Les cabines d’essayages sont faites pour essayer qui ? /Derrick (+18 ans)

Derrick ∞ Megara

« Peut-être bien, qui sait. » Je ris légèrement, c'était original au moins ! Mais pour l'instant son côté dominant m'excitait bien plus ! J'aimais diriger oui mais plus avec les femmes. Du côté des hommes j'aimais bien que ceux ci prennent des initiatives puis prendre leur dessus leur donnait tellement plus de virilité, ça se confirmait complètement d'ailleurs avec Derrick ! Mes pensées n'étaient plus du tout contrôlables, l'excitation prenait le dessus et elles dérivaient complètement ! J'avais des envies de me laisser à aller à des trucs dans tous les sens sans aucune retenue sauf que nous étions dans une cabine d'essayage il allait forcément falloir que je me retienne et lui aussi. Ça allait être dur mais en soit ça rendait aussi les choses excitantes d'une façon différente ! Les sensations sur multipliaient en particulier entre mes jambes. Ses doigts s'agitant me faisaient trembler de plaisir puis je les sentis s'introduire en moi. Tout ça en devenait un supplice, certes un supplice particulièrement agréable mais un supplice quand même ! Etait-il possible que je ne mouille plus que ça n'était déjà le cas ? Je sentais même couler le long de mes cuisses, j'étais complètement prête à le recevoir et je n'ai finalement pas pu attendre plus longtemps pour lui dire clairement. Il ne se fit pas prier et je pus même sentir ses doigts se retirer alors que son sexe pénétrait en moi. J'ouvrais la bouche en me retenant difficilement de laisser échapper un gémissement. Il agrippa mes hanches et après quelques coups de reins plutôt soft il se mit à accélérer la cadence et à se faire plus sauvage en butant violemment au fond de moi. Je laissais aller ma tête en arrière quand il m'attrapait les cheveux et je fermais les yeux en haletant et frissonnant sous ses baisers et se mordillements. « Et merde... » Je rouvris les yeux alors qu'il s'arrêtait est e retirait. Attend quoi ??? Il allait pas me frustrer en arrêtant tout maintenant là c'éatait pas possible ! "Mais qu'est ce que tu f.." je fut interrompis par le demi tour qu'il me fit faire. Bien vite je me retrouvais plaquée contre le miroir, et coincée entre ce miroir et lui. Lorsqu'il me souleva je serrais mes jambes autour de lui par réflexe et calait mes bras sur ses épaules musclées. Je descendais une main dans son dos sous son marcel et remontais l'autre dans ses cheveux pour les agripper alors qu'il collait ses lèvres aux miennes. Je lui rendais sauvagement son baiser en soupirant d'excitation contre ses lèvres et étouffait un gémissement au moment où je le sentais plonger en moi à nouveau. J'agitais mon bassin sur son sexe et lui mordillais la lèvre avant de descendre mes lèvres dans son cou puis de les remonter pour l'embrasser à nouveau. Etant déjà excitée à fond avant la pénétration je sentais l'orgasme arriver assez rapidement et je savais que je ne pourrais pas retenir mes gémissements. Je me connaissais suffisamment pour ça. Je glissais mes lèvres vers son oreille pour murmurer "Hmm encore plus fort !" Oui oui j'aimais le sexe sauvage ! Je soupirais de plus en plus et respirais plus rapidement le serrant contre moi. Je l'embrassais à nouveau pour étouffer mes gémissements au moment la chaleur envahis totalement mon corps dans une extase de plaisir.

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Meg & Derrick

Les cabines d’essayages sont faites pour essayer qui ?

