{HOT} Dit moi que tu m'aimes [Feat. Tommy S. Grayson]

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Joyce était une jeune femme déterminée, organisée, consciencieuse dans ce qu'elle entreprenait. Et pourtant à lors actuelle, elle savait qu'ils auraient dû se mettre sur les dossiers pour éviter d'accumuler trop de retard, bien que Tommy soit le patron, ça ne devrait pas poser trop de problèmes. Mais elle refusait d'avoir un traitement de faveur sous prétexte qu'elle était la petite amie du dirigeant de la société, c'était hors de question, elle souhaitait être traitée comme les autres, même si à première vue, ça semblait impossible, parce que Tommy finirait tôt ou tars par ne pas être impartial avec elle.

Certes il fallait travailler, mais après tout, ils avaient bien le droit à un petit moment ensemble avant de s'y mettre, c'est une façon comme une autre de se motiver après tout. Et la belle blonde n'allait certainement pas s'opposer à ce genre de moment avec son petit ami. Elle se laissa emporter par le désir qui naissait au creux de son ventre, sans compter le mouvement des hanches du jeune homme venant contre les siennes. Cette sensation était tout simplement exquise, bien qu'ils avaient sans doute un peu trop de vêtements sur eux au gout de la suédoise.

Joyce aimait jouer avec Tommy, c'est peut-être aussi parce qu'elle se sentait en sécurité avec lui, qu'elle se disait qu'elle pourrait tout tenter auprès de lui. Et elle comptait bien visiter chaque pièce de cette maison de la même manière qu'il était en train de lui découvrir ce canapé. Ce même canapé où ils avaient commencé par regarder la télévision le jour de l'anniversaire de Tommy, et finalement, ils avaient terminés dans la chambre du jeune homme. Il n'était pas désagréable, mais elle préférait tout de même le lit à l'étage. Elle étouffa un petit rire en entendant les propos de son homme mais elle ne s'y attarda pas plus longtemps. Les lèvres de son petit ami dans son cou la firent totalement lâcher prise. Son corps se cambra lentement sous celui de son partenaire, et le premier soupire de plaisir passa la barrière de ses lèvres. Encore plus lorsqu'il déplaca ses lèvres au niveau de son décolleté, la naissance de sa poitrine.

" - Il reste combien de pièces après celle-ci ? Je suis pas sûre qu'on pourra toutes les visiter en une journée, quoique.. Ça pourrait être un bon défi.."

Inconsciemment, se laissant porter par ses émotions et surtout son désir, elle ondula son bassin contre celui du jeune homme, se doutant qu'au travers de ce jean, Tommy devait être dans le même état qu'elle, et cette pensée coquine la fit un peu sourire, le provoquant légèrement histoire de faire durer le plaisir.

