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| when you treat me like that. ♦ Rhett #hot | |
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| Sujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot Jeu 22 Mar - 19:53 | |
| | ∞ Why you wanna see me bleed? Why you wanna watch me fall apart? Try to find the worst in me. But I won't follow you into the dark. When you treat me like that, when you treat me like that. It's pushin' me harder, it's pushin' me harder. When you treat me like that. | |
when you treat me like that It's pushin' me harder De surprise ou d’excitation, elle l’avait laissé un petit cri passer la barrière de ses lèvres. Étouffé par cette peau laiteuse qui était la sienne. Tachetée de grains de beauté, lui donnant une apparence délicate et soyeuse. Elle avait pensé qu’il n’aurait plus grand chose de cet adolescent qu’elle avait connu mais en réalité, il n’était pas si différent. Bien qu’aujourd’hui ses muscles soient plus saillants, son torse plus puissant. Mais au bout du compte, il restait le même que dans ses souvenirs brumeux. Des corps d’homme, elle en avait vu des centaines, si ce n’est des milliers. Certains beaucoup mieux bâti que le sien mais Maureen n’avait jamais gardé ses hommes pour leurs physiques. Rhett était grand, élancé, fin. Il avait une apparence délicate, chétive mais l’habit n’avait jamais fait le moine. La belle serrait la mâchoire, la prise de Rhett était douloureuse mais elle ne détachait pas son regard du sien, n’effaçait pas ce sourire appréciateur, provocateur de ses lèvres gourmandes. Elle ravalait difficilement sa salive maintenant qu’il forçait son cou sous cet angle. La Latina n’avait plus ressenti cette sensation depuis ce qui lui semblait être une éternité. Elle n’avait pas désiré un homme autant qu’elle le désirait, lui. Autant qu’elle le voulait lui en cet instant. Personne ne l’avait plus touché de cette manière depuis bien trop longtemps. Rhett assoyait sa domination sur elle et ça conduisait des ondes électriques directement vers son intimité. Il lui disait, non il réclamait, il ordonnait qu’elle le suce. Elle ne délogea toutefois pas son regard du sien bien qu’elle mourrait d’envie de jeter un coup d’œil vers sa souveraine virilité. Il n’avait pas répondu et c’était suffisamment parlant mais elle n’était pas d’humeur à lui rendre quoique ce soit aisé, ce soir. Quand il fessera sa prise afin de lui laisser plus de liberté de mouvement, elle baissa le menton pour récupérer entre ses lèvres un de ses doigts qu’il avait perdu avec sa main entière dans son cou. Elle le prenait en bouche, enroulait sa langue, déroulait et c’est avec la provocation brillant au fond de ses iris noirs qu’elle suça son doigt. A dire vrai, ce n’était pas son doigt qu’elle rêvait de déguster. Et lui résister alors qu’il était nu devant elle, la faisait transpirer de frustration. Mais Maureen était animée par la force de sa détermination et son goût pour la vengeance. Pourtant, ce n’était en réalité qu’écran de fumée. Sa réelle motivation était tout autre. Elle avait envie, non, elle avait besoin qu’il la soumette à ses désirs. Elle voulait qu’il la domine, qu’il la réduise en miette. Qu’il s’accapare tout son être avec la force de ses caresses, aussi brutales fussent-elles. Parce qu’il n’y avait que lui qui y avait droit, que lui qui savait y faire. La belle continuait de sucer son doigt, ses deux mains sur ses genoux. Patiente, excitatrice. Elle avait attendu tout une vie pour cet instant. Maureen ne faisait rien comme les autres. Et ça, elle voulait qu’il s’en souvienne. Elle voulait occuper toutes les cellules de son corps. Ainsi peut-être qu’elle saurait qu’il ne penserait jamais qu’à elle. A elle, seule.
