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| Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} | |
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| Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Lun 21 Aoû - 0:45 | |
| Hormis le fait que la blonde serait ravie de devenir madame Grayson de manière permanente comme il le lui avait demandé, en revanche, elle se demandait si c'était le moment idéal, non seulement elle allait prendre plusieurs kilos à cause de son ventre qui allait prendre de plus en plus pour laisser grandir leur enfant, et puis, elle était fatiguée dès qu'elle faisait la moindre petite chose. Un mariage c'était une certaine organisation, beaucoup de travail et elle doutait sincèrement d'en avoir la force. Sans compter bien évidement le stress que la cérémonie pourrait rajouter à celui qu'elle avait déjà au quotidien. Est-ce qu'elle était prête à prendre le risque de se disputer avec lui pour un traiteur ou bien pour la disposition des tables ? Sans doute pas, elle avait tout simplement peur de le perdre à chaque minute qui passait, encore plus depuis qu'il avait évoqué cette éventualité qu'elle devienne sa femme.
En revanche, elle ne s'était pas encore penché sur le fait d'utiliser son nom ou bien garder le sien ? Est-ce qu'il prendrait cela comme un affront si elle choisissait la seconde option ? Elle n'en savait trop rien, mais ce n'était pas vraiment la chose primordiale à laquelle elle pensait, même si elle savait porter son nom lui apporterai sans doute beaucoup de privilèges, peut-être même certains qu'elle ne méritait pas. Joyce se penchera sur cette problématique au moment venu, même si pour l'instant le fait de prononcer son éventuel futur nom la fit frissonner, comme si elle était déjà sienne.
La jeune femme, attirée par son petit ami, se retrouva finalement au-dessus de lui avant d'échanger un baiser. Celui-ci traduisait toutes les paroles que Tommy n'arrivait pas à prononcer, voilà ce qu'était le véritable amour. Inutile de parler pendant des heures, de simples gestes permettent de parler pour nous. Et le plus beau, c'est de se comprendre simplement avec un regard, sans échanger de mots, et c'est ce qui se passait avec le beau brun, voilà pourquoi Joyce pensait réellement qu'il était l'homme qu'il lui fallait, en plus du fait que depuis leur rencontre, il la rendait heureuse et lui avait redonné goût à la vie, même si le parcours était encore long.
" - Tu vas devenir le chef de la famille, alors oui il le portera forcément."
Bien sûr qu'ils pouvaient s'arranger pour que leur enfant ai leur deux noms séparés d'un tiret, mais Joyce aimait la simplicité, et pour le cas présent, ce serait de porter le nom du mari, à savoir celui de Tommy. Est-ce qu'elle y voyait un soucis ? Non aucun, elle sera même fier que leur enfant porte ce nom, en espérant qu'il n'ai pas tous les désagréments qu'il pourrait lui apporter au vu du statut du jeune homme.
" - Est-ce que tu désira savoir son sexe avant qu'il ne vienne au monde ?"