Joyce & Tommy

Dis-moi que tu m'aimes

Bien que je me doutais que la question de Joyce avait été posée par pure plaisanterie, il n’en demeura pas moins que je ressentis le besoin de m’arrêter un bref instant, histoire de réfléchir un peu. Non pas que j’étais tant déterminé à lui fournir une réponse des plus précises, mais parce que si jamais elle voulait pousser la blague jusqu’au bout, alors je voulais le faire moi aussi. Et puis, comment saurais-je lui refuser une telle chose, lui présenter les pièces de la maison une à une, d’une façon on ne peut plus agréable ? Ce serait aller à l’encontre de mes envies, envies si fortes que je ne saurais réprimer de toute façon, comme jamais je ne pouvais réprimer quoi que ce soit quand j’étais avec Joyce, pour tout dire. Et même si ce n’était pas la première fois que nous passions un moment intime, il n’en demeurait pas moins que j’avais encore et toujours envie d’elle, et je sentais au plus profond de moi que ce n’était pas près de s’arrêter. Par conséquent, clairement, je voulais participer à l’idée et qui sait, peut-être la rendre éventuellement concrète, à ma façon, si c’était possible. Alors que j’étais en train de réfléchir, un nouveau sourire et un air plus malicieux apparurent sur mon visage, puis une fois que je crus avoir mis mes - mauvaises - idées en ordre dans ma tête, je reportai mon attention sur Joyce, puis je dis: « Eh bien, supposons que je commence par t’embrasser ici… » Je déposai encore quelques baisers sur son décolleté, puis dans son cou, et j’ajoutai, tout en continuant: « Et après, pour te retirer ton haut, nous pourrions aller à la cuisine, où je pourrais t’asseoir sur le plan de travail… » Je glissai mes mains sur mes hanches, laissant mes doigts légèrement taquiner sa peau sous son haut, et je poursuivis: « Et pendant un détour à la salle de bains du rez-de-chaussée, je t’enlèverais ce jean, bien qu’il te fasse des fesses magnifiques… » Mes mains s’avérèrent un peu plus baladeuses sous son haut, à croire que je ne saurais respecter mon plan, mais je fis preuve de retenue, puis j’ajoutai: « Puis à l’étage, je te ferais asseoir sur la chaise du bureau, puis je viendrais t’embêter, juste ici… » Une de mes mains vint s’aventurer au niveau de son entre-jambe, le temps de le caresser furtivement pendant un instant, et avant de continuer, je nous retournai, faisant en sorte que je me retrouvai assis sur le canapé, elle à califourchon sur moi, là où elle pouvait certainement sentir que mes propres paroles, mêlées à nos gestes, étaient en train de me donner une nouvelle érection. Dans cette position, je l’obligeai à approcher son visage du mien, mais seulement pour glisser mes lèvres à son oreille, et terminer, dans un murmure: « Et là, dans ma chambre, près de la fenêtre, je te ferais l’amour comme jamais personne ne te l’a fait avant… » Je complétai mon discours par un baiser langoureux, imposant en même temps la présence de mes mains sur ses fesses, que je commençai à masser légèrement.

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Joyce aimait jouer, mais jamais elle n'aurait pensé qu'elle pourrait être aussi coquine avec quelqu'un. Elle ne l'avait jamais été avant, c'est un peu grâce à Tommy qu'elle s'était découvert ce trait de comportement. Heureusement, ce n'était pas quelque chose qu'elle allait s'amuser à faire avec d'autres hommes, ce n'était pas ce genre de femme, à aimer plaire et faire en sorte que tous les hommes la regarde. Tant que Tommy la regardait, c'était tout ce qui comptait pour elle. C'est bien simple, depuis qu'elle était avec son petit ami, elle découvrait autant de choses sur lui que sûr elle-même. Elle apprenait à s'aimer aussi au travers du beau brun.

Au début, elle avait évoqué cette idée de visiter les pièces de la maison une par une, et que Tommy lui fasse découvrir encore plus de choses sur l'amour, comme il avait pu le faire jusqu'à maintenant, mais elle ne pensait pas qu'il prendrait tout cela au sérieux. Et pourtant, ce fut pour son plus grand bonheur qu'il commença à lui détailler son plan dans les moindres détails, tout en liant la parole aux gestes. Comme d'habitude, à chaque contact des doigts de Tommy sur sa peau douce, elle frissonna de plaisir.

La partie la plus intéressante commença lorsqu'il en vient à brièvement caresser son entrejambe, qui ne demandait qu'une seule chose. Puis avant même qu'elle ne puisse dire ouf, elle se retrouva sur son petit ami, désormais assit dans le canapé, les mains sur les fesses de la jolie blonde. Tout cela était incroyablement excitant elle ne pouvait le nier, surtout ce qu'il avait prévu pour finir tout cela en beauté. Et puis, ses mots. Tout la rendait folle, folle d'amour, folle de lui et folle de tout ce qui allait se passer, car oui, elle comptait bien qu'il mette son plan à exécution.