Ce qui se passait dans cette cabine n’avait rien à voir avec ma dernière relation sexuelle. Autant dire qu’avec Zoey la passion n’y était plus. Je me refusais bien souvent à simplement me contenter du missionnaire, mais ça ne valait pas ce que je faisais avec cette fille. Ce n’était pas pour rien que j’allais voir ailleurs, après tout j’étais bien plus satisfait avec d’autres filles. Tout cela se confirmait à mesure que mon sexe glissait entre ses cuisses, que je sentais ma sève monter, que ses gémissements parvenaient à mes oreilles. Mon self-control s’était envolé et je ne perdais pas un instant à la pénétrer. Sans condom, mais qu’est-ce que j’en avais rien à foutre. Je ne souhaitais qu’une chose, la déchirer, lui montrer qui dominait. Lui faire prendre son pied. Ce qui semblait fonctionner au vu des réaction de son corps. Je la sentais se contracter, faisant de légère pression sur mon sexe qui trouvait encore la force de se tendre. Je regrettais de ne pas me souvenir d’elle, de ne pas l’avoir revu bien avant. Mais que se fut que la seconde fois pour nous deux, je lui accordais un privilège que bien d’autre n’avait pas droit. Je savais qu’en me retirant, elle serait surprise et ne comprendrait pas. Seulement, elle n’aurait pas longtemps à attendre avant que je la fasse tourner pour l’avoir face à moi. Je reprenais de plus belle, lui faisant passer ses jambes autour de moi, je me glissais de nouveau en elle. Cette cavité si chaleureuse ! Pouvais-je prendre goût à cette fille ? En tout cas, si elle désirait mon numéro, elle pouvait être certaine que j’allais lui refiler pour pouvoir remettre la partie. L’embrassant fougueusement, je m’enfonçais en elle la percutant avec dureté dans des va-et-vient brutaux. Ses lèvres contre mon cou me donner encore plus envie d’elle, glissant ma main jusqu’à sa poitrine. Je recommençais à la caresser pinçant son mamelon entre mes doigts. Sa petite exigence susurrée à mon oreille me fit sourire. Je ne la fis pas répéter deux fois, que j’accélérais encore me foutant bien si ça pouvait devenir douloureux. Pour ma part je glissais sans résistance en elle, laissant entendre le bruit de nos sexes à l’unisson. La succion. Tout était en place pour arriver à l’orgasme. Lui redonnant son baiser, j’étouffais à mon tour gémissement et une sorte de grognement. Ça ne durait pas bien longtemps, avant que je me vide en elle. Voilà quelque chose d’autre que je n’avais pas l’habitude, mais j’étais tellement excité que ça avait été plus fort que moi. Je voulais qu’elle sente ma chaleur en elle, qu’elle se sente pleine. Haletant, je restais bien au fond d’elle, mes lèvres collées aux siennes sans pour autant l’embrasser. « Qu’est-ce que je donnerais pour te faire hurler. » finissais-je par dire en me reculant pour plonger mon regard dans le sien. « Derrick ? » J’en avais presque oublier Savannah, je ne pensais pas qu’elle nous aille entendu, mais elle devait bien me chercher. Comme de fait, j’entendais la vibration d’un portable. Fermant mes yeux un bref instant, je me retirais de la brunette la laissant retrouver le sol ferme, me penchant pour prendre mon portable. Un message texte. Je répondais en mentant, lui disant que j’avais eu une urgence et j’avais dû partir. Ce qui était loin d’être le cas, comme je me trouvais qu’à quelques pas d’elle. Poussant un soupir, je passais ma main dans mes cheveux me tournant pour faire face à la jeune femme. J’avais beau avoir éjaculé, je me sentais près pour un second round. « C’que t’es bandante. » C’était littéralement le cas, mon corps était la preuve même avec mon sexe qui recommençait à bander. « Et si on allait ailleurs ? » Si elle acceptait, j’allais me faire un plaisir de la prendre entièrement et la faire hurler à en faire réveiller un quartier complet.

