La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder ⊰ Megara [HOT]

La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder

Megara & Ryan

Il n’y avait plus de marche arrière possible. L’un comme l’autre, nous avions résisté trop longtemps pour mettre un terme à ce qui était en train de se passer. La machine était en marche et il n’y avait aucun moyen de la stopper. J’avais envie d’elle, irrémédiablement et irrévocablement. Je la voulais là tout de suite, maintenant, sans retour en arrière possible. J’allais coucher avec la meilleure amie de ma sœur mais à l’heure actuelle, je ne ressentais absolument aucune culpabilité. Je ne faisais que suivre mes envies et mes désirs, rien ni personne ne pouvait m’empêcher d’aller au bout des choses. Elle aussi en avait envie, alors pourquoi se priver ? Je n’avais plus aucune notion du temps ou du lieu, tout ce qui comptait à présent c’était sa peau sous mes doigts, son corps contre le mien et sa langue jouant avec la mienne. Plus rien d’autre n’avait d’importance. Il pouvait y avoir le feu chez les voisins que ça ne m’atteindrait même pas. Ouais c’est pour dire. Pour l’instant, le feu se trouvait dans mon pantalon. Il n’y avait, pour le moment, aucun moyen de l’éteindre. Surtout si on prenait en compte ma frustration d’avoir entendu mes voisins s’envoyer en l’air toute la nuit… J’étais l’étincelle qu’elle avait allumée en une fraction de seconde. Le simple fait de la savoir nue sous sa serviette avait suffi à m’enflammer et à me conduire vers une voie sans issue de secours.

Résultat des courses, on se retrouvait bien vite à poil tous les deux dans sa cuisine. Au fil des mois, je n’avais pu que deviner sa silhouette et ses formes mais à présent, je les avais sous les yeux et elle était carrément sexy. Cependant, même si j’avais envie de passer aux choses sérieuses, je ne voulais pas aller trop vite. Je voulais profiter un peu de la situation et la faire languir. Je ne voulais pas expédier tout ça trop vite pour qu’on passe à autre chose. Tant qu’à faire, autant marquer les esprits, non ? Surtout qu’on allait être amené à se revoir alors autant lui donner bonne impression. Qui sait, peut-être qu’elle aurait tellement apprécié qu’elle en redemandera dans le futur. Ok, je pensais déjà aux coups suivants alors que je n’avais pas encore concrétisé pour la première fois. Ou avais-je la tête bon sang ? Je ne me posais jamais ce genre de question quand je me tapais une nana. Megara me perturbait bien plus que les autres, voilà tout. Sauf que je ne savais pas vraiment pour quelle raison. Peut-être justement parce que je savais qu’on allait se revoir, c’était obligatoire étant donné qu’elle vivait avec ma sœur. Bref, il fallait que j’arrête de me prendre la tête dans un moment pareil. J’avais glissé mes doigts vers son intimité pour la titiller un peu alors que mes lèvres se perdaient dans son cou. A en juger par ses réactions, elle appréciait grandement le traitement que je lui prodiguais. Testé et approuvé un bon nombre de fois ceci dit.

Pourtant, nous n’étions pas vraiment dans l’endroit approprié pour ça. Et si Arizona arrivait et nous découvrait là ? Ça ferait mauvais genre. Et puis, on serait bien plus à l’aise dans son lit. Sa surprise me fit rire. « Ben quoi, tu t’envoies souvent en l’air dans ta cuisine ? » Bon, je n’étais pas spécialement contre, mais je préférais jouer la sécurité. On ne sait jamais. Elle abdiqua finalement et descendit du plan de travail pour se retrouver tout contre moi et attrapa ma main pour me conduire dans sa chambre. A peine entrés, elle alla allumer sa lampe de chevet et me poussa doucement vers son lit pour m’y faire tomber. Bien, les choses sérieuses allaient commencer ! Elle me rejoignit pour se positionner au dessus de moi et commença à m’embrasser dans le cou, le torse et elle descendit jusqu’à arriver au niveau de mon entrejambe. Je la suivais du regard et il ne fallait pas avoir un QI très élevé pour deviner ce qu’elle avait en tête. La suite ne se fit pas attendre et elle me prouva qu’elle était douée avec sa bouche. C’était bon. Seigneur que c’était bon ! Mes doigts serrèrent le tissu des draps et des gémissements rauques commencèrent à s’échapper de ma gorge. Ma respiration s’accélérait laissant place à quelques soupirs de plaisir alors que mon cœur battait à un rythme effréné. Plus le temps passait, plus j’avais du mal à résister à l’envie irrépressible de la prendre maintenant.

Elle finit par se redresser et je baissais de nouveau les yeux vers elle. L’expression qu’elle arborait ne fit qu’accroître mon désir pour elle et à mon tour, ma langue passa sur ma lèvre inférieure. Je me redressais pour attraper son visage entre mes mains et l’embrasser comme si ma vie en dépendait. D’un geste vif, je la fis basculer sur le lit pour me retrouver au dessus d’elle. J’écartais ses jambes avec mon genou pour me positionner entre ses cuisses et d’un coup de rein, je me retrouvais en elle, entièrement. Dans le feu de l’action et avec l’excitation à son paroxysme, je n’avais pas pensé au préservatif. De toute manière, mon portefeuille était dans mon pantalon. Pantalon qui se trouvait dans la cuisine. C’était trop loin. Et je n’avais pas le temps. La danse effrénée de mes va-et-vient pouvait commencer et le rythme était déjà donné. Je ne faisais pas dans la dentelle ni dans la douceur, pas pour cette fois. Pas après avoir attendu aussi longtemps, pas après ce qu’elle venait de me faire. Mes mouvements de bassin se firent rapides et amples. Heureusement pour nous deux, j’étais plutôt endurant.