Son visage à quelques centimètres du sien, la belle blonde en profita pour continuer à jouer avec lui et lui exposer son point de vue concernant le programme qu'il avait préparé. Tout d'abord, elle remua doucement son bassin contre celui de son petit ami afin de lui faire comprendre qu'elle avait envie de lui, et encore plus que les autres fois. À chaque fois, c'était toujours plus, elle avait toujours envie d'aller plus loin. Puis, lentement, elle rapprocha ses lèvres de l'oreille du jeune homme.

" - Intéressant comme programme.. On commence quand ? J'ai hâte d'être à la dernière étape.." souffla-t-elle au creux de son oreille.

Puis, elle l'embrassa de plus belle, laissant dériver ses mains sur le corps de son homme. Malgré son pantalon, elle sentait bien qu'il était aussi excité qu'elle, et cette pensée que c'était elle qui lui faisait un tel effet lui plaisait énormément, en plus de sentir son sexe se durcir sous elle.

Joyce & Tommy

Dis-moi que tu m'aimes

Normalement, je n’étais pas quelqu’un qui était doué avec les mots. Non pas parce que je n’étais pas à l’aise de parler devant les gens, mais parce que lorsque venait le temps d’exprimer mon point de vue, être éloquent, tenir un discours sans hésiter, sans avoir peur que mes propos soient mal interprétés, ce n’était pas fait pour moi. C’était pareil quand venait le temps de déclarer ma flamme, d’exprimer ce que je ressentais. Je n’avais pas de mal à m’ouvrir sur le sujet, mais quand venait le temps d’étaler mes propos, c’était plus difficiles. Et en temps normal donc, jamais je ne me serais permis de tenir un tel discours. Certainement que je me serais contenté de simplement faire ce que j’avais en tête et voilà tout. Mais là, je venais d’agir de façon bien différente, mais en toute franchise, cela ne me déplaisait pas, bien au contraire. M’imaginer tout cela, me douter que probablement j’allais mettre tout cela à exécution, voir la réaction de Joyce au fur et à mesure que je continuais mes suppositions, mon récit, tout cela m’excitait encore plus et me renait encore plus impatient. Cependant, je fis quand même preuve d’une certaine contenance, allant au bout de mes propos, me laissant aller que lorsque j’eus terminé. Pour mon plus grand bonheur, Joyce adopta une idée similaire à la sienne, ne se faisant pas prier pour continuer à remuer sur moi, provoquant un frottement des plus excitants. Cherchant à renforcer cette sensation, je fis en sorte, à l’aide de mes mains, que ses ondulations soient plus grandes, viennent presser davantage contre mon jean pendant un instant. Mais allions-nous rester ici pendant tout ce temps ? Pendant un instant, je voulus me dire que oui, mais parce que je lui avais promis quelque chose qui semblait énormément lui plaire, si bien qu’elle en venait déjà à me demander quand nous pourrions commencer, je compris que le mieux serait de bouger, autrement je n’aurais plus envie de le faire, tout simplement parce que le désir de passer à la dite dernière étape sur ce canapé serait trop forte. Sans lui répondre quoi que ce soit donc, je gardai mes mains sur ses fesses, nous soulevant tous les deux. Je ne lui permis pas un instant de toucher le sol, l’emmenant directement à la cuisine. Comme je le lui avais promis, je l’installai sur le plan de travail, puis tel que prévu, je retirai son haut, l’obligeant à lever les bras pour pouvoir le passer au-dessus de sa tête. Me moquant bien de ramasser des vêtements un peu partout dans la maison plus tard, je le balançai par terre, puis je laissai mes mains caresser ses cuisses, puis son dos, tandis que je l’embrassais de nouveau dans le cou, puis au niveau de son décolleté, me permettant de pousser mon exploration encore plus loin au niveau de sa poitrine, si bien que je me permis de descendre les bretelles de son soutien-gorge pour libérer ses seins, avant de marmonner contre ceux-ci: « J’espère que je vais y arriver, tu es tellement… » Un soupir vint terminer mon propos, alors que je m’attardai sur sa poitrine un moment, même si clairement, il me faudrait bientôt passer à l’étape suivante.

