We were lovers for the first time. | Deya #HOT

Pourquoi? Il n'était pas capable de le voir lui-même? Attends, quoi? Elle lui plaisait réellement? Elle était sans voix. Ce n'était pas terrible mais bien difficile à croire. Mais l'était-ce réellement? S'il se plaisait à coucher à droite à gauche, elle avait bien du mal à l'imaginer se confier à une autre de ces femmes de la manière dont il s'était confié à elle. Elle ne voulait pas l'imaginer dormir avec une autre comme il l'avait fait avec elle. Elle voulait croire qu'elle était spéciale. Mais toutes les femmes rêvaient de l'être, non? Elle était naïve mais pas assez pour croire que c'était parce qu'elle voulait être accordée un traitement unique que c'était forcément le cas. Elle n'était pas spéciale. Elle n'avait rien d'unique. Et pourtant, ce qu'il lui disait venait contredire ses craintes et alimenter ses espoirs. Aussi ridicule, soient-ils. Elle regardait le pot de beurre de cacahuète dans sa main, la main du jeune homme autour de la sienne à présent et elle se demandait comment est-ce que ce simple pot venait changer la donne et la différencier de toutes les femmes de son harem. Elle n'avait rien fait si ce n'est vouloir lui faire plaisir. Ça n'avait pas été grand-chose. Il semblait en vouloir et elle avait juste fait en sorte qu'il ait ce qu'il veut. Parce que ces petits riens, c’était normal pour elle. Elle avait vu une occasion de lui faire plaisir et dans son monde, elle imaginait que tout le monde en aurait fait autant. Mais pas Derrick. Elle laissait leur corps se retrouver et elle libéra le souffle qu’elle ne s’était pas rendue compte retenir jusqu’à maintenant. Il avait envie de lui faire plaisir aussi, il lui disait en tirant sur la corde de son peignoir. Celui-ci s’ouvrait et elle alla jusqu’à oser le laisser cette fois glisser de ses épaules pour atterrir à leur pieds. Elle est totalement nue sous ses yeux et il n’avait d’yeux que pour son sein. Sur son téton, il étalait du beurre de cacahuète et elle était horrifiée, fascinée, excitée par ce que cet homme pouvait faire avec de la nourriture. Son entrecuisse anticipe, s’impatiente de ce moment où il viendra manger sa friandise. Elle espère qu’elle l’entendra gémir encore une fois. Elle l’espère tellement fort. Sa respiration est bruyante, ses larmes oubliées et ses yeux luttaient contre son désir à les garder ouverts. Elle voulait le voir, elle aimait cette façon qu’il avait de la regarder. « Tu fais des choses qu’aucun autre n’a fait avant toi... », Elle s’entend lui murmurer. Elle laisse échapper un petit cri de surprise qui se transforme bien vite en cri de plaisir quand il la soulève pour la plaquer au mur. Contre son mamelon, ses lèvres et contre son sexe, le sien. Ses bras vont agripper ses cheveux, son t-shirt et son bassin, de sa volonté propre va presser contre le sien. Elle gémit, elle halète. Sa main tire sur son t-shirt, tente de le lui arracher. Car son corps entier rêve de sentir le sien, de frémir contre le sien. Et plus la tension s’accumule entre ses cuisses et mieux elle se frotte contre lui. Ce n’était que la seconde fois mais elle reconnaissait cette fois ce qu’elle cherchait. Elle se cambre et sa poitrine lui est offerte. La tête lui tourne, sa vision se trouble et sa main quitte ses cheveux pour attraper une des siennes qu’elle glisse entre leur deux corps. Contre leurs deux sexes. Et timidement, elle abandonne sa main pour palper cette bosse énorme et elle gémit rien qu’à le sentir. Et il a une nouvelle fois, tout contrôle sur son corps, son esprit. Son plaisir.