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❝La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder❞
Ryan & Meg

Les questions, les hésitations, tout ça c'était clairement derrière nous à ce moment la. La ligne était franchis. Je ne comptais pas revenir sur ma décision et je doutais fort que ça soit Ryan qui le fasse alors à moins que Zaza ne débarque il allait enfin se passer ce qu'il devait se passer. On y avait pensé dès le premier jour dans ce métro c'était même la première pensée qui m'était venue en le voyant ça n'était pas pour rien. Ryan m'attirait énormément. Faut dire qu'il avait un sex appeal énorme et il avait un charme et une virilité que ne pourrait laisser personne insensible. En tout cas moi ça ne me laissait clairement pas insensible. A ce moment la je ne pensais plus qu'à lui. Je ne réfléchissais plus, je savais ce que je voulais. Personnellement j'en venais presque à oublier qu'on était dans la cuisine. L'excitation montait sous ses doigts experts et j'étais de plus en plus impatiente de le sentir en moi. Malgré cette impatience j'appréciais chaque contacte des ses lèvres et de ses mains sur mon corps. « Ben quoi, tu t’envoies souvent en l’air dans ta cuisine ? » je ris légèrement, je n'étais pas sur qu'il veuille entendre la réponse mais après tout il avait posé la question "Pas forcément dans la mienne c'est vrai" mais soit si il préférais allez dans le lit alors allons y, de toute façon c'était plus confortable.

Je l’entraînais donc dans ma chambre et une fois dans celle ci il se retrouvant rapidement étendu sur le lit et moi au dessus de lui. A mon tour de lui procurer du plaisir en préliminaire. Pas que ça soit forcément nécessaire vu l'excitation déjà bien présente mais c'était des petits plaisirs que j'appréciais toujours. Et puis bon l'excitation allait monter encore plus ! Mes lèvres et ma langue s'occupaient de son sexe et entendre ses gémissements me faisait un effet de malade. Procurer de l'excitation ça me procurait de l'excitation aussi. Quand je relevais la tête je croisais son regard avant que le mien ne soit attiré par sa langue qui passait sur sa lève. Il se redressa pour prendre mon visage entre ses mains et je revenais contre lui en soupirant d'envie contre ses lèvres. Je sentais que la situation m'échappait, il reprenait le contrôle et rapidement je me retrouvais sur le dos avec Ryan entre mes cuisses. Oh non ça ne me déplaisait pas ! Au contraire mon cœur en était tout excité, le sentais battre à tout rompre et un gémissement aigu complètement incontrôlé s'extirpa de mes lèvres quand son sexe pénétra en moi. J'avais tellement chaud à ce moment la,
j'avais l'impression de bouillir de l'intérieur. Mes jambes s'enroulèrent autour de son bas dos. Mes mains caressaient son dos et au fur et à mesure des coups de reins elles cherchaient désespéramment à s'agripper. L'une d'elle vint se loger dans ses cheveux et l'autre dans les draps. Les resserrant entre mes doigts. Ça n'avait rien d'une étreinte douce et romantique, c'était plus bestial mais également plus passionné. Je me cambrais respirant rapidement et bruyamment. Des gémissements m’échappaient à quasiment chaque coup de rein. Et plus le temps passait plus ça me rendait folle. Je sentais l'orgasme arriver. La chaleur qui grimpait encore plus. J'appuyais mes ongles dans son dos en venant même à le griffer sous la torture du plaisir. Je respirais de plus en plus difficilement, interrompus par des gémissements de plus en plus rapprochés. Je me crispais en me cambrant et laissant aller ma tête en arrière. Dans un ultime cris de plaisir j'atteignais l’orgasme. Bon sans ce que c'était bon ! Respirant toujours rapidement et le cœur battant toujours aussi vite j'essayais de reprendre ma respiration. Je me relâchais et laissais mes jambes se reposer sur le lit. Des fourmillements parcouraient mon corps engourdis. "Wahou..." je fermais les yeux un instant en caressant doucement les cheveux de Ryan jusqu'à ce qu'il se mette à côté. Retrouvant une respiration a peu prêt normale je me tournais vers lui et me calais contre lui. Ça n'était pas quelque chose que j'avais l'habitude de faire. Généralement après le sexe c'était ciao. Mais Ryan n'était ni un coup d'un soir ni un plan cul, c'était différent, on se connaissait différemment et allez savoir pourquoi mais installer une proximité entre nous après l'amour ne me gênait pas. Ça me faisait du bien. Je me redressais un peu sur mon avant bras et glissais ma main sur sa joue avant de le rembrasser, plus délicatement cette fois ci. Je reposais ensuite ma tête sur son épaule et calait une de mes jambes entre les siennes en caressant doucement son torse. "Je m'en serais voulu de passer à côté de ça" je souris en regardant mes doigts passer sur ses muscles.

