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 when you treat me like that. ♦ Rhett #hot

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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyDim 18 Mar - 6:14

Je souris parce que je pense que si l'on cache sa souffrance elle disparaît. Et dans un sens, c'est vrai : elle est invisible donc elle n'existe pas, puisque nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle ; elle est occultée.
when you treat me like that
It's pushin' me harder
Si elle ne ressentait rien... Elle avait beau lui dire que c’était le cas, qu’elle n’en avait rien à foutre de sa gueule, de ce qu’il pouvait bien penser d’elle. Et malgré tous les efforts qu’elle se donnait. Il savait que c’était faux et il ne se donnait même pas la peine de faire semblant d’y croire. Pourtant, il avait aisément avoué qu’il voyait en elle la pute parce que c’était cette facette d’elle-même qu’elle se démenait à lui montrer. Mais qu’est-ce qu’elle aurait pu lui montrer d’autre quand c’était cette femme-là qu’elle était aujourd’hui. Maureen aurait aimé qu’il voit en elle ce qu’elle avait de plus valorisant mais elle n’était même pas certaine que cette part d’elle existe encore. En lui, elle avait placé trop d’espoir. Elle réalisait qu’elle voulait qu’il la voit autrement que comme elle pouvait elle-même se voir. Peut-être qu’elle n’avait pas le droit d’espérer ça de lui, peut-être que c’était injuste de sa part de lui demander ce qu’elle ne pouvait même pas s’offrir. Mais il était censé être meilleur, censé être diffèrent. Il était supposé lui prendre la main et lui tenir la tête hors de l’eau. Mais ce n’était pas son rôle ou alors, ça ne l’était plus. Mais dans son esprit, les limites de leur nouvelle relation étaient confuses. Leur lourd passif planait au-dessus de leur tête, telle une épée de Damoclès. Parce qu’à la seconde où elle tomberait, ils seraient foutus. Aussi lui, qu’elle. Maureen avait tenté de le tenir à bout de bras, de le garder à distance pour sa propre sécurité. Et pourtant, elle continuait perpétuellement de le rattraper quand il partait trop loin. A chaque fois, elle lui revenait pour une broutille ou pour une autre et jamais encore, il ne l’avait laissé tomber. Il lui donnait tellement mais ce n’était pourtant pas suffisant. Mais le serait-ce réellement un jour? Comment pouvait-elle s’habituer à se contenter de si peu quand avant, elle avait tout. Elle l’avait lui, tout entier? Maureen était gourmande, elle était égoïste et possessive. Irrationnelle. Si elle ne ressentait rien, elle n’en serait pas là. Elle ne voulait pas lui dire qu’il avait raison, qu’il avait tout bon sur toute la ligne quand il lui disait ces choses de manière pédante ou hautaine. Comment pouvait-elle reconnaître ses torts quand il venait blesser sa fierté? « C’est toi qui dit que ça n’a de toute manière aucune importance. Que je sois ici ou non de toute façon, tu es déjà loin. », il avait retiré ses mains de siennes, de son corps et les avait foutu dans sa poche. Elle était vexée qu’il préfère à ses seins, ses poches. Il disait des choses, agissait en contradiction. Il ne faisait aucun sens pour elle. « Pardon? », elle n’avait pas entendu ce qu’elle venait d’entendre, si? Il avouait savoir qu’elle mentait, il disait qu’il ne voyait pas la pute et pourtant, il lui proposait de la payer pour pouvoir la sauter. Pour lui, il n’y avait que de cette manière qu’il pourrait la baiser. Le seul moyen pour qu’elle puisse le désirer était pour lui une image d’elle qui ne pouvait que faire semblant. Une transaction, un service pour lequel, il était prêt à être client. De rage son corps tremblait. Elle ne s’était jamais sentie aussi humiliée. « N’essaies même pas. », c’était une mise en garde, une menace, peut-être. S’il essayait, elle aurait sa peau. S’il le faisait, il détruirait ce qui restait encore de Maureen. Il la tuerait. Mais elle reste interdite face à lui. Elle le voit perdre de sa contenance quelque peu, laisser s’affaisser son masque de nonchalance. Elle s’approche une dernière fois de lui, elle lève sa main pour enlever délicatement la sienne de son visage et elle plante son regard ténébreux dans son océan tempétueux. « Tu la vois, toi, Maureen? », elle lui demande alors, enfin prête à écouter d’une oreille plus attentive. « Tu la veux? », elle caresse doucement sa joue et laisse son corps épouser le sien. Ses doigts descendent vers la base de son cou et ses ongles griffent légèrement sa peau mouchetés de grains de beauté. « Tu penses qu’elle pourrait réellement faire semblant avec toi? », elle s’était perdue dans son regard, elle lui souriait comme si elle avait encore le droit de le faire. Mais ce n’était pas le cas, ce n’était plus le cas. Elle s’écartait de lui jusqu’à buter contre la table et le livre qu’il y avait posé tombait à ses pieds. « Tu devrais partir. », elle avait tourné son regard vers la fenêtre. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration rapide. Ses mains agrippaient le rebord de la table derrière elle et elle essayait de ne pas penser au fait qu’en cet instant, elle le voulait plus que tout au monde.



   


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Rhett HowdenTrust always hurts in the long run
Rhett Howden
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▹ avatar : Grant Gustin
▹ pseudo : monocle. (alice)
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▹ age : 30 ans ✶ 18 mai 1988
▹ activité rp : closed (5/5) carson ; elena ; ysobel ; elijah ; alicia
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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyDim 18 Mar - 13:58