Elle avait l'impression d'avoir passé sa courte vie à attendre ce moment précis, a l’attendre, lui. Ça n’avait aucun sens et pourtant les réactions de son corps n’avaient de précédent aussi intense. Jamais, elle n’avait ressenti ce qu’il lui permettait de ressentir, jamais. Elle avait bien sûr eu des expériences sexuelle  avant lui mais personne jusqu’à Derrick n’était parvenu à lui donner autant. Il s’arrangeait pour tout lui offrir et pourtant, à aucun moment il n’avait demandé qu’elle lui rende la pareille. Son simple plaisir semblait résider à lui procurer le sien et ça la faisait vibrer toute entière. Ô, combien elle aimait être le centre de son attention. Ses gémissements contre son sein la faisaient gémir de concert et elle perdait pieds et tête. Elle le sentait détacher son pantalon contre sa main et elle n’avait pas peur parce qu’elle savait qu’il ne comptait pas la bousculer. Il avait depuis le début pris soin à ne pas le faire. Elle était peut être débile de lui faire confiance mais le fait était qu’elle ne savait à quel moment exactement elle avait commencé à lui accorder ce privilège. Peut-être, cette première fois où ils avaient dormi ensemble. Où il lui avait montré ce côté humain, sensible et touchante de sa personne. Encouragée par son gémissement, elle laisse sa petite main glisser directement dans son boxer. Sa chair de velours sous ses doigts, sa virilité impressionnante qu’elle ne parvenait même pas à encercler totalement. Elle laissait sa main glisser le long de son membre qui n’en finissait jamais et elle explorait ses sacs pleins pour remonter une nouvelle fois l’empoigner. Plus fortement, peut-être trop fortement. Mais elle n’y pouvait rien, son corps entier se contractait en le sentait introduire en son centre un unique doigt. Elle reversa sa tête contre le mur et laisser sa tête cogner à plusieurs reprises en le sentant faire elle ne savait quoi. Sa magie. Elle sent son front contre le sien, son prénom à elle aux lèvres. Le sien. « Rick... », C’était son tour. Elle allait mordre sa lèvre à sa place quand il plongea sur ses lèvres et son corps entier tremblait. Couru de spasmes. Les muscles de son antre se contractaient sur son unique doigt. Son bassin ondulait autour. Elle jouissait une nouvelle fois et si cela se pouvait encore plus fort que la première fois. Contre les lèvres de Derrick, l’expression de son plaisir était étouffée. Et sa main dans son boxer était remontée, redescendue. Et n’avait eu de cesse d’accélérer à mesure qu’elle continuait à jouir sur son doigt.

: J’aimais la texture de sa dure virilité sous mes doigts. De velours et de satin, je n’aurais su comparer. Mes doigts peinaient à vouloir faire le tour mais le fait était qu’ils étaient trop petits, à moins que ce soit lui qui soit bien trop gros? Je ne saurais dire exactement. J’espérais simplement que ça n’ôtais en rien à la pression que je tentais d’exercer sur son membre. J’avais envie de lui faire du bien tout comme il était en train de m’en faire. Il ne m’avait rien demandé mais j’en avais eu envie. Réellement, envie. Les sons qui quittaient ses lèvres m’encourageait à continuer, juste pour les entendre encore et encore et encore. Ce n’était pas la première fois que je m’essayais à ce genre de caresse mais c’était bien la première fois que ça m’excitait autant. Comme si j’avais besoin de ça. Les réactions de mon corps m’échappent. Et je me rends compte que je ne perds par contrôle mais je le lui cède. Il fait sa magie avec son unique doigt et moi je déborde encore une fois, une deuxième fois. Mais il me dépose par terre et je tiens à peine debout avec ces tremblements qui secouaient encore mon corps. Je le regarde descendre son boxer et s’en débarrasser au même titre que son pantalon. Mes pupilles, si cela fusse possible se dilatait d’avantage. Elle n’avait jamais trouvé ça attrayant en soit un pénis mais là, ça l’était. Sa masculinité pointait vers elle avec fierté et impatience et elle avait soudainement la bouche tellement sèche ou alors eusse plutôt était l’eau qu’elle avait à la bouche. Elle n’était plus