Pando

La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder

Megara & Ryan

Megara était une femme attirante. Et encore, le mot était faible. Je l’avais toujours trouvée très jolie et sexy. Et ce depuis le premier jour, dans ce métro. Au fil du temps, nos comportements aidant, nous n’avions cessé de nous tourner autour, mon attirance et mon désir pour elle grimpant crescendo jusqu’à atteindre son paroxysme en cette journée de frustration totale. Je m’étais toujours dit que je ne devais rien tenter avec elle du fait de ma sœur que nous avions en commun. Elle était sa meilleure amie. Comment est-ce que je prendrais le fait qu’Arizona couche avec mon meilleur ami ? Pas forcément très bien je pense et ce serait sans doute à mon ami que j’en voudrais le plus. Cependant, malgré toute cette résistance et ses barrières que j’avais dressées, j’avais fini par craquer. Nous avions fini par succomber. Tous les deux. A l’heure actuelle, je ne pensais plus à rien, ma sœur était sortie de ma tête pour partir à des années lumières. Je n’avais qu’une seule chose en tête. Meg. Elle et uniquement elle. Plus rien d’autre ne comptait que ce que nous étions en train de faire. Plus rien d’autre n’avait d’impact sur moi que les sensations que je ressentais alors que nous couchions ensemble. Plus rien ne m’importait mis à part le plaisir que je ressentais et que je lui prodiguais. Il n’y avait rien d’autre que nos deux corps emboités et l’un contre l’autre.

J’avais chaud. Extrêmement chaud. Mon cœur battait à tout rompre. Ma respiration s’emballait sous le plaisir qui montait en flèche. L’entendre gémir de plaisir faisait son petit effet et j’adorais l’entendre. Je n’étais pas des plus doux ou tendre, je le reconnaissais sans problème et je n’étais pas toujours comme ça. Mon état était plutôt dû à la frustration accumulée et au fait que nous nous étions énormément tournés autour par le passé. A force de secouer la bouteille d’eau gazeuse, elle finit par exploser. C’était un peu la même chose. Si elle le souhaitait, on pourrait recommencer après mais en changeant de rythme. Je pouvais très bien me montrer doux s’il le fallait. Mais pas pour ce premier coup d’essai. Je ne contrôlais plus rien. Seul mon corps et mon désir parlaient pour moi. Le plaisir atteignait des sommets mais je me retenais parce que je voulais qu’elle jouisse avant moi. Etant donné les gémissements qu’elle poussait, elle n’en avait plus pour très longtemps. Une chance pour elle que je sois assez endurant. Au bout d’un moment, je la sentis partir pour atteindre l’orgasme. Il ne me fallut que quelques secondes pour en faire de même. Ses forces la quittèrent et je sentis son étreinte se desserrer autour de ma taille. A bout de souffle, je la regardais s’extasier en souriant avant de me laisser tomber sur le côté pour me retrouver allongé sur le dos, un bras étendu sur le lit et l’autre posé sur mon torse.

J’étais bien, heureux, léger, sur un petit nuage. Essoufflé et le cœur battant certes, mais terriblement bien et apaisé. Je la sentis bouger à côté de moi alors je tournais la tête vers elle. Voyant qu’elle se rapprochait de moi j’écartais mon bras de mon torse pour qu’elle puisse s’y enfouir. Une fois installée, je posais mon bras contre elle en le repliant pour glisser mes doigts dans ses cheveux. Chose que je n’avais pas vraiment l’habitude de faire après l’amour. En général, je reprenais mes esprits et j’allais dans la salle de bain. Rares étaient les gestes d’affection. Mais à ce moment précis, allez savoir pourquoi, je n’avais pas envie de bouger. Je voulais profiter de l’instant encore un peu, parce que j’étais bien. Elle se redressa légèrement le temps de déposer ses lèvres sur les miennes, doucement, pour finalement se réinstaller contre moi, ma main n’ayant pas quitté ses cheveux. Mon autre main vint se poser sur son avant bras pendant qu’elle caressait mon torse. A mon tour, j’effleurais doucement sa peau avec mes doigts. « Et je m’en serais voulu de t’avoir fait rater ça. » Plaisantais-je pour me vanter un peu en riant légèrement. « Mais je dois avouer que tu n’étais pas trop mal non plus. » Doux euphémisme que voilà. J’aimais bien la taquiner, à n’importe quel moment et ça, ça ne changerait jamais. Je redressais légèrement la tête pour déposer un bisou sur le sommet de son crâne. Ça non plus ce n’était pas habituel. « Tu sais, je ne suis pas toujours aussi brutal. Je peux me montrer un peu plus doux selon les envies du moment. Je suis un homme plein de surprises. » Assurais-je avec un petit sourire. Etait-ce une invitation à recommencer ? D’une certaine façon oui. « Tu le découvriras peut-être une prochaine fois. » En fait, il n’y avait plus de doute à avoir là-dessus. C’était assez clair.

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❝La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder❞
Ryan & Meg

J'étais déjà familière à bon nombre de sensations éprouvées par le sexe, il n'en restait pas moins que chaque partie de jambe en l'air était différente. Et ce qui précédait comptait aussi dans notre façon d'apprécier le moment. Depuis le temps qu'on se tournait autour Ryan et moi on devait bien le savoir au fond que ce moment finirait par arriver. La seule question qui restait en suspend c'était "quand ?", en tout cas jusqu'à aujourd'hui. Ce moment je l'avais déjà imaginer plus d'une fois dans ma caboche. Parfois même sans m'en rendre compte avant de revenir à la réalité et de calculer que j'étais en train d'imaginer Ryan en train de me prendre contre un mur. Le frustration appel à l'imagination. Et cette fois ci c'était vraiment arrivé et ça n'était pas pour me déplaire. Parce qu'au bout d'un moment l'imagination ne suffisait plus, il fallait que ça soit réel et au vus des sensations que j'avais pu ressentir je ne regrettais pas une seconde d'être passée aux choses sérieuses avec lui. Le souffle court, la respiration saccadée et les fourmillements dans tous le corps j'avais finit par jouir sous les coups de reins experts de l'homme qu'il était. Ne retenant absolument pas mes gémissements, mes couinements et mes cris de plaisir. J'étais épuisée, vidée d'énergie et je reprenais lentement une respiration normale. Une chose était sûr c'était qu'il ne m'avait clairement pas déçu, j'en souriais même, presque bêtement.