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Joyce ne pouvait contenir son excitation plus longtemps. Le programme que Tommy avait prévu pour eux deux était des plus alléchants et elle avait hâte qu'il le mette à exécution. L'un contre l'autre, la belle blonde commença à remuer tout contre lui, le mettant encore plus à l'étroit dans ce jean qu'il portait, puis ensuite, c'est à l'aide des mains de son petit ami que ses mouvements furent plus amples, jusqu'à ce que finalement elle y mette fin, contre son gré lorsqu'il la transports vers la cuisine.

Première étape de ce programme excitant. Jamais avant Joyce n'aurait accepté une telle chose, et pourtant, à cet instant précis, elle n'avait plus que ça en tête. Sa seule motivation c'était de passer avec succès toutes ces étapes afin d'arriver à la dernière qu'avait évoqué son petit ami. Celle qu'elle attendait le plus, et en même temps, qu'elle redoutait. Non pas qu'elle avait des doutes le concernant, Joyce savait que Tommy pouvait la combler et il le faisait parfaitement, aussi bien sur le plan affectueux que le plan sexuel. Et d'un côté, elle était fier de ne pas avoir eu beaucoup d'hommes pour avoir un point de comparaison, parce que désormais, elle se fichait bien de ce qu'elle avait pu vivre ou non, elle apprenait tout auprès de son petit ami, comme une jeune adolescente qui découvre l'amour pour la première fois. Et malgré que ça puisse lui paraître bizarre de temps en temps, elle était heureuse de ne pas avoir donné son corps à des dizaines d'hommes avant lui, désormais, son corps et son coeur n'appartenait qu'à un seul homme. Tommy.

Une fois dans la cuisine, comme il l'avait mentionné, il la déposa sur le plan de travail, lui retirant sans plus tarder son haut, laissant alors apparaître cette vue qui était désormais presque habituelle pour le jeune homme. Malgré cela, Joyce se sentait toujours un peu gênée de se retrouver ainsi devant lui, elle était intimidée, mais le désir qu'elle ressentait lui faisait presque oublier cette sensation. Lorsque Tommy lui eut retiré son tee shirt et mis par terre, il s'attaqua à sa peau avec ses lèvres qui firent frissonner de plaisir la belle suédoise.

" - Je suis tellement quoi bébé ?" demanda-t-elle en murmurant à l'oreille de son petit ami.

Au fond, elle se fichait bien qu'il utilise des mots romantiques ou non, ce qui lui importait c'est la place qu'elle avait auprès de lui, et ce qu'il ressentait pour elle. Alors oui, au fond elle avait besoin d'entendre ce qu'il avait à lui dire, d'entendre qu'il l'aimait et qu'elle était belle, parce que son regard était le seul qui comptait réellement, bien que celui des autres l'impactent aussi énormément.

Toujours ses jambes enroulées autant de la taille de son petit ami, elle attendait avec impatience la prochaine étape. À savoir le passage par la salle de bain pour lui retirer ce pantalon, qui soit disant rendait ses fesses plus attirantes, bien qje ce ne soit pas vraiment une partie de son corps qu'elle appréciait. De son côté, elle s'empressa de retirer le tee shirt de son amoureux pour admirer son torse.
Cette vue dont elle ne se lassera probablement jamais. Ainsi ils étaient désormais à égalité.

