus, je ne le regrette pas, mais bon. » Malgré le fait que Maxine est encore bien jeune, elle sait très bien, que fréquenter les mauvaises personnes peut avoir impact négative sur ta vie. Jusqu’à présent, la belle brune, n’a pas encore fait ce genre de rencontre, mais on ne peut jamais employer le mot jamais. Sans le vouloir, elle pourra commencer par fréquenter une personne, qui la met dans la merde et elle n’aura pas toujours son père pour la sortir de ses problèmes. Durant un long moment, la brune réfléchit, si elle doit poser les questions, qui brûlent sur ses lèvres, ou si elle ferait mieux à se taire. Puis elle finit malgré le fait que son cerveau dit non, par prendre la première option et poser ses questions. « Est-ce que tu as eu des problèmes à cause de ces fréquentations ? » Une question qui n’est pas trop indiscrète, en tout cas la brune l’espère. « Tu ne dois pas me répondre, si tu ne le veux pas. » Finit-elle par ajouter à sa question. C’est une question, qui ne risque pas de tuer, surtout qu’il n’est pas forcé d’aller dans le détail. Un simple non ou oui suffit à notre jeune femme. Maxine n’est pas du genre à juger les personnes, elle préfère les connaître avant de faire son jugement. Le passé est bien le passé, une phrase que son père aime bien employer. Après un instant, Maxine pense que c’est peut-être mieux de changer de sujet après tout. « Sinon tu travailles dans quel domaine ? » Quoi Maxine ne sait pas encore quoi faire de son futur et elle doit faire son choix. Elle va bientôt commencer l’université et elle ne sait pas encore quelles matières, elle doit choisir. Pourtant elle se voit bien dans un métier qui a à faire avec le tourisme et les voyages. Travailler dans ce genre de métier serait parfait pour elle, vu qu’elle a beaucoup voyagé durant sa vie.
©️️️️️️️️️️ 2981 12289 0


Dernière édition par Maxine Emerson le Jeu 26 Avr - 18:22, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Levi AbberlineTrust always hurts in the long run
Levi Abberline
MY BOOK COVER▹ posts : 1509
▹ credits : Cranberry (avatar) ▹ Tumblr (gifs)
▹ avatar : Tyler Hoechlin
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Noah (D. O'Brien)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Thirty-three y.o. ▹ 31.08.86
▹ activité rp : HaleyLibreYou ?

Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyVen 20 Avr - 1:54


Maxine & Levi

Just running away... on my own again

lost in the middle of a memory
Je n’avais pas envie de tirer une conclusion aussi drastique, d’où le fait que je vins à grimacer - discrètement toutefois - lorsque mon interlocutrice vint à comprendre que le mieux était qu’elle ne sorte pas le soir. Et pourtant, je ne pouvais pas tant m’y opposer, sachant que moi-même, je ne tolérerais pas qu’Haley sorte seule si jamais je venais encore à y habiter. En fait, je ne le tolérais pas, même dans ce quartier un peu plus aisé, un peu moins dangereux. Après, il était vrai que ma fille était plus jeune, que la situation ne se comparait pas tant, mais quand même, avec un haussement d’épaules, suivi d’un hochement de tête limite peu perceptible, je vins confirmer que oui, c’était préférable, à mon avis, en tout cas. Mais est-ce que mon avis était le bon ? Voilà ce qui était discutable. Au moins, je pouvais me baser sur mon vécu, même si mon vécu, il n’était pas enviable, nullement exemplaire, comme je vins à l’avouer, histoire qu’elle ne prenne pas pour acquis que ce que j’étais en train de lui dire. Voyant devant moi une demoiselle bien curieuse, je ne fus pas tant surpris de l’entendre me poser de plus amples questions. Il était évident que j’aurais bien voulu l’éviter, quand même, mais je l’avais aussi cherché, d’où le fait que je pouvais difficilement me plaindre ou me poser sur la défensive directement. Résigné, je vins à lui dire:  « Pas avec les autres… » Je ne voulais pas qu’elle vienne à penser que j’avais molesté autrui ou quelque chose du genre. Celui à qui j’avais fait le plus de mal dans cette histoire, c’était moi, en fait. Désormais, j’étais conscient que j’avais certainement fait mal à ma fille au passage, puisque je ne pouvais prétendre être responsable pour prendre soin d’elle plus longtemps à chaque semaine, ou de façon bi-hebdomadaire, comme c’était précédemment, alors que je n’étais pas en mesure d’être responsable de ma propre personne. Et tout ça pour quoi ? Pour une raison, que je vins à confesser, sentant que si je ne le faisais pas, la question allait survenir de toute façon. Soupirant en discrétion, j’ajoutai:  « J’ai consommé. » Consommé quoi ? Tout ce qui me tombait sous la main pour me faire sentir mieux, pour oublier que je souffrais, parce que je ne parvenais pas à gérer mes propres problèmes de façon convenable. Avec le recul, je réalisais que j’avais eu de la chance. À ne pas avoir de limites comme ça - même si jamais je n’avais fait d’overdose - j’aurais très bien pu m’en sortir autrement, de façon bien pire que ça. Après, je me doutais que peut-être un jour, mes habitudes allaient finir par me rattraper, même si pour le moment, je ne m’en tirais pas si mal, physiquement et psychologiquement. Bien sûr, c’était encore douloureux de parler de ce temps, si bien que ce fut avec un soulagement que je pris en considération la nouvelle question de Maxine, content qu’elle vienne à changer de sujet ainsi. Celle-ci étant plutôt simple, je n’attendis pas très longtemps pour lui dire:  « Je suis portier, dans un hôtel. » Je ne le déclamai pas avec une grande fierté non plus, puisque je savais bien que ce n’était pas un métier enviable pour bien des gens, surtout ceux qui avaient du potentiel d’avoir une formation que moi, je n’avais pas, à défaut de ne pas avoir quoi que ce soit, ne serait-ce qu’un diplôme de lycée. Sachant très bien que ce serait totalement inutile de m’étaler sur cette question plus longtemps - et ne me voyant clairement pas parler du dilemme professionnel qui me chicotait, qui faisait en sorte que je me promenais en ces lieux, ici et maintenant - je décidai de profiter du fait que la conversation était entamée à ce sujet, venant donc à demander à la demoiselle:  « Et toi, que veux-tu faire plus tard ? » Qui sait, peut-être avait-elle des envies, des projets, des ambitions ? D’une certaine façon, j’étais curieux de savoir, sans précisément m’expliquer pourquoi, même si j’étais persuadé que cela dépassait ma simple volonté de faire la conversation.
Revenir en haut Aller en bas
Summer C. DawsonGrateful for the family we chose
Summer C. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 675
▹ credits : Bazzart
▹ avatar : Sabrina Carpenter
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Elisa McLeod la jeune américaine, qui a la tête que pour ses études.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean, le jeune hawaiien, célibataire et musicien.
Layla M. Stone, la psychologue, bisexuelle, qui cherche encore l'amour.
▹ age : 23 ans
▹ activité rp : Mes Rp's en cours