Me surprenant moi même je m'étais finalement blottie contre lui après l'avoir embrassé plus délicatement maintenant que la pression était retombée. Je sentais son bras musclé autour de moi et ça m'apportait un réconfort dont je n'avais jamais soupçonné le besoin. Moi qui était plutôt du genre à rejeter toute forme de protection cette fois ci son bras faisait naître en moi un sentiment de sécurité que j'appréciais. Je me sentais femme dans les bras d'un homme et j'appréciais ça. Comme quoi il arrivait même à me faire découvrir des choses sur moi même, ce qui était tout de même assez fou comme truc. Je caressais doucement son torse. Je me sentais simplement bien et ça me suffisait. « Et je m’en serais voulu de t’avoir fait rater ça. » un léger rire m'échappa et cette remarque lui valu un ptit pincement sur la peau de son flan. Rien de violent il allait s'en remettre « Mais je dois avouer que tu n’étais pas trop mal non plus. » j'haussais les sourcils en souriant pour le regarder. Pas trop mal. Ça serait presque vexant si je savais pas qu'il disait ça sur le ton de l'humour. "Trop d'honneur merci !" je n'opposais pas de résistance quand il me releva un peu la tête pour déposer un baiser sur mon front. C'était déstabilisant... Pas que je n'aimais pas mais j'étais juste pas habituée quoi... Pas habituée du tout en fait. Habituellement tout se terminait après le sexe, pas de petites marques de tendresse du genre. J'y avais si peu goûté que c'était presque une découverte, quelque chose de nouveau. « Tu sais, je ne suis pas toujours aussi brutal. Je peux me montrer un peu plus doux selon les envies du moment. Je suis un homme plein de surprises. » Je souriais à nouveau. C'était marrant qu'il veuille me préciser ça. Est ce qu'il avait peur que je ne le juge que la dessus, à penser qu'il n'était que comme ça ? Peut-être un peu vu qu'il voulait que je sache qu'il pouvait aussi être tendre. Je pourrais même presque dire que c'était mignon. Mais j'allais pas lui dire il risquerait de se braquer. Généralement les hommes fiers n'aimaient pas entendre qu'ils étaient mignon. « Tu le découvriras peut-être une prochaine fois. » je relevais la tête. Pourquoi pas maintenant ? Comment ça j'étais gourmande ? "Tu sais ça ne me gêne pas que tu sois bestial, le sexe sauvage j'aime ça" j'y étais d'ailleurs plus habituée "Ceci dit tu me rends curieuse..." je continuais à caresser doucement son torse "Tu me donnes envie de faire connaissance avec le Ryan doux" je descendais ma main effleurant sa peau pour venir doucement caresser son sexe. Mes gestes étaient lents, en aucun cas précipités. Et après quelques caresses seulement je me hissais sur lui, me positionnant à califourchon. bras tendus j'appuyais mes mains sur son torse remuant doucement mon bassin et frottant par la même occasion mon intimité contre la sienne. Je me penchais de nouveau sur lui et déposais quelques baisers sur son torse puis dans son cou avant de venir coller mon front au sien en regardant ses lèvres. Je posais ma main sur sa joue, caressant sa barbe naissante qui le rendait si sexy. Aucun doute il me faisait de l'effet. Je relevais les yeux pour les plonger dans les siens, me perdant dans la profondeur noire de ses pupilles dilatées tout en effleurant ses lèvres.

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Megara & Ryan

On dit souvent que nos attentes dépassent la réalité, que c’est toujours mieux avec l’imagination qu’en vrai. Dans certains cas oui. Pour d’autres, l’inverse était fondamentalement vrai aussi. Je m’étais déjà surpris à rêver de Megara quelques fois. Mes rêves étaient pour la plupart à caractère érotique, il ne faut pas se le cacher. Cette fille avait tendance à s’immiscer dans ma tête sans que je ne le contrôle. C’était assez étrange parce que c’était la première fois que ça me faisait ça. Dans tous les cas, j’avais souvent imaginé coucher avec elle. Mais cette fois, c’était pour de vrai. Et la réalité avait largement dépassé mes attentes. C’était un vrai plaisir de m’envoyer en l’air avec elle. J’aimais toucher sa peau, l’entendre gémir et la voir à bout de souffle. Je m’étais même surpris à avoir des gestes tendres avec elle une fois nos ébats terminés alors que d’ordinaire, je ne m’attardais pas et j’allais prendre une douche ou je rentrais chez moi au plus vite. Là non. Je n’avais pas envie de partir. J’avais envie de profiter de ce moment, de profiter de l’avoir près de moi. C’était assez déconcertant en un sens parce que je n’avais jamais éprouvé ce genre d’envie ou de besoin. Ce n’était pas habituel pour moi qui avais plus l’habitude de prendre mes clics et mes clacs une fois ma petite affaire terminée. Peut-être que le fait qu’elle soit la meilleure amie de ma sœur et que de ce fait, j’allais forcément la revoir, jouait beaucoup ? Je n’en avais aucune idée.