Joyce & Tommy

Dis-moi que tu m'aimes

En plus de ne pas avoir nécessairement de souci quand venait le temps d’ouvrir la bouche et de commencer à parler, je n’avais non plus de souci à parler franchement, peut-être utiliser des mots qui n’étaient pas toujours appropriés pour les oreilles de tout le monde même. Et au moment où je voulus complimenter Joyce, j’avais un mot en tête, bien précis, mais quelque peu grossier. En temps normal, cela ne m’aurait pas gêné de le dire, mais entre le fait que je ne m’étais jamais montré bien direct, voire un peu brusque avec Joyce - à l’exception de ce matin - que je ne connaissais pas ses limites, combiné au désir qui était en train de m’envahir de plus en plus, je m’étais arrêté. Je pensais dans un premier temps que cela passerait malgré tout, mais visiblement, ma petite-amie était d’humeur à insister, continuer à jouer le jeu. Pendant un bref instant, je me redressai, la considérant, comme pour chercher la permission dans son regard d’être un peu plus cru. Et me disant qu’au pire, ce n’était pas comme si j’étais sur le point de l’insulter ou quelque chose dans le genre, bien au contraire. Je me mordillai donc la lèvre inférieure pendant un bref instant, puis j’approchai mon visage de son oreille pour lui dire, au creux de celle-ci: « T’es bandante, bébé. » Volontairement, j’avais insisté sur le dernier mot, pour reprendre ce qu’elle avait dit plus tôt, afin de l’embêter un peu. Cependant, je ne m’attardai pas plus longtemps, parce que non seulement, je me retrouvai à caresser, embrasser sa peau de nouveau, mais de plus, ma jolie blonde avait visiblement décidé que ce n’était pas qu’elle qui devait se voir déshabillée pendant ce petit jeu. N’ayant aucun souci avec cela, je la laissai me retirer mon t-shirt, en venant même à l’aider quelque peu à la fin pour qu’elle y parvienne plus rapidement. Puis, je le balançai plus loin, comme j’avais fait avec son haut, décidant par la même occasion de faire en sorte que son soutien-gorge, qui ne lui était plus d’aucune utilité, aille rejoindre le lot. Puis, tel que promis, je la fis descendre du plan de travail, l’emmenant dans la salle de bains du rez-de-chaussée, ne me rappelant même plus si elle l’avait vue précédemment. Une fois que nous y fûmes, je lui dis, toujours à la blague: « Alors ça, c’est la salle de bains… » Volontairement, je la laissai passer devant moi, et ce fut derrière elle que je glissai mes mains autour de sa taille pour déboutonner son pantalon et le faire glisser le long de ses jambes. Puis, afin de lui donner un avant-goût de ce qui l’attendait à l’étage, je posai ma main sur sa culotte, à la hauteur de son intimité, puis je commençai à masser doucement cette zone de son corps. Mon visage enfoui dans son cou, je lui dis, en susurrant: « J’espère que tu es prête pour la suite, je n’ai pas l’intention de prendre mon temps… » Enfin, mon but, c’était cela dans un premier temps, mais là, ce jeu était si excitant, si prenant, que je ne savais même pas si je serais tenir le coup encore bien longtemps, parce que moi aussi, j’avais plutôt hâte d’en arriver à la fameuse dernière étape.

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Est-ce que Joyce était du genre à se vexer rapidement ? Non. Enfin en tout cas, pas à sa connaissance. Et c'est encore moins le cas quand il s'agit de Tommy. Bien évidemment qu'elle ne lui en voudra pas de lui parler avec des mots peut-être un peu plus cru que d'habitude, et puis, qui sait, peut-être même qu'elle aime ça ? Alors que Joyce tenait véritablement à savoir ce qu'il pensait d'elle, elle s'attendait pas à quelque chose de romantique non, mais plutôt à des mots un peu plus osé, en adéquation avec la situation. Et elle ne s'était pas trompé. Malgré le manque de romantique grandiose suite à ce compliment, la jolie suédoise était heureuse de voir qu'il pensait ça d'elle, c'était un compliment après tout. Bien évidemment, elle ne l'aurait pas accepté de tout le monde, mais venant de son petit ami, c'était différent. Sans compter le petit surnom qu'il ajouta à la fin, comme s'il cherchait à jouer lui aussi, ce qui ne déplaisait pas du tout à Joyce.