Noah

Mes Rp's terminés


Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyJeu 26 Avr - 18:32

Just running away... on my own again

feat. Maxine & Levi

Malgré le fait que la brune n'a que dix-sept ans, son père la traite comme une jeune adulte. Beaucoup de personnes ont du mal à comprendre son père. Peut-être elle-même risqua de réagir aussi différemment. Si on lui pose la question, si elle laissa sa fille traîner seule dans les rues à cet âge, Maxine risque de répondre avec non. Bien sûr il y a des exceptions, comme dans toutes les histoires. Si par exemple son futur enfant alla sortir avec des amis et ne sera pas seule, Maxine risqua de donner son accord. Il faut aussi dire, que ces derniers jours, la brune n’a pas vu son père. Bien sûr, elle se soucie, mais la jeune adolescente est certaine, que son père va revenir. Maxine ne veut pas que quelqu’un à un mauvais avis sur son père. Son père est une personne très bien, qui a que quelques soucis qu’il doit gérer. La brune s’en doute, que ça n’était pas facile pour lui de se retrouver seule avec une jeune adolescente, qui ne sait pas comment gérer le décès de sa mère. Un soupir lui échappe des lèvres. En observant le jeune homme, Maxine se rend bien compte, du haussement d’épaules de Levi, tout comme de son hochement de tête. Mais, si jamais Maxine ne fait pas attention et elle laisse échapper que son père a disparu, il va penser quoi . Peut-être, qu’elle se trompe et son père et elle ne se croisent tout simplement pas. Peut-être il part travailler avant que la brune rentre du Lycée. Ou bien il essaie de lui donner sa liberté, pour qu’elle trouve son propre moyen de gérer le décès de sa mère. Mais bon, il faut qu’elle se change les idées, sinon, les yeux de la brune vont encore se remplir de larmes et ça, elle ne le veut pas.

Maxine est une personne très curieuse, qui ne sait parfois pas, quand elle ferait mieux de se taire et la jeune femme est certaine, qu’elle vient de le faire encore une fois. Maxine est certaine d’avoir raté le bon moment pour se taire. Ainsi la surprise s’affiche sur le visage de la jeune femme, lorsque Levi lui donne une réponse. « Pas avec les autres… » L’adolescente se rend bien vite compte, que ce sujet n’est pas un, dont le jeune homme veut parler. Surtout, il ne risque pas de vouloir en parler à une adolescente. Parfois la brune aimerait bien pouvoir remonter le temps et changer, ses dits. Mais malheureusement, ce genre de choses n’est pas encore possible, mais qui sait ce que le futur nous réserve. Avant que Maxine pouvait reprendre la parole, Levi lui confesse la raison. « J’ai consommé. » Sur le visage de la brune on peut très vite voir apparaître un air de surprise. À une telle chose, elle ne s’attendait pas du tout. Bien sûr, durant tous les voyages avec son père et sa mère, la brune a fait la rencontre de personnes qui ont eu des problèmes d’addictions. Son père le prenait toujours comme exemple de montrer à sa fille, que prendre des drogues détruit ta vie. Durant un moment, la brune se perd dans ses pensées et essaie de se rappeler de tout ce que son père lui avait dit à l’époque. Maxine ne voulait pas aller plus dans le détail, malgré le fait qu’elle est encore bien jeune, elle se rend bien compte, que Levi ne risque pas de vouloir parler plus de ce passage de sa vie. Mais la jeune adolescente n’arrive pas à se taire et ressent le besoin de poser encore une question. « En premier je m’excuse d’être aussi curieuse. » Mieux faut s’excuser avant de poser la question, se dit la brune. « Tu ne dois pas me répondre, si tu ne le veux pas. » Maxine dit avant de réellement poser la question qui la tracasse. « Est-ce que tu as réussi à t’en sortir ? » Malgré le fait que Maxine n’est pas encore adulte, elle ressent toujours l’envie de vouloir aider les personnes, qui ont besoin d’aide. Un côté qu’elle a hérité de son père.