Dans tous les cas, j’aimais toujours la taquiner, ça, ça n’avait pas changé. Ça m’amusait de l’embêter parce qu’elle était le genre de fille à avoir du répondant. Son pincement me fit légèrement rire, tout comma sa réaction. « Tu peux être honorée ouais. Tu peux même faire une croix sur ton calendrier pour graver la date du meilleur coup de ta vie. » Je plaisantais évidemment je n’étais pas vantard à ce point. Ou presque. Et pourtant, malgré mes principes, je m’étais retrouvé à me justifier, à donner des précisions, comme si quelque part, j’avais peur de la décevoir ? Je ne comprenais pas bien ce qu’il me prenait à vrai dire. C’est fou le pouvoir que cette femme avait sur moi… En tout cas, mon invitation à remettre ça une prochaine fois eut l’effet de la faire réagir. Elle était curieuse et en proie à découvrir un autre aspect de moi. Maintenant, tout de suite. Ah ? Je n’avais pas pensé qu’elle voudrait remettre ça si vite. Ce n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. « La curiosité est un vilain défaut à ce qu’il parait. » Lançais-je avec un sourire alors que je sentais sa main descendre vers mon membre pour le réveiller de nouveau. « Tu veux que je te le présente ? » Assurais-je avec un sourire au coin des lèvres alors que je posais mes mains sur ses hanches une fois qu’elle fut assise sur moi. Bon visiblement on allait repartir pour un second round. Parfait. Ses mouvements de bassin me déclenchèrent quelques frissons et je sentais déjà une certaine vigueur revenir entre mes jambes. Lorsqu’elle se pencha sur moi pour embrasser mon torse et remonter doucement dans mon cou, l’une de mes mains glissa le long de son dos pour remonter jusqu’à sa nuque. J’avais l’impression que le temps s’était arrêté, que j’étais dans une bulle et que plus rien d’autre ne comptait mise à part elle et son corps contre le mien. Elle remonta encore pour coller son front au mien et poser sa main sur ma joue et là, je me perdis dans son regard. Pourquoi est-ce qu’elle me faisait autant d’effet ? Pourquoi est-ce que j’avais envie de la garder contre moi sans jamais devoir la relâcher ? Pourquoi est-ce que je n’avais pas envie que ce moment prenne fin ? « Mademoiselle Megara, pourquoi êtes-vous aussi sexy ? » Ma voix s’était perdue dans un murmure à peine audible. Mais étant donné notre proximité, je savais qu’elle m’avait entendu. Ce n’était pas vraiment une question pour elle, juste un moment de réflexion personnelle à voix haute. Je n’attendais pas de réponse de toute manière alors je rompis la distance qui me séparait de ses lèvres pour m’en emparer. A la différence de tout à l’heure, mon baiser était plus doux, moins brutal mais tout autant passionnel. La frustration étant passée et comblée, je pouvais prendre un peu plus mon temps et profiter de chaque parcelle de son corps à présent.

Je la fis basculer sur le côté pour me retrouver au dessus d’elle. Je voulais maintenant gouter chaque centimètre carré de sa peau. Je quittais ses lèvres pour laisser ma langue et mes baisers parcourir son menton, son cou, sa poitrine où je m’attardais légèrement. Ma main glissa en même temps sur sa peau en de longues caresses alors que je continuais ma descente le long de son ventre, son nombril, pour m’arrêter entre ses cuisses que j’écartais légèrement. Relevant quelques secondes la tête vers elle, je lui adressais un petit sourire avant de baisser la tête pour laisser ma langue découvrir et jouer avec l’endroit le plus intime de son anatomie.

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❝La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder❞
Ryan & Meg

Je m'attendais à passer à l'acte avec Ryan un jour ou l'autre, je savais qu'on craquerait parce que plus le temps passait moins je n'avais envie de me retenir. Ce à quoi je ne m'attendais pas en revanche c'était à l'effet que ça me ferait ainsi que l'après sexe. En même temps je ne me voyais pas foutre Ryan à la porte. Après tout ça n'était pas qu'un simple plan cul que je venais de rencontrer entre deux verres. Ceci dit ça n'était probablement pas la seule raison qui me donnait envie de le garder auprès de moi un peu plus longtemps. Ça pouvait faire un peu peur d'ailleurs quand on y pensait. Comment pouvait-il me faire changer aussi facilement une habitude de longue date. C'était quelque chose qui allait me travailler ça je le savais, mais en attendant je voulais profiter de l'instant présent. Profiter qu'il soit la, je me sentais bien à ce moment précis alors pourquoi me prendre la tête avec tout un tas de question. J'y réfléchirais plus tard, tout comme il faudra que je réfléchisse à comment en parler à Zaza parce que je savais qu'elle allait griller qu'on lui cachait quelque chose dès qu'on se retrouverait tous les trois, c'était obligé.