Maureen & Rhett

I should've walked away one year ago
When you said I wouldn’t make it out alive

when you treat me like that
Parfois les mots dépassent simplement les pensées, c’est un peu ce qui lui arrive à cet instant. Il ne sait plus comment répondre à ce rejet, il en est épuisé, exténué de la voir le rejeter ainsi. Il lui ouvre une porte et elle s’empresse de la fermer. Il se lasse. Il s’épuise. Et pourtant, il reste debout devant elle. Il attend qu’elle arrête de jouer avec lui, qu’elle lui ouvre la porte et non pas simplement avec des sous-entendus qu’il peut déchiffrer avec une certaine aisance. Il veut plus, il l’a tellement attendu qu’il ne peut tout simplement pas se résigner à accepter un peut-être. Devant ses yeux se trouve un jeu dangereux et ses mots s’évadent de sa tête et sortent sans demander de permission. Qu’importe, il n’a jamais été le genre de personne attachante qui se risque à dire de belle chose. Il est franc. Il fait mal. Mais il n’enjolive rien, ainsi on sait à quoi s’attendre avec lui. Lorsqu’il fait le contraire de tout cela, c’est qu’il n’en a rien à faire de la personne qui se trouve devant lui. Il ne fait jamais rien comme tout le monde, Rhett n’est pas comme tout le monde. Il est méchant. Il est hautain. Il profite de beaucoup de chose et réussi toujours à arriver à ses fins et cela qu’importe le moyen utilisé. Il a tellement envie d’empoigner les épaules de Maureen, de la secouer, qu’elle ouvre les yeux. Lui très loin. Elle a quoi comme merde dans les yeux ? Il est là. Il l’est depuis six ans, il se conforte avec le fait qu’ils ne sont plus comme avant, mais il est là comme il peut. Il lui accorde du temps qu’il n’accorde à personne d’autre. Il lui est fidèle d’une façon qu’il lui est propre et pourtant, elle ne semble rien voir. S’il arrive à lui proposer de la payer, c’est qu’il sait qu’elle ne bougera pas. Il la provoque. Il espère. Il meurt d’être pris dans une situation comme celle-ci qui dure depuis bien trop longtemps. « Alors arrête de mentir. » Pour une rare fois, il hausse le ton. Si elle ne veut pas qu’il en soit réduit à cela, elle se devait d’arrêter de mentir. Même s’il connait l’entière vérité, qu’il sait qu’elle lui ment, il veut l’entendre de ses lèvres, il veut qu’elle lui dise. Sinon c’est loin d’elle qu’il verrouillera son cœur pour de bon. Il en a marre, il touche le fond et pendant cet infime instant, il se laisse couler. Ses yeux se posent sur la brune lorsqu’elle retire sa main de son visage. Il la regarde. Il s’abandonne à croire que tout n’est peut-être pas perdu. Cette femme le détruit, le peu qu’il garde innocent, elle le détruit sans même le réaliser. En fait, ils se détruisent mutuellement. Trop con. Trop borné. Ils sont adultes et ce n’est que façade, au fond d’eux les adolescents qu’ils étaient persistes, se cherchent. « Maureen non, Raquel... » Il baisse son regard, ses mots s’étranglent dans sa gorge. Elle lui montre sa Maureen, celle qu’il a aimé, mais elle l’efface, elle ne lui donne qu’un aperçu. « …je ne sais pas. » Il l’a dit. Il la voit bien comme deux personnes distinctes. Il ne devrait pas les voir comme deux personnes, mais comme une seule et unique. Il est le mieux placé pour comprendre qu’il existe un équilibre entre deux personnes. Il est sans doute même le meilleur des exemples. Docteur Jekyll et Mister Hyde. Le bon, celui qui joue le masque. Celui que tout le monde voit. Celui qu’on apprécie parce qu’on ne voit pas pourquoi on devrait le détester. Et le mauvais, celui qui n’en a rien à faire des autres. Celui si égoïste qu’il pourrait vendre son propre enfant pour faire de l’argent – par chance, il ignore être père. Et il a l’entre deux, celui qu’il a toujours été avec Maureen. Ni trop bon. Ni trop mauvais. Elle le somme de partir et il tourne les talons, c’est la meilleure chose à faire. Il le sait. Ses doigts effleurent la poignée de laiton. Derrière cette porte se trouve leur vie, leur vie d’aujourd’hui. Celle où il porte un masque à perpétuité. Celui où elle n’est rien de plus que la catin que tout le monde se passe. Pendant un instant, ils peuvent être encore ces autres personnes sans étiquette, c’est ce qui le fait rebrousser chemin et il plaque ses mains autour du visage de son ex. Il la force à le regarder. « Laisse-moi la voir encore. » Il ressemble à un droguer, et c’est sans doute ce qu’il est à ce moment. Il replonge. Basculant dans ce puit sans fond, il plaque ses lèvres sur celles de Maureen lui offrant un baiser dur, un baiser passionné. Il sent son corps s’embraser. Il se consume. Il bascule. Il aime.  
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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyDim 18 Mar - 20:58

Why you wanna see me bleed? Why you wanna watch me fall apart? Try to find the worst in me. But I won't follow you into the dark. When you treat me like that, when you treat me like that. It's pushin' me harder, it's pushin' me harder. When you treat me like that.
when you treat me like that
It's pushin' me harder
Une part d'elle lui appartiendrait toujours. La plus belle partie de son âme, celle qui creuvait, s'effaçait, s'émiettait tous les jours un peu plus. Cette partie d'elle qu'elle détruisait sans ménagement était la sienne, uniquement sienne. Mais ironiquement, c'était également celle qu'elle tentait de protéger coûte que coûte. De lui, s'il le fallait. Parce qu'égoïstement, cette meilleure partie d'elle, elle voulait la préserver pour elle-même. Pour les jours de pluies, les grandes journées de solitude. Mais ce qu'elle n'avait pas comprit, ce qu'elle ne voulait pas comprendre c'est que seule, elle ne le serait jamais tant qu'elle l'aurait lui. Tant qu'il ferait partie de sa vie, tant qu'il serait là. Elle n'aurait rien à craindre. Mais elle avait peur, Maureen. Peur d'être seule, peur d'être abandonnée, peur d'être brisée. Elle s'accrochait désespérément aux derniers morceaux de lucidités qui lui restait, aux derniers fragments d'identité qu'elle avait. Parce que si elle acceptait de tout lui céder, il ne lui resterait plus rien. Fut un temps où elle aurait pu lui offrir tout ça, ce temps même où il aurait pu combler ce vide en s'offrant à elle. Mais ce temps était révolu. Aujourd'hui, lui ou elle n'était plus apte à faire ce genre de sacrifice. Mais une fois qu'on avait donné, pouvait-on réellement reprendre ? Elle ne voulait pas lâcher prise mais elle ne lui donnait aucune raison de lui céder. Au contraire, elle le pourchassait, le repoussait et ceux, inlassablement. Raquel ne voulait pas l'aimer, ne voulait pas souffrir. Elle en avait eu assez de ramasser les pots cassés, de remettre de l'ordre dans le bordel de Maureen. Elle ne voulait pas lâcher prise, rendre à Rhett ce qui lui revenait de droit. Mais ça ne faisait rien, elle se disait. Ce n'était pas bien grave puisqu'il ne semblait même pas vouloir de ça. L'eau avait coulé sous les ponts, elle se confortait, se fourvoyait. Parce qu’apparemment, la réalité était tout autre. Arrêter de mentir ? Si seulement, il se rendrait compte de ce qu'il lui demandait. Elle était cette folle muselée dans sa vie capitonnée par ses mensonges. Elle vivait, transpirait, mangeait, baisait en mentant. Sa vie avait pour fondation, le mensonge. « Si seulement, je pouvais... », mais si elle arrêtait, tout absolument tout s'effondrerait sur sa tête. Elle serait ensevelie, enterrée.  Pourtant, elle ne rêvait que de ça. Dire la vérité pour une fois, une seule. Pour une unique fois, ne plus crouler sous le poids de ses secrets mais ce n'était même pas envisageable quand elle risquait de tout perdre. Absolument tout ce qui a un jour compté pour elle et Rhett en faisait définitivement parti. Ça faisait mal, bordel. Ça piquait. Il ne la voyait pas, il ne la voyait juste pas. Il ne voyait qu'elle, Raquel. Elle aurait aimé qu'il soit capable de voir au dessus, en dessous. Qu'il la voit, qu'il la trouve même si elle s'était terrée dans un coin. Mais elle le voyait, le regardait vraiment et réalisait qu'elle n'avait pas le droit d'attendre ça de lui. Pas le droit de le faire endurer ça. De cette situation, il en souffrait, qu'il le lui dise, qu'il se le dise à lui-même. Elle avait fait ça. Raquel lui avait fait ça. Et elle ne pouvait pas laisser faire plus longtemps. Certes, elle se protégeait de lui mais qui le protégeait d'elle? Fut une époque où elle lui aurait donné sa vie, où elle aurait saigné pour lui, qu'elle se serait arraché le cœur pour lui, elle aurait tué pour lui. Qu’est-ce qu'il s'était passé ? Il ne savait pas. Il ne savait pas s'il la voulait ou si elle pourrait faire semblant avec lui. Elle ne comprenait pas ce qu'il ne savait pas au juste mais l'un dans l'autre, c'était alarmant. Ses articulations blanchissaient à mesure que ses ongles s'enfonçait dans le chêne de la table. Elle regardait au dehors mais elle ne voyait rien, elle était aveugle, sourde, muette. Ca faisait six ans. Et elle n'avait rien vu, rien voulu entendre et aujourd'hui, elle en perdait même ses mots. Elle se mordait la lèvres pour ne pas ouvrir la bouche, dire quelque chose, quoique ce soit. Alors que toutes les fibres de son corps la suppliaient, l'imploraient de le retenir.  Mais elle ne pouvait pas, elle ne pouvait plus lui faire ça. Il lui avait montré un aperçut de ce qu'elle lui avait fait, de ce qu'elle continuait de lui faire et elle ne pouvait pas l'encaisser. Elle devait le laisser partir, elle devait le protéger d'elle, se protéger de lui. Parce que protéger les gens qu'elle aime, Maureen ne pouvait s'en empêcher. Tandis que Raquel, c'est elle-même qu'elle s'entêtait à préserver. Elle fermait les yeux, pressait ses paupières l'une à l'autre. Elle devait le laisser partir, elle devait. Ce sont des grands yeux qu'elle rouvrit quand elle sentit la prise de Rhett autour de son visage. Son regard le réclamait, le conjurait de la laisser partir, s'évanouir une bonne fois pour toute parce qu'elle savait que ce serait la seule et l'unique fois qu'elle aurait la force de le lui dire adieu. Il était désespérée et ça la brisait de voir ce qu'elle lui avait fait. A quoi est-ce qu'elle l'avait réduit. « Je t'en pris, Rhett... », mais c'était trop tard. Parce qu'il venait de laisser passer sa seule, leur seule chance de s'en sortir indemne de cette histoire. Ses deux mains délaissaient la table pour agripper le popeline de sa chemise, elle l'attirait à elle avec la force de son désespoir. Ses lèvres, sa langue retrouvaient des vieilles amis. Elle le goûtait, le redécouvrait et elle savait que c'en était fini. Son corps, un brasier et elle savait que ce n'était qu'une question de seconde à présent avant que sa volonté ne s’effondre en un tas de cendre. Son corps réagissait instinctivement contre le sien. De passion, elle se consumait. De désir, elle calcinait. Elle perdait pied, perdait le contrôle. Elle savait qu'elle ne devrait pas mais comment pouvait-elle faire autrement ? Il voulait Maureen et cette fille n'a juste jamais su lui résister, le repousser. Alors dans leur baiser, elle se perdait, elle se compromettait. Et elle se raisonnait qu'elle ne craignait rien, qu'elle irait bien. Parce qu'il ne laisserait jamais rien lui arriver. Sur la table derrière elle, elle s'était hissé. Elle n'avait relâché sa chemise, seulement pour remonter sa robe. Suffisamment pour lui laisser la liberté d'aller entourer ses jambes autour de ses reins. La belle brune arrachait sa chemise de son pantalon et passait ses mains en dessous. Elle gémissait, frémissait contre ses lèvres en sentant sa peau sous ses doigts. Ses tétons durcissaient contre la soie de sa robe blanche. Parce qu'elle n'avait pas ressenti ça depuis tellement longtemps, trop longtemps. Elle se sentait vivre à son contact, elle sentait entière une fois encore. Elle aurait dû le repousser, lui dire qu'il ne pouvait pas l'avoir mais elle n'était pas une sainte. S'il voulait se brûler les ailes, elle le laisserait faire.