Une fois qu'elle se retrouva à moitié nue face à son homme, elle décida que la situation exigeait que lui aussi soit nu s'ils comptaient passer un nouveau moment ensemble, alors elle entreprit de le déshabiller en retirant son tee shirt, avec son aide bien évidemment. Lorsque ce fut fait, la jolie blonde eut à peine le temps de dire quoique ce soit, que Tommy enchaînait et passait déjà à la pièce suivante, laissant ainsi leurs affaires à même le sol. Dans l'immédiat, elle se fichait pas mal de savoir où aller rechercher son soutien-gorge ou même sa petite culotte. D'aussi loin qu'elle se souvienne, elle ignorait jusqu'à présent la présence de cette salle de bain au rez-de-chaussée, seule celle de l'étage lui était connu, et encore plus depuis le matin même. Quelques heures auparavant pour dire vrai.

Le pantalon déboutonné et gisant sur le sol, Tommy s'attaqua ensuite à caresser Joyce au niveau de son intimité, seulement, ce qui la rendait encore plus folle c'était ce bout de tissu qui séparait les doigts experts du brun, de sa peau humide et sensible. Elle mit sa tête en arrière lorsqu'il commença à la taquiner de la sorte tout en lui murmurant à l'oreille des paroles qui ne faisait que l'exciter encore un peu plus.

" - Tant mieux, j'aime quand tu ne prends pas ton temps.." fit-elle en lâchant un soupir sous ses caresses.

Elle se retourna afin de débarrasser à son tour, Tommy de son pantalon. Il ne lui restait ainsi plus que son boxer, qui laissait apparaître une magnifique forme dans celui-ci, une forme que Joyce appréciait, et encore plus lorsqu'elle la sentait tout contre elle, mais ça, elle ne lui avouera probablement pas.

Joyce & Tommy

Dis-moi que tu m'aimes

Puisque j’avais promis certaines choses à Joyce, je voulais, bien sûr, aller jusqu’au bout de mes idées, lui faire vivre pleinement ce moment que j’avais prévu pour elle, faire en sorte que tout cela ne soit que pur plaisir et qu’elle, tout comme moi, puissions nous rappeler de cette journée, de ce moment où elle était venue s’installer chez moi et que nous avions baptisé la maison, d’une certaine façon. Cependant, au vu de mon envie qui grimpait, puis du fait qu’elle venait de me dire qu’elle aimait bien que je commence à faire rapidement, qu’elle voulait bien que je me presse à faire les choses, à arriver à l’étape ultime de tout ce procédé, cela devenait de plus en plus difficile. En effet, je commençais de plus en plus à songer à passer outre la prochaine étape, soit le détour par le bureau. Non pas que je ne mourais pas d’envie de la voir assise sur mon fauteuil, les jambes écartées, prête à s’offrir à moi tandis que je lui procurais autant de plaisir que possible, mais parce que l’envie de lui faire l’amour était de plus en plus grande, et j’ignorais pendant combien de temps je pourrais la contenir. Et ce sentiment ne fit que se renforcer au moment où Joyce se permit de me débarrasser de mon pantalon, rendant la bosse dans mon sous-vêtement encore plus évident que précédemment, venant confirmer le fait que si jamais je venais à me débarrasser de mon dernier vêtement, il était certain que mon érection allait se manifester en grandes pompes, montrant que je ne pouvais plus me contenir. Malgré tout, je décidai de faire un dernier effort pour m’en tenir à mon plan, et n’attendant pas plus longtemps, je l’emmenai à l’étage, histoire de l’accompagner au bureau, tel que promis. Mais avant de l’installer sur la chaise comme je l’avais prévu, je la gardai debout devant moi, tout près de moi, puis je me permis de continuer l’exploration que j’avais commencé plus tôt, mais en poussant l’audace jusqu’à glisser ma main à l’intérieur de sa culotte, brisant ainsi la barrière qui me séparait précédemment de son intimité. Pendant un bref instant, je continuai mes caresses, comme plus tôt, mais directement sur sa peau. Puis, à un moment donné, je me permis de laisser mes doigts glisser entre les lèvres de sa féminité, agréablement surpris d’y sentir une telle humidité. En effet, j’estimais que je n’avais pas fait tant que cela et pourtant, je lui faisais de l’effet à ce point. Bien sûr que j’en étais ravi, je n’allais clairement pas me plaindre d’une telle chose, comme je lui fis savoir en lui disant, près de son visage: « T’es déjà prête pour moi, j’adore ça… » Mais après, allais-je encore lui procurer plus de plaisir comme prévu ? Ce n’était pas l’envie qui manquait, mais en même temps, la suite, l’envie de la suite plutôt, prenait le dessus, si bien qu’au final, alors que j’étais en train de l’embrasser de nouveau, je grognai: « Et puis merde… » Sur ces mots, je lui retirai sa culotte, et comme si je voulais me donner bonne conscience, je déposai quelques baisers sur son intimité, les accompagnant de quelques coups de langue bien placés. Par contre, je ne le fis pas longtemps, me pressant à me redresser, puis l’emmener dans ma chambre. Prestement, je pris le fauteuil sans appui-bras qui trônait dans la place, celui sur lequel je « rangeais » mes vêtements quand j’avais la flemme - donc tout le temps - puis je le positionnai de sorte à ce qu’il fasse dos à la fenêtre. Je m’y assied, puis j’attirai Joyce à moi, de sorte à ce qu’elle s’installe sur moi, un peu comme sur le canapé, mais cette fois-ci, elle faisait face à la fenêtre, à la vue imprenable sur la rivière, exactement comme je le lui avais promis. Restait à voir si elle allait comprendre ce que je souhaitais faire pour la suite, même si j’estimais que j’avais été plutôt clair et ce, sans rien dire.