Derrick ∞ Megara

La cabine d'essayage prenait un tout autre sens ! On pouvait toujours appeler ça une cabine d’essayage ceci dit, sauf qu'au lieu d'enfiler des habits c'était moi qu'il enfilait. Pour mon plus grand plaisir ! Puis ça avait quelque chose de très érotique et d'excitant de le faire dans une cabine alors qu'on pouvait être découvert à tout moment. La sauvagerie sexuelle avait prit le dessus et on était passé d'un moment de jeu d'excitation douce à de l'excitation pure et dure. A la fois brutal et particulièrement jouissif ! Son sexe frottant contre le mien me rendait folle j'en étais complètement imbibée. Je ne voulais qu'une seule chose, sentir son membre raide s'enfoncer en moi et n'en pouvant plus de toute cette excitation je lui avais dit de me prendre. Ce qu'il fit bien rapidement et ses coups de reins devinrent rapidement plus violents. Si bien que je me demandais comment je faisais pour ne pas lâcher de cris. L'habitude des endroits tordus sûrement bien que ça commençait sérieusement à devenir compliqué de se contenir... et encore le mot était faible ! Quand il s'arrêta pour se retirer ma frustration était énorme mais elle fut vite comblée au sens propre du terme puisqu'il m'empala à nouveau sur son sexe dans les secondes qui suivirent après m'avoir violemment plaqué au miroir. Alors que je sentais le plaisir m'envahir tout entier il se mit à accélérer encore plus bestialement sous ma demande et l'orgasme ne se fit pas attendre. Je jouissais puissamment en étouffant mes gémissements contre ses lèvres. Il jouit à son tour quasiment en même temps. Je sentais la présence liquide en moi en plus de son sexe. « Qu’est-ce que je donnerais pour te faire hurler. » j'en avais des fourmillement partout. Je regardais ses lèvres et donnais un petit coup de mangue dessus "Hmm quand tu veux" étant encore en moi je le sentais bouger au moindre mouvements qu'on pouvait faire. Je reprenais doucement un souffle normal son sexe toujours plongé entre mes cuisses ne faisait pas baisser l’excitation, ses mots non plus d'ailleurs. Je ne m'attendais pas à ce qu'une voix l'appelle, ceci dit il valait mieux maintenant qu'il y a quelques minutes. Il me semblait connaitre cette voix d'ailleurs.. Donc il s'était bel et bien trompé de cabine, c'était une chance ! Je reposais mes pieds à terre lorsqu'il se retira pour regarder son portable. Pour ma part je restais contre le miroir et je fermais les yeux un instant en laissant aller ma tête en arrière. « C’que t’es bandante. » mon sourire s'étendis et je rouvrais les yeux pour poser mon regard sur lui, puis sur son sexe. Effectivement j'avais l'air de l'être. « Et si on allait ailleurs ? » Oh alors il ne rejoignait pas la fille qui l'avait appelé ? Flatteur pour moi J'hochais positivement la tête "Avec plaisir !" mon regard se posa sur le string arraché par terre et le soutif non loin, intacte lui. Non je n'allais pas les prendre ils resteraient ici je m'en fichais après tout. Mais remettre ceux avec lesquels j'étais arrivé ne me semblait pas nécessaire non plus. J'étais encore bien trop humide pour mettre quelque chose, je me contentais donc de remettre ma robe courte sans rien en dessous. En plus de ça ça donnait plus d'accessibilité, de cette façon il pouvait me prendre quand il voulait, où il voulait, sans même me prévenir d'ailleurs. Oui ce contrôle que je n'avais plus en sa présence m'excitait. Je glissais donc les sous-vêtement avec lesquels j'étais arrivé dans mon sac à main et sortais de la cabine non sans frôler volontairement la bosse encore visible malgré le fait qu'il se soit rhabillé. Perchée sur mes talons je quittais le magasin d'un pas élégant puis me retournais vers lui avec un sourire en coin "Et tu comptes m'emmener où ? Tu as une voiture ?" Parce que moi j'étais venue à pied, s'il était venu dans la même voiture que sa pote il allait probablement lui laisser. Bon ceci dit les taxi ça existait aussi à moins qu'il ai pour idée de m'emmener tout prêt.

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Les cabines d’essayages sont faites pour essayer qui ?