Quitte à parler bébé, autant poursuivre sur le sujet, d'autant plus que la suédoise avait besoin de savoir ce qu'il en pensait. Ayant déjà eu un enfant, elle se plierai aux désirs de son petit ami, même si savoir le sexe de l'enfant aidait toujours pour préparer les choses avant qu'il ne vienne au monde, c'est pour ça qu'elle avait voulu savoir le sexe d'Isaak afin de se préparer le mieux possible. Mais s'il voulait garder la surprise jusqu'au bout, elne jouera également le jeu, elle n'ira pas à son encontre. |
| | | A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept MY BOOK COVER▹ posts : 1187 ▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gifs) ▹ avatar : Chris Hemsworth ▹ pseudo : Mayiie ▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin) ▹ Teddy (R. Reynolds) ▹ Micah (N. Jonas) ▹ Noah (D. O'Brien) ▹ Carson (K. McGrath) ▹ Jordan (S. Amell)▹ age : Thirty-six y.o. ▹ 30.10.82 ▹ activité rp : Athena ▹ Kacey
| Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Lun 21 Aoû - 3:59 | |
| Joyce & Tommy Une soirée presque comme les autres Je n’allais pas le nier; lorsque Joyce en vint à me désigner comme étant le chef de la famille, ou plutôt l’éventuel chef de la famille, je fus quelque peu perturbé. Ce n’était pas chose négative, c’était simplement parce que jamais je n’avais vu cela ainsi précédemment. Toujours, je m’étais vu comme un membre limite indésirable de ma propre famille. Mais maintenant, c’était comme si j’avais l’occasion de prendre les commandes de ma vie de famille, cesser de m’en faire avec ce que ma mère pouvait penser pour une fois, puisque j’aurais ma femme - que je n’appellerais pas ainsi maintenant, mais éventuellement, certainement plus tard, après la naissance du bébé - et mon enfant. Et au vu de comment les choses allaient avec Joyce, j’avais cette impression plutôt rassurante que si je continuais à faire les choses convenablement, alors peut-être que cette famille saurait m’aimer inconditionnellement, contrairement à bien des gens dans ma vie devant qui je devais me tenir droit, histoire de ne pas perdre la tête de nouveau, m’enfuir et ne plus vouloir rien à faire avec ma réalité. Non seulement, je n’avais plus envie de le faire, mais de plus, j’avais une raison, une excellente raison de ne pas m’enfuir. Et même si je redoutais encore et toujours cette éventualité de devenir père, il était hors de question que j’aille autre part, que je laisse tomber Joyce. Sans elle, je n’étais pas grand-chose, je n’étais rien même, alors je ne pouvais pas me permettre de la laisser, de quelconque façon, je le savais désormais. J’espérais juste que je serais capable d’adopter un comportement semblable avec notre enfant, et même si j’avais encore le temps, je voulais faire mon possible pour me préparer aussi bien que je le pouvais. Et pour cette raison, au moment où ma jolie blonde en vint à me demander si je voulais connaître le sexe de notre bébé avant sa naissance, la réflexion ne fut pas bien longue; rapidement, je hochai la tête positivement, avant de justifier mon choix avec un petit: « Je crois que je me sentirais un peu plus prêt… Et puis, ce sera plus facile pour lui acheter des vêtements, préparer la chambre et tout… Je suppose… » J’avais choisi de laisser quand même planer un doute parce que je voulais que Joyce comprenne que si jamais elle, elle préférait le savoir qu’à la naissance, alors nous pourrions toujours attendre, ce n’était pas ce qui me gênait le plus. Enfin, peut-être cela me rendrait un peu plus nerveux, mais au pire, je ferais avec. Je ne craignais pas que Joyce pourrait me venir en aide si jamais elle préférait la seconde option. Après, peut-être que cela ne changeait pas grand-chose au niveau du temps, ça, je ne le savais pas, d’où le fait que, curieux, je me permis de lui demander: « On pourrait le savoir quand ? » J’aurais pu aussi lui demander par la même occasion si elle avait posé la question lorsqu’elle était enceinte de son fils, mais refusant de m’aventurer dans un sujet trop délicat, je me ravisai, me contentant de simplement satisfaire ma curiosité sur ce détail technique pour commenter, et m’assurer par la même occasion que ma suggestion convenait à ma petite-amie aussi.
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| | | | Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Lun 21 Aoû - 14:07 | |
| La soirée qu'ils avaient initialement prévue dans cette chambre n'avait finalement pas lieu, le sujet abordé était beaucoup plus sérieux qu'on aurait pu le penser dans un premier temps, mais au fond, Joyce était heureuse que Tommy commence à s'habituer, doucement mais sûrement au fait qu'il allait devenir papa. De toute manière, d'ici quelques temps l'avortement ne serait plus une option possible et donc, ils allaient devoir faire avec si jamais il changeait encore d'avis à l'approche de la naissance. Qu'il soit nerveux et stressé et largement compréhensible, surtout puisque c'est la première fois, mais jamais la jolie blonde ne le lâcherai, elle allait lui apprendre à s'occuper d'un enfant. De leur enfant.
La future maman était prête à tout pour que Tommy puisse faire tomber les appréhensions, éventuellement qu'il puisse aussi se détendre, même si elle-même se tendait un peu au fur et à mesure de sa grossesse, et si pour cela, ils devaient faire des recherches Internet, aller acheter des vêtements ensemble ou tout autre activité alors elle n'y voyait aucun inconvénient. Elle voulait qu'il soit le mieux préparé possible afin de ne pas fuir devant le petit bout que sera son enfant. Parce que oui, c'est encore une possibilité, celle que le jeune homme prenne peur à la naissance et laisse Joyce toute seule. Elle en doutait mais c'est tout de même une possibilité qu'elle ne pouvait pas totalement balayé de son esprit tant qu'ils ne seront pas une famille unie.
Joyce savait que le mot famille pour lui ne signifiait pas grand chose, à part quelque chose de négatif et elle ne voulait pas qu'il croit que ce ne serait qu'une reproduction de la sienne. La blonde l'aimait pour ce qu'il était, même si elle avait encore un peu de mal à composer avec parfois, mais surtout, elle était persuadée que le petit têtard comme il aimait l'appeler aimait déjà autant celle qui le portait que son géniteur. Leur vie allait changé mais en bien, du moins elle l'espérait. Elle espérait que ça redonne confiance à Tommy et qu'il pourrait lui montrer qu'une famille c'est aussi ce qu'ils allaient devenir.
Comme elle s'y attendait, Tommy avait préféré choisir la sécurité et connaître le sexe du bébé avant la naissance avant de tout préparer pour lui, ce qui était compréhensible. Puis, la question qui suivit fit réfléchir la blonde quelques instants. Elle en était à deux mois de grossesse.
" - On peut le savoir maintenant mais ce ne sera pas totalement sûr, y'a qu'à partir de quatre mois où les médecins pourront déterminer le sexe de l'enfant avec certitude lors d'une échographie."
En tout cas, c'est ce qu'elle avait retenu de sa première grossesse, peut-être que quelques détails lui avaient échappé. La jolie passa ensuite ses mains sur le torse de Tommy en lui retirant son noeud papillon.
" - Vous êtes très sexy avec ce noeud papillon monsieur Grayson. On aurait presque envie de vous sautez dessus."
Bien évidemment, elle le pensait. Cette tenue avait de quoi émoustiller la jeune femme. Tommy en costume est une vision qu'elle appréciait particulièrement, mais ce n'est pas pour autant qu'elle lui demandera de s'habiller comme ça tous les jours, loin de là. |
| | | A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept MY BOOK COVER▹ posts : 1187 ▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gifs) ▹ avatar : Chris Hemsworth ▹ pseudo : Mayiie ▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin) ▹ Teddy (R. Reynolds) ▹ Micah (N. Jonas) ▹ Noah (D. O'Brien) ▹ Carson (K. McGrath) ▹ Jordan (S. Amell)▹ age : Thirty-six y.o. ▹ 30.10.82 ▹ activité rp : Athena ▹ Kacey
| Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Lun 21 Aoû - 16:07 | |
| Joyce & Tommy Une soirée presque comme les autres Je faillis m’émoustiller et demander à ma petite-amie ce que nous attendions pour qu’elle prenne un rendez-vous chez le médecin au moment où elle en vint à me dire que nous pourrions découvrir le sexe du bébé dès maintenant. Plus encore, j’en vins même à me demander si elle ne l’avait pas fait plus tôt, attendant que je vienne à lui dire que je souhaitais le connaître, parce qu’elle n’avait pas osé me le demander précédemment, quelque chose du genre. Cependant, mes ardeurs se calmèrent bien rapidement au moment où elle en vint à ajouter que ce ne serait pas là un résultat certain, et que le mieux était d’attendre encore un peu. Grimaçant légèrement, j’en vins toutefois rapidement à la conclusion que deux mois, alors qu’il en restait environ sept à sa grossesse à passer, ce n’était pas si long que ça à attendre. La preuve était que cela faisait maintenant deux mois qu’elle était enceinte et pourtant, j’avais l’impression que c’était hier qu’elle me l’avait annoncé. Il fallait admettre qu’aussi, la rapidité du temps qui passait ne me confortait pas dans l’idée d’être prêt pour la naissance de l’enfant, mais à partir du moment où nous saurions le sexe, j’aurais encore trois mois pour être prêt et là, je pourrais me préparer plus concrètement que jamais, parce que je saurais si nous allions avoir un garçon ou une fille. Me disant que ce n’était pas plus mal au final, surtout que cela ne voulait pas dire que je ne pouvais rien faire pour m’informer et tout en attendant, je finis par acquiescer, ajoutant par la suite: « Attendons les quatre mois alors. » Après tout, c’était plus sage, pour éviter les erreurs, les faux espoirs et tout ce qui venait avec pour le coup. Mais après, est-ce que cela était possible ? Comment tout ça marchait ? J’aurais eu encore bien des questions à poser à ma bien-aimée, sauf que trop rapidement, elle en vint à détourner mon attention en posant ses mains sur mon torse, me faisant frissonner et ce, même si j’étais toujours habillé. Après, je ne pouvais pas m’en plaindre, puisqu’encore mieux, sans que je ne demande quoi que ce soit, elle en vint à me retirer mon noeud papillon, venant me débarrasser de ce bout de tissu qui m’enserrait le cou depuis trop longtemps à mon goût. Mais plutôt que de m’en plaindre comme j’aurais pu le faire d’habitude, je préférai écouter les propos de ma jolie blonde, propos qui m’arrachèrent un petit sourire un peu plus malicieux, alors que je lui répondis, dans le but de la taquiner: « Presque ? Pas plus que ça ? C’est à en être décevant, madame Grayson… » Bien évidemment, j’avais fait exprès de l’appeler ainsi, histoire de jouer le jeu qu’elle avait initié à la réception en réservant la chambre, mais aussi dans le but de lui faire plaisir, dans l’espoir que ça lui fasse plaisir, bien évidemment. Et comme pour joindre la parole à l’acte, sentant que lentement, mais sûrement, un petit jeu était de nouveau en train de s’installer entre nous, je me permis de glisser mes mains sur ses jambes, relevant doucement sa robe sur mon chemin, pour finalement déposer des caresses sur ses cuisses, toujours en continuant ma route et ce, de plus en plus haut sur son corps, de façon limite dangereuse compte tenu du fait qu’elle ne portait toujours rien dessous.
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| | | | Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Lun 21 Aoû - 21:53 | |
| Joyce n'avait pas d'attentes précises sur sa grossesse, connaître ou non le sexe de l'enfant ne l'embêtait pas plus que ça en vérité. C'est pour cette raison qu'elle avait posé la question à son petit ami, parce que pour elle, les deux options étaient envisageables. Elle aurait pu aussi aller aux échographies sans lui, est-ce qu'il avait envie de voir celui qu'il désignait comme le petit têtard de manière plus concrète ? S'il n'était pas prêt, Joyce ne le forcerai pas à l'accompagner, après tout, c'est aussi une étape dans le fait d'accepter qu'il allait devenir papa.
Elle l'informa ensuite sur la date à laquelle ils auraient la possibilité de savoir presque de manière certaine, le sexe de leur enfant. Au fond d'elle, la suédoise avait une préférence pour une fille, elle avait déjà eu un petit garçon, et comme sans doute toutes les femmes, elle rêvait d'avoir un garçon et une fille, c'était un peu le rêve de toute maman qui désirait avoir deux enfants.
" - On ira la faire ensemble si tu veux bien."
C'est une proposition qu'il pouvait refuser bien évidemment, si elle proposait c'était simplement pour qu'il puisse voir plus concrètement ce qu'était le petit bout qui grandissait dans le ventre de Joyce et puis, ils partageraient au moins ça ensemble.
Alors qu'elle avait recommencé à jouer ce petit avec son petit ami, elle sourit en voyant que ce dernier n'y était pas insensible. Elle retira alors ce noeud papillon qu'il portait avant de déboutonner sa chemise, lentement mais sûrement, laissant alors apparaître les poils sur sur torse. Un sourire un peu plus malicieux se dessina sur ses lèvres en sentant les mains de son compagnon sur ses cuisses. Elle le laissa faire avant de l'arrêter.
" - Ah non ! Il est interdit de toucher, il faudra se contenter de regarder avec les yeux." fit-elle en faisant une tape sur ses mains pour qu'il les retire.
Joyce devait bien avouer qu'elle était contente de son petit scénario. Au début, elle était prête à s'offrir totalement à lui, à lui laisser le contrôle sur elle toute la nuit s'il le fallait, mais au lieu de ça, la situation faisait que désormais, c'était elle qui était aux commandes. Pour combien de temps encore ? Ça elle l'ignorait, parce que Tommy n'allait pas s'avouer vaincu aussi rapidement. C'était sa façon à elle de se venger du fait qu'il lui avait subtilisé sa culotte de manière perverse pour le restant de la soirée. Bien évidemment, s'il se montrait aussi entreprenant, elle ne résistera pas longtemps à ses avances c'était certain. |
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| Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Lun 21 Aoû - 23:33 | |
| Joyce & Tommy Une soirée presque comme les autres Comme pour prouver une nouvelle fois que je ne savais pas du tout comment les choses fonctionnaient, je demeurai quelque peu surpris au moment où Joyce en vint à me proposer de l’accompagner à l’échographie pour connaître le sexe de l’enfant. Avais-je vraiment le droit ? Si elle me le suggérait, c’était certainement parce que c’était le cas ? Une chose était certaine, c’était que si je pouvais l’accompagner, il était évident que j’allais le faire. Je ne savais pas vraiment à quoi je pourrais utile, ce qui allait se passer pendant ce fameux rendez-vous et tout ce qui venait avec, mais si je pouvais juste être là, simplement lui tenir la main ou quelque chose du genre, ce serait bien suffisant pour moi. Par conséquent, il ne m’en fallut pas plus pour lui répondre, avec un petit sourire: « Avec plaisir. » Cette fois-ci par contre, je ne tentai pas d’en parler plus longuement, parce que je savais que nous aurions du temps plus tard, deux mois plus exactement pour prévoir le coup. Plus encore, je fus rapidement distrait par les geste que ma jolie blonde vint à poser sur moi, et ce fut amplement suffisant pour me rappeler à la réalité de cette soirée, de ces promesses silencieuses que nous nous étions faits plus tôt dans cette cabine de salle de bains. Je pensais bien évidemment que si elle se permettait de me taquiner ainsi, moi-même, je pouvais m’y adonner, et j’étais persuadé que cela ne lui déplaisait pas, jusqu’à ce que soudainement, elle en vint à m’administrer une petite tape en me demandant de ne pas toucher, de simplement regarder. Quelque peu surpris, puisque jamais elle ne s’était imposée sur moi de cette façon, je fronçai les sourcils, et quelques instants après, mon regard s’adouci, pour laisser place à un air particulièrement amusé. Pourquoi décidait-elle de faire ça ? Était-ce sa façon de me faire payer ce que j’avais fait précédemment ? Si c’était cela, alors je préférais de loin ça à une abstinence totale. Désormais curieux de voir ce qu’elle ferait, je décidai d’acquiescer en relevant mes mains et en les éloignant de son corps tout en lâchant un petit: « Bon, d’accord. » Puis, avec un petit air un peu fanfaron, je plaçai mes mains derrière ma tête pour me donner un meilleur appui sur le lit, attendant de voir comment Joyce allait opérer sa magie à partir de là.
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| | | | Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Mar 22 Aoû - 1:02 | |
| Joyce ignorait si Tommy avait envie de voir de manière plus concrète le petit être qui poussait dans son ventre, elle avait déjà eu une échographie, celle qui avait déclenché leur violente dispute, et qui avait mis leur couple à rude épreuve. Celle où Joyce avait appris qu'elle était enceinte. Depuis, beaucoup de choses se sont passées, les deux amoureux ont pu se retrouver, ils ont pu discuter plus calmement de la situation et prendre les bonnes décisions. Et puis, au fur et à mesure que les jours passaient, Tommy finissait par accepter un peu plus la paternité à laquelle il allait devoir faire face. Mais comme la blonde le lui avait dit, elle ne le laisserai jamais seule, elle sera toujours là auprès de lui pour l'épauler, c'était la moindre des choses qu'elle pouvait faire pour lui.
Finalement, il accepta de venir avec elle à l'échographie, d'ailleurs, il y en aura sans doute une autre entre temps, pour vérifier que le bébé grandit bien et qu'il est en bonne santé. Ce qui inquiétait le plus Joyce, c'était tout l'argent que coûtait ces examens, et puis, il allait encore falloir dépenser de l'argent pour acheter le matériel nécessaire pour accueillir leur enfant. Elle savait que Tommy ne manquait pas d'argent, mais elle s'en voulait de ne pas pouvoir y contribuer autant qu'elle l'aurait souhaité dans un premier temps.
Au bout du compte, la discussion sur leur enfant dévia rapidement sur le petit jeu qu'ils avaient déjà pratiqué au cours de la soirée. Ce même petit jeu qui les avaient amené à profiter du calme des toilettes avant que de faillir se faire surprendre en plein acte. Ici, ils savaient que personne ne pourrait venir les interrompre et ça n'en était que mieux. Après avoir déboutonné la chemise du beau brun qui se trouvait sous elle, elle laissa celle-ci ouverte afin d'observer le corps de cet appolon.
Cependant, la réaction qu'il eut au moment où elle se contenta de lui asséner une tape pour qu'il ne la provoque pas ainsi, la déstabilisa. Elle pensait qu'il allait se battre mais même pas, il se contenta d'obéir et de l'observer sans broncher. C'est alors qu'une idée lui vient une idée. Quelque chose qu'elle n'avait jamais fait auparavant et dont elle espérait que ça plaise à son compagnon.
Joyce se releva de lui pour se poster juste devant le lit. Dans un premier temps elle retira sa robe de manière douce et très sensuelle. Une fois que cette dernière fut à ses pieds, elle l'enjamba laissant alors apparaître son corps vêtu de son seul bustier, sans rien de plus puisque c'est lui qui avait la culotte de la blonde. Elle entreprit une danse des plus sensuelle et provocatrice comme pour le narguer sans toutefois qu'il puisse faire quoique ce soit. Au fond, elle n'attendait qu'une chose : qu'il prenne le contrôle de la situation. |
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| Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Mar 22 Aoû - 2:09 | |
| Joyce & Tommy Une soirée presque comme les autres Il était vrai que j’aurais peut-être pu me montrer offensé et m’opposer à l’idée de ne pas pouvoir toucher à ma petite-amie alors que j’avais tout aussi envie qu’elle que la soirée se continue en beauté dans cette chambre. J’y avais pensé, je ne pouvais pas le nier, mais au final, la curiosité avait fini par l’emporter. En effet, jamais cela m’était arrivé de me trouver dans une telle situation, où j’étais impuissant, où on se démenait pour ma personne. Évidemment, je n’allais pas non plus laisser ma petite-amie complètement s’épuiser, mais j’avais envie de voir comment elle allait réagir, ce qu’elle pouvait bien avoir en tête. Et toujours les bras croisés derrière la tête, je la regardai, sans broncher, s’éloigner du lit, avant de finalement retirer sa robe, la laissant alors vêtue de son seul bustier, sans culotte, puisque cette dernière était encore là, nichée dans la poche de mon pantalon. Le tout laissa place à une vision tout simplement… divine, à un tel point que je ressentis le besoin de me redresser sur mes coudes pour la regarder plus en détail. Clairement, je le regrettai pas, puisque peu de temps après, elle en vint à se déhancher avec sensualité, lentement, comme jamais je ne l’avais vue faire précédemment. Et là, je ne pouvais que me congratuler de l’avoir laissée faire ainsi, puisque là, j’avais droit à un spectacle qui me plaisait grandement, à un tel point que je ne la quittai pas des yeux, me mordillant la lèvre inférieure, obligé de croiser mes jambes allongées pour tenter de faire relâcher un peu de pression qui commençait à s’accumuler dans mon sous-vêtement en la voyant ainsi. Et là, je n’allais pas le nier, en la regardant se mouvoir ainsi, pour sûr j’avais envie de ramener mes mains sur mes hanches, les sentir rouler à mon contact, mais elle avait été claire; je ne le pouvais pas. Ou bien peut-être qu’en l’y forçant un peu, je pourrais ? Décidant qu’elle n’était pas la seule personne dans cette pièce à pouvoir jouer la carte de la provocation, je lui demandai: « Tu as l’intention de l’enlever aussi ? » D’un signe de tête, je désignai, bien évidemment son bustier, et ensuite, je lui dis, d’un ton qui se voulait innocent, mais qui, au fond, ne l’était pas du tout: « J’aimerais bien t’aider, mais… » Laissant ma phrase en suspens, j’agitai les doigts pour lui montrer que je le pouvais pas parce qu’elle refusait que je la touche. Suite à cela, je continuai à la considérer, le regard brûlant d’amour et de désir pour elle, plus que ravi, au fond, d’avoir droit à ce petit strip tease improvisé qui, je ne pouvais le nier, me plaisait énormément.
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| | | | Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Mar 22 Aoû - 12:33 | |
| La jeune femme avait eu cette idée qui avait germé dans sa tête sans trop savoir d'où elle était sortie exactement mais qu'importe. Le résultat était là, enfin, celui de provoquer Tommy et de faire grimper son désir et son excitation, en revanche, pour ce qui était du reste, elle n'imaginait pas vraiment ça de cette manière, mais elle devait composer avec.
Alors elle avait commencé par se reculer, se tourner et lentement laisser la robe par terre. Joyce avait fini par se déhancher devant son compagnon avec pour simple tenue, un bustier noir qui recouvrait une partie de son intimité, laissant le reste exposé au regard brûlant de son amant.
Décidemment, son plan ne fonctionnait pas vraiment comme elle l'avait prévu, mais il faut faire avec, c'est la raison pour laquelle elle s'approcha de lui, grimpa à califourchou comme elle l'était auparavant et elle s'agitait lentement en se frottant sur son pantalon, sentant durcir le désir petit à petit. Finalement, elle avait réussie à tenir bon et obtenir ce qu'elle voulait de son homme, du moins c'est ce qu'elle pensait avant qu'il ne prenne la parole sans pour autant la quitter du regard.
" - Peut-être que j'ai l'intention de l'enlever oui." fit-elle un sourire satisfaite sur les lèvres.
Après tout, elle avait bien compris son petit manège, s'il l'aidait à l'enlever, il pourra ensuite reprendre le dessus et donc, son jeu de provocation n'aurait plus aucune utilité. Non. Elle devait tenir bon face à lui, lui montrer qu'elle pouvait aussi se venger pour ce qu'il lui avait subtilisé pendant la soirée. La vérité, c'est qu'elle s'en fichait pas mal, ça ne lui avait pas manqué, simplement la sensation au départ, était plutôt étrange mais, elle avait fini par s'y habituer.
Elle poursuivit son petit jeu jusqu'au moment où elle décida que Tommy avait le droit à une récompense, il avait suivi ce qu'elle lui avait demandé, à savoir de ne pas la toucher, mais elle doutait qu'il le fasse réellement pour la suite, et au fond, elle voulait qu'il la touche, qu'il lui fasse l'amour comme jamais il lui avait fait, ici et maintrnant.
" - Maintenant tu peux." chuchota-t-elle à son oreille.
C'était le moment où il pouvait enfin lui retirer le bustier, laissant alors apparaître le restant de son corps ainsi que son ventre légèrement arrondi. |
| | | A. Daryl ReevesFriendship is easier made than kept MY BOOK COVER▹ posts : 1187 ▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gifs) ▹ avatar : Chris Hemsworth ▹ pseudo : Mayiie ▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin) ▹ Teddy (R. Reynolds) ▹ Micah (N. Jonas) ▹ Noah (D. O'Brien) ▹ Carson (K. McGrath) ▹ Jordan (S. Amell)▹ age : Thirty-six y.o. ▹ 30.10.82 ▹ activité rp : Athena ▹ Kacey
| Sujet: Re: Une soirée presque comme les autres [Feat. Tommy S. Grayson] {-18} Mar 22 Aoû - 18:34 | |
| Joyce & Tommy Une soirée presque comme les autres Dans un premier temps, ne pas toucher Joyce n’avait pas été si difficile, puisque non seulement, elle me donnait de quoi amplement regarder avec les yeux et de plus, de là où j’étais, je n’aurais pas pu la toucher de toute façon. Sauf que là, quand elle en vint à monter sur moi, commençant à se frotter sur mon pantalon, ne me permettant pas de me contrôler de quelconque façon, je dus admettre que je dus me faire grandement violence. Soudainement, le fait que j’avais entrecroisé mes doigts derrière ma tête devint fort pratique, puisque cela m’empêcha de les décroiser et faire abstraction de sa précédente consigne. Après, je ne pus tout contrôler non plus, faisant en sorte qu’à quelques reprises, je laissai mes hanches aller à la rencontre de ses mouvements, laissant mon désir inévitablement grandir, me rendant compte que clairement, ce n’était pas plus mal, même si en même temps s’installait une certaine frustration de ne pas pouvoir prendre le contrôle à mon tour. Non que je n’aimais pas ce qui se passait, mais ne pouvoir rien faire, ce n’était pas habituel pour moi. Et visiblement, Joyce semblait y prendre plaisir, puisque même ma pique concernant le fait qu’il lui faudrait probablement de l’aide pour retirer son bustier ne la fit pas broncher plus que ça, m’arrachant une petite grimace au passage. Mais au bout du compte, ma patience fut récompensée, puisqu’en plus du fait que mon désir avait de nouveau grimpé, prêt à aller plus loin, j’eus finalement l’autorisation de ma petite-amie de la toucher. À ces mots, un sourire malicieux apparut sur mes lèvres, je ne me fis pas prier pour me redresser, l’obligeant à se retourner pour me faire dos. Mais plutôt que de m’attaquer à son bustier, je levai ma main, pour glisser un doigt derrière son oreille, le laissant glisser le long de son cou, puis sur son épaule, le temps que je lui disais: « Tu sais, c’est vilain, de ne pas me laisser te toucher… » Ma main commença à glisser en direction de son dos, là où se trouvait la première agrafe de son bustier, mais avant que je m’y attaque, j’ajoutai: « Parce que tu sais à quel point j’aime te toucher, sentir ta peau sous mes doigts… » Sur ces mots, je dégrafai une première agrafe, et pendant un instant, je voulus aller déposer un baiser sur ses omoplates, mais je ne le fis pas. Je me donnai le défi de lui faire plaisir qu’avec mes mains pour le moment, comme pour lui prouver ce qu’elle aurait manqué si elle avait continué dans cette lancée un peu trop longtemps. J’en dégrafai encore quelques unes, jusqu’à ce qu’au niveau de sa poitrine, le tissu ne l’enserre plus autant que précédemment, puis je glissai mes mains sur ses flancs, jusqu’à atteindre ses seins légèrement plus gonflés qu’à la normale. De crainte que ceux-ci ne soient sensibles pour cette raison, je ne les serrai pas trop, me contentant de les masser doucement avec un petit: « Te caresser comme ça… » Je continuai le manège pendant quelques instants, puis je ramenai mes mains vers l’arrière, histoire de continuer à dégrafer son bustier jusqu’à pouvoir lui enlever et le balancer par terre. Je refis le même manège, c’est-à-dire que je repassai mes mains à l’avant, les posant cette fois-ci sur son ventre où il y avait un petit renflement. Rien de visible à l’oeil nu, mais agréable à sentir sous mes mains. Et là, j’approchai dangereusement ma bouche de son oreille, pour y ajouter: « Par contre, cette petite danse que tu as fait là, c’était… incroyablement sexy… » Je n’attendis pas plus longtemps pour passer mon bras autour de sa taille, histoire de la coller contre moi, ou plutôt coller ses fesses sur mon érection bien évidente, malgré le fait que je n’avais toujours pas retiré mon pantalon. Puis, ma main libre se fraya un chemin jusqu’à son intimité, et comme je l’avais fait plus tôt dans la cabine de toilettes, je laissai ma paume prendre la forme de sa féminité, sans toutefois la caresser, sans bouger. À la place, je lui demandai: « Tu veux bien recommencer, comme ça, pour moi, bébé ? », me mordillant la lèvre en attendant de voir comment elle allait réagir, même si pour le moment, elle ne pouvait pas aller bien loin, puisque je ne comptais pas la laisser se détacher de mon étreinte bien facilement.
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