Pour ne pas rester sur un sujet qui est dur à digérer, Maxine finit par poser une autre question, qu’elle trouve intéressante. Celle du métier, que le jeune homme fait. « Je suis portier, dans un hôtel. » Dans sa tête, Maxine voit tout de suite les hommes qui se trouvent dans les hôtels habillé comme des pingouins. La brune ne trouve pas d'autres mots pour décrire l’image qu’elle a en tête. Ne pas certaine si elle peut poser la question ainsi, elle réfléchit pendant un instant avant d’ouvrir sa bouche. « Donc j’estime que tu es la personne qui doit aider les clients de l’hôtel à s’y retrouver ? » Maxine n’est pas certaine si du coup elle vient de bien s’exprimer. Parfois l’adolescente a du mal à trouver les bons mots à employer. Bien sûr Maxine se pose la question, s’il a choisi ce métier de son plein gré, ou si le jeune homme n’avait pas d’autre choix. « Est-ce que tu aimes ton métier? » Maxine prend la décision de ne pas poser l’autre question, qui la tracasse. En vérité, elle voulait demander, s’il n’avait pas le moyen de se trouver un autre métier plus intellectuelle. Non, par là, elle ne veut pas dire que les portiers ne sont pas intelligents, loin de là, mais pour elle personnellement cela ne serait pas un métier dans lequel elle pourra travailler. « Et toi, que veux-tu faire plus tard ? » Une question que Maxine se pose à elle-même depuis quelques semaines déjà. Dans peu de temps, son temps au Lycée se termine et elle est censée rentrer à la fac. Pendant un long moment, elle a voulu devenir médecine, mais elle n’aime pas trop étudier, pourtant elle est une bonne élève. Mais après le décès de sa mère, suite à un cancer, elle ne supporte plus les hôpitaux, donc devenir médecin n’est plus option. Vu qu’elle aime beaucoup aider les gens qui en ont besoin, la brune se voit bien travailler dans un métier social. Peut-être le métier d’Assistante de service social, d’Assistant maternel ou bien éducatrice seront une option, mais la décision est très difficile à prendre. Un soupir se fait entendre de la brune. « Je dois avouer que je ne me suis pas encore décidée, malgré le fait que j’aurais dû peut-être prendre ma décision. J’ai plusieurs options que je trouve intéressantes. » Au début elle ne sait pas trop, si elle doit les lui dire. L’unique autre personne à qui elle osera en parler est Connor, mais elle ne veut pas l’emmerder avec ses problèmes de décisions. « J’ai songé à peut-être choisir entre trois métiers, Assistante de service social, Assistant maternel ou bien éducatrice. Je sais, que se sont que des métiers dans le social, mais je me vois bien travailler dans un de ces métiers. » Sur le visage de la jeune femme un large sourire s’affiche aussitôt. Peut-être un avis objectif pourra lui aider à trouver lequel sera le bon choix à faire.



made by guerlain for epicode
Revenir en haut Aller en bas
Levi AbberlineTrust always hurts in the long run
Levi Abberline
MY BOOK COVER▹ posts : 1509
▹ credits : Cranberry (avatar) ▹ Tumblr (gifs)
▹ avatar : Tyler Hoechlin
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Noah (D. O'Brien)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Thirty-three y.o. ▹ 31.08.86
▹ activité rp : HaleyLibreYou ?

Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyJeu 3 Mai - 0:34


Maxine & Levi

Just running away... on my own again

lost in the middle of a memory
Fus-je surpris de voir la petite demoiselle étonnée, voire choquée du fait que j’avais consommé précédemment dans ma vie ? Je ne saurais le dire. D’un côté, j’estimais que j’avais planté quelques indices au préalable avant de lui dire directement ce qui s’était passé avec ma vie. Mais de l’autre, vu comment je m’étais repris en main, vu du fait que pour une des premières fois de ma vie, je ne ressemblais pas à quelqu’un qui ne prenait pas soin de sa personne, ce n’était donc pas tant étonnant. Limite, je pourrais dire que ç’avait quelque chose de rassurant, parce que ça me montrait que j’étais capable de mettre de mauvais épisode derrière moi, que je n’avais pas à être étiqueté comme un junkie pour le reste de ma vie. Étrangement, ce fait me conforta un peu, à un tel point que la curiosité de Maxine ne se voulut pas aussi gênante qu’avant. Le fait qu’elle s’excuse aida quand même un peu également, mais ce fut avec bien moins de mal que je ne l’aurais cru dans un premier temps que je vins à répondre à sa nouvelle question:  « Oui, j’ai fait une cure de désintoxication. » Je ne m’osai pas à entrer dans les détails, refusant de parler de ces six longs mois, du sevrage qui m’avait mené à l’hôpital tant mon corps ne voulait pas l’accepter, tant ce fut brutal de cesser de consommer à long terme. Mon mutisme n’avait rien à voir avec un quelconque regret. En effet, tout ce que j’éprouvais en repensant à cela, c’était de l’accomplissement, un progrès que je ne pensais jamais faire à un moment ou un autre dans ma vie. Progressivement depuis ce temps, je reprenais le contrôle sur ma vie. Je n’en demandais pas trop, sachant très bien que je n’allais pas avoir un métier de rêve, une grande maison et tout ce qui venait avec en un claquement de doigts, voire même jamais. Mais ce que j’avais en ce moment, ça me convenait. Par exemple, mon métier me convenait très bien, même si ce n’était pas nécessairement une carrière enviable. Ce n’était pas un emploi non plus très très valorisé, comme la demoiselle semblait penser. Tentant de préciser un peu le tout, j’haussai les épaules pour montrer qu’elle n’était pas complètement à côté de la plaque, mais ce ne serait pas ainsi que je saurais le définir. Ensuite, je précisai:  « J’accueille plutôt les gens et je porte leurs bagages… » On pourrait croire que j’étais en train de diminuer l’importance de mon boulot, mais ce n’était pas ça, comme je le prouvai en venant commenter si j’aimais cela ou pas, venant à dire, sans trop hésiter:  « Ça va, c’est bien. » Mais sans vouloir faire le difficile, ce n’était pas mon métier de rêve non plus. Ça, je ne le précisai pas toutefois, puisque la vérité était que je ne connaissais pas mon métier de rêve. Je me cherchais encore, grandement, et ce n’était finalement pas cette promenade de soirée qui allait vraiment m’éclairer. Ces derniers temps, je m’étais bien rendu compte que choisir un métier, une vie, un quotidien, c’était loin d’être facile. J’avais dépassé les trente ans, et je ne savais toujours pas que faire de ma vie, alors pour sûr, je ne pouvais reprocher ou juger une adolescente dans la même situation que moi. De plus, ce n’était pas comme si la jeune femme n’avait pas absolument aucune idée, ou des intentions mal placées. Ce qu’elle avait en tête, c’était honorable, quand même, d’où le fait que je ne me gênai pas de lui dire:  « C’est bien. », d’une façon sincère, montrant que je trouvais que c’était quand même de bonnes idées. Mais m’y connaissant que trop peu, ne sachant lui en dire plus, je ne lui posai pas de plus amples questions, me contentant de lui dire:  « J’espère pour toi qu’au moment voulu, tu trouveras. » Je ne vins pas à définir non plus ce qu’était pour moi le moment voulu, puisque je ne le savais pas non plus. De plus, le fait que je ne vienne pas à ajouter quoi que ce soit ne vint pas tant mettre un blanc dans la conversation, puisque devant nous vint à se dresser l’emblème du restaurant rapide bien connu, celui où Maxine voulait se rendre pour y manger un petit quelque chose à bas prix.
Revenir en haut Aller en bas
Summer C. DawsonGrateful for the family we chose
Summer C. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 675
▹ credits : Bazzart
▹ avatar : Sabrina Carpenter
▹ pseudo : benficagirl
▹ multinicks : Elisa McLeod la jeune américaine, qui a la tête que pour ses études.
Kacey Aldean l'ancienne chanteuse de country.
Jason McLean, le jeune hawaiien, célibataire et musicien.
Layla M. Stone, la psychologue, bisexuelle, qui cherche encore l'amour.
▹ age : 23 ans
▹ activité rp : Mes Rp's en cours