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Jusqu'à présent, Joyce avait été assez claire sur les envies qui l'animait, tout comme l'avait fait Tommy. Malgré l'excitation qui les faisait vibrer tous les deux, elle était reconnaissante au jeune homme de suivre chaque étape comme il le lui avait précédemment annoncé. Bien que pour une fois, elle se serait bien passé de tout cela pour aller directement à la dernière étape, soit celle qu'elle attendait le plus. Cet instant où Tommy lui avait annoncé qu'il comptait lui faire l'amour comme personne ne lui avait jamais fait avant l'excitait et elle avait hâte de voir de quelle manière il allait s'y prendre pour lui faire atteindre le septième ciel. Bien que peu importe la manière, il y arriverait à coup sûr.

Une fois en sous-vêtements, la jeune femme se permit de retirer le pantalon de son homme afin qu'ils soient tous les deux à égalité et dans la même tenue. Ce qu'elle decouvrit sous ce jean lui faisait encore plus plaisir, il suffisait simplement de voir la manière dont réagissait son corps. Si ça ne tenait qu'à elle, elle aurait sans doute retiré le dernier sous-vêtement de son petit ami immédiatement, mais, elle préférait attendre pour qu'ils soient à cette dernière étape qu'ils attendaient tous les deux. Au fond d'elle, elle était heureuse de voir qu'elle pouvait mettre un homme dans cet état, et encore plus son petit ami. Et puis, c'était réciproque qu'à elle aussi, était toute prête à l'accueillir, ce qu'il ne tarda pas à découvrir d'ailleurs. Après quelques caresses sur son intimité, Tommy finit par enfoncer ses doigts en elle. Ces derniers s'inséraient avec une facilité déconcertante tellement la jolie blonde était humide sous le coup de l'excitation.

" - J'y peux rien, tu m'excites et j'ai très envie de toi.." avoua-t-elle entre deux soupirs de plaisir en sentant ses doigts s'agiter en elle.

Et ceci n'était qu'un petit aperçu de ce qui allait suivre. Tommy finit par lui donner quelques coups de langue, et comme si ça lui coûtait, il s'arrêta et poursuivit son chemin dans la chambre. Là il se saisit d'un fauteuil qu'il installa dos à la baie vitrée et s'assit dessus, tout en invitant Joyce à le rejoindre. Elle était désormais nue, entièrement prête à s'offrir à lui une fois de plus, pour son plus grand bonheur.

Pour commencer, elle retira avec difficulté le dernier vêtement couvrant le sexe de son homme, avant de le jeter par terre, comme le reste de leurs vêtements étalés un peu partout sur le sol de leur maison. Puis, elle laissa sa main dérivée sur l'érection de son petit ami tout en se mordant la lèvre inférieure sous le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Puis, sans prévenir, elle arrêta ses caresses, se releva et sans prévenir le beau brun, elle s'assit sur lui, orientant le sexe de ce dernier pour qu'il trouve l'entrée de son sexe, puis s'enfonca lentement sur lui en poussant un cri de plaisir.

Il n'avait pas menti, personne ne lui avait jamais fait l'amour devant une telle vue. Malheureusement, elle ne pouvait en profiter pleinement, puis qu'elle avait les yeux clos sous le plaisir qui brûlait en elle. Quelques secondes après s'être habitué à cette sensation de plénitude qu'elle ressentait, le sexe de son homme en elle, Joyce se mit à accélérer les mouvements, puis de plus en plus francs jusqu'à gémir à chacun d'entre eux.

" - Tommy.." implora-t-elle entre deux gémissements.

Joyce & Tommy

Dis-moi que tu m'aimes

Au vu de tout ce que nous venions de faire avant d’arriver à ce moment, je me doutais bien, j’espérais bien, que Joyce n’allait pas supposer que c’était là le moment de se poser et de discuter de tout et de rien, dans cette tenue, dans ces circonstances. Heureusement, ce ne fut pas le cas. Bien rapidement, elle s’approcha, s’attaquant sitôt à mon sous-vêtement. Histoire de lui venir quelque peu en aide pour qu’elle me le retire, je relevai légèrement les fesses, laissant le vêtement glisser sur mes jambes pour aller rejoindre le sol. Le regard rempli de désir, je considérai ma petite-amie alors que celle-ci venait à me taquiner au niveau de mon sexe, m’arrachant là plusieurs soupirs de plaisir, même si clairement, j’avais envie de plus, j’étais pressé d’en avoir plus. Mais avant que je ne puisse le lui faire savoir clairement, que je me décide à la presser davantage, ma jolie blonde me devança, s’installant sur moi, me laissant alors me délecter du plaisir d’être en elle, me fondre en sa personne, ne faire qu’un avec la femme que j’aimais plus que tout au monde. Dans un premier temps, alors qu’elle continuait de s’empaler autour de moi, je me contentai de simplement poser mes mains sur sa taille, comme si je voulais lui proposer un certain appui, une sécurité comme quoi elle pouvait continuer sur sa lancée sans prendre le risque de perdre l’équilibre ou quelque chose du genre. D’une certaine façon, ce n’était pas plus mal, sachant que je profitais pleinement de sa présence, de ce contact dont jamais je ne saurais me lasser. Mais je dus admettre que je fus plutôt ravi de voir Joyce commencer à s’agiter sur moi, commençant d’abord par des mouvements lents, qui commencèrent à gagner en vitesse lentement, mais sûrement, m’arrachant des soupirs de plaisir, encore plus évidents quand j’entendis ma jolie blonde commencer à gémir son plaisir en même temps. Pour tout dire, j’étais plus que ravi de la voir prendre tant de plaisir, et déterminer que ce moment ne se termine pas de sitôt, je resserrai davantage mon emprise sur sa taille, puis en guise de réponse à ses supplications, je lui répondis: « Continue ma belle, vas-y, lâche-toi… » Après tout, il n’y avait pas qu’elle qui avait le droit d’avoir des demandes, non ? Et puis, je ne pensais pas que je venais de faire preuve d’une exigence qui ne saurait être respectée. Comme pour joindre les gestes aux propos, je laissais mes mains dériver vers ses fesses, l’obligeant, comme lorsque nous étions sur le canapé, à rouler les hanches plus amplement, puis accélérer le mouvement, afin de rendre les pénétrations plus profondes, mais aussi beaucoup plus profitables pour elle comme pour moi.

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