Rester en garde à vous après une baise, c’était monnaie courante pour moi. Je pouvais être doux et attentionné, mais généralement j’avais une endurance presque inépuisable. Ma libido avait toujours été forte et cela depuis mon plus jeune âge. Il ne fallait donc pas s’étonner si je remettais la partie plus d’une fois. Ce que je comptais faire avec celle fille que j’avais rencontré tout bonnement en me trompant de cabine. Si j’avais su cela possible, faire la rencontre d’une fille torride dans une cabine d’essayage j’aurais tenté le coup bien avant. Mais sans doute était-ce simplement un coup de bol ! Que ce soit la chance ou bien le destin, je ne l’avais pas ménagé même si je n’avais pas été aussi loin que j’aurais pu. On venait de vivre l’entré, maintenant bien en appétit je désirais le plat principal et le dessert. Cette fille si elle n’avait pas l’habitude aurait sans doute du mal à marcher demain. Je me retirais d’elle, allant répondre au message que m’avait laissé ma meilleure amie. J’aurais dû me sentir coupable de lui mentir, mais je n’avais pas envie de prendre de reproche. Et puis si je lui avais dit, je n’aurais pas pu continuer le menu. J’étais plus que ravi de la voir accepter de continuer. J’enfilais donc mon boxer ainsi que mon pantalon, voyant du coin de l’œil qu’elle ne remettait pas ses sous-vêtements. Voilà qui était intéressant ! J’étais en train de bouclé ma ceinture quand je sentis son corps m’effleurer, si elle me chauffait, elle pouvait être certaine que je n’allais plus pouvoir me contenir ! Déjà que je n’aurais pas dit non à pipe avant de sortir de la cabine, mon excitation ne faisait que s’accroitre. Je prenais mon blouson, sortant à sa suite pour la suivre à l’extérieur du magasin. « Ouais j’ai ma bagnole. » Ce vieux taco… Bien que j’avais été amener pour être chauffeur et patère, je ne pouvais pas laisser ma voiture à Savannah. Personne n’arrivait à faire démarrer ce tas de ferraille. Je préférais de loin conduire ma moto, mais puisqu’elle était entreposée pour l’hiver, je devais faire avec ma voiture. Quant à l’endroit, je devais bien admettre que je n’avais pas la moindre idée d’où on pourrait aller. Personnellement, tout me convenait, loin d’être difficile quand il s’agit de baiser, on pouvait aller n’importe où. Sauf peut-être chez moi, puisque je venais de dire à Sav que j’avais dû partir, il était certain qu’elle ne devait pas me retrouver à la maison et encore moins avec une meuf. Pensant à une idée, je prenais néanmoins la direction du stationnement où j’avais mis ma Pinto. Étant au second étage et la porte menant dehors était à l’étage en dessous, je montais sur l’escalateur le premier me tournant pour lui faire face. Sans lui demander son avis, je glissais ma main entre ses cuisses. Cette chaleur était agréable à sentir, mais aussi nos liquides qui coulait entre ses jambes. Je passais ma langue sur mes lèvres en caressant son clito. Je savais que j’allais la frustrer puisque l’escalateur n’était pas si long, mais je l’étais tout autant. J’avais envie d’elle, mais je ne pouvais pas non plus la prendre en plein centre d’achat à la vue de tous. J’appuyais durement sur son clito, non pas dans le but de lui faire mal, mais plutôt pour déclencher une excitation express ! « Tu m’as toujours pas dit comment tu t’appelais. » disais-je banalement, avant de laisser mon doigt glisser en elle, le faisant tourner. Je regardais derrière moi et descendais de l’escalier en retirant ma main. Un sourire espiègle aux lèvres, je me tournais pour la regarder, passant mon bras autour de son cou et allant lui murmurer : « Tu te sens capable d’attendre jusqu’à ma voiture ou on se trouve un coin pas trop loin ? »

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De toutes les fois où j'avais baiser pas une n'avait été la même qu'une autre. C'était toujours différent. C'était un des points positifs du sexe, impossible de se lasser de cette façon. Ceci dit quand c'était différent on pouvait comparer. Et des éléments de comparaison il y en avait des tas, sur plein de plans différents. Autant dire que la on était loin du classique missionnaire au fond d'un lit sous la couette. Pas que je ne prenne pas du plaisir en missionnaire, quoi que, ça dépend avec qui mais la plus part du temps ça se passe bien. Mais faire dans l'originalité ça apportait un plus tout de même ! La cabine d'essayage pour moi c'était une première ! Et pourtant autant être honnête, ça devenait de plus en plus difficile de faire quelque chose d'inédit avec moi. Un mec qui se trompe de cabine et hop on s'envoie en l'air ! Et il avait pas fait semblant ! Ça aussi c'était une particularité que j'appréciais dans le sexe, la sauvagerie ! Je ne remis pas mes sous-vêtement. Après tout pourquoi s'en encombrer ? Ça ne servirait qu'à nous faire perdre du temps et dans l'excitation chaque seconde comptait. D'ailleurs ça il avait l'air de très bien le savoir vu la façon dont il avait joué avec mon excitation juste avant. Mais moi aussi je savais exciter avec dix fois rien. Comme un simple effleurement. Après tout je savais à quel point le sexe de l'homme était sensible. « Ouais j’ai ma bagnole. » Bon parfait alors.