   

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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 19:03

Maureen & Rhett

I should've walked away one year ago
When you said I wouldn’t make it out alive

when you treat me like that
Le gamin secrètement amoureux de sa voisine fut bien longtemps tapis dans un recoin de Rhett. Dès l’instant où elle avait mis fin à leur relation, il l’avait enfermé, lui et son amour. Ce cœur qui inlassablement battait en repensant à la brune. Une perte douloureuse, mais indispensable. Voilà ce qu’il avait convenu avec lui-même. Elle était une distraction, sa faiblesse et s’il désirait accéder au pouvoir, il se devait d’abandonner son cœur, ses émotions et garder la tête froide. Il avait pourtant aimé de nouveau, rien d’aussi fort, rien d’aussi passionnel qu’il avait pu le vivre avec sa première petite amie. Mais il avait aimé, sans le montrer, sans s’investir. Il ne se risquait plus, refusait l’engagement et encore aujourd’hui, il était perdu. Elle était sa faiblesse, sa kryptonite, elle pouvait le guider à sa perte et c’est dans ses bras qu’il se laisserait chuter. Basculant dans l’abysse de ses sentiments oubliés. Tout cela, bien que présent en lui, se cachait encore sous cette carapace, ce mur qu’il avait érigé au fil du temps. Mais chaque fois qu’il la voyait, une pierre tombait. Six ans. Six années à regarder ce mur se détruire. Six années qu’il tentait maladroitement de recoller les morceaux cherchant une façon de laisser ce gamin en sécurité. Il n’avait pas envie de le faire revenir, il ne voulait pas lui montrer à quel point le monde était horrible, comme lui était horrible. Petit à petit, l’enfant poussait les pierres, montrant à Rhett à quel point il avait besoin d’elle. Lorsqu’il avait été pris de nostalgie avec les vidéos, ce n’était pas d’elle qu’il se rappela, mais d’eux. Eux qui avaient su s’aimer sans pareil. Eux qui formait un tout et loin l’un de l’autre ne vivait qu’à moitié. Son regard plongé dans les iris sombres de la latina, il gardait ses mots pour lui. Il lui en avait déjà dit suffisamment et si elle ne pouvait lui dire la vérité, à quoi bon persister ? Il n’avait qu’à reconstruire ce mur, laisser ses émotions le quitter pour oublier entièrement qu’un jour, il avait pu être quelqu’un d’autre que celui qu’il était devenu. Tournant les talons, il abandonnait. Capituler, c’était tout ce qui lui restait à faire. Mais penser que le jeune Howden pouvait abandonner en ayant essayé qu’une infime parti de tout ce qu’il pouvait faire pour se battre, était mal le connaître. On pouvait le rouer de coup, il se relèverait toujours. Il n’abandonnait pas. Jamais. Il puisait sa force dans sa capacité à tout vaincre, ne baissant jamais les bras, il arrivait à chaque fois à ce qu’il désirait. Et si ce soir il voulait Maureen, il l’aurait. Tel un toxico devant sa came, il revint vers elle. Ses doigts se posant sur cette peau satinée dont il avait gardé le souvenir. Ses lèvres ce même goût de fraise sucrée. Il gardait ses yeux fermés, ne cherchant d’aucune façon le regard de la brune. S’il le faisait c’était peine perdue. Les dés seraient jetés et c’est sans doute bredouille qu’il quitterait cette soirée. Une chose qui serait de toute manière inévitable. Elle n’était pas à lui, quelqu’un la payait. Un homme passerait après lui. Et combien d’autre ? Cette question, il ne le s’était jamais posé et aujourd’hui encore, il la repoussait craignant cette réponse qu’il connaissait déjà. Il devait simplement se vider la tête, ne penser à rien de ce qui se trouvait en dehors de cette pièce où ils étaient. Ses lèvres reprenaient leur dû. Il l’embrassait de cette même flamme qu’à leur adolescence. Elles savaient comment se poser sur celles de la brune, dansant une danse qu’eux seul connaissaient les pas. Leur corps réduisait la distance, laissant une chaleur douce et sécurisante les envelopper. Ils n’avaient pas tout perdu. Au fond d’eux se trouvait encore cette flamme, ce feu ardent qui les consumait de la plus belle des manières. Ses jambes passées désormais autour de sa taille, il laissait les mains descendre dans son cou, glissant sur ses épaules, laissant les fines bretelles retomber dans le creux des bras de la brune. Sans s’arrêter, ses mains continuaient leur descente, finissant leur course sur ses hanches. Elle était à lui, pour cet instant. Une voix lui disait de faire demi-tour, que se laisser aller comme il était en train de le faire le mènerait à sa perte. Tant pis. Il était prêt à courir le risque. Il l’attirait à lui, brisant le peu de distance qui les séparait déjà. Bien qu’il ne l’eût pas touché depuis tant d’année, il sentait son corps réagir, se réveiller, prendre vie à son contact. Il se rappelait ce qu’elle aimait. Une main descendait entre les cuisses de Maureen, caressant du revers de ses doigts le tissu qui le séparait de son intimité. Quant à son autre main, il la laissait remonter, jusqu’à agripper ses cheveux d’un noir jais, tirant sur ceux-ci pour basculer sa tête. Bien qu’il rompît leur baiser, ses lèvres ne la quittaient d’aucune façon. Sillonnant sur sa peau mate, s’attardant sur sa trachée qu’il mordillait du bout des dents.  
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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 19:16

Why you wanna see me bleed? Why you wanna watch me fall apart? Try to find the worst in me. But I won't follow you into the dark. When you treat me like that, when you treat me like that. It's pushin' me harder, it's pushin' me harder. When you treat me like that.
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It's pushin' me harder
Comment avait-elle pu oublié à quel point est-ce qu'il savait l'embrasser. A quel point est-ce que leurs lèvres savaient s'accorder. Ce genre de baiser qui dévorait, qui devenait morsure. En commençant par la douceur des lèvres, l'intrusion de cette langue vorace, impérieuse. Le contact des dents, brutal, exigent, affamé. Le genre de baiser qui importait qui savait faire naître le désir, l'appétence. Elle buvait son souffle, aspirait sa langue, mangeait ses lèvres. C'est son essence vitale qu'elle absorbait. Le baiser qu'ils échangeaient était à la fois fougueux, langoureux et passionné. Comment avait-elle pu oublier le goût de ses lèvres, musquées, sucrées. La sensation d'être touchée par lui, d'être désirée par lui. Mais elle savait que si elle avait oublié, ça avait seulement parce qu'elle savait qu'elle devait s'en passer. Et pourtant, elle lui cédait, elle se souvenait et perdait tout contrôle. Il laissait traîner ses mains sur son corps, la caressait avec sensualité et une patience qu'elle ne lui connaissait pas. Ou peut-être ça aussi, elle l'avait oublié.Ses mains sous sa chemise explorait son torse, le torse d'un homme, non plus d'un adolescent. Ses doigts traçaient les contours de ses muscles saillants, adulaient sa peau veloutée. Maureen peut sentir la brise nocturne caresser les pointes de ses tétons bruns. Les bretelles de sa robe creuse ses avants bras. Le voile de soie est soigneusement remonté jusque la naissance de ses cuisses et elle se languit de plus, s'impatiente de plus. Sa main survole la dentelle de son string et elle aurait pu mourir, elle croyait mourir, Peut-être même qu'elle aurait pu vendre son âme pour qu'il lui arrache ce fin morceau de tissus. Oui, elle aurait pu. Pour le sentir rien qu'une fois encore, elle aurait pu. Maureen rouvrait les yeux en réalisant le sombre tournant que prenait ses pensées. Raquel ne le lui permettrait pas, jamais. Ses ongles s'enfonçaient doucement dans sa peau alors qu'il la forçait à pencher la tête en empoignant sa chevelure. « Rhett... », elle soupirait une fois qu'il eu libéré ses lèvres pour aller perdre les siennes dans son cou. Il l'embrassait comme elle aimait être embrassée. Il insufflait des étincelles dans son corps et tout son être s'embrassait comme il ne lui était plus arrivé de le faire depuis si longtemps. Ses mains délaissaient son torse pour parcourir le bas de son dos, glisser vers son merveilleux cul qu'elle avait repéré en début de soirée. Elle le forçait à s'approcher d'avantage parce qu'en cet instant, elle ne désirait rien de plus qu'il vienne se fondre en elle. Qu'il vienne se perdre avec elle et qu'ensemble, il ne fasse plus qu'une seule et même personne. Comme avant. Elle voulait se souvenir. Elle voulait qu'il lui rappelle. Mais elle ne pouvait pas. Raquel ne voulait pas. Elle devait le protéger d'elle, la protéger de lui. Mais elle voulait qu'il la voit, qu'il la regarde réellement et qu'il se rende compte qu'elle était toujours là. Envers et contre tout, elle serait là tant qu'il sera là. Elle délaissait sa prise sur son magnifique derrière pour perdre ses mains dans ses cheveux. « Regardes moi... », ce n'était qu'un murmure parmi ses gémissements et soupirs de plaisir, de bien être. « Bol doré... », elle se sentait sourire à ce surnom qu'elle n'avait pas oublié, elle le forçait à la regarder. « Regardes moi... », elle avait terriblement envie de lui, atrocement même. L'amener à arrêter ses baisers lui avait demander toute la volonté du monde. Son regard ténébreux se perdait dans le sien. Elle allait prendre sa main qu'il avait laissé contre son sous-vêtement et la portait à sa joue. Sa main au dessus de la sienne. Maureen avait besoin qu'il la voit, besoin qu'il sache qu'elle était bien là. Mais elle avait également besoin de savoir s'il était sûre de savoir dans quoi est-ce qu'il s'embarquait parce qu'elle ne le laissera probablement pas faire marche arrière. « Je dois partir... », sa main quittait ses cheveux pour se plaquer doucement contre ses lèvres. Elle avait besoin qu'il l'écoute, qu'il ne l'interrompe pas. « Mais je vais venir te voir. Je viendrais et si tu ouvres la porte quand je sonnerais chez toi... Si tu ouvres, ça voudra dire que tu t'en as rien foutre de passer avant ou après un de mes clients. Ça voudra dire que tu ne vois pas juste Raquel mais moi aussi... Ça voudra dire que tu t'en fiche. », elle ôtait sa main de sa joue et la sienne de ses lèvres et descendait de son perchoir pour remonter ses bretelles et redescendre sa robe. « Réfléchis, d'accord ? », elle lui souriait presque avec timidité. Mais en réalité, c'était la nervosité, l'angoisse la peur d'être rejetée. Elle se penchait pour ramasser le livre qu'elle avait fait tombé et le lui mettait dans les mains. Madame Bovary, elle lisait. Elle se souvenait l'avoir lu une fois, elle se souvenait de chaque page, chaque mot. Et elle avait oublié jusqu'à la simple sensation d'être touchée par l'homme qu'elle avait très longtemps aimé. Qu'est-ce qui n'allait pas chez elle ? La belle brune passait distraitement ses mains dans sa longue chevelure dans l'espoir de les ordonner quelque peu. Elle avait un client à retrouver. Un rôle à jouer. Mais elle levait à la place les yeux vers Rhett, une fois à la porte. Si c'était la dernière fois qu'elle le voyait, elle voulait en profiter encore un peu. Parce que s'il n'ouvrait pas la porte... Elle devra lui dire adieu et elle ne serait jamais assez prête pour ça.



   

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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 19:23

Maureen & Rhett

I should've walked away one year ago
When you said I wouldn’t make it out alive

when you treat me like that
Ce n’était décidément pas trop tôt, ses mains posées sur le corps de Maureen, il se laissait envahir par ce désir d’être à elle. Oubliant tous les principes qu’il s’était donné avec les années. Oubliant qu’il souffrirait encore une fois. Il chassait ce possible sentiment de souffrance, se laissant emporter sur une vague de plaisir, de désir, d’impatience. Et même s’il avait hâte de la sentir tout comme de se sentir en elle, il ne brusquait pas les choses. Ses caresses, il les voulait désireuses, aguichantes. Il voulait la faire languir encore un peu, comme il s’était languit d’elle. Il avait pu patienter six longues années, elle pouvait bien attendre encore un peu. Le jeu allait prendre fin et même s’il se voulait patient, tout son corps ne demandait qu’elle. Sans broncher, sans répondre, il continuait ses baisers contre sa peau mate, il sentait le contact de ses mains sur son torse. Il appréciait sa chaleur, tout comme celle qu’il ressentait sur sa main qui se trouvait entre ses cuisses. Il la taquinait, l’allumait. Elle faisait de même avec lui et il ne s’en plaignait pas. S’approchant de son antre, moulant une partie de son corps avec le sien, il savait qu’il la désirait toujours autant qu’avant si ce n’est pas plus. Il ne désirait pas arrêter ses baisers, mais il se résignait à sa demande. Ses lèvres quittaient sa peau, mais l’expression qui s’affichait sur son visage n’était plus le désir, mais une forme de honte. Ce surnom honteux. Ce surnom qu’elle lui avait bien de nombreuse fois donnée et qu’il avait oublié, avec raison. Un choix qu’il n’avait pas eu, que ses parents avaient pris et qui laissait un souvenir amer à tout ceci. « Ne m’appelle plus ainsi. » disait-il entre ses dents. Elle avait beau être Maureen, il n’avait pas envie qu’elle l’affuble de ce ridicule surnom. Mais elle avait tout de même réussi, il la regardait. Ces prunelles verdoyantes plongées dans les billes sombres de la brune. Tel une marionnette, il la laissait manipuler son corps, ces doigts venant caresser la joue de la belle. Il n’avait envie d’entendre ce qui allait suivre, ce qui se passait dans cette pièce pouvait rester à eux. Personne n’en saurait rien. Jamais. Mais elle les disait tout de même ces mots qui déchiraient son corps, son âme. Il entrouvrit ses lèvres, seulement, elle l’empêchait de parler. Il y avait tant de chose qu’il désirait lui dire, il ne voulait pas la voir partir. Le voir. Quand ? Il n’en savait pas plus et sans doute que ça allait le rendre fou de ne pas savoir. L’inquiétude l’envahissait quelques secondes. Et si elle venait chez lui alors qu’il était tout simplement absent ? Rare était les fois où il se trouvait chez lui. Était-il prêt à attendre sans savoir ? Il posait son regard sur elle et d’un simple mouvement, il acquiesçait. Il allait réfléchir. Bien que sa réponse semblât toute faite dans sa tête. Prenant le livre qu’elle lui tendait, il effleurait ses doigts, cherchant un infime dernier contact. La regardant partir, il poussait un soupir. Pourquoi tout cela ne pouvait-il pas être simple ? Glissant ses doigts dans ses cheveux, il allait les peigner, replaçant sa chemise ainsi que sa cravate qu’il n’avait pas fait en même temps que la brune. Ça donnait aussi l’occasion à la belle de se volatiliser sans qu’ils soient aperçu ensemble. Lissant sa cravate, il jetait un coup d’œil au livre, seul témoin de cette passion restante. Il ignorait même s’il en restait vraiment. Sortant de la petite bibliothèque, il retournait à la grande salle, le bruit des conversations étouffant son esprit, ses pensées. Il marchait sans but parmi la foule qui conversait, son regard balayant l’endroit dans l’infime espoir de la revoir, même en sachant qu’il se blesserait de la voir avec un autre. Quand avait-il retrouver la sensation d’aimer encore ? Une main se posait sur son bras, le faisant tourner la tête pour voir près de lui une femme à l’opposé de Maureen, une peau blanche, des cheveux blonds, un regard clair et un corps filiforme. « Je te cherchais. » disait-elle en posant ses lèvres teintées d’un gloss pêche sur sa joue dans un baiser furtif, moins loin d’être innocent. Il la connaissait comme étant son assistante, mais aussi une des nombreuses femmes qui passaient par son lit. « Monsieur Howden est parti, nous devrions peut-être faire de même. » il n’était pas certain que ce soit une bonne idée, mais il avait besoin d’effacer le toucher de Maureen sur son corps. Être celui qu’il était en d’autre temps. Croisant le regard de Maureen une dernière fois, il tournait les talons, la blonde à son bras. Ce moment avec son assistante, il l’avait passé en pensant à la brune, dès qu’il se montrait trop entreprenant, se perdant dans son désir d’être avec une autre, la blonde mettait un frein le coupant dans son élan. Loin d’avoir été rassasié, il quittait l’appartement de la blonde pour retourner chez lui. Il se sentait vide, étranger dans son propre corps, il ne s’était jamais senti aussi misérable qu’à cet instant. Arrivant dans le couloir menant à son loft, il relevait son regard la voyant toquer à sa porte. S’arrêtant, il la regardait, parcourant les quelques pas qui le séparait d’elle. Désormais dans son dos, il glissait sa main dans la sienne lui donnant ses clés « Désolé de ne pas avoir été là pour ouvrir. » il la guidait pour qu’elle mette la clé dans sa serrure et il tournait. Il relâchait sa main pour aller tourner la poignée et laisser la porte s’ouvrir. « Maureen » dans son autre main, il tenait un sac contenant sa douceur glacée favorite, il avait fait un détour, dans l’espoir de la voir débarquer chez lui.
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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 19:31

Why you wanna see me bleed? Why you wanna watch me fall apart? Try to find the worst in me. But I won't follow you into the dark. When you treat me like that, when you treat me like that. It's pushin' me harder, it's pushin' me harder. When you treat me like that.
when you treat me like that
It's pushin' me harder
C'est son cœur qu'elle avait abandonné dans cette pièce. Quoiqu'il décide ce soir, elle lui en faisait cadeau pour l'éternité. Parce qu'elle se rendait compte que ce qui avait été donné ne pouvait être repris. Et son cœur, son amour, sa confiance, elle le lui avait un jour donné bien qu'elle semble l'avoir oublié depuis bien trop longtemps. Mais  Rhett ne s'était jamais battu pour la garder, jamais. Maureen savait qu'en lui laissant la balle dans son camp, elle risquait gros. Qu'elle perdrait probablement bien plus que ce qu'elle avait misé. Mais le couperet devait tôt ou tard tombé. Et si c'était sur sa tête, par tous les moyens, elle tenterait de s'en aller la tête haute. La belle brune était passée par les latrines pour s'assurer d'effacer toute trace de ce qui avait pu avoir lieu dans cette bibliothèque. Mais elle avait beau arrangé son rouge à lèvres, redessiné de ses doigts ses boucles brunes. Il n'y avait rien pour chasser la moiteur entre ses cuisses, pour atténuer le rouge qui montait de ses joues à la naissance de sa poitrine. Rien pour détendre ses tétons qui pointaient encore fièrement sous la soie de sa robe blanche. Absolument rien pour diluer le goût de ses lèvres sur sa langue, pour dissiper la sensation de sa peau sous la pulpe de ses doigts ou pour évaporé sa fragrance dont elle s'était enivré. Elle l'avait dans la peau. Raquel ne pouvait plus le nié maintenant qu'elle s'en souvenait. Elle n'aurait pas dû le chercher du regard, elle n'aurait pas dû. Peut-être qu'ainsi, elle n'aurait pas donné raison aux réticences de son alter-ego. La prostituée regardait l'homme à qui elle avait confié son cœur s'en aller avec une jolie blonde à son bras. Grande, élancée. Une jolie poupée barbie avec qui, il allait sans nul doute s'amuser. Elle s'était mordu l'intérieur de la lèvre quand il avait en plus osé croisé son regard. Comment pouvait-il simplement partir d'ici avec une autre femme. Comme s'il ne s'était rien passé, comme si ce qu'ils venaient de partagé n'avait pas compté. Elle sentait la main de son client sur le bas de son dos et elle relevait la tête pour lui sourire et elle réalisait qu'elle ne faisait rien de bien différent. Sauf qu'elle était payée pour le faire. Dans son esprit, ça enlevait de la gravité à ses actions. Pour elle, c'était un moyen de gagner sa vie, c'était son gagne pain. Mais lui, il n'avait tout bonnement pas cette excuse. Alors pourquoi est-ce qu'elle se retrouvait tout de même devant la porte de son appartement ? Peut-être est-ce qu'elle était masochiste, peut-être parce qu'elle avait besoin de le voir piétiné son cœur une bonne fois pour toute pour qu'elle comprenne une bonne fois pour toute que Raquel avait toujours et ne servirait que ses intérêts. Ses longs cheveux noirs corbeaux retombaient en cascade dans son dos, bien que toujours un peu humide. Elle avait échangé sa longue robe de soirée contre une tenue moins festive. Un skinny jeans, un crop top et une veste en cuir. Maureen avait toujours des fringues dans sa voiture. Ça lui évitait des explications inutiles auprès de sa fille. La belle brune avait prit le temps de se laver, de frotter de son corps toute traces qu'aurait pu laisser son client. Parce que même si Rhett n'avait pas ce respect pour la latina, elle, elle l'avait. Quand il la toucherait, non. S'il la touchait, elle ne voulait sentir que son contact, que son odeur. Qu'il ne goûte pas la saveur d'un autre sur sa peau, qu'il n'ait pas l'impression de devoir la partager. Rien que cette fois. -Tu devrais partir... Il n'a pas besoin de toi.-, lui soufflait une petite voix qu'elle peinait à ne pas écouter. Parce que les faits étaient là. Elle l'avait vu quitté la soirée au bras d'une autre et ça la rendait malade, putain. Ça la dégoûtait de l'imaginer en train d'en baiser une autre alors que c'est elle qu'il aurait dû baiser. Mais comment pouvait-elle lui reprocher quoique ce soit quand elle ne serait plus jamais sienne. Elle avait bien conscience d'être une putain d’hypocrite. -Il n'a pas besoin de toi,Maureen.-, encore cette voix. Ca lui faisait mal, ça lui retournait les entrailles, lui coupait l'arriver d'air et ses poumons prenaient feu. «Mais moi, j'ai besoin de lui. », elle soufflait tout en levant la main sonner. Une fois, deux fois. L'attente lui semblait bien trop longue, beaucoup trop longue. Alors qu'en réalité, seulement quelques secondes passaient. Trois fois, quatre fois. « S'il te plaît... », elle n'était pas prête à lui dire adieu, elle ne le serait jamais. Cinq fois, six fois. Il n'avait pas le droit. Il ne pouvait pas la laisser partir encore une fois, il ne pouvait pas. Cette fois, elle n'y survivrait pas. Maureen n'avait jamais su vivre sans Rhett. Sans lui, elle n'avait fait que survivre dans la peau d'un automate. Sa main tremblait quand dans un dernier élan de désespoir, elle la leva pour toquer tout doucement à la porte. C'était ridicule. Parce que s'il avait voulu ouvrir, il n'aurait pas attendu qu'elle toque après qu'elle ait joué de la sonnette six fois d'affilé. Elle l'imaginait dans les bras de cette blonde, enroulé dans ses draps à rire d'elle alors qu'elle devait comprendre seule la décision qu'il venait de prendre. Elle n'entendit pas les pas dans le couloirs tant elle pouvait entendre chaque battements de son cœur contre ses tympans. Mais quand elle sentit quelqu'un dans son dos, lui mettre les clés dans la main. Elle savait que c'était lui mais elle ne réalisait toujours pas et se laissait guider, tel un pantin, une poupée de chiffon. Elle tentait de ravaler les larmes qui lui étaient montés aux yeux à l'idée même de commencer à imaginer une vie où il n'en ferait plus partie. Maureen n'avait pas pleuré depuis des années. La belle brune avait beau avoir une mémoire infaillible, il lui semblait pourtant avoir tout oublié. Ce que ça faisait d'aimer, d'espérer, d'être heureux. Elle ne retenait même pas la peine, la souffrance ou la douleur. Rien, elle avait même oublié ce que ça faisait de pleurer. Mais elle se sentait sourire à l'entente de ses mots et bordel, elle n'avait pas envie de penser à ce qui avait bien pu le retenir. Il sentait le sexe et ça la dégoûtait bien assez. Mais ce n'était rien, que dalle comparé à ce qu'il lui faisait ressentir en poussant avec elle, la porte son loft. La belle brune savait et avait toujours sur que Rhett se tapait d'autres femmes, elle le savait pertinemment. Et même si ça lui avait toujours fait un pincement au cœur. Ce soir, elle n'avait pas plus son mot à y dire que toute ces autres fois. Sauf que ce soir, elle aurait voulu être la seule. Elle aurait aimé ne pas sentir l'odeur d'une autre sur ses vêtements. Mais dans la vie, on avait pas toujours ce qu'on voulait. Ca, elle le savait mieux que quiconque. Elle laissait basculer sa tête en arrière, contre son torse. Ronronnant presque comme un chaton alors qu'elle l'entendait prononcer son prénom. « J'étais sur le point de défoncer la porte... », elle lui disait, un petit sourire au coin des lèvres. Elle gardait sa main dans la sienne quand elle se détacha légèrement de lui afin de l'attirer à l'intérieur et refermer soigneusement derrière eux Elle baissait les yeux vers les sac qu'il tenait sans main et fronçait légèrement les sourcils. Elle connaissait ce shop. C'était là bas qu'elle avait goûté les meilleurs glace au caramel beurre salé de toute la ville. Peut-être bien même du monde entier. Mais elle n'avait pas voyagé aussi loin. Elle relevait les yeux vers les siens, cette fois, si elle se mordait l'intérieur de la lèvre. C'était pour atténué la largeur de son sourire. Parfois, il faisait juste ces choses qu'elle n'expliquait pas. Rhett n'était pas un un romantique, oh mon dieu, loin de là ! Mais il ne cessait jamais de l'étonner. Parfois, il avait juste ces élans de tendresse. Il savait lui faire plaisir. A dire vrai, il se pliait toujours en quatre pour ses volontés. Elle le regardait et elle se demandait comment est-ce qu'elle a pu être aussi aveugle. Et dire qu'elle se vantait de le connaître. « C'est pour moi ? », elle lui demande tout de même. Elle n'avait jamais été de celle qui marchait sur les œufs. Jamais. Pas avec lui, en tout cas. Et là tout de suite, elle aurait aimé lui sauté dans les bras, fondre sur ses lèvres mais elle avait beau se dire que ça n'avait aucune importance. A ses yeux, ça en avait. Elle n'avait pas attendu onze ans pour passer après une autre. Et toute la crème glacée du monde ne pourrait la consoler de ça. Alors elle lui prit le sac des mains, se hissa sur la pointe de ses pieds pour déposer un baiser sur sa joue. « Va prendre une douche, je vais faire du café. », elle lui disait et le dépassait pour s'enfoncer dans son loft vers le coin cuisine.



   

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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 19:34

Maureen & Rhett

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Partir avec une autre était sans nul doute un affront, une petite vengeance pour ce qu’elle venait de lui faire. Soit le laisser en plan dans la bibliothèque. Il avait réagi en gamin, blessé par ses propres sentiments, cette faiblesse qu’il avait tant cherché à effacer de lui-même. Après un tel baiser, la savoir avec un autre le rendait jaloux. Il la désirait pour lui seul, mais il savait aussi qu’elle faisait son travaille contrairement à lui qui était parti avec son assistante. Il aurait pu ne pas aller jusqu’au bout, mais sa jalousie l’avait mené à dépasser tout rationalité. Il avait donc baiser la blonde, non pas avec passion, mais avec monotonie. Ça ne voulait rien dire comme pour toutes les autres fois, il n’ouvrait plus son cœur et la passion il ne l’avait connu qu’avec Maureen. Une fois la chose faite, il était parti comme un voleur, sans prendre de douche et avec une apparence débraillée, cheveux en batailles, sa cravate roulée en boule dans la poche de sa chemise. Il avait même une trace de gloss sur le col de sa chemise. Comme après chaque baise, il s’allumait une clope, il se risquait même à en allumer une seconde avant de passer prendre ce qu’il se rappelait être une gourmandise que son ex appréciait. Un geste qui voulait dire « pardon ». Pardon d’être parti avec une autre. Seulement, il ignorait si elle viendrait vraiment ou même quand elle viendrait. Il était fou de l’attendre, il le savait, mais il savait aussi qu’il en avait que faire de son boulot, de ce qu’elle pouvait amener à faire avec d’autre homme. Il n’avait jamais vu Raquel en elle. Et il devrait être chez lui pour lui ouvrir la porte. Il le devait. Il arrivait malheureusement trop tard. Elle était déjà là, mais ça ne l’empêchait de faire passer le message. Dans son dos, il ouvrait avec elle la porte. Il n’avait pas souvenir qu’elle soit déjà venue chez lui, il y invitait que très peu de gens. Un appartement fade, manquant cruellement de vie et de personnalité. Mais ça lui convenait parfaitement bien. Il penchait sa tête pour poser son regard dans les yeux de la belle qui avait appuyé sa tête sur son torse.  « Vraiment... » Il la croyait et ça le touchait. La suivant à l’intérieur, il déposait ses clés sur le meuble près de la porte. « J’suis pas très caramel. » Il n’avait jamais été très sucré non plus. Ainsi, il répondait indirectement à sa question, mais il les avait bien achetés pour elle et elle seule. Et si elle avait décidé de ne pas venir, il aurait laissé la glace vieillir dans son congélateur où il l’aurait donné à Isobel. Il fermait un bref instant les yeux en sentant le contact des lèvres de la brune contre sa joue. Sans ajouter un mot, il retirait son trench-coat, ainsi que son veston qu’il accrochait à la patère, avant de prendre la direction de la douche. Sous l’eau, il frottait sa peau dans l’espoir de chasser tout lien avec la blonde. Retrouvant l’odeur qui était la sienne. Propre et sentant son gel de douche, il sortait de la pièce une serviette enroulée autour de sa taille. Inutile de se rhabiller, puisqu’il avait une vague idée de la tournure qu’allait prendre la fin de la nuit. Il marchait dans son loft, une odeur de grain fraîchement moulu planait dans l’air. Il se glissait dans la cuisine, se rappelant ces moments où il vivait encore chez ses parents et où elle l’allumait en portant un tablier comme seul et unique morceau de vêtement. Encore une fois, il se faisait discret, se glissant dans son dos. Ses mains vinrent faire le tour de sa taille. « Dis-moi que tu m’en veux pour l’autre fille » murmurait-il en posant ses lèvres dans son cou. Il aimait la savoir jalouse et possessive, ça démontrait tout son intérêt pour lui. Ces clients, elle en avait que faire si elle les croisait avec une autre, mais lui, c’était sans doute différent. Il voulait la provoquer non plus par vengeance, mais par plaisir, envie, domination. Ses lèvres restaient collées à sa peau, durant qu’une main se glissait dans le pantalon de la brune. L’ascension était ralentie par l’étroitesse entre sa peau et le tissu. Il ne perdait pas de temps, pas cette fois. Effleurant son clitoris du bout des doigts, il entreprit de faire machine arrière, retirant sa main pour la glisser sur son ventre plat. Il appuyait son menton sur son épaule. Il attendait, attendait qu’elle lui dise ce qu’elle voulait de lui. Il avait envie d’elle et cela depuis qu’il l’avait revu il y a six ans, mais il avait besoin de savoir ce qu’elle, elle désirait!
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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 19:41

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It's pushin' me harder
Partir, rebrousser chemin. C’était ce que lui dictait son instinct. Celui qui ne pensait qu’à sa survie, à son impulsion pour la préservation. Mais c’est également celle-ci qui la forçait à rester. Parce que ce désarroi, cette désolation qu’elle avait ressenti à l’idée de ne plus jamais faire partie la vie de Rhett avait été bien pire. Elle avait besoin de lui. Parce qu'elle lui avait offert son cœur. Parce qu'il possédait la moitié de son âme. Et parce qu’elle refusait d’avoir à se débrouiller sans lui. Maureen ne voulait même pas essayer bien qu’elle sache qu’à force, elle saurait se faire une raison, s’adapter et survivre. Mais était-ce mal d’aspiré a bien plus que ça? Elle voulait se souvenir de ce à quoi pouvait ressembler la vraie vie. Celle où il lui serait possible d’être heureuse. Même un tout petit peu.  La jeune femme ne voulait pas seulement survivre, elle voulait vivre. Et il n’y avait qu’à ses côtés qu’elle pourrait s’e rappeler comment faire. Parce qu’il lui faisait ressentir de nouveau des choses qu’elle s’était forcée à oublier. Mais alors qu’elle se retrouvait seule dans la cuisine et qu’elle songeait à cette douche qu’elle avait en quelque sorte, bien que subtilement forcer sur son ex petit-ami. Ça la rendait malade de penser à cette tache de gloss sur le col de sa chemise. Elle n'avait fait aucune remarque sur le sujet mais son regard n'avait su s'en détacher. Ca la rendait nauséeuse de penser aux lèvres de cette femme sur cette peau veloutée. Cette peau lisse et moucheté de grains de beauté qu’elle avait à peine eu la chance de toucher. Maureen se demandait s’il avait caressé cette femme comme il l’avait brièvement fait avec elle, dans cette bibliothèque. Elle se demandait s’il avait aimé coucher avec elle. S’il préférait n’importe quelle autre femme à elle. S’il échangerait les baiser de ses femmes, de ses conquêtes contre les siens. Maureen n’aimait pas la direction que prenaient ses pensées alors à la place, elle préféra s’atteler à la tâche pour laquelle, elle s’était proposée. Et à force de fouiller dans les placards, elle trouva de quoi préparer le café dont elle seule avait le secret. Jamais encore elle ne s'était aventurée jusque dans sa cuisine ou à l'intérieur de son loft, tout simplement. Elle s'était contenté du vestibule car avant aujourd'hui, elle avait toujours évité de se retrouver seule plus que nécessairement avec lui. Parce qu'elle savait les risques qu'elle encourait dans l'intimité. Elle savait qu'à la tentation, elle ne saurait résister. Et miraculeusement, elle avait quand même tenue six longues années avant de baisser suffisamment sa garde pour lui céder. Succomber et baisser une bonne fois pour toute les armes. Bien personne n'ait ordonné le cesser de feu. Elle n'aurait pu être plus vulnérable. Maureen trouva une cuillère également et elle était seulement à la troisième becquée de sa friandise préférée quand elle pu sentir de nouveau sa présence dans son dos. Ses mains autour de sa taille. Momentanément, elle fermait les yeux, appréciant ce simple contact. Humant à plein poumon son odeur musqué et masculin mêlée à celle du café et du pot de glace qu’elle avait encore dans les mains. Inutile de dire qu'elle préférait nettement ça à l'odeur de parfum féminin bon marché qui avait, avant sa douche, dénaturé sa fragrance. Ils étaient enfin seuls tous les deux, Avec un seul rôle à jouer. Les leurs. Et cette fois, elle ne comptait pas le fuir, elle ne l’envisageait même pas. Elle était fatiguée, lasse de le repousser. Mais il venait gâcher ce précieux instant en remettant sur le tapis le sujet qu’elle avait tenté d’occulter. Ses lèvres sur sa peau venait brièvement la distraire du cours que prenait une nouvelle fois sa réflexion mais il la retournait et était bien forcée de lui faire face. Elle rouvrait ses yeux, cherchant à plonger ses pupilles sombres dans iris de jade. Mais il avait gardé son visage dans son cou. Les sourcils légèrement froncés même si elle refermait les yeux, entrouvrait les lèvres pour soupirer doucement son appréciation, son encouragement pour ses mains baladeuse. Alors qu’elle réalisait qu’il l’avait fait exprès. Qu’il avait embarqué cette fille à la soirée et s’était assuré qu’elle les voit partir ensemble, parce qu’il avait désiré la blesser. Lui montrer qu'il n'avait pas besoin d'être pour s'envoyer en l'air. Parce qu’il savait qu’elle ne saurait cautionner de le voir  que ce soit hier, aujourd’hui ou demain avec une autre femme qu’elle.  Elle n'avait jamais pu et ne le pourrait sans doute jamais. Parce que pour elle, dans sa tête, il serait éternellement sienne. Elle n’avait jamais aimé partagé, jamais. Il le savait, il savait qu’elle lui en voudrait parce qu’il la connaissait. Il savait qu'il lui ferait mal et c'était à priori ce qui l'avait principalement motivé. Toutefois, elle n’arrivait pas à mettre le doigt sur ses motivations. La vérité était là, sous ses yeux mais elle ne voulait pas la voir. Si elle acceptait cette vérité, acceptait qu’il l’avait probablement fait parce qu’il lui en voulait, parce qu'elle l'avait abandonné dans cette bibliothèque, parce qu’il n’avait pas aimé la voir aux bras d’un autre. Elle n’aurait eu de choix que de partir et ça, elle avait déjà établie qu’il en était hors de question. A la place, elle désirait croire ce qui l’arrangeait. C’est à dire qu’il ne l’aurait pas invité dans son loft s’il ne se fichait pas de la partager avec ses clients. Ça avait été après tout, ses conditions. « Non. », elle lui murmurait à son tour, finalement. La belle brune ne voulait pas jouer son jeu, pas jouer franc jeu. Elle ne pouvait pas lui donner cette satisfaction. Bien sûr qu’elle lui en voulait. Ça la rendait malade de savoir qu’il était allé coucher avec une femme tout en sachant ce que ça pouvait lui faire. Mais elle n’était pas dans son bon droit et elle avait au moins conscience de ça. Sur le plan de travail, elle posa son pot de crème glacée à tâtons derrière elle. Elle réalisait qu’il avait décidé de lui faire plaisir seulement pour atténuer la gravité de ses actes et elle ne savait pas encore quoi en penser. Ce pot de glace devenait le totem de sa faute. Et bordel, c'était tellement tordue mais savoir qu'il avait manigancé tout ça juste pour l'atteindre, ça l'excitait, ça la touchait. Parce qu'elle comptait pour lui, encore maintenant. « Dis moi que tu pensais à moi. », elle ôtait ses mains de son corps même si elle avait apprécié qu'il les laisse traîner sur son corps. Partout, là où il avait envie. Comme si elle avait été à lui. Et bien qu'elle ait envie qu'il continue, pour l'heure, elle voulait sa réponse. La belle brune recula d'un pas et en même temps qu'elle se débarrassait de sa veste, elle prenait enfin le temps de l'observer. Vêtu de cette simple serviette. Ça lui rappelait des souvenirs. Du nombre incalculable de fois où elle avait préféré la serviette autour de sa taille plutôt qu'une serviette propre et bien sèche. Ils avaient leurs habitudes. Elle posa sa veste à côté du pot de glace et s'approcha de nouveau de lui. Elle laissait courir ses main sur sa peau, « Dis moi que ce sont mes mains qui te font envie... », ses lèvres allaient parsemé de baiser sa peau, suivant une trajectoire sinueuse, hasardeuse mais cap, sud. « mes lèvres... », accroupi à présent face à lui, elle laissait ses lèvres sur sa peau tandis qu'elle relevait les yeux vers ses émeraudes. Doucement, elle tira légèrement sur la serviette, «...ma langue... » pas suffisamment pour lui enlever mais juste assez pour qu'elle puisse atteindre la naissance de son sexe du bout de sa langue.



   

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Rhett HowdenTrust always hurts in the long run
Rhett Howden
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MessageSujet: Re: when you treat me like that. ♦ Rhett #hot   when you treat me like that. ♦ Rhett #hot - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 19:48

Maureen & Rhett

I should've walked away one year ago
When you said I wouldn’t make it out alive

when you treat me like that
La jalousie. Ce n’était pas tant cela qui avait fait agir Rhett ce soir, certes, il avait du mal avec le fait qu’elle l’avait laissé en plan et ça il avait décidé de lui rendre. Il y avait des moments où il pouvait accepter certaine chose, d’autre devenant plus difficile. Il pouvait tenter de rester rationnel, il ne pouvait s’en empêcher. Il voulait qu’elle soit jalouse, qu’elle réalise à quel point elle tenait à lui. Rhett n’avait jamais de mal à briser les gens et ne ressentait aucun scrupule dans tout cela. Il y avait bien que Maureen pour accepter l’être exécrable qu’il pouvait être. Même Sheri n’aurait pas su le faire s’il lui avait montré l’étendue de sa vraie nature. Son non le fit sourire, ce rictus qui lui était propre, malsain et vil. Elle mentait, il le savait, il la connaissait une trop bien. C’était de toute manière plus facile pour eux de mentir que de dire la vérité et le mensonge révélait bien souvent toute la vérité. Ses mains parcourant son corps, cette peau satinée. Il se plaisait à sentir leur contact comme ils n’avaient pas eu la chance de partager depuis plus d’une décennie. Il se perdait dans son toucher, humant ce parfum qu’elle laissait venir caresser ses narines. Il décelait le caramel de la glace et il savait qu’elle aurait un goût sucré. Il était impatient de s’y perdre encore et encore. Il désirait la goûter, se rappeler dans le moindre détail sa saveur, cette essence qui lui avait permis de vivre. Une essence qui animait son corps, lui donnait vie et plus encore. Plongeant ses prunelles d’émeraudes dans ses sombres iris, il savait déjà qu’il n’avait penser qu’à elle, mais ça n’avait pas été elle. Il la laissait s’éloigner de lui, bras ballant près de son corps. Son regard ne la quittait pas, il la détaillait, elle retirait sa veste. S’approchait. Il ne retenait pas un soupir de plaisir en sentant ses mains sur sa peau blanche. Il avait tellement attendu ce moment, qu’il avait peine à croire qu’il était vrai. Suivant sa descente du regard, sa respiration s’accélérant, prenant le rythme de l’excitation. Cette langue douce et chaude sur sa peau le fit réagir. Empoignant sa chevelure noire de jais, il tirait sa tête pour la basculer et qu’elle le regarde. Rhett ce n’était pas un tendre, pas dans sa vraie nature, pas avec elle. Il ne l’avait jamais été. Il aimait dominer, vivre cette passion à mille à l’heure, la ressentir dans chaque parcelle de son être. Il vibrait d’excitation. Elle était à lui, sa soumise. Il vibrait déjà de plaisir. Son regard assombrit croisait celui de la latina. « C’est toujours toi que j’ai voulu. » pensait-il. Il n’aurait pas menti s’il lui avait dit cela. Aucune de ses relations n’avaient pu être égales avec ce qu’il avait vécu dans ses bras. Mais il ne lui dit rien, il trouvait même idiot qu’elle demande alors qu’il avait passé son temps à la ravoir durant ces six dernières années. Il empoignait un peu plus fortement ses cheveux, la tirant encore un peu dégageant sa gorge qu’il caressait de sa main. « Suce » disait-il en retirant sa serviette qui tombait à ses pieds et lui montrant son membre qui commençait à durcir. Desserrant sa poigne, il lui laissait un peu plus de lassitude pour qu’elle puisse se mouvoir.
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