« Tu peux être honorée ouais. Tu peux même faire une croix sur ton calendrier pour graver la date du meilleur coup de ta vie. » Heureusement que je savais qu'il plaisantait parce qu'un mec qui disait ça en le pensant sérieusement, qu'il ai raison ou tord c'était le genre de comportement qui m'agaçait au plus haut point. "Bonne idée je vais faire ça, et puis si un jour j'ai un meilleur coup que toi je t'enverrais une croix par message" moi aussi je pouvais le taquiner un peu après tout, c'était lui qui avait lancé le truc après tout ! Ceci dit ça restait un compliment puisqu'un ça insinuait qu'il était effectivement mon meilleur coup jusqu'à maintenant. En réalité je ne pouvais pas vraiment établir de prognostique la dessus. Déjà pour commencer j'étais loin de me rappeler de comment étaient chacune de mes relations sexuelles et en plus de ça les conditions n'étant pas souvent les mêmes on pouvait difficilement comparer. Mais c'était quand même typiquement masculin cette envie de comparaison et surtout d'être le meilleur coup. Mais c'est vrai qu'avec Ryan j'avais pris un pied de malade ça je ne pourrais clairement pas dire le contraire. J'avais eu un plaisir fou et je ne regrettais absolument pas ! C'était marrant qu'il veuille que je sache qu'il pouvait être tendre et doux aussi mais c'était également intriguant. Une fois de plus c'était quelque chose qui m'intriguait parce qu'il s'agissait de Ryan, ça n'aurait pas été le cas avec tout le monde. Ça aurait été un mec d'un soir, en imaginant que je ne lui ai pas encore demandé de partir et qui me préciserait qu'il savait être doux il aurait probablement eu droit à un "et ben c'est cool ta vie, contente pour toi" avant de cette fois ci devoir partir à moins que j'ai réellement de nouveau envie de baiser. « La curiosité est un vilain défaut à ce qu’il parait. » A ce qu'il paraissait oui, j'avais entendu ça souvent en tout cas ! "Mais je suis loin d'être parfaite, j'ai beaucoup de défauts" défauts que j'assume parfaitement et que mon entourage n'avait pas vraiment le choix d'accepter ou non puisque je ne faisais pas beaucoup d'effort pour les cacher. Mais la curiosité c'était un des rares défauts qui pouvait aussi être une qualité "Et puis ça peut amener à de bonne surprise d'être curieuse aussi. Si je ne l'étais pas je passerais sans doute à côté de plein de choses" et parmi ces choses le sexe avec Ryan, ou en tout cas le sexe "doux" puisque curieuse ou pas je pense que j'aurais finis par craquer par excitation et non par curiosité. « Tu veux que je te le présente ? » je ris sans pour autant retirer mon nom "Est ce que tu lui aurais donné un petit nom ?" J'haussais les sourcils en souriant. Après tout y'a des mecs qui s'amusent à ça. C'était spéciale mais ça pouvait être marrant ! En tout cas ça me paraissait moins bizarre de savoir qu'un homme avait donné un nom à sa bite qu'une femme en ai donné un à son vagin ! Par contre s'il me sortait un truc comme "La vie" parce que la vie est dure j'allais l'étouffer avec un coussin ! J'avais retiré ma main pour venir me mettre à califourchon sur lui. Bon certes je ne lui avais pas vraiment demandé son avis pour recommencer mais c'était un grand bonhomme s'il ne voulait pas il saurait me le dire, mais je doutais sincèrement qu'il ne le fasse ! Au fur et à mesure de mes lents mouvements de bassin contre son intimité je la sentais durcir contre moi et j'en étais particulièrement satisfaite. J'étais rarement dans le sexe doux le premier soir, par peur de paraître pour une fille qui cherche du romantisme etc... Quand ça arrivait c'était avec des partenaires que je connaissais déjà bien et avec qui j'avais l'habitude de coucher. Et par la même occasion eux ils me connaissaient bien et de ce fait je savais qu'ils n'allaient pas se faire de fausses idées sur moi. C'est vrai qu'en soit même si je n'accordais pas beaucoup d'importance à ce que les gens pensaient de moi je n'aimais pas qu'on pense que j'étais une femme qui ne voulait que de la douceur, j'avais l'impression que ça me rendait fragile et je préférais renvoyer une image de femme forte. Pourtant j'aimais aussi ça le sexe doux. Quelque chose qui se rapprochait plus de faire l'amour que de baiser. C'était Ryan qui en avait parlé en premier alors finalement je pensais pouvoir me laisser aller, à une relation sexuelle aussi passionnée que la première mais plus sensuelle voir peut-être presque plus intime. Mon front posé contre le sien je me perdais dans ses yeux verts « Mademoiselle Megara, pourquoi êtes-vous aussi sexy ? » je ne pu retenir un sourire. Quand il posa ses lèvres contre les miennes je pouvais effectivement remarquer cette nouvelle façon de m'embrasser et j'en profitais tout autant. A nouveau il échangea nos places pour se retrouver au dessus de moi. Quand nos lèvres se détachèrent doucement je rouvrais les yeux et souriais à nouveau "Est ce qu'il faudrait que je le sois moins ?" ça risquait d'être compliqué en étant nue ! Ses lèvres dans mon cou m'arrachèrent quelques frissons et quand il s'attarda sur mes seins je lâchais quelques soupires tout en remontant dans ses cheveux et son dos. Je le suivais du regard en le voyant descendre entre mes jambes et me mordais la lèvre en le voyant me sourire avant de commencer à activer sa langue contre ma sensibilité. Je relâchais ma tête en arrière et entre-ouvrait ma bouche laissant échapper quelques gémissements sous la langue experte de cet homme un peu trop séduisant entre mes cuisses. L'excitation grimpait de nouveau et des vagues de chaleurs parcouraient mon corps. Je relevais la tête et glissais mes mains sur ses joues pour l'inciter à remonter. Une fois de nouveau au dessus de moi je le rembrassais et à mon tour je le faisais basculer sur le dos à côté de moi, ce qui ne fut pas très compliqué vu qu'il n'y opposa aucune résistance. Je reprenais ma place au dessus de lui, assise contre son sexe. Je me frottais à lui en ondulant des hanches et me passait les mains sur le corps, caressant mon ventre et mes épaules, en passant bien sur par ma poitrine, dans le but de l'exciter un peu plus. Je descendais une main pour introduire son sexe dans le mien en soupirant puis je relevais les bras pour relever mes cheveux histoire d'aérer ma nuque parce que je commençais vraiment à avoir chaud. Et puis aussi parce que c'était sexy comme position on va pas se mentir. J'avançais et reculais sur son membre, me cambrant parfois sous le plaisir, allant jusqu'au plus profond de moi même.