Noah

Mes Rp's terminés


Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyJeu 24 Mai - 0:19

Just running away... on my own again

feat. Maxine & Levi

Maxine a grandi dans un milieu bien protégé, par son père et sa mère. Après le décès de ceux-ci, elle avait sa tante de coeur, Lisbeth, qui a eu la garde pour elle. Ce n’est pas la même chose qu'être avec ses parents, mais c’est mieux que de finir dans un orphelinat. Jamais de sa vie, la brune a eu du contact avec les drogues, en tout cas ne pas venant de son père, ou de sa mère. Ainsi la jeune femme se pose beaucoup de questions, sur le pourquoi, lorsque Levi, avoue avoir été dépendant durant quelque temps. Sur le visage de la jeune femme on peut très bien voir, que beaucoup de questions lui passent par la tête. Bien sûr, Maxine s’en doutait que quelque chose de mal lui est arrivée au passé, mais la belle brune ignorait que c’était les drogues. Au premier regard, le jeune homme, avec qui Maxine est en train de discuter, n’a pas l’air d’être un drogué. Maxine c’est bien rendu compte, que c’est un sujet dont le jeune homme ne veut pas forcément parler. Ainsi, elle n’est pas certaine, si elle devra poser plus de questions. La brune est une personne très curieuse et la jeune femme l’est depuis sa tendre enfance. Si on voit le jeune homme, on ne risque pas de croire, qu’il a eu ce genre de soucis dans son passé. Maxine a tout de suite le film, Requiem for a Dream, avec Jared Leto devant ses yeux. Non, Maxine ne juge pas. En tout cas, elle ne juge pas, si elle ne connaît pas les raisons, pour lesquels, il s'est mis à prendre des drogues. Maxine sait très bien, que poser des questions, si on ne connaît pas une personne, n’est pas une des meilleures idées. Malgré le fait que la brune ne veut pas poser de questions, une finit par s’échapper par ses lèvres. Heureusement Levi ne le prend pas mal et répond à celle-ci. Sur le visage de la jeune femme, le soulagement s’affiche aussitôt. « Oui, j’ai fait une cure de désintoxication. » Maxine n’est pas vraiment surprise d’entendre ces mots. Souvent les personnes dépendantes font des cures, mais malheureusement, beaucoup de personnes font des rechutes, quelque chose, que la jeune femme n’arrive pas à comprendre. Sauf peut-être, si tu n’as rien dans ta vie, personne à aimer et personne à qui tu tiens. « Désolée encore une fois si je pose des questions trop indiscrètes, mais je dois avouer que je suis curieuse. » La brune débute par s’excuser, avant de se lâcher et poser encore d’autres questions. Maxine se rend bien compte, que le jeune homme n’a pas l’air de vouloir aller dans les détails, la jeune femme le comprend aussi, mais elle a quand même encore des questions. La question est, va-t-elle réussir à se taire. Surtout une question, qui la tracasse est celle-ci, si la désintoxication était difficile à tenir et s’il avait quelqu’un qui était là pour lui, durant ce temps difficile. Maxine ne pense, qu’elle sera capable de le faire toute seule. Le métier du jeune