Bien entendu je ne pouvais que me poser beaucoup de question sur ma futur rencontre avec Sorahiko, je ne sais pas comment ça va se passer et clairement c’est sûr que ça ne peut que me faire peur, mais je me dis alors que je verrai bien comment ça se passe entre lui et moi quand on se verra, je vais arrêter de me prendre la tête, de toute manière je ne vois pas l’avenir et me stresser comme ça est vraiment inutile. Enfin du coup je ne peux que me concentrer sur le moment présent, surtout que je n’ai pas envie de devenir un boulet qui ne parle que de sa relation, non il faut que je parle d’autre chose c’est certain et c’est pour cette raison, qu’après un petit moment sans rien dire, je propose a ma chère Carson de prendre un second donuts, je me doute bien qu’elle va accepter, je la connais parfaitement de toute manière et je sais qu’elle ne vas pas résister et je ne me trompe pas comme elle me dis justement qu’elle ne saurai pas résister, bien entendu ça ne peut que me faire rire.
-Je me doutais que tu allais me répondre ça tien étrangement, je pense que je te connais bien à force et je sais que tu ne résiste pas.
Je continue de rire mais quand elle ajoute qu’elle va emporter le donut je ne peux que regarder l’heure, mon dieu moi non plus je n’avais pas vu le temps passer, j’ai monopolisé Carson bien trop longtemps et je me doute qu’il faut qu’elle aille bosser. -Oh punaise je n’avais pas vu l’heure, bien sûr qu’on va prendre a emporter que tu puisse aller bosser… Tu en veux un à quoi cette fois ?
Je ne peux que lui sourire bien entendu, attendant qu’elle fasse son choix pour que je puisse aller commander.
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Pando
Carson A. McLaughlinTrust always hurts in the long run
Je gardais toujours un certain contrôle sur mes propos et mes réactions et j’essayais de ne pas être redondante, mais cela ne me gênait pas d’être prévisible une fois de temps en temps. En fait, cela ne me complexait pas un instant. Du coup, lorsque Bradley vint à me dire qu’il s’attendait à ce que je lui tienne un tel propos, je ne lui en voulais pas, pas un seul instant. En fait, j’étais même satisfaite, puisqu’ainsi, je pouvais être un peu moins complexée par rapport à ma gourmandise. Dans un monde parfait, bien sur que je serais restée plus longtemps, mais la réalité était en train de me rattraper progressivement, et je ne pouvais pas songer rester assise encore une heure sans me faire regarder du coin de l'oeil de façon peu sympathique une fois de retour dans les bureaux du FBI. Voilà pourquoi je le voulus pour emporter, ce qui ne dérangea pas mon ami, heureusement pour moi. Réfléchissant un peu à ce que je voulais, je lui répondis: « Citron-vanille, s'il te plait. » C'était encore bien calorique, mais un peu moins lourd que du chocolat, je supposais. Satisfaite de mon choix, je laissai Bradley aller commander, estimant qu’il n’avait pas besoin de moi. Pendant les quelques instants que je fus seule, j'en profitai pour regarder mon téléphone. Rien d’alarmant. Quelques messages mais rien de très urgent. C'était rassurant, et plus encore, une fois que Bradley revint à ma rencontre, je me levai et je suggérai: « Si tu n'es pas trop pressé, on pourrait marcher un peu ensemble. » Idéalement en direction de mon lieu de travail qui n'était pas si loin, mais je ne voulais pas l'obliger non plus, encore moins s'il avait d’autres plans, ce qui était fort possible.
Bradley l. RhodesFriendship is easier made than kept
MY BOOK COVER▹ posts : 106 ▹ credits : Moi même ▹ avatar : Matthew Daddario ▹ pseudo : Tris ▹ multinicks : Ava Evans ▹ age : 30 ▹ activité rp : 4/4
Après cet agréable moment en compagnie de ma chère Carson, je lui avais proposer de prendre un autre donuts, je me doutais bien qu’elle ne me dirai pas non comme on ne résiste pas à un donuts après tout, mais bon si elle m’avait dit non j’aurai accepté sa réponse, mais ce n’est pas le cas du tout, puisqu’elle vient de me dire oui, seulement elle souhaite qu’on le prenne à emporter comme elle va devoir aller travailler, ce que je comprends totalement, pour ma part, je vais rentrer chez moi pour travailler les photos que je venais de faire et après et bien je m’occuperai, comme toujours de toute manière, je passerai peut-être voir Sorahiko comme il m’a bien fait comprendre que je peux le voir quand je le souhaite en gros, donc avoir. Enfin du coup je ne peux que lui demander quel donut elle souhaite, après tout je ne vais pas prendre quelque chose qu’elle ne souhaite pas et quand elle me donne son choix, je réponds alors tout simplement.
-Parfait je vais chercher ça.
Je ne peux alors que me lever pour en effet aller chercher son donut et le miens et forcément c’est assez rapide bien entendu comme il n’y a pas grand monde, enfin du coup après ça je ne peux que retourner vers elle et quand elle me propose de l’accompagner je ne peux que sourire en lui disant alors.
-Bien sûr avec plaisir j’ai tout mon temps, je t’accompagne.
C’est donc avec un sourire aux lèvres que je ne peux que me mettre en route avec elle, pour le coup je ne peux que la laisser me guider car je ne sais pas où elle doit se rendre exactement.
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Pando
Carson A. McLaughlinTrust always hurts in the long run
Je n’étais pas en situation d’extreme urgence, je n’avais pas à retourner sur mon lieu de travail immédiatement, mais je devais admettre que je fus contente de voir que Bradley n’attendit pas une éternité pour passer et recevoir sa commande. Pourquoi ? Je ne savais pas. Je n’avais pas de raison de m’en réjouir ou quoi que ce soit du genre. C’était un soulagement un peu paradoxal duquel je ne commencerai pas à parler, sachant très bien que c’était complètement ridicule. À la place, j’accueillis son retour avec un petit sourire, un bref « Merci. » et finalement, une proposition pour marcher un peu ensemble afin de continuer la discussion et ne pas mettre fin à cet échange tout de suite alors que ce n’était pas nécessaire. Celui-ci accepta sans problème, ce qui me fit sourire davantage. N’attendant pas plus longtemps alors pour me lever de ma chaise, parce que si jamais je ne me levais pas ici et maintenant, pour sur, ce serait mon genre de rester en place et manger mon donut ici, et par conséquent, jamais je ne parviendrais à retourner au travail. Attrapant mon sac pour le mettre sur mon épaule, mon donut en main, je regardai Bradley pour lui demander: « On y va alors ? » Cela pouvait paraitre complètement inutile sur le coup - et en fait, ce l’était quelque peu - mais s’il avait autre chose à faire, un détour par la salle de bains ou quoi que ce soit, c’était le moment qu’il m'en fasse part. Il me semblait que c’était un peu plus poli de lui demander plutôt que de prendre la porte comme ça, en assumant que tout était bon pour quitter.
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