{HOT} TOMMY&JOYCE ▬ Would you still love me the same ?

 « Délicieuse. » Voilà tout ce que je dis à la jeune femme au moment où elle me demanda si j’aimais la glace que j’étais en train de déguster sur son corps. En mon sens, je n’avais pas besoin d’en dire davantage; non seulement, elle avait très certainement compris que je préférais le contenant plutôt que le contenu dans le cas présent, et quelque chose me disait qu’elle appréciait bien ma façon de fonctionner également, au vu des soupirs qu’elle poussa tandis que ma bouche était sur sa poitrine, sans parler du fait que j’avais bien senti son corps se cambrer, réflexe qu’elle avait quand quelque chose lui plaisait, ce que j’avais plutôt bien compris il y a un moment. Ne me faisant pas prier pour continuer donc, je poursuivis ma course jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, voire même un peu plus, histoire de profiter pleinement de cette envie partagée. Mais au bout du compte, ce petit jeu avec la glace ne fut pas suffisant pour assouvir ces envies. Peu de temps après, j’en vins à proposer à Joyce, d’un sourire plutôt malicieux:  « Et si on laissait la glace de côté ? Personnellement je crois avoir un nouveau dessert préféré… » Puis, comme pour le lui prouver, je pris le pot de glace et les cuillères, puis je déposai le tout sur la table de nuit. Tant pis si celle-ci venait à fondre, je pourrais toujours en racheter d’autre et clairement, je ne me ferais pas prier pour le faire maintenant que je savais que c’était le dessert préféré de la jeune femme et que je savais à quel point cette gâterie pouvait lui faire plaisir. Mais là, j’avais compris que nous avions tous deux envie d’une autre gâterie, alors après lui avoir tenu ce simple mot qui venait formuler toute ma réponse, je me montrai plus insistant contre sa peau, déposant des baisers plus fiévreux, avec davantage de sensualité. Avec quelques caresses bien placées, quelques baisers passionnés, nous reprîmes nos ébats là où nous les avions laissés plus tôt. Compte tenu de l’heure plus tardive, de la fatigue de Joyce et de la mienne par la même occasion, ce moment d’amour dura moins longtemps, mais ne fut pas pour autant moins appréciable. Dans l’ensemble, il fut tout simplement parfait dans les circonstances actuelles, doux, mais intense en même temps, un moment nous permettant de doucement nous retrouver dans les bras l’un de l’autre, puis s’endormir paisiblement, jusqu’au lendemain matin, le coeur et l’esprit légers comme tout.