capable de discernement. Son cerveau était encore bloqué sur la question du rencard et son corps faisait des siennes encore une fois. Je relève les yeux en sentant sa main sur ma joue, son regard toujours si intense s’empare du mien et il m’hypnotise. Il me dit de lui faire confiance et je lui dis « Oui… », mais est-ce que je lui faisais réellement confiance ? Bien sûr que non mais j’en avais réellement envie. Tellement envie que je lui laissais sa chance bien qu’il soit à présent aussi nu que moi et que Derrick n’avait pas caché profité de sa vie d’adulte célibataire. J’étais peut-être encore un môme ? Mais j’en oublie mes interrogations quand il plonge sur mes lèvres. Je l’embrasse, je mordille, je lèche  et j’enroule mes jambes autour de ses reins, mes bras autour de sa nuque. Et quand il rompt le baiser pour plonger sur regard dans le mien, je suis à dix mille lieu d’ici. Du bout de la langue, je continue de tracer doucement le contour de ses lèvres et c’est comme ça qu’il m’arrache un gémissement. Mon visage se contorsionne, grimace, exprime et mes cordes vocales ponctuent. Il glisse son membre entre mes lèvres intimes, il me titille, il me rend folle. « De…Rick.. Oh, mon… »,je peine à garder les yeux ouverts, mes yeux roulent vers l’arrière de mon crâne et j’en peux plus, je peux pas supporter plus. Je suis tellement sensible à ce qu’il me fait et pourtant, il ne fait pas grand-chose mais encore une fois, quelques choses que je n’ai jamais expérimenté auparavant. Il se frotte à moi et mon bassin ondule pour se frotter à lui. Nos corps sont les instruments de notre désirs et ensemble, on s’accordait pour chanter une seule symphonie, une seule. Celle du plaisir. Et j’ai l’impression d’être une chatte en chaleur mais je n’y peux rien, j’ai aucun contrôle sur la situation. Je sens cette pression familière au niveau de mes parois vaginales et je sais ce qui va suivre, je sais que je vais encore jouir. Je le sais, je le sens. Un bruit, une sonnerie. Et « Aouuuuuuu », il déchirait ses chairs et un morceau de lui allait faire directement pression contre la texture spongieuse contre laquelle son doigt s’amusait un peu plus tôt. Et je hurle, la tête en arrière, je hurle bordel. « Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii », ça faisait mal, tellement mal mais j’explosais autour de lui. Je le sentais faire de même. En moi, entre mes cuisses, sur mes fesses aussi. Il s’excuse mais j’ai décollé et je n’ai pas encore atterris. Mais il m’a déjà reposé au sol et je suis bien incapable de rester debout. Je me tiens au mur, à la porte. Qu’importe, je n’ai pas envie de tomber. Il décroche son téléphone. Je crois rêver. Je baisse les yeux vers mes cuisses, mon entrejambe où coule son essence avant abondance et j’ai encore bien du mal à réaliser. Je sens son regard sur moi et j’allais pour le regarder quand je l’entends dire qu’il allait partir. Je me sens d’un coup fébrile. A qui disait-il qu’il arrivait ? Lyndon ? Il n’aurait pas fait ça. Non, il ne pouvait pas faire ça. Il ne pouvait pas sérieusement avoir fait ça. Mon entrecuisse lançait encore des suites de ses intrusions, des suites aux trois orgasmes consécutifs que j’avais pour la première fois expérimenté. Et je ne voulais pas croire qu’il s’était joué de moi. Je ne pouvais pas. Je ne pourrais pas supporter le fait de savoir que je lui avais offert autant et qu’il ne se rendait pas compte à quel point ça ne pouvait que compter pour moi. Mais c’était la voix d’un homme que je pouvais entendre à l’autre bout du fil. Une voix bien familière, même. Il m’attirait à lui et je levais mes yeux humides vers les siens. Une douche. Un sourire gagnait mes lèvres et j’ usait de mes dernières forces pour lui sauter dans les bras. Mes bras autour de sa nuque, mes jambes autour de ses hanches et mon visage niché dans le creux de son cou. « Un bain. », je n’avais pas envie qu’il parte tout de suite. J’avais besoin de qu’il me donne des raisons de lui faire confiance. Et je n’étais pas capable de tenir debout de toute façon après le traitement qu’il venait de m’administré.

Assise sur la cuvette des toilettes, elle pose sur lui ses grands yeux innocents. Elle garde les cuisses fermées et ses bras s'enlacent autour de sa généreuse poitrine. Sa peau sensibilisée était moite et collante. Il avait ouvert les robinets et s'était posé pour la couvrir de son regard. Elle ne sait quoi penser, elle ne sait où se mettre mais ses joues roses témoignent au-delà de son embarras, son contentement. Elle ne donne pas d'explication à ce qu'ils venaient de partager et ça la perturbe au plus haut point. Elle ne peut pas se donner physiquement à une personne sans ressentir le besoin de poser une étiquette sur leur relation. Elle n'est pas faite de cette trempe. Et pourtant, elle avait accumulé trois merveilleux orgasmes. Et même si ça n'avait pas été dans sa totalité, il l'avait pénétré. Elle n'était pas assez stupide pour se dire qu'il lui avait malencontreusement pris sa pureté. Elle n'était pas experte en la matière mais elle savait qu'elle était toujours vierge. Mais l'était-elle réellement encore? En tout cas, une partie de son innocence lui avait été prise et elle savait que s'il lui avait fait l'amour contre ce mur, elle ne lui aurait pas dit d'arrêter. Et cette réalisation lui faisait peur. Bien qu'elle ait décidé de ne plus attendre l'amour de sa vie et le mariage pour donner sa fleur. Elle n'était toujours pas prête à l'offrir au premier venu. Mais le fait était que Derrick n'était premier que dans son cœur.  Elle était perdue. Elle ne savait pas trop où est-ce qu'elle en était et ça la terrorisait. Zoya aurait tout donné pour savoir ce que le brun pouvait bien penser de tout ça. Il lui avait dit qu'elle lui plaisait, il lui avait proposé un rencard. Lui avait demandé de lui faire confiance et elle en avait réellement envie mais elle n'avait pas envie d'être une Lyndon de plus dans sa liste de conquête. Elle ne pouvait pas être cette fille pour lui. Mais après ce qu'ils venaient de partager, après ce qu'il venait de lui faire découvrir, elle ne pouvait tout bonnement pas le laisser partir. Il était le premier à lui faire ressentir ces choses et bien qu'elle ait jouit trois fois, elle avait attendue trop longtemps pour s'en rassasier. Il s'approchait d'elle et se penchait pour passer ses bras sous jambes et autour de son dos. Il la soulève comme si elle ne pesait rien. Il la transporte vers la baignoire comme si elle avait été précieuse, fragile. Et il la dépose dans l'eau avec la même délicatesse et pendant tout ce temps, elle n'avait pas délogé son regard du sien. L'eau, bien qu'à bonne température soulevait des frissons sur son corps, faisant pointer durement ses tétons. Elle le regarde enlever son t-shirt et elle rougit un peu plus devant sa nudité, qu'elle sait apprécier. Elle le trouve beau, le trouve parfait. Il lui demande d'avancer un peu et elle s'y oblige maladroitement. Faisant clapoter l'eau de la baignoire jusqu'en déborder légèrement. Il vient se glisser derrière elle et bien que sentir son membre toujours raide contre ses fesses la rend toute chose, elle colle son dos contre son torse quand il la rapproche de lui et se laisse blottir dans ses bras. Doucement, elle ferme les yeux et expire son bienêtre. Il ne pouvait pas rester longtemps mais elle était heureuse qu'il prenne le temps de lui faire encore une fois plaisir. Elle n'avait pas besoin de plus. Elle prend sa main dans la sienne et y entremêle ses doigts. Le rencard. Y avait-elle réellement réfléchi? « Non », elle répond honnêtement. Elle porte sa main à ses lèvres et en embrasse le dos. Elle sourit contre sa peau puis tourne légèrement la tête pout le regarder. « Mais je vais dire oui quand même... si tu veux toujours… »

Vu comme ça, c’était difficile de trouver un contre argument. Ils étaient bel et bien dans la même baignoire et en plus de ça, il l’avait pris dans ses bras. « On sait pas... », elle lui répond quand même parce qu’elle n’a visiblement aucune confiance en elle. C’est assez difficile pour elle d’imaginer qu’on puisse la préféré à une femme aussi sublime que Lyndon ou une autre du même genre. Elle, avec sa tête et son corps d’enfant. Elle avait beau avoir vingt-cinq ans bientôt, elle n’avait que sa généreuse poitrine pour venir contredire quiconque qui essaierait de la prendre pour une gamine. Elle était même parfois obligée d’encore présenter sa carte d’identité quand elle commandait un verre ou essayait d’entrer en boîte. C’était pour dire ! Elle appuie sa tête contre son épaule, légèrement tournée, de cette façon, ils pouvaient se regarder.  Elle fronçait les sourcils, portait nerveusement les doigts du jeune homme pour jouer avec ses lèvres roses. Elle était embarrassée qu’il la découvre aussi facilement. Elle mordille le bout des doigts du brun, toujours avec nervosité. Elle ne fait pas attention. Elle soupire doucement et décide de prendre le taureau par les cornes. S’ils allaient se fréquenter, elle serait tôt ou tard obligée de lui dire. « Je n’ai jamais fait l’amour,oui... Je suis vierge. » Elle détournait le regard, sur les bulles et l’eau transparente. « Je n’ai jamais pris de bain toute nue avec un homme non plus. Je n’ai pas non plus... avant... C’était la première fois... », Elle n’ose pas dire le mot. Jouir. Elle n’avait jamais jouit avant. Il était le premier homme qui parvenait à la faire jouir.