Pando

La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder

Megara & Ryan

J’aimais taquiner les personnes que j‘appréciais. J’avais toujours été comme ça. Avec Meg, le jeu avait commencé pratiquement dès le départ et les limites avait été chaque fois repoussées de plus en plus. Jusqu’à ce que finalement, nous les franchissions sans aucune forme de retenue. Je m’étais longtemps dit qu’il ne devait rien se passer avec elle parce qu’elle était la meilleure amie de ma sœur. J’avais longtemps gardé cette barrière dans un coin de mon esprit. Jusqu’à aujourd’hui. Mon état de frustration de la nuit et la vision d’elle en serviette avait suffit à me faire lâcher prise. J’avais cédé, tout simplement. Et il ne lui avait pas fallu longtemps pour céder à son tour. Il ne fallait pas se le cacher, elle me plaisait. Elle était le genre de femme que j’appréciais. Forte, déterminée, sûre d’elle, aguicheuse et drôle. Un peu ma version en féminin. Et puis, elle était une jolie femme, extrêmement attirante. On dit souvent que l’inaccessible nous attire plus que le reste. C’était bien vrai avec Megara.

Même après avoir couché avec elle, je ne pouvais m’empêcher de la taquiner, ça m’amusait. J’avais parfaitement conscience que je n’étais pas le meilleur coup du monde – même si je me défendais bien – mais j’aimais bien flatter mon ego pour plaisanter. Quel mec ne le faisait pas ? Sa réponse me fit rire, elle avait du répondant, une chose que j’aimais chez elle. « J’espère ne jamais recevoir ton message alors ! » En tout cas, ça me prouvait qu’elle avait passé un bon moment, tout comme moi. C’était toujours plaisant d’entendre qu’une nana avait pris son pied. C’était flatteur et non négligeable. Moi en tout cas, je ne crachais pas dessus ! Même si c’était assez prétentieux de se dire que telle ou telle personne était la meilleure au lit. Personnellement je ne me souvenais pas de toutes les parties de jambes en l’air que j’avais pu avoir. Certes, j’en avais eu des plus décevantes que d’autres, comme tout le monde, mais certaines avaient été moins marquantes, au point qu’elles me sortent de la tête.

Elle assura qu’elle était loin d’être parfaite et qu’elle avait beaucoup de défauts. Comme tout le monde oui, même si de prime abord, je ne lui en trouvais pas beaucoup. « Elles sont bien rares les femmes qui clament haut et fort qu’elles ont des défauts ! » C’est vrai, à les entendre, elles sont toutes parfaites. Mais c’était bien d’avoir de l’autodérision et assez de jugeote pour reconnaitre ses défauts. « Ça dépend des situations, la curiosité peut être une bonne chose en effet. » Enfin, je lui avais fait les éloges du Ryan doux, alors je me devais d’assurer maintenant. « Non pas de petit nom ridicule ! J’ai toujours trouvé ça stupide. » Riais-je légèrement. Ouais, je trouvais que ça faisait beauf de donner un nom à sa queue. Pourtant, je savais que c’était fréquent. Perso, je ne voyais pas l’intérêt. Elle avait fini par me regrimper dessus pour mon plus grand plaisir. Si elle voulait remettre ça, je n’étais certainement pas contre ! Bien au contraire. Cette femme me rendait dingue et ses mouvements de bassin contre mon entrejambe eurent vite l’effet escompté. J’en avais même lâché un compliment à mi-voix. Je ne comprenais pas vraiment ce qui m’arrivait avec elle mais elle me faisait tourner la tête.

Reprenant les choses en main, je m’étais retrouvé au dessus d’elle. « Non ne change rien surtout. » Lançais-je alors que je vins l’embrasser dans le cou. Je m’y attardais quelques secondes avant de descendre le long de son corps pour m’affairer quelques instants sur sa poitrine. Finalement, j’étais descendu plus bas pour jouer de ma langue entre ses jambes sur cette partie si sensible de l’anatomie féminine. Sa réaction ne se fit pas attendre et après à peine quelques secondes, je l’entendais déjà gémir. Il n’y avait rien de plus satisfaisant dans ce monde que d’entendre une femme gémir son plaisir sous les attentions qu’on pouvait lui apporter. Ça ne faisait que m’exciter davantage. Après quelques minutes, je sentis ses mains se poser sur mes joues et alors qu’elle m’incita à revenir vers elle, je remontais le long de son corps pour venir l’embrasser de nouveau. Elle ne tarda à me faire basculer de nouveau sur le dos. Je n’émis aucune résistance et me laissais faire. J’aimais aussi quand les femmes se montraient entreprenantes. Elle regrimpa sur moi à califourchon et commença à glisser ses mains sur son propre corps. Bien évidemment, je n’en perdais pas une miette et me mordillais même la lèvre inférieure sous l’excitation grandissante que je ressentais. Elle dut sentir que j’étais fin prêt puisqu’elle se redressa légèrement pour me faire entrer en elle. Mes mains posées sur ses cuisses, je l’aidais dans ses mouvements même si je devais bien avouer que cette vision d’elle en train de littéralement me chevaucher valait tout l’or du monde. Elle attrapa même ses cheveux dans une pause tellement sexy que je ne pus résister à l’envie de me redresser pour m’asseoir et venir l’embrasser dans le cou. L’une de mes mains se posa sur sa chute de rein alors que l’autre remontait dans son dos en de longues caresses. Mes lèvres remontèrent jusqu’à son oreille que je commençais à mordiller. « Toi tu es en train de me présenter la Meg entreprenante ? Ravie de faire sa connaissance. » Ma phrase avait été ponctué de soupirs mais j’espérais l’avoir rendu assez clair quand même.