homme, Maxine n’était pas certaine de bien saisir, ce qu’il doit faire, ainsi elle est heureuse, que sans poser vraiment trop de questions, elle reçoit ses réponses. « J’accueille plutôt les gens et je porte leurs bagages… » Faire l’accueille des gens est quelque chose d’intéressant, en tout cas dans les yeux de Maxine. Tu peux faire tout pleins de nouvelles rencontres, sans devoir aller loin. Dans un hôtel, il y a moyen de croiser les chemins de personnes, du monde entier. Qui sait, peut-être le jeune homme a déjà rencontré une des connaissances de Maxine. « Mais, tu as ainsi aussi le moyen de faire tous genres de nouvelles connaissances. » La brune conclut, plutôt pour elle-même. Pendant un instant elle fait une pause pour réfléchir, à ce qu’elle vient de dire, avant de reprendre la parole. « Ou est-ce que je me trompe ? » La jeune femme finit par demander. Encore une fois une question qui lui échappe par les lèvres. Maxine se rendait bien compte, que ce métier, ne doit pas être un métier de rêve, la curiosité se réveille à nouveau en Maxine. « Je conclus, que ce n’est pas ton métier de rêve. » La jeune femme dit à voix haute, avant de lancer à nouveau une question. « Est-ce que tu avais un métier de rêve lorsque tu avais mon âge? » Maxine ne se rappelle plus, si elle avait parlé de son âge à Levi. La jeune femme a quelques idées en tête, mais elle est certaine, qu’elle veut travailler absolument, dans un métier social. Aider les gens, est quelque chose qui est très important pour la brune. Peut-être aussi une des raisons, pour sa curiosité. La discussion avec le jeune homme, fait du bien à Maxine, elle se sent moins seule dans ce monde. « C’est bien. » Une réaction, qui fait sourire la jeune femme, suite à ce qu’elle venait de lui dire. Maxine s’en doutait, que Levi ne connaît pas grand-chose, sur les métiers qu’elle venait de lui citer. Si on ne vient pas du social, on peut très vite être perdues, dans toutes les dénominations de métiers. Pour la première fois depuis leur rencontre, Maxine ne sait pas quoi dire. Une chose qui arrive assez rarement. « J’espère pour toi qu’au moment voulu, tu trouveras. » Maxine est encore bien jeune, ainsi, elle ne pense pas devoir se forcer à trouver tout de suite le métier, qu’elle veut faire pour le reste de sa vie. « J’espère aussi, mais je suis de l’avais, qu’il y a toujours moyen de changer plus tard de métier. Si jamais, je prends la mauvaise décision maintenant. Ou est-ce que je me trompe ? » La jeune femme commence par parler, pour à la fin poser à nouveau une question. Lors du moment, que la jeune femme se rend compte, qu’elle vient de poser à nouveau une question, elle grimât légèrement. En levant le regard, Maxine se rend compte, qu’ils viennent d’arriver auprès du restaurant, à bas prix, où Maxine veut manger un petit quelque chose. Un soupir lui échappe des lèvres, car elle pense, qu’elle va se retrouver à nouveau seule. « Oh, on vient déjà d’arriver. » La brune constate, avec un air un peu triste.