Je le suis alors jusqu'à l'escalator pensant quand même qu'il allait se tenir tranquille jusqu'à sa voiture mais il me fit bien comprendre que je ne le connaissais pas encore. En effet sans que je m'y attende il s'étais tourné vers moi et avait glissé sa main entre mes jambes. Sur le coup j'avais été un peu surprise et j'avais regardé autour de nous pouvoir si quelqu'un nous observait. Mais pas le temps de vraiment porter attention aux autres vu que ses caresses sur mon clitoris captèrent bien rapidement mon attention. Quand son doigts s'appuya un peu plus ma main se posa sur le rebord de l'escalator pour s'y agripper et un léger soupire m'échappa. « Tu m’as toujours pas dit comment tu t’appelais. » Attend.. quoi ? Je relevais les yeux vers lui. Sérieusement ? Il tapais la causette en me caressant au milieu d'un escalator, ça aussi c'était pas mal. J'allais répondre mais son doigt s'introduisant en moi me coupa dans mon élan et j'ouvrais la bouche sous l'excitation. Il retira son doigt alors qu'on arrivait à l'étage supérieur et passa son bras sur mes épaules « Tu te sens capable d’attendre jusqu’à ma voiture ou on se trouve un coin pas trop loin ? » Il me demandait si j'étais capable de patienter ? Après qu'il m'ai excité ? HAHAHA ! Mais oui c'était tout moi ça ! Alors qu'on avait un peu avancé je me tournais vers lui pour lui faire face et le pousser contre le mur qui se trouvait juste derrière. Je me collais à lui et pressais ma poitrine contre son torse tout en descendant une main pour défaire sa ceinture et la glisser dans son pantalon. Ma main libre prit la sienne pour l'amener jusqu'à mes lèvres et je pris entièrement son doigt dans ma bouche. Je le retirais ensuite lentement sans le lâcher du regard et en caressant son membre déjà très réceptif. Je me penchais ensuite sur son oreille pour murmurer "La question c'est surtout... Est ce que toi tu penses pouvoir attendre d'être à ta voiture ?" je souris légèrement avant de lui mordiller le lobe de l'oreille et je relevais ensuite la tête en retirant ma main de son pantalon "Moi c'est Megara, Meg pour les intimes" Et je souris tout naturellement. Bien sûr que j'étais toujours excitée, mais j'aimais bien ne pas être la seule à avoir envie de violer mon partenaire sexuel. Sans attendre je me retournais pour prendre le chemin du parking non sans rouler des hanches bien sûr.

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Les cabines d’essayages sont faites pour essayer qui ?

Bien que j’eusse ma main sous sa jupe, un doigt en elle, ce n’était pas ce qui allait m’arrêter. Rendre un doigté aussi banale qu’une conversation était quelque chose que j’avais appris à faire. Meilleur moyen pour que mes copines ne remarquent pas que pendant que je discutais je faisais quelque chose de bien plus intéressant que de simplement parler. L’étonnement qui se lisait sur son visage m’amusait encore plus et j’allais jouer en elle. Je sentais la chaleur de sa cavité réchauffer ma main. Une chaleur qui me donnait encore plus envie de baisser mon pantalon et de lui redonner quelques coups de rein bien placé pour la faire crier. Toutefois, arrivé en bas de l’escalator, je devais bien mettre fin à tout cela. Je n’allais pas me prendre les pieds dans la dernière marche pour finalement m’étaler de tout mon long sur le carrelage. Bras sur ses épaules, je prenais la direction de la sortie pour aller rejoindre mon taco. Très vite, je comprenais qu’elle n’était pas prête à patienter jusqu’à ma voiture. La regardant, j’affichais un sourire amusé tout en obtempérant en la laissant me coller contre le mur. Je passais mes mains dans le creux de son dos, alors qu’elle débouclait ma ceinture et prenais l’une de mes mains pour glisser mon doigt entre ses lèvres charnues. Il était clair cette fille s’avait exciter, déjà que je savais mon érection toujours présente, là elle gonflait dans mon boxer sous la caresse de sa main. Mordant mes lèvres, je laissais un rire m’échapper à son murmure. « Qui sait. » disais-je en haussant un sourire. L’un comme l’autre étions excité au point que je pouvais être certain qu’offrir un porno aux petites vieilles du centre d’achat ne nous auraient pas dérangé. Une petite éducation sur la sexualité des « jeunes » ne pourrait que les décoincer un peu plus. « Enchanté Meg. » maintenant, me restait qu’à retenir son prénom, quoi qu’il serait dur de l’oublier puisque je savais que je n’arriverais pas à faire abstraction de ce moment. Le dos toujours appuyé sur le mur, je bouclais une seconde fois ma ceinture, en la regardant s’éloignant dans une démarche qui avait tôt fait de me faire encore bander. Je devais trouver un endroit où je pouvais me la faire sans qu’on nous observe. Non pas que j’avais quelque chose contre ça, mais si je me faisais arrêter pour une connerie du genre mon imprésario me ferait vivre un enfer. Je voulais bien l’adrénaline qu’on pouvait éprouver quand on se trouvait dans un lieu public, mais sans la punition. Après tout, il m’en voulait toujours pour le vol de voiture d’il y a quelques jours. Tournant un coin, on tombait sur un couloir. En fait, ce qu’il y avait bien dans les centre d’achats, des couloirs pratiquement déserts avec bien souvent un photomaton. Ce qui tombait à pic ! Prenant la main de Meg, je l’entraînai avec moi prenant place sur l’assise dans la cabine, je fermais le rideau et fouillait dans ma poche où j’avais toujours un peu de monnaie. Autant se garder un souvenir ! Je glissais l’argent : « Met toi debout et face à moi. » disais-je en posant mon regard sur elle. C’était plus fort que moi, je devais prendre les rênes. J’attendais qu’elle soit debout, pour glisser ma main sous sa jambe et la soulever pour la passer par-dessus mon épaule : « J’espère que tu es souple. » Je laissais ma main remonter jusqu’à ses fesses que j’empoignais avant de retrousser sa jupe et de coller mes lèvres contre les siennes. Mes dents mordillèrent son clitoris et le bout de ma langue venait effleurer la petite bille. Je me laissais glissé un peu sur le tabouret pour ainsi avoir accès pleinement à son intimité introduisant ma langue en elle, durant que mes mains pressaient ses fesses pour la coller davantage à moi. Un flash. Mais qu’importe, je ne m’arrêtais pas pour autant, de toute manière on ne me voyait pas dans cet angle de la caméra.

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Ou comment provoquer une tension sexuelle immense rien qu'en prenant l'escalator ? Est ce que j'avais envie de lui sauter dessus et de baiser sauvagement avec lui au milieu de tout le monde ? Oui clairement et c'était dur de se retenir alors qu'il agitait son doigt en moi sans que personne ne s'en rende compte. J'étais bouillante, excitée comme jamais et ça devait d'ailleurs se sentir physiquement puisque je n'étais pas sûre d'avoir encore une parcelle de peau sèche entre mes jambes. Mais une fois de nouveau sur le sol stable c'était à mon tour de m'amuser un peu avec lui. Après tout moi aussi je savais très bien faire monter la température et je comptais bien le lui montrer. Après avoir sucé son doigt et alors que ma main s'occupait toujours de son sexe sous son boxer j'avais émis l'option que c'était peut-être lui qui ne tiendrait pas jusqu'à la voiture. « Qui sait. » Bon personnellement moi même je n'avais pas envie d'attendre jusque la, je voulais juste le provoquer, chose que je continuais à faire en m'éloignant de lui et en roulant des hanches. Je n'eu pas à attendre bien longtemps avant qu'il ne prenne ma main au milieu d'un couloir pour m'entraîner dans un photomaton, bien vu ! Je le suivais donc sans rechigner et le regardais mettre un billet ce qui me fit rire "Photo souvenir ?" C'était probablement le genre de mec que ça ne dérangeait pas d'être filmé pendant qu'il baisait. Quoi que, une sextape pour sa carrière c'était peut-être pas l'idéal ou alors fallait vraiment qu'elle reste bien cachée. « Met toi debout et face à moi. » Hmm le ptit côté autoritaire était toujours la. S'il disait aimer la fessé j'avais tendance à le catégoriser comme étant un dominant mine de rien. Je souris légèrement du coin des lèvres et vint me mettre juste devant lui. Je le laissais donc me guider et il leva ma jambe pour la mettre sur son épaule « J’espère que tu es souple. » je ris, oh la il n'avait encore rien vu "Je pourrais te surprendre !" J'étais suffisamment souple pour pouvoir appuyer ma jambe sur son épaule même s'il était debout. Tout en restant moi même debout et droite. Quand ses lèvres touchèrent les miennes, celles du bas, je laissais aller ma tête en arrière en entre-ouvrant la bouche et en fermant les yeux. Je soupirais sous l'excitation et lâchais quelques petits gémissements sous les mouvements de sa langue tout en agrippant ses cheveux. Finalement après ça se fut à mon tour de lui faire plaisir et je m'étais baissée pour pouvoir lui tailler une pipe qui avait parfaitement fait son effet. Bien sûr on ne s'arrêtait pas la et bien vite je m'étais de nouveau retrouve avec son sexe engouffré dans le mien à recevoir les coups de reins dynamique de l'acteur. Dans une position puis une autre pour finalement finir l'un et l'autre complètement essoufflés.

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