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❝La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder❞
Ryan & Meg

Normalement toucher aux frères des amies c'était le truc à pas faire non ? La règle à ne pas enfreindre, la limite à ne pas dépasser. Surtout avec sa meilleure amie j'en étais certaine. Mais j'étais humaine merde, Ryan me faisait trop d'effet, au bout d'un moment c'était dur de mettre un stop quand on avait pas envie de le faire. Et même si je savais qu'elle risquait de m'en vouloir quand elle saurait je savais que ça n'allait pas durer au puis dans tous les cas au moment même où on franchissait la limite ça n'était plus du tout à Arizona que je pensais. En même temps ça aurait été bizarre. On s'était laissé aller à la folie du moment et j'avais tellement attendu cette première fois que tout s'était libéré. A peine terminé que je me repassais déjà les images dans ma tête, me souvenant des soupires, des gémissements, de la chaleur de sa peau, de son odeur et des sensations qu'il m'avait procuré. Habituellement après le sexe je partais ou je faisais partir la personne avec qui j'avais couché puis je reprenais le cours de ma vie. Mais comment foutre Ryan à la porte ? En quand bien même je le pouvais je n'en avais pas envie. C'était très masculin de vouloir vanter sa performance comme un pan après le sexe même si cette fois c'était sur le ton de l'humour. Je ne me rappelais pas qu'une fille ce soit déjà tournée vers moi après qu'on ai couché puis m'est regardé avec un petit sourire fier en me disant "Alors ?" mais avec les hommes en revanche y'en avait beaucoup plus qu'on ne le pensait. Ça donnait envie de foutre des claques. En plus je ne sais pas comment ils peuvent être satisfait de notre réponse alors pourquoi poser la question ? C'est vrai quoi, la plus part des femmes vont se sentir obligée de dire que c'était bien même si c'était pas le cas, pour ne pas blesser la personne. Donc comment ils pouvaient savoir si ils avaient droit à la vérité ou non ? Pourtant ils n'étaient pas tous des as de la bistouquette contrairement à ce que certains semblaient penser. Heureusement pour moi avec Ryan il n'y avait pas ce problème ! « J’espère ne jamais recevoir ton message alors ! » je ris en relevant mes yeux sur lui "Si jamais ça arrive tu devras revenir me voir pour rectifier ça" ça serait sadique d'envoyer une croix juste pour qu'on recouche ensemble ? Ceci dit je n'étais pas sûr d'avoir besoin de ce prétexte et puis, maintenant qu'on avait déjà franchis la limite pourquoi se retenir ? « Elles sont bien rares les femmes qui clament haut et fort qu’elles ont des défauts ! » celle qui disent être parfaite en le pensant vraiment étaient ridicules de toute façon. Personnellement je l'avais déjà dit plus d'une fois que je savais que j'étais parfaite mais rien de réellement sérieux et c'était généralement suivis par un courageuse de cheveux exagéré à la L’Oréal ! Truc que mon frère savait très bien faire aussi d'ailleurs. "C'est ennuyant les gens parfaits" bon on savait tous très bien que ça n'existait pas et que la perfection était différente pour tout le monde mais en l'imaginant ça n'était pas forcément une image qui me faisait envie. Zero défaut, quelle horreur. « Ça dépend des situations, la curiosité peut être une bonne chose en effet. » une mauvaise chose comme une bonne oui, c'était au cas par cas « Non pas de petit nom ridicule ! J’ai toujours trouvé ça stupide. » Je ris à nouveau "Tu me rassures !" Le pire était ceux qui baissaient leur froc avant de dire tout fier: je te présente Big Ben ou n'importe quel autre nom se référant à quelque chose d'immense.

Partante pour un deuxième round ça je l'étais oui, complètement même. Je m'étais de nouveau retrouvée sur le dos avec Ryan au dessus de moi « Non ne change rien surtout. » je souris avant de fermer les yeux au moment où ses lèvres vinrent embrasser mon cou tout en glissant mes doigts dans ses cheveux. Chacun de ses baisers le long de mon corps provoquaient des frémissements. Je respirais lentement tentant de maîtriser ma respiration. Chose qui ne fut plus possible quand il joua de sa langue experte entre mes jambes. Il n'avait pas de mal à faire grimper le plaisir. L'excitation montant je l'avais incité à revenir sur moi avant d'échanger nos places voulant à nouveau le sentir en moi puis également me mettre au boulot moi aussi. Quoi que la comparaison était plutôt erronée. Chaque mouvement de bassin me donnait plus de plaisir et surtout de plus en plus chaud. Quand il se redressa je passais mes bras sur ses épaules, ravis de le sentir à nouveau contre moi. Des gémissements m’échappaient régulièrement entre mes soupires et je frissonnais en sentant ses dents mordiller mon oreille « Toi tu es en train de me présenter la Meg entreprenante ? Ravie de faire sa connaissance. » je souris en mordillant ma lèvre. C'est pas comme si je n'avais pas été entreprenante du tout jusque la non plus. Je lui relevais la tête et l'embrassais fougueusement. Cette fois ci c'était en effet plus en douceur mais pas moins agréable pour autant. Ma respiration se faisait de plus en plus rapide jusqu'à ce que le plaisir monte en flèche et que je me crispe à plusieurs reprise en atteignant l'orgasme et en m'agrippant à lui. Je finis par me relâcher et me laisser aller contre lui pour reprendre mon souffle.

Pando

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» {Loft#44}[Adricob#4] -HOT- Ne jamais résister à la tentation
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» Maelys ♦ Tentation.
» Le coeur de l’homme se révèle dans la tentation + Heathora
» Il faut beaucoup d’amour pour transformer un nounours en meilleure amie ♠ Marnnie