made by guerlain for epicode
Revenir en haut Aller en bas
Levi AbberlineTrust always hurts in the long run
Levi Abberline
MY BOOK COVER▹ posts : 1509
▹ credits : Cranberry (avatar) ▹ Tumblr (gifs)
▹ avatar : Tyler Hoechlin
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Noah (D. O'Brien)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Thirty-three y.o. ▹ 31.08.86
▹ activité rp : HaleyLibreYou ?

Carnet d'adresses
▹relations:

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 EmptyDim 3 Juin - 14:57


Maxine & Levi

Just running away... on my own again

lost in the middle of a memory
Jamais je n’avais vu mon métier comme un tremplin pour faire des nouvelles connaissances. Premièrement parce que ce n’était pas mon intention première - même si j’avais bien compris que je me devais d’être plus courtois et sociable que ce à quoi je m’étais habitué - deuxièmement parce que je ne voyais pas à quelle occasion je pourrais l’être, considérant le fait que les entretiens que j’avais avec les visiteurs étaient relativement très courts. Évidemment, il y avait ces gens qui avaient un séjour prolongé, qui avaient besoin qu’on leur apporte leur voiture, qui venaient poser des questions, que je finissais par reconnaître, mais de quoi me lier d’amitié ? C’était bien difficile, sachant que les séjours étaient brefs, que je n’avais pas beaucoup de temps. Et puis, je devais plaider coupable pour ça; je ne prenais pas tant d’initiatives, puisque ce n’était pas mon genre, puisque j’étais bien, généralement, dans mon coin. Pour ça, ce métier était un défi pour moi, mais il ne me réussissait pas si mal, même si, évidemment, jamais, gamin, je n’avais dit à qui que ce soit que je voulais devenir portier dans un hôtel de luxe. Voilà pourquoi j’eus un rire nerveux, confirmant le fait que non, ce n’était pas tant mon métier de rêve. C’était un boulot acceptable pour le moment, un boulot qui me faisait vivre, qui me permettait de me reprendre doucement en main et éventuellement voir ce que je voulais vraiment faire, si je parvenais à me décider. Puisque contrairement à bien des gens, jamais je n’avais eu de métier de rêve. Bien souvent, plus jeune, quand on me le demandait à l’école, j’inventais, je calquais sur les autres. Même la musique n’était pas mon métier de rêve, mais plus un passe-temps pour le plaisir, passe-temps qui m’avait occupé vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours par semaine, pendant plus de six ans par la suite. Et oui, j’aimais ça, mais était-ce au point que je voulais faire ça de ma vie ? La réponse était non, et cette hésitation que j’avais à accepter ce boulot, un banal remplacement, quelque chose de léger, venait le confirmer. Jugeant inutile de me voiler la face sur le sujet, je répondis donc à Maxine:  « Non, pas vraiment. » sans que ce soit un mensonge, enfin, pas un complet mensonge. Parce que la vérité, c’était que mon boulot de rêve, je l’avais trouvé à la naissance d’Haley, c’était celui d’être père. Mais ce n’était pas un boulot, pas à proprement parler, sauf que j’aimais ça, plus que tout au monde, et jamais je ne saurais m’en passer. Évidemment, celui-ci m’a poussé à aider les autres, comme j’étais en train, un peu, de le faire avec la jeune adolescente, mais était-ce vraiment ça qui pourrait me pousser vers une autre carrière ? Je n’en étais pas du tout convaincu. Du coup, je ne pouvais certainement pas reprocher à la demoiselle de ne pas avoir d’ambitions bien précises, étant le pire exemple pour ça. Au moins, je pouvais m’en servir pour la rassurer un peu, en lui disant:  « Je suppose que oui. J’ai plus de trente ans et je n’ai toujours pas trouvé. » Et est-ce que cela faisait de moi une mauvaise personne ? Peut-être aux yeux de certains, mais personnellement, je ne pensais pas qu’au vu de mon parcours, je pouvais me le reprocher, m’auto-flageller en me disant que je n’avais aucun avenir. Peut-être que c’était vrai, que je n’en avais pas, peut-être que jamais je ne trouverais, mais j’avais bien compris ces derniers mois que l’essentiel, c’était d’avoir de quoi vivre, avoir de quoi faire vivre ma fille, et la rendre heureuse. Le reste, ça importait peu. Mais ça, je le gardai pour moi, puisque ça attendrait probablement un autre moment, une autre conversation. Pourquoi ? Parce que nous arrivâmes au restaurant que la demoiselle m’avait demandé plus tôt. Celle-ci semblait même s’en montrer légèrement triste. Du coup, ce fut avec un ton moins assuré, en réaction, que je lui dis:  « Je vais te laisser, alors… » Mon sourire se fit tout aussi gêné que mon ton de voix, alors que j’ajoutais:  « Ça m’a fait plaisir de faire ta connaissance… Sois prudente en rentrant chez toi… » D’où ça me venait, cette idée d’être un peu plus protecteur, voire paternel à son égard ? Je ne savais pas trop, peut-être qu’au fond, je m’étais quelque peu attaché à la petite pendant cette discussion, et que j’espérais sincèrement qu’elle allait être sauve, se trouver, et s’épanouir, comme elle avait le potentiel de le faire.


Sujet terminé Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 2157058912
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MY BOOK COVER

Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Just running away... on my own again {feat. levi}   Just running away... on my own again {feat. levi} - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Just running away... on my own again {feat. levi}
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
 Sujets similaires
-
» Kacey & Levi + We Were Us
» 17.05 ▬ Levi & cie.
» Levi&Yso ↝ you're a rockstar
» Trixie & Levi + You don't know me
»  Levi tu es sorti ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
READ MY MIND :: La cour d'école, tant de plaisir :: Les rp's archivés-
Sauter vers: