Kacey&Daryl + I ain't going home alone tonight {-18}

Le fait que Kacey dégrafe son soutien-gorge sans le retirer ne signifiait qu’une chose; qu’elle s’offrait à moi. Enfin, moi, c’était comme ça que je le voyais, et considérant le fait qu’elle n’allait certainement pas aller enfiler des vêtements confortables de si tôt, je ne voyais pas une autre explication. Par contre, avant que je puisse poser un geste en cette direction, Kacey me prit quelque peu de court, approchant ses mains de ma ceinture. Cela ne me déplaisait pas, au contraire, mais au vu de comment elle osa un peu plus que je ne l’aurais cru - et clairement je n’allais pas m’en plaindre - je ne pouvais pas rester complètement indifférent. Alors que ses mains frôlaient ma masculinité, mes hanches allèrent à sa rencontre, pour l’inviter à en faire davantage. Je n'allais pas non plus la forcer, je voulais laisser les choses suivre leur cours, en ne restant pas complètement inactif, évidemment. D’ailleurs, me laisser toucher sans rien faire en retour, c’était bien joli, mais je ne pouvais pas le faire pour bien longtemps. Je le prouvai lorsque je me décidai finalement à glisser son soutien gorge le long de ses bras, découvrant sa poitrine, juste parfaite. Dans un premier temps, je laissai ma main masser son sein droit, d’abord lentement, doucement, pour que ma poigne se fasse ensuite un peu plus insistante. Finalement, je penchai la tete, ne me contentant plus de seulement déposer ses baisers, mais en attrapant la pointe de son autre sein entre mes lèvres, la suçotant sans vraiment y aller en douceur, mais au vu de comment elle s’y prenait, je me doutais que ça n’allait pas trop la gêner.

Elle prenait des initiatives, me faisait des avances, et je faisais de même, et c'était parfait comme ça à mon avis. Elle appréciait ce que je faisais et de mon coté, j’étais loin d’être dans une position qui me déplaisait. Du coup, la manège continua encore un petit instant. Personnellement, je n'avais aucun souci à m’attarder plus longtemps sur ma poitrine, même si je ne serais pas contre l’idée d’aller plus loin. Finalement, ce fut Kacey qui eut le premier geste, s’amusant à glisser sa main dans mon pantalon, s’osant à venir toucher ma masculinité, sans se laisser gêner par quelconque tissu. D’instinct, je soupirai de plaisir. J’étais sensible, comme pas mal tous les hommes à mon avis, et il fallait l’admettre; elle s’y prenait plutôt bien. Pire encore, elle me rendait désireux d’en avoir davantage. Ne me gênant pas pour le lui montrer, je relevai la tête, lâchant par conséquent sa poitrine, même si j’avais bien compris que cela lui plaisait. J’allais y revenir plus tard, très certainement. Pour le moment, je me contentai simplement de me redresser pour l'embrasser de nouveau, avec fougue, tandis que je ne me gênais pas pour agiter mes hanches en sa direction dans un va-et-vient prometteur de ce qui pourrait arriver par la suite.

Je savais que je ne connaissais pas Kacey tant que ça, pas en des circonstances aussi intimes qui plus est, mais du coup, elle me surprenait, énormément. Allais-je m’en plaindre ? Clairement pas. Je ne le cachais pas, j’étais du genre à aimer prendre les devants, m’imposer, jouer le mâle dominant dans l’échange, mais une femme qui prenait des initiatives et qui osait, c’était tout aussi excitant par moments et en ce moment, ç’avait un effet monstre sur ma personne. C’était à un point que je n’aurais probablement pas eu besoin de préliminaires pour passer au plat principal, bien que je n’allais pas en refuser. Enfin, je ne comptais pas en imposer non plus, mais au bout du compte, Kacey n’eut pas besoin que je lui demande quoi que ce soit pour qu’elle s’agenouille devant moi et qu’elle me prenne en bouche, ses mains sur mes hanches, s’affairant à une fellation qui m’arracha bien rapidement un grognement de plaisir. J’en fermai les yeux, penchai la tête vers l’arrière un instant, essayant de reprendre mes esprits, garder une certaine contenance. Et lorsque je pensais y être parvenu, je la regardai, me délectant de l’image plus qu’excitante qu’elle m’offrait. Poussant un juron, je lui dis:  « C’est bon, continue… » Et suite à ces mots je dus me faire violence pour ne pas commencer à remuer les hanches de nouveau, bien que parfois, j’étais pris de quelques spasmes que je ne pouvais contrôler, même si je la laissais toujours continuer son bon traitement.

Kacey ne semblait pas vouloir s’arrêter. Au contraire, elle continua de plus belle lorsque je l’incitai à continuer, stimulant son corps par la même occasion, rendant le fait de la regarder encore plus excitant, faisant en sorte que c’était de plus en plus difficile de garder contenance. Je n'allais pas le nier, je ne m’y en attendais pas vraiment. C'était comme si elle ne voulait pas seulement faire en sorte que mes sens soient éveillés pour passer à l’étape suivante; elle semblait vouloir aller au bout de ces préliminaires, en profiter pleinement. Allais-je m'en plaindre ? Certainement pas. Fermant les yeux un instant puisque je ne pouvais plus les garder ouverts, je laissai échapper quelques grognements sans vraiment le dicter, signe que je devenais de plus en plus vulnérable. Me doutant qu'elle l’avait remarqué, je m’attendais à ce que Kacey ralentisse et s'arrête, mais elle ne le fit pas; au contraire, elle s’y prit de plus belle, engloutissant ma masculinité dans sa bouche de façon plus vive à laquelle je n'allais clairement pas résister. Heureusement que je savais que j’avais un semblant d'endurance, autrement je serais bien craintif de la décevoir. Pour cette raison, je n'eus pas de mal à me laisser aller, devant au minimum faire un effort pour ne pas laisser mes jambes flancher. Puis finalement, dans un grognement ultime, je laissai échapper ma semence en elle, dans sa bouche. Je pris un temps pour inspirer profondément, reprendre contenance, puis je regardai Kacey, l'aidant à se relever. Laissant ma main glisser sur son sein, l’empoignant de façon relativement ferme, je lui dis d'une voix rauque:  « Ton lit. Maintenant. » Parce que c'était mon tour de lui faire plaisir, elle le méritait, et j'en avais envie. Mais pas à genoux, pas comme ça. C’était maintenant à elle de me montrer le chemin.

Mon ton de voix avait apparemment été assez ferme pour convaincre Kacey d’acquiescer à ce que je lui demandais, puisqu’elle ne tarda pas à m’emmener dans sa chambre, me présentant son lit. Mais bien rapidement, ce fut elle qui devint la plus exigeante de nous deux, si je pouvais le dire ainsi, me demandant ce que j’allais faire, s’amusant à me mettre de la pression pour que je lui fasse prendre son plaisir. Est-ce que cela me rendait nerveux, me complexait ? Pas le moins du monde. Ce serait possible, je ne pouvais pas le nier, mais moi, je n’étais pas du genre à me stresser avec ça. Je savais que j’étais capable de rendre une femme heureux au lit, la faire crier mon nom quand je le voulais, et je ne voyais pas en quoi ce serait différent avec Kacey. Naturellement, je n’allais pas faire ce qui ne lui plaisait pas, ce dont elle n’avait pas envie pour le moment, bien que je serais passé à l’étape suivante ici et maintenant. Mais j’avais envie qu’elle me le demande, qu’elle me supplie pour que je me fonde en elle. Pour ça, j’avais bien l’intention de l'éveiller, de l’émoustiller comme elle l'avait fait avec moi. Directement ? Sans lui dire quoi que ce soit ? Évidemment que non, c’était hors de question. Après avoir fait en sorte de l'allonger sur le lit, je lui demandai, d’une voix lascive :  « Que veux-tu que je fasses de toi ? » N’attendant pas qu’elle me le dise pour commencer, je me permis de glisser ma main sur son sein, le massant fermement, reprenant en quelques sortes ce que j’avais fait plus tôt, curieux de voir ce qu’elle allait me dire, comment elle allait réagir.