Dernière édition par Maureen Jímenez le Sam 24 Mar - 13:29, édité 1 fois |
| | | Rhett HowdenTrust always hurts in the long run | Sujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot Ven 23 Mar - 4:38 | |
| Maureen & RhettI should've walked away one year ago When you said I wouldn’t make it out alivewhen you treat me like that Des ordres, il en donnait à son bureau, mais dans sa vie sexuelle, il avait tenté bien des fois, parfois il misait sur le gros lot lorsqu’une femme acceptait de jouer le jeu de la soumise. Mais généralement le jeu prenait fin rapidement. Les femmes n’avaient rien de Maureen, elles n’avaient pas son tempérament de feu et cette soumission dans leur manière d’agir. Il avait la chance de goûter au fruit défendu. Ce fruit qui causerait tôt ou tard sa perte. Elle était ce fruit. Sa main sur sa gorge, il sentait chaque goulée de salive qui passait par sa gorge. Mais son doigt qu’elle mît dans sa bouche, brisant cet ordre qu’il lui avait donné le fit retrousser sa lèvre. Il n’aimait pas qu’on lui désobéisse, mais il choisissait de se taire la regardant sucer langoureusement son doigt, ressentant sa langue torsadée autour de son doigt. C’était sexy. Mais elle avait désobéi et il devrait la punir même s’il n’avait précisé ce qu’elle devait sucer. « Moi qui pensait que tu te ferais une joie de me montrer que je n’avais pas tort de penser à toi » Il l’avait dit. Mais malgré tout, il ne pouvait s’empêcher de prendre le contrôle. S’approchant d’elle, il s’en penchait plongeant son regard dans le sien. Il relâchait ses cheveux, glissant sa main sur son frein durcissant sa verge d’une simple masturbation. Au garde à vous, il approchait non plus son visage du sien, mais son corps, laissant son membre se coller à sa joue, caressant leur peau satinée. Son doigt dans sa bouche appuyait contre sa langue la forçant avec désagrément à ouvrir la bouche. « Soit gentille, si tu veux pas être punie deux fois » Elle ne connaissait pas sa première punition, mais elle la découvrirait tôt ou tard. Sans demander son avis, il glissait son gland sur ses lèvres, puis retirant son doigt, il attendait qu’elle fasse sa meuf docile avant qu’il ne décide de franchir une porte qu’il était bien loin de vouloir franchir. « Allez Babe, suce » Il ne l’avait pas appelé ainsi depuis leur séparation, mais elle pouvait se dire qu’il la voyait toujours comme sa meuf, ce qui était loin d’être inexact.
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| | | | Sujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot Sam 24 Mar - 13:36 | |
| | ∞ Why you wanna see me bleed? Why you wanna watch me fall apart? Try to find the worst in me. But I won't follow you into the dark. When you treat me like that, when you treat me like that. It's pushin' me harder, it's pushin' me harder. When you treat me like that. | |
when you treat me like that It's pushin' me harder Mais Rhett non plus ne faisait jamais rien comme les autres. Ensemble, ils n'avaient jamais été comme personne. Jamais fait dans la demi-mesure. Et ce soir, ils arrêtaient finalement de faire dans le faux-semblant. Après six longues années, ils étaient enfin décidé à jouer si ce n'est franc jeu, au moins cartes sur table. Elle le voulait plus que de mesure, plus que de raison. Elle ne serait pas là, elle ne serait pas restée si ce n'était pas le cas. Elle avait envie de lui, besoin de lui. Dans son lit, dans sa vie. Et elle voulait qu'il lui prouve d'une manière où d'une autre que le jeu en valait la chandelle. Que lui aussi la voulait avec cette même intensité. Maureen n'était pas une fille de passage, elle n'accepterait jamais d'avoir cette place éphémère dans la vie de son ex petit-ami. Non pas parce qu'elle ne méritait pas moins parce que ce qu'elle attendait de lui, elle ne devrait pas y avoir droit. Parce qu'elle n'avait pas d'honneur, pas d'estime et aucune valeur. Sa seule valeur était monétaire. Les filles comme elle n'avaient pas ce qu'elles voulaient, jamais. Et elle se sentait naïve d'espérer qu'il pourrait concevoir, accepter. La prendre toute entière avec ses défauts, ses qualités. Avec son bagage émotionnel et Raquel. Avec ses secrets et son incapacité à lui jurer fidélité. Lui promettre l'exclusivité. Et pourtant, elle avait le culot d'espérer qu'à ses yeux, elle serait toujours l'unique femme qui occuperait ses pensées. Maureen avait un petit sourire au coin des ses lèvres quand il venait lui confirmer qu'il n'avait fait que penser à elle et ce, même s'il en baisait une autre. L'imaginer dans les bras d'une autre la révulsait toujours mais savoir que dans ses bras à elle qu'il aurait préféré être lui mettait du baume au cœur. La belle latina, vile et tentatrice ne délogeait pas son regard du sien bien qu'elle aurait aimé suivre la trajectoire de cette main qui relachait prise autour de sa chevelure épaisse. Sa respiration s'accélérait car elle anticipait ce qui allait suivre. Des hommes, elle en avait baisé des millier mais à aucun de ces hommes, elle n'avait laissé la liberté qu'elle offrait à Rhett. Parce que dans son fort intérieur, même si elle avait peur, était tétanisée à l'idée qu'il finisse par la blesser. D'une entaille si profondément qu'elle ne pourrait qu'y succomber. Maureen avait confiance en lui. Elle avait mordillé son doigt en sentant contre sa joue, son sexe. Un coup d'oeil, juste un et déjà, elle se sentait fondre contre sa lingerie fine. De sa gorge remontait une plainte, un gémissement alors qu'il forçait l'ouverture de sa bouche. « Deux f... ? », elle ne terminait pas sa question et l'oubliait dès l'instant qu'il vint se positionner entre ses lèvres. La belle ne pouvait empêcher sa langue d'aller laper le bout de son gland. Sur sa langue, le goût salin de son liquide nacré. Elle allait docilement mettre ses mains dans son dos avec une patience qu'elle n'avait pourtant pas. Elle attendait qu'il demande, qu'il réclame, qu'il ordonne parce que cette fois, elle lui obéirait, elle se soumettrait à ses désirs, se plierait à ses volontés. Babe. Ce petit nom affectif qu'il ne lui avait pas adressé depuis si longtemps, trop longtemps. Si elle hésitait encore. Il réduisait en fumée, en cendre, tout semblant de réticence qu'il lui restait. Ses lèvres s'écarte et par petite touche, elle le goûte de sa langue gourmande. Elle s’écartelait la bouche à mesure qu'elle prenait petit à petit le grand maximum de sa queue prometteuse. Son gland rencontra bien assez tôt ses amygdales. Elle l'avalait, s'étouffait sur son membre mais il était pour elle, hors de question qu'elle perde du terrain. Hors de question. Elle sentait son sexe vibrer mais elle ne se rendait même pas compte que ce n'était que réaction à son gémissement. Elle l'avait déjà sucé, tellement de fois. Trop de fois mais ce soir, c'était comme si ça avait été la première. Bien qu'elle se souvenait très vaguement du catastrophique qu'avait était sa première pipe. Elle enroulait, déroulait sa langue sans jamais quitté son regard et finalement, après cette attente qui semblait pourtant interminable. Elle suça doucement, fort et doucement et fort. En même temps, elle entamait d'aller et venir. Monter jusqu'à son gland et redescendre toute sa verge, goulûment. Elle est cette chatte avide de son petit lait. Ses mains quittaient son dos pour aller empoigner son cul alors qu'elle l'incitait à aller buter au fond de sa gorge. Du miel chaud coule dans sa gorge et sa queue est nourrissante. Excitée à outrance. Sa seconde main quitte son dos pour aller titiller ses boules. Maureen a bien conscience de désobéir, une fois encore. Mais elle avait l'impression d'avoir attendue une vie entière pour lui tailler cette pipe. De son goût, de sa texture, de sa forme imposante, elle se délectait. Jamais, sans jamais quitté son regard.
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| | | Rhett HowdenTrust always hurts in the long run | Sujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot Mer 28 Mar - 4:26 | |
| Maureen & RhettI should've walked away one year ago When you said I wouldn’t make it out alivewhen you treat me like that Miser gros, voilà ce que Rhett avait convenu de faire en laissant Maureen entrer chez lui. Non pas parce qu’il n’avait pas l’habitude de ramener des meufs chez lui, mais plutôt parce qu’il savait à quoi s’attendre. Il savait ce qu’elle était et ce qui les attendait s’ils franchissaient une certaine limite. Il le savait depuis l’instant où il l’avait sortie de ce trou à rat où il l’avait retrouvé après tant d’année. Il le savait et il n’avait jamais fui. Près d’elle, il avait été sans demander plus, acceptant de ne pas faire partie intégrante de sa vie, jusqu’à ne plus accepter d’être mis de côté. S’il avait toujours dit ne rien vouloir de plus que du sexe, il cachait en lui une vérité encore plus grosse. Alors oui, il était prêt à accepter sa vie, son boulot, s’il pouvait la garder près de lui juste un tout petit peu. Rien de bien gros, juste assez pour vivre leur moment avant de reprendre leur vie. Car bien qu’il soit capable d’accepter, il sait qu’il ne pourra se tenir à carreau, lui jurer une pleine fidélité, même si elle avait plus à craindre de son boulot que des autres femmes. En vérité, elle ne trouverait sans doute sa place qu’en tant que maîtresse, avant de pouvoir en dire plus et savoir si elle pouvait dépasser son amour du travail. Elle pouvait y arriver avec un peu d’effort. Car il avait besoin d’elle, il la voulait dans sa vie. Et il pourrait tout lui demander si elle le faisait. Il était plus amoureux qu’il ne pouvait le croire, mais ça il l’enfouissait en lui. Mais toutefois bien déterminé à lui montrer à sa manière, comme il l’avait toujours fait. Imposant ses désirs, il la regardait de haut, elle a genoux à ses pieds. Elle était belle, séduisante, il comprenait pourquoi les hommes la payaient, sans doute que lui-même l’aurait fait s’il ne l’avait pas déjà connue. Mais il n’avait pas besoin de payer pour l’avoir, il n’avait qu’à le dire ce soir. Ils se désiraient mutuellement, la regardant prendre son sexe dans sa bouche le fit soupirer d’aise. Il sentait cette langue douce et humide glisser sur sa peau veinée. La chaleur de sa bouche contrastait avec son souffle. Il voyait sa verge disparaître caressant ses amygdales. La partie commençait et il allait se montrer joueur. S’il l’avait laissé mener la partie un court instant il reprenait vite le contrôle. Il empoignait sa main qui caressait ses balles « Non » pourtant, il aimait sentir ses doigts sur sa peau. « Caresse-toi » ordonnait-Il en glissant une mais dans ses cheveux de jais. Les gémissements de plaisir se faisaient de plus en plus entendre. Relâchant sa main, il allait porter sa seconde derrière la tête de la brune. Empoignant sa tête, il la forçait à l’avaler tout entier, sentant sa verge écarter les parois de sa gorge. Il était brutal, bestial, mais ça ne l’arrêtait pas. Il continuait laissant son regard plonger dans les prunelles sombres de son ex. Il baisait cet orifice avec excitation, impatience. Ses gestes étaient de plus en plus bruts, il perdait sa retenue, laissant les onze dernières années le rattraper. Il poussait des grognements de plaisir, puis au bout de bon nombre de coup de butoir au fond de sa gorge, il s’arrêtait gardant sa verge dans sa bouche, il éjaculait. « Avale » disait-il en la regardant, caressant du bout des doigts sa joue. Il se retirait et sans demander il la soulevait du son pour venir la poser sur le plan de travail. De là il entreprit de la mettre elle aussi à nue. Il lui retirait cache morceau avec lenteur.
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| | | | Sujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot Sam 7 Avr - 11:38 | |
| | ∞ Why you wanna see me bleed? Why you wanna watch me fall apart? Try to find the worst in me. But I won't follow you into the dark. When you treat me like that, when you treat me like that. It's pushin' me harder, it's pushin' me harder. When you treat me like that. | |
when you treat me like that It's pushin' me harder Sa patience, elle l'avait perdue. La belle brune ne s'était plus offert avec tant de dévotion et de vénération depuis ce qui lui semblait être une éternité. Et quelques part, c'était le cas. La dernière fois qu'elle s'était laissé aller avec cette insouciance libératrice et cette confiance totale remontait bien à onze années dans le passé. Car oui, la seule personne à qui elle avait su s'offrir sans réserve, aucune, n'avait été autre que lui-même. Et bordel, comme le temps avait été long ! Maintenant qu'elle pouvait jouir de son corps de nouveau, elle ne comprenait pourquoi est-ce qu'elle avait gâché autant de temps quand l'issu de cette attente ridiculement inutile lui semblait inévitable. Elle suçait cette longue et majestueuse queue et elle avait la chatte en feu. Elle aimait la manière dont ses lèvres se déchiraient à faire le tour de son sexe. Elle aimait le goût qu'il avait sur sa langue tortueuse. Putain, elle aimait tellement l'avoir dans sa bouche gourmande. Elle aimait la texture et le poids de ses sacs dans la paume de sa main. Elle aimait la manière dont son autre main empoignait, malaxait son globe fessier. Comment aurait-elle pu rester patiente quand elle pouvait finalement se régaler de cet homme qu'elle chérissait, glorifiait, adorait. Cet homme qu'elle avait apprit à oublier mais qu'elle n'avait jamais cessé d'aimer. Jamais. Maureen savait que Rhett ne lui avait pas accordé la liberté de laisser courir ses mains sur son corps mais elle avait bien incapable de résister. S'il y avait un homme pour qui elle aurait toujours une faiblesse, c'était lui. Il était cette tentation pour qui elle pêcherait. Ce serpent, cette pomme, son pêcher originel. Le châtiment était d'apparence douce mais qu'il la prive de son contact était ce qu'il pouvait trouver de pire pour la punir. Il lui disait non et elle n'avait jamais aimé qu'on lui refuse quoique ce soit. Mais elle obtempérait parce qu'il n'avait qu'à demandé pour qu'elle ne s'exécute. Le jeune homme libérait sa main, empoignait sa tête de ses deux mains et s'enfonçait au plus profond de sa gorge. Maureen s'étranglait sur sa queue, s'étouffait, suffoquait mais elle l'avalait comme s'il avait été la plus douce des friandises. Sa main descendait détacher le bouton et la fermeture éclair de son jeans et maladroitement le faisait descendre jusqu'en libérer la moitié de son cul rebondi et si ferme. Sa main plongeait dans sa lingerie et elle enfonçait sans perdre une seconde, une seule. Deux doigts dans son intimité inondée mais tout de même brûlante. Elle se baisait avec ses propres doigts alors que lui, lui baisait la bouche. Sa bouche chaude, humide, étroite qu'il défonçait sans ménagement, aucune. Ce rythme même qu'elle imitait sur ses propres caresses. Les gémissement se faisaient denses et le plaisir luxuriant. Il enterrait son sexe dans sa gorge, labourait sa bouche avec une bestialité non contenue. Il assoyait sa dominance sur elle avec la force de sa passion. Comme avant. Comme quand il était encore amoureux d'elle, quand il n'y avait qu'elle. Aujourd'hui, tout ça était peut-être révolu mais ce soir, il l'incitait à croire le contraire. Ces coups de butoir était douloureusement excitante et sa bite, tellement bonne. Maureen s'accrochait à son cul même si Rhett la maintenait bien en équilibre avec sa prise. Elle se sentait faiblir, elle se sentait venir. Une énième fois, il allait cogner au fond de sa gorge et ce n'est pas une seule mais six, si ce n'est sept giclé de sa semence qui venait noyer son gosier. Bien qu'elle s'attendait à ce qu'il fonde dans sa bouche et qu'elle n'en avait pas attendue moins. L'abondance de son fluide nacré venait la surprendre. Il lui ordonnait d'avaler et elle obligeait, elle aurait voulu jouir sur ses doigts parce qu'il n'y avait rien au monde de plus délectable et excitant que l'était cet instant. Elle se nourrissait de lui avec appétit. Sur le coin de ses lèvres pouvait s'échapper une traînée de son nectar et la belle pressait sa joue contre la main du jeune homme. Appréciant ce contact doux qui venait contraster et récompenser sa docilité. Maureen passait sa langue sur le coin de ses lèvres pour récupérer ce peu de lui qui avait pu lui échapper à l'instant même où il retira son sexe encore si dure, si parfaite de sa bouche. Elle enleva ses doigts de son intimité quand il la souleva comme si elle ne pesait rien pour la déposer sur le plan de travail. Là, encore, elle aurait aimé jouir, elle aussi. Dieu seul savait depuis combien de temps il ne lui était plus arrivé de jouir, vraiment jouir. Mais elle ne voulait pas être celle qui la ferait atteindre l'orgasme. Sans compter, qu'il ne lui avait pas demandé de le faire. Pas encore. Elle levait ses bras pour lui permettre de lui débarrasser de son top plus aisément. Maureen allait même entourer ses bras autour de sa nuque et se surélevait à l'aide de son bras pour qu'il lui lui retirer son pantalon après qu'elle ait viré ses talons haut comme elle l'avait pu. Sa culotte mouillée, également. Il ne lui restait plus que son soutient-gorge. Rien à voir avec les brassières de sport ou les torchons bon marché qu'elle pouvait bien porté à l'époque. Mais ça aussi, il le lui enlevait. Ses vêtements gisaient, empiler sur la serviette du jeune homme. Doucement, elle se laissait redescendre sur le plan de travaille. La fraîcheur du marbre sur son cul nul la faisait frémir bien que son corps, lui, bouillonnait. Il l'avait déshabillé lentement, tortueusement mais tendrement. Ce n'était pas seulement un amant qu'elle retrouvait ce soir mais également un homme dont elle était sans nul doute encore amoureuse. La belle laissait glisser sa main dans sa chevelure brune, la seconde sur sa joue, son cou, son épaule, son pectoral. Elle le trouvait tellement beau. « Je veux jouir, moi aussi... », elle lui dit parce qu'elle n'avait jamais su dire de belles choses. « Je veux que tu me fasses jouir comme seul toi sait le faire... », elle demande, elle n'ordonne pas. Elle supplie même du regard parce qu'elle n'est calme qu'en apparence. « Touches-moi, s'il te plait... », elle implore sans fierté, aucune. Elle le veut, elle ne le cache plus. Maureen n'a plus envie de vivre ce mensonge. Celui où elle doit faire semblant de ne pas vouloir la seule personne dont elle ne pouvait se passer.
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| | | | Sujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot | |
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